- Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
15/03/2019 15:34
Brigitte Fau
Comprend-t'on vraiment ce qui se passe dans ce type de technique ? Dans ce cas on augmente le taux de macrophages à 22%. Je fais la comparaison avec le jeûne qui a un effet réel sur l'hypertension ; après un jeûne long, on constate une diminution importante des leucocytes dans le sang (Walter Longo). - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
15/03/2019 10:37
Brigitte Fau
Antoine Béchamp, médecin et excellent chimiste, savait extraire les granulations et distinguer les microzymas des granulations "amorphes" : "Tout organisme, quel qu’il soit, est doué de 2 propriétés fondamentales, sans lesquelles il ne peut y avoir organisation : l’insolubilité et la non volatilité. Et cela est vrai non seulement de l’être complet mais des éléments anatomiques de ses tissus... ...Il n’y a pas d’exception : tout ce qui vit est organisé, et tout ce qui est organisé est insoluble" Il extrayait les microzymas qui étaient capables après extraction d'effectuer des fermentations, de produire des enzymes. Sa théorie de la fermentation est d'autant plus affinée. Et ce qui pourrait paraître dépassé, est en réalité fondamental et commun à tous les organismes vivants. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
15/03/2019 10:31
njama
Il n'est pas besoin de "corps étrangers" comme dans la théorie pasteurienne du MICROBISME pour déclencher une réaction immunitaire, l'auto-hémothérapie pourtant pratiquée à une certaine époque pour traiter l'hypertension artérielle permanente (1) (2) le démontre puisqu'elle stimule la production de macrophages. Qu’est-ce que l’auto-hémothérapie? C'est une technique simple, dans laquelle, moyennant le retrait du sang d’une veine et l'application dans un muscle, elle stimule une augmentation des macrophages Auto-Hémothérapie Contribution pour la Santé Conversation avec le Docteur Luiz Moura Retranscription de la vídeo-conférence réalisée en 2004 (3) "C’est une ressource thérapeutique à coût très faible, simple, qui se résume à enlever le sang d'une veine et à l’appliquer dans un muscle, stimulant ainsi le Système Réticulo-Endothélial(qui fabrique les anticorps), en quadruplant les macrophages dans tout l’organisme.". Méthode utilisée à plus de 100 ans et qui a presque disparu avec l'arrivée des antibiotiques, dans les années 40 au XXème siècle [...] Tant qu'il y aura du sang dans le muscle le Système Réticulo-Endothélial sera activé. Cette activation se termine au bout de cinq jours. Le taux normal de macrophages est de 5% dans le sang et avec l'auto-hémothérapie, nous élevons ce taux à 22%, pendant 5 jours. Du 5ème au 7ème jour, ce taux commence à décliner, parce que le sang commence à disparaître du muscle. Et quand il a complètement disparu il retourne à 5%. D’où la raison pour laquelle la technique de l’auto-hémothérapie se répète de 7 en 7 jours. ... Et il en résulte une stimulation immunologique très puissante. lire : https://dr.moulinier.fr/wp-content/uploads/2012/08/Auto-h%C3%A9motherapie-traduction.pdf notes: (1) la thèse du Dr. HALATCHEFF publiée en 1936 https://dr.moulinier.fr/wp-content/uploads/2017/07/Th%C3%A8se-de-1936-du-Dr-HALATCHEFF-sur-Autoh%C3%A9moth%C3%A9rapie-et-HTA.pdf (2) publication intéressante de 1936 écrite par le Dr. Gaston PAILLOUX https://dr.moulinier.fr/wp-content/uploads/2017/07/Publication-du-Pr-FABRE-et-du-Dr-PAILLOUX-en-1936-sur-Autoh%C3%A9motherapie-et-HTA.pdf (3) la vidéo (1:10:35) https://www.youtube.com/watch?v=7_YZal8VA5M Remerciements au Dr Didier Moulinier pour toutes ces informations. https://dr.moulinier.fr/il-faut-toujours-y-croire-et-vive-lauto-hemotherapie/ - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
15/03/2019 10:25
Brigitte Fau
Récemment, il est question d'un holomotographe qui permet d'observer le vivant et de visualiser en 3D. Je ne sais pas ce qu'il vaut dans l'observation des granulations vivantes, ni si celles qui sont brillantes sur cette video (par exemple) ne sont pas que des particules graisseuses comme l'affirme l'auteur de la video. https://twitter.com/Hearing4Kids/status/1096585535957671937 J'ai trouvé sur le site d'une librairie associative, les explications techniques du somatoscope de G. Naessens : "La principale difficulté pour l’observation des somatides et des formes qui en dérivent a toujours résidé dans la résolution des microscopes optiques qui sont les seuls permettant l’observation in vivo. Même aujourd’hui, les meilleurs microscopes optiques permettent des grossissement de 1à 800 fois avec une résolution de 0.1 micron. Les microscopes électroniques sont capables de grossissements de millions de fois avec une résolution de 30 à 50 angströms mais les objets observés doivent être séchés et fixés de sorte que seuls leurs «squelettes» sont observables. Le microscope de Gaston Naessens permet cependant d’atteindre des grossissements de 30 000 fois avec une résolution de 150 angströms. Deux sources lumineuses, l’une incandescente et dont la longueur d’onde est de 3300 angströms, l’autre ultraviolette et de 1850 angströms, entrent en battement et produisent une troisième longueur d’onde. Cette onde passe à travers un filtre mono-chromatique qui produit une raie. Cette raie est ensuite soumise à des champs magnétiques (effet Zeeman) qui la multiplient et produisent de nombreuses raies parallèles. Ces raies parallèles passent à travers des cellules de Kerr qui en augmentent la fréquence. C’est cette source lumineuse, invisible à l’oeil nu, qui frappe les lamelles. L’image sera ensuite reconstituée par le microscope. principe de fonctionnement de l’invention du Dr Naessens Le principe du microscope de Gaston Naessens est que plus la longueur d’onde lumineuse est courte plus il est possible de voir des détails infiniment petits." - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 23:26
Bernard Guennebaud
Oui c'est certainement le premier problème. Tissot (1946) y consacre de très nombreuses pages avec une étude très détaillée de différents résultats obtenus selon les fixateurs utilisés. Christian a raison de donner ces détails afin que chacun se rende compte sur quoi reposent les descriptions du vivant qu'on nous présentent comme des certitudes alors que les résultats obtenus sont sujets à interrogations et cela vaut pour tous, y compris pour Béchamp. Il y a cependant un critère qui peut être retenu pour apprécier la qualité des résultats observés, c'est le niveau de structuration. Il n'y a à peu près aucune chance pour qu'une détérioration de la matière observée produise une structure régulière et harmonieuse et au contraire toute chance pour que les détériorations produisent le chaos. Autrement dit, si on observe une structure harmonieuse on peut penser qu'elle n'a pas été affectée par la préparation. Par contre, si on observe le chaos on devrait s'inquiéter. Or les représentations données aujourd'hui encore de la structure du cytoplasme sont pour le moins chaotiques avec les vacuoles et autres objets épars alors que Tissot avait obtenu des structures régulières et harmonieuses qu'il avait photographiées. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 19:56
Christian
C’est bien la en effet tout le problème, comment observer ces microzymas, somatides, nanoparticules, avec les techniques de la cytologie moderne. Les nanoparticules ne sont visibles que dans le vivant avec des microscope à fond noir, somatoscope de Naessens., du moins à ce que j’en sais. Dès que l’on veut fixer le vivant, pour l’observer, on le tue. On n’observe que des cadavres cellulaires modifiés. Pour rappel, en général, les tissus sont tués dans le formol, puis dehydratés, dégraissés au toluène , plongés dans la paraffine chaude, passés ensuite au microtome, soudées à la flamme sur une lamelle, nettoyés de nouveau au toluène, réhydratés, mordancés à l’acide pour permettre la coloration, étanchéifiés enfin avant l’observation. C’est ce que l’on faisait du moins au 20º siècle, j’espère que ces techniques ont été allégées. Il reste à essayer de convaincre les jeunes chercheurs, insister sur les faits car en tant qu’association pour une médecine scientifique , seuls les faits nous intéressent, nous attirent car les scientifiques sont curieux de nature, et ces faits nous passionnent. Attirons les par notre indépendances, à la fois des dogmes et des marchants de santé. Bannissons le dogme pasteurien, mais n’en créons pas un autre. Enfin restons bienveillants comme le dit cette association, c’est par cette bienveillance que nous les convaincrons de chercher de nouveaux outils pour observer le vivant. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 18:11
Brigitte Fau
En effet Bernard, les étudiants sont trompés et pourtant convaincus, par pure confiance ! - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 17:28
Bernard Guennebaud
L'observation "en live" ? C'est ce qu'on pourrait souhaiter mais le souhaite-t-on vraiment ? Cela pourrait détruire bien des mythes et des dogmes. Lu dans la revue La Recherche, 1972 n°23 page 684 : "La microscopie électronique ne peut généralement pas faire la part du réel par rapport aux modifications structurales provoquées par les méthodes préparatrices." La réalité pourrait être bien différente de ce qu'on voit sous le microscope et que les étudiants apprennent comme des vérités premières et indiscutables - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 13:14
Brigitte Fau
MrTAZ (commentaire plus haut) trouve qu'on en vient pas assez vite à parler des somatides. Gaston Naessens décédé en 2018, est un inventeur génial qui a créé un "somatoscope", microscope particulier permettant d'observer en live nos fameuses petites entités, qu'il a appelé somatides. Il a été obligé de s'expatrier au Canada et même poursuivi puis innocenté... Il n'est pas bon oser sortir de la pensée unique, imposée au niveau mondial, désormais ! Il a étudié les somatides essentiellement dans le sang, il me semble, et trouvé sous forme de cycle, leurs étapes de transformations des états sains aux différents états morbides et retour à l'état sain ; Cela en faisant varier l'acidité du milieu. Décomposant ainsi le polymorphisme microbien. J'en parle dans le 3ième § : https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/ Mais MrTAZ, vous pouvez sans doute nous éclairez plus sur ce sujet. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 13:00
Brigitte Fau
MrTAZ, J'ouvre un commentaire en bas pour répondre à ce message lacunaire. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 11:56
MrTAZ
Bon je trouve que ça n'avance pas alors je vous donne la réponse : les somatides... - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 08:36
Olivier
oui, le site du Dr Riche où tout y est expliqué: http://docteurphage.com/ - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 07:59
Brigitte Fau
Ne voyez-vous pas que tout a été fait pour nous cacher les travaux de Béchamp. Mais vous avez raison, il ne faut pas tomber dans l'excès inverse. Si je semble y être c'est précisément que j'ai lu ces travaux. Alors refaisons les au besoin mais il faut prendre ce recul par rapport aux faux dogmes ancrés dans nos esprits. Pasteur avait compris son erreur pourtant (cela aussi a été caché) et il en est bien question dans un des articles qu'a retrouvé GB : "Prior to his death, Pasteur finally acknowledged the “terrain” theory saying, “Béchamp avait raison, le microbe n'est rien. Le terrain est tout.”" https://academic.oup.com/cid/article/61/9/1432/432671 - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
14/03/2019 07:49
Brigitte Fau
Comprenez-bien qu’il s’agit d’un changement de paradigme. L’approche scientifique doit être différente, débarrassée de tous les dogmes faux. Ces petites entités qui nous constituent (probablement entièrement) nous sont spécifiques ; elles doivent contenir dans leurs gènes cette marque de notre identité en plus de leur propre identité. C’est bien toute l’importance d'une approche holistique (Christian ?). Il faut donc savoir distinguer nos micro et nano organismes des micro et nano organismes étrangers à nos organismes. Les programmes de recherche sur le microbiome, mettent l’accent sur le remplacement d’éléments du microbiote, comme si ces éléments sont interchangeables. Comme je le disais, la science n’a pas fini d’errer. Les jeunes chercheurs, jeunes scientifiques, jeunes médecins n’ont pas ce recul et ils ont été montés contre toute personne qui tentent de leur apporter cette ouverture ; « diviser pour mieux régner » ; nous nous retrouvons plus que jamais divisés entre 2 camps : les pro, les anti.. Pourtant le nombre de cancers, de handicaps, de maladies auto-immunes chez des jeunes enfants…. explosent sans que personne ne s’interroge sur leur cause. LC Vincent expliquait pourtant le déplacement du terrain vers les maladies dégénératives à cause de cette violation de l’organisme. Les vaccins tels qu’analysés par l’association Corvelva, ne sont en réalité que des bouillons de culture toxiques ; quand on comprend le polymorphisme microbien, on ne s’étonne pas vraiment qu’on y retrouve plus les antigènes de base dans nombre de vaccins. https://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi.html - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
13/03/2019 20:21
Brigitte Fau
Olivier, auriez vous un lien pour en savoir plus sur ce sujet ? - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
13/03/2019 18:50
Petit Bambou
Merci pour vos explications "Personnellement je pense qu’il faudrait dans ce nouveau paradigme, cesser d’admettre que ces nanoorganismes sont étrangers (parasites) dans nos organismes ; ce recul est nécessaire et le but de mon article et d’aider à cette remise en cause. Cesser également d’admettre qu’ils ne peuvent évoluer en bactérie, virus, prion mais sans doute en d’autres choses plus constructives pour nos organismes, parce que c’est sans doute leur rôle premier (d’après Béchamp)" Oui, mais il faudrait peut-être aussi envisager que les hypotheses de Bechamp n'ont pas été vérifiées par les chercheurs qui ont travaillé après lui et récemment. Vous supposez, alors que rien ne dit que les chercheurs aient mal travaillé, comme ce que vous dites le laisse comprendre. Rien ne prouve ni ne laisse entendre ça. Il faudrait peut-être se rapprocher des chercheurs qui ont travaillé sur ces entités, plutôt que de garder ces positions conjecturelles et très probablement injustifiées. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
13/03/2019 18:16
Olivier
oui, d'ailleurs cela rejoint ce que dit le Dr Riche à propos des conditions de développement des bactériophages dans l'organisme. Ces petits virus très utiles pour lutter contre les bactéries trop agressives ne sont pas produits en terrain acide et/ou glycémique. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
13/03/2019 10:01
Brigitte Fau
Vraiment intéressant, Olivier, le champ d'investigation est large, vaste ; tout reste à découvrir... - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
13/03/2019 08:08
Olivier
Bonjour, concernant les travaux de Bong-Han Kim; j'avais fait cette petite synthèse expliquant le rôle des méridiens ( primo-vaisseaux..) dans la construction de l’embryogenèse et la régulation des systèmes tout au long de la vie ;ainsi que le rôle des petites cellules spécifiques qui y circulent et jouent un rôle dans l'information et la régulation via l’émission de biophotons http://acupuncture-mto-68.fr/medecine-traditionnelle-orientale/110-realite-meridiens-d-acupuncture - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 20:35
Brigitte Fau
Merci, cher GB - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 19:56
Brigitte Fau
Effectivement Tissot a fait des constats vraiment intéressants, Bernard, et sans doute a-t'il raison sur un certain nombre de points. Merci pour ces précisions. Mais ce qui me gène c'est cette fonction colibacillaire qu'il généralise. Voilà ce que disait Béchamp concernant le polymorphisme : "…Mais il ne faudrait pas vous imaginer que le microzyma se convertit en bactérie sans aucune transition : on peut au contraire constater plusieurs formes intermédiaires entre le microzyma et la bactérie…Il faut que vous vous souveniez que le milieu a une grande influence sur telle ou telle forme de l’évolution du microzyma, et qu’il y en a une quantité d’espèces quant à la fonction ; enfin que selon le milieu, le microzyma peut produire des cellules au lieu des bactéries, de véritables microphytes celluleux et des moisissures…" Et on peut rapprocher cela à la publication sur les nanoorganismes dont je parlais plus haut, je la reprends ici : Cette publication de 2003 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC165317/) met l’accent sur les pièges qu’il faudrait éviter afin d’aborder le monde des nanoorganismes en les considérant comme de nouvelles entités : « Any microbiological classification of tentative nanoorganisms, such as nanobacteria proposed by Kajander and Ciftcioglu (6) and nanobes proposed by Uwins et al. (8), is difficult because they are not typical bacteria. They have also virus-, fungus-, and prion-like characteristics and thus cannot fit into any existing class of microorganisms (Table (Table1).1). They should be considered as their own entity » Ces entités à part entière entrent dans toutes les classes, et sont probablement capables de produire par polymorphisme en fonction du milieu le microorganisme le mieux adapté à ce milieu, ou exercer leur fonction spécifique par l'intermédiaire de cellules si nécessaire si le milieu le permet (organisme sain). Je fais le parallèle, également, avec le diagramme Vincent qui montre en fonction des paramètres pH/rH2 que le milieu en variant favorise le développement soit des bactéries (milieu plutôt acide ou alcalin / réduit), des mycoses (milieu acide / oxydé), des virus (alcalin/oxydé et surminéralisé). De quoi creuser ! ... - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 19:13
Brigitte Fau
En effet, petit Bambou, peu importe qu'on les appelle microzymas ou autrement. Je ne sais pas dire dans tous les cas s'il s'agit des microzymas de Béchamp, mais le plus souvent cela y ressemble. La science change de paradigme et l'approche et la méthode devront s'adapter afin de permettre de vraiment avancer. Cette publication (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC165317/) met l'accent sur les pièges qu'il faudrait éviter afin d'aborder le monde des nano"xxx..." en les considérant comme de nouvelles entités qui, de mon point de vue, sont bien des microzymas : "Any microbiological classification of tentative nanoorganisms, such as nanobacteria proposed by Kajander and Ciftcioglu (6) and nanobes proposed by Uwins et al. (8), is difficult because they are not typical bacteria. They have also virus-, fungus-, and prion-like characteristics and thus cannot fit into any existing class of microorganisms (Table (Table1).1). They should be considered as their own entity" Personnellement je pense qu'il faudrait dans ce nouveau paradigme, cesser d'admettre que ces nanoorganismes sont étrangers (parasites) dans nos organismes ; ce recul est nécessaire et le but de mon article et d'aider à cette remise en cause. Cesser également d'admettre qu'ils ne peuvent évoluer en bactérie, virus, prion mais sans doute en d'autres choses plus constructives pour nos organismes, parce que c'est sans doute leur rôle premier (d'après Béchamp) - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 17:30
Petit Bambou
Chere Brigitte, Je ne veux pas non plus de polemique et désolé si j'ai donné cette impression. Il y a des dizaines d'articles sur les nanobactéries et en partie publiéespar des équipes françaises, et aussi en lien avec différentes pathologies. Est-ce que ce dont parle E.Olavi Kajander sur tant de différentes publications avec ses équipes en Finlande et dans le monde entier, c'est la même chose et des mêmes structures que ce qu'observait Bechamp? Avez-vous un avis sur ce point ? Je suppose que oui, mais ne suis pas spécialisé sur cette question. Les chercheurs avancent, même s'ils n'utilisent pas le mot de microzyma, c'est pas grave. La science avance par saccades et la science de demain corrigera les excès d'aujourd'hui, car les paradigmes en cours peuvent sembler exagérer et être trop exclusifs mais comme c'est le cas à toutes les époques. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 17:12
GB
Chère Brigitte, En premier lieu, je me permets de dire que l'idée de réfuter de grandes théories pour laisser son nom ne vous visait en aucun cas, c'est plutôt un puissant moteur de la recherche. Comme les académiques sont assez mal payés, on se bat plus pour des articles dans des grandes revues, pour être reconnu en somme. Pour la suite, et pour expliquer le principal inconvénient de la boite de Petri, qui reste malgré tout assez usitée, c'est que bon nombre de bactéries ont besoin de certains nutriments pour pousser, et que certaines sont incultivables en milieu solide. Par conséquent, en plus des autres types de milieux utilisés pour la pousse elle-même (milieux liquides, milieux semi-liquides, culture anaérobie, bioréacteurs etc...) il a été développé dans la dernière décennie des techniques d'analyse du microbiome dites "sans a priori". Dans ces techniques, qui sont du séquençage universel à très haut débit, on amplifie le matériel génétique de tout ce qui passe dans l'échantillon, pour faire des arbres de familles présentes (ex. pour le microbiote intestinal), et c'est ainsi qu'on a découvert très récemment toutes les associations entre familles de bactéries et certaines pathologies qui a priori n'avaient rien à voir (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26449893). - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 15:41
Bernard Guennebaud
A propos du bacille tétanique, voici un extrait de ce qu'en disait Tissot (1946 page 291) : « La culture tétanique se transforme en culture de colibacille au contact de l'oxygène de l'air. Elle subit une modification rapide quand on la met au contact de l'air. Comme l'indiquent les traités de Bactériologie il faut, pour conserver la toxine tétanique, qu'elle soit privée du contact de l'oxygène de l'air. C'est donc qu'on a vu qu'elle s'altère au contact de l'oxygène. Ce n'est pas une altération qu'elle subit, c'est une évolution. Au contact de l'oxygène, les granulations de la toxine s'agglomèrent et forment des masses rondes de plus en plus grosses, puis des masses germinatives émettant des filaments qui se segmentent en bacilles de longueurs diverses... Le filtrat ...ne contient plus que des éléments microscopiques qui en sont les éléments actifs et filtrables et qui, quand on met la toxine au contact de l'air, évoluent et donnent cette fois, en culture aérobie, une forme bacillaire qui est celle du colibacille.» En fait, si je comprends bien, je ne suis pas sur mon domaine de prédilection, le polymorphisme bactérien ne signifie pas qu'un bacille de telle catégorie pourrait se transformer en un bacille d'une autre catégorie comme un chat qui deviendrait un chien !!! Il y a autre chose qui n'existe pas au niveau des espèces animales : les bactéries peuvent s'agglutiner et fusionner leurs composantes.Si les conditions physico-chimiques changent, il peut se produire des transformations structurelles au sein de cet amas ; puis il émettra des filaments qui se segmenteront, donnant ainsi naissance à des bacilles qui pourront être structurellement différents des bacilles originaux. Pour Tissot, il y a la fonction colibacillaire qui est un constituant normal et fondamental des êtres vivants, animaux et humains. Quand les conditions changent, comme par exemple un manque d'oxygénation, le colibacille passant par la phase d'agglutination pourra redonner des vibrions septiques (gangrène), des bacilles tétaniques, des pneumocoques, des streptocoques … Indépendamment de cela il y a la structure ''solide'' pourrait-on dire dont la pierre fondatrice est, selon Tissot, l'organite haltère. Il affirme que celui-ci est indépendant des microzymas qui participent à la composante ''liquide'', au monde circulant. On pourrait tenter de soutenir que les microzymas participeraient aussi à la construction de l'organite haltère qui est une structure complexe mais là ... je ne sais pas ! Tissot a clairement démontré (à mon avis) que la dégénérescence du réseau connexe d'haltères du tissu pulmonaire pouvait donner naissance à Mycobacterium Tuberculosis, des filaments dont les segmentations par les méthodes de préparation avaient produit le fameux BK, le célèbre bacille de Koch qui en réalité n'existe que sous les microscopes. De fait, on ne peut assimiler ce ''bacille'' qui vient de la structure ''solide'' aux bacilles de type tétanique ou pneumococcique par exemple qui proviennent de la structure ''fluide''. Mon avis n'a aucune valeur mais je pense que sur ces questions Tissot avait vu juste même s'il a certainement aussi fait des erreurs sur d'autres questions. Bien qu'il formule des restrictions sur l'oeuvre de Béchamp, Tissot lui donne entièrement raison pour s'être opposé avec force aux faux dogmes pasteuriens. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 14:53
Brigitte Fau
Ouille ! dommage. Je ne suis pas dans la polémique petit Bambou. Je souhaite au contraire que nos échanges soient constructifs parce qu'aucun de nous ne sait tout précisément. J'ai pris la peine de lire les articles vraiment intéressants, celui de 2013 en particulier que je ne connaissais pas et qui me réjouit, je connaissais ceux sur les nanobactéries. Mais vous ne semblez pas d'accord sur le fait que cette approche semble peu connue du milieu scientifique, voire inconnue pour beaucoup, pourtant un approfondissement pourrait tout changer de la pathologie, de l'immunologie en particulier. Non ? - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 12:57
Petit Bambou
Chere Brigitte, Pour lancer une alerte, il faudrait connaître soi-même très bien le milieu auquel on attente un procès. Est-ce que c'est votre cas ? Lire le livre de Pierre Lance ne suffira pas. Vous ne lisez pas la bibliographie de base sur le sujet sur lequel vous dénoncez qu'il n'y a aucun travaux. Vous dites que peu de scientifiques arrIvent à la cheville de Bechamp. Comment vous le savez, puisque vous ne lisez pas ? Qui connaissez-vous des. chercheurs actuellement, pour vous permettre cette comparaison et ce jugement ? Et quand GB vous donne un des articles que vous auriez dû lire pour être au courant de ce qui se fait , votre réponse est de déplorer que c'est sporadique et 'il n'y arien en France, comme si la science admettait des limites frontalieres. Il y a d'autres articles et des chercheurs en France aussi qui ont travaillé sur des entités qui sont probablement celles que Bechamp observait. Par contre, je ne pense pas que GB vous accusait que vous vouliez laisser un nom dans l'histoire. Votre intervention jette le discrédit une association qui affiche de promouvoir une science indépendante. Mais indépendant ne devrait pas vouloir dire ignorant de tout ce qui existe. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 12:12
Brigitte Fau
A ce sujet, GB, par curiosité scientifique, comment feriez-vous maintenant plutôt que d'utiliser des boites de Pétri ? - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 12:03
Brigitte Fau
En effet, Bernard, mais il y a t'il vraiment contradiction ? Les microzymas mobiles exercent les fonctions des différents centres (produisent des enzymes spécifiques) mais également, ils participent à l'organisation, quand Béchamp explique que la fibrine du sang en est constituée, ou constate la formation de cellules, il ne s'arrête pas à leur fonction mobile.Tissot est allé plus loin avec des moyens modernes puisqu'il utilisait la microscopie électronique (avec un fixateur doux) Les organites haltères sont des éléments de construction, d'origine microbienne qui libérés de leur structure, peuvent devenir "bacille de Koch" par exemple. Tous les éléments structuraux de nos organismes ne sont-ils pas "bactérien" d'après Tissot ? Mais en effet, il y a de quoi creuser pour tout scientifique curieux. Il faut approfondir ce vaste sujet : comment nos organismes se constituent ? ... Pour ceux que cela intéresse, Bernard explique parfaitement la structure en réseau observée par Tissot, remettant en cause la cytologie de la cellule observée avec des fixateurs "mitochondriaux" détruisant cette structure, dans la video suivante : https://www.youtube.com/watch?v=XIbC2aW_yic&t=183s - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 11:30
Petit Bambou
GB répondait à la proposition de Brigitte de prendre deux boites de Pétri. C'était sa proposition. Il ne parlait pas de Bechamp, en disant cela. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 11:19
christian
Cher GB, Je reprend votre expression: “Pour le reste, des « bidouilles de boîtes de Pétri avec un peu d’acide et de base » c’est un peu dépassé en termes de manipulation de souches bactériennes” Les travaux de Bechamp dont il est question dans cet article, n’ont rien à voir avec ces bidouilles, il sagit d’un travail scientifique extrêmement rigoureux, où chaque expérience est répétée des dizaines de fois, qui a duré pas loin de 40 ans. Tout étudiant en médecine sait qu’avant d’écrire sa propre thèse, il doit faire avant l’état des lieux de son sujet. Ici l’état des lieux s’appelle “les Microzymas” livre du Pr A.Bechamp à commander auprès du CIRAB, centre international d’études Antoine Bechamp, 20 avenue Niepce, 77500, Chelles. Voici ce qu’il disait à la fin de ses fonctions Lilloises, à propos de Pasteur: “Sachant que l’on enseigne l’erreur radicale, ce m’est une raison de plus pour que je crie sur les toits que l’on se trompe, et qu’il y en a qui trompent comme Pasteur trompait sciemment avant eux. Ce serait une lâcheté de ma part de me taire plus longtemps. Oui, lorsqu’en 1876 Pasteur préluda à ce que l’on a appelé son oeuvre médicale, il savait parfaitement qu’il trompait; sachant très bien que le principe de sa nouvelle doctrine médicale, laquelle deviendra le MICROBISME, est absolument faux, n’a jamais été vérifié ou démontré. J’affirme que s’il a été si légèrement admis comme un dogme, c’est qu’il flattait les croyant d’un autre faux dogme d’une doctrine scientifique généralement professée, l’Evolutionnisme, dont le principe fondamental est la génération spontanée. Je l’ai fait savoir, la THEORIE MICROZYMIENNE, fondée sur des faits toujours vérifiables et vérifiés par ceux la même qui, après les avoir niés, les ont plagiés, donnait enfin à la médecine une base expérimentale aussi stable- en respectant et expliquant les vérité acquises à travers les siècles- que la théorie lavoisierienne de la matière l’avait donné à la chimie. Le MICROBISME est une théorie fataliste monstrueuse, puisqu’il suppose qu’à origine des choses, Dieu aurait crée les germes des microbes destinés à nous rendre malade . “ - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 10:50
Brigitte Fau
Cher GB, pensez-vous vraiment que je fais çà pour laisser mon nom dans l'histoire ? Je ne suis rien, j'assume en n'utilisant pas de pseudonyme. Ce système est en train de détruire nos enfants, notre santé à tous. Peut-on rester sans rien dire, sans faire ? Je ne suis qu'un maillon, d'aucun dirait "lanceur d'alerte", bien modeste dans la lignée de LC Vincent, Pierre Lance ("savants maudits, chercheurs exclus"), André Fougerousse ... Par contre peu de scientifiques de nos jours arrivent à la cheville d'Antoine Béchamp. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 10:25
Bernard Guennebaud
Il ne faudrait pas oublier ce que Jules Tissot a écrit sur les travaux de Béchamp dans son ouvrage de 1946 sur la constitution des organismes animaux et végétaux avec 70 planches de photos. Page 192 : « les cellules sont-elles le fait de l'activité des microzymas, c'est à dire construites par eux ? C'est une affirmation gratuite de Béchamp. Dans toute cellule il y a des granulations ; il en a conclu que ce sont des microzymas. C'était une erreur. Altman a vu également dans les cellules des granulations et, en plus, des éléments allongés en bâtonnets ; il en a conclu que les granulations étaient bien les microzymas de Béchamp. Il a donc commis la même erreur d'observation que celui-ci et voici pourquoi : Béchamp a appelé indifféremment microzymas les granulations libres et mobiles qu'on observe dans le sang, le lait et tous les liquides organiques, et aussi bien celles qu'il remarquait dans les cellules ; il a cru qu'elles faisaient partie intégrante de la constitution de ces dernières, cela sans indiquer et sans savoir si elles y gardaient ou non leur mobilité et leur indépendance ; il a notamment omis d'indiquer ce qui prouvait leur qualité d'élément constructeur des cellules. Or dans toute cellule bien fixée et dont le cytoplasme est bien conservé, on ne remarque pas de granulations libres mais seulement le réseau cytoplasmique, avec ses haltères articulées entre-eux par leurs boules [1]. Les granulations que Béchamp et Altman ont vues dans les cellules sont donc les boules des organites haltères, dont l'existence a échappé à leur observation, c'est à dire les organites constructeurs du réseau cytoplasmique dans lequel ils sont totalement immobiles et rigoureusement fixes, état qui les distingue nettement des microzymas mobiles et doués du mouvement brownien. Le microzyma est un élément fermentatif, libre, mobile, doué du mouvement brownien tandis que l'organite haltère, constructeur des cellules, est un élément évolué, fixe, définitivement immobile quand il est articulé avec d'autres dans les réseaux cytoplasmiques et nucléaires. » [1] Il s'agit d'une découverte très fondamentale de Tissot. Il l'a obtenue grâce à une méthode originale de préparation des tissus à observer et ce après de longs tâtonnements. On peut voir ici une photo prise par Tissot qui montre ce réseau connexe d'haltères : http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2019/01/19/37029528.html - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 09:06
Brigitte Fau
Mais il faut se rendre à l'évidence GB, petit Bambou, ces articles sporadiques sont des études qui ne sont pas poursuivies par défaut de crédit recherche. Les chercheurs ne sont pas libres, ils sont dépendants des subventions qui leur sont attribuées. La mise en évidence de la structure "microbienne' des êtres vivants remet en cause l'économie pharmaceutique (et vaccinale en particulier). Parce que la santé est naturelle et le terrain ne se rétablit jamais aussi bien que de façon naturelle. La maladie n'est pas une fatalité, c'est l'expression de son déséquilibre. Mais qui cela intéresse-t'il financièrement ? Continuons à faire connaître cette réalité, des chercheurs et des mécènes doivent se retrouver pour faire aller de l'avant la science en la libérant de cet enfermement. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
12/03/2019 00:18
Brigitte Fau
Wouah ! Merc GB, j'ai trouvé l'article en question : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0968432813001017?via%3Dihub Il y est question d'auto-assemblage d'ADN à partir de fragments libérés par des "granules" (microzymas de Béchamp) du vitellus. Les auteurs suggèrent même la construction d'une nouvelle théorie génétique. En 1954 Olga Lepeshinskaya a insisté sur le fait que ces minuscules particules pourraient s'assembler en nouvelles cellules. Cette publication date de 2013 et est peut-être suivie d'autres études intéressantes en Corée. Qu'attend-t'on pour s'y intéresser en France ? On est encore très loin de toutes les découvertes de Béchamp qui a suivi toute la constitution de l'organisme depuis la formation de l'oeuf. Il est question d'une spécification progressive des microzymas au fil de la croissance. Ils acquièrent les fonctions spécifiques des centres dans lesquels ils se retrouvent. Il constate la formation des cellules à partir des microzymas et vérifient que leur destruction fournit des microzymas (qui les ont constituées) et qui leur survivent. Il constate leur évolution en bactéries diverses lorsque le milieu est modifié... Lire ses travaux n'a rien de rétrograde et ne peut qu'aider à avancer en utilisant des moyens modernes. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 23:01
Petit bambou
Merci Brigitte, pour votre article... Il y beaucoup de publications sur les nanobactéries... et leur rôle dans tout un cortège de pathologies diverses.... Ne pourraient-elles pas commencer à répondre aux questions posées...?... et c'est des travaux 'relativement' récents (quelques 20 dernières années) et nombre de publications.... (warning si cela vous inspirait, GB... pour une recherche par mot-clef : 2 orthographes nanobacteria et nanNobacteria). Peut-être, Brigitte, que ce n'est pas du tout de cela qu'il s'agit... mais ça mériterait cependant d'être commenté....? Pasteur n'a peut-être pas bloqué la recherche sur un seul et unique chemin : ces sacrés chercheurs auraient donc continué à travailler hors des sentiers battus.... voilà qui ne m'étonne pas d'eux, les coquins 😀 ..... ouf ! - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 22:04
GB
Chère Brigitte, comme promis je suis allé faire la petite recherche sur les travaux de Béchamp sur Pubmed, cette base de données d’articles scientifiques que nous utilisons quotidiennement. J’ai fait une recherche simple, associant le nom de Bechamp et le terme microzymas. J’ai pu trouver quelques articles dont voici les plus intéressants : En 1972, une série de deux articles retrace la découverte des microbes vue selon les deux écoles : celle de Pasteur et celle de Béchamp. Ces articles, écrits par P.Decourt, titrent « La découverte des maladies microbiennes. Béchamp et Pasteur (et « Suite ») et sont accessibles en entrant le code 1162677 pour le premier et 11633760 pour le second sur Pubmed. Plus proche de nous, les chercheurs se sont intéressés aux théories de Béchamp à nouveau Pas plus tard que 2015, cet article sur la tuberculose multirésistante termine son titre par « en apprenant du débat Pasteur-Béchamp » (Article identifiant pubmed : 26219693). Alors qu’en 2013, des chercheurs Coréens faisaient le parallèle entre les théories de Béchamp et celles de Bong Han Kim via Olga Lepeshinskaya, un microbiologiste historique coréen, dans un article traitant d’autoassemblage de particules d’ADN dans le sac vitellin (Pubmed identifiant : 23916568). Je pense que ces articles vous intéresseront tout particulièrement. Si jamais l’un d’entre eux s’avérait difficile d’accès, je dispose d’abonnements qui peuvent me permettre de vous les fournir. En vous souhaitant une excellente soirée - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 21:50
Dr Vincent Reliquet
Chiche?? - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 21:41
GB
Chère Brigitte, La littérature scientifique se construit par contradictions successives. Plus grosse est la contradiction, et plus l'acceptation en est difficile, nous sommes bien d'accord. Mais là où nos avis divergent, c'est que justement, démonter qu'un vieux dogme est faux, c'est s'assurer une forme de pérennité dans l'histoire, l'assurance de laisser son nom. Je ferais la recherche sur les travaux qui s'appuient sur le papier de votre chercheur, je ne l'ai pas encore fait mais je ne peux imaginer que personne n'ait tenté de reproduire ses travaux. Pour le reste, des "bidouilles de boîtes de Pétri avec un peu d'acide et de base" c'est un peu dépassé en termes de manipulation de souches bactériennes 😉 On fait beaucoup mieux de nos jours - L'innocuité du Gardasil : les falsifications dévoilées
11/03/2019 11:37
njama
(suite) et donc puisque les infections HPV ne seraient que des co-facteurs qui n'accompagnent qu'un certain nombre de cancers cervicaux, comme l'attestent à petite échelle les travaux de Eva Ramón Gallegos (dont les compétences excellent dans le domaine https://en.wikipedia.org/wiki/Eva_Ram%C3%B3n_Gallegos ) l’imposture intellectuelle est manifestement de prétendre qu’elles en seraient la cause " à 99 % " selon la page de l’OMS citée. En restant dans le petit monde des virus et de l’histoire de la médecine il y a eu un précédent assez analogue à ce genre de "boniment statistique" facilement contredit par le Dr Peter Duesberg grand contradicteur de la thèse officielle du SIDA depuis son origine : " Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n’ont-elles jamais été infectées par le VIH ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé ? " propos que l’on pourrait pasticher en : " Si le HPV est la cause du cancer du col de l’utérus , pourquoi des milliers de victimes de lésions et cancers cervicaux n’ont-elles jamais été infectées par le HPV ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers, dizaines, centaines (?) de millions de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le HPV, sont-elles demeurées en parfaite santé ? " - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 11:02
Evelyne
Bravo Brigitte Il faut savoir regarder la réalité et le scandale des vaccins devrait éclater au grand jour - Vaccinations obligatoires 2018, c'est bientôt fini?
11/03/2019 10:56
amandine
La vaccination est certes un moyen de protection individuelle contre plusieurs risques biologiques mais ne se substitue pas à la prévention technique collective (méthodes de désinfection et de décontamination, d’élimination des déchets, lavage des mains..), ni ne dispense du port des équipements de protection individuelle nécessaires (gants, masques, blouses…) : http://www.officiel-prevention.com/sante-hygiene-medecine-du-travail-sst/service-de-sante-au-travail-reglementations/detail_dossier_CHSCT.php?rub=37&ssrub=151&dossid=195 - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 10:40
Brigitte Fau
Je précise également, à propos du microbiome buccal. Ce ne sont pas seulement des bactéries, il y a surtout des microzymas constituant tout organisme végétal ou animal, et en effet certains sont apportés par les aliments mais pas seulement ; Béchamp a fait l'analyse des différentes glandes salivaires : il en a isolé des microzymas spécifiques de chaque glande. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 10:24
Brigitte Fau
En effet, il ne faut pas sous-estimer le travail des chercheurs et leurs avancées. J'ai beaucoup de respect pour eux. Mais il ne faut pas que nos scientifiques soient "susceptibles" ; ils ont avancé en ayant en tête des dogmes non démontrés qui ont influencé leur démarche. On a tous peur des microbes depuis l'enfance, on est enfermé dans ce concept. Relisez-bien ce que vous avez écrit : "il vous apparaît impossible ...". Béchamp disait de beaucoup de ceux qui ont trouvé les microzymas (Pasteur avait fini par les voir): "De là l’erreur de ceux qui, apercevant enfin les microzymas dans les tissus devenus malades, les prennent invariablement pour des parasites dont a fait des genres et des espèces…". Les scientifiques sont en train de constituer des bases génétiques des microbes, qui ne cessent de grandir, tellement ils sont nombreux. Espèces, genres ... Il ne vient à l'idée de personne de vérifier le polymorphisme microbien (parce que contraire à ces faux dogmes ancrés). Pourtant, il suffit d'ajouter sur boite de pétri une base, un acide .... et d'observer (en prenant le temps) et de comparer également les gènes pour voir s'ils évoluent (probablement). Que sais-je ?... Ne vous enfermez pas dans ces concepts non démontrés. Certaines études parlent également du microbiome hérité de la mère, il n'est pas seulement question de la bouche ou des bactéries passant la barrière intestinale. Mais ces conclusions et l'approche scientifique restent toujours enfermées dans des concepts faux, dont il faut se défaire. Ce n'est pas évident de prendre ce recul, mais nous ne sommes pas sur la bonne piste parce que nous n'avons pas pris le bon embranchement. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
11/03/2019 10:03
Hélène ALTHERR
Merci pour cet excellent article! Il faudra en rebaptiser des rues et des bâtiments quand tous auront compris le génie de Béchamp 😉 Hélène ALTHERR Pharmacienne (Hygiène de Vie, Nutrition) - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
10/03/2019 23:23
GB
Après chaque repas, il y a ce que l'on appelle une "translocation" de bactéries qui amène une présence de bactéries dans le sang. C'est tout à fait connu. De même, sans nos bactéries intestinales, nous manquons de plein de choses essentielles à la vie, et des déséquilibres du microbiote intestinal ont pu être associés à des maladies qui a priori n'ont rien à voir avec l'intestin c'est également enseigné dans nos facultés. Quand on se penche sur la génétique bactérienne et virale, on découvre que les génomes (l'ADN et/ou l'ARN de ces microbes) est connu, publié, avec ses variations, et ses limitations évolutives. Et il m'apparaît dès lors impossible qu'une bactérie d'une famille commensale (de notre microbiote "à nous", physiologique), se transforme en agent du tétanos, comme le prétend le docteur en chimie de la première référence de l'article dans sa lettre ouverte au premier ministre. Et l'autre point principal qui me gène, c'est qu'à la lecture de cet article, on pourrait croire que les connaissances en microbiologie et en vaccinologie actuelles se sont arrêtées aux travaux de Pasteur, ce qui est évidemment faux mais j'imagine bien que ça n'est qu'un problème de tournure et que l'auteure de ce billet n'a en rien voulu retirer leur mérite aux générations de microbiologistes et d'immunologistes qui ont fait progresser la science depuis Louis Pasteur, en remettant sans cesse en cause ses travaux et en montrant leurs limites avec des moyens de plus en plus performants. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
10/03/2019 22:17
CONNOIR Jean-Yves
Ca fait du bien de lire cet article. - Gardasil©, la catastrophe approche
10/03/2019 21:32
Nold
je trouve qu'une mamographie tous les 2 ans ne suffit pas, il faudrait & fois par an - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
10/03/2019 20:13
christian
Bravo pour cet article, on parle enfin d'Antoine Bechamp et de son génie si génant. il est très difficille pour les médecins, dont je fais partie, de se débarrasser du dogme pasteurien, il a beau être totalement faux, il fait partie de l'inconscient collectif des médecins de tous les pays (sauf des médecins traditionnels qui ne connaissent pas Pasteur), c'est quasi génétique, nous sommes nés avec ce dogme, on nous le raconte à l'école avec les règles d'hygiene, puis à l'université, à l'hopital, partout, partout, c'est la fake news number one. La médecine est à réécrire, en particuliers celle des maladies dites infectieuses. Je complète votre bibliogfraphie avec 2 ouvrages Les microzymas, la révolution en biologie, resumé des travaux de Bechamp par le Dr Alain Scohy, editoins de l'institut Paracelse. Pour en finir avec Pasteur du Dr Eric Ancelet, editions Resurgences. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
10/03/2019 19:48
njama
S'il y a une constante entre le temps de Pasteur et le notre c'est bien que les microbes, et virus par la suite, ont été et sont encore des parfaits boucs émissaires muets pour ne pas remettre en cause la misère sanitaire liée à nos sociétés, à nos modes de vie, de même que l'ordre établi qu'il soit moral, bourgeois, capitaliste, ou académique, d'où peut-être cette extrême résilience à ne pas en changer. Avec Pasteur on avait trouvé "les coupables" abstraction faite des conditions de vie, de travail, d'alimentation, d'hygiène... propre à son époque, exode rural, industrialisation massive, promiscuité urbaine, toxicomanie (alcoolisme, tabagisme), là où à l'inverse Béchamp disait le "terrain est tout". Le projecteur donc été dirigé en direction des agents pathogènes "microbes" ou supposés tels (virus ?) devenus fléau planétaire dans le fil de la mémoire des grandes épidémies pour indiquer vers quoi dirigeait les regards, vers ces ennemis désignés de la santé publique que la science se devait de combattre, comme saint Georges combattait le dragon. De l'hypothèse à la théorie, ... il suffit parfois de très peu Un effet d’annonce magique "Le 23 avril 1984, une conférence de presse convoquée par Margaret Heckler, secrétaire d’État chargée à la Santé sous la présidence de Ronald Reagan, annonce au monde entier subjugué que « la cause probable du sida a été trouvée ». Dans la foulée, un vaccin est promis pour 1986. L’événement prend la communauté médicale par surprise, d’autant qu’il n’y eut aucune publication scientifique préalable. La validité de cette découverte ne pourra de fait pas être vérifiée par des pairs comme il est d’usage dans la communauté scientifique. Du jamais vu : une conférence de presse va, pour la première fois, créer l’histoire des sciences. [.....] Que vient faire le qualificatif de « probable » dans une déclaration de conférence de presse concernant la cause tant attendue d’une maladie grave ? On pourrait penser à une erreur de traduction tant ce qualificatif semble incongru dans un tel contexte. Cependant, en visionnant l’enregistrement vidéo original de ce célébrissime événement médiatique, aucun doute n’est plus permis : c’est bien elle, Margaret Heckler, le brushing imperturbable sous le crépitement des flashs, qui annonce : « First, the probable cause of AIDS has been found. » (0'37) https://www.youtube.com/watch?v=k6zd3gdDKG8 [...] Après ce discours émouvant, Heckler s’efface pour laisser la place au héros du jour : le Pr Robert Gallo, qui, sûr de son effet face à l’enchevêtrement de micros, reproduisit pour les téléspectateurs du monde entier le miracle : « Gentlemen, we have found the cause of AIDS. » © NEXUS 79 mars-avril 2012 pages 19-20 http://www.nexus.fr/wp-content/uploads/2014/12/Sidagate_NX79_light.pdf