Commentaires du site

  • Levothyrox© nouvelle formule, aucun problème qu'ils disent
    20/01/2020 17:00
    Bernard Guennebaud
    AUX VICTIMES ET A LEURS AVOCATS Je voulais poster ce commentaire important en juin après la parution du rapport complet puis j’avais oublié … Dans cet article de février on ne disposait que d’un récapitulatif de résultats sans autres précisions. Ces résultats semblaient être en faveur de la nouvelle formule par rapport à l’ancienne, ce qui paraissait paradoxal vu le vécu d’un certain nombre de patients et l’affaire publique qui l’accompagna. Dans l’étude de l’Ansm les durées du suivi des patients pour les 2 formules étaient comptées entre la date d’achat de la formule en pharmacie en avril, mai ou juin, la date étant informatisée, et le 31 décembre de l’année en cours (2016 pour l’ancienne et 2017 pour la nouvelle). Il y avait le même nombre de cas dans les 2 groupes, 1 037 553 et chaque membre du groupe 2016 était apparié avec une personne du groupe 2017 ayant acheté la nouvelle formule le même jour à quelques exceptions près. Ainsi, les durées de suivis étaient les mêmes pour les 2 groupes, en moyenne 7,5 mois. Pour expliquer ce paradoxe je n’avais trouvé qu’une seule explication possible : les durées de suivis n’étaient pas les mêmes et étaient plus longues pour l’ancienne AF que pour la nouvelle NF. J’avais montré dans cet article qu’il suffisait d’écarts minimes, par exemple une semaine en plus pour la moyenne du groupe 2016 et une semaine en moins pour le groupe 2017 pour inverser des résultats. Au moment de la rédaction de cet article, je n’avais pas de preuve qu’il en était bien ainsi mais c’était la seule façon d’expliquer un tel paradoxe. Par la suite j’ai pu avoir ces preuves. Il y en a de 2 sortes : 1- En 2017, quand un patient était déjà sous lévothyrox, plus de 98 % des cas, il a acheté la NF pour la première fois alors qu’il disposait encore d’une réserve de l’ancienne pour tenir au moins une ou deux semaines tant il est important pour eux de ne jamais manquer de ce produit. Or c’est la date d’achat et non la date du début d’utilisation de la nouvelle formule qui a été pris en compte. C’est pratique pour les auteurs d’utiliser des données informatisées et cela leur permet de faire des études sur de très grands nombres sans quitter leur bureau pour aller sur le terrain en risquant de salir leurs bottes mais cela peut fausser complètement l’étude. 2- On savait qu’un certain nombre de personnes avaient abandonné la NF pour une autre formule entre août et octobre 2017. Le rapport complet indique 184 489 ce qui est énorme (17,8% et pour une durée réduite de plus de 2 mois au minimum) . Pour l’étude, ces personnes sont restées sous AF jusqu’au 31 décembre 2017 alors qu’elles étaient sous AF !!! Ainsi, dans les 2 situations, si on admet que la NF est plus nocive que l’AF, les effets indésirables moins fréquents avec l’AF bénéficieront à la NF. L’hypothèse que j’avais formulée est donc complètement confirmée et bien au-delà de ce que je pouvais osé imaginer au moment de la rédaction de cet article. Que les avocats des victimes en fassent bon usage !

  • Dernières nouvelles peu reluisantes concernant le ROR
    19/01/2020 22:36
    Surya
    C'est ça que vous cherchez ? https://www.aimsib.org/en/2020/01/19/latest-low-news-on-mmr/ Je trouve que le moteur de traduction automatique a du mal avec ce texte.

  • Dernières nouvelles peu reluisantes concernant le ROR
    19/01/2020 22:25
    Toto
    Bonjour, une version anglaise existe t elle, pour la partager plus facilement. Merci par avance

  • Des fortes doses de statines en prévention de l’infarctus et de l’AVC?
    19/01/2020 21:18
    LAFONT M
    Bonjour, Quelques remarques: il n'y a pas d'essai sauvage, c'est l'enregistrement sur ClinicalTirals.gov qui a foiré mais l'autorisation de l'ANSM et d'un CPP a été obtenu. ClinicalTrial;gov permet seulement de publier dans les revus internationales ( à ma connaissance.) Donc pas d'accusation précipitée cela desservirait votre travail. Les co-investigateurs signent un accord au protocole ( spécifiant qu'ils le respecteront ainsi que la législation et les BPC) mais ne valident pas l'hypothèse, c'est l'investigateur coordonnateur qui lui valide le protocole. La loi qui s'applique à la recherche impliquant la personne humaine est la loi Jardé et non la loi Huriet qui date de 1988 Cette affirmation : "En effet, la Loi Huriet (qui régit toute expérimentation humaine en France) dit qu’une étude n’est acceptable qu’à la condition que l’information qui en découle profite à tous les participants" est fausse et je n'est jamais trouvé rien de tel dans la législation.On ne peut préjuger des résultats d'une étude donc statuer à l'avance sur les bénéfices des résultats n'a pas de sens. Les CPP statuent ( bien ou mal ça c'est une autre histoire) sur l'objectif d'une étude , la pertinence scientifique du protocole mais pas sur un supposé caractère obligatoire d'un bénéfice pour les autres patients à partir de résultats ......qui arriveront plusieurs mois après. Merci de prendre ces critiques comme un encouragement à bien peser vos arguments afin de ne pas prêter le flancs au feu nourri de Big pharma et ses serviteurs

  • Dernières nouvelles peu reluisantes concernant le ROR
    19/01/2020 20:45
    Hannibal
    Pas sur le ROR mais si quelqu'un souhaite intervenir : https://www.youtube.com/watch?v=ir-viikH2MA

  • Dernières nouvelles peu reluisantes concernant le ROR
    19/01/2020 19:35
    Surya
    Il faut simplement "imprimer" la page web dans le navigateur vers une imprimante virtuelle pdf

  • Dernières nouvelles peu reluisantes concernant le ROR
    19/01/2020 19:10
    Marquis
    Bonjour, En vous remerciant des informations que vous transmettez. Serait-il possible de pouvoir disposer des articles sous le format PDF. Cela s'avère plus pratique pour les archiver. Avec mes remerciements pour votre réponse. Bonne semaine à vous tous. Bien à vous.

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    19/01/2020 19:07
    Hélène Banoun
    Réponse à Erwan : Pouvez-vous préciser votre remarque? Les chiffres que j'ai utilisés proviennent de l'OMS-Unicef et du gouvernement de Samoa et pour les dates où ils n'étaient pas publiés directement par ces organismes officiels par la grande presse internationale sérieuse : vous avez d'autres sources publiées que je n'aurais pas repérées? Si c'est le cas, je suis intéressée! D'où viendraient d'après vous les chiffres publiés par la presse internationale avant la campagne de vaccination si ce n'est de l'OMS ou du gouvernement de Samoa?

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    19/01/2020 15:19
    Erwan
    Bonjour, Apparemment les données retenues par l’auteur avant la campagne de vaccination ne sont pas vraies

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    19/01/2020 15:16
    Erwan
    On peut surtout en conclure que les systèmes de santé et l’incidence n’ont rien à voir au Congo, à Samoa et en France.

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    19/01/2020 14:56
    Hélène Banoun
    Réponse à Victor Niquel (le premier à avoir commenté sous ce nom sur cet article) Il y a certainement des explications plausibles biologiquement parlant pour expliquer ce que vous appelez "coïncidence", et certainement pas celle que vous proposez : pourquoi le virus deviendrait soudainement plus contagieux à partir du moment où on vaccine en masse la population? L'hypothèse soulevée par les experts officiels de la contamination par les visites à l'hôpital n'est pas à rejeter. On ne peut pas tout expliquer dans un seul article, mais l'explication biologique viendra plus tard : réfléchissez pour l'instant à la rencontre des 2 virus (le sauvage et le vaccinal) décalée dans le temps, le premier étant déjà en incubation depuis quelques jours! Comme vous le verrez également plus tard, ce phénomène s'est déjà produit avec une autre maladie virale, des articles sont en préparation également sur cette autre maladie (par un autre rédacteur que moi).

  • France 5 et sa conception de "la vérité sur les vaccins"
    19/01/2020 11:06
    Bernard Guennebaud
    Qu'il soit bientôt interdit de critiquer vaccins et vaccinations fait partie des choses possibles puisque notre Assemblée Nationale avait déjà voté cette interdiction en ...1966 !!! Oui, c'est un épisode qu'il faut connaitre dans la période que nous vivons actuellement : le député Fanton avait réussi à faire voter un amendement punissant d'un an de prison toute personne qui critiquerait vaccins et vaccinations, même en privé ! Oui, oui, même en privé !!! On imagine l'usage qui aurait pu en être fait en cas de divorce par exemple ou pour régler ses comptes avec un collègue ou un ami ... La Ligue, abonnée au JO, découvre aussitôt l'affaire et alerte la Ligue des droits de l'Homme qui agira pour dissuader le Sénat de voter cet amendement. De retour à l'Assemblée, celle-ci le rejettera en précisant que bien qu'une telle disposition pouvait se concevoir pour les vaccinations, notre Assemblée l'avait votée un peu rapidement. A l'époque, le fruit n'était pas mur, il mûrit aujourd'hui... Mais il ne faut pas se désespérer pour autant car il restera la critique de la méthodologie et là il existe des arguments en or massif comme le montre de façon non exhaustive mon article de nov 2019 sur les incidents de vaccination qui n'existaient même pas. La loi ne peut pas interdire d'expliquer pourquoi le test dit "cas-témoins" ne permet pas de tester correctement sur des fenêtres temporelles ni de faire constater que l'expertise ne connait que le cas-témoins pour cela et qu'il faut donc qu'elle fasse sa révolution. C'est quand les caisses sont vides qu'on fouille les tiroirs et qu'on y trouve des trésors. Peut-être faudra-t-il cette interdiction légale ou impossibilité de fait pour que la critique du système médical et des vaccinations trouve un second souffle en se plaçant plus en amont.

  • France 5 et sa conception de "la vérité sur les vaccins"
    18/01/2020 15:49
    Emilio
    3 articles rétrospectifs au sujet de cette loi Avia réduisant la liberté d'expression sur internet, qui revient lundi devant l'assemblée nationale. Etant donné la nature et la teneur des pseudo-débats sur les vaccins (qui dérivent immédiatement sur des propos virulents), étant donné l'hystérie créée et entretenue par certains trolls sur les réseaux sociaux comme twitter, on peut parier que le seul propos officiel qui sera bientôt admis sur les vaccins sera la doxa officielle, rabâchée par la propagande obligationniste "haineuse" (envers les droits fondamentaux des citoyens) comme celle de l'émission de Marina Carrère d'Encausse et de son acolyte. On peut aussi craindre un déréférencement massif de certains sites sur les vaccins par Google. 1 - « Le doute bénéficierait à la censure » : la loi sur la cyberhaine se fait recadrer par le CNNum (mars 2019) https://www.numerama.com/politique/474958-le-doute-beneficierait-a-la-censure-la-loi-sur-la-cyberhaine-se-fait-recadrer-par-le-cnnum.html 2 - Délai trop court, absence du juge, définition floue : la loi contre la haine sur Internet alarme (juillet 2019) https://www.numerama.com/politique/530799-delai-trop-court-absence-du-juge-definition-floue-la-loi-contre-la-haine-sur-internet-alarme.html 3 - Haine en ligne : la disposition la plus controversée de la loi Avia fait son retour (17 janvier 2020) https://www.numerama.com/politique/600147-haine-en-ligne-la-disposition-la-plus-controversee-de-la-loi-avia-fait-son-retour.html

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    18/01/2020 15:44
    Victor Niquel
    Pardon pour mon commentaire tardif, je n'avais pas vu votre réponse Emma. Par contre, je ne sais pas pourquoi quelqu'un répond avec mon nom, précisant que c'est un pseudonyme. Mon premier commentaire n'était pas bien formulé, je ne mets pas en doute du tout le pic, ni les chiffres que vous utilisez. Je trouve les hypothèses intéressantes, mais vu que le pic apparaît immédiatement le jour du début de la campagne,et pas dans un délai proche de 10jours, il n'y a plus grand chose à expliquer, ça ressemble juste à une coïncidence. L'hypothèse supplémentaire à ajouter déjà coûteuse en soit (ok pour rendre la pathogènécité plus importante avec les deux virus, mais pas modifier le délai d'incubation) est présente uniquement pour créer une causalité là où l'on a qu'une coïncidence. L'hypothèse qui me semble suffisamment simple est que l'épidémie augmente simplement de manière exponentielle du fait du caractère contagieux++ du virus. Qu'en pensez vous ?

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    18/01/2020 11:53
    Baudouin Caironi
    Je ne sais si le Docteur Reliquet et l’aimsib me permettront cette ultime contribution tirée de mon ouvrage Médecin Généraliste, un pléonasme belge, mais je pense que l’on ne peut comprendre tout ce qui s’est dit précédemment, sans en restituer l’historique : le Médecin Généraliste d’avant-guerre, omniscient, omnicompétent (pensons au Docteur Larcher de la célèbre série Un village français), qui, dans les faits, à disparu du paysage sanitaire français, au profit de spécialistes divers, qui, non contents d’être à la base d’un hospitalo-centrisme déshumanisé, technicisé, et commercial, ont essaimé dans les villes et les campagnes. « La médecine est un Art de Guérir qui comportera toujours des risques calculés, quelle que soit la décision prise. Même la prescription d’une vulgaire aspirine en cas de grippe peut avoir des conséquences dramatiques! Un ancien professeur de médecine disait très justement qu’un bon médecin doit aller se coucher, la peur au ventre : celle du lendemain face aux responsabilités écrasantes qui sont les siennes. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. La politique de renoncement et d’échelonnement qui caractérise actuellement la pratique d’un Généraliste rend peut être cette dernière moins périlleuse, mais peut-on considérer cela comme un acquis pour la profession? Une question qu’il faudrait poser à cette population grisonnante qui a apprécié jadis cet esculape, Médecin, Chirurgien, Accoucheur, sûr de lui, déterminé dans l’action, et qui est maintenant confrontée à cet échelonneur- sachant –et-osant- si- peu. Lorsque, un soir de garde, je me suis retrouvé dans un taudis devant une femme qui était en train d’accoucher sur une paillasse alors qu’elle n’avait jamais consulté un médecin durant toute sa grossesse, j’ai osé. Je l’ai transportée dare-dare vers la clinique la plus proche, sur la banquette arrière de ma pauvre Lada qui ne tenait pas la route et qui a manqué plusieurs fois de verser dans le fossé car il pleuvait et la route était très dangereuse. Sur le siège du passager, à ma droite, gesticulait le futur père, furieux de voir sa femme geindre, allant jusqu’à l’insulter. Les mains crispées sur le volant, j’assistais impuissant à ce drame de la vie. Par miracle, nous sommes arrivés sains et saufs. Lorsque je suis entré dans la maternité, j’ai agi, balayant d’un « bien sûr », dit droit dans les yeux, les hésitations de la nonnette - c’était l’époque où les maternités belges étaient encore peuplées de religieuses, dites nonnes ou nonnettes - et sage-femme de garde, déjà imprégnée de la gynécologie naissante (sic) qui m’a demandé benoîtement si c’est bien moi qui allait faire l’accouchement alors que celui-ci était déjà largement engagé et qu’aucun indice ne désignait une complication à venir? Sans blague ! Après avoir risqué dix fois ma peau sur une route sinueuse et pluvieuse, j’étais censé renoncer à mon titre de Docteur en Accouchements et devenir chauffeur de taxi ou ambulancier à la petite semaine au service de cet autre accoucheur d’un genre nouveau et au titre ronflant, se terminant par un suffixe redondant…Allons donc ! Heureusement, grâce à mon bon sens clinique et à la conviction sans faille qu’un accouchement est l’acte le plus naturel au monde, j’avais déjà mené à bon terme plusieurs délivrances dans cette même maternité et je commençais d’ailleurs à m’y faire une petite réputation. Cela se vérifiera plus tard lors de l’éviction des Généralistes accoucheurs (sic) de cette maternité par le gynécologue accoucheur (sic), appuyé pas le médecin chef, un orthopédiste (…), et les managers (sic) de l’entreprise hospitalière (sic) : je ne figurais pas sur leur liste noire, étant même autorisé, sous certaines conditions à poursuivre mes activités d’accoucheur d’occasion. J’ai dit adieu à ces deux spécialistes dont le parcours professionnel sera jalonné de nombreux contentieux, et confié mes parturientes au Docteur D. qui, depuis de nombreuses années, les accouche à domicile ou dans des maternités amies. Je me targue bien volontiers le jour d’aujourd’hui d’avoir en clientèle des centaines de femmes et d’enfants en attente de découvrir la gynécologie et la pédiatrie... C’est donc, salué cornette bien basse par ma religieuse, que j’ai pénétré avec ma parturiente et son mari dans le saint des saints : la salle d’accouchement. L’épisiotomie que j’ai effectuée de routine s’est avérée bien inutile car l’enfant était malingre et la délivrance a été des plus faciles. J’ai gardé de cette aventure un sentiment du devoir accompli, hélas teinté d’amertume car le nouveau-né, bien que venu au monde en relative bonne santé, a été très vite victime de maltraitance par ses parents qui se sont vus retirer la garde de l’enfant…Grandeur et décadence de l’Art de Guérir. Cherchez la science… »

  • IPP au long cours, la prescription de tous les dangers
    18/01/2020 09:58
    Dr Vincent Reliquet
    Bonjour, Votre histoire clinique est hélas intéressante mais que sur le plan de la pharmacovigilance à apporter aux IPP. Vous et votre médecin traitant devriez en faire une déclaration d'effets secondaires ici; https://www.ansm.sante.fr/Declarer-un-effet-indesirable/Votre-declaration-concerne-un-medicament/Votre-declaration-concerne-un-medicament/(offset)/0 Tenez-nous au courant, bon courage.

  • IPP au long cours, la prescription de tous les dangers
    17/01/2020 22:23
    Elisa V
    Bonjour, Merci beaucoup pour cet article, et également de tenir tête à vos collègues. À votre avis, est-il possible qu'une prise d'IPP sur plusieurs années entraîne une achlorhydrie ou hypochlorhydrie irréversible ? Ou du moins qui ne renverse pas automatiquement après l'arrêt de l'IPP ? Mon médecin traitant m'a prescrit de l'Inipomp (pantoprazole, alors que l'oméprazole était déjà génériqué) lorsque j'avais 17 ans et j'ai utilisé ce médicament, d'abord quotidiennement pendant plusieurs années puis ponctuellement seulement, pendant environ 6 ans. J'ai arrêté complétement ce médicament il y a 8 ans. Aujourd'hui à la recherche de la source de mes problèmes de santé, il me semble que je souffre d'achlorhydrie ou d'hypochlorhydrie (soulagement apporté par la prise de vinaigre ou de Betaïne HCl pendant les repas). Cela peut-il être lié à la prise d'IPP il y a plusieurs années ? Merci d'avance pour l'attention que vous porterez à ma question et bien cordialement, Elisa

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    17/01/2020 19:49
    Brigitte Fau
    Akira, on peut toujours trouver des raisons "médicales" à prévenir des risques qui n'en sont peut être pas. Le seul fait d'effectuer un contrôle du liquide amniotique, tend à provoquer l'accouchement qui n'étant arriver à "son" terme (je dirais à maturité), est alors plus long et difficile (encore du vécu, il y a 40 ans, pourtant)

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    17/01/2020 18:18
    Brigitte Fau
    Evidence ! et pourtant on continue à rester sur des positions dogmatiques sans que la science ne se remette en question. On ajoute au flou un peu de poudre (d'alu, pourquoi pas), c'est sans fin.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    17/01/2020 15:59
    Brigitte Fau
    njama est donc un homme ! Mon dernier accouchement, n'aurait peut-être pas eu lieu par césarienne, si la ceinture imposée pour le monitoring n'avait empêché le bébé (qui se présentait par le siège) de se retourner alors qu'il le tentait dans la dernière phase, je l'ai senti, il a fait 1/4 de tour et bloqué par la ceinture a repris sa position précédente. Mais je suis responsable (par méconnaissance de la santé, à l'époque) : mon utérus était fatigué, le muscle était usé (constat dès la première échographie) à cause d'un terrain dégénéré.

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    17/01/2020 15:42
    hub37
    Oui, simplistissime, je me décarcasse ''pour accabler le seul adjuvant'', ce pauvre mal-aimé d’aluminium [neurotoxique majeur (bien pire que le mercure)]. En effet, la prétendue nécessité d'un ''adjuvant'' infirme la ''théorie'' (invérifiée car juteuse à 95 %) de la protection immunitaire MÉDICÂTRE : sans lui, ''un tel vaccin sans adjuvant ne vaccine plus''. cqfd.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    17/01/2020 13:11
    njama
    Le terme de la grossesse est plus en plus "considéré" comme un risque s'il est dépassé, et c'est ici que la médecine prend aujourd'hui indûment le dessus sur la nature. Pour son premier accouchement en 1983 mon épouse a accouché "10 jours" après terme à partir duquel il fallait se rendre à la maternité pour une petite séance de monitoring (je vous dis pas mon expérience de porteur de valise !). Le (gros) bébé était en siège et il a fait de lui-même une surprenante pirouette pendant la nuit, quelques heures seulement avant l'accouchement pour se retrouver bien positionné. Résultat une petite princesse de 3,9 kgs. Actuellement il y a de fortes chances qu'elle aurait subi d'office une césarienne, présentation en siège + macrosomie + pelvimétrie limite + terme atteint feraient beaucoup pour la justifier et court-circuiter la nature.

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    17/01/2020 12:09
    hub37
    Oui, la vaccinations ne se discute pas (''MST'', ministre de la santé).

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    17/01/2020 09:24
    njama
    "De l'exception à la banalisation... En France le taux de césariennes était d'environ 3-4 % en 1965, pour atteindre 20,1 % en 2003(...) Les principaux facteurs de cette évolution ne sont pas biologiques : (...) Les facteurs essentiels sont de nature sociologique et démographique. Michel Odent dans sa remarquable réflexion sur les Césariennes (2), estime que le facteur essentiel expliquant les différences nationales est le sens du rapport du nombre de gynécologues accoucheurs à celui des sages-femmes, l’excès de gynécologues favorisant un taux élevé de césariennes et l’inverse favorisant un taux plus élevé d’accouchements par voie basse." 2) Odent M. Césariennes : questions, effets, enjeux. Alerte face à la banalisation. Editions Le souffle d’or, 2005. https://www.cesarine.org/avant/racinet_reflexions_evolution.pdf Le taux de césariennes tourne autour de 35 % aux USA (I), et atteint même les 40 % dans certains pays !!! (II) (I) http://www.pediatre-online.fr/accouchement/record-de-cesariennes-aux-etats-unis/ (II) https://www.cesarine.org/avant/etat_des_lieux.php Cercle vicieux dans les pratiques puisque les utérus cicatriciels sont un motif de générer assez systématiquement d'autres césariennes pour les grossesses suivantes. "parmi les femmes ayant un antécédent de césarienne, en 2010, 36% ont accouché par voie basse et 64% ont accouché par césarienne." (II) Les conséquences psychologiques tant sur la mère que sur l'enfant sont également banalisées, mais il est vrai que le sujet est vaste et qu'elles ne sont pas directement du ressort de la médecine.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    16/01/2020 21:58
    Baudouin Caironi
    Je ne sais si le modérateur me permettra d’ajouter ce qui suit, car le volume de mes interventions risque d’excéder celui de l’article du Docteur Vercoustre que je félicite au passage pour la pertinence de ses réflexions, mais on ne peut terminer cette discussion sans aborder le problème de l’apparition tout à fait incongrue et arbitraire des « spécialités » - et leurs suffixes redondants - dans le paysage médical de la moitié du dix-neuvième siècle, ce qui on conduit la Médecine générale dans l’impasse où elle se trouve. La disparition de cette médecine de terrain est intimement liée à un glissement dangereux de la pensée médicale, de la synthèse humaniste vers l’analyse cartésienne dépersonnalisée. L’omniprésence de l’industrie du médicament, phénomène tout à fait récent dans l’histoire de la médecine, a accru sensiblement la déshumanisation du monde médical, transformant celui-ci en marché. Les hôpitaux ont suivi cette tendance mercantile et se sont mués en entreprises, parachevant ainsi une œuvre contre nature et improductive, susceptible d’inspirer moult excès et dérapages dans le chef de l’esculape moderne. Jusqu’au milieu du siècle dernier, la délivrance, hautement naturelle, se déroulait le plus souvent à domicile grâce au Médecin Généraliste - c’est un pléonasme- et surtout grâce aux Sages-femmes ! En l’espace de quelques décennies et de manière totalement arbitraire, l’accouchement est devenu une opération médicalisée, spécialisée, intra-hospitalière – et médiatisée. Où se situe la différence - qualitative – entre un accouchement effectué par un Médecin Généraliste correctement formé et celui effectué par un spécialiste ? Moi qui ai vu les prouesses des accoucheurs d’antan, grands cliniciens humanistes devant l’éternel, je suis effaré par ce que viennent me raconter de nombreuses femmes, victimes d’accouchement-catastrophe dans les hôpitaux. Revenons aux césariennes qui sont au cœur du débat et je me réfère à nouveau à un passage de mon essai Médecin Généraliste, un pléonasme belge. Je me suis inspiré de l’article de Mélody De Visscher : Stop aux césariennes programmées, paru dans Bien Naître (source Internet) : « STOP AUX CESARIENNES PROGRAMMEES ! C’est le cri du cœur que lancent de nombreuses femmes qui ont vécu dans leur chair un accouchement par le haut, doux euphémisme pour expliquer au néophyte que l’on a incisé l’abdomen et la matrice pour en extirper l’enfant…. De nombreux professionnels de la santé s’émeuvent à juste titre de l’augmentation médicalement injustifiée du nombre de césariennes en Belgique qui aurait doublé (plusieurs dizaines de mille…) en l’espace d’une vingtaine d’années. Il s’agit en l’occurrence de césariennes dites de confort, programmées par exemple en fonction des activités professionnelles de la future maman ou des vacances de l’accoucheur ! Le fait que l’accouchement soit devenu instrumentalisé par des esculapes s’étant autoproclamés Césars de la population féminine en âge de procréer, a bien sûr contribué à ce qu’on peut raisonnablement appeler une dérive dangereuse dans le chef du corps médical belge. Hypermédicaliser l’accouchement, au moyen du monitoring en continu, du déclenchement artificiel et prématuré par des médicaments, et de l’épidurale parce qu’on se refuse à utiliser la ventouse et le forceps, est devenu in pour ne pas dire BCBG, mais contribue à une augmentation non négligeable d’accidents – et de césariennes sous anesthésie générale, non programmées celles-là… » Osons regarder la vérité en face : nous ne devons pas à la spécialité de la femme et à l’hypermédicalisation hypermédiatisée des accouchements d’être aujourd’hui plusieurs milliards d’individus sur terre ! L’obstétrique belge, emportée par son élitisme infatué et la technologie qui va avec, a tout simplement omis un point de détail de l’histoire de l’humanité et de sa médecine : l’ACCOUCHEMENT EST UN PROCESSUS PHYSIOLOGIQUE NATUREL ET LA CESARIENNE UN GESTE MEDICAL D’EXCEPTION ET DE SAUVETAGE qui comporte des risques et des complications. Des risques pour le bébé tout d’abord : l’immaturité pulmonaire du bébé entraînerait plus tard, chez l’enfant, des maladies respiratoires, de l’asthme notamment ; la perturbation de la flore intestinale du nouveau-né qui n’a pas été en contact avec les germes amicaux (provenant du vagin et de l’anus de la mère) présents lors d’une naissance par voie basse, serait à la base de troubles immunitaires non négligeables dans l’enfance ; l’absence d’un allaitement maternel précoce, la mère étant en salle de réveil, va priver le bébé du colostrum qui précède la sécrétion lactée véritable mais qui est riche en anticorps adaptés au niveau-né. En fait, c’est tout un système hormonal d’une finesse inouïe car voulu par Mère Nature, qui est court-circuité par la césarienne. Le lait maternel d’une femme qui accouche normalement, par voie basse, contient des endorphines (sécrétées pour atténuer la douleur) et de l’ocytocine (pour favoriser les contractions de la matrice et le réflexe d’éjaculation du lait) qui font cruellement défaut à la femme césarisée – et surtout à son petit César, qui présenterait des troubles de l’homéostasie (taux de glucose trop bas, perturbation de la pression artérielle et de la glande thyroïde, déficit immunitaire, etc.). Cette phrase utilisée sciemment au conditionnel mériterait qu’on s’y attarde lorsque l’on considère l’obstétrique non plus comme un Art mais comme une science, voire une technique… Et la maman dans tout cela ? Elle devient non pas une accouchée mais une opérée, certes délivrée…Mais à quel prix ? A-t-elle le sentiment d’avoir rempli son rôle naturel de femme et de mère ? Comment vit-elle le souvenir de l’épidurale, de l’anesthésie, de son réveil, des douleurs et des soins postopératoires, de l’absence de son bébé tout de suite après l’accouchement ? Bon nombre de ces réponses restent en souffrance, hélas. Il devient en effet urgent de dire STOP aux accouchements artificiels.

  • Statines et douleurs musculaires : qui désinforme qui ? partie 2
    16/01/2020 21:17
    Lucien Spinner
    Bonjour, j'ai lu avec beaucoup d'attention le sujet sur les statines. J'ai 63 ans et fait 3 infarctus, 2 phlébites, un abolis pulmonaire , et un cancer du colon il y a 2ans. Mes infarctus je les ai fais dans les années 90. Je suis sous médicaments: Kardegic 75 mg, tahor40, remplacé par atorvastatic 40 mg, nebivolol 5 mg, et de l'esomeprazole 20 mg pour remonter gastrique. C'est vrai qu'avec le temps les douleurs musculaires se font sentir, mal aux jambes crampes, mal aux hanches, douleur au plexus. J'ai également fait des crampes au-niveau du coeur, qui m'ont conduit en urgence a l'hôpital, soupçonnant un infarctus. Après avoir lu tous les témoignages, je vous pose la question. Que dois je garder comme médicaments. Si cela ne sert a rien a part aggraver l'etat de santé, je suis prêt a arrêter tout de suite afin de retrouver la motricité, surtout que ces derniers temps je constate en plus des mots de tête, assez rapproché, des pertes de mémoire, et bien sur perte de moral, fatigue, qui empêche de vivre la vie comme il se doit. J'aimerais connaître votre opinion, ainsi que vos conseils. En vous remerciant par avance.

  • France 5 et sa conception de "la vérité sur les vaccins"
    16/01/2020 19:23
    hub37
    @ Magali le 2.1 à 14:25, Pour votre 2e fille. Je ne suis aucunement médecin et donc le mot INFLAMMATOIRE déclenche immédiatement chez moi le réflexe ''acide GAMMALINOLÉNIQUE''. Les médecins le traitent par le mépris (aucunement un médicament). Ils le traitent même d' "oméga.6" (ce qui le fait passer bêtement pour prétendument inflammatoire !) alors qu'il est d'abord TRI-INSATURÉ et que ces histoires d'omégas sont des foutaises pour égarer les simples consommateurs (qu'avons nous à faire du nom, d'ailleurs foutraque, de sa cascade enzymatique ? Il sert à nous cacher l'importance primordiale du NOMBRE D’INSATURATIONS de l'acide gras ESSENTIEL en question (parmi seulement 3 possibles, l’acide linoléique, di-insaturé, et les 2 acides linoléNiques, tri-insaturés) : donc 2 ou 3 insaturations ? Quand la médecine ne trouve pas, il faut, nous, que nous soulèvions la chape de soumission de rigueur. C'est alors à nous de compenser sa difficulté à se tenir au courant (on le voit bien sur les vaccins…) L’acide gammalinolénique est le meilleur anti-inflammatoire naturel et sans aucun effet secondaire (à la différence des AINS artificiels). Vous pouvez l'essayer par l'huile bio de chanvre de première pression à froid (à garder au réfrigérateur) : elle en contient 3 %. Ration, 6 cuillerées à café de 4 ml par jour (en vinaigrette) pour un adulte de 75 kg (faites la règle de 3 avec le poids de votre petite fille). Son rapport di-insaturé sur tri-insaturés est optimal : trois. Irrité par la mauvaise volonté allopathique à son égard, j'ai essayé cette huile avec total sucès sur 2 abcès dentaires (en attendant le dentiste). Je continue sur ma DMLA (mon ophtalmo commence à être très satisfait de l'espacement de mes injections intravitréennes). J'ai un camarade, atteint d'une sorte de leucémie qui me dit que cette huile lui permet d'obtenir de son médecin une diminution de sa prescription de cortisone (il a des bilans très rigoureux et réguliers). Si l'effet était insuffisant, vous pourriez vous lancer, toujours pour la même raison et toujours sans risque (à la différence des médicaments récents pour lesquels nous servons de cobayes) dans l'huile d'onagre ou de bourrache, mais prévenez-moi auparavant car elles sont alors à mélanger avec des proportions précises de di-insaturées. À bientôt de vos nouvelles.

  • La Saint-Sylvestre 2019-2020 sera studieuse pour les membres de l'AIMSIB
    16/01/2020 17:14
    hub37
    Erratum à mon 31.12 à 20:11 (commentaire 1.1.1) : 3 lignes avant la fin, au lieu de « acides gras », lire « pluri-insaturés (type EPA ou DHA) »

  • Les voeux 2020 du Président de l'AIMSIB à ses membres
    16/01/2020 16:28
    hub37
    Cher Docteur, Toujours été de votre avis sur l'emploi de pseudos mais, ici, je pense aux toubibs exerçant encore. Le mien est bref, déjà ça. En plus, mon †Chef de Service Cgt de Centre de recherches m'appelait hub bien que simple technicien et de la sœur-ennemie Cfdt.  Je porte donc ces 3 lettres comme une décoration.

  • Les voeux 2020 du Président de l'AIMSIB à ses membres
    16/01/2020 15:59
    hub37
    Dans le tiers monde, les VACCINS sont d’abord de l’ASSASSINAT. Ne hurlons pas SVP : ils DÉCUPLENT la mortalité des bébés selon l’étude (très solide : sur carnets poids-vaccination) de Morgensen & al. [1] 2017. Expérimentation humaine obscène mais décisive, MM les apprentis sorciers. Aux USA (donc en occident), les vaccins MULTIPLIENT PAR 6,6 les maladies CÉRÉBRALES chroniques (3 grands groupes dont l’autisme) selon l’étude extraordinaire et imprenable de Mawson & al. [2] 2017 (: grâce à la pépite ahurissante de 231 non-vaccinés parmi 666 enfants de 6 à 12 ans, enseignés à domicile par leur maman dans 4 états américains). Là, c’est encore mieux du point de vue pharma : nous sommes entrés dans une époque où la santé publique est carrément percutée par eux pour augmenter encore leurs débouchés ultérieurs. Ce ne sont effectivement pas de simples bons vœux qui nous dfélivreront de tout cela. Ceci dit, une pincé de levain est dans la pâte Aimsib. Pétrissons, repétrissons. [1] Morgensen s w, Andersen a, Rodrigues a, Benn c s & Aaby p (soigneusement à la fin) - ''The Introduction ef Diphtheria-Tetanus-Pertussis and Oral Polio Vaccine Among Young Infants in an Urban African Community : A Natural Experiment'' -, EBioMedicine 17 (2017) : 192-8. [2] Mawson a r, Ray b d, Bhuiyan a & Jacob b - ‘’Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old US children'' - J Transl Sci, 3(3) : 1-12.

  • Les voeux 2020 du Président de l'AIMSIB à ses membres
    16/01/2020 12:52
    hub37
    Pas du tout, au contraire merci beaucoup. Mille excuses de vous avoir infligé cette lecture.  J’y gagne comme écrivait St-Ex. Énormément. J’abandonne en direction des allopathes (qui n’écoutent que leurs visiteurs médicaux et sont satisfaits de ne pas se tenir au courant). Je referai, ici, une tentative de lisibilité sur le sujet à la fois scandaleux et révélateur des vaccins. Nigari ? Ji counnis pas (parler goumier).  En revanche : # La bonne vieille delbiase (chlorure de MAGNÉSIUM) est à 7,90 écus les 48 comprimés de 100 mg de Mg (1,65 écu le g de Mg) ; # le ‘’Magnésium SiMa’’ (bisglycinate de Mg + un peu d’orthosilicate), 11,20 écus les 90 comprimés de 100 mg de Mg (1,24 écu le g de Mg).  Notre homéopathe en prescrit 1 comprimé/j à ma douce. # le viatique Delbet-Neveu, 2 % de chlorure anhydre, contient 5,1 mg Mg/ml.  Une cuillerée à soupe en contient donc 100 mg de Mg. Si le sachet de 20g à 2 écus (COOP) est du chlorure anhydre (j’attends confirmation) cela nous amène à 0,41 écu par g de Mg (0,84 si c’était de l’hexahydraté). L’ennui avec le magnésium, c’est qu’il est impossible à doser dans le corps. La seule manière de repérer une carence (75 % des Français) et d’alterner mois-avec et mois-sans. Face-de-bouc me révulse. Pas de pitié pour qui ne paye pas ses impôts. L’un de vous l’a appelé Fakebook. Faut que je le retrouve, lui aussi, pour le féliciter. M’oblige au sectarisme.  Refuse obstinément (ce qui ménage ma tension) aussi d’ouvrir Gogol.  Si ce n’est pas sur Quant (et directement), préfère encore mourir idiot. Je déforme le nom de mes ennemis dans l’espoir incertain qu’ils puissent moins me repérer. Merci encore.

  • L'explication sur la thrombose qui va vous en boucher un coin
    15/01/2020 22:57
    hub37
    @ Beni 21.11 à 11:00 (commentaire 6.2.4) Merci du trésor que vous nous communiquez : 1) les pp 127 à 137 d’un livre inconnu d’après 1964 (mais admirablement écrit de la main de Neveu) montrant : le lancement du MgCl2 contre 2 maladies infectieuses, diphtérie et polio ; l’obstruction de l’académie de médecine (3 lettres de suivi par le Pr Delbet) ; le tir de barrage de l’Institut Pasteur dans la ‘’Gazette de Lausanne’’ en 1959 puis sa dérobade devant le jury d’honneur oganisé par La Vie Claire. Nom des 4 principales maladies animales guéries. 2) la brochure 58 pp « La polio guérie » de Neveu éd. La Vie Claire, Montreuil d’après mars 1963 préface dévouée de Mme Neveu. Partie I, articles dans la Vie Claire de 1957 à 1960, dont le rappel par Delbet 1944 de l’adéquation du MgCl2 (anhydre) à 1,21 % contre l'avitaminose, l'anaphylaxie, le dépérissement sénile et la cancérisation ; en 1937, guérisons de polios du chien ; 1943, 1re guérison humaine parue dans les Journées Thérapeutiques de Paris en 1947 à la demande du Pr Javilliers (chargé de la conférence inaugurale) ; posologies adultes, enfants et nourrissons ; 8 observations détaillées de guérisons polios ; conseil d’avoir toujours 1 litre de solution à 2 % à la maison. Attaque, cette fois nominative, de Neveu par l’Institut Pasteur dans ‘’La République du Centre’’; lettre 1958 de soutien du biologiste Jean Dessoutter membre de l’académie d’agriculture ; le Dr R. Fumeron (tombeur du tétanos) applique aussi la méthode Delbet-Neveu à la polio ; un confrère approuve, 2 refusent que soient mentionnées les guérisons qu’il ont constatées ; Partie II, 22 lettres de remerciement pour guérison dont 9 attestations (dont 2 d’un médecin) avec 2 observations détaillées. 3) la brochure 32 pp « Traitement cytophylactique des maladies infectieuses - LA POLIO » 1959, Dr A. Neveu, éd. Librairie Lefrançois, Paris, 8 observations très détaillées. 4) « Cytophylaxie » - P. Delbet, CR Acad Sci 5.7.1915 : 268-271 où il donne MgCl2 anhydre à 1,21 % pour les plaies et mentionne qu’il peut être injecté.

  • L'explication sur la thrombose qui va vous en boucher un coin
    15/01/2020 22:53
    hub37
    @ njama 29.11 à 12:05 et 30 à 19:35 (commentaire 6.1.4 et .6) Merci pour ces topos absolument magistraux sur les données physiologiques de la vitamine C.

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    15/01/2020 19:01
    hub37
    @ Akira le 7.1 à 20:29 (commentaire 15.1.10) Parfaitement et c’est ce que fit Kousmine (encore un médecin au grand cœur et donc victime d’ostracisme jusque dans Wikimerdia) pendant des années sur des souris dans sa cuisine à propos des lipides. Elle en tira 3 bouquins passionnants (1980, 1983, 1987), bien écrits et indispensables à tout le monde. @ Riboulours 9.1 à 20:26 (commentaire 15.1.24) mg = milligramme ; magnésium = Mg. Le Dr Vincent (c’est son article Aimsib/Pr Montagnier qui m’a branché sur le MgCl2) a raison. Deux choses supplémentaires ont changé depuis la période des découvreurs : 1) Les amplitudes (si grandes et si corrélées) déplétion-des-cancers et teneur-en-Mg-des-sols ont été nivelées par le fait que les aliments et les eaux VOYAGENT maintenant frénétiquement et loin. Ces 2 cartes (de France) dont la superposition nous a tous sidérés sont à conserver jalousement en lieu sûr car elles sont menacées de gommage sur Intermerde en raison du fait que le cancer rapporte un fric extraordinaire. Nous entrons même dans une époque de sabotage DÉLIBÉRÉ de la santé publique (ex. les 11 vaccins aluminés obligatoires) pour développer encore le le profit actuel des petits copains pharmas ; 2) le conformisme médical s’est encore accru à la suite de la débandade, du passage à l’ennemi (les empoisonneurs industriels) des élites, politiciens et médias (tous) : intéressés. Neveu faisait prendre sa ‘’médecine’’, sa ‘’science’’ (comme l’écrivaient les pauvres gens, qui se refilaient son truc pour leurs enfants et leurs bestiaux) À DOMICILE [dans le dos du Conseil de l’Ordre comme des calomnies (le visant sans oser le nommer) signées ‘’Un savant’’ par l’Institut Pasteur dans la ‘’République du Centre’’ et ‘’La Gazette de Lausanne’’]. Le pourrait-il encore ? À mon humble avis, oui. Je ne suis pas médecin mais je pense que des adhérents Aimsib pourraient essayer discrètement. Six € par jour (sur une durée souvent de 3 à 7 jours) pour tuer une quelconque des 20 maladies infectieuses énumérées sur Intercrotte. Courageux mais pas téméraire, ce dernier n’indique ni dates, ni noms de prescripteur, ni lieux. Tout est donc à confirmer puis à se refiler d’abord en interne avant de décider une revue courageuse (comme l’était La Vie Claire) à publier. Ceci dit, les observations, même les plus irréfutables, resteront carrément niées (elles le furent constamment) par les différents pouvoirs, ces malfrats. Errata à mon 7.1 à 18:22 (commentaire 15.1.18) : ligne 25, au lieu de « (oublié le terme médical) » lire « anaphylactique » ; ligne 26, au lieu de « antipolio » lire « antidiphtérique » ; ligne 27, au lieu de « polio », lire « diphtérie ». ligne 37, au lieu de « diphtérie », lire « polio ».

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    15/01/2020 17:43
    njama
    Non "mère et monde" ne faisait pas partie de ma culture éclectique, un vrai cabinet de curiosités, une bric-à-brac un peu quantique. Il fallait bien répondre quelque chose de structuré et de rassurant à un commentaire pas bienveillant que manipule la peur. Comme disait ma grand-mère à mon épouse, être enceinte c'est une bonne maladie !

  • Après 4 infarctus en moins de 5 ans, j'en suis à mon 3ième cardiologue
    15/01/2020 16:18
    Dr Vincent Reliquet
    Bonjour, Dites à votre ami qu'il se rende membre de notre association. Outre l'accès illimité à notre chaîne YouTube il bénéficiera des services de Christine qui pourra lui donner les coordonnées des médecins les plus proches de son domicile.

  • Après 4 infarctus en moins de 5 ans, j'en suis à mon 3ième cardiologue
    15/01/2020 16:06
    Isabelle
    Bonjour, J'ai un ami en Alsace qui a 20 de tension et j'aimerais bien pouvoir l'aider, mais je n'ai pas beaucoup de possibilités, car je souffre de la maladie de Lyme qui m'invalide beaucoup. J'ai cependant acheté le livre du docteur de Lorgeril "Prévenir l'infarctus et l'accident vasculaire cérébral" (ainsi que la nouvelle édition de poche du livre "Le nouveau régime méditerranéen"). Je vais essayer de faire une synthèse de tout cela. J'ai également fait un don de 20 euros à Quatre Cercle. Quelqu'un pourrait-il m'indiquer un médecin adepte de la méthode du docteur de Lorgeril ou sauriez-vous comment contacter celui-ci pour qu'il indique un médecin, si possible dans l'Est de la France? Grenoble n'est pas excessivement loin, mais je ne sais pas si le docteur de Lorgeril exerce encore. Meri beaucoup de me répondre.

  • Gardasil©, la catastrophe approche
    14/01/2020 17:03
    Surya
    beaucoup d'accidents vaccinaux après la deuxième et la troisième dose, alors arrêtez-vous là, ça ira bien.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    14/01/2020 15:52
    math78
    Quand je parlais de maisons de naissances en Belgique, mon fils est né dans celle-là 😉

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    14/01/2020 15:30
    Surya
    ce n'est pas un des lobbyistes de big pharma, c'est un généraliste idiot inutile qui s'est auto investi de la mission de débunker les antivax sur le net LOL

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    14/01/2020 14:14
    Hélène Banoun
    Enfin! Un des lobbyistes envoyés par Big Pharma confirme que l'article pose la bonne question : la courbe a été retracée et confirme bien celle de l'article et donc la flambée juste après le début de la campagne : regardez bien vite car ça va certainement être effacé!! https://www.facebook.com/aimsib.org/posts/2493576317624218?comment_id=2497375680577615&reply_comment_id=2503226776659172¬if_id=1578932792483881¬if_t=feed_comment_reply voici le lien pour cette courbe https://i.imgur.com/Lwn5G9X.jpg

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    14/01/2020 14:03
    Dr Vincent Reliquet
    Njama qui lit "mère et Monde", des cours sur l'accouchement, mais que ne lit-il pas...

  • Gardasil©, la catastrophe approche
    14/01/2020 13:58
    Dr Vincent Reliquet
    Le risque est surtout d'interrompre le risque d'effet indésirable grave! Bonne journée ++

  • Gardasil©, la catastrophe approche
    14/01/2020 11:36
    Lise
    Bonjour, je suis infirmière et me suis laissée convaincre par mon médecin généraliste et gynécologue... j'ai fait à ma fille la première injection de gardasil 9 et je lis vos messages....est-ce que je peux stopper sans injecter la 2ème dose? quels sont les risques? merci pour vos réponses éclairées.

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    14/01/2020 11:16
    Brigitte Fau
    Merci Beaucoup Emma. On comprend à quel point les choses ne sont pas si évidentes pour les scientifiques eux-mêmes.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    14/01/2020 11:16
    njama
    Une évolution du nombre de césariennes très inquiétante ! Césariennes: pratiques surprenantes Par Armelle Bohineust, le 30 septembre 2011 Moins une maternité est spécialisée dans les grossesses à risque et plus elle réalise de césariennes programmées (c'est-à-dire décidées à l'avance, pas en urgence lors de l'accouchement). Ces interventions ont été plus fréquentes dans les cliniques privées (9,4%) que dans les hôpitaux publics (6,6%), selon une étude de l'Assurance-maladie (Cnam) menée auprès de 565 hôpitaux publics et privés. Un constat inquiétant, car « les césariennes sont des interventions plus dangereuses pour la mère et l'enfant que l'accouchement par voie basse », souligne la Cnam. Autre surprise, le taux de naissances par césarienne programmée n'a rien de commun d'un département à l'autre. Il s'élève ainsi à 2,7 % dans les Landes et à 9,7 % dans la Loire. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/30/97001-20110930FILWWW00718-cesariennes-pratiques-surprenantes.php Césarienne : les cliniques privées en pratiquent davantage que les hôpitaux publics 15 septembre 2016 En France, 22,19 % des accouchements pratiqués dans les cliniques privées se font par césarienne, contre 19,40 % dans les maternités publiques, selon la Fédération hospitalière de France (FHF). 158 500 césariennes ont été réalisées entre octobre 2014 et septembre 2015 en France. Parmi elles, 50 % étaient programmées, 50 % ont été pratiquées en urgence. https://www.doctissimo.fr/grossesse/news/Cesarienne-secteur-public-secteur-prive

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    14/01/2020 11:07
    Brigitte Fau
    Merci beaucoup pour ce témoignage Baudouin. Nous avons besoin de savoir. La remarque très pertinente de Rafamatu qui remettait les choses à leur place en dissociant l'accouchement physiologique et accouchement pathologique ne solutionne pas le choix à faire quand on prend en compte le fait qu'un accouchement reste un acte risqué souvent par méconnaissance. C'est un acte physiologique (et bien plus sans aucun doute), en effet, et le respect de la physiologie ne commence pas à l'accouchement, ni même à la grossesse mais l'état du terrain de la mère et du père à la conception a son importance aussi. Nos comportements, nos stress, les dérives environnementales (pesticides, ondes électro-magnétiques...) sont des facteurs aggravant importants. La surmédicalisation de la grossesse n'est pas faite pour arranger les choses : dire que des médecins arrivent à recommander des vaccins même dans cette période, cela n'aurait même pas été pensable il y a quelques années. Le respect de la physiologie commence par le respect de notre santé et nous en sommes les premiers acteurs, même si tout est fait pour nous déresponsabiliser. Cela me fait penser immanquablement à René Quinton, qui avait ouvert des maisons pour que les femmes enceintes retrouvent un bon équilibre physiologique, qui leur permettait de mener leur grossesse à terme et d'accoucher avec plus dans de meilleures conditions physiologiques retrouvées.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    14/01/2020 10:58
    njama
    Lycaon Vous allez stresser les futures mamans avec votre commentaire, les sage-femmes savent quoi faire il me semble... Accouchement : Le cordon autour du cou, c’est dangereux? https://www.mereetmonde.com/blogue/accouchement-cordon-autour-cou-dangereux/

  • Flambée de rougeole aux Samoa, prévenez l'OMS et l'UNICEF
    14/01/2020 10:31
    Emma
    Réponse à Brigitte Fau Concernant la variabilité des génotypes dans une épidémie, il faudrait déjà que les virus soient génotypés, ce qui n'est pas toujours le cas. Lorsque le typage est effectué, on ne peut pas savoir combien de virus provenant d'individus humains différents sont typés et quelle sont les séquences exactes d'ARN retrouvées : ces résultats ne sont pas publiés. Dans un prélèvement en vue du typage, il y a plusieurs millions ou milliards de virus, donc impossible de savoir s'ils on tous la même séquence d'ARN, ce qui est très peu probable. Il est probable que dans les prélèvements récupérés en vue d'un typage, les virus soient encapsulés dans leur capside protéique car l'ARN étant instable il ne serait pas conservé dans le cas contraire, mais je n'affirme rien. La question de l'aspect "vivant" d'un virus est très intéressante et reste un sujet de controverse parmi les spécialistes : elle pose en effet la question de la définition de la notion de vie! Cette définition est en évolution permanente, comme la vie elle-même : on peut dire aujourd'hui qu'un organisme vivant est un système hors équilibre, non isolé, avec apport et dissipation constante d'énergie; cet organisme est capable de se nourrir et de se reproduire.

  • Plaidoyer pour un retour vers l'accouchement à domicile
    14/01/2020 09:38
    Baudouin Caironi
    A chacun son expérience sur le terrain et la mienne vaut ce qu'elle vaut mais en quarante ans de carrière, j'ai eu l'occasion de pratiquer et de côtoyer les deux versions de l'accouchement : naturel (à domicile) et médicalisé (à l'hôpital) : mon constat devient sans appel : l'accouchement à l'hôpital devient une aventure scabreuse pour de nombreuses parturientes...De nombreux facteurs entrent en ligne de compte pour essayer de comprendre cette dérive obstétricale lesquels sont loin d'être liés à la compétence de l'accoucheur lui-même et c'est heureux : le contexte commercial d'abord qui devient pregnant (sic) car les hôpitaux belges ont été mués en entreprises et sont soumises à la loi du marché (sic); le "malpractice" ensuite et l'épée de Damocles suspendue au dessus de l'accoucheur qui adopte une position défensive, donc de plus en plus technicisée. Mais ce qui est pour moi le plus dangereux pour une parturiente accouchant à l'hôpital est l'absence d'une situation one/one ou 1/1 : à domicile (ou dans une maison de naissance), la femme sur le point d'accoucher est suivie en permanence par le médecin généraliste accoucheur ou la sage-femme dès le travail jusqu'à l'accouchement. Dans les hôpitaux, l'on voit souvent une seule sage-femme s'occupant simultanément d'une dizaine de parturientes (cas vécu dans une clinique universitaire). Cherchez l'erreur, mais quand ça tourne mal....

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