Commentaires du site

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 20:28
    0'CONNOR
    pour ou contre, quel médecin généraliste voire chercheur a connaissance du déficit en G6PD ? déficit qui est une contre indication extrêmement importante à l'hydroxychloroquine ils sont tous là à se disputer sans meme connaitre le sujet à fond personne n'en parle et meme pas les labos alors messieurs et mesdames les toubibs avant de prendre position pour ou contre, étudiez votre sujet...

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 20:07
    Dr Vincent Reliquet
    Une autre déclinaison de ce que tu nous apprends sur ces pauvres Apaches cher Bernard, tu te souviens d'André Laignel à l'Assemblée Nationale en 1981? -" Vous avez juridiquement tort, parce que vous êtes politiquement minoritaire. » Cui qui gagne, c'est çui décide...

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 19:55
    Bernard Guennebaud
    Des historiens ont établi depuis longtemps que le Droit était une forme pacifiée de la loi du plus fort, l'Histoire étant le passé raconté par le vainqueur et le Droit l'épée sous laquelle le vaincu doit passer quand il n'a plus la possibilité de combattre. On pourrait illustrer par l'histoire devenue quasi symbolique des Amérindiens. Il fut même un temps pas si lointain où la Constitution américaine stipulait que les Indiens ("les seuls bons Indiens étant des Indiens morts" ...) n'étant pas des êtres humains ils ne pouvaient posséder des terres. Effectivement, on imagine difficilement des lapins se présentant chez le notaire pour signer un acte de propriété. Par exemple, quand le Mexique et les USA signèrent un accord en 1848 pour que l'Arizona et le Nouveau Mexique deviennent des territoires des USA, il fut stipulé que tous les habitants de ces contrées avaient été consultées. Tous sauf les lapins, les daims et les indiens ...Ainsi les Apaches se sont retrouvés sur des territoires à cheval sur les 2 Etats d'où ... quelques problèmes à suivre ... Quand on a la Force les situations incohérentes ne sont pas un problème. C'est la leçon du passé.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 19:40
    Hugh
    Encore une fois : bravo, Michel de souligner que les vaccins sont moins validés que la chloroquine !

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 19:08
    Dr. Pierre-Henri Bredontiot
    Lorgeril attaque l'hydroxychloroquine. Cependant, la forte baisse de la mortalité en Italie a coïncidé avec son introduction légale dans le traitement. C'est ce qu'explique le Dr Delépine dans son article paru dans France-Soir (qui a pris de nombreuses positions courageuses au cours de cet épisode, il faut le reconnaître). Il explique aussi la catastrophe que fut le confinement aveugle, dont il estime qu'il fut responsable de plusieurs milliers de morts. http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 18:24
    Debay Jocelyne
    j'ai fais toutes les maladies enfantines quand j'étais enfant, je n'en suis pas morte et ai été naturellement immunisée. On vaccine pour un oui ou un non, à se demander si l'intérêt n'est pas encore une fois le rapport financier. Je pense que chaque médecin qui connais ses patients soigne en son âme et conscience et je ne vois pas pourquoi l’État se permet d' interférer dans son travail et interdire des prescriptions. Je pense aussi que le patient à droit au chapitre. nous avons vu, pendant cette crise, plus d'un abus de pouvoir de la part des États !

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 18:22
    Richard Renaud
    La confiance est disparue chez le peuple car l'argent prime plus que la santé un jour L'Omission Mensonges S ...comme SS de la Santé et des pantins nommé facile à manipuler par une Oligarchie malsaine et diabolique. Je préfère un acupuncteur qu'à un injecteur payé avec seringues qui fait du chiffre mais pas de la médecine. J'appelle ca le Serment D'Hypocrites désormais. VF Richard Renaud

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 18:14
    jo
    très astucieuse et imparable démonstration . merci .a

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 18:11
    Hartgens Paule
    Très belle pensée logique! Bravo!????????

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 18:06
    Jean-Yves CONNOIR
    Merci pour cet article. OMS serait l'Organisme des Menteurs de la Santé? J'espère que ce n'est pas trop injurieux 🙂

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    07/06/2020 17:59
    mignot
    piste intéressante pour défendre le droit des parents à ne pas faire TOUS les vaccins ou du moins les aider dans leur démarche, leur réflexion et au final même si on doit vacciner, le faire avec moins de risques , en étalant le calendrier pour gagner du temps sur une éventuelle remise en question de cette loi, en tous cas on peut leur donner des arguments pour qu ils puissent se défendre face aux professionnels de la petite enfance ?? je reve peut etre..

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    07/06/2020 14:49
    Nicole Noël
    Merci Emma Kahnil s'agit bien de ce document,j'aurais peut-être eu du mal à le retrouver...Page 4 il est précisé que la population témoin est composée de diabétiques. L'étude a abouti au résultat:" pas d'argument en faveur d'un risque augmenté de problèmes de santé graves ..." Choisir comme témoin une population sujette aux complications c'était biaiser cette étude.Si un million de personnes ont changé de traitement(et ce n'est pas fini car l'ancienne formule va entièrement disparaître) ce n'était pas pour le plaisir!

  • Technologie 5G, évaluation sanitaire et civilisationnelle
    07/06/2020 14:46
    evelyne
    un des problèmes sanitaires des ondes électromagnétiques supplémentaires de la 5G, c’est qu’ elles vont voir multiplier ses usages et se rajouter à toutes celles déjà émises à la maison (wi-fi, multiplications des objets connectés, …) , avec des risques potentiels donc majorés par ces effets cumulatifs de « brouillard électromagnétique » pernicieux : La prévention des risques des champs électromagnétiques est prise en compte par les professionnels exposés : http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/rayonnements/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=126&dossid=338

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    07/06/2020 11:00
    Hélène Banoun
    https://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/7065c9d2946e0128a3231f56d5865471.pdf

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    06/06/2020 20:51
    Bernard Guennebaud
    Vous pouvez aller sur les archives des articles Aimsib juin 2019. Vous y trouverez un article sur le sujet avec le lien vers l'étude.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    06/06/2020 18:49
    Olive verte
    Nicole Noël : vous auriez les références de cette étude svp ? Ca m'intéresse.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    06/06/2020 15:43
    Nicole Noël
    Merci pour tous ces articles passionnants! L'allusion au Levothyrox et à ses statistiques désastreuses me permet de rappeler que la population soumise aux effets indésirables de la nouvelle formule, avait été comparée, statistiquement, à une population témoin bien choisie : les diabétiques ! Cela avait permis d'affirmer que les patients prenant du nouveau Levothyrox se portaient mieux que les diabétiques... Pour ma part j'avais multiplié mes consultations médicales par 5, sans être diabétique ! Ce que j'avais compris intuitivement est très bien expliqué dans cet article ; même moi j'ai, à peu près, compris !

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    05/06/2020 17:53
    Bernard Guennebaud
    En fait ce n'est pas seulement p différentes de p', c'est surtout que p et p' n'existent pas ! Ce qui règle complètement le problème de la comparaison de ces probabilités entre les 2 groupes complets. Au sein du groupe "petites tumeurs" par exemple le même problème pourrait aussi se présenter avec des cas très différents selon le grade et le stade de la maladie ce qui pourrait faire que même au sein de ce groupe la probabilité de guérison par les médicaments ne soit pas du tout la même et qu'ainsi la comparaison avec la chirurgie puisse être faussée. Imaginons que pour les petites tumeurs récentes les médicaments se montrent plus efficaces que la chirurgie et que sur les tumeurs plus anciennes ce soit l'inverse, alors le test sur les données globales "petites tumeurs" (la taille doit correspondre au grade je présume ?) ce soit la chirurgie qui l'emporte. On passerait à côté d'un fait intéressant. Soyons clairs (et modestes) le problème n'est pas ici ni dans la vidéo de régler le problème des cancers par rapport aux médicaments et la chirurgie mais d'illustrer une problématique statistique trop souvent oubliée et qui conduit à comparer des probabilités qui n'existent pas, ce qui crée le paradoxe de Simpson. La taille des échantillons joue un rôle pour orienter la comparaison dans un sens ou un autre mais son importance est au second ordre par rapport à la non existence des probabilités qu'on veut comparer. On peut avoir des problèmes même avec des échantillons tous de même taille. Exemple : 100 pièces françaises de 1€ donnent 30 piles et 100 de 2€ en donnent 70. 100 pièces allemandes de 1€ donnent 70 piles et 100 de 2€ en donnent 30. Le 200 pièces françaises donnent donc 100 piles de même que les allemandes. Conclusion : les pièces françaises et allemandes sont équilibrées et comparables !!! Vous voyez qu'il n'est pas nécessaire d'aller bien loin pour s'initier aux pièges de la statistique. Pour éviter les accidents d'avions les pilotes font énormément de simulateurs de vols. C'est ce qui manque aux épidémiologistes et assimilés. Ils pilotent depuis le sol un avion bourré de millions de passagers alors qu'ils ne savent pas lire les cadrans.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    05/06/2020 16:34
    Jucar
    Bonjour Bernard, le test compare effectivement des tumeurs qui ne sont pas comparables en terme de probabilité de guerison (p différent de p' pour reprendre votre demonstration), mais en plus il agrège de façon déséquilibrée les échantillons, ce qui fait probablement pencher la balance du côté de l'échantillon le mieux représenté. Dis autrement: les petites tumeurs se soignent mieux par chirurgie mais on en traite que 105 avec ce type de soin, par contre par chimiothérapie c'est moins efficace mais on en traite 818, forcement lorsqu'on agrège les deux types de soins avec des échantillons numériquement différents, on fait pencher la balance vers l'echantillon en grande supériorité numérique (celui traité par chimiothérapie). Après, il y a un autre problème non évoqué dans la vidéo, c'est que la taille des tumeurs n'est pas le seul paramètre qui joue sur la probabilité de guérison, il y a d'autres, par exemple le grade et le stade (c'est très souvent une palette de gris, avec des nuances qui vont du blanc au noir), ce qui complique encore l'analyse statistique qu'il convient effectivement de regarder avec prudence (en Oncologie comme dans bien des domaines....).

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    05/06/2020 11:04
    Bernard Guennebaud
    Il y a aussi cette manie de mettre des indicateurs partout, c'est à dire des nombres qui, comme le risque relatif, les ratios, qu'ils soient odds, hazard..;, taux d'efficacité que sais-je et dont on devrait s'interroger sur ce qu'ils peuvent vouloir dire. On oublie un peu vite que 12/3 ça fait 4 tout comme 12000/3000 ou 1 200 000/300 000 et que ce 4 ne dit plus tout à fait la même chose. Plus haut dans mes commentaires j'avais donné un exemple avec RR=4 significatif avec des tailles d'échantillons assez importantes et qui cessait de l'être avec des échantillons plus réduits. C'est quoi l'important ? Que RR=4 ou que l'écart soit ou non significatif ? La publication sur le Lévothyrox, il y a un an, s'appuyait sur des échantillons de plus de 1 millions de personnes. On avait ainsi des ratios de 1,01 qui étaient significatif voire très significatifs.Mais comme le ratio était très proche de 1 tout allait bien ! On sait pourtant que les valeurs des rapports de nombres s'écrasent avec des nombres élevés. Un exemple simple : je lance 10 fois une pièce équilibrée. je peux tout à fait obtenir 7 piles, la probabilité est loin d'être négligeable. Mais si je la lance 100 fois je n'ai pratiquement aucune chance d'en obtenir 70. Pourquoi ? parce qu'il s'opère des compensations. Une autre série de 10 pourra donner 3 piles ou 2 autres donneront 4 piles etc ...Ces compensations feront que j'aurai peu de chances d'avoir plus de 62 piles ou moins de 38. Si je la lance 1 millions de fois, ce qu'on peut faire avec un ordinateur, le rapport obtenu aura toutes chances d'être très proche de 50%. C'est la loi des grands nombres que les auteurs de l'étude sur le Lévothyrox ne semblent pas connaitre. "C'est théorique tout ça mais nous nous sommes dans la pratique !" C'est un peu ce que tout le monde pense ou veut penser, c'est plus commode. Ce fut d'ailleurs la remarque faite un jour par une étudiante : "ça ne joue pas en pratique tout ça ?" Mais bien sûr que si ça joue et même beaucoup ! Face aux grands nombres et tous ces indicateurs qui n'indiquent rien, c'est comme si on appréciait le budget de la France avec les repères établis pour notre propre budget.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    05/06/2020 09:23
    Bernard Guennebaud
    @ Daniel Bardou D'abord merci pour votre commentaire car ils se font rares en rapport avec ce que je tente de faire comprendre et qui est assez fondamental. Mais comme vous le dites il y a le colmatage du cerveau. Les affirmations martelées par ce qui fait autorité prenant le dessus sur des réflexions de meilleures qualités. Dans ce domaine de la statistique elles sont très loin d'être toutes volontaires y compris par les "experts" en santé publique. Pour ce qui est des pièces "truquées" si cela vous dérange qu'elles puissent avoir 20% de chances de tomber sur pile plutôt que 50% vous n'avez qu'à les remplacer par des urnes à 2 couleurs avec tirages avec remises. Les proportions de boules blanches pourront alors prendre toutes valeurs. Le problème que vous soulevez est vraiment purement psychologique. Je réalise aussi qu'il faudrait expliquer, même ici, le fondement du test statistique. On a donc 2 groupes (de personnes, d'animaux, de végétaux, de pièces, d'urnes ...). On veut pouvoir décider si les 2 groupes sont comparables d'un certain point de vue (apparition d'une maladie, taux de vaccination, proportions de boules blanches dans les urnes). On a donc pour chaque groupe une probabilité de tomber malade qui est une valeur théorique inconnue mais supposer exister. C'est là l'important généralement occulté pour ne pas faire compliquer, du moins crois-t-on. Cette probabilité DOIT être la même pour tous les membres du groupe. On a donc ainsi 2 probabilités p et p' associées à chacun des 2 groupes. Elles sont de valeurs inconnues mais supposées implicitement exister. C'est fondamental. Sur des observations on obtient deux valeurs observées X et X' pour les proportions de malades dans les 2 groupes. La plupart du temps X et X' seront différents mais on veut pouvoir décider si les écarts observés sont compatibles avec de simples variations aléatoires des probabilités inconnues p et p' ou si les écarts sont trop importants pour accepter p=p'. le principe du test statistique c'est aussi simple que cela ! Mais on constate une chose des plus importante, rarement rappelée et souvent oubliée : les probabilités p et p' doivent exister !!! Autrement dit, les groupes doivent être homogènes par rapport à la chose testée. Si par exemple les hommes et les femmes d'un même groupe ont des probabilités très différentes de tomber malades, les probabilités p et p' ne pourront exister. Cela n'empêchera pas d'accepter statistiquement l'égalité (ou l'inégalité) entre p et p'. Sauf que on accepte cette égalité entre 2 valeurs qui ... n'existent pas !!!!! C'est tout le problème et c'est un très gros problème très lourd de conséquences comme je l'ai illustré avec les SEP et les atteintes démyélinisantes non SEP. On ne peut comprendre que si on accepte que pour tester on fait référence implicite à des valeurs inconnues et théoriques. Tant qu'on ne manipule que des données numériques, qu'on peut "toucher" donc, sans référence explicite à ces probabilités, on ne peut pas comprendre et on se perd dans des considérations indéfinies comme l'illustre d'ailleurs la vidéo de David (sciences étonnante) qui ne met jamais le doigt sur le vrai problème, sans doute pour faire pédagogique et concret, mais qui en fait forme un écran qui éloigne de la réalité tout en voulant y coller. J'ai enseigné la statistique pendant 20 ans à des étudiants SVT. Je sais combien la tendance est forte d'oublier les fondements pour ne faire que du bricolage numérique. Mais je n'avais pas réalisé à l'époque à quel point cela était important. J'en ai pris conscience avec les désastreuses statistiques médicales et les mœurs qui règnent dans ce domaine. Très difficile d'aller contre les mœurs !!!

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    05/06/2020 08:49
    Eric Marquant
    Toutes choses n’étant pas égales, il est heureux que nos cerveaux ne ressemblent point à cette technique de cross-flow, un peu comme dans cette médecine qui voit le corps humain comme une espèce de machine dont on aurait à changer les pièces… Certains cerveaux seront très réceptifs au flux de la propagande d’autres moins, toutes choses n’étant par ailleurs point égales… Ce n’est ni d’hier ni d’aujourd’hui que les princes tentent de séduire pour pouvoir conduire leurs desseins. Entendons-nous bien Monsieur Bardou, c’est du lien entre perception et réflexion dont il était question, ceux qui opèrent cette séparation ont une vision mécanique de l’humain, ici, comme en bien des choses, point de séparation.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    04/06/2020 20:46
    daniel Bardou
    @Bernard Guennebaud 3/6 13h55 Bonjour. En plus de ce que vous énoncez et qui pourrait se résumer à une sorte de réalité "objective" car ce sont des calculs issue d'axiomes connus, il ne faut pas oublier la partie "subjective" lors de la présentation d'un résultat. Les résultats "intuitifs" sont toujours mieux accueillis et il est fort difficile de défendre le contraire. Une contre vérité martelée durant plusieurs années et confirmée par des calculs totalement faux a de grande chance de perdurer, je n'ose ouvrir la boite de pandore des exemples. Votre petit exemple avec les pièces est pertinent, car, même si vous précisez clairement au tout début de votre proposition que ce sont des pièces "truquées" l'esprit lutte constamment pendant la lecture de votre exposé en se demandant pourquoi des pièces de 1E ou 2E dont nous connaissons "intuitivement" l' usage d'impartialité se comporteraient différemment à Neuf ou Vieux Brisach. Eric Marquant parlait un peu plus haut du "terrible filtre" qu'est notre cerveau ce n'est hélas pas un filtre tangentiel et il est probable qu'un fort taux d'informations polluantes le colmate inexorablement ce que les médias ont bien pigé visiblement ces temps derniers. Mais il faut souhaiter que la peur ne fasse pas encore son sinistre ouvrage et que les mois passés contribuent à ouvrir les esprits. Il est cité un peu au dessus un site relativement "engagé" (mais il ne faut pas oublier que tout ce qui est exagéré est insignifiant. ... ) sur lequel j'ai trouvé ceci que je ne connaissais pas. Ce sont des images de 2012... https://www.youtube.com/watch?v=AnJeqJEizPQ&feature=youtu.be Cordialement.

  • Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c'est non... et encore non
    04/06/2020 19:17
    Inoxydable
    Toujours dans le négatif, mais bon. Lis ça, c'est plutôt complet et bien rédigé : http://www.francesoir.fr/societe-science-tech/traitement-du-professeur-raoult-le-point-sur-les-connaissances-actuelles Il y a de nombreuses références ...

  • Jon Rappoport et son "médecin repenti" de la vaccination américaine
    04/06/2020 15:36
    Nelly
    Bonjour, Allez demander aux milliers de parents dont les enfants ont développé des maladies post-vaccination si la vaccination est tout à fait inoffensive. Aux USA, il y a même un bureau officiel national, depuis les années 1980, pour l'indemnisation des victimes d'effets nocifs de vaccinations. Pourquoi un tel office, si la vaccination est sûre ? Aux USA, plus d'un enfant sur deux souffre de maladie chronique. Normal ? Allez demander à l'avocat américain Robert F. Kennedy si les centaines d'enfants qu'il a rencontrés ne sont pas des victimes de la vaccination. Vacciner, c'est injecter diverses substances étrangères toxiques (aluminium, thimerosal, formaldéhydes, etc.) dans le corps d'une personne en bonne santé. Ce n'est en rien comparable au fait d'administrer un médicament à une personne malade.
    [Home] Home 2023
    On s'attendrait à une discussion ouverte sur le sujet parmi le corps médical, parce que la science n'est pas figée. Au contraire, c'est le tabou total et la chasse aux sorcières des personnes qui se posent légitimement des questions.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    04/06/2020 13:21
    Bernard Guennebaud
    Il faut bien comprendre que le problème étant strictement numérique les explications médicales n'ont rien à voir avec les vraies raisons, d'où une difficulté à les identifier. Si vous voulez je précise avec les données numériques de la vidéo. Il y a donc 182 grosses tumeurs traitées par des médicaments dont 90 guérisons (49%). On pourrait aussi bien dire : 182 jets de pièces de 1€ ont donné 90 piles. Il y a aussi 818 petites tumeurs traitées par médicaments dont 671 guérisons (82%). On peut aussi dire : on a obtenu 671 piles en lançant 818 pièces de 2€. Il est important de faire ces traductions en pièces pour bien réaliser que le problème n'est pas médical. Compte tenu des effectifs et des différences de proportions observées (49% et 82%) le test de comparaison des proportions entre ces 2 groupes montrera que les probabilités de guérison des grosses et petites tumeurs n'ont pratiquement aucune chance d'être égales. En conséquence on ne peut pas regrouper ces données pour faire un test en comparaison d'autres données (en l'occurrence les cas traités par chirurgie) car il faudrait que ces 1000 cas puissent avoir une même probabilité de guérison par les médicaments. Où que les 1000 pièces de 1 et 2 euros aient toutes une même probabilité de tomber sur pile. Ce n'est pas du tout le cas aussi l'affaire s'arrête là ! C'est aussi simple que cela. Voici un exemple réel et aux conséquences très importantes qui restent toujours dans les limbes de la connaissance reconnue, y compris par la critique : parmi les 349 cas d'atteintes démyélinisantes centrales retenues dans l'étude Mikaeloff-Tardieu sur les enfants il y a 143 SEP dont 80 vaccinées HB (56%) contre 206 atteintes non SEP dont 74 vaccinées HB soit 36%. Là aussi on ne doit pas regrouper car ces 2 groupes n'ont aucune chance d'avoir une même probabilité d'exposition à la vaccination HB. Pourtant c'est ce qu'ont fait les auteurs qui, faisant bien sûr de même avec les témoins, comparent et déclarent comme pouvant être égales deux probabilités qui n'existent pas !!! On le voit de suite sans aller chercher aucune explication médicale. Le test, largement commenté, déclaré probant de l'absence de lien entre la vaccination HB et la SEP et dont les données groupées ont été incorporées dans une méta analyse récente, ne vaut strictement rien. Il est même complètement ridicule et il ridiculiserait auteurs et commentateurs s'il existait un public pour le comprendre.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    03/06/2020 20:37
    Bernard Guennebaud
    Il y a la vidéo, il y avait auparavant l'article par le même (avril 2013) plus une flopée de commentaires dont les miens. C'est donc une vieille histoire, ce paradoxe qui ressort quand on ne l'attend plus, un peu comme le monstre du Lochness ... Je n'exagère rien, voici ce qu'écrivait un auteur à ce sujet : ""Un bon paradoxe est un paradoxe dont on ne réussit jamais à se débarrasser. Quand vous croyez en avoir trouvé la clef, une remarque vous fait découvrir que rien n'est résolu. Les paradoxes de Zénon à propos de l'impossibilité du mouvement sont de tels paradoxes. Mais le plus élémentaire de tous est le paradoxe de Simpson dont on imagine des solutions... qui conduisent à d'autres paradoxes ! Sans cesse, des scientifiques et des utilisateurs de statistiques tombent dans les pièges qu'il tend. Chaque année, paraissent des articles qui tentent de déterminer son sens profond et la façon dont on doit le traiter. Malgré cette littérature abondante, il n'est pas certain que l'on détienne une solution entièrement satisfaisante pour se libérer de cette récalcitrante absurdité." Faire un insondable et inévitable paradoxe avec 8 nombres, ce n'est pas très vraisemblable. Et pourtant ! En fait les vraies causes de ce paradoxe je les ai décrites dans mon commentaire ci-dessous. Les commentateurs se sont laissé détourner par des causes supplémentaires permettant de donner à ce paradoxe une coloration plus forte comme des tailles très différentes pour les effectifs, ce qui fait qu'ils n'ont pas vu la cause principale qui serait pourtant facile à identifier. En effet, pour pratiquer le test de comparaison de 2 proportions il faut 5 conditions dont les 2 premières sont (exprimées avec des pièces) : 1- les pièces de 1€ doivent toutes avoir une même probabilité p de tomber sur pile (ou par ex chaque personne du 1er groupe doit avoir une même probabilité p de faire un EI). 2- De même pour les pièces de 2€ avec une probabilité p' (ou chaque personne du second groupe doit avoir une même probabilité p' de faire un EI). On teste alors si on peut accepter p=p'. On comprend qu'il est impératif que p et p' existent !!! C'est là le problème !!!!!!! Mais que c'est difficile à faire accepter. Il y a un incroyable blocage à ce sujet alors que c'est très simple. On se perd alors dans des considérations et des discussions à n'en plus finir. Il n'y a pourtant pas de cartes postales à vendre !

  • Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c'est non... et encore non
    03/06/2020 15:01
    Inoxydable
    Très juste : https://youtu.be/zUbiYhknaK0

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    03/06/2020 13:55
    Bernard Guennebaud
    Si vous voulez une explication plus "technique" du paradoxe de Simpson, voici ! Je propose de décrire comment traiter correctement des données en prenant comme exemple numérique le second exemple pédagogique proposé par le Vigilant. Pour montrer l’universalité du procédé je modifie ce que les nombres utilisés représentent. Les cas à faible risque deviendront des pièces françaises ; les cas à haut risque seront des pièces allemandes. Les cas exposés seront des pièces de 1€ et les non exposés des pièces de 2€. Les EI correspondent aux pièces tombées sur pile. Premier test : on compare 9500 pièces françaises de 1€ qui sont tombées 76 fois sur pile avec 500 de 2€ tombées seulement une fois sur pile. La probabilité associée au test de comparaison des proportions observées vaut 3,2/1000 ce qui signifie qu’il y a 3,2 chances sur 1000 pour observer un tel écart par le seul fait du hasard. Ce résultat indique que les pièces françaises de 1 et 2 euros ont peu de chances d’avoir une même probabilité de tomber sur pile. Second test : on procède de la même façon entre les 300 pièces allemandes de 1€ tombées 24 fois sur pile et les 700 de 2€ tombées 14 fois sur pile. La probabilité associée au test est 1,45 sur 10 000 très significative. Troisième test : on compare les 9500 pièces françaises de 1€ avec les 300 pièces allemandes de 1€ tombées 24 fois sur piles. La probabilité associée vaut 2,3 sur 1 million qui signifie que les pièces françaises et allemandes de 1€ n’ont pratiquement aucune chance d’avoir une même probabilité de tomber sur pile. Quatrième test : on fait de même avec les pièces de 2€. La probabilité vaut 7,36 sur 10 000 soit moins d’une chance sur 1000 qui indique aussi que les pièces de 2€ françaises et allemandes ont peu de chances d’avoir une même probabilité de tomber sur pile. Cinquième test : Les résultats de ces 2 derniers tests disent très clairement qu’on ne doit pas regrouper les données des 2 pays pour les tester globalement car le test n’aurait aucune valeur. Le test, qu’il n’est pas interdit de faire même si on ne doit pas valider son résultat, donne une probabilité de 25 % indiquant que les pièces de 1 et 2 euros des 2 pays peuvent avoir une même probabilité de tomber sur pile contrairement aux résultats précédemment obtenus. D’où vient le paradoxe ? En fait ce dernier test affirme l’égalité de 2 probabilités qui n’ont pratiquement aucune chance pour exister. Ce sont d’une part la probabilité p pour les pièces de 1€ et p’ pour celles de 2€. Les tests 3 et 4 ont montré que p et p’ n’existaient sans doute pas ! Cette situation type paradoxe de Simpson est beaucoup plus fréquente qu’on ne le pense dans les études épidémiologiques et surtout, auteurs et commentateurs n'en ont pas toujours conscience ...

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    03/06/2020 12:57
    Brigitte Fau
    Bonjour Daniel, excellent cette petite video explicative.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    03/06/2020 12:01
    Hortense
    Il y a un facteur important que les statistiques ne prennent pas en compte : les politiciens ! Car avec ce coronavirus toutes les prévisions basées sur des statistiques furent fausses ! — Au moins 15 millions de morts et 2.400 milliards de dollars de baisse du PIB mondial. C’est ce que prédisaient des chercheurs australiens à propos du coronavirus dans le meilleur des cas. Mais il pourrait tout aussi bien dépasser les 68 millions de victimes : https://fr.sputniknews.com/international/202003061043202988-le-coronavirus-tuera-au-moins-15-millions-de-personnes-dans-le-meilleur-des-scenarios-affirme-une/ — Le virologue Christian Drosten annonçait 280 000 décès en Allemagne.. https://www.liberation.fr/planete/2020/03/13/le-covid-19-va-t-il-provoquer-300-000-morts-en-allemagne_1781666 — En France, l’Express annonçait le 23 mars 2020 1,8 million de morts dans le monde même avec de strictes mesures destinées à réduire sa propagation : https://www.lexpress.fr/actualite/monde/le-coronavirus-pourrait-tuer-1-8-million-de-personnes-dans-le-monde_2122078.html — Un précédent rapport de l’Imperial College mi-mars avait évalué que l’épidémie pourrait faire jusqu’à 510 000 morts au Royaume-Uni. En réalité, le bilan reste deux fois moins meurtrier que la saison grippale de 2017 qui a causé 650 000 morts dans le monde. Comme Orwell le décrit en 1984, un point majeur de la pandémie a été d’amener les gens à croire les deux à la fois : à des prévisions minimum et maximum. D’un côté, on a présenté le covid 19 comme terrifiant, une véritable menace pour la race humaine, principalement grâce au modèle informatique de l’Impérial College pourtant affreusement bâclé. De l’autre, on a officiellement fait circuler qu’il n’était pas aussi virulent et qu’il ne constituait un danger que pour les personnes déjà malades ou gravement immunodéprimées. Il allait se comporter en fait comme la plupart des coronavirus. Une des raisons de cette dualité, ne serait-elle pas un essai de coup d’État contre la liberté humaine ? Ceux qui sont au pouvoir savaient pertinemment que le coronavirus ne représentait aucune menace ! Quelques preuves à l'appui : https://effondrements.wordpress.com/2012/05/16/complot-mondial-contre-la-sante/comment-page-2/#comment-79886

  • Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c'est non... et encore non
    02/06/2020 22:01
    Raymonde
    Pardon ! https://youtu.be/xxy3fCB11C8

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    02/06/2020 10:42
    daniel Bardou
    Bonjour à Tous. Si je peux me permettre de poster un lien d'une petite vidéo assez bien faite qui permettra à ceux qui comprennent déjà bien ces phénomènes de les expliquer à leurs enfants. Cordialement. https://www.youtube.com/watch?v=vs_Zzf_vL2I

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    02/06/2020 08:13
    Francis MAIRE
    Bonjour Article un peu compliqué, je n'ai pas tout compris, mais je vais le relire car intéressant.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    02/06/2020 05:16
    Nathalie
    Bonjour Brigitte, entièrement d'accord avec vous. Aucune précaution de prise avant de vacciner et aucun suivi après la vaccination en tout cas pour ce qui me concerne. Beaucoup de mes connaissances sont dans le même cas que moi.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    02/06/2020 04:31
    Maël Voegeli
    Félicitation pour tout ce travail, la prise de risque, votre souhait d'objectivité et la volonté de rester indépendant. Vous m'inspirez et me réconfortez. Je trouvais un décalage si grand entre notre pratique et le serment que nous jurons! Aujourd'hui en Inde pour un projet de recherche sur l'Ayurveda et les sciences védiques, il me tarde de vous rejoindre lors de mon retour en France. Tenez bon et merci.

  • Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c'est non... et encore non
    01/06/2020 21:42
    Inoxydable
    @Dr Vincent Reliquet : Je ne sais pas si l' HCQ, le Bleu de méthylène ou l'Artémisia Annua sont des médicaments curatifs ou même prophylactiques contre le Covid 19, je n'en ai pas eu besoin jusqu'à présent, je me fie aux témoignages de ceux qui l'ont utilisé pour soigner et de ceux qui ont été soignés avec mais une chose est certaine : Grâce à votre article conjoint avec celui du Dr Ménat pour lequel j'ai également une grand estime, je pense que même si moi ou mon épouse avions été en contact avec une personne contagieuse, nous avons bien été protégé en utilisant en mettant en pratique les conseils de cet article : https://staticmail.editionsbiosante.fr/2020/04/gbd/dossierbonuscovid_19.pdf?fbclid=IwAR09VvGmbB1dXK44ILyn3UqEVvLf-SgN9AyedYngbM1mNCpWDu6uz9cK5Nc Sans en avoir connaissance et dès le début de l'hiver je me supplémentais avec des gouttes journalière de vit. D3, de gélules d' Echinacée, et pour faire bonne mesure un traitement homéopathique , puis le Covid menaçant, j'y ajoutais des gélules de Quercétine et votre article lu, du Zinc et à la place du sureau Noir, l'Aronia que je prends tous les jours avec la coQ10 et pour mon épouse l' ALA et l' Hydroxicitrate ( les meilleurs anti oxydants ) et résultat, de tout l'hiver jusqu'à maintenant pas un Rhume, pas de trachéite ou de pharyngite, encore moins de grippe ou de gastro. Rien. Aussi je ne vous remercierai jamais assez tous deux pour m'avoir conforté dans ma façon de gérer ma santé par les temps qui courent. Bien sûr, ce que je dis est sans doute subjectif mais toutefois "observationnel" et j'avais attendu des études random etc... ... Pfff.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 21:38
    Bernard Guennebaud
    Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Je me demande quelle est l'utilité réelle et la fiabilité de tous ces coefficients et indicateurs dont les épidémiologistes paraissent si friands. Il existe un test très classique qui est celui de la comparaison de 2 proportions. Appliquons le au second exemple de données fabriquées proposées par le Vigilant. Pour les haut risque il y a 300 personnes dont 24 EI d'une part chez les exposés contre 14 EI chez 700 personnes non exposées. Le test donne 1,5 chances sur 10 000 d'obtenir un écart au moins aussi grand par le seul fait du hasard, ce qui est très significatif. La bonne information c'est cela et non pas le RR qui vaut 4. En effet, si je prends 50 personnes pour 4 EI d'une part chez les exposés et 100 non exposées dont 2 EI on aura encore RR=4 mais la probabilité d'un tel écart entre les 2 groupes sera 7,3% non significative au seuil habituel. On a ainsi des réponses claires sans qu'il soit nécessaire ni même utile de fabriquer ces coefficients censés jouer le rôle d'indicateurs et qui posent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent. On comprend bien que l'idée est de mesurer le risque par un indicateur c'est à dire un seul nombre qui serait parlant à lui tout seul en faisant quelques divisions et donc en évitant de calculer une probabilité. Mais ces probabilités obtenues en faisant les tests donnent en fait des indications bien plus fiables car pour le même RR elles pourraient être très différentes. Il pourrait y avoir là comme une sorte de délit de fuite devant une difficulté technique, le calcul de cette fameuse probabilité qui est pourtant le fondement du test statistique. C'est plus simple de faire 2 divisions puis de fantasmer sur le résultat ! Pourtant, des logiciels se feraient un plaisir de le faire !

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 13:42
    Brigitte Fau
    La pharmaco-vigilance effectue t-elle des suivis actifs réellement ? Ou se contente t-elle des informations plus ou moins remontées, donc déjà filtrées par des personnes décidant par avance qu'un effet ne peut être lié à tel traitement : suivis passifs donc ou carrément absence de suivi quand le produit est décidé inoffensif arbitrairement comme c'est le cas des vaccins.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 13:27
    Eric Marquant
    On se demande bien à quel dieu votre Pythagore se réfère lui qui vivait dans un monde polythéiste ? Par contre, il se trouve quelques fanatiques pour rapporter que le célèbre grec était monothéiste. Sur quel argument repose cette assertion ? Sur une vision du monde que l’on aimerait mettre dans la bouche d’un ancien pour confirmer ses propres convictions ? Toujours trouverons-nous des rapports entre les fréquences et leurs harmoniques sans doute responsables de nos vibrations. Les sourds disent du son que ce sont les basses qui les mettent en vibration, car ces basses fréquences sont directement perceptibles par le corps, ainsi peuvent-ils danser sur les graves. Mais en musique ce n’est pas toujours l’harmonie qui séduit car le cerveau, ce terrible filtre, vient en interférence de la sensation pure. Un peu comme l’oeil qui, habitué à la peinture pompier, trouvera son régal dans l’oeuvre abstraite. Les sens sans le sens peuvent être aussi trahis. Et la séparation est bien souvent un des défauts majeurs de l’époque toujours à la recherche de quelques vérités définitives.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 12:16
    Bernard Guennebaud
    Le problème justement est que les mathématiques n'ont pratiquement jamais été utilisées en médecine ! Les experts en médecine utilisent des nombres et font des calculs avec ou plutôt, la plupart du temps, ils confient les calculs à un logiciel sans jamais s'assurer que les conditions de validité des calculs sont à peu près satisfaites. C'est là le problème ! Quand j'étais à l'école primaire on ne faisait pas de mathématiques, on faisait du calcul avec la fameuse règle de trois : 3 choux coûtent 3 francs six sous, combien coûtent 10 choux ? On ne nous disait pas qu'il fallait que tous les choux soient au même prix ! C'est bien là le problème de l'exemple que j'ai donné dans mon premier commentaire : Lévy Bruhl fait une règle de 3 alors que les choux (les exposés au BCG ) ne sont pas tous au même prix (pas tous exposés de la même façon à la tuberculose). Pourtant cette modélisation, qualifiée de "très beau modèle mathématique" par Jean-Louis San Marco le président de la commission d'audition sur l'obligation du BCG (en novembre 2006) a largement contribué à fonder la nouvelle politique de vaccination BCG en France en 2007. Oui, les comités d'experts se sont appuyés sur une modélisation dite mathématiques complètement ridicule pour proposer au gouvernement (ministre de la Santé Roselyne Bachelot) une politique de vaccination BCG. Quand j'étais jeune, les mathématiques ne débutaient qu'en sixième, quand, en principe, on commençait à accorder de l'importance aux conditions de validité des calculs. Aujourd'hui, les enfants font des mathématiques dès l'âge de 3 ans ! J'ai entendu cela cette année à l'occasion de la semaine des mathématiques. Oui, ils font des mathématiques car" ils apprennent à reconnaître les chiffres". Je ne savais pas que d'apprendre l'alphabet c'était faire de la littérature. La question est moins de savoir s'il faut ou non utiliser des mathématiques en médecine mais, si on le fait, il faut alors le faire correctement et non pas faire n'importe quoi. Or c'est n'importe quoi car ce qui est fait n'a rien à voir avec les mathématiques, il y manque l'essentiel pour cela. Ceci dit Pythagore disait "au commencement Dieu géométrisa", autrement dit faisait des mathématiques mais c'est une autre histoire où les rapports numériques de fréquences jouent un rôle essentiel. L'harmonie que nous ressentons en écoutant de la musique est d'abord liée à des rapports numériques très rigoureux entre les fréquences et suscitent une résonance vibratoire avec notre corps. Là on n'est plus dans la statistique. Le Beau, l'Harmonie, la Santé et les Mathématiques ne sont pas indépendants même si les artistes sont capables de créer du beau et de l'harmonie sans rien connaitre aux mathématiques.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 12:12
    Brigitte Fau
    Sans doute Akira, mais ces statistiques devraient être confirmées par un suivi actif systématique sur le terrain afin de relever tous les évènements nouveaux intervenus consécutivement au début de la prise du traitement pour constater leur éventuelle récurrence.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 11:06
    Brigitte Fau
    Les scientifiques sont désormais familiarisés avec toutes les approximations et consensus. Les non scientifiques pensent que la science est "exacte" et font confiance aux "scientifiques" et à leur vérité toute bâtie sur un socle fantaisiste à partir duquel tout est interprété. Les découvertes sont à leur tour interprétées en fonction des "vérités" établies; on ajoute ainsi du flou au flou ... Que reste t-il alors ? les statistiques pour tenter de faire ressortir cette vérité que la science n'a pas su trouver et qui sont malheureusement utilisées de manière tendancieuse pour embrouiller un peu plus les esprits et surtout leur imposer des "vérités".

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    01/06/2020 07:35
    Pierre Escudier-Donnadieu
    Faire entrer les Mathématiques dans le domaine médical, me semble quelque peu fallacieux ..... La Médecine, "science" du "vivant", ne se laisse pas aller à des calculs dont ON, fait dire TOUT, et n'IMPORTE QUOI !!!..... Mais, ceci est une autre histoire .....

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    31/05/2020 23:05
    Bernard Guennebaud
    Pour que la nature de l'erreur technique analysée dans cet article soit claire on a, pour le premier exemple, un groupe de 9500 personnes dont 95 EI et un autre groupe de 300 dont 30 EI. La question est : a-t-on le droit de les regrouper pour ensuite comparer les 9800 avec 125 EI à un autre groupe ? Les probabilités d'apparition des EI étant très différentes dans ces 2 groupes, il sera impossible d'attribuer une probabilité commune d'apparition d'un EI chez les 9800. On ne doit donc pas regrouper. Pour comprendre il faut distinguer entre les proportions observées d'EI qui sont donc connues et les probabilités d'apparition des EI qui sont inconnues mais qui pourraient être égales malgré les différences sur les proportions observées. C'est le fait de ne pratiquement jamais prendre en compte ces probabilités inconnues mais présentes malgré tout qui bloque la compréhension de ces questions. La question est donc : peut-on accepter que ces probabilités soient égales alors que les proportions observées ne le sont pas ? On peut alors comprendre qu'il faut aussi s'assurer de l'existence de ces probabilités pour éviter de déclarer égales (ou inégales) des valeurs qui n'existent pas !!! En présentant l'affaire ainsi, on constate que la question que l'on veut traiter est généralement mal posée avec un refus obstiné de parler de ces probabilités qui sont des valeurs théoriques supposées implicitement exister. Il serait pourtant plus clair de les expliciter ! Si on tape sur google comparaison de 2 proportions (ou de 2 moyennes) on trouve mais si on tape comparaison de 2 probabilités c'est déjà moins évident. Pourtant il s'agit bien de cela : comparer 2 probabilités en utilisant des valeurs observées.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    31/05/2020 22:10
    Bernard Guennebaud
    D’un point de vue purement mathématique la cause est la même que pour ce qu’on appelle le paradoxe de Simpson qui peut apparaître dans les tests dits cas-témoins. J’en donne un exemple en reprenant les nombres du premier exemple de l’article. Les cas seront les "non exposés" en vert soit 500+700=1200 dont 15 vaccinés. Les témoins, toujours plus nombreux que les cas (d’où mon choix), seront les "exposés" en rose soit 9500+300=9800 dont 125 vaccinés. L’odds ratio OR vaut 15/1200 divisé par 125/9800 soit 0,98 dont l’inverse est 1,02 qui évidemment ne sera pas du tout significatif d’une différence d’exposition à la vaccination entre les cas et les témoins. Cependant si on dissocie en comparant les 500 cas dont 1 vacciné avec les 700 cas dont 14 vaccinés on aura une différence très significative d’exposition à la vaccination avec 7 chances sur 10 000 d’observer un tel écart par le seul hasard. On retrouve cette problématique dans des études publiées mais pour lesquelles ni les auteurs ni les commentateurs "autorisés" ne semblent avoir vu le problème. Par exemple la publication Mikaeloff-Tardieu de 2008 sur SEP et atteintes démyélinisantes centrales chez les enfants après vaccination HB : 56 % de vaccinés HB parmi les SEP contre 36 % parmi les atteintes non SEP. L’écart est très significatif (1/10 000), pourtant quand on regroupe les données en traitant en cas-témoins il n’y a pas du tout de signal. Où est le problème ? On veut tester si on peut accepter que les probabilités d’avoir été vaccinés HB sont les mêmes chez les cas et chez les témoins. Mais encore faudrait-il que ces probabilités existent, ce qui veut dire que chacun des 349 cas puisse avoir la même probabilité d’avoir été vacciné HB. Ce n’est pas du tout réalisé. Autrement dit les auteurs, avec l’agrément des commentateurs autorisés, ont déclaré égales 2 probabilités qui n’existent pas, où, pour être plus rigoureux, qui n’ont qu’une probabilité très faible d’exister. Je rappelle que ce résultat peut se présenter sous une autre forme plus parlante : 52 % de conversion en SEP pour ceux vaccinés HB avant la première atteinte contre 32 % pour les non vaccinés HB. Pour plus de détails sur cette affaire aussi secrète qu'énorme, mon article du 23 février. Énorme et secrète car ce résultat était connu des auteurs et de certains commentateurs autorisés avant la publication de l'étude, celle-ci n'en parlant point tout en publiant les données qui permettent de le trouver. https://www.aimsib.org/2020/02/23/mentir-ou-travestir-pour-ne-pas-faillir-le-coup-du-signal-fort-quon-prefere-oublier/

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    31/05/2020 21:43
    Jacques BEAU
    Bonjour et merci à l'auteur de rappeler qu'aucune interprétation n'est possible sur la nature (causale ou non) d'un lien statistique apparu lors d'une étude de type observation. Les observations sont des machines à faire ressortir les biais de toutes sortes. D'autre part, RR signifiait au départ Rapport de Risque, en anglais Rate Ratio ou Risk Ratio, très bien défini dans l'article. Le RR permet d'évaluer le RRR = 1 - RR = "Relative Risk Reduction" qui signifiait à l'origine "réduction relative du risque" soit en anglais "relative risk dereduction". Un article en solde à - 70% signifie un rapport de prix (soldé/initial) à 0.3 et - 70% est la variation relative du prix =1-0,3 et non la variation du prix relatif. La notion de "risque relatif" à beau figurer dans bien des cours de statistique médicale, elle provient en fait d'une erreur d'interprétation du sigle RRR : c'est la réduction qui est relative et non le risque.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    31/05/2020 20:45
    Surya
    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352396417300464 The negative effect of DTP was much worse in this natural experiment than has been reported in previous studies of DTP. This is presumably due to the “unvaccinated” control children in previous studies having been a frail subgroup too frail to get vaccinated. Previous studies have not been able to compare DTP-vaccinated children with “normal” controls. Hence, most previous studies have probably underestimated the negative effect of DTP.

  • Pourquoi le biais dit "du patient en bonne santé" est toujours ignoré
    31/05/2020 18:04
    Bernard Guennebaud
    On retrouve des problèmes analogues quand notre expert institutionnel en la matière, Daniel Lévy Bruhl (InVS puis Santé publique France) a voulu estimer le nombre de tuberculoses évitées chez l'enfant par la vaccination BCG généralisée et obligatoire en prenant les données sur 6 années (1997 -2002). Pour ce faire il attribuait a priori une efficacité à cette vaccination, par exemple 50%. La suite je la raconte avec une histoire de carottes qui pourraient pourrir mais pour lesquelles on dispose d'un produit chimique efficace à 50%. On traite 240 carottes d'un lot de 300. Il y en a donc 120 qui sont protégées et 120+60=180 qui ne sont pas protégées. On découvrira plus tard 60 carottes pourries qui sont donc apparues parmi les 180 non protégées, soit une sur 3. On peut alors énoncer la règle : en l'absence de traitement, une carotte sur trois pourrie. Parmi les 120 carottes protégées par le traitement il y en aurait donc eu 1/3 soit 40 qui auraient pourri en l'absence du traitement. Nous pouvons donc estimer à 40 le nombre de carottes pourries évitées par le traitement. Bien ! Sauf que les 240 carottes traitées avaient été stockées au grenier en milieu sec et aucune n'avait pourri. Par contre les 60 autres avaient été placées à la cave et elles avaient toutes pourri. C'était exactement la situation pour la tuberculose en France au moment de l'étude car pour faire le BCG après l'âge de 3 mois on doit faire un test tuberculinique, les positifs n'étant pas vaccinés. Or les enfants les plus à risques étaient ceux qui vivaient avec des parents tuberculeux. Souvent ils ne recevaient pas le BCG pour cette raison. Par contre les enfants plus favorisés avaient très peu de risque d'être contaminés alors qu'ils recevaient le BCG. Depuis 2007 on a recommandé le BCG à la naissance pour ces enfants à risque élevé puis à 1 mois depuis 2017 pour tenter de limiter le risque de bécégite mortelle chez les enfants ayant un déficit immunitaire non découvert à la naissance. Aujourd'hui ces enfants à risque élevé sont donc au contraire vaccinés par le BCG. Oui mais on sait depuis longtemps, Calmette et Guérin le disaient et avaient institué le test préalable pour cette raison, que la rencontre du bacille tuberculeux et du BCG, mycobactérie dérivée d'un BK virulent, aggravait la tuberculose et ce avec une plage de plus ou moins 2 mois. Cela joue probablement davantage sur la gravité que sur le nombre de cas. Cette propriété qui fut reconnue pour le BCG a toujours été niée pour la vaccination antivariolique avec cependant une plage beaucoup plus réduite : quelques jours avant la contamination ou après. Voir mon article du 10 mai 2020.

  • Technologie 5G, évaluation sanitaire et civilisationnelle
    31/05/2020 16:17
    PM
    @Bernard Guennebaud ----------------------------------- Quels peuvent être les effets simultanés sur un nourrisson du biberon réchauffé au micro-onde, de la wifi, du linky, de la téléphonie mobile 4 G de ses parents en attendant la 5 et des vaccins ? ----------------------------------- Si l'on reste dans le domaine de l'exposition aux radio-fréquences multiples (en excluant le problème vaccinale et les perturbateurs chimiques synergiques), on peut faire ce qui se fait en radioprotection des rayonnements ionisants : La somme des rapports (dose reçues/ doses autorisées) pour chaque irradiation, doit rester inférieure à 1. C'est peut-être insuffisant, mais comment faire mieux ?

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