- Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
01/08/2019 12:12
Hypatie A
Bonjour, est-ce que vous pourriez développer un peu votre idée : "Une partie de la solution est donc de ce fait d’aller dans les croyances et les représentations pour explorer les modifications possibles." Je trouve ça extrêmement intéressant, mais je ne suis pas sûre de bien comprendre... Pouvez-vous m'éclairer ? - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
01/08/2019 09:28
Hypatie A
Bonjour, oui ce blog est absolument fondamental (il a été le point de départ de mes recherches) : il a l'avantage de mettre à disposition TOUTES les études scientifiques qu'il cite, on peut donc se faire son propre avis. Je m'inspire moi-même de sa démarche. J'invite bien sûr toute personne qui souhaiterait creuser le sujet à lire ce blog (notamment sur le lien entre aluminium et troubles autistiques). Le ton posé, jamais insultant est à l'exact opposé des "défenseurs de l'aluminium" américains, que citent régulièrement les blogueurs et youtubeurs pro-aluminium français. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
31/07/2019 21:19
Bernard Guennebaud
Pour ma part, j'avais déjà répondu à JohnDoe que la balance bénéfice-risque n'est pas que mal évaluée, dans nombre de situations elle NE PEUT PAS être évaluée ! J'avais pris comme exemple le vaccin Pandemrix de 2009. L'évaluation ne pouvait se faire que plusieurs mois, voire un an, au bas mot, après la fin de l'épidémie et de la campagne de vaccination. On pourrait aussi se poser la question de la prise en compte du mode d'utilisation du produit, vaccin ou médicament. Les antituberculeux peuvent donner un exemple intéressant et qui peut faire réfléchir : l'interruption prématurée de ces médicaments peut générer des bacilles résistants. C'est ce qui s'est produit à grande échelle en URSS dans les années 1980 puis s'est poursuivi en Russie : ces médicaments connaissaient de longues interruptions d'approvisionnement, aussi des tuberculeux en coure de traitement s'en voyaient privés pendant des semaines avant une reprise ... Les conséquences furent catastrophiques, d'autant plus que cela se produisait dans des prisons où les prisonniers ne pouvaient pas tous s'allonger simultanément pour dormir tant la densité était grande. Quand ils étaient trop malades, on les renvoyait dans leurs familles ... Ces 3 ingrédients ont générés des bacilles multirésistants et même ultrarésistants qui se sont répandus et constituent une grave menace pour l'avenir. Quelle est la balance bénéfice-risque de ces médicaments utilisés dans de telles conditions ? Peut-on évaluer cette balance sans tenir compte des conditions d'utilisation ? J'ai d'autres exemples en ce sens comme par exemple : balance bénéfice-risque du vaccin antivariolique quand on l'utilise sur les vrais contacts, ce qui permet la rencontre du virus de la variole avec le virus vaccinal ayant conservé la capacité de se répliquer. Les conséquences de cette rencontre furent catastrophiques, aggravant la maladie et amplifiant les épidémies. C'est, à n'en pas douter, ce phénomène, identifié dès 1870, qui fit échouer les campagnes de vaccination, cet effet délétère étant compenser par l'isolement des malades et de leurs contacts. L'évaluation de cette balance ce n'est pas simple du tout. Quant à penser qu'il serait possible de faire cette évaluation avant l'utilisation du produit sur les populations, c'est un leurre. Mais les experts ont résolu le problème : la fameuse balance est toujours positive, à croire qu'elle serait rouillée !!! PS A propos de balance je viens de voir au JT une image étonnante : 2 architectes ont eu l'idée d'installer des balançoires roses entre 2 barreaux du mur de Trump entre le Mexique et les USA. Ainsi on peut voir un enfant américain et un autre mexicain se balancer sur la même balançoire, chacun de chaque côté du mur !!! Quel symbole ! Une idée : la vaccination obligatoire pour l'entrée en collectivité c'est un peu le mur de Trump : tu n'es pas vacciné tu ne peux franchir la frontière ! Et si des enfants vaccinés et non vaccinés fraternisaient en jouant ensemble de chaque côté de ce mur de la honte qu'est l'interdiction faite aux seconds d'entrer dans la collectivité ? Ou plutôt, à la sortie les premiers se précipitent vers les seconds pour jouer ensemble sous les yeux des directeurs-policiers qui ont appliqué les directives en excluant les seconds ? - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
31/07/2019 20:19
Dr Vincent Reliquet
Bonjour Emilio, Le copié-collé connaît des limites, nous avons bien compris que tu citais le Dr Marc Girard. Au moins, merci de "nettoyer" ton (son) texte de ses renvois de bas d'article, c'est pénible et un peu désagréable de les rencontrer à chaque ligne ou presque... - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
31/07/2019 18:20
Emilio
La question du rapport bénéfice / risque des vaccins est pliée ... les vaccins sont objectivement dangereux et inutiles, parce qu'ils préviennent des risques qui sont insignifiants au regard du risque. Côté ETUDE CLINIQUE : [La question de la puissance statistique La chose échappe manifestement, cette fois, aux disciples de l’École de Francfort : mais la notion de puissance statistique est fondamentale et c’est mon avis qu’on ne devrait pas occuper l’espace public en dissertant sur l’industrie pharmaceutique si l’on ne maîtrise pas cette notion pourtant basique… En l’espèce, il s’agit simplement de savoir quelle doit être la fréquence spontanée d’un effet indésirable pour qu’il soit détecté lors d’essais cliniques (sous réserve, encore, que ceux-ci soient bien menés). Avec les vaccins, tout porte à croire qu’elle doit être de l’ordre de 1/100 [16]. Dès lors, quand vous administrez un vaccin à toute la progéniture française d’une année (c’est-à-dire, en gros, à 830 000 bébés), vous affrontez la zone d’ombre des effets indésirables non détectés par les essais cliniques, laquelle est susceptible d’inclure jusqu’à 8 300 personnes par vaccin : sachant que ces chiffres sont multipliés par le nombre de vaccinations effectuées (soit, avant sur la première année, 12x8 300 = 99 600 personnes). Ce chiffre d’environ 100 000 bébés exposés chaque année à un risque d’effets indésirables non détectés par les essais cliniques (et dont aucun grand média ne parle jamais) mérite d’être mis en parallèle avec le foin organisé par ces mêmes médias (n’est-ce pas, M. Cymes ?) lorsque un accident infectieux survient sur une période de plusieurs années, chez un sujet prétendument non vacciné [17]. Sur la base de ces chiffres simples à comprendre – sauf peut-être à Francfort –, on mesure le sérieux des responsables et des journalistes qui n’ont jamais de mots assez durs pour dénoncer l’intolérabilité du risque infectieux chez les non-vaccinés…] Côté PHARMACOVIGILANCE (article MG Gardasil) : [De nouveau à la louche et sans autre objectif que de cadrer grossièrement les évaluations requises par l’espèce, admettons qu’une vaccination généralisée par Gardasil permette de prévenir 20% des décès imputables aux cancers du col [31]. À l’échelle de la France, on verrait donc environ 200 décès épargnés chaque année. On peut admettre qu’un risque grave admissible ne devrait pas dépasser, quantitativement, 1% du bénéfice attendu [32], de telle sorte que l’on pourrait exiger que Gardasil ne cause pas plus de 2 décès chaque année en France. À raison de 400 000 nouvelles jeunes filles chaque année en France et de trois injections pour assurer la protection, on peut considérer que (quel que soit l’âge de la vaccination et l’espacement des injections), la préservation annuelle de 200 vies requiert, chaque année, 1,2 millions d’injections [33]. Ainsi, l’objectif d’un rapport bénéfice/risque acceptable impose donc que 1,2 millions d’injections ne causent pas plus que deux décès. La conclusion va de soi, sauf pour les super-Dupont de la recherche clinique : je ne connais pas une seule méthode de pharmacovigilance qui permette de repérer des phénomènes à la fréquence infime de 2/1 200 000. J’ai noté plus haut qu’au cours du développement, les autorités n’ont jugé ni utile, ni possible d’analyser les complications survenant à une fréquence de 2% ou moins : elles ont donc jeté l’éponge pour des niveaux de fréquence pourtant quelque 10 000 fois supérieurs à ceux qui seraient requis pour garantir une pharmacovigilance épidémiologiquement significative [34]… Cet abîme statistique est justement au cœur de la principale objection que l’on peut adresser aux stratégies préventives qui conditionnent pourtant la rentabilité de plus en plus insolente des lobbies pharmaceutiques. À partir du moment où, dans une stratégie curative concernant des gens déjà malades, on vise un bénéfice chez une majorité d’entre eux, la fréquence des complications tolérables relativement à un tel bénéfice est également nettement plus élevée et à la portée d’études relativement peu discriminantes : si, par rapport à une maladie systématiquement mortelle, on vise une survie de 80% avec un nouveau médicament (soit 80 personnes sur 100 effectivement sauvées), un taux de complication grave de 1% (et même de 10%) serait tout à fait acceptable : or, pour détecter une complication survenant chez 1% des patients traités, on a juste besoin d’inclure 300 patients (et seulement 30 si on admet comme tolérable une fréquence de 10%). À l’inverse, dans une stratégie préventive qui vise des gens en parfaite santé dont une proportion infime fera une forme grave de la maladie, la possibilité de détecter une complication proportionnée à ce bénéfice statistiquement minuscule s’effondre très en deçà des méthodes disponibles : ainsi, par rapport à l’hépatite B qui, quoi qu’on en ait dit, ne causait pas plus que quelques centaines de formes graves chaque année, un nombre acceptable de complications iatrogènes graves n’aurait pas dû dépasser de beaucoup une petite dizaine ; mais dans une stratégie de vaccination « universelle » où l’on a vacciné 25 millions de personnes en quelques mois, aucune méthode au monde ne permet de repérer des complications dans un pourcentage aussi infime [35]. Ainsi, alors que les méthodes de pharmacovigilance étaient déjà assez grossières [36] à l’époque où l’on s’appliquait à repérer des fréquences de complications relativement élevées, puisque adaptées à un bénéfice attendu réel et potentiellement massif, elles sont tout simplement hors circuit depuis que l’enjeu est de détecter des fréquences quasi infinitésimales, pourtant seules acceptables relativement un bénéfice au mieux minime à l’échelle individuelle. Les promoteurs de Gardasil ont donc beau jeu de balayer toute alerte de sécurité au motif que les méthodes ne sont pas fiables, que la notification est biaisée, etc. [37]. En spécialiste éprouvé de la pharmacovigilance, je confirme qu’ils n’ont pas entièrement tort. Mais la faille de leur raisonnement n’en ressort que mieux. Alors que la justification classique du fast track est qu’on ne va quand même pas priver les gens des bénéfices inconcevables liés à tel ou tel nouveau médicament, et qu’il sera toujours temps d’évaluer « en conditions réelles » les effets indésirables une fois cette merveille commercialisée : i/ de quels bénéfices peut-il s’agir puisqu’on n’a pas pris la peine de les objectiver proprement [38] ? ii/ comment faire pour évaluer la tolérance puisque aucune méthode n’est recevable aux yeux des fabricants – et surtout pas la notification spontanée qui, quoi qu’on en veuille et faute de mieux, reste LA première façon de surveiller un médicament une fois sur le marché ? Il en résulte que la procédure du fast track n’est qu’un blanc-seing pour autoriser la commercialisation de médicaments qui n’ont été proprement évalués ni du point de vue de l’efficacité, ni de celui de la tolérance. Pandemrix avait déjà été un bon exemple ; Gardasil en est un autre [39]…] - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
31/07/2019 18:17
Brigitte Fau
Relisez à tête reposée. Oui nous connaissons depuis très longtemps ce que l'on appelle maintenant le microbiote : ces microbes qui vivent sur notre peau, dans nos intestins ... Toutefois, ce que les chercheurs découvrent (enfin) c'est que des gènes microbiens envahissent aussi le sang, les organes ... Ils ont trouvé ces gènes mais ne savent pas encore d'où ils proviennent. La nuance microbiome (matériel génétique microbien) et microbiote est importante. Les chercheurs doivent trouver l'origine de ce microbiome. Mais ils ne connaissent pas les travaux de Béchamp, qui avait découvert que nous sommes peuplés de petites entités ayant un rôle vital mais capables en fonction du milieu de développer différents microbes. Les microbes sont la conséquence d'un déséquilibre et non la cause de la maladie de son point de vue. Cela change tout. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
31/07/2019 17:01
Kali Méro
Bonjour Hypatie A, Merci beaucoup pour cet excellent documentaire et pour la bibliographie scientifique de grande qualité qui l'accompagne. C'est un énorme travail que vous avez effectué. J'aimerais souligner l'intérêt d'un site que vous mentionnez Vaccines Papers http://vaccinepapers.org/ dont l'auteur est un scientifique anonyme souhaitant rester sur le terrain du débat scientifique. - Et si notre organisme n'était pas du tout stérile, un siècle d'erreurs scientifiques
31/07/2019 16:38
Samir Barahj
Je suis largué je ne comprends rien à l'article ni à de nombreux commentaires. On parle de nanoparticules visibles (nano) au microscope à fond noir directement dans le "vivant"je me demnde quel microscope à dfond noir en est capable. On me parle de fragments cellulaires dont des bouts d'ADN dans le milieu intérieur, qui s'assembleraient façon Lego ou Duplo. Et ça ferait quoi ? Des cellules. On me parle de la découverte récente du microbiome, des microbiotes. Ca alors ! Dans les années 70 j'ai appris dans une faculté de médecine reculée très au Sud, que nos organismes à nous les êtres supérieurs, au dessus de la paramécie en tout cas (mais je ne suis pas sûr pour la paramécie) , étaient tous en harmonie avec des hordes paisibles de ce que l'on appelait germes commensaux. Autre temps autre nom. Je discutais médecine et biologie avec mon oncle et mon grand père, médecins, formés aussi très au Sud avant que de migrer tardivement vers le froid, il ne me semble pas qu'on leur eût appris autre chose. On étudie beaucoup la flore commensale de nos jours (microbiotes, microbiome) mais on la connait depuis bien longtemps et on ne m'a jamais appris dans ma contrée reculée (?) que l'intérieur de l'orgabnisme était stérile. Quand je lis "Le terme microbiome décrit le matériel génétique codant pour les différentes populations microbiennes (microbiote) qui peuplent notre corps.", je me demande ce que vous voulez dire. Problème de rédaction peut-être ? Il n'y a pas de "matériel génétique" qui se balade dans notre organisme comme ça là des bouts d'ADN (enfin de l'ADN et de l'ARN qui se baladent il y en a mais c'est le destin dont je parle) matériel génétique balladeur donc qui se mettrait à coder a fabriquer ici un colibacille, là un Streptococcus Aubalcon. Je suppose que ce n'est pas ce que vous voulez dire mais des esprits non préparés (pour faire allusion à Pasteur : https://citations.ouest-france.fr/citation-louis-pasteur/chance-sourit-aux-esprits-bien-16263.html ) pourraient le comprendre ainsi. Le microbiome dans une de ses acceptions c'est plutôt une bibilothèque virtuelle des ADN ou ARN connus. L'autre acception c'est un synonyme de microbiote(s) et le contexte fait la différence entre les 2 acceptions. Pour citer une source scientifique irréfragable, Wikipedia (je galège un peu) : "A microbiota is an "ecological community of commensal, symbiotic and pathogenic microorganisms" found in and on all multicellular organisms studied to date from plants to animals. A microbiota includes bacteria, archaea, protists, fungi and viruses. Microbiota have been found to be crucial for immunologic, hormonal and metabolic homeostasis of their host. The synonymous term microbiome describes either the collective genomes of the microorganisms that reside in an environmental niche or the microorganisms themselves. Bon il va falloir que je relise à tête reposée, gardant l'esprit ouvert par principe. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
31/07/2019 12:31
Docteur AM
Bonjour à tous, je pense après toutes ces lectures qu'il vous manque un point précis sur lequel la démarche scientifique n'a pas sa place, c'est la perception du risque. Cela pourrait même faire l'objet d'un article à part entière. La perception du risque en médecine subit la même évolution que dans tous les autres axes de la société, c'est à dire la perspective utopiste du 0 risque du fait du progrès technologique. Et donc on se retrouve en fait a discuter scientifiquement de quelque chose de tout a fait subjectif qui est la perception qu'ont les gens du risque de développer une maladie et derrière une complication. Ces risques sont largement amplifiés par les canaux de communication habituelle. Par contre ces risques qui "dérangent" ie. les effets indésirables des procédures thérapeutiques vaccins et autres produits de santé sont systématiquement sous évalués et sous perçus car ils remettent aussi en cause le système techno médical bien établi dans lequel la majorité des patients croit!! Une partie de la solution est donc de ce fait d'aller dans les croyances et les représentations pour explorer les modifications possibles. Sinon c'est un dialogue de sourd comme actuellement. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
31/07/2019 12:08
Bernard Guennebaud
Certains pays ont des couvertures vaccinales très élevées, ce qui fait que l'obligation n'y est pas nécessaire. Dans ces pays la population a gardé confiance dans l'autorité, aussi, elle suit les recommandations de celle-ci. "Si l'Etat nous dit que c'est bon pour nous, c'est que c'est vrai". Aussi très peu de personnes s'interrogent de façon plus autonome comme nous le faisons ici-même. Faut-il pour autant envier ces pays ? Si nous y étions nés, il est fort probable que nous serions presque tous convaincus de la nécessité absolue de ces vaccinations et que nous fustigerions les rares illuminés qui diraient le contraire. Ce pour dire que ce n'est pas l'obligation mais la pratique généralisée de ces vaccinations, qu'elle ait été obtenue par la contrainte ou par la persuasion, qui pose problème. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 19:51
Emilio
Il faudrait surtout comprendre la philosophie qui se cache derrière les obligations vaccinales et à quelle genre de catastrophe elles vont mener ce pays ... et leurs enfants : http://www.rolandsimion.org/spip.php?article382 http://www.rolandsimion.org/spip.php?article385 http://www.rolandsimion.org/spip.php?article404 http://www.rolandsimion.org/spip.php?article431 - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 18:31
Maria
Bonjour, 1) Concernant les vaccinations en général Je veux m'adresser en premier à John Doe: Il n'y a PAS de balance bénéfice-risque pour la vaccination: étant donné qu'il s'agit d'injecter une substance X à un humain en bonne santé, il faut pouvoir comparer le devenir médical des personnes vaccinées comparées à celles non vaccinées. Cela est un préalable SCIENTIFIQUE à toute conclusion sur l'intérêt des vaccins. A l'heure actuelle, outre l'étude sur les ovins dont parle Apathie il y a très peu d'études dans ce sens: une petite étude allemande (trop petite), concluant à une meilleure santé chez les NON-vaccinés, et surtout l'étude Danoise parue au printemps 2018: une étude publiée par une équipe scientifique danoise (pro-vaccins!) a montré que la mortalité était deux fois supérieure chez des groupes de bébés vaccinés et bien nourris que chez des groupes d’enfants non vaccinés et mal nourris (https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2018.00079/full ). De telles études doivent se multiplier; ce qui impose de supprimer l'obligation vaccinale! 2) A propos de l'aluminium une revue étudie les mécanismes en jeu dans les neuropathologies chroniques de l'adulte (surtout Alzheimer) et de l'enfant (surtout Troubles du Spectre Autistique), parue en 2017 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5596046/ ). Cette étude passe en revue les mécanismes biochimiques complexes de la toxicité de l'aluminium et aussi son action sur le système immunitaire. Malgré l’extrême prudence des auteurs (l'autisme serait dû à une sensibilité génétique particulière (!!!), l'article conclut: "Il semblerait prudent d'essayer de trouver dès que possible une alternative aux adjuvants à base d'aluminium et d'éliminer progressivement leur utilisation. " Il y a aussi les études du prof. Exley (dit "Mr aluminium") qui a trouvé de l'aluminium dans les cerveaux d'autistes, en quantité ... - Pierre Lance rejoint le comité scientifique de l'AIMSIB
30/07/2019 18:18
AUGENDRE
J'ai commencé à lire Pierre Lance vers 2005, j'avais lu, dans les années 1990, "Les microzymas" d'Antoine Béchamp donc je me suis en harmonie avec Pierre Lance. Sa lettre au président Macron m'a beaucoup plu. Il rejoint l'AIMSIB, c'est logique. a - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 16:40
Hypatie A
Et n'oublions de rendre les laboratoires légalement responsables de leurs produits, au passage, car on oublie que c'est l'Etat qui est responsable des vaccins obligatoires, en cas d'accident vaccinal. Et encore faut-il parvenir à le prouver... ce qui n'est pas évident. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 15:57
Etcheverry
On vient de "dérembourser" l'homéopathie au prétexte que son efficacité n'a pas été "scientifiquement prouvée". Cela est discutable, mais soit! Appliquons dès lors la même règle à tous les médicaments et particulièrement aux vaccins qui sont les premiers médicaments que nos enfants subissent. L'efficacité d'un vaccin n'a jamais été scientifiquement établie et ne le sera jamais pour des raisons évidentes. "Déremboursons" donc les vaccins pour cause d'efficacité non- prouvée. Allons même un peu plus loin: cessons de les rendre obligatoires car ils entraînent des effets indésirables avérés, et nombreux, et graves, (ce qui n'est pas le cas de l'homéopathie). - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 14:50
Hypatie A
Bien sûr ! Diffusez largement, c'est le but 🙂 Merci ! - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 12:46
Dr Vincent Reliquet
Hep, Jean-Pierre! Donne-nous l'adresse de ton blog! Et n'oublie pas ta petite promesse! - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 12:08
Dr Jean-Pierre Poinsignon
Bonjour et bravo Hypatie A, le travail et le témoignage d'une maman est aussi, sinon plus, important que le combat du Professeur Henri joyeux, qui se bat contre l'aluminium dans les vaccins depuis de nombreuses années. La chambre disciplinaire nationale du conseil de l'ordre des médecins avait annulé la radiation, dont il avait fait l'objet, mais l'intelligente ministre actuelle a fait appel de cette décision devant le conseil d'État ! Où a-t'on - vu des conseillers du Prince dire autre chose que ce que le dit prince voulait entendre ? M' autorisez vous à mettre sur mon modeste blog l'adresse Web pour accéder à votre excellent film documentaire pédagogique intelligent et percutant ? Encore merci pour ce travail de Salubrité publique, grâce à l'Amour intelligent d'une maman pour son bébé. L'Amour sera plus fort que la connerie et la cupidité humaine. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 11:33
Hypatie A
Vous devriez lire la préface de la nouvelle édition en poche de Toxic Story 🙂 Vous verrez que le Pr Gherardi a bien radicalisé son discours... lui aussi commence à en avoir assez de tout ce délire ! Par ailleurs, il prend sa retraite : je pense que ça devrait libérer sa parole... - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 09:54
Anonyme
Bonjour Hypatie A, Merci beaucoup pour ce documentaire exceptionnel qui résume parfaitement le problème. Tout personne saine d'esprit ayant des enfants sait à quoi s'en tenir... - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
30/07/2019 08:59
Hypatie A
Bonjour, ce n'est pas le Pr Gherardi qui a obtenu l'ANR (le financement), mais la Dr Guillemette Crépeaux, Son travail porte notamment sur l'autophagie/xénophagie des macrophages qui est au coeur du dérèglement du système immunitaire. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
29/07/2019 22:26
Emilio
Je ne retiendrai qu'une seule chose de l'article de l'Obs relayé par @Njama, ce propos : "Allons vers la meilleure couverture vaccinale possible, quitte à utiliser l’obligation si l’on pense que c’est nécessaire, et, en même temps, faisons les recherches qui doivent être faites sur la toxicité des adjuvants et sur les gènes de susceptibilité." Gherardi ne voit aucun problème à l'HUMILIATION des familles provoquée par l'obligation vaccinale... Et vous savez quoi ? Son objectif de financement de 670 000 a été atteint (enfin 650 000) en ce mois de juillet 2019, c'est ce qu'affirme E3M : https://mailchi.mp/9b2c792f8d9d/vaccination-10-mesures-prendre-durgence-2493877?e=58ace95722 C'est à dire que ce type, qui a toujours été clair sur le fait qu'il n'était pas "farouchement" opposé aux obligations vaccinales ou d'accord à 95% avec Alain Fischer et ses incroyables préconisations ... se voit accorder des financement par l'Agence Nationale de Recherche dirigée par Thierry Damerval : https://presse.inserm.fr/thierry-damerval-quitte-ses-fonctions-apres-10-ans-passes-a-la-direction-generale-de-linserm/30176/ L'équipe de Gherardi se voit accorder des financements par ces mêmes représentants de l'Etat qui ont activement oeuvrés aux obligations vaccinales (souvenez-vous des articles de propagande sur la nécessité des obligations vaccinales). Vraiment vous ne voyez pas comme un léger problème d'honnêteté intellectuelle dans l'attitude toujours complaisante de ce type à l'égard des autorités sanitaires qui a détourné l'attention des citoyens du GRAVE problème des obligations vaccinales avec ses histoires d'aluminium ? Depuis longtemps, je vous ai averti du fait que tout ceux qui parlaient continuellement de l'aluminium sans jamais dénoncer les obligations vaccinales servaient simplement à empêcher le citoyen de conscientiser la GRAVE MENACE POSEE PAR LES OBLIGATIONS VACCINALES - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
29/07/2019 17:52
njama
Le professeur Romain Gherardi... répond aux questions de « L’Obs » .Vaccins : « Nous ne savons pas grand-chose sur les effets de l’aluminium » L’Obs > Santé 24 sept. 2017 L'Obs : Pourquoi ce choix du tout-aluminium ? R.G. : J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium. De plus, pour obtenir l’immunisation, avec le phosphate, on n’avait besoin que de deux injections alors qu’il en fallait 3 avec l’aluminium. Mérieux a dit : « On préfère vendre 3 vaccins plutôt que 2 ». Il faut comprendre que la politique vaccinale est très déterminée par des intérêts financiers... https://www.nouvelobs.com/sante/20170924.OBS5079/vaccins-nous-ne-savons-pas-grand-chose-sur-les-effets-de-l-aluminium.html business as usual ! La toxicité de l’adjuvant aluminium est pourtant connue depuis quelques décennies quoiqu’en dise Mme Buzyn... extrait page 11 : Les choix raisonnables de l’Institut Pasteur n’ont ainsi pas résisté au « réalisme économique ». « Nous avons regretté que lors de la fusion Institut Pasteur-Institut Mérieux, le vaccin de ce dernier, sur aluminium adsorbé, ait été préféré aux vaccins Ipad sur phosphate de calcium pour des raisons politiques, même si les vaccins Ipad faisaient 40 % du marché aussi bien en France qu’à l’export », déplore ainsi le Dr Jean-Paul DAMAS, lauréat de l’Académie nationale de médecine et ancien interne de l’hôpital de l’Institut Pasteur. Une analyse partagée par le Dr Louis LERY*, de l’Institut Pasteur, dans une lettre adressée à la Sous-Direction des Affaires scientifiques du ministère des Affaires sociales le 29 septembre 1987 (31) : « (...) les publications portant sur les effets toxiques ou les effets indésirables de l’aluminium et de l’hydroxyde d’alumine sont de plus en plus nombreuses, d’année en année. Cet élément pousse ainsi à préférer des produits adjuvantés avec un autre sel minéral comme le calcium, composant habituel de notre économie générale. Récemment, en juillet dernier, l’administration américaine a pris des positions nettes concernant les allergènes retard contenant de l’hydroxyde d’alumine. » Malheureusement, ces alertes des chercheurs de l’Institut Pasteur ne furent pas entendues. La lecture du Vidal 1987 et du Vidal 1988 atteste de ce changement. En effet, sous le même numéro d’AMM, les vaccins IPAD ont été transformés en vaccins soit sans adjuvant (DTPolio, TP, Polio), soit avec hydroxyde d’aluminium (DT, DTCP, T)... source : pages 10-11 LE DOSSIER INTÉGRAL PHOSPHATE DE CALCIUM : UNE ALTERNATIVE AUX SELS D'ALUMINIUM Association E3M septembre 2015 https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/09/Le-phosphate-de-calcium-Une-alternative-aux-sels-daluminium.pdf * Les copies des courriers du Dr Louis Lery à Mme Lecomte, PDG de Pasteur Vaccins (1986), ainsi que celui adressé au ministère des affaires sociales (1987) figurent en Annexe du PDF pages 13 à 16) - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
29/07/2019 15:28
Bernard Guennebaud
Le concept de balance bénéfice-risque se présente très différemment pour un médicament et pour une campagne de vaccination : Dans le cas du médicament les 2 aspects concernent le même individu, la personne malade et qui reçoit le médicament avec ses inconvénients et ses risques et son action sur la maladie. Dans le cas d'une campagne collective de vaccination, les risques ne concernent pas forcément ni uniquement ceux qui auraient fait la maladie en l'absence de vaccination. Exemple : des enfants et de jeunes adultes ont été frappés de narcolepsie, maladie incurable et qui bousille une vie et empoisonne celle des proches, à la suite de la vaccination contre la grippe H1N1 2009 par le vaccin Pandemrix de GSK. Ces personnes, mêmes frappées par cette grippe auraient-elles eu à subir toute leur vie des conséquences aussi graves et quelle bénéfice la collectivité a-t-elle tirée de leur vaccination par rapport à la propagation de la grippe ? En pareil cas, vécu il y a moins de 10 ans, on constate que le bénéfice-risque n'est pas du tout de même nature que dans le cas de l'utilisation d'un médicament. Pour cette grippe il ne pouvait être évalué qu'à posteriori, plusieurs mois au moins après son utilisation. Or il fut affirmé par l'Afssaps (l'ANSM de l'époque) dès octobre 2009 que cette balance bénéfice-risque était positive alors que le risque de narcolepsie par exemple était inconnu à l'époque ainsi que la durée de l'épidémie qui fut affirmée terminée vers le 15 janvier 2010, en tant qu'épidémie même s'il y eut encore des cas. En pareille situation, les bénéfices et les risques étaient inconnus au moment et pendant toute la durée non seulement de la campagne de vaccination mais aussi de l'épidémie. Sur cet exemple on est contraint de reconnaître que la balance bénéfice-risque est inopérante. On ne peut donc s'appuyer sur son impossible évaluation pour décider du lancement plus ou moins contraint de cette campagne de vaccination pour laquelle il avait quand même été envisagé en juin 2009 de la rendre obligatoire pour l'ensemble de la population. Une circulaires du 21 août 2009 et une déclaration d'un général de gendarmerie du ministère de l'Intérieur en septembre affirmaient même qu'elle serait obligatoire pour les personnels des centres de vaccination d'une part et pour les gendarmes de l'autres. La circulaire du 28 octobre annulera la première décision (qui demandait un décret) et la seconde sera abandonnée devant des manifestations de gendarmes en civil. La conclusion qui s'impose à partir de cet exemple est qu'affirmer qu'il serait " indispensable de recourir a la comparaison des risques ou regard des benefices pour decider de l’administration d’un traitement" conduit l'autorité sanitaire à déclarer cette balance positive alors qu'il est IMPOSSIBLE de l'évaluer avant la campagne. C'est pourquoi c'est bien le concept de balance bénéfice-risque qui pose problème en pareil cas et pas seulement une évaluation qui serait défaillante faute de moyens suffisants alors que, du moins sur de telles situations et sans préjuger d'autres situations très différentes comme dans le cas d'un médicament utilisé depuis longtemps, - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
29/07/2019 14:52
Hypatie A
Eh bien, comme je le dis au-dessus, je pense personnellement que l'on devrait changer de définition et ne plus dire "balance bénéfice-risque". Ce concept est biaisé de base, il induit l'idée d'un simple risque, qui est par nature potentiel (ou pire, les "effets secondaires" qui paraissent encore plus insignifiants), face à un bénéfice qui serait lui, bien réel... On devrait au contraire parler de bénéfices potentiels VS effets indésirables (voire préjudice) avérés (chiffrés le plus précisément possible). En fait, il faut inverser la logique, surtout pour les vaccins (pratiqués sur des nourrissons neurologiquement fragiles et sains). Et tout cela passe par le choix des mots : refusons cette horrible langue de bois des industriels qui nous fait accepter que les effets indésirables soient considérés comme quasi inexistants. On devrait également remettre au centre le consentement éclairé, sur la base justement de ces préjudices réels : un médecin devrait pouvoir dire : "voilà les effets indésirables relevés, voilà le bénéfice potentiel que l'on peut espérer". Je suis certaine que si l'on pensait collectivement dans ce sens, alors la sécurité des médicaments en général (et des vaccins en particulier) deviendrait une priorité, ce qui n'est malheureusement pas le cas aujourd'hui. Il faudrait donc trouver un autre nom à ce concept afin de remettre au centre la réalité des effets indésirables : même le mot "balance" implique une certaine forme de légèreté et d'égalité entre les termes. C'est inacceptable. Tant qu'on acceptera cette définition, les "effets indésirables" (et jamais "secondaires") ne seront pas pris sérieusement en considération. Vous comprenez mieux où je veux en venir ? - Le jeûne: simple, naturel et efficace?
29/07/2019 14:50
Surya
tu as testé un jeûne sur une fenêtre de 24 heures ou 36 heures au lieu de 16 ? - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
29/07/2019 09:44
Hypatie A
à John Doe : Eh bien, vous m'expliquerez comment on peut calculer une "balance bénéfice-risque" alors que la pharmacovigilance est officiellement déficiente et qu'elle ne relève au mieux du mieux que 10% des effets indésirables (et on est plus probablement autour des 1% pour les effets indésirables de la vaccination). C'est parfaitement reconnu et officiel : - La revue du Praticien le dit (https://docdro.id/OTqmcF4) - Des études le disent comme Hazell 2006 : « Under-Reporting of AdverseDrug Reactions A Systematic Review 2006 » - un rapport du HHS américain le dit : https://paleofam.com/wp-content/uploads/2019/02/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf « less than 0.3% of all adverse drug events and 1-13% of serious events are reported to the Food and Drug Administration (FDA). Likewise, fewer than 1% of vaccine adverse events are reported. Low reporting rates preclude or slow the identification of “problem” drugs and vaccines that endanger public health. New surveillance methods for drug and vaccine adverse effects are needed. » Je traduis le plus important : "moins de 1% des effets indésirables des vaccins sont signalés." Les problèmes de pharmacovigilance se situent à bien des niveaux, évidemment (ce n'est pas qu'une question de déni du corps médical) : En France, vous avez le témoignage de la famille d’Oriane, qui a développé un syndrome de fatigue chronique suite aux 3 doses de Gardasil, qui est symptomatique : mère infirmière, père anesthésiste, c’est lui-même qui a vacciné sa fille. Ce médecin a été obligé de déclarer 3 fois l’accident vaccinal de sa fille à la pharmacovigilance, car les 2 premières fois, le dossier a disparu ! Et il est médecin ! Alors vous imaginez pour M. tout le monde ? Regardez ce témoignage : Si nous étions vraiment rationnels, nous parlerions "de bénéfices potentiels" et d'"effets indésirables avérés" : car ces effets devraient être bien mieux relevés et contrôlés. L'aluminium a une toxicité extrêmement retardée : mais il n'est plus possible aujourd'hui de fermer les yeux, devant l'accumulation des preuves et le meilleure compréhension des mécanismes. De facto, invoquer la "balance bénéfice-risque" relève de la croyance et non de la Science. C'est très utile pour passer sous le radar les troubles iatrogènes. Mais c'est vous qui voyez. - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
29/07/2019 08:39
Hypatie A
Bonjour Madame, ce que l'on peut faire : s'informer, étudier, lire toutes les études disponibles (il y en a de plus en plus) et refuser de se laisser imposer des pratiques obsolètes pour ne pas dire barbares. Cela implique d'y passer du temps et de se constituer un dossier solide... Et ne plus accepter l'argument massue de "la balance bénéfice-risque" qui n'a rien de scientifique, mais relève purement et simplement de la croyance. Nous devons être collectivement plus exigeants, plus sûrs de nous et plus intraitables dans ce domaine (comme bien d'autres...) - Aluminium vaccinal l'article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites
28/07/2019 21:42
France Pichon
Que peut-on faire pour notre protection, surtout celle de nos enfants et petits enfants ? Merci pour vos lumières et votre action. - Coqueluche, hépatite B, vaccins combinés: Tout comprendre en 180 pages
28/07/2019 13:23
njama
Nous avons toutes raisons de penser que l’ANSM (ex Affaps) dispose depuis plusieurs décennies des données nationales concernant les déclarations d’accidents post-vaccinaux, par années, âges, et types de vaccins, puisqu’elle les collecte, et qu’elle use vraisemblablement de statistiques. Ces informations sont-elles pour autant accessibles au public ? Le cas de l’Allemagne d’après le livre « Vaccinations, le marché de l’angoisse », du Dr Gherard Buchwald, un médecin qui a passé plus de 40 années de sa vie à étudier la question des effets secondaires de vaccins. (extraits pages 187 et 188 repris pages 14 et 15 du PDF) : Au temps de l’Empire, les vaccinations étaient surtout réalisées par les Centres de vaccination de l’État. Ceux-ci étaient rigidement organisés et tous les incidents liés aux vaccinations devaient être rapportés au ministère impérial de la Santé qui se trouvait à Berlin. L’obligation de déclaration persista lorsque le ministère impérial de la Santé devint le ministère de la Santé du Reich et, après la Deuxième guerre mondiale, le ministère fédéral de la santé. Étant donné qu’aujourd’hui aussi tous les incidents liés à la vaccination doivent être déclarés auprès du ministère fédéral de la Santé, celui-ci doit être en possession de la liste complète ou presque de toutes les personnes ayant subi un accident post-vaccinal depuis 1875. Durant la dernière guerre le ministère du Reich de la Santé a été gravement endommagé par les bombes. Il est possible que de vieux dossiers aient été détruits à cette occasion. Ces informations sont-elles pour autant accessibles au public ? Mais le ministère fédéral de la Santé dispose de chiffres exacts se rapportant à la période débutant après la guerre. Ces chiffres n’ont jamais été publiés. J’ai essayé à plusieurs reprises d’avoir accès à ces chiffres. On a toujours rejeté ma demande en me disant que le secret médical ne permettait pas leur divulgation et qu’en outre les réglementations relevant de la protections des données personnelles interdisaient la divulgation de ces statistiques. Pour la première fois on a admis dans le Bundesgesundheitsblatt 12/93, p. 516 et 3/94, p. 109, que le ministère fédéral de la Santé dispose de statistiques sur les accidents post-vaccinaux, ce qui a toujours été nié jusqu’alors. Il est surprenant de lire qu’il y avait 71 accidents post-vaccinaux reconnus suite à des vaccinations de type DTCoq, 63 suite à des vaccinations DTPCoq, 19 après vaccinations anticoquelucheuses, 16 après des vaccinations DTCoq-Rougeole-Polio et 1 accident post-vaccinal reconnu consécutivement à des vaccinations à une vaccination DTCoq-Rougeole. Cela signifie en tout 170 accidents post-vaccinaux reconnus et l’on peut penser que c’est la composante Coq (Pertussis ou coqueluche) qui est responsable de l’atteinte à la santé. Qu’en est-il de la comptabilité entre ce fait et l’affirmation de Stehr et de Heininger disant que la vaccination anticoquelucheuse serait sans danger et ne causerait aucun accident post-vaccinal ? http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Dr-Buchwald--symptomes-et-description-d-un-accident-post-va.pdf ------------------------- Il est donc très hautement probable qu’il y eut proportionnellement en France, comme dans bien d’autres pays au monde autant d’accidents post-vaccinaux qu’en Allemagne, sauf à penser que le gène aryen présenterait quelques faiblesses spécifiques et qu'une ligne Maginot nous en protégerait... mais madame Buzyn raconte aux français que les vaccins sont très sûrs. - Coqueluche, hépatite B, vaccins combinés: Tout comprendre en 180 pages
28/07/2019 11:53
njama
S'il est devenu impossible, en cas d’effet indésirable, d’attribuer la toxicité à l’une ou l'autre valence parmi les 6 , il est néanmoins possible semble-t-il d'attribuer la toxicité à l'ensemble, encore que comme pour le nuage de Tchernobyl, cela dépend de quel côté du Rhin l'on se trouve. Il est étonnant de voir que l'Hexavac®, le vaccin hexavalent de Sanofi Pasteur (équivalent de l'Infanrix Hexa® de GSK) qui fut autorisé en Europe en 2000, commercialisé en France en 2003, retiré de la vente le 17/11/2005, et dont l'AMM a été définitivement abrogée le 28/06/2012 seulement, c'est-à-dire juste une semaine après l'avis de l'EMA favorable à l'Hexaxim®, est toujoirs commercialisé. https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/98-hexavac Vaccins hexavalents & œdèmes cérébraux mortels du nourrisson (Extrait du documentaire de Valentin Thurn, sur Arte en 2007) Presque chaque jour, des corps dont la cause du décès est inconnue sont transférés à l’Institut Médico-légal de Münich, et autopsiés sur demande du Ministère public. Au cours des dernières années, des découvertes inhabituelles ont été faites sur les corps de plusieurs nourrissons. En 25 ans de carrière, le professeur Randolph Penning a autopsié plus de 10.000 corps. Il a récemment constaté une multiplication des cas d’oedèmes cérébraux chez les nourrissons comme il n’en avait jamais vus depuis qu’il exerce. (4’50) « Le Vaccin, un geste anodin » Extrait du documentaire sur ARTE en 2007 https://www.youtube.com/watch?v=oAeKUWw-g3U En 2002, nous avons été amenés, en l’espace d’un mois, à examiner plusieurs corps d’enfants qui avaient été vaccinés peu de temps auparavant. Nous avons remarqué que leur cerveau était très dur. Et lorsque le cerveau d’un nourrisson est dur, c’est pour nous un signe qu’il est peut-être mort par asphyxie. Ni notre Institut, ni la police criminelle ne pensions qu’il pouvait s’agir d’homicides, mais les résultats que nous obtenions étaient suspects. Depuis l’introduction du vaccin hexavalent sur le marché, sur 120 enfants autopsiés, nous avons eu 6 cas de décès survenus le jour ou le lendemain de la vaccination. Cette multiplication des cas nous a alertés. Il y a environ 300 médecins légistes en Allemagne. On se connaît entre nous. J’ai eu l’occasion de discuter avec des collègues qui ont autopsié des enfants dans ce cas, et d’après eux, tout semble indiquer qu’il y a un lien entre le vaccin hexavalent et ces décès qui sont survenus le jour-même ou dans les 48 heures qui ont suivi la vaccination. ... (source) http://initiativecitoyenne.be/2015/08/vaccins-hexavalents-oedemes-cerebraux-mortels-du-nourrisson.html - Le jeûne: simple, naturel et efficace?
27/07/2019 10:15
Inoxydable
@ Dr J. Rouiller. Je donne un peu de mes nouvelles concernant le jeûne 8X16 que je continue : Toujours glycémie basse sans perte de force, poids stabilisé à 155 Kgs depuis plusieurs mois. Je tenterai un jeune de 3 js ou 5 en automne, maintenant il fait vraiment trop chaud … Bien cordialement , Inoxydable Je tenterai de relayer votre article et vos conseils à des personnes qui me paraissent intéressés. - Simulies et maladies auto-immunes, une piste thérapeutique méconnue?
26/07/2019 11:11
hackmed
bonjour on ne trouve de la notezine nul part et je suis medecin....est ce que le zentel a les mêmes caracteristique ou le MABENDAZOL - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
24/07/2019 17:40
Inoxydable
Au fait, quel est le jugement du Conseil de l'Ordre SVP ? - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
24/07/2019 17:39
Inoxydable
Tant mieux à Raymonde. Mais voyez-vous, votre témoignage n'est qu'un cas d'espèce comme diront quelques esprits chagrins et qui ne sera jamais pris en compte par la HAS, comme celui que j'ai apporté par ailleurs. C'est en tout cas bon à savoir. Merci. - Haute Autorité de Santé et Cholestérol, des recommandations 2017 pires que prévues
20/07/2019 13:09
gdouca84
ils veulent donner des statines aux enfants X fragiles - Coqueluche, hépatite B, vaccins combinés: Tout comprendre en 180 pages
19/07/2019 13:26
Dr Vincent Reliquet
Merci chère Emma, Michel de Lorgeril se prend pour un chamois tous les ans à la même époque. Il serait même plus juste de dire que tous les ans les chamois se prennent pour Michel de Lorgeril car c'est bien lui qui grimpe le plus haut... Tes meilleures chances de lecture de sa part se situent sur son blog michel.delorgeril.info fais-lui la bise de ma part +++ - Coqueluche, hépatite B, vaccins combinés: Tout comprendre en 180 pages
19/07/2019 12:38
Emma
Bonjour Je n'ai pas encore reçu le livre en question, mais voici un lien qui explique en partie l'émergence de souches résistantes au vaccin de bacille de la coqueluche (au cas où M De Lorgeril n'en ait pas déjà eu connanissance) - lien trouvé sur la page de PIC : Physicians for Informed Consent) https://academic.oup.com/cid/article/60/2/223/2895696?fbclid=IwAR2IO4ifgAEi_QoXGsieNbZlsj-Qb9h8vktlO_OLT4Xn-VZzGNM7YRSwiLs - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
15/07/2019 15:23
RAYMONDE
Inoxydable, permettez-moi de glisser ce petit témoignage au sujet de l'homéopathie ... mon mari, ayant un taux d'acide urique plutôt élevé, peut se passer de l'"allopurinol" en le remplaçant par la teinture-mère de cassis (ribès nigrum) et le rhustoxicodendron. Son médecin est très étonné, mais, écoutez, les résultats sont là : il n'a pas refait de crise de goutte ... la science est loin de pouvoir tout expliquer, elle ne le pourra jamais! - Survenue des pathologies saisonnières selon la théorie de LC. Vincent
15/07/2019 12:51
Brigitte Fau
Merci pour ce témoignage. En effet, l'eau des fruits et des légumes, surtout s'ils ont poussé dans des conditions naturelles est excellente pour la santé. - Survenue des pathologies saisonnières selon la théorie de LC. Vincent
14/07/2019 21:03
Abhijna Atman
J'ai passé de l'eau robinet à de l'eau de source qui gaillit de la terre dans une forêt en campagne et j'ai senti la différence. Mais, lorsque je suis passé à faire des jus avec mon extracteur (eg. jus de melon d'eau), c'est à ce moment que j'ai compris profondément dans mon corps se que la vraie hydratation était! Si bien que boire de l'eau est devenu un peu décevant et insatisfaisant... Ehh oui, l'eau de fruit miam - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
14/07/2019 13:14
JK
@Inoxydable, vous citez deux fois la même étude. Mais cette étude est bien dans le rapport de la HAS. Vous l'avez lu avant de dire que ce rapport est politique et incomplet ? - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
14/07/2019 09:15
Inoxydable
@ John Doe ou Surya : J'aime bien vos analyses mais pas quand vous pinaillez sans vraiment chercher des études sur l' Homéopathie copiant en cela la HAS qui a agi politiquement. Voyez ça, peut-être y trouverez vous quelques articles qui sont passés entre les fourches caudines de cette honorable assemblée de médecins sciieeentifiques , ça vous évitera d'écrire " des « medecines » qui n’ont jamais reussi a montrer la moindre efficacite, que ce soit sur un critere intermediaire ou final !" http://europepmc.org/search;jsessionid=97B9DF615D7965FEEE292A879B52842A?query=JOURNAL:%22Homeopathy%22&page=1 Tenez, je vous en livre une étude plus ancien randomysé etc... : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28187404 ou celle-ci : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28187404 Mais bien entendu, je ne suis pas scientifique et je suis très crédule et bête pour me laisser abuser par ex. par des études Sud Américaines dont tout le monde sait que leurs chercheur ou médecins sont plus cons que chez nous … Maintenant, si vous avez la flemme de vérifier, je peux chercher pour vous, j'en ai d'autres à votre disposition. Je précise que je n'ai qu'un seul livre sur l'Homéopathie écrit apr le Dr. Alain Horvilleur pour vérifications après ordonnance : Je l'ai jamais "dire du mal" de la médecine allopathique et plutôt mettre en garde contre ceux qui prétendent guérir le cancer ou les infarctus avec l'homéopathie. - Gardasil©, la catastrophe approche
12/07/2019 17:20
Bonvalet
bonsoir, J'ai fait vacciner ma fille (2 doses) après avoir demandé conseil et évaluation à son médecin traitant. Que puis-je faire aujourd'hui et sur quels points dois-je être alerte ? - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
11/07/2019 22:10
njama
Pour ne pas faire davantage digression par rapport à l'article et recentrer sur le sujet je renvoie les lecteurs intéressés par le débat / ou la polémique sur l'homéopathie vers cet ancien article de l'AIMSIB, les liens qui l'accompagnent et les dizaines de commentaires dans sa suite. Médecines complémentaires : Une déclaration de guerre? 7 avril 2018 https://www.aimsib.org/2018/04/07/medecines-complementaires-une-declaration-de-guerre/ - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
11/07/2019 15:43
Surya
Note que c'est la même chose sur la branche génériques. La "R&D" doit se limiter à une optimisation du process de fabrication pour réduire les coûts au maximum (les frais de R&D de la branche "santé grand public" atteignent quand même 3% du CA et 4,4% des coûts de la BU chez Sanofi lol) - Vaccins pédiatriques obligatoires, best-of. En bonus, rigolons avec l'INSERM
11/07/2019 15:20
Maxime Tanchoux
Veuillez m’excuser de mon message si il n’est pas approprié ici. Sachants que les commentaires sont modérés j’ai préféré parler directement. Cela dit, vous pouvez tout à fait supprimer mon commentaire si il est gênant. - Vaccins pédiatriques obligatoires, best-of. En bonus, rigolons avec l'INSERM
11/07/2019 11:14
nicole Noël
mon "chut" s'adressait à maxime Tanchoux,et non à Njama,désolée! Son commentaire s'est intercalé et explique mon "chut",en fait... - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
11/07/2019 09:26
njama
Un petit documentaire qui intéressera certainement beaucoup d'aimsibiens : Enfin les preuves scientifiques des fondements de l'homéopathie, présentées par le Pr. Luc Montagnier, le Pr. Marc Henry, le Pr. Albert-Claude Quemoun, le Dr. Béatrice Milbert et Emmanuel Ransford. (27'30) https://www.youtube.com/watch?v=z5_SPltPuJg Ce documentaire est basé sur des interviews réalisées lors d'un congrès dédié à l'Homéopathie, la Physique Quantique et la Mémoire de l'Eau. https://www.homeopathie-francaise.com/index.php/l-homeopathie-en-images/preuves-scientifiques-des-fondements-de-l-homeopathie - La France, encore plus bananière aujourd'hui que le mois dernier
10/07/2019 18:11
fontaine
sans le premier m allait bien