Commentaires du site

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    14/06/2020 11:49
    Marcel
    A Henri Raoult a posé un gros problème aux spéculateurs en Bourse. Exemple flagrant, le cas Gilead : https://www.youtube.com/watch?v=ouUuLPxO23I

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    14/06/2020 11:29
    Eric Marquant
    Belle déclaration d'amour à laquelle il faut amener la précision suivante, Michel de Lorgeril n'est pas Professeur, comme nombre d'académiciens ; il est médecin, épidémiologiste, physiologiste et chercheur au CNRS.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    14/06/2020 09:11
    Mouna-Sophie Sophie Mountich
    Bonjour très cher Professeur, Nous vous remercions vivement pour la transmission de votre savoir. La lumière de vos connaissances éclaire et confirme l'intuition que de plus en plus de français ont : la confiance aux Médecins et Spécialistes indépendants et très courageux comme vous, la confiance aux naturopathes et homeopathe, à la médecine douce. Moi j'ai décidé de vivre dans cette confiance-la, comme beaucoup d'entre nous, et c'est vraiment grâce aux Professeurs courageux et généreux, qui donnent de leur savoir et de leur temps comme vous. Et j'en profite pour dire aussi que votre livre sur " les savoureuses recettes du régime méditerranéen " (Marie Chioca et Docteur Michel de Lorgeril et Patrick a Salen) regale toute ma petite famille. Il est super et on se porte très bien avec vos recettes. Nous vous aimons. Mouna-Sophie

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    13/06/2020 18:27
    Inoxydable
    @ Njama. Bravo, je ne connaissais pas cette histoire d'esprit quantique. On en apprend tous les jours. Evidemment, @ akira sursaute chaque fois qu'on écrit le mot "quantique" qu'il ne faut surtout pas sortir de la physique ce qu'il ne l'empêche pas de nous seriner son "cantique des cantiques" des torsades de pointe et des QT longs quand ce n'est pas sur les publications pestiférées dans des revues dont l'éditeur est/ serait Raoult himself .. ) Bon, faut s'y faire, il est fidèle aux explications de cet article (voir le 7émmement) : https://theconversation.com/sept-idees-fausses-sur-la-physique-quantique-113517 auquel cas aucune discussion n'est possible .

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    13/06/2020 14:09
    Bernard Guennebaud
    Sur une suggestion de Raoult faisant son cours d'épistémiologie (histoire des sciences) devant ses étudiants. Il propose de comparer ce que dit Wikipedia des études randomisées en français et en anglais. On y trouverait des différences intéressantes et suggestives. En anglais avec possibilité de traduction. https://en.wikipedia.org/wiki/Randomized_controlled_trial En français : https://fr.wikipedia.org/wiki/Essai_randomis%C3%A9_contr%C3%B4l%C3%A9 Il dit aussi cette affirmation étonnante (vers 13mn) "la première chose qui compte c'est une anecdote. Les choses importantes commencent par un cas. Le plus important c'est le premier cas, les autres ne font que confirmer ...) "Ce qu'on met à la poubelle c'est le plus important ..." "La moitié des données sont mises à la poubelle ..." Et ce sont les plus intéressantes ! "Il faut regarder ce que les autres ont laissé tomber !" BREF, il est passionnant le mec ! J'vais aller faire mes études de médecine à Marseille ! Mon expérience de la recherche en maths pures : ne pas lire ce que les autres ont fait car on se met sur leurs rails pour, peut-être ajouter quelques rails à la voie ou une gare, des arbres pour enjoliver. Il faut essayer de regarder ce que tous les autres avaient laissé tomber.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    13/06/2020 12:45
    njama
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Esprit_quantique ?

  • Simulies et maladies auto-immunes, une piste thérapeutique méconnue?
    13/06/2020 11:31
    Veuillemenot
    Re bonjour JUANITA Il est évident que je désire faire partie de cette étude et désire être contactée Je suis suivie en médecine interne par le Professeur Perlat qui hélas n'a jamais trouvé d'où venait mon Dip, comme pour beaucoup Étant donné que ces simulies rentrent dans nos voies Respiratoires, ne pourraient ils pas être auteur ou aggraveurs de mon emphysème respiratoire, j'ai également à longueur d'année une rhinite, nez sec à l'intérieur enfin vous connaissez et gênée pour ne respirer que par la bouche Mon pneumologue la remarqué J'ai plein d'autres symptômes qui sont certainement en rapport En ce moment moment par exemple infection itinéraire et infection du colon Je pense que mon cas est digne d'intérêts Merci pour votre réponse

  • Simulies et maladies auto-immunes, une piste thérapeutique méconnue?
    13/06/2020 10:59
    Veuillemenot
    Bonjour depuis 2013 on a trouvé un DIP et un semohyse J'ai toujours habité dans des endroits humides et ombragés Après mes 1ères piqûres j'ai vu des tas de dermatologues incapables et surtout me prenant pour une folle. J'avais alors encore beaucoup de mal à savoir par quoi j'étais piquée ? C'était donc en 2013, puis je me suis intéressée à ces petits insectes simulies, car de temps en temps, un d'eux s'échappait de mes cheveux longs J'ai même vu médecin spécialiste en parasite, mais tout se que je réussissais à trouver sur mon corps ou dans mon lit étaient de petites boucles noires, œufs et larves, maintenant que j'ai bien étudié ses parasites A l'heure où je vous écris ses bestioles sont en période de reproduction. Je trouve des centaines d'œufs dans ma tête, sur mon corps mon visage, dans mes yeux mes oreilles (d'ailleurs depuis plusieurs semaines gonflées et douloureuses) Je sais aujourd'hui qu'à cause de mon déficit immunitaire je ne peux combattre ces simulies qui m'ont pris comme hôte depuis environ 9 ans, avec cette année une très grave augmentation de cette infection J'ai lu cet article et je vous en remercie Je n'en parle plus à personne, tant les médecins sont ignorants sur ce parasite Je vous précise que j'habite en Bretagne, un endroit ombragé et humide, mais ces bestioles aujourd'hui on les voit partout, il y en a de plus en plus dehors mais aussi dans les habitats, Ma question est pourquoi m'ont ils choisi moi, et ne s attaquent pas à mes voisins tout comme les moustiques auxquels j'étais allergique J'espère que enfin quelqu'un, vous je l'espère, allez me prendre au sérieux Je souffre tellement de cette situation que je suis prête à aller au bout du monde pour me faire soigner Cordialement VEUILLEMENOT JUANITA

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    13/06/2020 08:19
    Leaunade
    Dans l'interview que Pr Raoult donne à bfmtv,Il explique bien sa motivation profonde:calmer la panique.Etant donnée son histoire personnelle,il savait que la panique avait été pendant l'Exode plus meurtrière que la guerre elle même !Son objectif de soignant est avant tout de calmer l'état de panique(aggravé par les médias) dans lequel se trouvent les malades. Quand on sait que tout traitement développe un effet placebo.Même si HCQ ne développait que cet effet ,c'était certainement plus bénéfique que de ne pas apaiser la panique dont on connait les effets délétères

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 21:57
    njama
    Merci Raymonde, votre message me touche une fois encore. J'évoquais en métaphore "la quadrature du cercle" (l'image sera plaisante j'imagine pour Bernard Guennebaud notre très brillant mathématicien aimsibien) parce qu'elle a mis environ trois mille ans à être "mathématiquement" résolue. C'était au final une sorte de "nœud gordien" dans l'esprit, un problème qui ne présente pas de solution apparente (pour ceux qui ne connaissent pas l'expression littéraire mythologique). J'espère que la controverse entre éthique médicale et éthique scientifique qui me semble parfaitement justifiée prendra moins de temps à être résolue de nos jours si chacun y va d'un peu d'humilité à mettre dans son mouchoir. La médecine (au moins telle que bien pratiquée, et bienveillante à mon sens) a une dimension "quantique", dans sa relation (nécessairement personnelle) du thérapeute à "son" patient. Une dimension qui échappe me semble-t-il à cette médecine qui se voudrait "méthodiste", rigoureuse, trop purement "scientifique", car elle ne peut mettre cette donnée "quantique" de la singularité de chaque cas en équation. Si mes petites contributions peuvent aller dans ce sens, je m'en verrais ravi. * J'entends ici par "quantique", la prise en compte d'un ensemble indéfini (non dénombrable) de données, réelles comme d'autres intuitives, disparates dans l'ensemble, ce qui ne serait pas le cas en physique pure. Néanmoins, je pense que cette approche "fondamentale" de la science peut nous inspirer, car plus nous connaissons de choses sur un sujet (un patient éventuellement dans le cas de la médecine), plus je pense nous nous approchons à pas menus d'une réalité vraie ou très vraisemblable...

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 21:18
    Inoxydable
    " Mais à + de 90 % de guérison spontanée il faut qu’elle soit sacrément bien menée" . Ben, je me demande alors pourquoi le confinement, les masques, les essais pour des médicaments chers et inefficaces, des sanctions, la paranoiä qui continue, les disputes anti et pro Raoult pour l'usage d'un médicament bien connu ? m'enfin,! Si on guéri tout seul? Bon pour les 10 % qui restent, pas de chance, on n'a rien.... Ah si : des revues scientifiques sponsorisées par l'IHU...

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 19:35
    Raymonde
    @njama Merci pour votre clairvoyance, votre franchise et votre courage. Vous devriez pouvoir mettre tout le monde d'accord.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 14:12
    Daniel Bardou
    Bonjour. Et c'est bien ce que disent certains Oncologues depuis le début des années 2000. Les anciens protocoles sont il parait "trop vieux", ils n’arrêtent pas d'en tester de nouveaux pour confirmer que certains ne fonctionnent pas. C'est tout de même assez grave. Cordialement. daniel Bardou.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 13:39
    njama
    @ Eric Marquant Pour mettre en place l'essai Discovery (qui semblait être déjà prêt dans les cartons internationaux, européens du moins) il fallait absolument énoncer comme postulat qu'il s'agissait d'un virus "nouveau" pour lequel il n'existait aucun traitement connu, "scientifiquement vérifié". Idem pour un futur candidat vaccin... Pourtant les coronavirus sont assez bien connus de nos jours. On peut reprocher à l'IHU un manque de méthodologie scientifique, mais dans l'autre bras qui voulait tester des prototypes de molécules aux propriétés hypothétiquement antivirales, du moins in vivo dans ce contexte, le jeu était pipé aussi. On a eu affaire à une partie de poker menteur, effectivement le traitement Raoult ("inspiré" de son expérience médicale) était un intrus, et fort naïvement un outsider dans cette histoire de gros sous...

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 13:06
    Eric Marquant
    D’ailleurs on se souvient de la manière dont elle (la médecine) était vue par un Molière et ses contemporains.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 11:58
    njama
    Que ressortira-t-il de cette "affaire de la chloroquine" ? hormis une restriction assez arbitraire de prescription et un ubuesque pataquès médiatique ? La toxicité de l'HCQ n'est pas démontrée. Tout porte à croire à l'inverse, et que s'il y a risque il est d'ordre "epsilonesque". Reste l'(in)efficacité contre le visiteur Covid dont on ne reverra jamais peut-être le bout du nez, pas plus que la grippe asiatique 1957, de Hong-Kong 1969, le SRAS 2003, le MERS 2013 ne sont réapparus. Question : si un protocole RCT (randomized controlled trial) est une méthodologie rigoureuse adaptée à la recherche scientifique pour des cas affections courantes, chroniques, permanentes toujours disponibles sous la main, avec des patients à mettre sur la paillasse et sous les microscopes des Labos, comment pourrait-il être adapté à un contexte épidémiologique très fugace, aléatoire, voyageur, souvent facétieux dans le cas d'affections virales. Est-ce qu'en exigeant de l'IHU de Marseille un essai randomisé l'absolutisme méthodologique de la recherche ne demandait pas l'impossible, car déontologiquement il serait complétement immoral dans le contexte de procéder à un tirage au sort HCQ + AZI vs PLACEBO ? La difficulté entre les exigences déontologiques de la médecine de soigner et celles scientifiques de la recherche de vérifier est peut-être du même ordre de difficulté que celle de « chercher la quadrature du cercle ». Mars 1997 - n°16 L'unité des rickettsies, laboratoire mondial de référence Du fondamental au très appliqué, l'unité des rickettsies contribue à une meilleure connaissance des rickettsiales et de leurs pouvoirs infectieux. En 17 années de recherche, D. RAOULT et son équipe ont acquis une réputation d'experts internationaux dans leur domaine. Le laboratoire est l'équipe mondiale de référence pour le calcul de la sensibilité des rickettsiales aux antibiotiques, il est aussi centre collaborateur OMS. L'aspect clinique est très important pour D. RAOULT qui a gardé son activité de médecin infectiologue à l'hôpital de La Conception où il examine une demi-journée par semaine des patients venus du monde entier. Pour soigner les malades atteints de la fièvre Q, D. RAOULT est notamment à l'origine d'un protocole thérapeutique rigoureux qui a fait chuter la mortalité de 70% à 5% en quelques années. https://www.gazettelabo.fr/archives/publics/1997/16raoult.htm Le protocole de traitement de la fièvre Q sera-t-il également remis en question ? Rev Med Suisse 2013 : "En cas de diagnostic confirmé de fièvre Q aiguë, une échographie cardiaque doit être réalisée dans tous les cas à la recherche d’anomalies valvulaires, même minimes. Le traitement de référence de la fièvre Q aiguë symptomatique, chez un patient sans facteur de risque, est la doxycycline, à la posologie de 200 mg/jour. Il n’existe pas d’essai clinique randomisé pour déterminer la durée du traitement. Une durée de 14 à 21 jours, ou jusqu’à 7 jours après l’apyréxie, est actuellement proposée. Le cotrimoxazole doit être utilisé en cas d’allergie ou de contre-indications.22 Les fluoroquinolones sont une alternative fiable. Par ailleurs, les nouveaux macrolides (télithromycine) ont démontré une activité in vitro et sont une option intéressante. Chez l’enfant, la doxycycline est le traitement de choix, étant admis que l’âge n’est plus une contre-indication à ce traitement lors de fièvre Q aiguë. Chez la femme enceinte, un traitement par cotrimoxazole doit être administré, ceci jusqu’à l’accouchement.23 Suite au traitement antibiotique de la fièvre Q aiguë, un suivi sérologique doit être effectué à trois et six mois, afin de documenter un éventuel passage à la chronicité. Le traitement de la fièvre Q aiguë chez les patients avec une valvulopathie, mise en évidence lors du bilan, consiste en l’administration de doxycycline 200 mg/jour et d’hydroxychloroquine 600 mg/jour pour douze mois, afin de prévenir le développement d’une infection chronique (endocardite). L’utilisation conjointe d’hydroxychloroquine permet une alcalinisation du lysosome et favorise ainsi l’activité bactéricide de la doxycycline inactive à pH acide.24 ..." https://www.revmed.ch/RMS/2013/RMS-383/Fievre-Q-une-zoonose-souvent-meconnue La médecine a non seulement existé avant la science mais elle l'a inspirée. Vouloir la faire passer sous les fourches caudines de la recherche et des statistiques ne me semble pas aller vers une médecine scientifique et bienveillante, mais bien plutôt vers une médecine standardisée, dépersonnalisée.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 10:37
    njama
    Dans cette "affaire de la chloroquine" le ministère et les autorités de santé (ANSM/ANSES/HCSP) pas plus que les journalistes n'ont joué la transparence, ce qui devrait pourtant être une qualité basique en communication scientifique où tout devrait pouvoir être vérifié par qui le souhaiterait. Cet Arrêté du 13 janvier 2020 signé du directeur général de la santé, J. Salomon, (Pour la ministre et par délégation) qui classe sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes fait suite à une Proposition d’Arrêté de l’ANSM du 8 octobre 2019 portant inscription de la hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses (copie courrier en Annexe 1 du PDF) adressée à l’ANSES qui rend un avis favorable le 12 novembre 2019 : https://www.anses.fr/fr/system/files/ANMV2019SA0175.pdf Comme indiqué dans le courrier de l’ANSM (page 4/5) qui souhaite que la délivrance soit soumise à prescription médicale obligatoire le risque #supposé# est suivant des "données issues de la littérature qui ont montré un potentiel génotoxique de la chloroquine in vivo et in vitro" et "du fait de la similitude de structure et des propriétés pharmacologiques des deux molécules, le risque génotoxique de l'hydroxychloroquine ne peut être exclu. Ainsi l'hydroxychloroquine ne doit être utilisée au cours de la grossesse à moins que la situation clinique justifie la poursuite du traitement...". Ces motivations auxquelles l'ANSES répondra favorablement n'ont donc rien à voir avec de supposés "risques de torsades de pointe" - colportées sans référence par la presse que la rumeur, et même sur ce site - qui ne figurent d'ailleurs pas dans la liste des effets indésirables possibles dans les notices VIDAL des médicaments Nivaquine et Plaquenil, même si en *contre-indications* (précautions) d'emploi l'un et l'autre peuvent "rarement être responsable de troubles du rythme cardiaque. Elle doit être utilisée avec prudence en cas d'hypokaliémie, d'insuffisance cardiaque non contrôlée, d'infarctus du myocarde récent ou de ralentissement important du cœur." Cette étude de 2011 mise en ligne par l'IHU de Marseille semble contredire la position de l'ANSES sur ce sujet !? Azithromycin plus chloroquine; combination therapy for protection against malaria and STD infections in pregnancy R Matthew Chico†& Daniel Chandramohan, London School of Hygiene and Tropical Medicine, Faculty of Infectious and Tropical Diseases,Disease Control Department, London, UK https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21736423/ https://www.mediterranee-infection.com/toxicite-chloroquine-azithromycin-une-crise-de-nerf-francaiseetude-sur-755-femmes-enceintes/ Le Résumé des caractéristiques du produit PLAQUENIL de l'ANSM - Mis à jour le : 23/03/2020 - ne fait état de risques de torsades de pointe qu'en cas de quelques bi-thérapies et de surdosage, les doses employées par l'IHU de Marseille étant bien en dessous de la valeur limite indiquée : L'hydroxychloroquine a le potentiel d’allonger l'intervalle QTc chez certains patients à risque... 4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Retour en haut de la page Associations contre-indiquées + Citalopram ou escitalopram ou hydroxyzine [antidépresseur] Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe. + Dompéridone [traitement de certaines nausées ou vomissements] Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe. + Pipéraquine [antiparasitaire dans le traitement du paludisme] Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe. Symptômes de surdosage en hydroxychloroquine : · Doses absorbées ≥ 25mg/kg. Céphalées, étourdissements, troubles visuels, nausées, vomissements. En cas d’intoxication grave, un élargissement du complexe QRS, des bradycardies, un rythme nodal, un allongement de l’intervalle QT, un bloc auriculo-ventriculaire, une tachycardie ventriculaire, des torsades de pointes et une fibrillation ventriculaire peuvent survenir. http://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/affichageDoc.php?specid=67767535&typedoc=R

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 09:11
    Vikash
    PNL c'est + simple. Un age médian de 44 ans, 47% d'hommes? Alors que le COVID impacte des classes d'age + agées, et honte à l'IHU aussi car les femmes semblent être + résistantes au COVID et elles sont en majortié dans ses échantillons. C'est ça? Pourquoi j'ai repris le taux de létalité métropolitain de 19%? Parceque partout en France sauf à Marseille, on a dit aux gens "Restez chez vous, et n'appelez le 15 que si vous avez du mal à respirer", autrement dit, quand c'est trop tard ou presque. Donc je suppose que si "la cohorte de Marseillais bien portants" avait suivi ce conseil au lieu d'aller à l'IHU, un plus grand nombre d'entre eux auraient finit à l'hopital trop tard, et en seraient sorti ou pas, comme ailleurs en France. De toute façon, même si ce taux de létalité national était de 1%, cela resterait favorable. Quand vous parlez de "cohorte de bien portants" prise en charge par l'IHU, vous sous-entendez quoi? que ces personnes n'avaient besoin d'aucun traitement et se seraient remises sur pied seules? Vous y voyez une fraude ou un biais de sélection alors que l'IHU a toujours insisté sur le fait que son protocle HCQ + AZT devait être admnisitré au tout début des symptomes. A Marseille on nous disait "dès que vous ressentez le moindre symptome, venez-vous faire dépister". Alors effectivement vous avez raison, au début des symptomes, les patients de l'IHU peuvent sembler "fringants" et "jeunes" si vous les comparez aux sujets pris en charge ailleurs en France et à qui on disait "restez chez vous et n'appelez le 15 que si cela s'aggrave". Faire la queue pendant 3 heures devant l'IHU dès qu'on a mal de gorge ou 38 de fièvre, c'est faisable. Ce qui n'est pas le cas pour une majorité de malades en difficulté respiratoire à qui on a dit de rester chez soi, et c'est sur ce critère que commencerait votre biais de sélection. C'est sans doute pour cela que l'IHU a traité des malades du COVID qui semblaient moins malades que les autres malades de France. Pour redéfinir le taux de létalité sur les populations "jeunes", comparez alors les statistiques des classes d'âge < à 60 ans selon leur prise en charge à l'IHU seul, et dans d'autres départements français. https://www.data.gouv.fr/en/datasets/donnees-hospitalieres-relatives-a-lepidemie-de-covid-19/ Quid aussi de la baisse de charge virale qui a été constatée par l'IHU mais arf, c'est vrai, il s'agissait de bien portants qui ont combattu le virus tout seul. Une chose est sûre, c'est que toute hypothèse peut être remise en question, vous pouvez remettre en question les chiffres, les décès, la manière de comptabiliser les décès, les biais de "bien portant", etc, etc... Vous démontrez par là qu'il faudrait des semaines pour établir un protocle de RCT qui conviennent à tous, et que même si l'IHU avait lancé un RCT, des voix se seraient élevées pour critiquer encore et encore la méthode. Sauf que sur une épidémie aussi courte, on a surtout besoin de médecins qui fassent parler leur expérience lorsqu'ils recoivent les 1ers cas aux urgences, moins de scientifiques qui s'enlisent dans la réflexion. Je ne remets pas en question l'interet que peuvent avoir les RCT pour l'attribution d'AMM dans des contextes qui ne sont pas ceux d'une épidémie soudaine et courte.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 08:51
    njama
    Complétement d'accord avec jucar (10 juin 2020 à 17 h 33 min), le terme "jurisprudence" est totalement inapproprié, on pourrait lui préférer "l’affaire de la Chloroquine devrait faire exemple", ce qui, en l'absence d'une # authentique # jurisprudence justement, n'aurait rien de juridiquement contraignant car en toute logique scientifique les précautions prises à l'encontre de l'HCQ "se devraient" d'être déontologiquement les mêmes pour les vaccins, sauf à faire deux poids deux mesures. Ceci dit en passant, si l'efficacité de l'HCQ est douteuse dans le cas de figure Covid voire nulle, sa toxicité n'a pas été démontrée et l'absence de preuve ne vaut pas preuve. La controverse n'est pas finie à ce qu'il m'en semble, on ne jettera pas impunément aux orties un médicament déjà septuagénaire dont personne ne s'en plaignait jusqu'à très récemment. Autre point juridique divergent, la restriction d'autorisation de l'utilisation de l'HCQ résulte d'un Décret et donc d'un privilège régalien du ministère en matière de santé publique, alors que l'autorisation d'une vaccination obligatoire résulte d'une procédure législative et non de la décision du ministère dont la seule prérogative éventuelle en la matière est de pouvoir "suspendre" une vaccination obligatoire, ce qui fut le cas pour le vaccin BCG en août 2007. L'HCQ est censée soigner, un vaccin ne soigne rien du tout. Leur seul point commun est d'être des substances (bio)chimiques administrées. Évidemment des pratiques scientifiques à géométrie variable ne penchent pas en faveur de la confiance ni de la science, ni de médecine (qui n'est même pas une science molle). L'occasion est trop belle de rappeler que les vaccins sont des produits sur lesquels il n’y a pas d’études pharmacocinétiques, pas d’études de mutagenèse, de cancérogenèse, de génotoxicité, de déficience de fertilité, et qu'ils n’ont jamais été comparés à de « véritables » placebos, contrairement aux obligations préalables pour les médicaments avant mise sur le marché, et certains produits cosmétiques. De l'aveu même des fabricants... - Extraits de notices de vaccins GlaxoSmithKline : 13.1 Carcinogenesis, Mutagenesis, Impairment of Fertility : INFANRIX has not been evaluated for carcinogenic or mutagenic potential, or for impairment of fertility. Notice GSK du vaccin Infanrix Pentavalent - (page 13/16) : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Infanrix-notice-US.pdf 5.2 Pharmacokinetic properties : Evaluation of pharmacokinetic properties is not required for vaccines. Notice GSK du vaccin Infanrix Hexavalent - (page 12/40) : http://www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_library/EPAR_-_Product_Information/human/000296/WC500032505.pdf

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 08:20
    Bernard Guennebaud
    Il faut aussi faire attention au fait que l'article que vous citez, Olive Verte, date du 25 mai avec "Les études négatives s’accumulent et la dernière en date celle du Lancet permet sans doute de siffler la fin de la partie." On sait depuis que c'est surtout la fin de la partie pour l'étude du Lancet. D'ailleurs un des équipiers de Raoult, le professeur Mathieu Million explique les résultats obtenus par ce type d'études informatisées où les auteurs n'ont pas vu les malades : Pour lui, 25% de mortalité correspond à la mortalité observée en réa. Si on donne le traitement à ce moment là il ne changera rien et on attribuera ce taux de mortalité au traitement alors qu'il est celui habituellement observé en réa. Il distingue 3 phases dans l'évolution de la maladie. Selon lui, le traitement a une certaine efficacité au cours de la première phase. Quand se déclenche la tempête cytokinique c'est trop tard pour l'HCQ et l'AZ. Il faut alors une autre classe de médicaments. Puis quand la troisième phase apparaît, la détresse respiratoire, alors c'est la réa où on va essayer de soutenir la réparation des poumons. Si on donne l'HCQ pendant cette phase cela ne servira à rien. C'est ce qu'explique très bien ce professeur qui a publié récemment une étude sur ces questions. Je ne suis pas convaincu que si une étude randomisée avait été réalisée à Marseille et se soit montrée positive, le résultat aurait été accepté car on a pu voir, c'était facile, qu'il existait et existe toujours une très puissante volonté de casser le traitement "Raoult" ainsi que le personnage, autrement dit de faire de l'obstruction comme on fit au foot. Il aurait en particulier été soutenu que l'échantillon n'était pas suffisant, ce qui était facile car l'échantillon traité était automatiquement divisé par 2 et que si on voulait avoir une chance de promouvoir le traitement avant la fin de l'épidémie il fallait se limiter en temps. Et aussi que cela ne traitait pas les formes graves etc ... Quand le plus fort, et de loin, ne veut pas, vous vous casser les dents. Ils le savent très certainement à Marseille alors ils ont décidé d'agir plutôt que d'attendre un feu vert qui n'avait aucune chance de se manifester. Comme l'explique aussi ce professeur les études randomisées dans de telles épidémies qui ont toutes chances d'être de courte durée, à la différence d'une maladie comme le chikungunya qui s'installe de façon endémique, il faut pouvoir intervenir rapidement. Aussi ils se sont appuyés sur d'autres données pour prendre la décision collégiale, le 20 mars, de soigner les malades avec ce traitement, avant l'aggravation, comme l'explique son collègue le professeur Philippe Brouqui : https://www.youtube.com/watch?v=osrtVhuX5j8

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    12/06/2020 06:08
    Leaunade
    Le rôle d'un médecin n'est-il pas de soigner le mieux possible,en son âme et conscience les malades qui se confient à lui!Errare humanum est!. Le dialogue médecin patient permet d'ajuster la thérapeutique en fonction des effets observés et de l'évolution de la maladie.Chaque suivi est unique et est une création.Ce qui fait que la médecine est un art. Durant cette épidémie,j'ai pris conscience de l'influence énorme des essais thérapeutiques qui réduisent le malade à l'état de cobaye.Et j'avoue que je ne m'en remets pas!

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 22:20
    Bernard Guennebaud
    Vous m’avez posé une question Jucar, je vais essayer d’y répondre en restant dans mes limites. Fondamentalement il y a 2 types de tests : 1- On compare les données observées avec un modèle théorique. C’est ce qui a été fait à Marseille où ils ont utilisé les connaissances acquises sur l’évolution de la maladie en l’absence de traitement grâce aux malades qu’ils avaient vus avant l’utilisation du traitement et grâce aux publications des Chinois en particulier. Cette connaissance portait tout particulièrement sur la durée de la persistance du virus. Après avoir constaté sur 24 malades traités avec l’HCQ et l’AZ que ce critère était nettement amélioré, l’équipe de Marseille décida de façon collégiale, le 20 mars, de traiter ainsi les malades et non pas de faire des études. Je n’ai pas la connaissance et la compétence pour juger si le choix fait à ce moment là était justifié en raison d’une amélioration significative des paramètres retenus et de l’absence d’autres traitements possibles ou si ce choix était aventureux et risqué. Mais avant de juger, et je n’ai pas l’intention de le faire, il faut d’abord savoir ce qu’ils ont fait car Raoult n’était pas seul loin de là ! La vidéo du professeur Brouqui explique ce premier point. 2- La seconde méthode consiste à ne traiter qu’un malade sur 2 avec tirage au sort. Ainsi les malades non traités vont jouer le rôle du modèle théorique en apportant des informations sur le déroulé de la maladie en l’absence du traitement. Si on a acquis auparavant suffisamment d’informations fiables sur ce déroulé, cette façon de procéder devient inutile et même nuisible à la qualité de l’observation, indépendamment de toutes considérations éthiques : en effet avec moitié moins de malades traités les informations sur les effets du traitement seront beaucoup moins satisfaisantes. C’est évident. Aussi, contester le traitement de Marseille en raison d’une absence de randomisation n’est pas scientifiquement valable. Pour contester plus rigoureusement il fallait essayer de mettre en doute la pertinence de la comparaison avec ce que j’appelle « le modèle théorique » c’est à dire les données acquises par ailleurs en l’absence de traitement tout en tenant compte du fait qu’en divisant par 2 le nombre de malades traités on perdait de l’information sur ce bras. J’ai vu Daniel Cohn Bendit marteler du poing que tant qu’il n’y aurait pas 2 groupes randomisés il n’y aurait pas de preuves de l’efficacité du traitement. Il répétait ce qu’il avait entendu des experts qui défilaient sur les télés pour casser le traitement « Raoult » au seul motif qu’il n’avait pas fait 2 groupes. La réaction de Cohn Bendit ainsi que de nombres de journalistes attestent que ce fut un slogan qui a bien fonctionné et qui semblait paré des vêtements de la science mais ce n’était pas valable. Il fallait travailler davantage ! Et surtout il devenait beaucoup moins aisé d’entraîner les foules avec des arguments beaucoup plus sophistiqués. La critique a choisi la facilité. Aujourd’hui, avec les nouvelles données enrichies en provenance de toutes la France peut-on y voir plus clair ? Depuis peu les professeurs de l’IHU de Marseille ont donné beaucoup d’explications dans de courtes vidéos. Ils sont souvent plus clairs, précis et rigoureux que leur directeur. Je peux dire qu’ils m’ont inspiré confiance et je pense qu’ils ont accomplis un boulot énorme. Il y a par exemple celui qui a négocié la coopération des vétos pour réaliser des tests. Une règle administrative interdisait aux vétos de faire des PCR sur du matériel humain. Je ne sais si cette règle avait été abrogée mais à Marseille les vétos ont coopéré et permis la réalisation de plus de 160000 tests. Ils ont obtenu aussi la coopération de 50 médecins supplémentaires, de nombre d’infirmières etc … La stratégie du ministère était « restez chez vous sauf si ça s’aggrave.. » mais à l’IHU on faisait tout autrement et je suis tenté de penser que dans le contexte où nous étions ce ne fut pas du mauvais boulot. Quand on prend conscience de cela on pourrait avoir honte d’être assis sur sa chaise à décerner des bons points et des mauvais points à de tels acteurs. Le 19 mars 2008 j'avais participé à une émission radio avec Roger Salamon 10 ans président du HCSP. Je lui parle de Raoult. Il répond : "il est contre tout ce que fait le ministère. Mais il a raison !" C'est sur youtube.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 21:44
    Olive verte
    Si la modération est d'accord, je remets un lien déjà donné plus haut un peu perdu dans les autres messages. A lire en entier, par ex. pour ces passages : "Le Professeur Flahault a expérimenté la chloroquine lorsqu’il était en charge de l’épidémie de chikunguya dans les années 2006." et "Il pensait qu’il tenait là un médicament efficace. Le Professeur Flahaut avait d’ailleurs fait une communication sur son expérience en collaboration avec l’équipe de Marseille. Cette communication avait été reprise par un journal de la réunion qui avait mis en grand titre à sa une « Un médicament en vue !»" ou encore ces paragraphes : "un essai clinique en bonne et due forme a été réalisé sur l’homme et sur des macaques de l’île Maurice qui présentaient une maladie tout à fait semblable à celle de l’homme. Résultat des courses : aucune efficacité, la déception de l’équipe fut énorme, à la mesure de la certitude qu’elle avait de tenir un bon médicament." "La polémique sur la chloroquine n’aurait pas flambé comme elle l’a fait si le professeur Raoult avait eu la même loyauté scientifique que celle du Professeur Flahault." Bref ce type d'espoir de médicament salvateur a déjà eu lieu, pour la même molécule et a malheureusement été douché par la réalité. C'est là :
    Anti Raoult contre pro Raoult, une bataille qui aurait pu être évitée
    Il me semble que le billet de l'Aimsib peut être lu dans les deux sens. Il faut réclamer aux vaccins ce qu'on réclame à ce protocole IHU, c'est de + en + évident pour de + en + de monde, mais il faut aussi réclamer à ce protocole IHU ce que les membres de l'Aimsib réclament pour les vaccins. Ce sont des produits avec une activité manifeste dans l'organisme, c'est la moindre des choses de chercher si le remède sert à quelque chose voire s'il est pire que le mal. Il n'y a que comme ça qu'on peut être sûrs du résultat. L'exemple du chikungunya est frappant. L'équipe de Marseille a d'ailleurs été mise en contact avec ces travaux si je comprends bien. Leur attitude 2020 est d'autant plus étonnante, ils connaissaient un précédent échec qui n'a pu être montré qu'avec une étude clinique. Je serai le premier à prendre de ce produit en cas de nécessité - qui n'apparaîtra plus j'espère - si on me démontre qu'il est efficace, mais pour l'instant il n'y a rien de convaincant. A titre perso J'accepterai aussi une autre méthode que la méthode standard si elle est réellement démonstrative. Mais à + de 90 % de guérison spontanée il faut qu'elle soit sacrément bien menée. Sur les notions de liberté de prescrire, etc. là c'est autre chose et ce débat me dépasse. J'ai déjà entendu de nombreux médecins être littéralement terrorisés à l'idée de déprescrire des statines, donc il y a un réel problème de liberté médicale en France. Ceci dit, est ce qu'un manque de liberté de déprescrire, sur la base d'arguments solides bien sûr, est la même chose qu'un manque de liberté de prescrire ?

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 21:09
    Eric Marquant
    Je ne crois pas, vous faites, à mon avis, la démonstration de ce que je vous proposais et qui suscitait votre colère. Maintenant vous êtes libre d’énoncer votre point de vue mais admettez seulement que le point de vue de l’autre puisse être différent du vôtre sans que cela ne vous mette en colère, elle est toujours mauvaise conseillère.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 20:50
    Inoxydable
    @ Eric Marquant : Ca c'est ce que vous croyez. Je n'ai pas pour habitude de mâcher mes mots, parfois ils sont excessifs sans doute, mais reposent sur une base solide et vous me permettrez d'être en colère sur toute la gestion de cette pandémie et contre l'aveuglement obtus de certains qui ne relèvent que le négatif sur le Pr Raoult : ex, "tatayoyo" cité sur twitter par @ akira qui arrive à se contredire elle même et à reconnaître dans des réponses à ses contradicteurs que le fait de de signer toutes les études n'est pas l'apanage de Raoult. Je défie quiconque de de montrer une étude publiée quelle que soit la revue dans laquelle le chef de service ou le responsable" de l'étude" n'y appose pas sa signature même s'il n'a rien fait personnellement, juste la lire et corriger après que le comité de lecture de la revue n'y ait lui même mis son grain de sel si celle-ci ne correspond pas à son optique. Parfois même le commité de lecture n'a pas les compétences nécessaires pour en juger et le fait quand même. Je suis en colère par ex. contre les dispositions prises dans les écoles maternelles pour des enfants de 4 -5-6 ans qu'on empêche de jouer, qu'on distancie du copain ou de la copine, qu'on empêche de ramsser son joué tombé et si un autre le ramasse, on lui interdit de le récupérer, et toutes les autre obligations de "distanciations" que le bambins ne comprennent pas alors qu'il est démontré maintenant qu'il y a qu'exceptionnellement de contagions entre eux, que le cas échéant ils résistent à maladie etc... Ce sont des mesures de fous, et je bous de colère lorsque j'entends les nouveaux conseils dispensés dans les médias audios et télévisuels de nature à terroriser le malheureux qui a attrapé un simple rhume et éternue pour une rhinite allergique : On a le droit de prendre froid et le cas échéant de suspicion de Covid avéré ( qui a oublié ces temps ci de circuler) il n'aura même pas le droit de se faire soigner par le seul protocole de soins qui donne quelques résultats. mrd.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 16:26
    Jucar
    Bernard, les explications données par l'équipe de l'IHU tiennent la route à mon sens, mais elles ne vont pas convaincre "les anti-Raoult" (je mets des guillemets car le terme est sans doute excessif). Avez-vous un avis sur les statistiques affichées par l'IHU? Moi je ne suis pas dans mon domaine d'expertise, mais d'un point de vue purement mathématique j'avoue que je suis perplexe lorsque je compare les résultats globaux à la maille nationale aux résultats affichés par l'IHU. Au 10/06/2020 en France: - il y a eu 155136 cas confirmés de Covid 19 pour 29319 décès, soit une létalité de 19 % - il y a eu 83510 personnes soignées dans les hôpitaux pour 18935 décès, soit une létalité de 23% Au 10/06/2020 à l'IHU: - L'équipe du Pr Raoult a soigné 3320 cas confirmés pour 18 décès, soit une létalité de 0,5 %. Les 3320 patients soignés à l'IHU n'ont pas tous été hospitalisés en longs séjours (pour les 83510 soignés dans les autres hôpitaux Français je ne sais pas?), mais si on prend comme hypothèse que seulement 10% des patients soignés à l'IHU ont été hospitalisés (ce qui n'est pas absurde car l'IHU compte 75 lits), on obtient une létalité de 5 %, ce qui reste bien inférieur au global national. Au vu des résultats affichés par l'IHU j'ai le sentiment que le protocole du Pr Raoult marche plutôt bien, mais évidemment je n'exclue pas que ce soit une imposture.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 16:18
    Vikash
    Raoult et ses confrères ont toujours assumé ne jamais vouloir entreprendre de RCT, car c'est LEUR stratégie (celle de l'IHU) que de dire, "par souci déontologique, pas question pour nous que de proposer un placebo à 50% des malades" et ce même pendant 1 mois, 15 jours ou 1 journée. Votre déontologie médicale ne repose sans doute pas sur les mêmes valeurs que celles assumées par l'IHU (et les gens qui soutiennent leur démarche). Cette divergence de sensibilité est profonde, à ce niveau c'est de l'ordre de la programmation neuro-linguistique, on ne peut pas faire grand chose pour rapprocher ces deux approches/camps que tout oppose dans la manière de considérer la médecine lors d'une gestion de crise soudaine. Entre le 27 janvier et le 10 avril, l'IHU avait réalisé 68 640 tests, dont 3 998 étaient positifs (soit 5,8% des tests). Parmi ces 3 998 positifs, 2 397 furent traités par HCQ + AZT. https://www.sciencesetavenir.fr/sante/a-l-ihu-les-tests-serologiques-a-l-epreuve_143405 Si l'IHU avait entrepris un RCT entre le 27 janvier (début de leurs données) et le 10 avril, c'est donc 1999 patients (50% des personnes traitées) qui auraient reçu un placebo dans le cadre d'un protocole de RCT qui aurait duré un peu plus de 2 mois, et l'autre moitié qui airait reçu le traitement HCQ + AZT. Si on applique un taux de mortalité de 18,9% (celui de la France métropolitaine*) aux 1 999 personnes qui auraient pu recevoir le placebo de l'IHU, cela donne un potentiel de 377 décès sur la période du 27 janvier au 10 avril pour l'IHU. Or, si on regarde cette fois les chiffres réels, pour la période du 27 janvier au 10 juin (soit 2 mois d'observation de plus), l'IHU Méd Infection (sans l'APHM) a enregistré seulement 18 décès réels. https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/ Par ailleurs, l'HCQ est-elle si dangereuse? Vu le nombre de pays qui l'utilisent, les effets secondaires induits par cette molécule dangereuse devraient émmerger parmi les milliers de doses prescrites, car les effets secondaires redoutés sont soudains (et donc observables/imputables) et non diffus dans le temps. Ce n'est que mon avis, et peut-être auriez-vous eu la volonté de faire partie du groupe contrôle si vous vous étiez trouvé en situation, mais ce n'est pas mon cas. *Pour la France métropolitaine, selon les chiffres actualisés au 3 juin, la mortalité du SarsCov2 s'établit autour de 18,9% (29 319 décès pour 155 000 cas). https://www.google.fr/search?source=hp&ei=Dz_iXqOFK8CP1fAPqMeuiAk&q=taux+mortalit%C3%A9+sars+cov+2&oq=taux+mortalit%C3%A9+sars+cov+2&gs_lcp=CgZwc3ktYWIQAzoCCAA6BggAEBYQHjoICCEQFhAdEB5QygFYtDJgtDRoAHAAeACAAWCIAdAOkgECMjWYAQCgAQGqAQdnd3Mtd2l6&sclient=psy-ab&ved=0ahUKEwjjyPX1-_npAhXARxUIHaijC5EQ4dUDCAc&uact=5

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 13:19
    Raymonde
    Merci à vous Bernard Guennebaud. Très clair !

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 11:33
    Bernard Guennebaud
    Voici une vidéo de 5 mn (10 juin) par le prof Philippe Brouqui IHU directeur du pôle maladies infectieuses à l'IHU Marseille qui explique sobrement la stratégie qu'ils ont utilisée pour soigner les malades. Il y en a une autre ( 4 mn 8 juin) par le prof Mathieu Million responsable de l'hôpital de jour. Il compare les études réalisées par des médecins qui ont vu les malades avec des études réalisées sur des données informatisées sans que les auteurs aient vu les malades. https://www.youtube.com/watch?v=A32epJKWg5k

  • Gardasil 9, pour ne pas dire qu'on ne savait pas...
    11/06/2020 10:29
    Dr Vincent Reliquet
    Question intéressante! On ne demande pas au médecin de donner un avis de causalité quand quelque chose de bizarre survient après un vaccin, mais simplement de le signaler à la pharmacovigilance qui devrait évaluer l'imputabilité à son niveau. Cette histoire est atypique, on croit comprendre que ces deux femmes ont reçu des diagnostics probables et non certains. Donc possiblement non liés... Du coup c'est à vous de voir...

  • Gardasil 9, pour ne pas dire qu'on ne savait pas...
    11/06/2020 10:09
    zarah
    bonjour ?je souhaiterais avoir votre avis sur un cas dans ma patientèle , qui n'est pas ne SEP une jeune patiente de 25 ans dans ses antécédents elle a eu en avril 2009 une première injection de gardasil (pas par moi 😉 en juin 2009 elle a eu une méningite, qualifiée de virale par l'hopital, (je n'ai pas le compte rendu hospitalier ,n'étatn pas son médecin à l'époque) sa mère a eu la meme chose , mais aucune contamination dans la classe , ce qui a beaucoup étonnée l'hopital cela peut et avoir un lien avec la vaccination ??(mais sa mère n'a pas été vaccinée ce qui semble absoudre la vaccination) cela peut -il etre lié au vaccin dois je faire une déclaration de pharmacovigilance a postériori?, merci

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 09:50
    Raymonde
    Les morts se taisent, les vivants ne veulent pas entendre et les survivants ne peuvent pas parler. Serge Joncour

  • L'explication sur la thrombose qui va vous en boucher un coin
    11/06/2020 09:31
    Pascal_59
    Bonjour, vous dites au début "manger acide est plutôt bon", puis à la fin "il faut manger des aliments "antioxydants". Ce qui est antioxydant est-il alcalinisant (ou basifiant) ou pas, ou est-ce autre chose ? De plus J'ai lu que ce qui est acide n'est pas obligatoirement acidifiant et inversement, et ce serait pariel pour l'aspect alcalin! j'avoue que je n'y comprend plus rien . j'ai vu qu'il est parlé d'un indice"pral", mais ?. Pouvez-vous m'aider a comprendre mieux, par des références peut-être. Plus je cherche, moins je trouve ou comprend. merci. Pour l'instant je mange de tout et différemment selon ce qui est moins couteux.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    11/06/2020 07:47
    Eric Marquant
    Un commentaire Inoxydable, Voyez comment vous jugez un propos, non sur le texte lui-même mais à priori sur ce que vous prenez pour la signature. Si le même texte avait été signé par un autre, vous n’auriez pas forcément été d’accord, mais vous l’auriez traité différemment avec probablement moins de véhémence que vous n’en avez eue avec Surya. Comme quoi le messager importe autant que le message. Merci de votre démonstration.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 21:42
    Vikash
    Affligeant? C'est plutôt l'obstination de certains à ne pas savoir prendre de décision dans un laps de temps aussi court que l'épidémie qu'on a connue, sans s'appuyer (se cacher?) derrière des RCT dont on attendrait encore les résultats. Qu'est-ce qu'un bon chercheur? https://marchenry.org/2020/06/02/22%e2%80%a2quest-ce-quun-bon-chercheur%e2%80%af/

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 21:12
    Raymonde
    https://youtu.be/RW_7xxVJZmk Remonte à un jour !

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 21:00
    Raymonde
    https://youtu.be/aWF88NjT7_I Peut-être a-t-elle déjà été vue ? Si oui, veuillez m'en excuser. Merci.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 20:58
    Isabelle
    Heureusement que plusieurs milliers de personnes vont avoir recours auprès du Conseil d’État la semaine prochaine pour excès de pouvoir envers la liberté de prescrire ! https://www.youtube.com/watch?v=jIPLhnEuUFw

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 18:29
    Inoxydable
    @ Surya : Vous avez posté ce commentaire avec votre nom ou pseudo. L'auteur de ce post est médecin, soit, mais moi je ne suis pas devin et parfois il faut se déterminer. Pour info et je crois que je vais en rester là, je vous poste 2 liens qui analysent bien avec de bons arguments la situation actuelle et passée pour le Covid en France, c'est aussi une équipe de jeunes journalistes pas plus cons que d'autres qui font une bonne démonstration comme celle qu'aurait pu faire l'AIMSIB au lieu de jeter l'anathème sur le Pr. Raoult et ses supposés croyants :
    Covid, une tragédie française
    et a propos d'études que vous paraissez aimer :
    Etude Recovery : comment la fondation Bill Gates a financé le suicide des malades anglais à l’hydroxychloroquine
    Bon, sans doute vous sera t-il agréable de tuer le ou les messagers, mais ça n'enlève rien au message.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 18:07
    Raymonde
    @akira Excusez-moi, mais il me semble que vous ne preniez en compte que ce qui est négatif en ce qui concerne le Pr Raoult ... le positif ne vous intéresse pas ... les deux façons de voir sont pourtant le fruit des médias ? Je ne crois absolument pas que ce pauvre Professeur soit un polichinelle ou je ne sais quoi d'abominable ! ... Je comprends l'agacement du Dr Bredontiot, d'Inoxydable, d'Olivier Campistron et de nombreuses autres personnes. Par contre je ne comprends absolument pas le positionnement de l'AIMSIB. Qu'on me le pardonne. Il est vrai que mon avis n'est que peu d'importance, mais, impossible pour moi de le réprimer.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 18:07
    Dr Pierre-Henri bredontiot
    Je voudrais signaler la façon indigne dont de nombreux media traitent le Pr. Raoult (et tous ceux considérés comme adversaires de la bien-pensance officielle). C'est par exemple Ruth Elkrief sur BFM TV. Pendant qu'il essaye désespérément de lui répondre, voici la tirade qu'elle balance sans respirer: "Mais vous, vous travaillez aussi avec des labos y a un labo heu qui a été heu à l'IHU pendant très longtemps sanofi jusqu'en 2015 ah ben c'est sur votre site d'aujourd'hui enfin j'veux dire les labos c'est pas non plus ils ont trouvé des médicaments contre le cancer contre l'hépatite contre le sida c'est pas que je sois contre les labos j'm'en fiche mais c'est la contradiction il faut être, écouter les contradictions" Il essaye de dire non, je ne travaille pas avec des labos, mais elle suit son idée. C'est là vers 36': Ces techniques journalistiques sont bien connues: énumérer des mensonges et parler, parler, pour empêcher l'interlocuteur (ici clairement défini comme un adversaire), de s'exprimer.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 17:33
    Jucar
    ******************************************************************Disons-le tout net : l’affaire de la Chloroquine doit faire jurisprudence ! *****************************************************************Il me semble que c'est prématuré de parler de jurisprudence, car le terme "jurisprudence" concerne l'ensemble des arrêts et des jugements qu'ont rendu les Cours et les Tribunaux pour la solution d'une situation juridique donnée, or, à ce jour, le Pr Raoult n'est pas encore passé sous les fourches Caudines de la justice au sujet de la Chloroquine. Par ailleurs, je crois qu'il faut attendre un peu avant de porter un jugement définitif sur la question, pour moi, compte tenu des résultats affichés par l'IHU Marseille, il y a deux hypothèses: -Soit le protocole du Pr Raoult marche plutôt bien, soit c'est une imposture (je ne retiens pas l'hypothèse d'une incompétence généralisée de l'équipe de l'IHU, même si à l'évidence ils sont hors des clous eu égard aux règles concernant les essais cliniques...). On ne devrait plus tarder à y voir clair, si vraiment c'est une imposture je crois que le Pr Raoult ne pourra bénéficier d'aucune mansuétude.

  • Pandémie COVID-19, les recommandations essentielles de l'AIMSIB
    10/06/2020 16:53
    Lucie
    Ah merci à vous pour ce commentaire du plus élémentaire bon sens - Quand je vois dans la rue ou dans le métro cracher certaines personnes, pour rappeler semble-t-il qu'ils sont détenteurs de virilité, j'ai souvent l'impression d'habiter sur la lune - Je me souviens pourtant que quand j'étais gosse, on pouvait voir partout des affichettes "il est interdit de cracher sous peine d'amende", ce qui frapppait beaucoup la petite provinciale campagnarde que j'étais ..... Il est vrai qu'on sortait de la grande épidémie de tuberculose - en cela nous avons des chances de voir réapparaître ces rappels élémentaires à la citoyenneté -

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 15:50
    Surya
    Je ne suis pas l'auteur de la réponse, si des membres veulent se plaindre, ils peuvent le faire en postant des commentaires ici ou en passant par le formulaire de contact du site. mais vous n’êtes pas médecin ni scientifique c'est pas de chance, l'auteur de la réponse collective de l'aimsib postée plus haut est médecin et scientifique.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 15:44
    Inoxydable
    @ Surya:Ayant suivi le même chemin AIMSIBien que @Olivier Campistron je reprends à mon compte vos critiques contre « Vous n’êtes pas le seul ». Vous écrivez à propos de sa position : » Nous la respectons mais nous estimons que vous êtes dans l’erreur. » C’est assez hypocrite et en plus vous vous vous félicitez que l’ association ait « choisi d’emblée une position prudente et humble « … Humble, vous êtes sûr d’être humble ? Vous parlez de « croyance  religieuse » à propos d’académiciens pompeux et mégalomanes qui étalent leur grossière incompétence, vous ne désignez personne mais en filigrane vous stigmatisez le Pr. Raoult. Ca s’est insultant ! Vous êtes compétent en Médecine ? Donc si je comprends bien, le personnes d’un certain âge, faisant partie de celles qui sont susceptibles d’être « touchées » par le virus en raison de leur pathologie/s, doivent attendre d’avoir un pied dans la tombe et l’autre sur le couvercle du cercueil pour faire confiance à ceux qui les ont laissé de côté et qui n’auront pas d’autre traitement que de leur servir «  le bouillon de 11 heures » qui leur fera débarrasser l’Hôpital et la réa… et de jouer à « à la roulette russe » d’être dans les 91 % de ceux qui sont supposés guérir tout seul... Vous poursuivez par :« De quelle science infuse disposez-vous pour nous matraquer ainsi de vos certitudes ? » . Je dirai la même chose que vous, celle qui vous fait réfuter systématiquement toutes les études qui prêtent à l’HCQ et AZT un bénéfice favorable. On a beau mettre les liens scientifiques en regard, ce n’est jamais assez « scientifique », mais quelle joie transcende dans vos commentaires basés sur des liens de vraies désinformations comme la dernière du « Lancet ». Oh, bien sûr, vous la déplorez après coup mais vous gardez vos oeillères, comme les chevaux en montagne de peur de déraper. Le reste de vos critiques est dans la même veine jusqu’à dire que « le site de l’AIMSIB est un lieu public qui ne laisse aucune place aux illusions grossières et à la désinformation ». En effet, passons sur certains articles pour lesquels il y a une dissonance avec la science dite « officielle », mais au moins on peut y commenter sans se faire traiter « croyant » ou carrément de benêt. J’ai admiré jusqu’à présent certains de vos articles bien ciselés et documentés, mais vous n’êtes pas médecin ni scientifique et je vous dénie le droit de prétendre que celui ou ceux qui ont une vision différente de la vôtre à propos « d’une maladie qui « jouerait à la roulette russe avec les malades » ont « subi, de la part des médias et des académiciens, un véritable lavage de cerveau. Si votre critique est l’opinion des médecins de ce site, il faudra revoir certains articles et commentaires bienveillants … pour «  Finalement pardonner «  ce que vous appelez «  sentence insultante vous accusant de « non-assistance à personne en danger » ! Qu’avez vous proposé pour assister les personnes en danger ? ?L’abstention ? La non intervention ? La prudence ? Le « débunkage de fakes » n’allant pas dans votre sens ? Enfin, c’est vrai qu’un médecin – et vous ne l’êtes pas – n’a pas à prescrire ici tel ou tel protocole de soins et je garde tout mon respect pour les travaux et livres du Dr MdL sur les maladies cardiaques ou les vaccins mais se baser sur un « Décret » scélérat pour en faire une jurisprudence me paraît hasardeux : Un décret ça s’abroge au gré du politique et d’éventuelles nouvelles informations indiscutables ou plus plausibles. J’ajoute une dernière chose : C’est bien beau de comptabiliser les morts et on verra dans quelque temps la réalité lorsqu’on aura fait le vrai décompte et séparé ceux qui sont réellement décédés du Covid et ceux de leurs pathologies ou des maladies saisonnières habituelles ( se souvenir des morts de la grippe )en regrettant que ceux-ci ( les morts) ne puissent plus parler et on oubliera et on refusera comme actuellement d’écouter ceux qui ont survécus grâce ou en dépit du traitement préconisé par Raoult, ceux là seront tenu pour des menteurs ou des crédules.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 15:23
    Dr. Pierre-Henri Bredontiot
    Nous n'avons aucune raison de faire confiance aux pingouins parachutés de la HCSP. Il plane sur leurs personnes un fort parfum de corruption. Je préfère cent fois écouter le Pr. Raoult qui expose qu'on ne meurt pas plus de la grippe aujourd'hui qu'en 1918, mais des surinfections bactériennes qui s'ensuivent, ce qui justifie pleinement la prescription d'antibiotiques quasi systématiques aux premiers signes d'aggravation. L'HCQ diminue la charge virale dès le premier jour de prise de 30%, et continue son action en limitant l'orage de cytokines. L'azythromycine empêche la surinfection bactérienne et a aussi une action similaire sur l'auto-immunité induite. Ce sont deux excellentes raisons de les prescrire, surtout quand on n'a RIEN d'autre à proposer. Quant à l'intérêt des antibiotiques dans la grippe, il est démontré ici à 12': https://www.youtube.com/watch?v=ao1Wcm_6o5U&feature=youtu.be Ce qu'on reproche à Raoult est un grand classique: c'est le mépris et le dénigrement des meilleurs par les pires.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 12:53
    Hélène Banoun
    La même chose avec le Zithromax (azithromycine) Trouvé sur "France Soir"! "Nous reproduisons ici ce courrier : Expéditeur: dgs-urgent@dgs-urgent.sante.gouv.fr Date: 9 juin 2020 09:26:28 UTC+2 Destinataire: undisclosed-recipients:; Objet: [DGS-URGENT] 2020-INF-37 Usage des anti-infectieux dans le Covid-19 Mesdames, Messieurs Le HCSP a récemment publié son avis du 18 mai 2020 relatif à l’usage des anti-infectieux dans le Covid-19 (https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/PointSur?clef=2). Le HCSP recommande, de manière générale, qu’aucune antibiothérapie ne soit prescrite chez un patient présentant des symptômes rattachés à un Covid-19 confirmé (en dehors d’un autre foyer infectieux documenté) du fait du caractère exceptionnel de la co-infection bactérienne. De manière plus détaillée : -En ville, chez un patient ayant une infection respiratoire (haute ou basse) fortement évocatrice de Covid-19, ou confirmée au SARS-CoV-2, il n’y a pas d’indication à prescrire une antibiothérapie. -En secteur d’hospitalisation conventionnelle, où le patient peut être surveillé, en l’absence de critère de gravité, il n’y a pas d’indication à prescrire une antibiothérapie dans l’attente des résultats microbiologiques et radiographiques. Une fois le diagnostic de Covid-19 confirmé, si les symptômes cliniques et scanographiques s’intègrent dans le tableau de Covid-19, il n’y a pas d’indication à initier ou poursuivre une antibiothérapie. -Dans l’infection par le SARS-CoV-2, la littérature n’apporte pas d’argument pour proposer la prescription d’azithromycine. Il semble cependant que les prescriptions d'antibiotiques restent fréquentes, en préventif comme en curatif, chez les patients suspects ou atteints de Covid-19. Chacun d'entre nous doit oeuvrer pour améliorer les pratiques. Pour votre information, une fiche COVID-19 a été ajoutée sur l’espace thématique d’information à destination du grand public Antibio-Malin (https://sante.fr/antibiomalin), qui présente sous forme de fiches courtes les infections les plus courantes ainsi que l’ensemble des antibiotiques prescrits par les professionnels de santé de ville. N’hésitez pas à en faire la promotion ; un flyer est disponible sur antibiotiques.gouv.fr à cet effet. Pr. Jérôme Salomon Directeur Général de la Santé Un médecin spécialiste nous dit : « Les propriétés antivirales de l’antibiotique azithromycine sont clairement niées par le HCSP et la DGS. » Les médecins se voient une nouvelle fois menacés dans leur liberté de prescription et les patients dans leurs chances de traitement. L'azithromycine en permettant de réduire la charge virale en début d’infection de la COVID-19 modifie non seulement le cours évolutif de la maladie, mais également diminue la contagiosité des patients, ce qui en phase épidémique est un élément majeur à prendre en considération. Cela ne manquera pas de faire sauter les médecins au plafond qui ont un retour d’expérience de terrain totalement différent. Un déni de soin pour les patients ?"

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 12:43
    Hélène Banoun
    Réponse à olivier Campistron Il me semble que vous avez mal compris l'article ci-dessus et le rôle de l'Aimsib de façon plus générale. Michel de Lorgeril ne prend pas position pour ou contre un traitement particulier de la Covid, il utilise la décision des autorités pour demander qu'elle soit appliquée également à d'autres traitements. Ce n'est pas le rôle d'un médecin particulier, fût-il extrêmement bienveillant, ni de l'Aimsib de préconiser de façon uniforme un traitement particulier pour une maladie particulière. Il me semble que l'Aimsib demande depuis longtemps une liberté de choix thérapeutique pour les médecins. Ce choix n'est plus autorisé depuis quelque temps : il me semble (je ne suis pas médecin) que le rôle du médecin, pour les autorités, se limite à faire un diagnostic et ensuite à appliquer le traitement préconisé par la HAS (Haute Autorité de Santé). L'Aimsib n'est pas la HAS et n'a pas à décider, dans le cas présent, si les médecins doivent prescrire de l'hydroxychloroquine à tout patient présentant des symptômes de Covid. Et ceci d'autant moins que l'épidémie est terminée, on trouve encore des traces du virus car on le traque dans ses derniers retranchements mais les personnes testées positives sont rarement malades (d'après ce qu'on lit dans la presse qui ne s'interdirait sans doute pas de nous informer en cas contraire).

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 11:21
    Surya
    L'AIMSIB souhaite répondre à ce message via une réponse que le lecteur trouvera ci-après ----------------------------------- Cher Olivier, nous comprenons votre critique, et aussi votre abrupte position très négative à notre égard. Nous la respectons mais nous estimons que vous êtes dans l'erreur. Vous n'êtes pas le seul ; nombreux sont ceux qui sont tombés dans le piège de l'illusion et de la désinformation qui, pour une fois et dans un premier temps, ne venait pas des autorités sanitaires. Face à une situation nouvelle et complexe, l'AIMSIB a choisi d'emblée une position prudente et humble ; et chaque jour qui passe nous nous félicitons de notre choix initial. Il est malsain de séparer la médecine pratique de la science médicale : l'une ne va pas sans l'autre, au risque d'une navrante régression aux archaïsmes de la médecine de Molière. Et c'est ici que vous exposez votre principale erreur. Vous écrivez : "Je sais par les médias qu’un traitement existe, qu’il est administré à Marseille par une équipe dirigée par le professeur Raoult" C'est votre droit de "croire" les médias et les déclarations intempestives du Pr Raoult. "Croire" au sens religieux du terme (comme d'autres "croient" à des versets de la Bible ou du Coran) ne fait pas parti de l'alphabet de l'AIMSIB. Mais à l'AIMSIB, nous avons appris (après des décennies de travail) à ne jamais "croire" les médias et encore moins les académiciens pompeux et mégalomanes. Ils ne manquent pas dans tous les camps et pendant cette crise, ils ont eu l'opportunité d'exposer leur grossière incompétence. Vous insistez dans l'erreur en écrivant : "nous savons bien que ce médicament pris au début, hors automédication, avec un suivi médical, a UNE chance d’empêcher la maladie de s’aggraver." D'où vous vient ce "nous savons bien" ? De quelle science infuse disposez-vous pour nous matraquer ainsi de vos certitudes ? Et vous continuez sur le même ton péremptoire : "Le risque d’effets secondaires est infiniment moins important que le risque de mourir pour les personnes fragiles laissées sans soin ou soignées trop tard." Désolé, Olivier, vos affirmations sont gratuites et les scientifiques comme les médecins ne peuvent se contenter de telles assertions. l'Histoire de la médecine est truffée de telles querelles et controverses et depuis Hippocrate, nous avons appris qu'en de telles circonstances (ignorance et l'inconnue), nous devons respecter deux règles qu'on peut qualifier de primaires : 1) D'abord ne pas nuire ; 2) Dans le doute, abstiens-toi ! L'AIMSIB n'a pas à juger les pratiques médicales individuelles, hors d'une critique scientifique rigoureuse. Mais le site de l'AIMSIB est un lieu public qui ne laisse aucune place aux illusions grossières et à la désinformation. Cher Olivier, vous terminez votre diatribe par une accusation qui ne peut nous laisser indifférents. Vous écrivez : "laisser la maladie jouer à la roulette russe avec les malades relève de la non-assistance à personne en danger." Votre vision d'une maladie qui "jouerait à la roulette russe avec les malades" laisse penser que vous avez subi, de la part des médias et des académiciens, un véritable lavage de cerveau. Justement l'AIMSIB et les sciences médicales prétendent qu'il n'y a aucun hasard dans les activités des agents pathogènes. Tous nos efforts visent à identifier les vrais facteurs qui provoquent les maladies. Administrer des produits chimiques sans en connaître l'utilité et l'innocuité relève du jeu de hasard ! Finalement nous vous pardonnons votre dernière sentence insultante nous accusant de "non-assistance à personne en danger" ! Veuillez agréer nos salutations distinguées.

  • Jurisprudence chloroquine et médecine des vaccins
    10/06/2020 10:52
    Hermine
    Votre billet est rempli de bon sens pour moi ! Comme vous je suis adhérente de l'Aimsib sans être scientifique et je dois dire que la science après cet épisode pandémique m'a quelque peu agacée. Il m'est arrivée d'aller aider en mer un baigneur en difficulté je n'ai pas eu le temps de me demander si j'étais capable de le faire je l'ai fait mais j'ai pris des risques pour lui et moi et c'est ce que l'Aimsib, il me semble, tente de faire en cherchant à nous ouvrir les yeux, en mettant le doigt sur ce qui fait mal, elle est dans son rôle à mettre en évidence ce même combat entre la chloroquine et les vaccins et l'article de Michel de Lorgeril est imparable. Le sigle B a été voulu par les médecins. Il peut arriver dans des contextes aussi difficiles de perdre de vue ce que l'urgence imposait mais la science n'avance qu'à ce prix je crois.

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