Commentaires du site

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 16:44
    Jengi
    "évitons l’erreur méthodique d’attribuer à une cause unique (celle qui nous apparaît à un moment donné de nos réflexions) les désordres que nous constatons." C'est bien de cela dont il s'agit dans le cas du sida et son lien avec telle ou telle vaccination. Des causes diverses qui se cumulent peuvent donner lieu à la positivation du test élisa. Comme ce test est à limite, une seule cause (par exemple la vaccination) ne suffit pas pour le positiver. Mais plusieurs causes provoquant le même phénomène peuvent se cumuler et positiver ce test. Vous me direz avec raison que ces causes doivent tout de même, au final, intervenir avec un même mécanisme. Pour moi, le point commun de toutes ces causes, ce sont les peroxynitrites, indispensables au bon fonctionnement cellulaire, mais dont l'excès est néfaste. Ici, les réactions inflammatoires en fabriquent beaucoup, et l'impact de la vaccination en fait apparaître un peu plus. Mais en Afrique, s'y rajoutent diverses sources de peroxynitrites que sont les par exemple les antibiotiques nitrés (chloramphénicol, métronidazole, nitrofurantoïne,...), dans les pays occidentaux, ce seront par exemple les poppers (nitrites d'alkyle), du sang contenant de grandes quantités d'oxydants de ce type,...

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 15:50
    Dr Vincent Reliquet
    Au contraire, je vais m'enquérir!

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 15:39
    Minna
    Thucydide n'est là que pour associer les épidémies à des désordres plus généraux, comme la guerre, la famine et autres circonstances non identifiées et hors des préoccupations de l'époque. Si cela vous gêne, oubliez ! Merci à tous

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 15:24
    Dr Vincent Reliquet
    Thucydide Minna? Fichtre! :-)))

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 15:17
    Minna
    Cher Bernard, il n'est pas question d'attribuer à l'électrification la cause unique des maladies, pas plus qu'aux virus divers. La terre se maintient dans un champ électromagnétique (nom que nous attribuons à des phénomènes d'origine non accessible pour nous) à peu près stable, mais sujet à des cycles et quelquefois des hiatus. Les phénomènes courants comme les orages, les tremblements de terre et même la formation des nuages et de la pluie, sont des phénomènes d'ionisation, variables selon ce qui nous arrive du fond de l'univers... Donc : évitons l'erreur méthodique d'atrribuer à une cause unique (celle qui nous apparaît à un moment donné de nos réflexions) les désordres que nous constatons. Ce que je dis concerne bien entendu la variole, et les "pestes" diverses, dont celle d'athènes, dont parle si bien Thucydide. Néanmoins, l'extension des ondes radio et satellites émetteurs récepteurs ne peut que perturber le champ de base dont nous sommes faits. Merci à tous

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 10:51
    Minna
    Autre adresse, avec résumé consultable et les références de nombreux articles similaires : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34717185/ Merci à tous

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 10:44
    Minna
    Les textes sont chez Elsevier : https://www.clinicalkey.com/#!/content/playContent/1-s2.0-S0168827822002367?returnurl=null&referrer=null. Ils sont maintenant "propriété privée", avec contrôle d'accès.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    27/04/2022 10:20
    Minna
    Oui. Mais on discute du sexe des anges pendant que des technologies pathogènes (sans parler de l'industrie pharmaceutique ou phyto-sanitaire) sont vendues fort cher et installées sans le moindre souci de ce qu'il adviendra aux populations exposées. Je trouve le temps long... Merci à tous

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    26/04/2022 10:41
    Bernard Guennebaud
    IL est reconnu 2 virus de la variole humaine : celui de la variole majeure, la plus dangereuse avec une fièvre à 40°, un état de prostration et celui de la variole mineure ou alastrim qui était beaucoup moins grave qui permettait aux malades de continuer à circuler et que l'on pouvait confondre avec la varicelle. Il est aussi admis que le premier virus n'immunise pas contre le second et vice versa. Ce qui implique que l'on puisse faire au moins 2 fois la variole. Un exemple célèbre : Louis XV l'avait faite une première fois et il mourut à la seconde. Il est possible que ce ne fut pas le même virus. Par ailleurs, il ne faut pas oublier ce que j'appelle les effets Buchwald constatés de très nombreuses fois : quand la vaccination avec un vaccin "à virus vivant ayant conservé la capacité de se répliquer" est appliquée au voisinage temporel de la contamination sauvage, le vacciné pourra faire une variole même s'il avait pu l'éviter grâce à une vaccination antérieure ou une variole antérieure et ce avec une forme aggravée de la maladie. Ce phénomène, démontré expérimentalement sur des singes en 2008 (Earl), a eu pour conséquences une amplification des épidémies avec accroissement de la mortalité. J'ai étudié cela dans 3 articles AIMSIB que vous trouverez dans les archives (déc. 2019 ; mai et sept. 2020). Il avait été constaté dès 1870 mais il fut écrasé par les experts officiels, c'est à dire ceux qui conseillent les autorités . Ils insistèrent pour recommander la vaccination systématique des contacts en France. 100 ans plus tard, il en ira de même pour pratiquer systématiquement et de façon très contraignante la vaccination des contacts au cours de la campagne d'éradication. Ainsi, en Inde il y eut 12 300 cas notifiés en 1970 puis 88 000 en 1973 puis 188 003 en 1974 avec disparition de la maladie en juin 1975. Ce résultat fut obtenu, sans aucun doute, par la recherche active des malades, leur isolement, l'identification des contacts et leur isolement. La vaccination systématique de ces contacts ne fit que retarder l'éradication et accroître de façon considérable le nombre de cas. C'est clair, aucune des causes que vous avancez pour expliquer les épidémies, y compris l'électrification des villes et le télégraphe ne peuvent expliquer les épidémies de variole qui existaient depuis des siècles et qui se produisaient en 1970 dans des villages isolés de l'Inde, du Bangladesh ou de Somalie, dépourvus de ces dispositifs dont ils étaient très éloignés. De plus le vaccin "à virus vivant ayant conservé la capacité de se répliquer" provoquait une pustule qui n'apparait plus après que le virus vaccinal ait été cultivé plus de 500 fois (de mémoire) sur embryon de poulet. Cela a donné la souche dite MVA (souche Ankara modifiée). Comment expliquer cette pustule comme sa non apparition à la suite de cette culture en série s'il faut exclure tout agent pathogène ? Qu'est ce qui se transforme dans le vaccin ainsi traité pour qu'il produise des effets très différents ? On pourrait de même citer le BCG qui résultat de BK bovins cultivés 230 fois sur pomme de terre cuite dans de la bile de boeuf et qui n'avait plus les mêmes propriétés que le bacille originel. Cela avait été établi par le vétérinaire Camille Guérin sur des bovins qui étaient testés avec des BK virulents, certains vaccinés, d'autres pas et qui étaient autopsiés avec examen des organes.,

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    25/04/2022 19:58
    Président de la ligue antivaccinale
    Une information sur la variole,suggérant que la maladie est non immunisante Alfred Wallace describes a study by Dr. Adolf Vogt, professor of Hygiene and Sanitary Statistics at the University of Berne, Switzerland. Vogt compile data on those who had contracted smallpox and their subsequent susceptibility to further smallpox episodes. He found that those who had one episode of smallpox were actually 63 percent more likely to suffer from a second episode as compared with those who had never had a case of smallpox. Vogt concluded: “All this justifies our maintaining that the theory of immunity by a previous attack of smallpox, whether the natural disease or the disease produced artificially, must be relegated to the realm of fiction. Thomas S. Cowan - The Contagion Myth- (2020) p 144

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    25/04/2022 19:53
    Président de la ligue antivaccinale
    On ne peut logiquement déduire que la disparition de la variole implique que celle ci était due à un virus La théorie virale pasteurienne stipule que tout maladie semblant contagieuse est due à un microbe ;quand une bactérie n'est pas retrouvée ,on accuse un virus, sans preuve ,sans chercher une autre cause , comme une exposition commune à un pathogène externe,tel par exemple des champs electromagnétiques Les grandes épidémies correspondent à de nouvelles surexpositions brutalesà l'electricité: -electrification des villes -telegraphe -ondes radio (1918) -radards --satellites -portables -tempetes solaires L'intensité des champs magnétiques a été multipliée par 2 millions ,au moins l'arc en ciel invisible ,de Arthur Firstenberg -

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    25/04/2022 17:14
    Bernard Guennebaud
    Koprowski, en raison de ses origines polonaises avait réalisé une grande campagne de vaccination avec son vaccin expérimental produit sur macaques. Il n'a pas été observé de cas de sida. De même, Sabin qui était d'origine russe, avait réalisé une campagne avec son vaccin sur 6 millions de soviétiques. Il n'avait pas non plus été observé de cas de sida. Ces 2 points sont précisés dans le documentaire.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    25/04/2022 15:37
    Dr Vincent Reliquet
    Oh! la belle piste!

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    25/04/2022 14:31
    Jengi
    Et si c'était cette vaccination, par elle-même, qui avait provoqué cette immunodéficience mise en évidence par les tests Elisa ? Après avoir étudié l'importance des peroxynitrites dans l'apoptose par exemple, dans la destruction du glutathion également, dans les thromboses, on peut se demander raisonnablement si ce n'est pas leur excès, provoqué par la réaction inflammatoire liée au vaccin, et/ou à de nombreux composés chimiques qui en sont les promoteurs, qui a provoqué le sida, plutôt qu'un virus. Et que les anticorps qui apparaissent leur seraient directement liés. Il est intéressant de voir par exemple que l'AZT comporte une structure oxydante pouvant fournir des peroxynitrites, alors que la lamivudine comporte une structure réductrice capable de les détruire. Or l'introduction de la lamivudine (ou de l'emtricitabine) en 1996 a pratiquement fait disparaître la forte mortalité qu'on voyait dans les années 90.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    24/04/2022 16:36
    Bernard Guennebaud
    Les 2 premiers liens renvoient à des pages qui n'existent pas ... ou qui n'existent plus ! ?

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    24/04/2022 15:42
    Quanah
    Tant qu'on vote encore en France métropolitaine, c'est normal que les résultats ne puissent être sur la place publique

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    24/04/2022 11:55
    Dr Vincent Reliquet
    C'est pas un faux Inox, des confrères DOM TOM nous renvoient des résultats identiques. A la Martinique le Préfet a interdit le placardage public des résultats

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    24/04/2022 11:44
    Inoxydable
    Haut les coeurs, Vincent ! Si ce n'est pas un "faux" c'est jouissif: une nouvelle qui me réjouit : https://vk.com/gjbretagne?w=wall-176246656_68726 : Marine en tête partout en Outre Mer En Outre mer plus intelligents que nous … C'est trop beau pour être vrai mais..; Malhuret le Mal Luné aux oubliettes, et le Véreux on tire la chasse...

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    24/04/2022 11:33
    Inoxydable
    Plus actuel : https://twitter.com/TheVeto3/status/1517951535636004871@TheVeto3 1/18 CQFD Enfin une étude qui permet d'incriminer la spike vaccinale des vaccins à ARNm dans les lésions d'un organe. Ici, pour la 1ère fois, mise en évidence de la spike vaccinale dans une hépatite post-Moderna! Faut lire la suite des tweets. Article original : https://www.journal-of-hepatology.eu/article/S0168-8278(22)00236-7/fulltextLetter to the Editor|Severe de novo liver injury after Moderna vaccination – not always autoimmune hepatitis Par ailleurs, très belle analyse sur Covide Factuel : https://www.covid-factuel.fr/2022/04/23/omicron-bientot-le-ba13/

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    23/04/2022 18:24
    Bernard Guennebaud
    Je voudrais revenir sur les virus qui n'existent pas avec en particulier ce lien qui avait été donné plus haut et l'interprétions qui y est donnée. http://wissenschafftplus.de/uploads/article/wissenschafftplus-l-erreur-d-interpretation-virus-1.pdf Comment comprendre l'éradication de la variole avec les théories de cet article ? Force est de constater qu'il ne se produit plus de cas de variole, c'est un fait indiscutable. IL est affirmé de la façon la plus officielle que deux virus ont été éradiqués, celui d cela variole majeure et celui de la variole mineure encore nommée d'un mot portugais alastrim. J'aimerais comprendre.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    23/04/2022 02:38
    herve_02
    regretter un débile mental ? compliqué

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
    23/04/2022 00:46
    Denise
    Heureuse de vous lire!

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    22/04/2022 22:04
    Bernard Guennebaud
    Voici qui pourrait confirmer ce que j'écrivais juste au dessus, ce jour même, que l'essentiel de cette "affaire Koprowski" pourrait être qu'elle illustre qu'on ne devrait jamais se permettre d'expérimenter ainsi sur des populations humaines. C'est ce qui se déroule sous nos yeux depuis décembre 2020 avec l'acceptation passive des populations et la complaisance des médias. Voilà un article de "réseau international " qui relate l'inquiétude de le questionnement des pompiers allemands, pas seulement pour eux-mêmes soumis qu'ils sont à l'obligation vaccinale contre la covid mais aussi parce qu'ils sont constamment appelés pour secourir des victimes d'accidents cardiaques. Ceux-ci sont si nombreux que l'accroissement leur parait plus que significatif - il serait qualifié d'insensé - sans qu'il soit nécessaire de se livrer à des tests statistiques que d'ailleurs l'épidémiologie ne sait pas utiliser : "on devrait interdire aux médecins d'utiliser la statistique, ils font n'importe quoi avec" me disait en l'an 2000 un collègue statisticien alors qu'un autre collègue me disait à propos des statistiques médicales "Y'a des gens sérieux qui s'en occupent !" https://reseauinternational.net/une-hausse-insensee-du-nombre-de-crises-cardiaques-et-daccidents-vasculaires-cerebraux-incite-les-services-durgence-allemands-a-demander-la-suspension-de-la-prescription-du-va/

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    22/04/2022 15:20
    Dr Vincent Reliquet
    On va regretter le précédent, garanti sur facture.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
    22/04/2022 15:09
    z
    Le sida a vu le jour à cause des effets secondaires de la drogue et autres merdes chimiques de Big Pharma ce n'est pas un virus! La véritable cause du sida, connue des responsables de la santé depuis le premier jour. Comme les cinq premiers, il s'agissait de jeunes hommes homosexuels qui consommaient des drogues inhalées. Le sida n’a pas pour cause un virus et n’est pas contagieux ! Gottlieb a noté que le patient zéro Sida "a admis avoir utilisé des 'poppers'". En 1978, juste avant la prétendue épidémie de sida, le Canadian Journal of Psychiatry a publié un article intitulé "Poppers, A New Recreational Drug Craze"
    Before the Covid cover-up, Fauci oversaw the AIDS Cover-up.
    tous les effets secondaires des médocs et drogues chimiques de la CIA sont attribués aux virus, pour vendre leurs faux vaccins arnaque à milliards qui marche depuis longtemps pourquoi l'OMS nous parle de virus, mais dit que la 5G, le glyphosate, la pollution radioactive sont inoffensives? Le virus a été inventé pour déculpabiliser les multinationales polluantes et les drogues et big pharma les pollutions dans le tiers monde des nappes phréatiques causés par les extractions minières, les famines, sont aussi attribués au sida https://resistance71.files.wordpress.com/2022/04/robert-f-kennedy-jr-le-veritable-anthony-fauci.pdf bref, pas besoin de chasser les multinationales polluantes, pas besoin de nourrir les gens avec du bio et des vitamines, le faux vax est là!

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    22/04/2022 14:59
    z
    Malhuret, sénateur, ex-maire de Vichy, médecin à la botte de Big Pharma, ministre de la santé sous Macron https://resistance71.wordpress.com/2022/04/22/malhuret-senateur-ex-maire-de-vichy-medecin-a-la-botte-de-big-pharma-ministre-de-la-sante-sous-macron/

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    22/04/2022 13:52
    Dr Vincent Reliquet
    Aucun échec cher Bernard, au contraire, toutes les facettes de cette histoires sont importantes, merci à toi de t'y être intéressé pour nous +++.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    22/04/2022 12:07
    Minna
    Bien sûr ! Il y a sans doute des sources environnementales pathogènes dont il faut éviter de parler, comme les routeurs WiFi (2,4GHz) qui endommagent la glande pinéale, sans parler du reste... Les dirigeants le savent, mais il y a tellement d'argent en jeu. Sans vouloir offenser personne ni mettre en doute la sincérité des uns et des autres, il me semble que les théories virales sont de parfaites "couvertures" pour éviter l'émergence de théories alternatives qui pourraient mettre carrières et royalties en danger. La meilleure preuve est le renforcemnt du contrôle social pour la CoViD19. Meerci à tous

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    22/04/2022 11:18
    Bernard Guennebaud
    Je voudrais rappeler ce fait datant de 1957-58 mais qui est aujourd'hui d'une actualité brûlante : cette campagne de vaccination obligatoire sur plus d'un million de Congolais avec un vaccin expérimental contre la polio, vaccin produit sur place, il n'y a aucun doute à avoir sur ce point, sur rein de chimpanzé cultivé dans un extrait du sang de ces singes. Il y a avis là un gros risque de transmettre à l'homme des virus du singe et cela est une certitude pour le vaccin polio de Sabin avec au moins le SV 40. A l'époque, l'OMS avait très vigoureusement condamné ces expérimentations qu'elles jugeaient dangereuses comme l'atteste le document montré dans le documentaire réalisé par 5 télévisions dont France 2. Malgré la réaction ponctuelle et honorable de l'OMS à l'époque, conduire de telles expérimentations sur des Africains n'a pas provoqué le tollé général qui aurait du être. Aujourd'hui, des expérimentations sont conduites avec le plein accord des autorités, non pas sur un 1 million d'Africains, mais sur des centaines de millions d'Occidentaux, en Amérique, en Europe, en Australie, en Israël ...Et ce avec la complaisance des médias, la passivité des populations et la violence, au moins verbale mais lourde de menaces et ce au plus haut niveau de l'Etat, à l'encontre des résistants. Au Congo belge, il y a 64 ans, ceux qui ne se présentaient pas pour recevoir le vaccin expérimental étaient signalés et le chef du village savait les retrouver selon le témoignage d'une Congolaise qui avait vécu cette époque. Pourtant, il y a le vieux proverbe bien connu : "Qui fait une expérience médicale sur un Africain, expérimente sur le monde entier !" Ce pourrait être là la leçon principale à retenir de cette campagne avec le vaccin Koprowski. J'avais pris une précaution oratoire en précisant que je n'avais pas l'intention de discourir sur l'origine du sida car j'avais vu que l'affaire Koprowski contenait d'autres enseignements que cela, aussi important que cette question puisse être. J'avais aussi vu que cette fameuse question sur l'origine du sida était le meilleur moyen pour détourner l'attention des autres aspects très importants de cette affaire. Dans la rédaction de cet article j'avais tout fait, je pense, pour tenter d'éviter ce détournement d'attention. Le moins que l'on puisse dire est que j'ai complètement échoué !

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 15:58
    Brigitte Fau
    Tiens, tiens ! Cela me parle. Mais j'ajoute que même s'il y avait "isolat", il pourrait tout autant être partie de l'organisme sur lequel il a été prélevé quelque soit son aspect. Seule une position dogmatique empêche de l'envisager. En tout cas merci Nad pour ce rapport complet et instructif, surtout pour ceux qui ne prennent pas le temps de lire les liens qui donnent tous ces détails. Mais il faut du temps en effet.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 14:05
    Bernard Guennebaud
    D'abord merci à nad pour ses interventions très documentées et riches mais qui ne sont pas dans mon champ de compétence. Il y a un fait très surprenant dans toute cette controverse sur le sida et ses origines : D'une part, au symposium de Londres, les 10-11 septembre 2000, toute la stratégie organisée contre Hooper et ses recherches était de montrer que le vaccin de Koprowski n'avait pas été produit sur chimpanzé. D'autre part j'avais reçu par la poste la traduction (110 pages) de l'analyse que Peter Duesberg faisait du sida "La contraction du sida par toxicomanie et autres facteurs de risque non contagieux". C'était le 10 juin 1996 soit 4 ans auparavant. Bien sûr que les protagonistes du symposium, plus de 4 ans plus tard, étaient au courant des travaux de Duesberg. Pourquoi n'ont ils pas utilisé ses arguments pour montrer que même si le vaccin Koprowski avait été cultivé sur chimpanzé (ce qui est une certitude), il ne pouvait y avoir de lien avec le sida ? Au lieu de cela ils ont préféré maintenir la thèse de la contamination par un VIS mutant en VIH après être passé chez l'homme tout en se compromettant très gravement, ce dont ils ne pouvaient pas ne pas avoir conscience. Il y avait là une prise de risque et donc un comportement pour le moins étonnant mais qui correspond certainement à quelque chose de très important. Si sida et VIH ne sont pas liés, ou que rarement, pourquoi agir ainsi ? Le vaccin de Koprowski pourrait avoir été à l'origine d'une épidémie de VIH mais pas pour autant du sida.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 11:01
    nad
    Qu'est-ce qui est vrai ? Le professeur Peter Duesberg (Université de Californie à Berkeley) a été celui qui a fait le plus de bruit en manifestant que le HIV ne serait pas la cause du sida. Il fut bientôt suivi par le professeur Robert Root Bernstein dont le livre, Rethinking AIDS (repenser le sida), est une démonstration dévastatrice des intrigues politiques et pseudo-scientifiques tournant autour du sida. Le débat a été illustré par Neville Hodgkinson, correspondant scientifique du Sunday Times (Royaume-Uni), dont l'article du 3 avril 1994, "la Conspiration du Silence", met en lumière le scepticisme scientifique en ce qui concerne le mythe HIV = sida. Voici quelques citations de témoins : "Le dogme selon lequel le virus HIV cause le sida représente l'escroquerie la plus gigantesque et peut-être la plus moralement destructrice qui ait jamais été perpétrée sur de jeunes hommes et femmes". - Charles Thomas, ancien professeur de biochimie à Harvard. "La façon dont on applique la théorie du HIV est infalsifiable et donc inutile en tant qu'hypothèse médicale. Le sida est le résultat d'un énorme degré d'exposition à des virus et des bactéries humaines". - Dr Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993. "De nombreuses personnes atteintes du sida n'ont pas le virus HIV, et un grand nombre de personnes présentant le virus HIV ne déclarent pas le sida. L'hypothèse HIV+sida est beaucoup trop simple. Une alternative plausible, des causes testables... devraient faire partie de la recherche ordinaire sur le sida". - Dr Hank Loman, professeur de chimie biophysique, Université Libre d'Amsterdam. "On voit s'accumuler de plus en plus rapidement les preuves du fait que la théorie initiale du virus HIV n'est pas exacte. Celui-ci n'est pas suffisant pour causer la maladie". - Dr Steven Jonas, professeur de médecine préventive, Université de l'Etat de New-York. (Source : Int'l Journal of Alternative and Complementary Medicine, Août 94) 2. Mais alors, qu'est-ce que le sida ? Si le virus HIV n'est pas la cause du sida, qu'est-elle ? Du point de vue de Peter Duesberg, "vingt-cinq maladies déjà connues auparavant mais presque entièrement non-reliées entre elles ont été redéfinies comme étant le sida, du moment qu'elles se déclarent en la présence du virus HIV". (Pharmacology and Therapeutics , 1992, 55:201-77). En d'autres termes, si vous avez la tuberculose sans avoir fait un test ELISA, vous avez la tuberculose. Mais si la tuberculose est diagnostiquée en même temps qu'un test HIV positif, vous avez le sida. Selon le point de vue hérétique, l'effondrement immunitaire sévère constaté dans le sida déclaré n'est pas causé par un microbe, mais par une variété de facteurs séparés de modes de vie à risque spécifiques à certains groupes à haut risque dont la santé est compromise bien avant la déclaration de la maladie. Le lien commun, selon Eleni Eleopoulos, est que ce sont tous des agents d'oxydation - c'est-à-dire qu'ils provoquent des "feux" indésidables dans les cellules, comme fait le cancer. De telles insultes au corps ne causent l'effondrement immunitaire qu'au bout d'un temps assez long, de même que le fait de fumer des cigarettes met des années à produire un cancer. La croyance principale est que le syndrôme immuno-dépresseur est causé par un certain nombre de faits suivants : * Chez les hommes homosexuels, le fait d'avoir un nombre élevé de partenaires et d'assumer le pôle réceptif dans la pénétration anale, ainsi que de s'exposer à certaines drogues comme les nitrites. Selon Eleni Eleopoulos, de nombreuses études démontrent que l'immuno-suppression apparaît plus souvent chez les récepteurs de sperme par l'anus (c'est-à-dire les partenaires passifs), et non pas chez leurs partenaires donneurs. De plus, des études chez l'animal démontrent de façon concluante que le sperme est très fortement immuno-suppresseur s'il migre dans les cellules générales du corps. Ceci est possible surtout dans la sexualité anale puisque, contrairement au vagin dont la paroi épaisse rend impossible le passage de la semence dans le sang, le rectum n'est séparé du flux sanguin et du système lymphatique que par un mince mur cellulaire, aisément traversé lors d'un acte sexuel anal. (Medical Hypotheses, 1988, 25:151-62). * Chez les hémophiles, non seulement l'état de ces malades lui-même, mais aussi des impuretés présentes dans l'agent coagulant appelé Facteur VIII. Dans une étude, on constata qu'un plus grand nombre d'hémophiles non infectés par l'HIV avaient contracté des maladies reliées au sida que ceux qui étaient séropositifs confirmés. (Gomperts E.D., de Biasi R. and De Vreker R., "The Impact of Clotting Factor Concentrates on the Immune System in Individuals with Hemophilia ", Baxter Healthcare Corporation, Hyland Division, Glendale, California, 1991). * Chez les usagers de de dérivés opiacés par intraveineuse, l'effet immuno-suppresseur des drogues, lequel est connu depuis les années 1970. * Chez les récipiendaires de transfusions, les produits sanguins et la transfusion elle-même, dont l'effet immuno-suppresseur est connu, en particulier en cas d'usage de sang irradié. Une étude a démontré que plus le patient reçoit de sang, plus son nombre de cellules-T diminue. (British Journal of Hematology, 1985, 59-713). * Chez les bébés nés d'une mère séropositive, l'accoutumance aux drogues ou les effets de cette accoutumance chez la mère. Les trois quarts des bébés américains atteints du sida sont nés de "mères à crack", dit Duesberg. D'autres bébés du sida sont des récipiendaires de transfusions ou des hémophiles. * Chez les Africains, la malnutrition et la sexualité anale largement pratiquée par les hétérosexuels. Le sida est un nom pour de vieilles maladies indigènes. De plus, ce que nous appelons "l'épidémie du sida" pourrait résulter d'une inadéquation sauvage du test sida en Afrique, où des milliers de gens porteurs d'anticorps multiples apparaissent séropositifs lors du test ELISA. Contrairement aux cas de sida américains et européens, le sida africain n'apparaît pas chez les homosexuels, les drogués ni les hémophiles. * Chez tous les malades atteints du sida, la prophylaxie par des drogues telles que l'AZT, qui provoque l'anémie et la baisse de la numération des cellules, causant le "sida sur ordonnance", selon Duesberg. 3. Les maladies qui définissent le sida Le sida est généralement caractérisé par un grand nombre de maladies "opportunistes", qui peuvent devenir actives dans un corps dont le système immunitaire a été sérieusement endommagé. Ceci inclus la pneumonie à pneumocystis carinii (PCP) et la candidose (toutes deux causées par des champignons parasites présents chez tous les humains), la tuberculose, la toxoplasmose, la cytomegalovirose et l'herpès. De plus, les malades atteints du sida peuvent souffrir d'autres troubles non causés par l'immuno-déficience, parmi lesquels le lymphome et le sarcome de Kaposi (deux formes de cancer), la démence etc. Si le sida est provoqué par un virus, il a une étrange tendance à causer dans certains groupes certains types de maladies. Par exemple, Duesberg souligne les faits suivants : * Les homosexuels américains contractent le sarcome de Kaposi vingt fois plus souvent que tous les autres patients américains atteints du sida. Par contre, moins d'un pour cent des hémophiles et des Africains contractent cette maladie. Des études ont relié le sarcome de Kaposi à la sexualité anale et aux "poppers", c'est-à-dire l'amyl-nitrite. * Les usagers de drogues par intraveineuse ont tendance à avoir la tuberculose. * Les utilisateurs du "crack" attrapent la pneumonie, en plus de la tuberculose. * Les hémophiles favorisent des infections opportunistes, dont les trois-quarts sont à champignons, en plus de la pneumonie virale. * Les bébés du sida ont des maladies bactériennes et la démence. * Quatre-vingt dix pour cent des malades africains atteints du sida, hommes et femmes en nombre égal contrairement à ce qui se passe en Occident, attrapent des fièvres, la diarrhée, la tuberculose et la "maladie de la maigreur" - maladies depuis longtemps établies sur ce continent. Les Africains n'ont pas la pneumonie PCP et la candidose, bien que ces parasites existent chez tous les humains y compris les Africains. 4. La cellule kamikaze Ainsi que Duesberg et Eleopoulos le font remarquer, le virus HIV est l'un des cent ou cent-cinquante rétrovirus présents à l'état de latence chez les humains, tous ayant la même structure génétique. Au début des années 1980, Robert Gallo de l'Institut Américain du Cancer ainsi que Luc Montagnier de l'Institut Pasteur ont tous les deux isolé un rétrovirus présent chez des patients homosexuels que l'on croyait atteints du sida. Selon la théorie Gallo-Montagnier initiale, ce rétrovirus est un virus dont le propre ARN (code génétique court qui enseigne à chaque cellule la manière de se reproduire) est transmué par une enzyme particulière (la transcriptase inverse) en ADN, dont la longue hélice double porte le code de l'information cellulaire complète. Selon les théoriciens de la cause unique, le virus HIV peut "s'introduire par effraction" dans une cellule-T du système immunitaire et s'attacher à l'ADN de la cellule, dont il se nourrit. Lors de la réplication de la cellule, le virus procède également à sa réplication. Lorsque le patient est atteint du sida pleinement déclaré, on suppose que le virus a alors complètement dévoré ces cellules, laissant le corps complètement démuni face à n'importe quelle espèce de maladie. Au vu des trous géants que comporte cette théorie, les "révisionistes" du sida, parmi lesquels le co-découvreur Montagnier, ont tenté de sauver l'hypothèse HIV grâce à la proposition selon laquelle le virus HIV a besoin d'un certain nombre de co-facteurs, tels que le mycoplasme et autres virus, pour induire la mort de la cellule. Ou bien, fait unique dans l'histoire de la maladie infectieuse, le HIV peut forcer le système immunitaire à réagir contre lui-même ou à se suicider. Duesberg souligne que de nombreux rétrovirus existent dans toutes les cellules à la manière du HIV, et non pas simplement dans quelques unes d'entre elles. Et la plupart des groupes à risques du sida ont un grand nombre d'anticorps à de nombreux parasites humains qu'ils ont accumulés au cours de comportements à haut risque (tels que l'usage de drogues), de transfusions sanguines ou d'intense promiscuité. Duesberg et Eleni Eleopoulos considèrent le virus HIV comme un "innocent passager microbien" sans distinction particulière. Par conséquent, même transmis périnatalement aux bébés, il serait sans danger. Source : NEXUS , oct-nov 1994, repris de "What doctors don't tell you " (vol.5, n 4, 1994), 4 Wallace Road, London, N1 2PG, UK. Traduction en français : Mona Bossy

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:55
    Minna
    Un exemple banal : le gastro-entérite "virale" saisonnière, courante dans les villes comme Nice. Après un épisode de pluies violentes, l'eau de la ville est traitée, et sur-traitée au chlore ou à l'ozone, ça dépend des quartiers. Dans les jours qui suivent, certains habitants (voisins, etc...) contractent la gastro-entérite. Y a-t-il des virus dans l'eau "potable" de la ville : on ne sait pas car on ne cherche pas. Par contre, on trouve plein de "virus" dans les eaux usées. J'élabore un scénario alternatif : l'eau de la ville, sur-traitée pour cause de pluie, est sur-oxydée. L'odeur même en est gênante s'il s'agit du chlore. La contagion ne serait-elle pas seulement le fait de partager le même environnement pathogène et les virus les témoins de l'apoptose cellulaire (merci Jengi !) et donc une production endogène ? Chacun tombant ou non malade pour des raisons diverses. Il est à noter que le scénario se tient, qu'on prenne les "virus" pour la cause ou le produit d'un désordre non identifié. Merci à tous.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:49
    nad
    Documents courts 1er octobre 1985 Anticorps transitoire contre le virus associé à la lymphadénopathie/le virus T-lymphotrope humain de type III et les anomalies des lymphocytes T chez la femme d'un homme qui a développé le syndrome d'immunodéficience acquise HAROLD BURGER, Ph. DMD, BARBARA WEISER, M.D., WILLIAM S. ROBINSON, M.D., … Voir plus Informations sur l'auteur, l'article et la divulgation https://doi.org/10.7326/0003-4819-103-4-545 PDF Outils Partager Abstrait Nous présentons des preuves de la transmission du virus associé à la lymphadénopathie (LAV)/virus T-lymphotrope humain de type III (HTLV-III) d'un homme à sa femme, et d'un retour à un nombre normal de lymphocytes T auxiliaires et d'une perte d'anticorps après l'arrêt de l'exposition sexuelle au LAV/HTLV-III. L'homme souffrait d'hémophilie A et a développé le syndrome de lymphadénopathie, des anticorps anti-LAV et un faible nombre de lymphocytes T auxiliaires. Sa femme, qui n'avait aucun risque pour le syndrome d'immunodéficience acquise autre que le contact sexuel avec lui, a développé des anticorps LAV (titre, 1: 160) et un nombre légèrement diminué de cellules T auxiliaires. Le mari a par la suite développé le syndrome et a perdu l'anticorps LAV. Pendant 10 mois de suivi, sa femme est restée cliniquement en bonne santé, a interrompu l'exposition au sperme, puis a perdu l'anticorps LAV et a retrouvé un nombre normal de cellules T auxiliaires. https://www.acpjournals.org/doi/pdf/10.7326/0003-4819-103-4-545

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:47
    nad
    Voici comment ont été fabriquées les informations génétiques sur le VIH... En dépit de ce déplorable état de chose, la majorité des chercheurs qui travaillent sur le SIDA persiste à croire à l'authenticité du VIH parce qu'une de ses supposées séquences génétiques a déjà été publiée. De plus, il existe maintenant des procédés génétiques qui, à la différence des tests aux anti-corps, essayent d'identifier plus ou moins immédiatement la présence du VIH sans attendre les semaines nécessaires à la formation des anti-corps. Le fait que les tests génétiques (PCR) (22) ne donnent pas le même résultat que les tests de détection des anti-corps est tout simplement ignoré. Puisqu'aucun virus n'a été isolé, il s'ensuit qu'il n'a pas non plus été possible d'en isoler l'acide nucléique. On décrit, dans la littérature scientifique, des processus compliqués à l'issue desquels on produit quelque chose qu'on appelle acide nucléique du VIH. (23) 22 : Le peu de confiance placée dans la validité de ces tests est évident lorsqu'on lit les mises en garde de la notice qui accompagnent l'un d'eux : "Le test Amplicor VIH-1 PCR a été testé seulement à l'aide de spécimens de sang intégral. Ses performances en présence d'autres spécimens n'ont pas été évaluées et pourraient fournir des résultats faussement positifs ou faussement négatifs... La détection du VIH-1 peut dépendre de la quantité d'ADN proviral du spécimen. Les méthodes de collecte du spécimen et les facteurs propres au patient tels que l'âge, l'état sanitaire, les facteurs de risques, etc. peuvent affecter les performances du test. Comme pour tout autre test de détection visant à établir un diagnostic, les résultats de l'Amplicor VIH-1 doivent être interprétés en tenant compte des informations cliniques et des données obtenues en laboratoire." Le lecteur comprendra plus loin pourquoi ce test a recours à des spécimens de sang intégral de préférence au sérum, d'autant plus que le but de ce test est de détecter des particules virales transmissibles qui ne devraient aucunement être affectées par la présence ou l'absence de cellules sanguines. Ceci est d'autant plus significatif qu'un des facteurs majeurs de transmission du VIH est censé être le Facteur 8 administré aux hémophiles et que ce Facteur 8 ne comporte pas de cellules sanguines. Une telle déclaration implique qu'il serait impossible de détecter l'ADN "viral" en l'absence de cellules sanguines ! ...dans une éprouvette On peut, nous dit-on, fabriquer des "litres" de VIH et de son ADN (24), mais dans des conditions pour le moins surprenantes. On permet, entre autres, l'usage d'extraits de plantes et autres produits chimiques oxydants, agents qui ne pourraient exister in vivo. Les lignées de cellules immortalisées (puis brevetées) par les équipes de Mrs Montagnier et Gallo sont co-cultivées avec des cellules humaines ou de leurs extraits. Le processus terminé, on n'obtient pas le VIH lui-même ; on démontre simplement la présence d'une activité de transcriptase d'inversion, dont on tient pour acquis qu'elle signale l'existence d'ADN qui "doit" être d'origine virale. La véritable explication du phénomène est la suivante. Dans ce mélange de cultures de cellules et de cellules humaines altérées (stressed), on trouve de grandes quantités d'ARN et de transcriptase d'inversion, car ces cellules ont été tout spécialement sélectionnées et traitées pour réagir ainsi. L'ARN est transcodé en ADN par la transcriptase d'inversion. On obtient alors de longs fragments d'ADN que l'on appelle "ADN viral". Il s'agit en fait de fragments, sans rapport les uns avec les autres, de cellules d'ARN exprimés (expressed), transcodés en ADN et reliés les uns aux autres par un procédé du nom de "template switching" (une des caractéristiques bien connues de la transcriptase d' inversion).(25) Le chercheur moyen ne manqua pas de croire à tort qu'il avait vraiment fabriqué de l'ADN viral. On dit que cet ADN linéaire est la forme libre ou non intégrée du VIH, et même que c'est là une des singularités du VIH, parce qu'une telle quantité d'ADN linéaire libre n'a jamais été détectée dans aucun autre modèle de rétrovirus. ...et par un processus de sélection A ce stade, ces fragments d'ADN sont par ailleurs plus courts ou plus longs que la norme "exacte" du VIH. Il faut donc sélectionner des fragments de la taille "exacte", sans quoi cette préparation censée être d'ADN spécifique n'est qu'un magma de fragments de tailles différentes ; ce qui transgresse une des lois fondamentales de la virologie, à savoir que tous les acides nucléiques d'un même virus doivent être de dimensions identiques. ...et par un processus de détection Ces fragments d'ADN artificiellement sélectionnés pour présenter des dimensions identiques, ne sont pas encore conformes. Il s'agit, à ce stade de l'opération, d'une mixture de toutes sortes de fragments d'ARN transcodés en ADN et qui ne présentent pas un ADN viral de modèle unique spécifique. Il faut alors avoir recours à un procédé de détection (qui évoque une serrure à combinaison), procédé que l'on appelle "hybridation"(hybridisation). Procédé au cours duquel des fragments d'ADN sont détectés par une espèce de sonde (probe) qui les collecte grâce à sa forme présélectionnée en fonction de la forme du morceau d'ADN que l'on désire trouver. ...en choisissant une sonde sur mesure Puisqu'il n'existe aucun ADN provenant réellement du VIH avec lequel il serait possible de procéder à l'hybridation de la mixture d'ADN, Mrs Montagnier et Gallo utilisent simplement des séquences (stretches) de l'ADN qu'ils ont prétendu être spécifiques au VLTH-I (un rétrovirus dont Mr Gallo avait auparavant prétendu avoir découvert l'existence) et qui leur a paru convenir pour cette hybridation. L'ADN ainsi détecté fut dupliqué ; certaines séquences (stretches) en furent clonées et déclarées être de l'ADN de VLTH-I (baptisé plus tard VIH). Pour résumer : le but de cet exercice est la culture du VIH ; mais le résultat réel est une mixture de fragments de différentes longueurs d'ADN (ce qui va à l'encontre de la loi virologique des dimensions identiques), et n'est en aucun cas une culture de virus. On nous soutient ensuite que l'ADN "exact" a été préparé en isolant certains fragments de cette mixture hétérogène par un processus d'hybridation à l'aide d'une sonde (probe) d'ADN VLTH-I dont la séquence est connue et définie comme étant semblable à celle du VIH. Il n'en reste pas moins que dans une préparation véritablement correcte, on ne devrait trouver aucun fragment non hybridant d'ADN. Donc, le fait que l'on trouve ces fragments, prouve que c'est un véritable pot-pourri de fragments d'ADN sans aucune indication de l'origine des différents composants de la mixture. Il s'ensuit que l'ADN du "VIH" n'est qu'une fabrication de laboratoire selon des directives préconçues sur ce que "doit" être l'ADN d'un virus. Et personne ne semble se soucier du fait que le virus même ne puisse pas être reproduit, qans quelques conditions expérimentales que ce soient. L'ADN du VIH cloné par Montagnier et Gallo On ne peut manquer de s'étonner que personne n'ait depuis longtemps songé à repérer la faille dans les techniques employées par les équipes de Mrs Montagnier et Gallo. Après avoir assumé que quelques fragments d'ADN sont spécifiques du VIH, chaque chercheur a travaillé avec seulement quelques séquences clonées très courtes (jamais sur des fragments entiers), en assumant logiquement que les caractéristiques originales avaient été convenablement reproduites. Si on se souvient du processus d'identification et d'isolation que nous venons de décrire, il s'ensuit qu'en réalité chacune des séquences proposées à l'étude diffère des autres, ce que chaque chercheur n'a pas manqué d'interpréter à tort comme une preuve de la légendaire capacité de mutation de la part du VIH. Une simulation d'arbre phylogénétique a alors été mise au point sur ordinateur et n'a pas manqué de prouver exactement ce que son concepteur cherchait à établir.(26)

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:40
    nad
    EXPLICATION NON VIRALE Aucune preuve de l’isolement du VIH n’existant dans la littérature, et E. P-Eleopulos ainsi que d’autres scientifiques ayant montré que le SIDA ne se comportait pas épidémiologiquement comme une maladie contagieuse (Duesberg, "Inventing the AIDS virus"), Giraldo se tourne vers une explication non virale pour comprendre les réactions positives aux "tests VIH". Il se réfère aux travaux d’E. P-Eleopulos. Les éléments du prétendu VIH à partir desquels les "tests VIH" ont été produits semblent à cette chercheuse être des éléments ordinaires du corps humain. Cela serait invraisemblable si le "matériel VIH" utilisé pour les tests avaient été extraits d’isolats VIH (c’est-à-dire prélevés sur des cultures consistant exclusivement en particules ressemblant à des virus et se comportant comme des virus). Mais E. P-Eleopulos s’aperçut que tout ce qui était présenté dans la littérature médicale comme des "isolats de VIH" se compose essentiellement de matériel manifestement non viral mélangé à une minorité de particules déclarées être du VIH. Elle soutient que ces particules correspondent à la description classique de "microvesicules" cellulaires, et non pas de virus. Elle ne trouve aucun fait prouvant que ce matériel d’"isolat VIH" soit autre chose que des constituants cellulaires normaux. Etienne de Harven, spécialiste en microscopie virale est du même avis. Il semble donc à Giraldo que les tests d’anticorps VIH détectent simplement si l’organisme a été exposé à des facteurs augmentant la production d’anticorps réagissant à des protéines prélevées dans les cultures improprement appelées "isolats de VIH". Ce peut être tout un éventail de facteurs identifiés par E. P-Eleopulos et d’autres chercheurs comme étant la cause probable du SIDA : consommation de drogues, traitements de l’hémophilie, (en particulier multiples transfusions), infections et antibiothérapies sans arrêt répétées (comme chez les homosexuels masculins) et dans le Tiers Monde multiples parasites et infections chroniques comme conséquence de malnutrition, d’absence d’eau potable et de soins médicaux élémentaires. Concernant le test de charge virale, Giraldo n’a pas d’hypothèse à priori, car il n’a pas encore étudié la question. Il propose des expériences qui aideraient à expliquer la signification de ces tests. Une chose est désormais certaine : les données existantes ne confirment pas l’hypothèse selon laquelle un test VIH positif (ELISA ou Western Blot) est le signe d’une quelconque infection virale. Giraldo prétend que tout le monde peut produire une certaine quantité d’anticorps contre les prétendues protéines VIH. Il n’en conclut pas pour autant que tout le monde, séropositif ou non, est infecté par du VIH. http://www.sidasante.com/themes/tests/tout_le_monde_est_il_positif_pour_le_VIH.htm

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:37
    nad
    L’expérience de Giraldo " Ma curiosité me conduisit à faire une expérience au laboratoire médical de Yorktown Heights, NY. Je pris d’abord un échantillon de mon propre sang qui, à la dilution mystérieusement requise de 1/400, s’avéra négatif. Je refis alors des tests avec le même échantillon de sang, mais sans le diluer (1/1). Ainsi testé pur, le sérum donna à chaque fois une réaction positive. Ensuite je testai le sérum non dilué d’autres sujets dont le sérum dilué à 1/400 était négatif. Tous ces sérums, comme le mien, réagirent positivement lorsqu’ils furent testés non dilués. Mentionnons que, à part mon propre sérum, tous les échantillons de sang étaient envoyés par des médecins qui demandaient un test VIH. Mon expérience m’a appris qu’une demande de test signifie généralement que le patient appartient à un groupe à risque (homosexuel masculin, drogue intraveineuse) ". Giraldo étudia aussi la quantité d’anticorps que révélaient les résultats des tests. " Selon la notice du laboratoire Abbott, la valeur d’absorption (c’est-à-dire l’intensité de la coloration jaune) est proportionnelle à la quantité d’anticorps anti VIH-1. Je constatai que les sérums qui étaient négatifs quand ils étaient dilués au 1/400 mais positifs quand ils n’étaient pas dilués avaient une valeur d’absorption plus faible que les sérums qui, dilués selon les instructions, étaient positifs aux tests ELISA et Western Blot. Ce fait signifie sans doute que le sang séronégatif quand il est dilué mais positif quand il ne l’est pas a un taux d’anticorps moins élevé que le sang doublement positif quand il est dilué ". Donc tout le monde, semble-t-il, peut avoir une certaine quantité d’"anticorps anti-VIH" dans le sang. Et tout le monde peut être, jusqu’à un certain point, déclaré "séropositif VIH". Qu’est-ce que cela signifie ?

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:29
    nad
    Conclusion Une idée, essentielle à la théorie du Dr. Ho, est que le VIH mute si rapidement qu'en quelques jours ou semaines, il devient résistant à n'importe quel médicament "antiviral" pris par le patient. Afin d'empêcher cela, on recommande que le patient prenne un "combo" (ndt : cocktail) de trois médicaments qui théoriquement frappe le VIH sous tous les angles simultanément ; ce qui réduit le risque qu'une souche résistante survive. Pendant ce temps, il faut surveiller constamment "la charge virale" avec des tests qui coûtent 200 dollars. L'accent est mis sur une intervention rapide, c'est à dire qu'on administre aux patients des multi-drogues dès qu'ils sont séropositifs (ce qui suppose, pour commencer, que tout le monde sait quand cet événement a eu lieu) et qu'on les fait continuer à prendre ces médicaments le reste de leur vie. Quoique personne n'ai démontré qu'elles étaient pertinentes, les analyses de charge virales sont vigoureusement promues comme outils de l'état de l'art pour les sidéens, et il n'est pas difficile de comprendre pourquoi. Dans le Washington Post (6-02-96), David Brown a involontairement indiqué la raison : "le traitement agressif du VIH sera probablement bien plus cher que par le passé. Mesurer la charge virale coûtera environ $200 par test, et la nouvelle génération de traitements anti-VIH sera probablement au moins aussi chère que celle qu'elle remplace". US News et World Report (12-2-96) étaient plus spécifiques : ils ont estimé le coût annuel d'un inhibiteur de protéase à environ $6.000, et le coût d'une tri-thérapie de $12.000 à $18.000. Des combos de trois ou quatre drogues sont maintenant prescrits, là où un seul (l'AZT) suffisait. Comme de plus en plus de médicaments sont considérées comme nécessaires pour "traiter" les gens, beaucoup de ces derniers n'ayant aucun symptôme, il est évident que ça va être une mine d'or pour l'industrie pharmaceutique. La théorie de la charge virale a créé une nouvelle source de stress insupportable dans la vie de personnes désespérées. On dit désormais qu'une personne a comme un pistolet à un coup avec les nouvelles drogues "antivirales" (principalement les inhibiteurs de protéase). Si vous ne les prenez pas exactement au bon moment, avec exactement les bonnes combinaisons ou quantités, ou si imprudemment vous prenez un seul médicament à la fois, ou que vous abaissez la dose parce que la dose courante vous rend malade, votre virus deviendra résistant et les médicaments ne marcheront plus jamais sur vous. Et vous ne pouvez pas stopper non plus les médicaments, pour la même raison, même s'ils vous rendent malade à mort. Chaque article sur le sujet a eu jusqu'ici un avis d'expert différent concernant la façon dont tout ce programme est censé fonctionner : personne ne sait si vous pouvez guérir ou simplement tenir le coup ; personne ne sait quel est le pronostic à long terme pour ceux qui prennent ce triple-combo triplement toxique (les inhibiteurs de protéase ont produit des réactions extrêmement défavorables chez beaucoup de gens. Donc, le résultat ne devrait pas être dur à deviner). N'importe qui assez fou pour s'engager là-dedans deviendra un cobaye pour des personnes qui ne savent pas ce qu'elles font. Quand arrêterons-nous de permettre d'être employés comme cobayes lorsque de nouvelles idées délirantes font leur apparition ? Quand fermerons-nous nos portes-monnaie et refuserons-nous de payer le privilège d'être empoisonnés ? Et quand arrêterons-nous de soutenir les êtres humains les plus vils qui soient -- ceux qui profitent de la douleur des autres ? Christine Johnson est membre du MENSA et journaliste scientifique indépendante à Los Angeles (Etats-Unis). Elle est la personne de contact de HEAL/Los Angeles, est membre de la commission consultative du magazine Continuum et est l'éditrice de copies de Reappraising AIDS. Elle a une expérience étendue en médecine, loi et recherche bibliothécaire et est motivée par le désir de découvrir la vérité concernant le "SIDA". Elle s'intéresse tout particulièrement à rendre l'information des journaux techniques scientifiques accessible au public. Au cours des quatre dernières années, elle a suivi le travail du groupe de Perth et a écrit des articles critiques sur les tests d'anticorps VIH, y compris une grande interview avec Eleni Papadopulos-Eleopulos, qui ont été publiés dans le monde entier.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:23
    nad
    La bDNA - BRANCHED DNA PCR C'est le test utilisé dans le papier de Ho. Bien qu'il ne s'agisse pas, à proprement parler, de PCR, on le mentionne comme tel dans la mesure où il incorpore une technologie de type PCR. La différence est que l'ADN amplifie le signal, pas la cible. La PCR classique multiplie la cible, ce qui entraîne qu'on peut la trouver, tandis que le bDNA projette en quelque sorte un faisceau lumineux sur la cible, de telle sorte qu'on pourra mieux la voir. Le "Project Inform" a été assez aimable pour m'envoyer l'explication suivante concernant la façon dont le bDNA fonctionne : (9) "Des copies d'une sonde d'ADN sont fixées aux parois d'un petit récipient ; puis, l'échantillon est mis dedans. [une sonde d'ADN est un petit morceau d'ADN complémentaire de la séquence de l'ADN cible.] Cette sonde se lie à une certaine partie de l'ARN de VIH, s'il y en a dans l'échantillon, retenant l'ARN dans le récipient. Ensuite, une autre sonde d'ADN est introduite ; un bout de celle-ci s'attache à une autre partie de l'Arn du VIH. L'autre extrémité de la deuxième sonde a de nombreuses branches et chaque branche se termine avec un produit chimique "révélateur" qui, dans certaines conditions, produira une lumière qui peut être détectée par l'équipement du laboratoire. Chaque molécule de l'ARN de VIH peut se lier à une de ces structures en branche et s'accrocher à quelques unes des sources lumineuses, pas simplement une. De cette façon, de très faibles quantités d'ARN cible peuvent être détectées, sans besoin d'amplification PCR." Dans son papier initial, Ho n'a fourni aucune donnée concernant les protocoles pour ce test, ou même s'il était fiable. Le lecteur a été renvoyé à deux autres papiers qui étaient "en cours d'impression". Ainsi, aucune donnée n'était disponible à ce moment-là pour qui voulait vérifier cette méthode. Les données obtenues à partir du bDNA étaient confirmées par QC-PCR, les détails de la QC-PCR étant présentés dans une référence écrite par quatre co-auteurs de l'étude de Wei, pas vraiment ce que vous pourriez qualifier de chercheurs indépendants ou objectifs. Dans la tradition de la recherche du VIH, des théories non prouvées et des études défectueuses sont acceptées sans se poser de questions et incorporées à "la sagesse conventionnelle" avant d'être correctement validées. A partir de là, les dommages sont faits, et si des failles sont découvertes ensuite, ça importe peu. Les mécanismes du bDNA sont complexes : cinq réactions différentes d'hybridation sont réalisées. L'hybridation est une technique standard où une sonde d'ADN est mise dans un échantillon et se liera à tous les segments complémentaires qu'elle trouve. C'est un autre test indirect, et il présente beaucoup de problèmes. Selon le biologiste moléculaire Bryan Ellison, "le seul cas où la biologie moléculaire fonctionne se situe quand on purifie les choses d'abord. Il y a toujours la possibilité de réactions croisées, particulièrement quand vous mettez vos sondes dans une grande soupe de protéines "(ce qui est exactement ce qu'est l'échantillon de sang cible). Duesberg a précisé ce qui suit : après avoir fait les ajustements appropriés à ses calculs, Ho lui-même a constaté plus tard que plus de 10.000 virus déduits par l'analyse bDNA utilisée dans son papier publié dans "Nature" correspondaient en réalité à moins d'un virus infectieux ; ce qui conduit à se demander ce qui est réellement mesuré lors de ces tests. (10) Pourtant, ces papier spéculatifs et non validés ont été acceptés comme vérités d'évangile ! Dans l'esprit d'Ellison, l'étude de Ho est "de la pure imagination. Il n'y a jamais eu un papier montrant la charge virale."

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:21
    nad
    La QC-PCR Il s'agit du test utilisé dans le journal mentionné ci-dessus par Anthony Fauci (Pantaleo) et Ashley Haase (Embretson). Ce sont eux qui ont déclaré que le VIH "se cachait dans les ganglions lymphatiques". Ces articles ont été acceptés comme des faits, alors que la QC-PCR était, et reste, une technique non-validée. Mark Craddock, de l'université de Sydney (Australie), a expliqué les principes et les problèmes de la QC-PCR comme suit : (8) "La PCR produit en masse des fragments d'ADN. Vous commencez avec une petite quantité d'ADN, et après chaque cycle de PCR, la quantité d'ADN que vous obtenez est entre une et deux fois la quantité au début du cycle. Ainsi, la quantité d'ADN que vous pouvez étudier augmente exponentiellement. Le fait que la PCR est un processus de croissance exponentielle signifie que les erreurs expérimentales se développeront également exponentiellement. Aussi, vous devez faire très attention à ce que vous faites durant le processus. "Un certain nombre de personnes ont décidé qu'il devrait être possible d'estimer la quantité d'ADN présente dans un échantillon en employant la méthode PCR. C'est la PCR concurrentielle quantitative. L'idée est d'ajouter à l'échantillon à mesurer, une quantité connue d'ADN semblable mais distinguable et d'amplifier les deux ensemble. L'hypothèse est que les quantités relatives des deux produits devraient rester identiques, et que par conséquent, vous pourrez établir la taille de l'échantillon avec lequel vous avez commencé en connaissant le rapport des deux (ce dernier étant déterminé par observation quand la PCR a produit assez des deux ADN pour faire des mesures), et combien d'ADN de contrôle a été ajouté au départ. "Ce qui est absolument crucial c'est que les quantités relatives de l'ADN test et de votre ADN de contrôle demeurent exactement égales. Une valeur proche n'est pas suffisante. Les plus légères variations seront magnifiées exponentiellement et peuvent produire des erreurs massives dans votre évaluation. "Les difficultés lors de l'emploi quantitatif de la PCR ont été précisées par Luc Raeymaekers dans le journal "Biochimie Analytique" en 1993. Il a remarqué que les papiers publiés sur la QC-PCR contiennent des données qui prouvent que le présupposé fondamental que les tailles relatives des échantillons demeurent constantes ne se vérifie pas en pratique. En dépit de ça, les chercheurs continuent à employer la PCR pour mesurer la charge virale. Il n'y a tout simplement aucun moyen de savoir si une évaluation donnée est correcte ou est 100.000 fois trop importante !"

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:20
    nad
    L'utilisation de la méthode PCR pour trouver le VIH Un problème pour l'hypothèse officielle du VIH était que, même avec l'utilisation de la PCR standard, les chercheurs n'ont pu trouver beaucoup de traces de VIH, si ce n'est une seule, chez des personnes diagnostiquées comme ayant le SIDA. Pour résoudre ce paradoxe, les auteurs des nouveaux articles sur "la charge virale" ont proposé deux modifications de la PCR, qu'ils ont déclarées être beaucoup plus efficaces pour trouver du VIH. Il s'agit de la QC-PCR et du branched DNA test (bDNA). Et soudain -- eureka! -- des milliards de copies de ce qui était considéré comme du VIH ont été trouvées. La contradiction ici semble avoir échappé aux auteurs de ces articles : pourquoi ces puissants nouveaux tests auraient-ils été absolument nécessaires pour trouver un microbe qui est présent par milliards ? Les méthodes traditionnelles auraient du suffire. http://www.sidasante.com/themes/tests/pcr/charge_virale_et_pcr.htm

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:18
    nad
    Les tests (tests d'anticorps et de charge virale) Si l'isolation du virus n'a jamais été faite, toute la théorie du VIH/SIDA s'effondre. Et la première chose à tomber ce sont les tests détectant soi-disant des anticorps à un virus qui n'existe pas. Ils sont, bien évidemment, complètement bidons. Mais, s'ils ne mesurent pas la présence d'anticorps au virus, que mesurent-ils ? Eh bien, les dissidents pensent que ce que les tests mesurent, ce sont des protéines de stress biologique présentes chez tout le monde à des degrés divers. C'est pour cela que tout le monde est positif en réalité. Mais, tout le monde ne réagit pas positif car les tests ne sont pas des tests tout ou rien, mais des tests avec seuil. Si quelqu'un présente des niveaux de particules de stress inférieurs à un certain seuil, il ne sera pas considéré comme positif alors que les particules sont présentes. De plus, ces tests sont dilués. Et pas un peu, mais énormément par rapport à d'autres test d'anticorps : 400 fois pour l'Elisa et 50 fois pour le Western Blot. Du coup, seuls ceux qui auront un taux de particules de stress assez élevé réagiront positifs. Parmi ceux-ci : consommateurs de drogues, de certains médicaments, transfusés, vaccinés récemment, personnes souffrant d'autres maladies (comme la tuberculose, un rhume), ou sortant d'une maladie, femmes enceintes, et personnes pratiquand le sexe anal inversif (celui qui reçoit). Ca ne veut pas dire que toutes ces personnes vont forcément réagir positif, mais que leur situation entraine plus de risque que le test réagisse positif. Toutefois, même s'il y avait un virus (mais il n'y en a pas), les tests seraient tout de même bidons. Parce que les antigènes qu'ils détectent ne sont pas spécifiques. Des gens ou des animaux qui ne sont pas en situation d'avoir jamais été en contact avec le supposé VIH, réagissent positifs à des antigènes supposés spécifiques du VIH. A noter qu'un fois déclaré positif, c'est fini. Vous êtes considéré comme séropositif à vie. A partir de ce moment-là, on ne refait pas de test Elisa ou Western Blot, mais un test de charge virale. Or, que votre test de charge viral soit positif ou nul, pour nos amis les médecins, ça ne change plus rien. Car si votre charge virale est indétectable, on déclare que le virus est toujours présent, mais se cache dans les ganglions. http://www.sidasante.com/themes/lestests.htm

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:17
    nad
    Tout à fait, pourquoi faire simple quand on peux faire compliqué et qu en plus cela rapporte........On pourrais tout aussi bien relier ces pneumonies atypiques à la pollution puisque les cartes ce suivent.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:11
    nad
    c est rien

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 10:11
    nad
    Salut Bernard, tu oublis les traitements et notamment l AZT. C'est au moment de l introduction de l AZT que les séropositifs ont commencé à tomber comme des mouches. Concernant les prostituées c'était aussi un paradoxe car seul les prostituées accro à la drogue "contractaient" le VIH. Montagnier a déclaré qu il n'avait pas pu mettre en évidence le role du VHI. Des tas de gens testés positifs à l époque sont en vie sans traitements et notamment Le Dr Manuel Guarrido Sotello 30 ans plus tard Voir le reportage Positive Hell https://www.qwant.com/?client=opensearch&q=positiv+hels+garrido+sotello&t=videos&o=0%3A5Nkpd0vJO04 .Etre dépisté séropositifs avec des tests erronés condamne les gens à ne plus être soignés mais à subir un harcèlement pour prendre des rétroviraux qui finalement les détruits peu à peu.Notre mode de vie est destructeur, il n y a pas besoin de VIH pour avoir une faible immunité.Par exemple tout bète: On à dit au gens qu il fallait éviter de s'exposer au soleil par crainte des cancers de la peau sommes toutes assez rares ,résultat un manque de vitamines D chronique de la population doublé par l utilisation de crèmes solaires cancérigènes. C'est toute la science qu'il faut remettre à plat ainsi que les soins qui actuellement détruisent plus qu il ne soignent.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 09:46
    nad
    Oui effectivement.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    20/04/2022 09:24
    Bernard Guennebaud
    Je remets ici cet extrait de Peter Duesberg présenté comme le chantre du sida sans VIH mais qui a quand même écrit ceci ( extrait de l’étude de Duesberg page 97, en français) :` « Le paradoxe apparent dans le fait que le même virus causerait au même moment deux épidémies du SIDA entièrement différentes, une en Afrique et l’autre en Amérique. et en Europe, est un artefact de la définition du SIDA. En raison de la définition du SIDA basée sur VIH, une nouvelle épidémie de drogues en Amérique et en Europe et une épidémie d’anciennes pathologies spécifiques à l’Afrique ont été toutes deux appelées SIDA depuis que l’on a pu détecté VIH. Comme VIH est endémique chez plus de 10% des Centreafricains, plus de 10% des pathologies définissant le SIDA sont aujourd’hui appelées SIDA. » Ce passage nous inciterait à repenser la définition même de ce qu’on appelle sida et pourrait expliquer pourquoi il y a des sida sans VIH ce qui peut conduire à nier le rôle du VIH dans l’apparition de la maladie. On aurait désigné du même nom deux maladies aux origines totalement différentes d’où une confusion totale. Le VIH pourrait être, avec d’autres conditions, un élément déclenchant d’une maladie décrite comme sida tout en y étant pour rien pour d’autres maladies également classées sida. On en arrive aussi à oublier le fond de cet article, judicieusement rappelé dans la présentation faite par Vincent : pourquoi les 2 principaux acteurs de cette affaire, Hilary Koprowski et Paul Osterrieth ont ils décidé de nier, contre toute évidence, avoir utilisé des chimpanzés pour préparer le vaccin ingéré par plus d'un million de Congolais entre 1957 et 1959 ? Le premier déclarant, vers l'an 2000 "jamais de la vie" et le second " Je n’aurais jamais risqué ma réputation et la vie d’êtres humains en faisant des choses aussi hasardeuses". Pourtant ils l'ont fait, c'est INDISCUTABLE. Et pourquoi ceux qui, avec beaucoup de zèle, développent des thèses sur l'origine de l'épidémie de sida ont ils une tendance marquée pour occulter cet épisode qui avait pourtant beaucoup fait parler de lui avec, tout particulièrement, le symposium de Londres en septembre 2000 ? Il est vrai que ce symposium avait été organisé pour être l'enterrement solennel du fabuleux travail de fourmi réalisé par Hooper (17 années de patientes enquêtes). L'enterrement recevra le soutien immédiat de l'OMS qui titra aussitôt : "rejet de l'hypothèse ...". OUF !!! Moins de 4 ans plus tard, 5 télévisions feront revivre en images le travail de Hooper pour le mettre à la portée de tous. L'ensemble des commentaires sur ces 2 articles montre que l'enterrement avait accompli son oeuvre et combien il était utile de tenter de faire revivre tout cela aujourd'hui.

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    19/04/2022 22:15
    Brigitte Fau
    Quand on veut faire coller la réalité avec l'explication que l'on souhaite, tout devient bon pour l'expliquer. "En résumé, on peut avoir des sida sans HIV, des HIV sans sida et HIV et sida" répond Bernard à Nad. On peut faire le même résumé entre sars-cov2 et covid. Après çà que dire ? Vous connaissez mon point de vue (voir mes commentaires sur l'article précédent). Franchement, ce n'est pas de la Science mais du grand n'importe quoi. Tout le monde trouve naturelles ces explications bâtardes parce que l'on fonctionne ainsi depuis si longtemps. Comme ces gens qui sont vaccinés et "attrapent" plusieurs fois le "covid" et qui accusent ceux qui ont tombé le masque. A quand le changement de paradigme ?

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    19/04/2022 21:29
    Président de la Ligue antivaccinale
    Pour faire plus simple Aucun virus n' a jamais été isolé Ce qui est démontré par Stefan Lanka depuis 1997 http://wissenschafftplus.de/uploads/article/wissenschafftplus-l-erreur-d-interpretation-virus-1.pdf

  • Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
    19/04/2022 19:41
    Bernard Guennebaud
    Ce qui m'a paru intéressant dans l'affaire de ce marin norvégien était par rapport à l'échange sur ce blog où certains avancent les arguments en faveur de l'absence de lien entre VIH et sida. Ce marin ainsi que sa femme et sa fille sont morts d'une maladie qui n'avait pu être déterminée à l'époque. C'est sans doute pour cette raison que des prélèvements sanguins congelés avaient été réalisés avant leur mort. Plus tard ces prélèvements seront testés positifs au VIH selon les analyses qui ont été faites (et ce n'est pas wikipedia qui l'affirme). Cette maladie, non identifiée à l'époque, a pu ainsi être classée sida a posteriori, ce qui contribuerait à penser que VIH et sida peuvent aussi être liés même si ce n'est pas toujours le cas. Ceci pour conclure qu'il faut être prudent avant de brandir des conclusions définitives sur le lien ("il y a toujours un lien") ou l'absence de lien entre VIH et sida ("il n'y a jamais de lien").

Aller au contenu principal