Commentaires du site

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    13/11/2019 09:40
    Bernard Guennebaud
    Le Vigilant, pouvez-vous préciser si la méthode d'effacement des signaux s'apparente à la méthodes des oubliettes ou à celle du "séparer pour régner". Je veux dire qu'ayant un signal très fort sur les réactions fébriles par exemple, je dissocie et distinguant celles entre 38°5 et 38°7 de celles entre 38°8 et 39° de celles entre 39°1 et 39°3 etc pour faire constater qu'il n'y a aucun signal dans chacun des cas tout en omettant de faire observer qu'en regroupant on aurait un signal très fort. Vous mentionnez l'existence des oubliettes en vigueur dans notre moyen âge "(On joue sur les critères d’inclusion/exclusion des sujets et la censure (« stop date ») : si un enfant reçoit plusieurs diagnostics (troubles du sommeil, problèmes de coordination, autisme etc…) il suffit de censurer le sujet dès le premier diagnostic établi" mais il peut y en avoir d'autres.

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    12/11/2019 18:38
    Inoxydable
    Et dire qu'on qu'on craché ( et qu'on crache encore) sur l' église pour avoir stipendié ses troupes pour maintenir son dogme " et condamner Galilée pour avoir affirmé que la Terre tourne autour du Soleil, et non le contraire.Les méthodes n'ont pas changées : Les "scientifiques " à la botte de Bigpharma interdisent qu'on remettent en question leurs dogmes et sont appuyés par des Politiques et autorités qui maintiennent que " la vaccination ne se discute pas" !

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    12/11/2019 17:43
    Richard HAAS
    Que voulez-vous, la médecine, la science et la vaccinologie classique sont en grande partie des dogmes et les dogmes ne se discutent PAS surtout pas ceux qui rapportent. C'est un désastre criminel. Richard.

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    12/11/2019 16:55
    Albatros
    Amen !

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    12/11/2019 16:48
    Pierre Escudier-Donnadieu
    Grand dommage, je lis l'Anglo-Saxon, mais je ne le comprends pas, ce qui fait que je perds l'essentiel du message !!!..... Cordialement, Pierre.

  • Thiomersal, science officielle et science officieuse
    12/11/2019 12:11
    Brigitte Fau
    Clair, précis, révélateur : rien à redire Merci

  • Levothyrox© nouvelle formule, aucun problème qu'ils disent
    11/11/2019 14:11
    Riger
    Bonjour, vous prenez le nouveau dorénavant ?

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    10/11/2019 19:04
    Inoxydable
    Ben vl'la otchoz !!! Inoxydable "pète sec" ... "Entre sois complice" ...? Et pourquoi devrai-je fermer ma gueule avec par ex. "Akira" ou "John Doe" même si je n'ai rien de bien scientifique à dire. Pour cause, je ne suis pas un scientifique, mais les quelques échanges un peu vifs peut-être avec le sus-nommé durent depuis des lustres sur le sujet de l'homéopathie, il a une opinion bien tranchée ( et peut-être a t'il raison ...) et le ci-devant a, sur ce sujet , un esprit un peu plus ouvert, peut-être parce que j'ai essayé l'homéopathie sur moi pour une pathologie pas très grave( tendinites) et de mon propre chef et j'ai eu une toute petite amélioration que je n'ai pas su distinguer d'un effet placebo. Mais une de mes petites filles , traitée par une vrai médecin homéopathe, a eu à l'âge critique de deux ans ( vous savez, celui ou on larde les enfants de vaccins ,c'est un non retour pour eux, pas comme pour les médicaments qu'on peut stopper si effets pervers...) qui lui a valu trois jours d'hospitalisation et un traitement d' antibiotiques pour éviter une surinfection sans que les médecins sans que les médecins (pourtant de bonne volonté à l'hôpital...) ne sache quel virus " atypique" lui a donné une gravissime pneumopathie; Depuis quatre ans maintenant, suite à un traitement régulier "homéo" adapté à son petit être, plus d'ennuis de cette sorte, même les rhumes semblent l'éviter. Petite fièvre et hop, plus rien. Alors je reste ouvert au sujet de l'homéopathie et j'en ai un marre d'entendre toujours les mêmes antiennes "scientistes" sur le sujet, même déni lorsqu'on présente quelques études positives randomisées, contre placebo etc... Je suis de ceux qui pensent qu'il faut garder l'esprit ouvert sur le sujet de la santé. C'est tout ( c'est pas trop "pète sec ?)

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    10/11/2019 15:27
    Bernard Guennebaud
    La conclusion des commentaires est claire : il faut lancer une formation incluant certaines bases. J'ai déjà commencé. Je propose maintenant ; le cas-témoins c'est quoi ? Voilà : On a collecté une centaine de malades d’une même maladie, disons la sclérose en plaques pour fixer les idées. On constate que 50 % d’entre-eux avaient été vaccinés contre l’hépatite B. Pour apprécier cette proportion on peut la comparer à la couverture vaccinale de la population d’où ces 100 malades proviennent. Supposons que cette couverture vaccinale soit de 30 %. La maladie serait donc apparue beaucoup plus souvent chez des vaccinés que chez des non vaccinés, ce qui donnerait à penser que la vaccination aurait pu favoriser la maladie. Supposons maintenant que cette couverture vaccinale soit de 80 %. On pourrait alors penser que la vaccination aurait protégé de la maladie. Par contre, s’il était de 53 % on pourrait penser que la vaccination n’a pas de lien avec l’apparition de la maladie. On peut objecter que la couverture vaccinale de la population n’est pas forcément homogène et que les malades peuvent ne pas être un échantillon aléatoire de la population. Ainsi, la couverture vaccinale globale pourrait ne pas être un bon indicateur pour effectuer une comparaison valable. On a alors eu l’idée d’associer à chaque cas (chaque malade) un certain nombre de non malades, par exemple 10, ayant le même sexe et le même âge que le malade et qui, de plus, aurait une grande proximité géographique avec lui (par exemple le même code postal). Ce seront les témoins associés au cas. On obtiendra ainsi 1000 témoins ayant une bonne correspondance avec les 100 cas. A priori, s’il n’y a pas de lien entre la maladie et la vaccination, ces 2 groupes, cas et témoins, devraient avoir des taux de vaccination très proches, c’est à dire, plus précisément, avec un écart compatible avec des variations aléatoires. ATTENTION ! Le mot témoin est utilisé avec diverses significations. La plus connue est celle du groupe témoin pour les souris de laboratoire : on dispose de 100 souris aussi identiques que possible : on en tire 50 au hasard pour les vacciner toutes le même jour ; les autres seront le groupe témoin non vacciné. Plus tard, on comparera les nombres de malades observés dans les 2 groupes. Il s'agit d'une étude prospective. On apprend ce type d'étude dès l'école primaire. On les appelle études exposés/non exposés. Les témoins d'une études dite cas-témoins sont définis d'une toute autre façon et on compare les proportions de vaccinés (plus généralement d'exposés) entre les 2 groupes. C'est une étude rétrospective puisque les cas sont connus avant de lancer l'étude. Il y a souvent confusion entre ces 2 types de témoins et ce même à un niveau auquel on ne s'attend pas à rencontrer une telle confusion. Il y a quelques années, j'avais échangé 3 mails avec une épidémiologiste qui avait été membre du conseil scientifique de l'Afssaps (l'agence du médicament). En voulant lui expliquer le problème posé par les tests en cas-témoins sur des délais elle a violemment réagi car pour elle les témoins ne pouvaient pas voir été exposés alors que l'objectif est de comparer les taux d'exposition !!! Elle confondait visiblement avec le groupe témoin pour les souris de laboratoire. Incroyable !!! A SUIVRE ... oui, oui le cours est commencé ! A la fin, interro écrite.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    10/11/2019 12:27
    Brigitte Fau
    Bernard, n'interprète pas ! Je suis d'accord et même admirative de tes recherches sur ces sujets et de ta volonté de les faire connaître, de lancer l'alerte avec forces explications et justifications. C'est indispensable sans aucun doute. J'adhère complètement. Mon créneau est différent et complémentaire, c'est tout. Au final nous avançons dans le même sens.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    09/11/2019 23:13
    Bernard Guennebaud
    Non, ce n'est pas à chacun son truc, ce n'est pas "mon" truc. Les fautes de méthodologie révélées sur cette exemple ne sont pas des fautes de quelques auteurs et commentateurs, elles sont systémiques au moins en épidémiologie et à l'international. Elles pourraient aussi se retrouver en sociologie ou en biologie par exemples. Ces outils mal adaptés et mal utilisés conduisent à des résultats qui sont affirmés comme des lois scientifiques pour devenir des lois de la société avec contraintes pénales. Nous pouvons tous souffrir, sans le savoir, des conséquences de ces fantaisies "scientifiques". Je l'ai écrit dans l'article, "l'expertise actuelle est dangereuse et potentiellement ridicule" et la seule chose qu'elle redoute c'est le ridicule. Mais pour être ridicule il faut un public qui comprenne suffisamment la situation et qui lui dise à cette expertise qu'elle est ridicule. Si la réponse donnée est : "trop compliqué pour moi ; j'ai autre chose de mieux à faire ; ils peuvent continuer ainsi, il y a plus important" alors ils pourront continuer ainsi encore longtemps et cette fois ci en toute conscience. Je donne le turc à tout le monde pour effacer un signal statistique gênant en utilisant la méthode mise en oeuvre involontairement dans l'exemple que j'ai traité dans cet article : Ayant obtenu ce résultat gênant statistiquement très significatif, je réalise sur les mêmes données une succession de tests en cas-témoins sur des délais assez longs. On peut en avoir autant qu'on veut en faisant varier le délai et les résultats seront automatiquement non significatifs dès que le délai testé sera assez long, c'est structurel car alors les cas et leurs témoins associés sont en phase par rapport au délai testé : si le cas est dans le délai, ses témoins y seront aussi et inversement, il n'y a plus d'aléatoire. C'est ce qui se produit dans l'étude en question. Les tests sur des délais sont des pseudos-tests qui ne testent rien et il y en a au moins 150. Obtenant ainsi 30 ou 50 tests non significatifs je déclarerai que le premier test était marqué par le risque de première espèce comme l'ont fait les Comités d'experts. La Commission nationale de pharmacovigilance c'est au moins 30 experts, le CTV c'est une vingtaine plus tous ceux qui s'étaient exprimés en individuels. Non, nous n'avons pas le droit de laisser passer de telles choses. Ce n'est pas une question de passions personnelles. Je ne suis pas statisticien mais maths pures et je suis beaucoup plus passionné par la dimension vibratoire de la vie que par des données statistiques qui m'ennuient. Mais nous n'avons pas le choix, il y a aussi un combat à mener contre un ennemi qui n'a peur de rien sauf du ridicule. Ceci dit, je garde, pour d'autres raisons, mon admiration pour les auteurs comme Marc Tardieu et ses équipiers car même s'ils ont fait des erreurs techniques - mais ils n'ont fait qu'utiliser les méthodes en vigueur dans leur discipline - ils ont aussi fait preuve de beaucoup de courage et cela vous pourrez le comprendre avec le prochain article à suivre, ce signal qui n'existait pas ayant pu être le train qui en cachait un autre... Mystère ?

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    09/11/2019 22:45
    Bose
    Merci pour article Bernard. Un silence qui en dit long peut-être? Non pas car il manque d'intérêt bien au contraire, mais par sa conclusion qui est plutôt gênante pour une partie de la communauté scientifique, et puis aussi car il faut une solide culture mathématique pour rebondir sur votre article Bernard, et je ne pense être de ceux qui en ont assez pour remettre en cause vos arguments. Celà dit, votre dernier commentaire est tout aussi instructif (la démonstration par l'exemple avec votre histoire au congrès Adelf-Sfsp) et pour tout cela, merci.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    09/11/2019 13:45
    Brigitte Fau
    Bernard, merci pour tes explications. Mais le problème n'est pas là, tu sais très bien que je suis capable de comprendre les statistiques, je suis une matheuse, mais bizarrement j'ai toujours fait l'impasse sur les stat. C'est comme çà. Pourtant çà donne envie quand je sens cette passion que tu as, je serais tentée. Mais tu sais que j'approfondis d'autres sujets scientifiques et que oui, il faut dénoncer les aberrations des études statistiques mais bien plus dénoncer les manquements de la science de mon point de vue (qui diverge en cela du tien). A chacun son truc.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    09/11/2019 11:34
    Bernard Guennebaud
    Olive verte, au congrès Adelf-Sfsp d'Amiens (asso des épidémiologistes de langue française et société française de santé publique) il y a un peu plus de 2 ans, j'avais en face de moi plus d'une centaine d'épidémiologistes dont le président de l'Adelf. C'était la session sur les fondamentaux en épidémiologie. Je l'ai raconté dans mon premier commentaire, ils étaient "sciés", le modérateur qui était intervenu avait le visage défait alors qu'il était arrivé très tonique. Il y a de quoi d'ailleurs !!! Ce qui les avait le plus frappé, frappés comme un coup sur la tête, c'est le fait que le test cas-témoins est totalement inadapté pour tester sur des délais (j'avais donné d'autres exemples) et que le seul test adapté et crée pour cela est le test par Poisson avec les délais eux-mêmes comme système de référence et non pas les témoins. Cela fut dit au cours de ce congrès par le modérateur comme par un autre intervenant dans la salle : on ne nous apprenait pas les lois de POISSON !!! Ce n'est pas une spécificité française, c'est INTERNATIONALE comme l'illustre par exemple la publication américaine Langer-Gould d'octobre 2014 : 301 cas (d'ADC) sont apparus dans les 3 années qui suivent la dernière vaccination reçue (quel que soit le vaccin). Tout le monde devrait se dire aussitôt : "ça fait une moyenne de 100 cas par ans" c'est pas trop dur ! Sur la ligne juste au dessus on lit : 195 cas dans l'année qui suit cette vaccination. Tout le monde devrait aussitôt réaliser que cela est anormal et qu'il y a un très fort signal statistique sans qu'il soit nécessaire de faire une modélisation par une loi de Poisson ni le moindre calcul : 195 cas sur 1 an contre 106 sur 2 années cumulées. Il existe de même un signal statistique très fort et immédiat avec les témoins : 854 témoins dans l'année contre 508 pour les années 2+3 cumulées. Mais les cas et témoins évoluant en phase il n'y a pas de signal quand on compare les cas aux témoins. Que vont-ils en déduire comme le président du CTV Daniel Floret : que ce résultat est très rassurant car il DÉMONTRE sur une durée de 3 ans l'absence de lien entre toute vaccination et l'apparition d'une atteinte démyélinisante centrale ! La seule chose que ça démontre c'est que les auteurs comme les commentateurs "autorisés" n'ont rien compris à l'affaire : les signaux extrêmement forts sur les cas comme sur les témoins pointent la répartition des vaccinations dans le temps. Si vous faites une vaccination tous les ans vous aurez 0 cas et 0 témoin au delà d'un an. Vous aurez donc un signal extrêmement fort mais qui ne peut pointer ni l'innocuité ni la dangerosité des vaccins. Cela est écrasé par autre chose de beaucoup plus fort qui est la répartition des vaccinations dans le temps. En fait, dans une telle situation il n'y a pratiquement plus d'aléatoire or l'aléatoire est indispensable pour que les tests statistiques puissent se pratiquer valablement. Les obligations vaccinales par exemple tuent l'aléatoire. C'est pourtant la PREMIÈRE condition qui préside à une analyse statistique valable : il faut suffisamment d'aléatoire par rapport à ce qui est testé. C'est tout ce qu'il y a de plus fondamental mais tout le monde l'oublie. Dans le prochain article à suivre je présenterai un résultat très fort, vous verrez. Les auteurs et commentateurs cités ne viendront pas. Je le regrette d'ailleurs. J'espère seulement qu'ils feront évoluer leur discipline. Ce pourrait être le rôle caché des articles publiés ici : qu'ils prennent conscience de la nécessité de révolutionner leur discipline. L'essentiel n'est pas que les lecteurs comprennent tous en détails de quoi il s'agit, l'essentiel est que cela contribue à les faire bouger. J'étais prêt à les aider directement pour le faire comme par exemple pour former non pas des médecins comme ils l'avaient envisagé, mais leurs formateurs et d'abord à l'école dite des hautes études en santé publique à Rennes. Mais non, c'était trop dur pour eux. L'essentiel sera qu'ils bougent, rapidement, efficacement et à l'international.

  • Statines et douleurs musculaires : qui désinforme qui ?
    09/11/2019 11:01
    Bouyé
    En ce qui concerne les personnes à haut risque - portant des stents ou atant déjà eu un probleme cardiaque- qu’ est- il des statines ?

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    09/11/2019 09:15
    Olive verte
    Merci pour cet article ! Pour un lecteur comme moi, ce qui est le plus intéressant, c'est la conclusion : à savoir que les outils utilisés en recherche médicale ne sont pas toujours les bons, mais il est vrai que c'est très difficile, à mon niveau, de rentrer dans la démonstration, et de la comprendre. Ce qui pourrait aider peut être c'est : une sorte de résumé - définition de chaque terme statistique : loi de poisson, cas témoin, OR, etc. Définition très succincte, puis un résumé des cas où ça s'applique, de façon la moins rédigée possible. Voire des compléments d'explication des termes et concepts sous forme schématique, pour que nos cerveaux, le mien en tout cas, puissent se raccrocher à quelque chose. Avec ces bases j'imagine que le reste deviendra plus facile à lire. Pour confirmer ce qui a été dit, les stats restent quand même un monde très à part, dans les termes et dans les concepts. J'ai eu (il y a longtemps ...) une formation en biologie universitaire, classique, les stats étaient enseignées mais ça n'allait pas du tout aussi loin. Et c'était déjà difficile. Difficile de réagir donc avec ce niveau de formation de base. Par contre, l'absence de réaction du monde scientifique mis en cause, celui qui utilise les mauvais outils, m'étonne beaucoup plus. J'imagine que l'article a été lu par beaucoup, je m'attendais à une tentative d'explication de la part par exemple des auteurs cités. Ce vide là est étonnant.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    08/11/2019 23:26
    Bernard Guennebaud
    L'article commente un seul test. je vais donc décrire plus précisément le modèle théorique qui doit être utilisé dans cette situation. D'abord un exemple "pédagogique" pour simplifier : 100 cas sont apparus dans l'année qui suit une vaccination contre 20 l'année suivante. Un tel écart est-il compatible avec des variations aléatoires ou peut-on envisager une cause particulière à l'origine de cet écart ? Le modèle adapté, le seul disponible en fait, est la modélisation par une loi de Poisson qui est caractérisée, parmi les lois de Poisson, par un seul paramètre, sa moyenne qui est de plus égale à sa variance. On estime ce paramètre par les valeurs observés 100 et 20, soit 120 sur 2 ans soit une moyenne de 60 par année. On comparera les valeurs observées 100 et 20 à celles que donnerait une loi de Poisson de moyenne 60 et donc aussi de variance 60. Son écart-type est la racine carrée de 60 soit 7,75. Il faut savoir que l'unité en proba-stats est l'écart-type et non pas 1. On évalue donc l'écart constaté entre l'estimation de la moyenne théorique, ici 60 et les valeurs observées 100 et 20, par le nombre d'écarts-type qui les sépare. Ici cet écart est 40 (60+40=100 et 60-40=20). On divise 40 par l'écart-type 7,75 soit 5,16. Il y a donc 5,16 écarts-type entre la valeur théorique (estimée) 60 et les valeurs observées. C'est un écart énorme : on admet que l'écart est significatif quand il dépasse 2 écarts-type. Il est donc très important et parait très peu compatible avec le hasard. On sera ainsi fondé à en chercher une raison particulière. APPLICATION PRATIQUE Les auteurs du test que j'ai commenté dans l'article veulent décider s'il y a eu significativement plus de cas apparus au delà des 3 premières années qui suivent un événement, en l'occurrence ici une vaccination HB, qu'au cours des 3 premières. Il y en a eu 11 sur les 3 premières années contre au plus 19 au cours des années 4,5,6. Je modélise de la même façon par une loi de Poisson de moyenne 15 qui est à la même distance 4 de 11 et 19. La variance vaut aussi 15 et l'écart-type est la racine carrée de 15, soit 3,87. Je divise 4 par 3,87 qui donne 1,04. Il y a donc 1,04 écarts-type entre la valeur attendue 15 et les valeurs observées 11 et 19 alors qu'il en faudrait au moins 2 pour avoir un écart significatif. On en est très loin. Il n'y a donc pas du tout de signal statistique contrairement à l'affirmation des auteurs. Affirmation qui n'a pas été démentie par les commentateurs "autorisés" qui n'y ont vu que du feu. POURQUOI ? Auteurs et commentateurs "autorisés" n'utilisent pas le bon modèle. J'ai expliqué pourquoi mais je pourrai y revenir s'il le faut.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    08/11/2019 22:38
    Bernard Guennebaud
    Brigitte, je reprends ta phrase : "C’est incompréhensible, sauf en creusant bien à condition d’en avoir envie. Il est probable que c’est à cause de l’incohérence de l’étude elle-même ; qu’est-ce qui distingue les cas des témoins par exemple ?" Elle montre que les bases sur ces questions te font défaut. Ce n'est pas pour te le reprocher, on a le droit de ne pas comprendre le chinois quand on n'est pas chinois. Mais il ne faut pas en rester là et ce n'est pas si difficile de faire un pas significatif même s'il faudra un peu de temps. Il faut que j'explique les bases et que vus fassiez un effort pour vous les appropriez. Il le faut ! D'abord le principe d'un test. Sous forme qualitative, nous faisons ça tous les jours des centaines de fois et depuis le plus jeune âge. J'observe un animal et je me demande si c'est un chat. Le chat est en fait un modèle théorique avec un ovale avec une queue, un rond au dessus avec des oreilles, des moustaches ... C'est ce qu'on me présentait quand j'était tout jeune pour que je construise le modèle théorique du chat. En classe, l'instituteur puis le prof de français passaient la moitié du temps à forger en nous des modèles théoriques comme ceux du courage et de la témérité. Ensuite nous passions au test sur un personnage de la littérature : est-il courageux ou téméraire ? Nous faisions ainsi des tests qualitatifs. Un soir d'élection il en va de même : mon quartier a-t-il voté comme la France, le résultat général tenant lieu de modèle théorique. Sauf qu'ici les données sont quantitatives et que notre cerveau est incapable de gérer spontanément de telles données de façon correcte. Mais le principe est le même : on compare des données observées avec un modèle théorique. Il est donc ESSENTIEL de disposer de modèles théoriques pour pouvoir tester comme il est essentiel de disposer des modèles théoriques du chat, du singe, du rouge, du cuivre, du courage et de la lâcheté pour pouvoir faire sa disserte le jour du bac. Mais avez-vous, ceux qui liront ces lignes, au moins un modèle théorique en tête pour pouvoir envisager de tester des données observées ? La première carence est là sans doute. J'aborderai cette question dans mon prochain commentaire.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    08/11/2019 18:10
    Bernard Guennebaud
    Une réponse rapide Brigitte : en premier, ne pas s'occuper de ce que les données pourraient montrer mais d'abord regarder l'utilisation qui est faite des tests statistiques. C'est complètement délirant et international. Quand on réalise cela, que les données puissent nous apprendre ceci ou cela n'a que peu d'importance. Pourtant, tu verras dans le second article à suivre que ces données nous montrent quelque chose de très intéressant sur le lien entre vaccination HB, atteintes démyélinisantes et SEP. Un peu de patience... Ceci dit, ce n'est pas du tout incompréhensible. Ce que j'ai écrit est très clair et cohérent mais quand on n'a pas les bases, il semble que ce soit du chinois. Pourtant, le chinois peut aussi exprimer de très belles et bonnes choses. Mais il y a une barrière à franchir. Laisse tomber le chinois (la langue). Ce que je décris ici est en réalité tout ce qu'il y a de plus basique et élémentaire. Il faudrait instituer une formation. Ces 2 articles peuvent faire partie de la formation écrite, c'est ce que j'ai essayé de faire en les rédigeant mais il faudrait sans doute aussi une formation orale pour voir où ça cloche, où sont les blocages. Je suis mauvais juge pour cela et j'ai du mal à concevoir qu'on puisse bloquer à ce point sur des choses aussi simples. C'est pourquoi il faudrait les traiter oralement comme avec un psy si j'ose dire ! Quand on comprend il y aurait de quoi mourir de rire si ce n'était pas dramatique. Je l'ai écrit, il ne faut pas lâcher, nous serions IMPARDONNABLES

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    08/11/2019 15:26
    Brigitte Fau
    Silence oui, mais que dire. C'est incompréhensible, sauf en creusant bien à condition d'en avoir envie. Il est probable que c'est à cause de l'incohérence de l'étude elle-même ; qu'est-ce qui distingue les cas des témoins par exemple ? Oui sans doute, on rentre des données dans un logiciel mal conçu et on obtient des résultats. C'est grave ! Mais au fait quelle était la conclusion de l'étude en question ? et quelle aurait du être cette conclusion si les données avaient été correctement analysées, s'il est possible d'en donner une conclusion.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    08/11/2019 14:57
    Brigitte Fau
    La peur est mauvaise conseillère, nous la vivons tous un peu (enfin moi en tout cas). Il est tellement important de pouvoir exprimer les choses et de partager nos expériences et la compréhension que nous avons, d'échanger, de se confronter pour pouvoir avancer. Quelle chance que l'AIMSIB nous permette de le faire. "MAIS..." il semble que vous ayez fait le premier pas. Il ne tient qu'à vous désormais.

  • L'affaire des effets secondaires post-vaccinaux qui n'existaient même pas
    08/11/2019 14:28
    Bernard Guennebaud
    Quel silence !!! Il me rappelle le silence absolu lors de ma présentation sur le thème du "mésusage des tests statistiques en épidémiologie" au congrès Adelf-Sfsp des 4-6 octobre 2017 à Amiens (diaporama sur le site du congrès [1]). Pendant tout mon exposé (12mn) il n'y a pas eu le moindre bruit même quand j'ai dit, après avoir comparé aux souris non fécondées pour étudier une durée de gestation, "d'où l'importance du respect des critères mathématiques pour éviter le ridicule !". Pas une réaction audible ! Après que mon exposé ait été salué par des applaudissements nourris, ce fut à nouveau le silence absolu alors qu'il y avait 5mn d'échanges avec la salle. Je tente alors un "ça va ?" pour voir. Il y aura un hum féminin sur ma droite ... Un modérateur va se dévouer pour dire que je citais des études anciennes (la plus anciennes datait de déc 2007, puis 2008 et oct 2014, c'était très anciens !) et qu'à ces époques (reculées sans doute ) "on n'avait que la cas-témoins". Un autre prendra la parole pour dire qu'on ne leur enseignait pas les lois de Poisson. C'est bien là une des causes des problèmes que je soulève ici. Ils font des centaines de tests sur des délais en cas-témoins car ils ne connaissent que cela alors que les lois de Poisson ont été inventées justement pour travailler sur des délais. Poisson est un mathématicien français de la première moitié du 19è. Le problème c'est d'abord la formation. Avant de débuter la session à Amiens, un modérateur m'avait demandé si l'accepterai de former des médecins en une demi-heure. Si on me reposait cette question je répondrai qu'en une demi-heure on ne forme pas des médecins mais des assassins. Il faut commencer à dire les choses sur ces questions car elles sont trop importantes, trop lourdes de conséquences et trop ignorées, y compris parmi ceux qui critiquent l'expertise médicale, pour se taire plus longtemps afin de ne pas froisser les susceptibilités. Je ne cherche nullement à froisser les susceptibilités mais c'est inévitable. Nous sommes dans une société dominée par les analphabètes du nombre, qui sont fiers de l'être et qui sont convaincus qu'il ne sert à rien de comprendre la logique des nombres car celle-ci ne peut être d'aucune utilité pour décrire le réel. J'ai pu lire cela il y a peu sur un site. Rien n'est plus faux, c'est le contraire exact qui est vrai. Il faut en prendre conscience et j'espère que cet article et le suivant vont y contribuer. Au congrès d'Amiens, avant le début de la session où j'intervenais, j'échangeais avec un autre intervenant. Je lui dit qu'après avoir collecté les données vous les envoyez au logiciel et basta ... Il me répond "c'est tout à fait ça !". Oui, c'était facile à deviner vu ce que j'avais observé. Le logiciel ne peut faire que ce qu'on lui a appris. [1] http://www.adelf-sfsp.fr/

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    08/11/2019 13:48
    Dr Vincent Reliquet
    Cher Ami, L'ensemble des communications présentées lors de notre congrès sera naturellement proposé à tous nos membres, toutes seront enregistrées comme à l'habitude. Nous en "déclassifierons" probablement une pour la diffuser gratuitement et marquer de cette manière la qualité de notre travail auprès de certains futurs adhérents encore hésitants. L'AIMSIB ne vit que du talent de ses membres, nous serions ravis de pouvoir publier un texte concocté par vos soins. Votre blog jesuismalade.org mérite largement le détour, il faut chaudement en conseiller la lecture, bravo à vous.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    08/11/2019 11:50
    Dr JOSEPH
    Je suis adhérent à l'AIMSIB et pour moi cette adhésion a été spontanée. Enfin des confrères compétents qui disent tout haut ce que je pense tout bas depuis fort longtemps et que seul, je ne pouvais exprimer. Enfin la TRANSPARENCE, enfin la VÉRITÉ, enfin l'absence d'arrière pensée, enfin des êtres libres, enfin aucun conflits d'intérêt, enfin... et j'espère que je ne serai jamais déçu. Je ne peux pas aller à Toulouse et j'aimerais pouvoir avoir l'enregistrement intégral des communications. Je pense que vous avez prévu cela et que ce sera chose facile à obtenir. MERCI de votre engagement. Vous avez mon modeste soutien à 100%. Ne lâchez rien. PAS de concession!!!

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    08/11/2019 09:36
    Max Divert
    MAIS, c'est vrai que les conversations laissent émaner de la part des acteurs majeurs de cette organisation un entre-soi complice qui intègre mal ceux qui ne rentrent pas dans cette complicité par une humilité foncière. Il en découle un malaise pour ceux qui sont encore extérieurs à l'organisation et constatent que le moindre argument qui ne soit laudateur risque une réponse culpabilisante, voire cinglante. Vous êtes pète-sec, les mecs ! (voir ici, l'épisode avec "inoxydable ") C'est pourquoi, je n'adhère pas encore, de peur que mon ignorance ne soit taclée, ce qui est un comble pour une association qui a intérêt à augmenter le nombre de ses adhérents. En toute humilité, Max

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    08/11/2019 09:34
    Max Divert
    Bien chers tous, Une petite appréciation toute personnelle : j'admire, mais vraiment sincèrement, tout le travail que réalise l'AMSIB. Je lui fais une grosse publicité. Et que j'aimerais aller à Toulouse ! MAIS, c'est vrai que les conversations laissent émaner de la part des acteurs majeurs de cette organisation un entre-soi complice qui intègre mal ceux qui ne rentrent pas dans cette complicité par une humilité foncière. Il en découle un malaise pour ceux qui sont encore extérieurs à l'organisation et constatent que le moindre argument qui ne soit laudateur risque une réponse culpabilisante, voire cinglante. Vous êtes pète-sec, les mecs ! (voir ici, l'épisode avec "inoxydable ") C'est pourquoi, je n'adhère pas encore, de peur que mon ignorance ne soit taclée, ce qui est un comble pour une association qui a intérêt à augmenter le nombre de ses adhérents. En toute humilité, Max

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    05/11/2019 17:01
    Gérard
    J'ai vécu la même expérience auprès d'un ostéopathe. Expériences à creuser et qui sait à objectiver.

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    04/11/2019 20:29
    riboulours
    J'ai pu télécharger le livre du Pr Delbet ; pas encore tout lu , sur un ordi c'est fastidieux de lire 400 pages . Un de nos spécialistes pourrait-il indiquer ici quelle est la meilleure forme de Mg à utiliser et quel dosage . ( le Nigari est-il un bon produit ? )

  • IPP au long cours, la prescription de tous les dangers
    04/11/2019 18:07
    PUPIN Stéphane
    Bonsoir. J'ai récemment fait une fibroscopie au Portugal où je vis maintenant depuis 4 ans. On m'a détecté un oesophage de Barrett de 12 mn avec métaplasie et une gastrite atrophique antrale légère sans métaplasie ( bactérie helicobacter) . Mon médecin du centre de santé m'a prescrit un traitement pour éradiquer la bactérie, ce qui a été efficace. Depuis j'ai un traitement omeprazole 20 mg une fois par jour. J'ai tenté d'arrêter en modifiant mon régime alimentaire et en perdant du poids ( maintement je fais 72 kg pour 1m85) mais malgrés tout j'ai des petites douleurs sous la cote gauche environ 2 fois par jour. Du coût, j'ai pris peur et j'ai repris le traitement. Je ne sais quoi faire. Heureusement, le médecin prévoit 1 fribroscopie tous les 2 ans. Qu'en pensez vous. Merci. Cordialement. Stéphane

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    04/11/2019 16:00
    Brigitte Fau
    top ! c'est tellement vrai que je vais déprimer ! Enfin non, puisque j'ai décidé d'échapper à toutes ces injonctions et harcèlement.

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    04/11/2019 15:53
    Brigitte Fau
    Merci Njama. Le lien est intéressant.

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    03/11/2019 17:49
    njama
    Jörg Blech journaliste scientifique important en Allemagne, consacrait un chapitre entier au SYNDROME "FEMME" (sic) dans son livre « Les inventeurs de maladies » -manœuvres et manipulations de l’industrie pharmaceutique (traduit par Isabelle Liber) Acte Sud 2005 -, laquelle devient de plus en plus condamnée au gynécologue à perpétuité pour reprendre son expression, puis aux traitements hormonaux, les œstrogènes étant dans l'euphorie du moment utiles dans la lutte contre l'ostéoporose, la maladie d'Alzheimer et même le cancer du côlon ! Je ne pourrais citer cette bonne vingtaine de pages très instructives du chapitre VII qui lui est consacré, je me limiterai aux derniers paragraphes du chapitre pour recoller avec le sujet de l'article : "La médicalisation de la ménopause illustre parfaitement la façon dont certains médecins et laboratoires pharmaceutiques retournent les problèmes que posent les questions médicales. Aujourd'hui la femme ménopausée est considérée comme un être déficient. En Basse-Saxe, l'antenne régionale du Syndicat des gynécologues affirme avec obstination que "la ménopause est une maladie(39)". Médecins et laboratoires ont répandu des demi-vérités, des légendes et des conseils qui ont conduit des millions de femmes bien portantes à avaler des œstrogènes et de la progestérone. Il n'existe pourtant à l'heure actuelle aucune preuve scientifique quant à l'utilité de ces préparations hormonales. Les médecins et les pharmaciens qui publient le magazine indépendant Arznei-telegramm exigent ce qui devrait être une évidence : que "seuls les médicaments dont l'efficacité et la sécurité sont attestées par des études de longue durée, suffisamment larges, contrôlées et randomisées puissent être utilisés de manière préventive(40). La bonne santé des femmes semble avoir disparu. Les périodes de maladie se succèdent. Il serait même légitime de penser qu'être femme est aujourd'hui devenu une maladie en soi. Les années menstruelles laissent en effet place au retour d'âge qui laisse place aux années de déficit hormonal, et seules l'enfance et la prime jeunesse restent encore considérées comme des époques libres de tout symptôme." ------- ... plus pour très longtemps peut-être puisque le marketing de MSD jette son dévolu sur l'avenir des utérus des jeunes filles pré-pubères ou pubères avec la vaccination papillomavirus !

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    03/11/2019 09:20
    Christine
    Très bonne idée le covoiturage! En attendant de mettre en place un système permettant ce type d'échanges, je vous propose de m'écrire à secretaire@aimsib.org en m'indiquant votre trajet et les grandes villes près desquelles vous passez ou si vous n'êtes pas motorisés, votre ville de résidence et la grande ville la plus proche de chez vous. Je pourrai ainsi transmettre vos mails aux personnes intéressées.

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    02/11/2019 14:49
    Bernard Guennebaud
    Rare et cher le livre de Delbet ? Je l'avais acheté il y a plus de 50 ans. Vous me l'achetez combien ? Non j'le garde !

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    02/11/2019 13:08
    njama
    @ Brigitte Fau j'ajoute un lien : La chimie de l'eau de mer https://oceanplasma.org/documents/chimie.html

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    02/11/2019 12:22
    njama
    @ Brigitte Fau Ce livre du Dr DELBET devrait vous passionner autant : "PIERRE DELBET Politique Préventive du Cancer Cytophylaxie" Édition Denoël 1944 télécharger le PDF, il est en édition provisoire mais vous pouvez en faire une copie à titre privé (les anciennes éditions papier sont rares et chères) http://wiki.hackuarium.ch/images/d/d3/Delbet-PolitiquePreventiveCancer-MisEnPage-20140809.pdf

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    01/11/2019 14:46
    Bernard Guennebaud
    Je viens de me souvenir qu'il existe un appareil qui fait ce genre de tests en analysant de façon subtile les variations du signal cardiaque pris par électrocardiogramme. Trop cher pour moi (25000€) ! Mais comme j'ai un logiciel qui enregistre le signal cardiaque, je vais essayer pour voir ce que ça donne à vue. J'me sens très bien dans mon rôle de rat de laboratoire !

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    01/11/2019 13:27
    Bernard Guennebaud
    C'est évidemment subjectif en ce sens que la réaction n'est perçue que par le sujet testé et le testeur éventuel. Sous cette forme, ce n'est pas transmissible et cela ne peut être enregistré. J'ai cependant été plus que surpris de constater qu'en tenant simplement dans une main un produit homéo (mais pas n'importe lequel bien sûr), je ressentais nettement une tonification qui s'évanouissait en le lâchant. Ou, à l'inverse, un affaiblissement énergétique, ce qui pourrait suggérer que l'utilisation de l'homéo n'est pas forcément anodine comme on le dit trop souvent. Mais reconnaître que ce n'est pas toujours anodin, ce serait reconnaître une action et donc une possible efficacité. Cependant, on ne peut pas exclure qu'il soit possible de mettre en évidence au moyen d'un appareil, je pense à un résonateur, ces types de réactions et ainsi de les objectiver. La démarche scientifique débute toujours par des observations puis par des expériences et non pas en allant consulter pubmed comme certains semblent le croire. Le test du bras donne seulement une indication énergétique :rien, tonification ou l'inverse. Il ne permet pas de préciser par rapport à une pneumopathie par exemple ou un trouble cardiaque.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    01/11/2019 12:06
    Terrasienna
    Bernard Guennebaud, vous évoquez des tests probablement kinésiologiques. Ils restent subjectifs par rapport aux réflexes autonomes, par exemple une auscultation où les crépitants du foyer de pneumopathie disparaissent lorsqu'on approche la dose pour réapparaître ensuite, une fois la dose ôtée, par exemple. L'homéopathie ouvre aux curieux un champ d'explorations scientifiques tout à fait nouvelles et vertigineuses, dommage que ce soit aussi confidentiel.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    31/10/2019 21:47
    Bernard Guennebaud
    Vous dites Terrasienna "des études pourraient être imaginées à partir des réflexes autonomes, afin de montrer que certaines personnes sont réactives à certains produits. Les étirements musculaires, les réflexes pupillaire,… parfois l’auscultation sont modifiés lorsqu’on approche simplement une dose". J'ai effectivement vécu une expérience de ce type avec un médecin qui a aujourd'hui pris sa retraite. C'était avant l'an 2000, c'est dire ! Il pratiquait le test du bras. Ce n'est pas très scientifique mais, à ma grande stupéfaction je dois dire, ça marche. Le patient debout met son bras gauche (par ex) à l'horizontale, sur le côté. Le testeur lui demande de résister tout en appuyant vers le bas au niveau de son poignet. Il apprécie ainsi la résistance "à vide" si je puis dire. Puis le patient (moi en l'occurrence) prend dans la main droite un tube homéo. Le testeur appuie alors de la même façon pour apprécier si la résistance est la même, plus grande ou plus faible. La première fois qu'il m'a expliqué la méthode avant de pratiquer, je n'ai pas pris ça très au sérieux. Puis je me suis rendu compte qu'avec certains produits, je me sentais sans énergie et qu'avec d'autres je sentais soudain une plus grande tonicité. J'ai réalisé qu'il n'était même pas toujours nécessaire que le médecin appuie sur le bras pour savoir si la tonicité restait égale, plus forte ou moins forte. Je le sentais presque dès que je prenais le tube de granules dans la main. Pour ceux qui voudraient essayer, sachez que le plus souvent je ne sentais aucune différence. C'était seulement dans un très petit nombre de cas. Si vous cherchez au hasard vous aurez peu de chances de tomber dans des situations significatives. En fait le médecin préselectionnait les produits qu'il pensait pouvoir être intéressants en fonction de son observation clinique. Ce n'est pas du tout scientifique mais ça peut fonctionner et donner de précieuses indications à peu de frais et par un moyen plus que rudimentaire, du moins en apparence. En apparence seulement car cela pourrait nous faire réfléchir sur ce qu'est notre nature humaine et sur ce qu'est le produit homéo. Ceux qui voudront éluder cette interrogation, il y en a beaucoup, n'essaierons jamais de peur ... Oui, ça peut faire plus peur qu'Halloween !

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    31/10/2019 19:32
    Olive verte
    Puisqu'une personne évoque le covoiturage, je viendrai le matin même du secteur de Tarbes par l'autoroute.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    31/10/2019 16:39
    Terrasienna
    Bonjour, question très concrète, est-il possible d'organiser du covoiturage car certains trains sont annulés à cause des inondations dans le Sud? Concernant l'homéopathie, des études pourraient être imaginées à partir des réflexes autonomes, afin de montrer que certaines personnes sont réactives à certains produits. Les étirements musculaires, les réflexes pupillaire,... parfois l'auscultation sont modifiés lorsqu'on approche simplement une dose (si la dose est tenue par un être vivant). Mais il paraît très difficile d'organiser des tests comparables à ce que fait l'industrie pharmaceutique, puisque nous ne sommes pas des petits pois tous identiques. Bernard Guennebaud le résume très bien. Les éleveurs ont plus de facilités à donner un même médicament homéo pour une problématique de troupeau. L'élevage serait peut être le champ d'étude le plus approprié actuellement. Mais qui voudrait étudier l'homéopathie, qu'on peut réplique à l'infini pour peu qu'il y ait un peu de geôle, d'eau, de sucre et des flacons en verre, sachant que ces petits globules bien conservés peuvent tenir au moins un siècle?

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    30/10/2019 15:27
    njama
    Aborder l’homéopathie en première intention dans un congrès... pas de quoi complexer vraiment, l'AIMSIB peut même garder la tête haute car au pays de Descartes les cures thermales - et ce n'est que de l'eau - (105 centres conventionnés par la Sécurité sociale) sont remboursées et il est très probable qu'elles le resteront simplement parce que c'est un secteur économique important avec restauration, tourisme, hôtellerie et nombre d'emplois qui profite à quelques grands groupes. Une industrie en quelque sorte... Vu sous cet angle, les médecins homéopathes et Boiron en chiffre d'affaires c'est de la piétaille. L'attaque orchestrée contre l'homéopathie est certes idéologique et prélude peut-être de prochaines attaques contre des médecines alternatives. Tout récemment d'ailleurs le CNOM a mis le dernier clou sur le cercueil car après le déremboursement de l’homéopathie et la fermeture de plusieurs diplômes universitaires dédiés, voilà que le 3 octobre dernier il annonçait que désormais le titre d’homéopathe ne sera plus délivré aux futurs médecins ! https://www.conseil-national.medecin.fr/publications/communiques-presse/droit-titre-lhomeopathie

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    30/10/2019 13:20
    Brigitte Fau
    Jean Pierre, Vincent je partage vos 2 points de vue. Oui je pense qu'on ne devrait jamais forcer les barrières naturelles, d'une part. Sauf exception ; quand l'organisme est dégénéré au point qu'il ne puisse plus se réparer par lui-même. Et, en effet dans ce cas, d'avoir lu les travaux de Quinton, me pousse à penser qu'il avait la solution. Son livre est disponible sur le site de la BnF : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k746094?rk=21459;2 Et, merci Inoxydable pour ce lien. Le premier lien que j'avais sur cette video ne fonctionnait plus.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    30/10/2019 08:22
    Christine
    Vincent, je prends ça pour une invitation à prendre la parole ! C’est une belle annonce qui a relancé les inscriptions, mais la réservation des cocktails se fait en ligne : Il faut sélectionner « ajouter au panier » pour l’inscription au congrès, puis « ajouter votre place au cocktail déjeunatoire ». Pour profiter de la gratuité, il faut juste être connecté grâce à votre identifiant et votre mot de passe sans aller sur votre espace personnel. Si vous voulez inscrire une autre personne à partir de votre ordinateur, il faut cliquer sur votre nom affiché en haut à droite de votre écran dans le bandeau pour vous déconnecter. Il ne vous reste plus que 2 jours pour réserver votre repas, car je dois prévenir le traiteur deux semaines à l’avance. Si vous avez des intolérances alimentaires ou allergies, écrivez-moi vite à secretaire@aimsib.org , des repas spéciaux seront préparés en fonction des demandes. N’oubliez-pas de me prévenir en cas d’annulation, les inscriptions sont gratuites pour les adhérents, mais pas pour l’AIMSIB (collation de 11H). Merci pour votre attention et à bientôt. Christine

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    29/10/2019 21:45
    Bernard Guennebaud
    Akira, je ne suis pas homéopathe comme vous le savez mais je m'intéresse à ces questions et j'ai une formation scientifique. Je vais essayer de vous donner une réponse que des médecins homéo pourront accepter ou amender ou rejeter. Le fondement de l'homéopathie c'est la loi de similitude que je traduis par "résonance vibratoire", traduction que les médecins homéopathes ne feront sans doute pas. Avec les outils qui existent aujourd'hui mais qui n'existaient pas du temps de Hahneman, il est possible de tester l'existence ou l'absence de résonance vibratoire entre un produit et une personne ou entre 2 produits. Je le fais tous les jours pour mon usage personnel. Récemment, j'ai testé la plante artémisia et la vitamine C pour obtenir un résultat intéressant mais qui ne surprend pas ceux qui connaissent artémisia et ses propriétés. J'ai pu aussi tester avec des produits homéo (je ne dis pas médicaments). Le principe que j'utilise pour interpréter les résultats est simple : 1- s'il n'y a pas résonance entre le produit homéo (ou d'autres d'ailleurs) et la personne, on peut penser que le produit sera sans action sur la personne et donc sur la pathologie dont elle souffre. C'est une hypothèse de travail pour interpréter et décider. 2- S'il y a résonance on peut penser que le produit pourrait avoir une action sur la personne et possiblement déclencher ainsi un processus qui pourrait soutenir cette personne par rapport à sa pathologie. Ce sera non pas le produit homéo qui va soigner mais le corps qui en réagissant à la sollicitation déclenchée par la résonance avec le produit va se soigner lui-même. On pourrait suggérer que la résonance rappelle au corps qu'il y a un problème qu'il néglige, que ça le réveille si vous voulez. Tout cela ce sont des images pour suggérer ce que je ne peux expliquer plus avant. Mais pour avoir moi-même utiliser des produits homéo, je suis convaincu que ça peut marcher au delà de l'effet placébo. Mais il faut qu'il y ait résonance ! Hors, 2 patients qui auront pour la médecine classique les mêmes symptômes et qui, à ses yeux, doivent donc être soigné de la même façon, pourront fort bien ne pas réagir de la même façon au même produit homéo : pour l'un il y aura résonance et pas pour l'autre, l'affaire étant rendue encore plus compliquée par le fait qu'il peut y avoir résonance à telle dilution et pas à telle autre. Cela peut expliquer des échecs alors qu'un autre produit ou une autre dilution du même produit aurait pu donner un autre résultat. Une fois que l'on a accepté ces principes, si on veut faire une étude scientifique en s'appuyant sur eux, il faudrait tester les patients par rapports aux produits homéo envisagés pour les soigner et en tenant compte de leurs dilutions et ne pas prendre en compte ceux pour lesquels on n'aura pas trouvé de résonance. Quoi qu'il en soit, vous voyez Akira qu'on est très loin des critères de la médecine allopathique et que ceux-ci sont inadaptés pour étudier scientifiquement les effets des produits homéo sur les êtres vivants, humains et animaux. En écrivant cela je prends des risques mais tant pis !

  • L'ostéoporose, mais de quoi parle-t-on?
    29/10/2019 18:22
    Inoxydable
    Juste pour ajouter de l'eau ... de Quinton au moulin : https://youtu.be/Qc4AtCcesog

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    29/10/2019 17:21
    Inoxydable
    @ Vincent Reliquet : l'AIMSIB c'est mon "dada", mon épouse me supporte moralement et partage souvent les articles; mais elle a d'autres priorités. Moi je cotise là et ailleurs et en outre je fais un don annuel d'un montant presque équivalent à celui de l'adhésion. Ceci compense cela. Mis rassurez vous, elle est de tout coeur avec l'AIMSIB; A plus, j'espère.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    29/10/2019 17:17
    Inoxydable
    Ce n'est pas la moindre critique : votre critique et répétitive et constante. Quand de n'est pas sur "la science" de l'homéopathie qui serait non reproductive et pas scientifique ( les études ne sont jamais assez sérieuses, pas de ceci ou de cela et quand j'en fourni ici ou sur d'autres sites, personne ne me répond pour dire OBJECTIVEMENT son avis, ça passe aux oubliettes...) c'est sur son marketing ! Si vous n'aimez pas l'homéopathie, dites le et passez à autre chose mais n'en dégoûtez pas les autres. De la part d'un utilisateur occasionnel de l'homéopathie, qui reste ouvert à toute critique constructive dans un sens ou dans l'autre. Dommage que vous ne veniez pas au congrès à Toulouse ... pour une fois que je peux y aller, on aurait pu y disputer le bout de gras de manière plus ouverte.

  • Congrès AIMSIB de Toulouse le 16 Novembre, dernières places disponibles
    29/10/2019 11:10
    Bernard Guennebaud
    EXEMPLE : le fameux vaccin contre la dengue n'a pas été inventé par Sanofi mais par une petite unité de recherches que Sanofi a racheté pour le commercialiser au niveau mondial. Que ça plaise ou non, c'est ainsi que les grands groupes pharmaceutiques fonctionnent. D'autres font des recherches à leurs risques et périls et les grands groupes ne reprennent que ce qui les intéressent. Que Boiron ait aussi choisi cette stratégie, c'est possible. Il existe un petit laboratoire à Tours qui fabrique des granules homéo sans sucre et sans lactose. Mais pourra-t-il tenir si Boiron ne reprend pas le processus à son compte ? Ce processus, on le retrouve partout, à petite ou à grande échelle. Un exemple inattendu : j'ai trouvé des anomalies démentielles dans les façons dont l'expertise utilise les tests statistiques dans les études épidémiologiques. Cela pourrait nous être plus que très utile mais si les dirigeants des associations qui pourraient permettre de faire connaitre cela estiment que c'est trop technique, que ça n'intéressera pas les adhérents, bref que ce n'est pas "commercial", ces arguments en or massif resteront dans les tiroirs alors qu'ils pourraient nous rendre de très grands services dans le combat que nous tentons de mener. La recherche est une chose, la promotion des fruits de la recherche en est une autre et elle n'appartient pas aux chercheurs. C'est une règle générale. Même en mathématiques, j'avais constaté que, même pour des choses très simples, les meilleures méthodes de calculs par exemple n'étaient pas toujours reprises dans les programmes des calculatrices et restaient ignorées dans l'enseignement même si elles étaient connues. J'ai constaté que quand un résultat, même intéressant et utile à tous, était découvert, s'il n'y avait pas des acteurs pour le faire vivre dans la communauté mathématique en le faisant connaitre et en faisant en quelque sorte une "animation" autour de lui, il restait ignoré. Trouver des résultats intéressants et utiles est le rêve de tous les chercheurs et de tous les créateurs dans tous les domaines. Mais ils ignorent le plus souvent que même avec de tels résultats en poche, ce sera le parcours du combattant pour le promouvoir, le "commercialiser" si vous voulez, même gratuitement car ce n'est pas qu'une question d'argent. Il y a aussi la pression des habitudes et de tous ceux qui veulent aussi promouvoir leurs idées, même gratuites et qui font obstruction à d'autres idées même plus judicieuses. De fait, ce n'est pas toujours la meilleure idée qui émerge mais celle portée par le courant dominant. C'est vrai partout, même en maths.

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