- SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
10/08/2018 10:49
Bernard Guennebaud
Voici ce qu'on lit dans le titre du tableau et qui n'a pas été reproduit ici : " Association between any vaccination and Acquired Central Nervous Demyelinating Syndromes (CNS ADS) by Age and Time Since Vaccination" Age se rapporte ici à 50 ans). Pour Time c'est "Since Vaccination" : est-ce clair ? - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
10/08/2018 10:18
Bernard Guennebaud
"Mais si les tableaux contenaient vraiment des valeurs cumulées, les valeurs de chaque tableau seraient forcément croissantes. " Mais où avez-vous vue qu'elles n'étaient pas croissantes ? Pour les cas c'est 14 puis 24, 30, 65, 113, 195 et 301. Pour les témoins c'est croissant de la même façon :de 29 jusqu'à 1362. Pouvez-vous, SVP, expliciter les données qui ne seraient pas croissantes alors que les seules données sont les nombres de cas et de témoins, les autres sont des calculs effectués sur ces données. Alors pour la bonne foi et le discernement faudra repasser ... - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
10/08/2018 09:40
Dreamer
Contrairement à vous il sait faire une soustraction. Deja que dans l'article sur la rentabilité vaccinale on voit que vous ne savez pas non plus faire une division... - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
10/08/2018 08:21
Bernard Guennebaud
Sur ma crédibilité je m'en fiche pour une raison très simple : j'ai été formé par les maths, je ne suis pas avocat. Le prof de maths venant d'exposer aux élèves le théorème de Phytagore, Imaginez les élèves se disant à la sortie : moi je crois ce qu'il a dit parce qu'il cause bien et qu'il a une blouse blanche ! Le prof aurait raté sa mission qui est d'essayer d'amener les élèves à intégrer la démonstration en faisant l'effort mental de la comprendre pour se dire "Oui, c'est bien une démonstration, je la comprends". Mais on ne peut forcer personne à faire cet effort et certains qui s'expriment ici montrent qu'ils n'en ont pas du tout l'intention. Plus exactement, ils cherchent à dissuader les lecteurs de faire cet effort en essayant de leur faire croire que je raconte n'importe quoi. Tout ce que j'ai exposé ci-dessus est vérifiable et peut être compris par celui qui fera l'effort nécessaire et qui n'est pas surhumain. Une fois cette compréhension acquise, ceux qui cherchent à semer le doute et la confusion pourront aller sur une autre planète. Si je suis suspect, a priori, ce serait évidemment d'être de parti-pris en défaveur des vaccinations et que ce parti-pris systématique pourrait me conduire à fausser volontairement ou involontairement les analyses que je propose. Je cherche à jouer le jeu selon les règles et je ne veux pas marquer un but de la main en tentant de la dissimuler. D'ailleurs si j'étais animé de l'esprit contraire, comment penser que je serai le premier à dire que le fameux signa,l qui a fait un bruit énorme il y aura bientôt 10 ans, n'existait pas en réalité ! Oui, je démontre dans cet article que le signal de l'équipe de Marc Tardieu sur les enfants qui, après avoir reçu 4 DTP, 1 BCG et 1 ROR seraient significativement plus à risque de faire une sclérose en plaques quand on les vaccinait plus tard avec le vaccin Engerix B contre l'hépatite B, ce risque se manifestant, selon les auteurs, au delà de la 3è année après cette vaccination. L'annonce de ce signal fin septembre 2008 a défrayer la chronique pendant des semaines, mobilisant en extrême urgence les Comités comme le CTV, la Commission nationale de pharmacovigilance, l'Académie de médecine ainsi que le secrétaire de l'Académie de Sciences, l'immunologiste Jean-François Bach, l'épidémiologiste Dominique Costagliola et bien d'autres. Tous ces personnages et Comités éminents sont montés au front pour expliquer que ce signal, dont ils ne niaient pas l'existence, était le fruit du hasard, ce qu'on appelle le risque de première espèce. J'explique ici que cette multiplicité de tests est une exploration de données où on change l'objet du test sur les mêmes données et que cela n'a rien à voir avec le risque de première espèce qui peut apparaître quand on teste la même chose sur des données nouvelles. Comme je l'explique, ce signal lié au hasard se manifestera en moyenne une fois pour 20 renouvellement de données, ce qui est pratiquement irréalisable avec des données médicales. En tout cas, ce n'est pas ce que les auteurs ont fait, c'est INDISCUTABLE.. Donc pour ce fameux signal, je DÉMONTRE qu'en réalité il n'existait pas !!! Il est la conséquence du fait d'avoir laissé traîner dans les calculs les non vaccinés Engerix, ce qui revient à utiliser des souris non fécondées pour étudier une durée de gestation !!! Oui, c'est aussi ridicule que cela et je l'ai dit au congrès d'Amiens devant 120 épidémiologistes qui n'ont pas bronché. Mais la responsabilité pourrait aller plus haut que les auteurs et commentateurs "autorisés" car le logiciel utilisé par les auteurs pourrait fort bien gérer cette question en éliminant ceux pour lesquels le délai entre la date de vaccination (ici Engerix) et la date du début de la maladie n'existe pas. Ce serait facile à programmer. Les concepteurs de ces logiciels de statistiques appliquées à l'épidémiologie n'y ont pas pensé. Pourtant ils étaient certainement parmi les plus compétents.. Compte tenu de l'importance des lièvres que je soulève ici et de l'ambiance délétère qui règne sur les vaccinations, il est "normal" que je sois l'objet d'attaques. Mais faites quand même attention à ne pas vous ridiculisez en disant n'importe quoi comme on en a déjà l'illustration. Attention à l'effet boomerang, les lecteurs de ce blog ne sont pas idiots. - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
10/08/2018 08:16
Sebastien
juste une correction le tableau % des ventes du secteur est le niveau reporting mis en place dans lequel il faut lire secteur=activité. ceci dit en disant que rentabilité = profit et en montrant ses chiffres on voit clairement que le but est de donnée l'impression que les vaccins rapportent autant que la pharmacie... alors qu'au niveau groupe l'activité pharmacie est bien plus profitable que l'activité vaccin... bref comme quoi un niveau aussi élevé soit-il sur un domaine ne permet pas d'être bon sur un autre... - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
10/08/2018 07:39
Bernard Guennebaud
Je suis désolé "Super Mauvais Poil" mais il faudrait quand même savoir lire : le tableau indique 195 cas apparus au cours de la première année qui suit la dernière vaccination reçue et 301 pour les 3 années cumulées. Donc, pour les années 2+3 cumulées il y en a 106 !!! De même il indique 14 cas sur les 14 premiers jours et 30 sur les 30 premiers jours, soit 10 pour la période intermédiaire de 16 jours etc Je n'imaginais quand même pas que la critique serait à ce point de "Super Mauvaise Foix" mais attention quand même à ne pas vous discréditer totalement en racontant n'importe quoi ... - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
10/08/2018 07:32
Super Mauvais Poil
Le fond, Cédric, est que ici, dans cette page, Bernard fait une erreur grossière dans sa lecture d'une étude, puis dit que l'étude raconte n'importe quoi. Bernard IMAGINE que le tableau qu'il cite contient des valeurs cumulées, il fait donc une soustraction pour obtenir un intervalle. ("106 cas (301-195=106) qui sont apparus au cours des années 2 et 3") Mais si les tableaux contenaient vraiment des valeurs cumulées, les valeurs de chaque tableau seraient forcément croissantes. Il suffit de voir le tableau d'à coté pour constater que certaines valeurs diminuent avec le temps, ce qui est tout simplement IMPOSSIBLE avec des valeurs cumulées. (le tableau est dans le lien de mon message précédent). C'est une réfutation des "démonstrations irréfutables et qui n’ont d’ailleurs pas été contestées bien au contraire" de Bernard. Nul besoin d'avoir de grande connaissance scientifiques pour le constater, juste un peu de bonne foi et de discernement. Voilà pour le fond, Cédric. Direz-vous que je fais de la propagande parce que je montre que Bernard a fait une erreur grossière, ou direz-vous que Bernard fait de la propagande s'il continue à se répandre sur internet malgré la réfutation de sa "démonstration irréfutable" ? - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
09/08/2018 22:45
Cedric
Pilou le site que vous citez dans votre lien est un site de propagande/lobby ouvertement pro-vaccin. Vous essayez de dénigrer M. Guennebaud comme le fait ce site (qui le nomme trivialement Bernard à tout bout de champ, alors qu'un minimum de respect est du aux scientifiques) . Là encore c'est une technique de propagande/lobby bien connue qui consiste à dénigrer la forme pour ne surtout pas parler du fond. Fond qui lui est limpide et grandement défavorable au lobby pharmaceutique ! Alors parlons-en ! Comment le Conseil National de l'Ordre des Médecins peut-il encourager et diffuser des études aux conclusions erronées !? Comment peut-on encore croire et lire ce genre d'inepties alors que les liens entre certaines vaccinations et pathologies / effets secondaires est irréfutable. un peu de bonne fois et de discernement. Merci. - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
09/08/2018 22:16
Super Mauvais Poil
"Non vous ne rêvez pas. Toutes les activités offrent un taux de marge opérationnelle supérieur à 30 % ! L’activité vaccins étant quasiment aussi rentables que l’activité « pharmacie » avec plus de 35% de marge opérationnelle." Donc 9000=36%, et 1500=32% ? Le tableau montre qu'ils détiennent 35% du marché. Rien à voir avec la marge. Et puis un résultat opérationnel n'a rien à voir avec la rentabilité. Bref, bien que "formé en mathématiques", vous racontez n'importe quoi. - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
09/08/2018 21:53
Bernard Guennebaud
Ce ne sont pas des affirmations mais des démonstrations irréfutables et qui n'ont d'ailleurs pas été contestées bien au contraire quand je les avais exposées au congrès Adelf-Sfsp d'Amiens les 4-6 octobre 2017 avec résumé et diaporama sur le site du congrès comme indiqué dans les références de l'article. - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
09/08/2018 21:06
Sebastien
Bonjour, Sur un groupe que je suis cet article a été présenté et j'aurais quelque commentaire/question: - l'argument usé normalement est que le vaccin n'est pas une source de revenu important pour les Labos, personne ne dit que ca ne rapporte rien... - l'auteur prétend que ces données viennent du rapport annuel 2017 de Sanofi ce qui est faux, les données viennent du "document de référence 2017": c'est un outil de communication pour les actionnaires, son orientation est évidement sur les gain de la société. - la premiere citation montre juste que Sanofi doit augmenter sa capacité de production pour faire face a la demande. l'auteur reste sur son postulat de départ et en fait un peu trop. Passons a l'étude du document de réference de Sanofi: le CA de Sanofi 35Milliards, en effet c'est pas mal, tout juste au niveau de Leclerc, par contre si on compare a Amazon qui culmine a 177 Milliards ca reste petit. mis en perspective ce chiffre est beaucoup moins impressionnant. la répartition du chiffre d'affaire est ensuite fourni, donc on voit bien que les vaccins représentent 14,6% soit un peu plus de 5Milliards. l'auteur se focalise ensuite sur les 11% d'augmentation du CA cette donnée est disponible page 150, on peut la comparer au 45% de hausse de l'activité Santé Grand Public. la Pharmacie elle baisse de 3% Maintenant passons a la page 160, pour la suite des données: l'auteur fourni la répartition par vaccin ce qui est un information interessante en effet car on peut y noter que la hausse est principalement du au vaccin Polio/Coqueluche/Hib et aa ceux pour les voyageurs. mais plus interessant serait de revoir le texte l'accompagnant : on y voit pur le premier que la hausse est principalement du a l'augmentation de la demande dans les pays émergent et surtout la chine. Ensuite on aurait pu prendre la répartition géographique, mais ici il faudrait faire attention est mettre en perspective les chiffre de variation par rapport a leur base. l'auteur s'en est abstenu ce qui est dommage. Dans la phrase suivante l'auteur écrit que la rentabilité = profit. on va laisser passé cet erreur de néophyte, je ne vais pas m'éterniser la dessus. ce qui est pus gênant c'est que ces 2 notions doivent être abordé sur le résultat net, hors dans le cas présent l'auteur présente des chiffres de résultats opérationnel. le tableau présenté vient de la page 166, l'auteur sélectionne le tableau reprenant un nouveau reporting sans comparaison avec 2016, pourtant cette information est présent juste en dessous et montre une baisse de résultat de 3,3% de l'activité vaccin, mais cela desservant les propos de l'auteur c'est gênant... La marge opérationnelle est bien A 35,4% cela signifie que l'activité vaccin présente une rentabilité opérationnelle. Ensuite l'auteur va jugé les frais de recherche et développement, encore une fois l'auteur choisi le nouveau reporting montrant un chiffre de 10,9% la ou l'ancien montre une augmentation de ces dépenses de 15%. en comparaison Boiron présente des frais de 0,5%. l'auteur présente que l'industrie prévoit une hausse a 100M du CA des vaccins, mais il ne nous donne pas la hausse globale attendu sur les autre secteurs, donc un chiffre seul ne représente rien, on ignore si cela fera plus que les 15% actuel ou moins. L'auteur conclu son analyse en une phrase: "Les vaccins, ça génère beaucoup de chiffres d’affaires et cela semble être une activité très rentable!" deja beaucoup de chiffre d'affaire pas vraiment cela reste juste 15% du CA de l'industrie pharmaceutique, ensuite meme si l'activité vaccin est rentable, elle ne participe que faiblement au profit de l'industrie. ma conclusion: l'auteur a choisi les éléments de chaque rapport mettant en avant son argument de départ, la méthode n'est pas rigoureuse. Alors oui tout les chiffres sont juste mais les déductions faite ne le sont pas, une analyse financière ne se fait pas sur un document servant a convaincre les actionnaires, mais sur le rapport annuel et en analysant toute les données, et en les mettants en perspectives. source: https://www.sanofi.com/.../Sanofi-DDR2017-FR-PDF-e... - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
09/08/2018 20:16
Super Mauvais Poil
"Il y a donc 106 cas (301-195=106) qui sont apparus au cours des années 2 et 3 qui suivent cette dernière vaccination." Ben non. Il y a 301 cas, pas 106.
Quand je vois les énormités qui sont avancées sur cette page, j'ai une petite idée du sens de la réponse de l'ordre que vous nous livrerez au prochain épisode.Si on l'écoute, le graphique d'à coté montre que "Il y a donc 8 cas (11 - 19 = -8) qui ont SPONTANÉMENT GUÉRI entre le 30e et le 42e jour qui suivent cette dernière vaccination." C'est ça ou Bernard ne sait pas lire un graphique. @JeSuisBigPharma @IPSNaturelle pic.twitter.com/J6MmofOlQQ
— Super Mauvais Poil (@suprmauvaispoil) August 9, 2018 - SEP et vaccination anti-HBV; Bernard Guennebaud répond à l'Ordre des Médecins, partie 1
09/08/2018 15:39
pilou
Si M. Guennebaud refuse d'admettre quand il fait des erreurs grossières, comment peut-il être crédible quand il affirme une nouvelle fois l'incompétence des spécialistes ? https://bit.ly/2OPTv1v - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
06/08/2018 18:08
Jimmy
La crème glacée génère aussi de gros bénéfices. Elle doit donc être toxique/inutile/liée au gouvernement/causer le cancer de l'autisme (biffer les mentions inutiles. - Statines et douleurs musculaires : qui désinforme qui ?
06/08/2018 09:13
POILASNE Jean-Luc
Le 5 mai 2018 mon docteur me prescrit 20 mg de simvastatine. Plusieurs jour plus tard douleurs au tendon d'Achille, ensuite fortes douleurs dans le dos. Deux mois plus tard après deux journées de bricolage j'ai des douleurs musculaires partout. Je décide de passer à 10 mg et 10 jours plus tard après deux journèes de bricolage je suis presque grabataire. J'ai donc décidé d'arrêter ce médicament. Dans mon voisinage, je connais deux personnes qui ont arrêté pour les meme raisons. - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
14/07/2018 14:25
Benoit
Bonjour, Je souhaiterai rebondir sur ce passage : "La « balance bénéfice/risque » est extrêmement claire. Face à l’immensité des risques, les maladies à prévention vaccinale (en supposant que la vaccination soit totalement efficace) représentent un risque insignifiant." C'est faux dans la mesure ou on vaccine contre des pathogènes qui ne circulent pas en France (poliovirus par ex) Si l'on a pas de risque d'être exposer au pathogène : balance benefice/risque d'un vaccin est forcement négative. Cordialement - Rapport moral 2017-2018 du Président Philippe HARVAUX
07/07/2018 21:44
Inoxydable
Bravo Président, il faut du courage et de l'abnégation pour faire le travail et avoir la responsabilité que vous avez. Merci encore. - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
07/07/2018 21:40
Inoxydable
En fait je voulais dire calcaire , pas argileux. - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
05/07/2018 17:25
Inoxydable
Bon sang JM Rehby ! Mais où poussent vos framboisiers ? Dans quelle terre fertile et féconde ? Ils envahissent votre jardin ?Moi, j'essaie depuis des années de les faire s'acclimater dans mon jardin … bien peu résistent quel que soit le rajout de terreau qui j'y mette ! En fait, le sol chez moi est argileux, de la terre à amandier, vigne, abricotiers ou pêchers à la rigueur. Il faudrait que je remplace des m3 de terre et surtout que je ne m'absente jamais en saison chaude, deux jours sans arrosage, mes plantes se dessèchent; j'ai quand même réussi à tenir quelques plants de cassis , de groseille, de myrtille avec deux framboisiers … seul le cassis et la groseille on pu être goûté. C'est pourquoi , quand je peux, je vais à la montagne à la cueillette de mes fruits préférés ... Alors, régalez vous cher ami chanceux . - Droit de réponse du Pr Philippe Even
04/07/2018 06:36
sysy
Bravo Monsieur pour votre courage contre vos détracteurs et merci infiniment pour votre humanité et le partage de vos connaissances ! - Rapport moral 2017-2018 du Président Philippe HARVAUX
02/07/2018 15:26
Brigitte Fau
Merci à l'AIMSIB pour sa lucidité et son combat. Oui, chacun d'entre nous doit faire connaître l'association. - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
02/07/2018 12:21
JM REHBY
Mon cher Inox si les framboises sont une vrai merveille les framboisiers sont une vraie cochonnerie!!! En deux trois ans ils envahissent tout au jardin que c'est une vraie catastrophe mais bon on a les framboises - Rapport moral 2017-2018 du Président Philippe HARVAUX
01/07/2018 20:39
Hermine
Merci Président de nous rapporter les actions engagées ou envisagées au sein de l'Aimsib et bravo pour votre engagement sans faille. - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
26/06/2018 07:57
Jeannine
Je découvre aujourd'hui votre article très intéressant. Y-a-t-il des gens assez naïfs pour croire encore que les vaccins ne sont pas rentables? Incroyable! Sur un mode plus général et financier, j'ai assisté à une présentation par des financiers sur les différentes industries pour savoir où placer notre argent. Eh bien l'industrie pharmaceutique est celle qui est la moins endettée (à peine un peu plus de 6%, si je me souviens bien). Ça veut tout dire! - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
17/06/2018 14:38
Lucienne
Ce n'est pas la première compromission de nos dirigeants. On est habitués ! Bonne occasion de rappeler à ceux qui ont voté la loi des 11 vaccins qu'ils auraient mieux fait de réfléchir avant de la voter. Je viens donc de le faire en adressant votre article à mes députés et sénateurs (ceux de l'Isère) en tête desquels il y a Olivier Véran, le rapporteur de la loi, lequel briguait notoirement le poste de ministre de la santé. Il n'est pas exclu qu'il y ait renoncé... Si j'ai des réponses, je vous les ferai connaître mais reconnaître qu'on a été complètement manipulé.n'est pas facile ! Au moins pourraient-ils limiter les dégâts en redonnant aux enfants leur droit imprescriptible à l'école, à la crèche et à toute forme de socialisation. Cela, ils le pourraient. - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
14/06/2018 17:03
Inoxydable
Je ne résiste pas au plaisir : https://youtu.be/hVEk1wiUxa0 avec Aznavour au piano. - L'Académie de Médecine ne change pas en bien
13/06/2018 17:49
Inoxydable
Bravo Docteur. Ca vaut largement l'impact de l'appel du "18 juin". Il aurait fallut attendre cette date pour publier; espérons que votre texte, un véritable "appel" contre la malhonnêteté de certains académiciens ( pas tous semble t'il) ait le même succès !!! - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
13/06/2018 17:11
Inoxydable
Pardon pour les fautes "méritent" à la place de "mérite"; et voici, j'espère le bon lien : Berry Fruits: Compositional Elements, Biochemical ... Traduire cette page https://www.researchgate.net/publication/5640782_Berry_Fruits... - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
13/06/2018 17:03
Inoxydable
Addenda:Pour celles et ceux ( selon la formule actuelle) qui aiment les fruits rouges : - A propos de Fraises:Elles sont très polluées, traitées par tous les pesticides possibles et imaginables, leurs Akènes « crochues » retenant tous les polluants. Donc, les acheter Bio si possible ou les planter sois -même. - Pour les baies rouges en général, voici un lien intéressant : Berry Fruits: Compositional Elements, Biochemical ... pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/jf071988k Il récapitule tous les fruits riches en antioxydants bons pour la santé parmi lesquels seul l’Aronia melanocarpa ( mon préféré) n’est pas récapitulé alors que le « Sambucus Nigra » , le sureau noir l’est alors que beaucoup d’études font la comparaison entre les deux … à l’avantage de l’Aronia. Peut-être reviendrai - je un jour sur le Sureau qu’on trouve à l’état sauvage partout en France. D’autre fruits, comme le « Mangostan », mérite aussi une attention particulière pour ses propriétés anti cancer. Mais je ne peux pas passer en revue tous ces fruits qui sont en fait des trésors de santé. - Mais pour en revenir à l’Aronia, cette étude : Quality assessment of low-sugar jams enriched … https://link.springer.com/article/10.1007/s13197-017-2952-6 démontre que pour révéler et ajouter aux potentiels de la plupart des extraits de ce fruits, y compris pour la confiture, on y ajoute environ 15 % d’ Aronia comme l’ont par ailleurs fait des chercheurs Israélien pour vanter les bienfaits de la grenade. Bon, avec tous ces polyphénols et ceux du vin, on devrait pouvoir s’en sortir non ? - L'Académie de Médecine ne change pas en bien
12/06/2018 11:07
LAGUENS
ET , plus globalement, étant donné l'existence d'autres structures comme la HAS, ou a fortiori de comités de lecture comme Prescrire, a-t-on encore besoin d'une "académie" qui fait une redondance particulièrement inutile, un "machin" de trop ? - L'Académie de Médecine ne change pas en bien
11/06/2018 20:50
Hermine
Merci ! Belle démonstration là encore d’une académie en perdition ! A espérer jusqu’à la déconfiture... Je relaie sur réseaux et abonnée Mediapart ...!!! - Médecines complémentaires : Une déclaration de guerre?
08/06/2018 16:11
Inoxydable
A mon humble avis de non-médecin mais de patient : très bon raisonnement. Mais vous dîtes " Mais la formulation du principe de similitude semble être scientifiquement testable. Pour quelles raisons, personne n’a repris le chemin expérimental de Hahnemann, ne serait-ce que pour le valider avec des outils modernes ? De manière générale, il semble possible de pouvoir tester un certain nombre de principes fondamentaux sur lesquels se basent les médecines alternatives et on imagine sans difficulté l’intérêt que cela représenterait." Moi je dis : en attendant on fait quoi ? Ma petite fille âgée de 4 ans et demi maintenant est soignée depuis 6 mois par un médecin homéopathe en raison pathologies broncho pulmonaires à répétition depuis plus de 2 ans ( en fait, depuis ses premiers vaccins, mais bien sûr ce n'est pas prouvable..;) Résultat : Plus rien, plus de bronchite nécessitant une hospitalisation, plus de rhume, pas de grippe cette année, une énergie et une vie époustouflante ! Ce n'est plus la même enfant, elle déborde vie, de fantaisie etc... Effet placebo ? Elle ne sait pas encore bien lire comme tous les enfants de son âge, elle ne sait même pas ce que sont petites "boulles blanches" qu'elle avale tous le jours sinon que ce sont ses médicaments… Elle prenait des médicaments allopathique auparavant sans effet sur elle, un effet placebo aurait pu fonctionner non ? ce n'était pas le cas. Alors, faut-il attendre d'hypothétiques études "scientifiques " sur l'homéopathie pour savoir à coup sûr comment elle fonctionne ? e il existe nombreux médicaments allopatiquement scientifiques dont on ne connaît pas davantage le mode d'action ni pourquoi ils agissent … parfois. Quid ? En conclusion Vive l’effet placebo, vive la liberté pour se guérir et vive l’intelligence ! - Médecines complémentaires : Une déclaration de guerre?
06/06/2018 15:35
Philippe VENTROU
Je n’ai malheureusement pas pu lire in extenso l’article dont parle le docteur Chivilo mais les quelques paragraphes commentés sur le net montrent une fois de plus que le monde scientifique peut être violent lorsqu’il estime que son espace vital est violé ! Mais la réponse du docteur Chivilo me paraît symétrique, c’est-à-dire émotionnelle. Il faut tenter de répondre à plusieurs questions à mon avis fondamentales pour essayer de ramener peut-être un peu de paix dans les débats Quelles sont les effets déclenchés par l’acte de prendre soin de quelqu’un ? Aujourd’hui, je pense que tout le monde est d’accord pour dire que l’effet guérisseur est double. Il y a d’abord le merveilleux effet endogène qu’est le placebo ; il montre parfaitement bien que notre psychisme a une action déterminante sur nos capacités à s’auto-guérir (partiellement ou totalement) et que nos capacités d’autonomie sont assez grandes. En tant que médecin « allopathe », je suis toujours et encore ravi par l’idée que le vrai « guérisseur » est d’abord la personne malade et que le professionnel peut non seulement apporter un complément d’aide mais aussi (et surtout) contribuer à augmenter les capacités d’autonomie du « guérisseur ». Pouvoir motiver et permettre à chacun de se donner le droit d’acteur de sa guérison, n’est-ce-pas proprement merveilleux et démocratique ? Il y a ensuite un effet exogène qui est lié à l’action propre de la technique de soin utilisée. L’art de soigner -et donc de guérir- résulte de la combinaison variable de ces deux effets. L’art de soigner procède-t’il d’une démarche scientifique ? L’art de soigner est fondé sur la promesse d’un résultat objectivement quantifiable et, à ce titre, relève de l’investigation scientifique comme démarche hypothético-déductive. Je ne suis pas certain que tout le monde soit d’accord pour affirmer que seule la démarche scientifique permet de mesurer l’efficacité d’une action de soin. Je crois qu’il s’agit de la question centrale dans ce débat et qu’il faut y répondre avec précision, c’est-à-dire se positionner clairement en faveur d’un raisonnement inductif (Hippocrate) ou hypothético-déductif (Karl Popper). Le problème est que souvent des deux raisonnements se chevauchent dans les débats alors qu’ils ne sont que peu conciliables, sauf au début de la démarche scientifique où l’hypothèse testée résulte parfois d’un raisonnement inductif basé sur des données observationnelles voire intuitives. En tant qu’humaniste, je crois fermement dans la valeur de la science qui permet de différencier ce qui est de l’ordre d’une certaine et temporaire vérité et de l’hypothèse (qui, si elle acceptée sans validation, s’appelle une croyance). Et dans les limites que la science a elle-même largement définies ; car beaucoup de questions ne relèvent pas de l’investigation scientifique. Dans ce sens, la science n’est alors qu’une technique de recherche de la vérité dans le domaine des faits objectifs, une technique solide de vérification d’hypothèses observables. Faut-il réduire l’art de soigner à une démarche scientifique ? Les deux effets induits par l’acte de soin sont des observables et n’échappent donc pas à la lecture scientifique. Cependant, l’acte de soin ne peut pas se réduire à une démarche scientifique dans le sens où cette dernière étudie des phénomènes collectifs ; elle est résolument aléatoire dans le sens où elle utilise la cadre de la mathématique statistique en donnant des conclusions solides sur une tendance moyenne. Au niveau individuel, on ne soigne pas un groupe de personnes ayant des caractéristiques communes mais UNE personne avec son histoire, sa génétique et la société dans laquelle il évolue. On n’est donc plus du tout dans un contexte scientifique où, de plus, la guérison prononcée par le professionnel de soin ne correspond pas forcément à celle demandée par la personne déclarée malade. Un diabétique dont les chiffres glycémiques sont normalisés au prix d’une hygiène de vie contraire à ses habitudes de vie, de médicaments aux effets indésirables divers et d’une dépression réactionnelle à l’énergie dépensée pour être un « bon malade » est-il guéri ? Sur le plan du soin, sur quels critères évaluer une démarche thérapeutique ? La réponse est simple : seules des études interventionnelles conduites et analysées dans les règles de l’art permettent de conclure à quelque chose de fiable. Les études observationnelles ne permettent le plus souvent que de dénicher des hypothèses vérifiables par des études interventionnelles, c’est-à-dire falsifiables dans le langage poppérien. La médecine conventionnelle est-elle purement scientifique ? Les enjeux de pouvoir ou d’existence font que la démarche de la médecine conventionnelle n’est pas uniquement scientifique ! D’où la violence des propos, les mensonges ou les demi-vérités… mais aussi l’ignorance dont elle s’accommode très bien sous l’apparence d’un pseudo-savoir. Certains raisonnements ne sont d’ailleurs pas très éloignés de ceux critiqués par Molière dans « Le bourgeois gentilhomme ». En tant que médecin généraliste, je me suis souvent demandé quel était le pourcentage de propos validés que je colportais auprès des personnes qui avaient besoin de mes services. Impossible de la savoir ! Une seule certitude : je mesure au fil des ans le nombre de mes certitudes qui s’écroulent sous les assauts de l’investigation scientifique des lanceurs d’alerte et indépendants. Je réalise que mes connaissances sont fondées sur un intolérable mix inductif/hypothético-déductif. Splendeur et misère de la médecine conventionnelle ! Une médecine capable d’énoncer des vérités, de dénoncer des erreurs de jugement mais aussi capable de se laisser aller au mensonge et à la paresse intellectuelle. Au nom de préoccupations égotistes. Les médecines alternatives sont-elles purement scientifiques ? Oui et pour les mêmes raisons que leur sœur conventionnelle. Sur quels critères la société peut-elle accepter d’être financièrement solidaire d’un acte de soin? Sur le critère scientifique et uniquement sur ce critère. Si les médecines alternatives continuent à penser qu’elles ne peuvent être soumises à l’analyse scientifiques, alors je suggère qu’elles soient rebaptisées « médecines hippocratiques » et qu’elles soient traitées comme des religions : avec un grand respect mais ne pouvant sortir de la sphère privée. J’entends souvent que l’homéopathie ne peut être scientifiquement investiguée en raison de sa structure propre et que les études menées par les allopathes n’ont pas de valeur. Mais la formulation du principe de similitude semble être scientifiquement testable. Pour quelles raisons, personne n’a repris le chemin expérimental de Hahnemann, ne serait-ce que pour le valider avec des outils modernes ? De manière générale, il semble possible de pouvoir tester un certain nombre de principes fondamentaux sur lesquels se basent les médecines alternatives et on imagine sans difficulté l’intérêt que cela représenterait. En conclusion Vive l’effet placebo, vive la liberté pour se guérir et vive l’intelligence ! - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
06/06/2018 08:19
Inoxydable
Merci à vous trois et à ceux qui apprécient mes articles, merci également à Pascal le Webmaster pour la mise en forme et les belles photos sélectionnées. je viens tout juste de passer le cap de mes 70 ans et j'espère pouvoir encore longtemps faire de belles promenades dans les montagnes de notre belle Europe et ailleurs avec mon épouse et parfois ma famille. Le Camping Car s'y prête et le jardin n'a même plus besoin d'être arrosé cette année avec cette pluie. Seul bémol : mon petit accident de tendon d'Achille m'empêchera cet été de crapahuter vers les sommets pour y cueillir, myrtilles, framboises fraises des bois et merises. je me contenterai des mûres sauvages en fin août. Passez un bon été méditerranéen. Inoxydablement vôtre. - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
05/06/2018 14:19
aubepine21
Depuis longtemps je savais que la nature nous offre une mine de trésors ... merci à Inoxidable de nous le rappeler de temps à autre. En plus je suis heureuse de pouvoir mettre un visage sur ce "pseudo" ... Merci. - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
05/06/2018 12:17
Sabine
J'aimais déjà beaucoup les framboises mais là je comprends pourquoi. L'organisme sait aussi reconnaître ce qui lui va bien. Je n'ai pas fini de faire le tour de mon jardin ! - Prêt pour la cueillette de la framboise... Alors, suivez moi !
05/06/2018 10:44
Hermine
Envie de la ramener parce que j’ai été saoulée de polyphenols rien qu’en vous lisant et comme je suis une adepte de la framboise je suis dans un état second qui perdure ! Bravo pour ce bel article et merci infiniment - Assemblée générale du 23 juin 2018
29/05/2018 17:47
Inoxydable
Bis. :Pas de bol pour moi docteur. Juste à cette date ma fille déménage de la région parisienne, pour revenir dans le sud, mutation acceptée et on ne sais pas encore pour quelle ville, j’ai même annulé mon voyage à Rome; pour une prochaine fois…. - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
24/05/2018 04:42
Didier Moulinier
gageons que nous allons trouver ce couple de moinillons rapaces au conseil d'État puis au conseil de l'ordre des dentistes et des medecins afin de leur garantir une rente à vie nette d'impôts. Je suis bien placé pour en parler pour avoir été victimes à plusieurs reprises victimes de ce genre d'oiseaux malfaisants Dr Didier Moulinier - Médecines complémentaires : Une déclaration de guerre?
23/05/2018 11:10
OLIVAUX Yann
Bonjour, Historiquement l'hypothèse des domaines de cohérence dans l'eau pour expliquer le stockage de l'information moléculaire électromagnétique dans les domaines de cohérence de l'eau revient à 2 physiciens italiens aujourd'hui disparus ( Del Guidice et Preparata) : https://www.researchgate.net/publication/13249471_Water_as_a_Free_Electric_Dipole_Laser - Médecines complémentaires : Une déclaration de guerre?
23/05/2018 11:03
OLIVAUX Yann
Pour information sur les hautes dilutions (au delà du nombre d'Avogadro ie 12 CH), voici un article sur le dogme de la matière : https://lanaturedeleau.blogspot.fr/2016/07/dossier-2-memoire-de-leau-hautes.html - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
22/05/2018 07:50
Jean Bretonelle
Merci de la clarté de cet exposé qui valide ce que nombre d'entre nous comprenait intuitivement. Maintenant il faut agir. Il semble qu'au moins deux recours judiciaires sont déposés. Soutenons les. - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
20/05/2018 18:19
Inoxydable
Cher docteur, cet Opus est vraiment taillé à coups de cognée de bûcheron. La souche finira par se fendre, foi d'expert en la matière. Belle analyse qui démontre bien la complaisance, que dis-je, la complicité de de nos plus hauts responsables de la santé et du … cocufiage de ceux qui ont laissé faire et laissent toujours faire et surtout du "bas peuple" et de ses intérêts de santé vu que ce ne sont que les intérêts financiers qui priment - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
18/05/2018 14:43
Gilles Marie Leroy de La Brière
Les hôpitaux sont à bout de souffle, les décès évitables se multiplient, la durée de vie commence à baisser, les scandales se multiplient, les intérêts financiers tuent la médecine, il est temps de réagir. La collusion entre politiques et industriels et commerçants conduisent à la dictature. Les hommes politiques ne sont plus les garants des intérêts généraux. Marie Leroy - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
18/05/2018 14:15
Dernelle
Il nous manque des chevaliers Jedi pour faire le ménage ! - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
18/05/2018 10:54
burlet
Merci. J'entre un lien dans notre prochain article sur Acteur-Nature.com sur les vaccinations. Nous avons un rôle de journaliste et c'est avec plaisir que nous relayons car pour le grand public le sujet est complexe. - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
18/05/2018 09:28
Monika Mars
Merci, j'ai partagé ! ... https://www.facebook.com/toutestpourlemieux/ - Du rififi au plus haut niveau de l'administration de la Santé
17/05/2018 21:19
Hermine
Bravo à la rédaction de nous instruire en condensant parfaitement ce que j'ai déjà entendu et qui relate en filigrane la fusion d'une connivence entre élites d'Etat et élites privées ... Un même agenda, un seul patron et la disparition de l'intérêt général ... Un tel article devrait faire réagir .... le 26 mai ? - Les vaccins, ça ne rapporte rien aux laboratoires ?
12/05/2018 21:50
Hermine
On s'en doutait bien un petit peu 🙂 Bravo et merci de nous rapporter une démonstration aussi magistrale ! - Très déçus par le FORMINDEP!
11/05/2018 15:43
Lucienne
Je reviens, tardivement, sur les commentaires postés entre le 19 et le 21 avril par Christine, Dreamer et Bernard Guennebaud, le sujet de leur discussion étant : comment prouver ? C’est parce que nous n’avons pas pu prouver que notre action en justice s’est terminée au pénal par un non-lieu. Est-ce qu’on peut prouver scientifiquement en médecine ? Est-ce que la médecine est une science exacte ? Prouver par des statistiques ? Prouver par des calculs mathématiques comme Bernard s’y emploie ? D’autres partent de l’observation et se posent des questions très évidentes et très simples : combien de cas connus ? Dans quel délai ? Si en effet on limite sa recherche à un temps limité (2,3 ou 4 ans suivant la vaccination) et qu’on compare aux années antérieures, on peut rendre visible un « pic ». Si on dilue sur un temps plus long, le pic disparaît. Ce pic peut-il constituer une preuve ? On pourra toujours vous objecter qu’il s’agit là encore d’une "coïncidence". D’autres éléments ont pu le provoquer, une canicule par exemple ou une intoxication alimentaire ou un Rafale qui vous a traumatisé en passant au ras de votre maison. C’est cependant un indice. Notre premier indice. Cherchons en d’autres et prenons l’exemple de la SLA. Il faut d’abord savoir que la survie moyenne avec une SLA est de 3 à 4 ans (Stephen Hawking est une exception extrêmement rare comme l’était aussi sa SLA, très probablement une SLA dite « primitive », c’est-à-dire n’enlevant pas d’espérance de vie). Si donc quelqu’un a été vacciné en 1996 et qu’il meure en 1999 ou en 2000, on a un indice. Notre deuxième indice. Examinons à partir de deux sources : 1/ les courbes dont parle Christine (celles de la CNAM je pense car il n’y en a pas d’autres) qui sont très parlantes. On ne peut pas réfuter le fait parfaitement documenté que les "maladies neurologiques graves" (principalement la SLA, la SEP étant classée à part) ont passé de 5849 cas de en 1990 à 8350 en 1997 (1ère année après la vaccination de 1996) et à 15607 en 2001. Elles ont triplé en 10 ans mais se sont accrues surtout après 1997. On retrouve le pic. A titre de comparaison, exactement dans la même délai, les cas de SEP sont passés de 2536 en1990 à 3399 en 1997 et à 4232 en 2001. Ils ont doublé, mais on retrouve le pic qu’a parfaitement identifié le Dr Dominique le Houézec pour la SEP (seule maladie ayant intéressé des chercheurs, ce qui est très frustrant pour les autres). Nous avons donc un troisième indice. 2/ les publications de de l’ARSLA (Association pour la recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique). Elles ont contenu jusqu’en 2000 une notice nécrologique. On savait qui était mort. Brutalement en 2000, on arrête tout. Est-ce par manque d’encre ou de papier ? N’est-ce pas plutôt pour éviter de démoraliser les malades qui la lisent et découvrent qu’elle devient de plus en plus longue ? Ainsi, la notice de novembre 1997 annonce 19 décès. En seulement quatre mois, de juillet à octobre 1998, il y en aura 69. Puis en 1 an, d’octobre 1998 à octobre 1999 : 79, et en 2000, en seulement 6 à 7 mois : entre 108 et 109. Soit au total pour les deux seules années 1999-2000 : plus de 160 décès. Après, on ne sait plus rien. Troisième indice confirmé. Quatrième indice : les chiffres des adhésions à l’ARSLA : 1000 adhérents en 1989, 1500 adhérents en 1993, 3000 adhérents en 1998, 4000 adhérents en 1999. Ils ont doublé entre 1997 et 1999, et quadruplé en 10 ans. .(chiffres confirmés par les revues de l'ARSLA n° 36 page 3 ; n°38 page 3 ; n°52 page 3). Or on n’adhère pas à l’ARSLA comme au club Méditerranée. Cinquième indice : il n’y avait que 2 centres SLA en France jusqu’en 2000, la maladie étant considérée jusque là comme rare. L’afflux des malades est devenu si important à partir de 1997 qu’ils n’ont plus suffi à recevoir tout le monde. En 2000, 17 centres SLA supplémentaires ont été créés dans l’urgence. Régine Artois, dans un article du Monde en date du 1er janvier 2002, écrivait que le service de la Salpêtrière, à lui tout seul, recevait « chaque année environ 900 personnes touchées par la SLA, ce qui constitue le plus grand recrutement du monde ». Etonnant ? La France n’avait-elle pas été le pays qui avait le plus vacciné au monde ? Cinq indices, est-ce qu’à défaut de preuve, ils ne pourraient pas au moins constituer un faisceau de présomptions ? Puisque la preuve scientifique est hors de portée, reste la preuve juridique. Trois conditions sont nécessaires : « qu’il y ait proximité temporelle entre l’administration du vaccin et la survenue de la maladie, absence d’antécédents médicaux personnels ou familiaux, et existence d’un nombre significatif de cas répertoriés de survenance de cette maladie à la suite de telles administrations pouvant constituer des indices suffisants pour établir une telle preuve ».(décision de la Cour de justice européenne en 2016, et jurisprudence déjà appliquée par le Conseil d’Etat pour les victimes de vaccination obligatoire). A quoi il faut ajouter que le mis en examen doit pouvoir prouver le contraire. Le problème est dans la sous-notification des "cas répertoriés". Pour la SEP, un coefficient de sous notification a été établi : 2,8. Pour les autres maladies, rien. La sous-notification peut aller jusqu’à ne notifier qu’1 cas sur 100, voire rien. C’est l’arbitraire le plus complet. Au point même que, pour les SLA, il n’y a eu, dans certains cas, aucune notification. C’est ce qui s’est passé précisément à la Salpêtrière. Le neurologue chef du service a reconnu en 2007 devant le juge d’instruction qu’il n’avait notifié personne, ne jugeant pas utile de le faire. C’était pourtant là que s’était produit le plus grand afflux de malades, comme on l’a vu. Comme sa grande compétence en matière de SLA faisait de lui un modèle pour ses confrères neurologues, il est probable que beaucoup ont suivi son exemple. Ce qui est sûr c’est que ce grand patron était en conflit d’intérêt avec le laboratoire qui fabriquait le remède qu’il avait mis au point, et que ce même laboratoire finançait l’ARSLA dont il était le conseiller scientifique. Nous ne manquons pas d’indices suffisants par leur nombre et leur gravité pour qu’ils aient, au moins devant les tribunaux, valeur de preuve. Celui-ci encore : quand une quinzaine de ces malades, soutenus alors par le Pr William Camu (spécialiste de la SLA à Montpellier) ont demandé que soit établie une liste comparative vaccinés versus non vaccinés pour y voir plus clair, il leur a été répondu par l’ARSLA, avec assentiment de ce grand patron, que la CNIL s’y opposait. Interrogée, la CNIL a démenti avoir jamais été contactée (saisine n 0100152B en date du 15 février 2001). Qui présidait alors l’ARSLA ? Une certaine Mme F. parachutée de l’industrie pharmaceutique lyonnaise. Le feu était à la maison : il fallait faire taire tout le monde, décourager les malades qui posaient des questions dérangeantes. Elle y est si bien parvenue qu’ils n’osaient plus parler de peur d’être mal soignés. J’en ai connu plusieurs qui n’osaient même pas me dire leur nom. Quelques années plus tard, au printemps 2005, un des laboratoires allié au fabricant du vaccin rachètera mon éditeur, le Rocher, et exclura de la vente mon témoignage : "le Dossier noir du vaccin hépatite B". En 2010, apprenant que le Pr Emmanuel Hirsch est devenu président de l’ARSLA, nous sommes trois à lui demander audience. Nous avons en effet appris qu’il était Professeur d'éthique médicale, Directeur de l'Espace éthique/IDF etc. Nous espérons donc que 10 ans après les faits, il consentira à faire la lumière sur ce qui s’est passé. Il nous a reçues aimablement, nous a dit qu’il fallait se tourner vers l’avenir et qu’on ne reviendrait pas sur le passé. Fermer le ban. Aujourd’hui, l’Engérix a disparu après un long règne. Le vaccin hépatite B est toujours largement vendu dans le monde entier, destiné surtout aux enfants, de moins en moins aux adultes. Bernard Kouchner sait pourquoi. Mais ni les notices de l’Infanrix hexa ni le Vidal ne signalent le risque d’une "maladie neurologique grave", type SLA. Le silence continue. Il est vrai que la fiche de pharmacovigilance de mon mari, adressée naïvement en 1997 au fabricant par le médecin vaccinateur a disparu. Marc Girard n’a pas réussi à la retrouver. Mais d’autres sont parvenues à l’ANSM. Elles ont servi à quoi ? Peut-on parler d’un complot très organisé du silence ? Je le pense. Mais pour en revenir aux explications proprement scientifiques, voici au moins deux pistes : L’aluminium : 1/ InVS : « de nombreuses études montrent à présent que l’aluminium peut être toxique pour les plantes, les animaux et l’homme » (rapport 2003 de l’Institut national de Veille Sanitaire français). 2/ Ministère de la Santé : " l'adjuvant aluminique fait encore l'objet de débats scientifiques. Je souhaite que la recherche se poursuive sur la présence d'aluminium dans les vaccins. Il nous faut être particulièrement attentifs aux signaux d'alerte qui nous sont envoyés même lorsqu'ils sont de faible intensité" (Marisol Touraine, propos rapporté par l'AFP le 27 novembre 2012). 3/Académie française de médecine : « Il existe un consensus pour considérer l’aluminium comme un produit neurotoxique de façon aiguë. » (rapport sur les adjuvants vaccinaux (juin 2012) 4/ OMS et les adjuvants : « Les questions concernant l'innocuité exigeront une connaissance approfondie des effets des adjuvants sur la réponse immunitaire et les mécanismes associés. La réglementation actuelle devra tenir compte des données scientifiques nouvelles concernant les adjuvants. L'innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé. Dans la mesure où les adjuvants ont leurs propres propriétés pharmacologiques, susceptibles de modifier l'immunogénicité et la sécurité des vaccins, l'évaluation de leur innocuité est indispensable. » (relevé épidémiologique du 16 juillet 2004). 5 /Déjà la FDA le 21 août 1987. La Food and Drug Administration présentait un rapport sur les questions de sécurité concernant les composés d’aluminium utilisé dans les extraits allergéniques. Le texte est explicite : « l'augmentation signalée des cas d’Alzheimer et de SLA endémiques peut être en relation avec un empoisonnement par une lente accumulation d'aluminium (…) les niveaux d’absorption d'aluminium signalés dans certaines de ces études sur les maladies osseuses peuvent être atteints avec des extraits allergéniques adsorbés sur aluminium (…) Certains vaccins adsorbés sur aluminium (…) sont donnés comme mettant la vie en danger et ajoutent à cette charge ». On peut en citer bien d'autres encore... ne serait-ce que le Pr Bouvenot qui dénonçait, en 1995, "dans les cas de neuropathie motrice avec signes d'auto-immunité classées syndromes de type SLA, la responsabilité de l'aluminium dans le déclenchement de la maladie" Et le chercheur canadien Christopher Shaw : "Aluminum hydroxide injections lead to motor deficits and motor neuron degeneration" - Journal of Inorganic Biochemistry – 2009. Version française disponible ici : http://www.myofasciite.fr/Contenu/Divers/200911_Shaw.pdf . Extrait : "Les souris traitées à l’aluminium ont montré une augmentation significative de l’apoptose des neurones moteurs. (…) La neurotoxicité prouvée de l’hydroxyde d’aluminium et son ubiquité relative en tant qu’adjuvant semblent justifier une surveillance accrue de la part de la communauté scientifique". l'ANSM a interdit l'aluminium dans les cosmétiques et Mérial fabrique pour chats des vaccins sans aluminium ! L’antigène lui-même : Expérimentalement, le virus de l’hépatite B purifié peut promouvoir directement in vitro la prolifération de dépôts de complexes immuns dans les tissus. Si le virus de l’hépatite B est capable de déclencher une affection auto-immune, pourquoi l’un de ses composants principaux, à savoir l’antigène de surface du virus (antigène HBs) ne serait-il pas capable d’en faire autant ? Merci d’avoir bien voulu me lire.