- Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
19/04/2022 12:21
Minna
Cher Bernard Guennebaud, je parle évidemment des vaccins EN GENERAL, la variole ayant été la première maladie concernée. Le principe étant le même pour tous les vaccins, je veux dire qu'il s'agit de la même erreur méthodique, depuis le début, avec le même irrespect pour les "objets" d'expérience, humains ou non. Un article à lire : J.B. FRESSOZ https://journals.openedition.org/traces/5368 De même, votre site a publié le 25 décembre 2021, un article exhaustif du Dr Broussalian. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 23:06
nad
CJ: Mais alors comment expliquez-vous la séroposivité et le SIDA des hémophiles ? EPE: Mes collègues et moi-même avons publié plusieurs articles sur ce sujet. Nous donnons plusieurs explications possibles. Dans un numéro spécial de la revue Genetica de 1995 qui traite de la controverse VIH/SIDA nous faisons même une analyse détaillée de l'hémophilie. CJ: J'avoue accepter difficilement que les hémophiles n'aient pas été infectés par du facteur de coagulation contaminé. Et je parie qu'il en est de même pour les hémophiles concernés. EPE: Malheureusement, c'est la vérité. Mais peut-être serez-vous persuadée par une petite explication rapide. Dites-moi, si un séropositif se couper et saigne, combien de temps son sang demeure t-il infectieux ? A l'extérieur de son corps ? CJ: D'après ce que j'ai lu, quelques heures tout au pIus. EPE: Et pourquoi? CJ: Parce que le VIH sèche et meurt. C'est du moins ce que dit le Centre Mondial de Surveillance des maladies Infectieuses (CDC). EPE: Effectivement. Maintenant, permettez-moi de vous poser une question: Comment est préparé le Facteur VIII? CJ: A partir des dons du sang. EPE: Exact. Avez-vous déjà vu un flacon de Facteur VIII ? CJ: Non. EPE: Eh bien je vais vous le décrire: Il se présente comme une poudre jaunâtre sèche, floconneuse et au moment où il est utilisé il a déjà au moins 2 mois de stockage. Vous voyez le problème? CJ: Je vois. S'il est dessiqué et vieux de plusieurs mois. Le VIH qu'il contient est mort depuis longtemps. EPE: Evidemment. Comment fait donc le Facteur VIII pour causer infection VIH et SIDA chez les hémophiles ? CJ: Je ne sais pas, mais je commence à comprendre pourquoi vous êtes mal vue dans certains milieux! Nous ferions peut-être mieux de ne pas nous laisser entraîner dans une discussion sur l'hémophilie. J'ai une autre question. C'est à propos du contenu de la bande 1.16gm/ ml. : Comment se fait-il, d'après vous, que la plupart des experts en VIH l'aient pris pour du VIH pur. Du moins jusqu'à tout récemment ? http://www.sidasante.com/science/scielen1.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:59
nad
Commentaire 22. Nous sommes d'accord avec la déclaration : "l'analyse des protéines du virus demande une production massive et la purification. Il est nécessaire de le faire". À cet égard, l'échec de Montagnier et de ses collègues n'est pas partiel, il est TOTAL. Si "l'analyse des protéines du virus demande une production massive et la purification", il en va de même de l'analyse des acides nucléiques, du clonage, etc. Si on ne parvient pas à purifier le virus, alors on ne parvient pas non plus à : (a) caractériser les antigènes viraux et obtenir un étalon incontestable de la réaction anticorps-antigène, c'est-à-dire qu'on ne peut pas utiliser des tests d'anticorps pour définir l'infection par le rétrovirus; (b) obtenir et caractériser les acides nucléiques rétroviraux, ARN (cADN), ce qui a pour conséquence qu'on ne peut pas utiliser les tests moléculaires pour définir une infection rétrovirale puisqu'on ne dispose ni des sondes ni des promoteurs pour l'hybridation et les études PCR (Polymerase Chain Reaction). Ceci est reconnu par Donald Francis, chercheur qui a joué avec Gallo un rôle important dans le développement de la théorie selon laquelle le SIDA serait provoqué par un rétrovirus. En 1983, alors qu'il était responsable des activités du Laboratoire du SIDA au Center for Diseases Control des U.S.A. après avoir été responsable du programme variole à l'OMS, Francis travaillait sur l'hypothèse d'une cause virale du SIDA : "On doit recourir à des méthodes de détection plus élaborées qui permettraient, par quelque moyen spécifique, de "voir" un virus. Des substances spécifiques, tels qu'un anticorps ou des acides nucléiques, permettraient d'identifier des virus même si les cellules restent vivantes. Mais le problème, c'est qu'on ne peut développer de telles méthodes que si l'on sait ce que l'on cherche. Si on cherche un virus connu, on peut vacciner un cobaye, par exemple, avec du virus pur… Mais il est évident que si nous ne savons pas quel virus nous recherchons et qu'il est donc impossible de provoquer la formation d'anticorps dans le cobaye, de telles méthodes deviennent bien difficiles à mettre en œuvre… car cela reviendrait à chercher quelque chose qui n'existe peut-être pas en utilisant des techniques qui ne marchent peut-être pas"(77) (italiques d'Eleni Papadopulos-Eleopulos et al)http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:56
nad
Rappel 18. DT : Pourquoi ne pas avoir purifié ? LM : Je le répète, nous n'avons pas purifié. Nous avons purifié pour caractériser la densité de la transcriptase inverse, qui était nettement celle d'un rétrovirus.Mais nous ne sommes pas arrivés à avoir le pic… ou ça n'a pas marché… parce que si vous purifiez vous endommagez. Pour les particules infectieuses, il vaut donc mieux ne pas trop les tripoter. Vous prenez donc simplement le surnageant d'une culture de lymphocytes qui a produit le virus et vous en mettez une petite quantité dans une autre culture de lymphocytes, et ainsi de suite. Vous transmettez le rétrovirus en série, vous obtenez toujours les mêmes caractéristiques et vous augmentez la production à chaque fois que vous faites cette transmission. Commentaire 18. 1. S'ils n'ont pas purifié les particules, pourquoi n'ont-ils cessé de prétendre l'avoir fait jusqu'à cet interview ? 2. Il est exact qu'ils ont fait état d'un pic d'activité RT à la densité de 1,16g/ml, c'est-à-dire à la densité à laquelle ils ont prétendu avoir "purifié et identifié le virus". Mais comment est-il possible d'affirmer que l'activité RT "était nettement celle d'un rétrovirus" alors qu'ils ne sont "pas arrivés à prendre le pic… ou ça n'a pas marché", c'est-à-dire alors qu'ils n'ont pas trouvé à ce pic de particules ressemblant de près ou de loin à des rétrovirus, et encore moins des rétrovirus proprement dits ? Pour transmettre un rétrovirus d'une culture à une autre, il faut commencer par avoir la preuve de la présence d'un rétrovirus dans la première culture. "Transmettre" des phénomènes non spécifiques ne prouve en rien qu'on a transmis un rétrovirus. En outre, puisque tous les phénomènes que Montagnier et ses collègues ont considérés comme preuve de l'existence d'un rétovirus, y compris l'activité RT et la présence de particules ressemblant à des virus (virus-like) peuvent se produire d'eux-mêmes, de novo, dans les cultures (et tout particulièrement dans les conditions de culture qu'ils ont utilisées), ils ne peuvent absolument pas prétendre avoir fait la preuve qu'ils ont transmis quoi que ce soit. Comment Montagnier et ses collègues savaient-ils que s'ils avaient pris la peine de mettre en place les contrôles corrects, les mêmes phénomènes ne se seraient pas produits dans les cultures de lymphocytes provenant de sang d'un donneur ou de cordon ombilical non "infectés" par le "VIH" ?http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:52
nad
Dans l'étude prospective qui débuta en 1990, elle déclara : "Nous avons suivi 175 couples VIH-discordants (c'est-à-dire dont l'un des partenaires était séronégatif alors que l'autre était séropositif) pendant une durée d'environ 282 couple-années… Le suivi le plus long comporta 12 visites (6 ans). Nous n'avons observé aucune séroconversion au cours de cette étude… Il est probable qu'à mesure que l'étude avançait, les couples s'abstenaient de plus en plus de rapports sexuels ou utilisaient systématiquement des préservatifs… Néanmoins, lors de la dernière visite de contrôle, seuls 75% des couples déclarèrent avoir utilisé systématiquement des préservatifs au cours des 6 mois précédents". Il est à noter que seule l'étude transversale a fait état de cas de séroconversion et que ces cas étaient antérieurs à 1990. Or : (i) tous les experts en "VIH" s'accordent à dire que la spécificité des tests utilisés à cette époque était inférieure à celle des tests d'aujourd'hui; (ii) les critères du Western-Blot en vigueur à l'époque pour définir "l'infection" sont aujourd'hui considérés comme insuffisants pour la définir. Même si l'on accepte les données de Padian et al en ce qui concerne l'étude transversale, ils ont estimé que le risque pour un homme non infecté d'être contaminé par le "VIH" lors d'un rapport sexuel avec une femme infectée est de 0,00011 (1/9 090). Ceci signifie qu'en moyenne un homme non infecté qui aurait un rapport sexuel par jour avec une femme infectée, et ceci pendant 12 années, n'aurait qu'une chance sur deux d'être contaminé. Si la fréquence de ses rapports était de 1 par semaine, il pourrait continuer ses ébats pendant 87 années en n'ayant toujours qu'une seule chance sur deux d'être contaminé. Dans de telles conditions, on peut se demander comment le "VIH" pourrait devenir épidémique du fait de sa transmissibilité bi-directionnelle hétérosexuelle. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:51
nad
Nancy Padian, du Département d'épidemiologie et de biostatistiques de l'Université de Californie, a mené les études à ce jour les plus poussées sur la transmission hétérosexuelle. Commentant l'étude de Redfield et al ainsi que d'autres études qui prétendaient avoir établi la preuve de ce mode de transmission, elle écrivit en 1991 : "Il se peut que ces études n'aient pas suffisamment pris en compte le rôle majeur joué par les modes de transmission non sexuels tels que les risques associés à l'usage de drogues par voie intraveineuse. Des cas qui à première vue semblent devoir être attribués à une transmission hétérosexuelle s'avèrent, après un interrogatoire plus poussé, être dûs à une autre source… Parce que, par définition, les études portant sur des partenaires sexuels ne se conforment pas à la règle d'échantillonnage aléatoire et que la plupart des résultats dont il est fait état se basent sur des analyses rétrospectives ou transversales, certaines études peuvent privilégier (parce que leur identification est plus facile) la sélection de couples dont les deux partenaires sont infectés, ce qui fausse les taux de transmission qu'on en dérive. Il est en outre souvent difficile d'établir l'origine de l'infection chez ces couples. Lorsqu'on ne dispose que de trop peu de données prospectives ,ce qui était le cas pour la plupart de ces études, l'un des seuls moyens d'éviter que les résultats ne soient faussés consiste à recruter des couples monogames en ne connaissant pas, lors du recrutement, le statut sérologique d'un des partenaires".(56) De fait, les études prospectives ne sont pas nombreuses mais aucune n'a fourni la preuve que le "VIH" soit sexuellement transmissible.(57-58) L'étude de Padian et de ses collègues, incontestablement la plus longue et la meilleure de son genre, s'est étendue sur dix années au cours desquelles aucun effort ne fut épargné en vue de prouver que le "VIH" est transmissible par voie hétérosexuelle.(59) Cette étude comprend deux parties, l'une transversale et l'autre prospective. Dans la première, pour 360 femmes dont le partenaire masculin était infecté, "le risque moyen de transmission d'homme à femme fut estimé à 0,0009 par rapport sexuel" (c'est-à-dire 1 chance sur 1 111). Les facteurs de risque de séroconversion étaient : (i) les rapports anaux (Montagnier lui-même a montré que des personnes séropositives peuvent redevenir séronégatives et le nombre de leurs cellules T4 revenir à la normale par la simple cessation des rappports anaux, ce qui signifie que le passage à la séropositivité n'était pas due à un rétrovirus); (ii) le fait que le partenaire ait été contaminé par usage de drogues (Padian elle-même dit que ceci signifie que la femme fait probablement aussi usage de drogues par voie intraveineuse); (iii) la présence chez la femme de MST (maladies sexuellement transmissibles) car les anticorps des microbes qui les provoquent peuvent donner lieu à réaction croisée avec les protéines du "VIH".(31) Sur 82 hommes séronégatifs partenaires de femmes séropositives, deux seulement devinrent séropositifs. Padian et son équipe estimèrent que la probabilité de transmission de la femme à l'homme était 8 fois plus faible que pour la transmission de l'homme à la femme. Padian elle-même a émis des doutes sur les deux cas de séroconversion précités. Pour le premier, elle donna plusieurs explications en 1991 lorsque ce cas fut mentionné pour la première fois. Pour le second cas, elle attira l'attention sur la coïncidence frappante qu'il y avait entre la contamination par les chlamydia et le passage à la séropositivité. http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:50
nad
Tout le monde reconnaît aujourd'hui qu'aussi bien chez les patients souffrant du SIDA que chez ceux "à risque", la diminution des cellules T4 s'accompagne de l'augmentation des cellules T8, le total des deux restant constant. (53) Il n'est pas sans intérêt de rappeler que, dès 1985, Montagnier écrivait : "Ce syndrome (le SIDA) survient chez une minorité de personnes infectées qui ont généralement en commun d'avoir subi avant l'infection par le LAV une importante stimulation antigénique et une dépression immunitaire"(54), c'est-à-dire que Montagnier reconnaissait que dans le groupe "à risque" vis-à-vis du SIDA, la déficience immunitaire précède l'infection par le "VIH". En 1984, Montagnier et ses collègues (parmi lesquels Barre-Sinoussi et Chermann) déclaraient que "la preuve indiscutable exigera un modèle animal dans lequel ces virus (LAV, HTLV-III = HIV) provoqueraient une maladie semblable au SIDA". À ce jour, un tel modèle n'existe pas, ce qui n'a pas empêché Montagnier de répondre à Kary Mullis (prix Nobel) qui lui demandait les références d'au moins un article scientifique prouvant la théorie "VIH" du SIDA : "Pourquoi ne citez-vous pas les travaux effectués sur le VIS" (Virus de l'Immunodéficience Simiennne);(55) http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:36
nad
De quels anticorps s'agit-il donc ? Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs. Par Christine Johnson, Continuum Sept./Oct. 1996 Traduction Dr. Marc Deru L'establishment SIDA est arrivé à convaincre beaucoup de gens que les tests dits "du SIDA" (Elisa, IFA et Western Blot) sont sûrs à "99.5%". Dans cet article Christine Johnson donne une liste de situations reconnues comme pouvant faire réagir positivement ces tests. Elle s'est basée pour cela sur la littérature scientifique et donne ses références. Cette liste va sans doute susciter beaucoup de discussion et de controverses. Donnons donc dès le départ quelques éclaircissements. Qu'un facteur se trouve sur la liste n'implique pas qu'il va sûrement, ni même probablement, causer un résultat faussement positif. Un faux positif dépend des anticorps dont l'individu est porteur, mais aussi des caractéristiques de chaque test en particulier. Par exemple, certaines personnes, mais pas toutes, ayant reçu des transfusions de sang, ou ayant été plus d'une fois enceintes, ou ayant subi une transplantation d'organe, vont faire des anticorps HLA. Et certains tests (Elisa ou Western Blot), mais pas tous, seront contaminés par des antigènes HLA vis-à-vis desquels ces anticorps peuvent réagir. Il faut que ces 2 conditions soient réunies pour qu'un faux positif sur HLA apparaisse. Certains facteurs causent plus facilement que d'autres des faux positifs. Et d'autres facteurs que nous ne connaissons pas encore, mais qui pourraient nous apparaître à l'avenir, peuvent aussi causer de faux positifs. Certains des facteurs de la liste ont été étudiés par rapport seulement au test Elisa, d'autres par rapport aux tests Elisa et Western Blot (WB). Certaines personnes pourraient objecter que si un facteur est connu comme cause de faux positifs seulement avec le test Elisa, il n'y aurait pas de problème car le WB, lui resterait négatif. Mais n'oublions pas que le WB est un test basé sur l'accumulation de réactions antigènes-anticorps positives chez un individu (39). Donc plus un individu a été exposé à des protéines, agents infectieux et antigènes étrangers, plus il aura accumulé d'anticorps dans son organisme, et plus il est probable qu'il y aura chez cet individu suffisamment d'anticorps réagissant pour rendre le WB positif. Il faut noter que tous les groupes à risque SIDA, y compris les Africains, ont en commun ce problème : il sont exposés à une foule de protéines et antigènes étrangers. Ce qui n'est pas le cas de la population générale aux Etats-Unis et en Europe occidentale. C'est la raison pour laquelle les représentants d'un groupe à risque ont souvent un WB positif (et sont de ce fait considérés comme "infectés par le VIH"), et pas les autres gens. Des gens "non à risque" peuvent cependant, pour des raisons encore mal comprises, présenter aussi un WB positif. (47) Comme on a pu trouver des faux positifs pour chaque protéine VIH (36), comment savoir si les bandes positives du WB sont le témoin de protéines VIH ou bien seulement un ensemble de réactions faussement positives à divers anticorps non VIH ? Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs. anticorps anti-glucidiques (52, 19, 13) anticorps spontanés (5, 19) immunisation passive par gammaglobulines ou immunoglobulines (utilisées prophylactiquement contre une infection immunisante). (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13) lèpre (2, 25) tuberculose (25) mycobactérie aviaire (25) lupus érythémateux disséminé (15, 23) insuffisance rénale (48, 23, 13) insuffisance rénale avec hémodialyse (56, 16, 41, 10, 49) traitement à l'interféron de patients hémodialysés (54) grippe (36) vaccin antigrippal (30, 11, 3, 20, 13, 43) herpès simplex 1 (27) herpès simplex 2 (11) infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11) infection virale récente ou vaccination contre maladie virale (11) grossesse chez des femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36) malaria (paludisme) (6, 12) taux élevés de complexes immuns circulants (6, 33) hypergammaglobulinémie (taux élevés d'anticorps) (40, 33) faux positifs pour d'autres tests, y compris le test RPR (rapid plasma reagent) pour le syphilis (17, 48, 33, 10, 49) polyarthrite rhumatoïde (36) vaccination antihépatite B (28, 21, 40, 43) vaccination antitétanique (40) transplantation d'organe (1, 36) transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56) anticorps antilymphocytaires (56, 31) anticorps anticollagène (qu'on trouve chez des homosexuels masculins, des hémophiles, des Africains des deux sexes, des lépreux) (31) test positif pour le facteur rhumatoïde, anticorps antinucléaires, (présents tous deux dans les polyarthrites rhumatoïdes et d'autres affections associées) (14, 62, 53) maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : lupus érythémateux disséminé, maladies du tissu conjonctif, dermatomyosite infections virales aiguës (59, 48, 43, 53, 40, 13) néoplasmes (cancers) (40) hépatite ou autre maladie du foie d'origine alcoolique (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53) cholangite sclérosante primaire (48, 53) hépatite (54) anémie à cellule falciforme (chez les Africains) (38, 34, 40) anticorps à forte affinité pour le polystyrène (utilisé dans les test kits) (62, 40, 3) transfusions sanguines, transfusions répétées (63, 36, 13, 49, 43, 41) myélome multiple (10, 43, 53) anticorps HLA (vis-à-vis des antigènes leucocytaires de classe I & II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53) anticorps "anti-smooth muscle" (48) anticorps antimembrane cellulaire (48) IgM (anticorps) antihépatite A (48) IgM antihépatite B (HBc) (48) préparations d'immunoglobulines humaines datant d'avant 1985 (10) hémophilie (10, 49) affections hématologiques malignes, lymphome (43, 53, 9, 48, 13) cirrhose primaire du foie (43, 53, 13, 48) syndrome de Stevens-Johnson (9, 48, 13) fièvre-Q avec hépatite asociée (61) échantillons de sérum inactivé par la chaleur (51, 57, 24, 49, 48) sérum sanguin surchargé de lipides (hyperlipémie) (49) sérum venant de sang hémolysé (dont l'hémoglobuline a quitté les globules rouges) (49) hyperbilirubinémie (10, 13) globulines produits au cours de gammapathies polyclonales (qui se rencontrent dans les groupes à risque SIDA) (10, 13, 48) réactions croisées pour d'obscures raisons chez des individus sains (10) ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13) d'autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13) anticorps antimitochondriaux (48, 13) anticorps antinucléaires (48, 13, 53) anticorps antimicrosomes (34) anticorps antileucocytes T (48, 13) protéines du papier filtre (13) virus d'Epstein-Barr (mononucléose infectieuse) (37) leichmaniose viscérale (45) relation sexuelle anale (réceptrice) (39, 64) http://www.sidasante.com/science/scifalse.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:35
nad
http://www.sidasante.com/science/scipete1.htm Le virus du sida relève-t-il de la science-fiction? La cause du SIDA serait à trouver dans un comportement immunosuppresseur et non pas dans le virus HIV. Peter H. Duesberg et Bryan J. Ellison - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:34
nad
Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA : Drogues récréationnelles, chimiothérapies antivirales, malnutrition. JOURNAL BIOSCIENCE, VOL 28, #4, June 2003, 383-412 © Indian Academy of Sciences par Peter Duesberg, Donner Laboratory, University of California Berkeley, Berkeley, CA 94720, USA, and corresponding author (fax, 510-643-6455 ; Email, duesberg@uclink4.berkeley.edu) Claus Koehnlein, Internistische Praxis, Koenigswege 14, 24103 Kiel, Germany David Rasnick, Donner Laboratory, University of California Berkeley, Berkeley, CA 94720, USA http://www.sidasante.com/science/bioscience.htm http://www.sidasante.com/science/scipete1.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:30
nad
Tout le monde est-il infecté par le VIH ? Par Paul Philpott Rethinking AIDS, mai 2000 http://www.sidasante.com/science/giraldo.htm Pour n'importe quel virus, c'est l'isolement du virus qui détermine les procédures de test, mais Giraldo ne trouve aucune donnée faisant état de l'isolement du VIH. Il ne découvrit pas non plus pourquoi le niveau de dilution exigé était si mystérieusement élevé, pourquoi la réaction était dite positive à partir d'un certain seuil de luminosité, pourquoi il fallait un certain nombre de réactions protéiques pour qu'un Western Blot soit déclaré positif, pourquoi on n'utilisait pas de tests antigène VIH. Ses recherches par contre lui firent connaître les travaux d'une équipe de chercheurs australiens dirigée par Eleni Papadopulos-Eleopulos. Cette dernière a partout cherché les données attestant l'isolement du VIH qui justifieraient les tests VIH, mais n'a rien trouvé. (R.A. Juin-juillet 1997). Ses travaux amenèrent un autre spécialiste de l'isolement des virus, Etienne de Harven, à se pencher sur la question. Il arrive à la même conclusion. (R.A. Nov-Déc 1998). - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:28
nad
RETROVIRUS: LES SOUVENIRS D'UN MICROSCOPISTE ÉLECTRONICIEN. Etienne de Harven. http://www.sidasante.com/edh/edhsouv.htm Les années 1970-1980 furent dominées par une série d'idées dont la valeur scientifique n'aurait jamais été acceptée 10 ou 20 ans auparavant. Par exemple: 1. Il devenait acceptable d'affirmer que, lorsque des virus ne pouvaient pas être identifiés par la microscopie électronique, d'autres méthodes de nature biochimique ou immunologique, supposées capable d'identifier des "marqueurs" viraux, étaient suffisantes pour démontrer l'infection virale des cellules étudiées. Ces "marqueurs" pouvaient être un enzyme (RT), un antigène, diverses protéines, ou certaines séquences d'ARN. Le fait de n'avoir jamais vu au microscope de particules virales était expliqué d'une façon fort commode par l'intégration du génome viral dans les chromosomes des cellules prétendument infectées. Accepter une telle interprétation impliquait l'ignorance complète de tout ce que nous avions appris durant l'étude des cancers expérimentaux des animaux de laboratoire Il faut toutefois reconnaître que, dans ces modèles expérimentaux, la microscopie électronique ne permettait d'observer que l'étape finale de la multiplication virale, les étapes initiales consistant en une série d'événements moléculaires qui échappent complètement aux images ultrastructurales. Et pourtant, dans tous les systèmes expérimentaux classiques tels que les leucoses aviaires ou murines, les phases terminales de la réplication virale (le bourgeonnement, "budding") étaient toujours observées et considérées comme essentielles à la propagation de l'infection virale d'une cellule à l'autre. 2. Un autre court-circuit aux conséquences désastreuses fut cette notion fort naïve selon laquelle tout matériaux biologiques sédimentant sur gradient de sucrose à la densité 1.16gr/ml étaient de nature rétrovirale ! Sans aucun doute, les rétrovirus bien caractérisés sédimentent au voisinage de cette densité. Mais ceci n'implique pas que tout ce qui sédimente à cette densité soit de nature rétrovirale ! Dans les années 1960, des collègues biochimistes me demandaient souvent de regarder (au microscope électronique) certaines "bandes" sédimentant à la densité 1.16: "Regarde bien ceci, ça forme une bande nette à 1.16, ce doit être du pur rétrovirus !". Les culots d'ultracentrifugation obtenus à partir de ces fameuses "bandes 1.16" , étudiés en coupe fines par microscopie électronique, permettaient de reconnaître une grande variété de microvésicules et de débris cellulaires, mais pas un seul rétrovirus ! Et cependant cette méthode de sédimentation à la densité 1.16 est toujours utilisée pour identifier de prétendus "marqueurs" viraux ! Comme il est désolant de penser qu'un contrôle adéquat au microscope électronique de ces fameuses "1.16 bands" (ce qui prend environ 2 jours et coûte quelque centaines de dollars seulement) aurait pu éviter ces interprétations dangereuses de prétendus "marqueurs rétroviraux" sur lesquels d'énormes budgets de recherche ont été lamentablement gaspillés... - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:26
nad
Un entretien à vous glacer le sang avec le Dr. Valendar F. Turner Par Huw Christie. Continuum, hiver 1997 Traduction Pete Kimberley Le Dr. Valendar F. Turner est un des membres du groupe de Perth, un groupe de dissidents qui milite contre l'hypothèse VIH/SIDA. Il a été diplômé par l'University of Sydney en 1969, c'est un "Fellow du Royal Australasian College of Surgeons" et aussi un "Foundation Fellow of the Australasian College for Emergency Medicine". Il pratique à la Royal Perth Hospital dans l'Australie de l'Ouest. Huw Christie est l'éditeur du magazine " Continuum " à Londres. Après une enfance en Tasmanie, Australie, il a été diplômé par Oxford University, Angleterre, en 1981. Il est membre du conseil de l'association suisse " International Forum pour Accessible Science " (IFAS). http://www.sidasante.com/science/scivalt.htm - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:22
nad
Je vous invite à lire le livre de Robert Kennedy Big Pharma Fauci ,Bill Gattes et de visionner la vidéo du reportage du group de Perth sur le VIH "les habits de l empereur dont voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=LB2JyBnlE7w Reportez vous ensuite sur toutes les déclarations du professeur Montagnier et ce depuis les années 1990 et sur d'autres nombreux témoignages de scientifiques sérieux dont Pr Duesberg, A. Hässig, H. Kremer, S. Lanka, W-X Liang, K. Stampfli Val Turner.David Rasnick. etc etc............. ces plus de 2000 scientifiques médecins dont 3 prix Nobel qui ont demandé la réévaluation du risque SIDA. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 22:17
Bernard Guennebaud
Dans sa vidéo Jacques Pépin mentionne au début l'isolat le plus anciennement collecté et qui avait été testé positif quand les tests seront disponibles en 1983. Cet isolat avait été prélevé et congelé en 1959 à Léopoldville devenue Kinshasa. Cela correspond à ce que rapporte Van de Pitt dans le documentaire. Il fut directeur par interim du laboratoire de Stanleyville quand Courtois était en vacances. Avec un autre il avait lui même collecté près de 2000 échantillons de sang. Puis Pépin lance l'hypothèse du chasseur contaminé en se blessant en découpant un chimpanzé pour proposer la date de 1921 comme première contamination conséquente. Mais il ne donne aucun argument en faveur de cette date ni même en faveur d'une telle hypothèse. Disons que ça parait séduisant quand on se raconte ainsi l'histoire mais le niveau de preuve est très bas par rapport à l'isolat de 1959. Bien qu'il reconnaisse qu'au début de l'ère du sida, Kinshasa fut la zone la plus touchée et bien que beaucoup pensaient que c'était là qu'il fallait chercher l'origine du sida, il veut situer cette origine dans un pays situé à l'ouest du fleuve Congo, là où vivent les "bons" singes". Puis, pour expliquer l'explosion de la maladie à Kinshasa, il va chercher une modification significative de la prostitution dans cette ville alors que les "bons singes" ne vivaient pas au Congo belge. On peut se laisser bercer par le ronronnement de l'argumentation mais elle possède "des trous béants" comme dirait le pathologiste américain Cecil Cole (voir le documentaire). - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 20:31
Bernard Guennebaud
En fait il s'agissait, Minna, de la polio et non de la variole. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
18/04/2022 17:55
Sophie GUILLOT
Bonjour , Il y a déjà qq années, après avoir visionné attentivement ce documentaire, j'ai acheté le bouquin The River en anglais et j'ai commencé à le lire. Je tiens juste à ajouter qq précisions sur ce que Hooper a écrit : On s'est rendu compte de la présence de virus simiens dans les vaccins polios ( à ce sujet , le documentaire est un peu confus sur le fait de savoir s'il s'agissait de vaccin PO ou de vaccin PI. ) vers la fin des années 60. Le virus baptisé " SV40" inquiétait en raisons de capacités cancérigènes sur certains mammifères de laboratoires. Mais en lisant The River j'ai appris que si le SV40 portait ce nom, c'est parce que c'était le 40 ieme virus simien retrouvé dans les vaccins polios , donc qu'il y en avait eu 39 découverts avant lui ...mais il y en a eu au moins 30 de plus . ( en tout plus de 70 souches différentes donc ) Second point qui m'avait bcp surprise = avant que Koprovsky ne se décide à aller vacciner les populations autochtones dans diverses régions du Congo Belge, il avait déjà fait une tournée dans certaines régions et avaient fait des prélèvements sanguins chez les populations. À ce moment-là, personne n'avait jamais utilisé de vaccins polios et il avait constaté que chez les adultes , 95 à 98% d'entre eux étaient naturellement solidement immunisés contre la polio. Ce qui n'a pas empêché Koprovsky de vacciner absolument tout le monde dans ces mêmes populations quand il est revenu plus tard avec son fameux vaccin .... Merci à Bernard pour souligner que le point essentiel de cette controverse fut de savoir s'il était exact que de chimpanzés ou non furent utilisés par Koprovsky au cours des années 50 . Et les raisons pour lesquelles Koprovsky a cherché avec tant de virulence à décrédibiliser la thèse de Hooper . - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 13:12
njama
« Voulez-vous dire, lui demande CNN, que le monde scientifique refuse d’endosser la responsabilité morale à défaut d’une responsabilité légale pour ce qui s’est passé pour le virus du sida? » ça s'appelle le déni il me semble, le refus de reconnaître une réalité, ou ça y ressemble fort, il n'est pas propre qu'au monde scientifique...Déni
Pas facile d'accepter une part de responsabilité... ou même de simplement récuser que les vaccins depuis qu'ils existent n'auraient aucune base scientifique. D'hypothèses ils sont passés à un acte de foi dont le prophète est Louis Pasteur, pour "sauver des vies" malgré qu'ils créent de façon aléatoire des dommages graves, voire mortels, documentés. Pas simple non plus de reconnaître ses méconnaissances, voire son ignorance, et tellement plus aisé de rester dans sa zone de confort, bercé par la doxa. Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur : « On ne sait pas comment marchent les vaccins » ! e Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de Production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS chez Sanofi Pasteur mais également consultant pour l’OMS, a notamment déclaré dans une vidéo sur la fabrication et le contrôle des vaccins qu’ils ne savaient pas comment marchent les vaccins. la VIDÉO sur CIF Vaccinologie 2011- Fabrication et contrôle des vaccins https://www.canal-u.tv/chaines/canal-u-medecine/vaccinologie-clinique-paris-2011-hopital-du-val-de-grace/cif-18 [...] à 50’15 : « Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. » à 51’ : « …Jamais on n’a pu faire un vaccin avec une protection mucosale… tout simplement parce qu’on met toujours la charrue avant les bœufs… On ne connaît pas comment marchent les vaccins. » lire l’article : http://initiativecitoyenne.be/article-dr-saluzzo-de-sanofi-pasteur-on-ne-sait-pas-comment-marchent-les-vaccins-114130498.html - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 12:43
Minna
En poursuivant la lecture de ce débat, j'ai le sentiment que tout ça se déroule dans une structure logique décalée. Le point de départ, qui nous a menés jusqu'ici, est la fausse bonne idée du vaccin. On a cru pouvoir éviter une maladie (grave, au demeurant, la variole) en injectant quelque chose d'autre, bien que voisin, cuisiné à l'époque directement sur les "producteurs" (enfants trouvés, prostituées, pensionnaires d'asiles de fous, etc.). La question centrale que je me pose : "pourquoi cette fausse bonne idée a-t-elle fait fortune?" Merci à tous. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 12:24
Minna
Les mensonges s'accumulant les uns sur les autres, les soulever devient de plus en plus lourd. Pire : il ne s'agit pas seulement de la dépakine, l'amiante et autres médiators, il s'agit de l'ensemble des technologies modernes à base de chimie et d'ondes radio. Merci herve_02 ! Continuez ! - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 10:56
Bernard Guennebaud
Voici un résumé de la vidéo de Jacques Pépin (commentaire sous la vidéo) : "La source du VIH-1 est le chimpanzé d'Afrique centrale Pan troglodytes troglodyte. La transmission inter-espèces est survenue au début du 20ème siècle, via la manipulation de viande de chimpanzé lors de la chasse. Ce premier humain infecté n'habitait probablement pas le territoire de la RDC, où on ne retrouve que de faibles populations de P.t. troglodytes. Le virus s'est disséminé le long des circuits fluviaux, atteignant éventuellement Léopoldville/Brazzaville, où il a réussi à se diversifier. Des 'horloges moléculaires' ont démontré qu'à Léopoldville, le nombre d'individus infectés est resté faible pendant plusieurs décennies, augmentant exponentiellement à partir du début des années 1950. Le virus existait chez les chimpanzés depuis des siècles, et pendant cette période des chasseurs s'infectaient occasionnellement, mais sans propagation subséquente. Que s'est-il passé au milieu du 20ème siècle pour qu'à partir d'un 'patient zéro' 65 millions d'êtres humains soient infectés? Et comment expliquer qu'au même moment, dans une autre région d'Afrique, le VIH-2, qui origine d'un autre primate, réussisse lui aussi à se disséminer, pour ensuite disparaitre comme il est venu ? La présentation portera sur les deux facteurs qui ont permis l'émergence du VIH-1 en Afrique centrale, et particulièrement à Léopoldville: a) Les changements sociaux amenés par l'urbanisation, en particulier la prostitution. b) Les interventions médicales durant lesquelles des médicaments étaient administrés par voie intraveineuse, avec des seringues et des aiguilles réutilisées et mal stérilisées, permettant la transmission iatrogène des virus présents dans le sang." - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 10:37
Jengi
"mais comme ils ne sont jamais mis devant leurs responsabilités, ils continuent." En fait, ils sont juges et parties. Et personne pour les contredire ! - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 10:32
Bernard Guennebaud
Dès que je pourrai, je réécouterait plus attentivement les 42mn de vidéos de Jacques Pépin. J'ai l'impression que vous avez raison Herve_02. Sa façon de raconter l'histoire pourrait apparaitre comme une tentative pour écarter le vaccin de Koprowski : il fait naitre la première contamination en 1921 par des chasseurs mangeant du chimpanzé ; ce ne serait pas au Congo belge mais à l'ouest (Gabon) là où se trouvent les bons chimpanzés porteur du VIS qui a pu donner le VIH ; au Congo belge les chimpanzés ne conviennent pas pour cela ... De plus ce seraient les injections pour traiter la syphilis avec des aiguilles à usage multiple qui auraient contribuer à répandre le virus, occultant les campagnes de vaccination antivariolique alors que des chercheurs avaient fait remarquer, à l'époque de l'extension du sida, la remarquable concordance entre les campagnes de vaccination contre la variole et l'émergence du sida. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
18/04/2022 00:34
herve_02
> Il fait partir l’épidémie d’un chasseur qui aurait été contaminé en mangeant du chimpanzé moi je suis pas un scientifique, mais j'ai une bonne mémoire. Il fut dit qu'on aurait pu éviter les contaminations des hémophiles (responsable mais pas coupable de l'autre empoisonneur) en chauffant les produits sanguins. J'ai du mal à voir des chasseurs dans une jungle hostile manger des singes CRUS. Aussi bien en terme de goût qu'en terme de sécurité (et pas que pour le sida). le point commun à tous ces "scandales" est le mensonge. Ils mentent comme des arracheurs de dents. aussi bien verantaplan sur les morts que MST (marisol touraine) sur le consensus pour les 11 vaccins, que ficher price sur l'arnM (il a tué combien de bébés bulles ?) que défraichy sur l'immunité naturelle, que lakonne sur les vaccins, que 2raies sur le recul en terme de sécurité. c'était la même chose pour le H1N1, le vioxx, la dépakyne, le médiator, le distilbène, la chloroquine, l'ivermectine, le remdesivir, le bcg, l'hepB... À partir de moment ou la science ment, tous ceux qui mentent doivent être déconsidéré définitivement avec rétroaction, supprimer tous leurs travaux publiés (retracted) et les traîner devant les tribunaux pour complicité d'homicides. Il est évident que le sida a été inoculé par les médecins à l'homme, de la même manière que le covid n’est pas venu d'une civette mordue par une chauve-souris qui aurait violé un pangolin, le sida n'est pas venu d'un chasseur qui aurait mangé un singe cru, ni d'un steward qui aurait eu une relation sexuelle non protégée avec un singe ou une guenon. ils mentent depuis des siècles et cela tue des gens. mais comme ils ne sont jamais mis devant leurs responsabilités, ils continuent. C'est comme le tabac (ils savaient depuis longtemps), l'amiante, les sels de mercures, le sels d'aluminium, le plomb des canalisations.... ils savent, mais les "riens" sont des riens qu'on peut laisser crever pour gagner plus. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
17/04/2022 23:59
herve_02
Je n'ai pas de réponse à ces questions qui sont très très techniques. Mais j'ai une réponse de bon sens. S'il est impossible à déterminer et réellement comprendre les mécanismes biologiques du corps humain très complexes, il est de la même manière impossible à déterminer comme un truc non vivant pourrait faire réagir le corps humain. Ne pas imaginer comment cela peut se faire ne veut pas dire que cela ne se fait pas. Tant que les "scientifiques" et les "vaccinalistes" n'arriveront pas à répondre à la simple double question : "Comment des gens non protégés d'une maladie ne l'attrapent pas (et ne font même pas d'anticorps, comme si cette maladie ,n'avait pas de prises sur eux) et en même temps comment des gens soit disant protégés (taux d'anticorps considéré comme protecteur) la font pour de vraie. ?" Tant que je n'aurais pas une réponse claire, logique et scientifique, je ne croirais pas ces charlatans, adeptes modernes de la saignées. Si 2 saignées ne fonctionnent pas, il faut un rappel avec une 3ème. Et si le malade meurt, c'est qu'on n'a pas assez saignée et qu'il fallait une 4ème dose. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
17/04/2022 22:35
Bernard Guennebaud
Je viens aussi de trouver cette vidéo de 42 mn de Jacques Pépin. Il fait partir l'épidémie d'un chasseur qui aurait été contaminé en mangeant du chimpanzé ... Les contaminations par des seringues réutilisées seraient celles utilisées pour traiter la syphilis et pointe la prostitution comme facteur important de propagation du VIH. IL ne faudrait pas s'imposer a priori l'hypothèse d'une contamination originelle d'où toute la suite aurait découlée. On peut aussi concevoir plusieurs sources indépendantes. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
17/04/2022 22:04
Bernard Guennebaud
Merci pour signaler cette recherche de Jacques Pépin. Voici une brève description du contenu de ce livre. https://www.en-attendant-nadeau.fr/2019/10/08/nouvelle-histoire-sida-pepin/ - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie
17/04/2022 20:01
Piard
Bonjour, Le livre de Jacques Pépin, édition Seuil, octobre 2019, « Aux origines de Sida » expose en presque 500 pages ce qui fut fait en Afrique depuis 1920 et ce qui très probablement à conduit au Sida que nous connaissons. Pour être édité, il exclut la vaccination en préambule, et incrimine seulement les injections… Il expose quand même la réalité des travaux de Koprowski et la réalité de la contamination de ses préparations tout en envisageant que la source de la contamination mondiale soit encore ailleurs… Ce livre est essentiel, il soulève ainsi de très nombreuses autres dérives, dont particulièrement les « fermes à plasma »… - Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu'elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19
17/04/2022 15:20
Pak Budianto
"John Hopkins" --> c'est Johns Hopkins, avec un s final au premier nom - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
16/04/2022 22:29
President de la ligue antivaccinale
Sur quelle base a été validée la théorie virale,puis qu'aucun virus n'a jamais été isolé,purifié photographié et analysé biochimiquement dans un tissu humain ,animal ou végétal ? Les images des soit disant virus sont des particules cellulaires,microzyma, exosomes, artéfacts,bulles protéinograisseuses ,microvillosités qui sont vues aussi bien sur un tissu malade qu'un tissu sain Est il simplement crédible qu'une particule morte,sans métabolisme traverse les mucus,les menbranes;pénétre la cellule puis le noyau, coupe l'ADN ,(avec sa paire de ciseaux) pour s'y inclure et proliférer pour détruire la cellule Alors qu'on sait que le génome a des mécanismes de défense puissants contre tout matériel génétique étranger Merci pour vos nombreuses réponses scientifiques! - Covid-19, fin de l'ICS, premier bilan des connaissances et des controverses
15/04/2022 13:35
Christophe
Bonjour Pourquoi avoir zappé l'introduction du Pr Didier Raoult ? Merci de votre réponse Mes propos n'engagent que moi et non le Collectif auquel j'appartiens. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
15/04/2022 12:09
herve_02
Et pendant que l'on se bat, on n'a pas le temps de travailler à comment modifier notre terrain (et celui de nos enfants) pour qu'ils ne soient pas sensibles aux maladies, que les maladies infantiles les traversent pour les renforcer sans les abîmer et sans avoir besoin de "vaccins". Et surtout que ces travaux ne soient pas relégués au rang de délire de bitnick qui fabriquent des colliers de cailloux. Pour que l'on ait une petite vision flash de ce qui se passe : Il y a quelques années, on a fait un scandale sanitaire nationale (menant aux 11 vaccins obligatoires) de 3 morts de la rougeole en 10 ANS en france. et aujourd'hui plus de 1000 morts _déclarés_ en 1 an, rien qu'en france, suite aux vaccins ne fait que préparer aux 3 doses suivantes d'un nouveau vaccin expérimental mal étudié. Je ne sais pas comment vous arrivez à intégrer cette simple mise en lumière sans préparer l'échafaud pour cette armada de blouses blanches qui décident et exécutent. Que le virus existe ou pas, de mon point de vue, je trouve que les pendre tous est la première action à mener, ensuite nous regarderons cette question ensemble. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
15/04/2022 10:00
Bernard Guennebaud
Tout cela me fait penser aux multiples tribus gauloises face aux légions de César. A Alésia un de ces chefs indépendants décida de contre attaquer plutôt que de tenir les lignes de défenses en attendant les renforts qui étaient en route. César n'aura plus qu'à envoyer ses légions dans la brèche et ce sera la fin ... Comme le décrit très bien Hervé_02 c'est les tribus gauloises face aux légions de Big Pharma. Les homéopathes disputent sur l'unicisme sans se demander si dans 10 ans ils pourront encore exercer ni si les pharmacies auront encore le droit de vendre des médicaments homéopathiques. Le virus de la rougeole n'existerait pas mais l'OMS veut l'éradiquer et n'y parvient pas. Peu importe, face aux légions de Big Pharma on a l'arme absolu, le microzyma. César avait mis toutes les tribus gauloises d'accord. Oui, je sais, toutes sauf une car elle avait la potion magique préparée par le Druide... - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
14/04/2022 22:47
Brigitte Fau
Oui, il y aussi de quoi s'interroger sur les "anticorps" sous un nouvel angle et cette fois encore Tissot pense que les différents leucocytes, dont les lymphocytes qui sont sensés sécréter les anticorps, sont en réalité des étapes de transformation, une sorte de polymorphisme cellulaire. Dans l'étape, granulocyte, on distingue les microzymas à l'origine de la cellule. Et ces lymphocytes sont générés pour nettoyer les éléments toxiques, chimiques en particulier et peut être même le plus souvent. Plus l'organisme est intoxiqué plus il fabrique des leucocytes pour se défendre. Pour exemple, la leucocytose alimentaire, qui apparaît après un repas "toxique". Alors qu'à l'inverse les leucocytes disparaissent après un jeûne long, témoignant de la désintoxication. Mais ces leucocytes réapparaissent dès que rompt le jeûne, à nouveau pour nettoyer les toxines de notre nourriture. Entre temps ils n'ont pas réellement disparus, ils sont redevenus microzymas. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
14/04/2022 21:54
Dr Vincent Reliquet
Ne vous fâchez pas Hervé_02, Mais dans un monde où un corpuscule peut n'être qu'une onde, voire une simple expression d'énergie, force est d'admettre que les Sapiens Gentils puissent chercher quelque peu en désordre... - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
14/04/2022 21:17
herve_02
Non, je ne suis pas un pacificateur mais plutôt un combattant acharné teigneux et pouvant être de fort mauvaise compagnie. Dans le cas qui nous occupe, je suis attristé (comme quoi je peux aussi rester poli) de voir les rebelles à la mafia médicale qui prend toute la place dans la santé actuellement se pougner entre eux. Qui prenant l'autre pour un charlatant parce qu'il défend une thèse ou l'autre : homéopathie uniciste ou pas, chiro, énergie, vaccins, onco, virus ou pas, terrain ou pas. Et pendant que les rebelles se pougnent entre eux, l'autre affreux annonce notre prochain vaccin obligatoire : un multivariant. Ce serait dans un film comique, ce ne serait même pas drôle. Pour revenir à cette unification, le problème de fond n'est pas de l'écrire, parce qu'il y a des gens de bonne facture ici ou ailleurs, mais de commencer à la penser... mais personne ne le veut. Que le terrain soit partie prenante est une évidence. vouloir évacuer toutes causes externes me fait hoqueter. qu'on l’appelle virus, méteo, froid, chaud, punition divine, vouloir tout supprimer me semble un poil exagéré. J'avais commis un commentaire sous une autre publication qui n'eut pas l'air d'être considérée. Mais en gros je rappelais ce que disait montagnier (luc pas gilbert) à propos du virus (?) du sida. On en trouvait la présence ET une vibration chez les gens positifs. On donnait un traitement et le virus (?) disparaissait (on ne pouvait le trouver) mais restait sa vibration. en stoppant le traitement, le virus (?) ré-apparaissait "comme par magie" (expression tout personnelle). Une de ses idées qui m'avaient semblée comprendre était qu'il était possible que la vibration "re-créait" le "virus". Il se passe quelque chose que nous ne comprenons pour le moment pas. Allez dire aux hémophile décédés de la gestion responsable mais non coupable de l'actuel président du conseil constitutionnel (là également même dans un film comique ce ne serait pas drôle) que c'est leur terrain qui les a terrassés du VIH-SIDA. - Pourquoi la SEP déteste souvent la vitamine D
14/04/2022 19:03
hub37
Bravo, Encéphalix pour votre article étincelant, mais pas pour votre mot AUTO-IMMUNES ALUMINO-IMMUNES ou IMMUNES n’aurait pas accusé l’organisme du patient des péchés de mon ennemi personnel, Al, ce pourvoyeur de tant de saloperies si juteuses pour des pharmas immensément corrupteurs. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
14/04/2022 15:06
Minna
Lectrice naïve, car ni médecin, ni spécialiste, je me réjouis de cette passionnante controverse dont l'issue est, comme le dit Brigitte Fau, la disparition d'un "verrou" idéologique : la théorie de la cause unique des maladies; comme dit mon homéopathe, "toutes les maladies sont multifactorielles. La théorie du méchant agent infectieux qui vient attaquer un organisme sain naît avec la "rationalisation" de la conception du monde à la fin du XVIIIè siècle. J'ajoute, naïve que je suis, que la rationalité consiste à simplifier les problèmes pour les rendre plus faciles à résoudre, ce qui marche pour fabriquer une table, mais pas pour intervenir sur des systèmes complexes comme le corps humain. La discussion est ouverte... - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
14/04/2022 12:54
Bernard Guennebaud
Je vais essayer de vous répondre Jengi. J'ai été passionné dans les années 70, il y a 50 ans, par la découverte de Tissot sur le réseau mitochondrial connexe, structuré un peu comme un grillage, reliant le noyau à la membrane. Il a pu obtenir cela après de multiples essais pour préparer les cellules avant de les passer sous microscope car l'essentiel est là : les procédés utilisés détruisent le réseau connexe pour le laisser en objets éparses auxquels il a été donné des noms (mitochondries, ribosomes, lysosomes, appareil de Golgi, vacuoles) et d'autres auxquels il n'a pas été donné de noms car on ne les retrouve pas systématiquement (formes en Y, en anneau, en bissac). Elles étaient considérées comme des anomalies inexpliquées. Mais si le réseau photographié par Tissot de multiples fois (et j'ai les photos), vous le réalisez avec de la glace, que vous le jetez au sol et le laissez au soleil, vous verrez des bâtonnets dispersés (mitochondries), des Y etc...une partie étant fondue (lysée) par les produits utilisés pour la préparation. Pour Tissot, tous ces objets n'existent pas dans une cellule saine. Ces destructions peuvent évidemment s'opérer aussi in vivo par l'action de médicaments et de toxiques divers. D'où tout l'intérêt qu'il y a à ne surtout pas retrouver la méthode de préparation de Tissot : vous expérimentez sur un médicament ayant une action destructrice de ce réseau puis, pour l'observer au microscope, vous traitez les cellules comme à l'ordinaire. Vous ne verrez pas que le médicament a détruit une structure connexe et harmonieuse puisque vous êtes dans l'ignorance de son existence... Vous déclarerez le médicament inoffensif pour la structure cellulaire cytoplasmique. Tissot a clairement montré que la partie entre noyau et membrane était structurée par un réseau connexe et harmonieux d'organites haltères (des mitochondries avec une boule à chaque extrémité) et que ces haltères sont reliées entre elles par leurs boules. L'homéopathie est une démarche passionnante et j'en fus le bénéficiaire. L'action du produit n'est possible que s'il y a résonance vibratoire entre le produit et la personne qui le reçoit. C'est la loi de similitude formulée autrement et qui permettrait une approche scientifique de l'homéopathie. Je teste sur moi-même des produits homéopathique par résonance pour savoir lesquels peuvent m'être utiles à un moment donné. Par exemple pour distinguer entre arnica 9CH et arnica 5CH. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 23:16
Jengi
les anticorps existent également vis-à-vis de substances chimiques bien caractérisées, par exemple vs la nitrotyrosine : https://www.scbt.com/fr/p/nitrotyrosine-antibody-39b6 - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 21:30
Bernard Guennebaud
Indépendamment de toutes ces considérations, chère Brigitte, il y a un combat imposé par un adversaire très puissant (ou plutôt un ennemi, la différence entre les deux étant qu'on ne peut envisager de serrer la main de l'ennemi après la bataille). Il joue au rugby et nous voudrions jouer au ping pong. Mais nous n'avons pas le pouvoir d'imposer le terrain de jeu. L'ennemi impose le rugby et la petite balle en celluloïd qu'il écrase avec le petit doigt le fait bien rire. C'est aussi un aspect de la réalité. Si nous ne comprenons pas cela nous perdrons toutes les batailles. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 19:38
Brigitte Fau
en Français traduit par deepl. traduction : Après avoir examiné les dernières publications majeures sur le VIH et le SIDA en 2006, j'ai conclu que l'orthodoxie a confondu la partie avec le tout. Les travaux de Benigno Rodriguez et al, publiés en septembre dernier, montrent que la charge virale n'explique qu'environ 5% du déclin des cellules immunitaires CD4+. Une autre étude intéressante, celle de Huber et al, publiée en décembre, me rappelle que les cellules immunitaires apoptotiques sont elles-mêmes la source de particules "infectieuses", indépendamment de toute infection. C'est vrai pour les macrophages, mais c'est très probablement aussi vrai pour les lymphocytes. Enfin, je me demande si le VIH n'est pas simplement un signal naturel de mort cellulaire, mais si faible qu'il passe inaperçu chez une personne saine. En fait, alors que le mécanisme de l'apoptose n'est bien compris que depuis une dizaine d'années, en particulier sa biochimie, qui implique les oxydes d'azote, les peroxynitrites (Zhao et al), et les protéines qui les contrôlent (ainsi que les réducteurs associés - les thiols), les recherches des années 1980 se sont concentrées sur quelque chose (le VIH) qui est associé à la chute des lymphocytes, mais qui n'en est pas la cause première. La nature endogène du vih peut être vérifiée par quelques faits : Personne, à l'exception d'une personne consommant une HAART (Highly Active Anti-Retroviral Therapy) n'a une charge virale nulle. Un exemple : Le médecin de Francfort Juliane Sacher a réalisé une expérience fascinante : "J'ai prélevé mon propre sang et l'ai mis dans deux tubes. L'un a été envoyé sous mon nom au laboratoire pour un test d'anticorps, mais l'autre a été envoyé sous le nom d'un de mes patients séropositifs pour mesurer la charge virale dans le même laboratoire". Elle a reçu les résultats quelques jours plus tard : "le sang testé sous mon propre nom était négatif, mais le sang qui a été envoyé sous le nom de mon patient, avait une charge virale de 1800." Notez que Frau Sacher n'était pas séropositive. Pourquoi est-ce important ? Eh bien parce que la séropositivité implique la détection d'une quantité d'anticorps supérieure à une limite (cut off). Une personne normale présente également ces anticorps, mais seulement en petites quantités. Il est normal que de petites quantités de ces vésicules (appelées VIH) soient présentes, car elles sont nécessaires pour permettre l'apoptose. Il existe de nombreuses publications de Kion et al, Faulk, Labarrère et al et Panem et al. Mais ces microvésicules ne sont pourtant pas des HERVs (Human Endogenous Retro-Viruses). D'où viennent-elles ? Les mécanismes de l'apoptose cellulaire et donc celle des lymphocytes ont été minutieusement étudiés, montrant que le processus implique un très grand nombre de protéines ou autres molécules. Il semble de plus en plus certain que le facteur essentiel est la formation normalement endogène de peroxynitrites (Zhao et al). Luc Montagnier insiste sur le fait que le stress oxydatif était responsable de cette apoptose. Nous pouvons aller plus loin et réaliser qu'elle est due à l'action des peroxynitrites. Ce processus naturel serait donc amplifié dans le SIDA. Pourquoi ? N'oublions pas qu'il nous reste à expliquer 95 % de la mort des lymphocytes. Je pense que les véritables causes du SIDA, telles que décrites par les professeurs Duesberg et Bialy, sont des pratiques telles que l'abus de drogues qui interfèrent malheureusement avec ce processus naturel, car elles sont la source de quantités massives de peroxynitrites. Ceux-ci sont formés par une réaction très rapide du monoxyde d'azote avec un produit normal de la respiration cellulaire, l'ion superoxyde. De nombreux composés consommés dans les années 1960-1980 sont des donneurs de monoxyde d'azote. Cela inclut les drogues récréatives : les nitrites (connus sous le nom de poppers), les amines tertiaires comme la cocaïne et les amines secondaires comme le crystal meth. Tout le monde sait que la pilule pharmaceutique Viagra permet à ses utilisateurs de maintenir la quantité de monoxyde d'azote à un niveau élevé. Enfin et surtout, on trouve des donneurs de monoxyde d'azote dans tous les médicaments qui contiennent une liaison entre un azote et un atome (chlore, azote, oxygène) dont l'électronégativité est supérieure à celle du carbone. Exemples : bactrim (cycle isoxazole) ; chloramphénicol (maintenant surtout utilisé dans les pays en voie de développement), métronidazole, nitrofurantoïne (composés nitrés) ; isoniazide contre la tuberculose (surtout en Afrique) (un hydrazide) et AZT (azide : les alkyl-azides agissent comme des azides ioniques). Mais ces donneurs de monoxyde d'azote ont une action anti-apoptotique tant que la quantité de glutathion (et de glutathion peroxydase) est normale (le glutathion transporte le NO en excès). Dans le cas contraire, ils ont un effet apoptotique. Luc Montagnier et d'autres ont remarqué que les malades du SIDA ont un énorme déficit en glutathion. Ceci est dû aux donneurs de monoxyde d'azote décrits ci-dessus, qui sont aussi des oxydants capables de détruire lentement le glutathion (thiols) pour donner des composés qui ne peuvent pas être métabolisés (sulfates). Un bon exemple est le premier médicament approuvé contre le SIDA : L'AZT. La porte est alors ouverte à la synthèse massive de peroxynitrites qui provoquent l'apoptose massive des lymphocytes. Lors de cette apoptose, ces lymphocytes libèrent en grande quantité les fameuses microvésicules que l'on appelle VIH (d'où une augmentation de la charge virale et des anticorps). Comment expliquer l'action bénéfique initiale de l'AZT, mesurée dès les premières semaines de l'essai de Fischl et al ? C'est que l'AZT réagit facilement avec les peroxynitrites pour produire du NO et un effet anti-apoptotique. Mais cet effet ne dure pas, et peu à peu le NO formé retrouve ses propriétés apoptotiques du fait de la déplétion du glutathion. L'anneau sulfuré du 3TC (alias Lamivudine), un autre analogue nucléosidique utilisé pour traiter le SIDA, est facilement oxydé par les peroxynitrites, (voir Carey et Sundberg et la réactivité des acétals sulfurés avec l'ion nitrosyle NO+), et a ainsi entraîné une diminution importante de l'apoptose des cellules CD4+ chez les patients sidéens médicamentés à partir de 1996. Cette hypothèse explique pourquoi l'orthodoxie s'en est tenue au modèle du virus infectieux, prenant la partie pour le tout, pourquoi Peter Duesberg a toujours défendu l'existence du virus, mais en réalisant qu'il n'expliquait pas le SIDA. Cette explication permettrait également de comprendre la position du Groupe de Perth et d'Etienne de Harven (stress oxydatif). Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) - Effets indésirables des vaccins, le film
13/04/2022 19:34
hub37
Viens de voir (très facilement) les 1:43:44 de film en entier. Superbravo à l'AIMSIB de l'avoir soutenu et diffusé. C'est la compilation de base. À l'usage de mes adhérents, il va me falloir taper et réordonner (par énormités décroissantes) la palanquée de malhonnêtetés mercanties (à coups de pseudo-science chiatique) pré-démontées (trichant toutes dans le même sens afin de nous prendre pour des canards sauvages dans nos salons-poulaillers). Même ici, les avis négatifs sur la musique (vous m'en direz tant ; on se croirait en action psychologique) ou les aveux d'abandon du film avant sa fin manifestent surtout, selon moi, le regret du temps où il était encore possible de se terrer de trouille (afin de refuser, comme d'hab, le simple entre-choc des idées). Je constate déjà une désaffection à l'égard des 4 opérations arithmétiques, devenues vraiment trop compliquées, eh, les bacheliers (uniquement pour faire du fric ?). - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 18:45
Jengi
Je vais rechercher l'original en français (et là, je ne le retrouve pas, c'est un comble). Un de mes collègues agrégé d'anglais avait fait la traduction ! - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 14:12
Brigitte Fau
Concernant les recrudescences post vaccination il faut approfondir en fonction de tout ce qui est introduit avec le vaccin. Tenant compte du fait que lorsqu'on parle de contagion, il ne s'agit pas d'injecter, de forcer les barrières naturelles, et c'est en effet le cas du vaccin oral polio. Que contient-il précisément ? Comment agit-il ? Oui, il faut s'interroger, Bernard, mais en observant sous tous les angles pas sur un seul critère "cliquet" verrouillant tout autre analyse. Tissot parle dans ce pamphlet de la recrudescence des maladies après vaccination en effet et comme tu disais, celles-ci ne sont pas prises en compte. Cela n'a pas changé. https://www.bonnes-habitudes.fr/obligation-1938/ LC Vincent expliquait que les adjuvants pouvaient déporter le terrain provoquant d'autres maladies souvent plus graves. Béchamp expliquait que dans les cas des injections, ce sont les microzymas de l'hôte qui réagissent au mélange injecté, bien plus sûrement que ceux injectés qui ne sont pas chez eux. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 13:43
Brigitte Fau
Merci Njama pour ce rappel des travaux de Hamer. Lui aussi en a bavé avec la pensée unique. - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 12:21
Brigitte Fau
Bonjour Bernard, Oui tout ce que tu dis concernant les cultures de "virus" vivants est vrai mais ce qui est cultivé n'est autre que des débris de cellules et ces débris n'ont pas réellement de caractère "viral" prouvé, voir cette publication récente (1) dans laquelle les chercheurs s'interrogent sur la causalité du virome. "the most critical challenge ahead is defining whether the virome plays a causal role in the associated diseases". je traduis : "le défi le plus important à relever est de déterminer si le virome joue un rôle causal dans les maladies associées." Il est bigrement temps de s'interroger. Sachant que lorsqu'on parle du "virome", il s'agit du matériel génétique trouvé dans nos organismes et qui est donc suspecté d'avoir ce caractère viral. Encore un consensus. Une suspection ne constitue pas une preuve. Le fait de pourvoir cultiver ces dits "virus" n'est pas choquant, surtout qu'il est rajouté d'autres cellules de singe le plus souvent. Stefan Lanka constate que la culture fonctionne tout autant sans les extraits dits "viraux", c'est le témoin, le contrôle qui devrait systématiquement être fait et qui prouve que ce n'est pas le caractère"viral" qui est démontré par la culture. Les restes cellulaires se cultivent. Les cellules se décomposent en microzymas, ce sont les microzymas à l'origine de leur formation. Et bien les microzymas peuvent être cultivés dans un milieu approprié. (1) https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1008318 - La TEMP en imagerie cérébrale des Covid longs
13/04/2022 11:52
hub37
Mélanges (tri-i / di-i = 1 ou i3 /i2 =1) davantage concentrés en acide gammalinolénique (AGL) que chanvre3+6caméline (0,7 % d’AGL ; 1 €/j en 2020) : • onagre2+8caméline (2 % d’AGL ; 1,20 €/j), prendre 7c. à c. / j du mélange constitué de 2 c. à c. d’h. ppfb d’onagre + 8 c. à c. (2 c. à S.) d’h. ppfb de caméline () ; • bourrache6+3caméline (14 % d’AGL ; 2,70 €/j), prendre par jour 6 c. à c. d’h. ppfb de bourrache + 3 c. à c. d’h. ppfb de caméline ; - Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d'un vaccin anti-polio défectueux? Première partie
13/04/2022 10:16
Bernard Guennebaud
Cette affirmation que tels virus n'ont jamais été isolés pourrait venir du fait qu'il n'est pas possible d'obtenir un virus "tout nu" mais qu'il aurait toujours besoin d'un support en quelque sorte. Mais même s'il en était ainsi, cela n'autorise pas à en déduire que le virus n'existerait pas ni qu'il ne pourrait pas être actif. Quelques exemples : 1- Le vaccin antivariolique était "à virus vivant ayant conservé la capacité de se répliquer". D'où la fameuse pustule associée à cette vaccination et qui laissait une trace quasi indélébile. Je n'ai jamais vu de virus mais j'ai été vacciné contre la variole. Je ne me souviens pas de la pustule, j'étais trop jeune pour cela, mais j'ai pu observer sa trace circulaire pendant des décennies. Aujourd'hui elle n'est plus visible, du moins avec mes yeux. C'était le virus du vaccin qui provoquait cela. Dans un cours du Centre international de l'Enfance (500 pages), professé en 1951, on y trouve une photo d'un bébé hospitalisé. Il est atteint d'une vaccine généralisée mortelle une fois sur deux. Pourtant il n'avait pas été vacciné contre la variole. C'était sa mère, fraichement vaccinée, qui l'avait contaminé. 2- Il est reconnu que le vaccin polio oral "à virus vivant" est capable de provoquer directement une polio chez le vacciné. 3- Le vaccin contre la rougeole est aussi affirmé "à virus vivant". J'ai pu lire dans un bulletin de l'InVS décrivant une épidémie de rougeole, que les cas de rougeole post vaccinale, donc provoqués par le vaccin, avaient été exclus de l'étude. - Covid-19, fin de l'ICS, premier bilan des connaissances et des controverses
13/04/2022 05:00
Jean-Marie GLANTZLEN
Cette somme de dérangeantes connaissances et d’avis réfléchis qui ne le ont pas moins mérite la reconnaissance de tout esprit libre et la (re)connaissance publique. Malheureusement Bigpharma avec ses suppôts et ses inféodés veille. Pour la/le contrer, les intervenants sont-ils prêts maintenant – autre courage ! - à se lever, accompagnés d’un maximum de leurs soutien, et à aller manifester (sinon plus) devant l’Elysée, Matignon, l’Assemblée nationale et le Sénat, après en avoir informé les réseaux sociaux, les médias libres et les autres ? Avec, plus que jamais, le souci du juste mot pour la juste chose, le souci des mots pesés pour éviter d'accroître, voire pour contribuer à réduire, les maux pesants. Et tout particulièrement en n’appelant pas « vaccin » - un concept à sérieusement remettre en cause comme de nombreux auteurs depuis des décennies - une « IGE » (Injection génique expérimentale) à l’échelle planétaire passablement mortifère et/ou plus ou moins durablement corpo-altérante , mais incontestablement fructueuse ….. financièrement s’entend.