Commentaires du site

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    14/04/2020 20:03
    Eric Marquant
    Veuillez nous excuser, il est dans votre droit de ne pas l'apprécier, mais comme vous pouvez le relire en sous-titre de cet article "Tous les commentaires insultants..." , voyez nous sommes tolérants nous n'avons pas pour autant supprimé la totalité de votre commentaire ; aussi ayez la gentillesse de bien vouloir mesurer votre colère. Merci.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 18:12
    Inoxydable
    Mais "p..;n" @ akira : le confinement est pareil partout en France et les résultats sont différents. On est sur un"plateau" ce soir selon Salomon, mais ce plateau dure avec une très légère diminution et il nous sort des explications complètement débiles...

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    14/04/2020 17:59
    Inoxydable
    On peut le penser cher B. Guennebaud. Nous autres, vieux croûtons, seront cuits. Pas de médicament pour lutter contre ( selon certains et nos autorités ne sont pas près de nous fournir les masques etc...)un vaccin qu'il faut trouver vite et utiliser ( sans étude random. ,) rapidement, (conf. le projet de "globalisation de la vaccination de Bill Gates, la propagande commence : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/lady-gaga-demande-%c3%a0-macron-de-mobiliser-plus-de-moyens-contre-le-covid-19/ar-BB12BUTK?li=AAaCKnE les saltimbanques, grand moralisateurs de notre époque sont prêts...) et notre grand bienfaiteur Présidentiel a un programme ! Problème : Sa repentance, il nous l'a servi après la crise de gilets Jaunes ,des erreurs ont été commises ... mais il l'a vite oublié; La date du 11 mai comme sortie du confinement n'est pas anodine : On zappe le 1er Mai jour récurent des protestations avec son long weekend ensemble le férié du 8 mais propices a des manifestations. Alors, on ne deconfine que le 11 mai !! En outre, comme l'a fait remarquer un consultant TV, ancien haut Magistrat au jugement très perspicace , la deuxième partie de son allocution était en fait réduit à ça " Il commence à développer le socle de sa campagne électorale de 2022 dans le 2è partie de son discours" ce qui a cloué le bec aux autres intervenant du débat. De toute façon je suis vraiment et définitivement imperméable à son air de componction de curé p........ qu'il emprunte à chacun de ses discours. Une telle dichotomie entre ses paroles et ses actes sont la marque d'une hypocrisie insoutenable. Un banquier quoi...

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 17:27
    Brigitte Fau
    @Rosal, le fait d'être surminéralisé semble en tout cas rendre les personnes plus sensibles aux CEM (non connecté à la terre) ; c'est le cas des électro-sensibles. Mais ce sont des sujets à approfondir.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 17:23
    Brigitte Fau
    @Rosal Cela me rappelle quelque chose, ces cartes de Delbet, en effet. Cela rappelle à quel point tellement de facteurs entrent en compte. Depuis Delbet, il s'est ajouté un autre facteur sociétal aggravant, nous portons des chaussures à semelles isolantes (plastiques) depuis 40-50 ans et nous nous sommes complètement coupés de la terre. Il suffirait de faire des semelles en carbone, pour rétablir çà (j'ai des tongues qui me gardent connectée). Chaque fois que nous sommes connectés à la terre, nous déchargeons le survoltage induit par les champs électro-magnétiques ; cela signifie que ces CEM nous oxydent = nous piquent des électrons et que connectés à la terre nous récupérons des électrons jusqu'à être au même niveau électronique que la terre. Exemple sous une ligne haute tension, chaussée, la différence de potentiel entre moi (pouce posé sur une électrode) et la terre (l'autre électrode fichée dans la terre) est de l'ordre de 2,5V. La même mesure pieds nus (en chaussettes de coton) : proche de 0 V. Par les pieds je récupère donc des électrons = je décharge le survoltage positif. A noter qu'on obtient le même résultat simplement en touchant une feuille. Nous récupérons des électrons par le biais de l'arbre et ses racines. C'est tout de même concret, et pourtant toujours méconnu. https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/la-prise-de-terre/

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 16:59
    Dr Vincent Reliquet
    Bonjour Raymonde, Il existe des maladies infectieuse parfaitement non immunisantes: En cas de mauvais karma rien ne vous empêche de développer deux tétanos dans le même trimestre, par exemple. Si un virus modifie suffisamment sa structure antigénique rien ne l'empêche de revenir vous contaminer, sur des formes parfois plus sévères, c'est l'effet "OAS" qu'Emma Khan présentera à la séance de travail de Juin soit en public, soit en webinaire avec podcast.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 16:48
    Raymonde
    S'il vous plaît : il me semble l'avoir déjà lu quelque part, pas très clair dans ma mémoire ... mais, quand vous dites : "on ne sait même pas si la maladie est immunisante" Serait-ce donc vrai ? J'en étais arrivée à en douter, l'autre jour le MG m'a affirmé que toute maladie de ce genre engendre une production d'anticorps ! Merci à vous, Bernard Guennebaud, de bien vouloir m'éclairer dans la mesure du possible.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    14/04/2020 16:33
    Hermine
    Des nouvelles du front et au risque de se perdre ! https://youtu.be/f_PQV0KtbUM

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 14:55
    Rosal
    @Brigitte Je serais plus encline à m'ouvrir sur le sujet de la BEV que je connais mal. Dites-moi si je me trompe, mais plus nous serions surminéralisés, plus nous serions conduteurs/réceptifs aux perturbateurs électro magnétique ambiant? Et plus notre corps serait impacté par toutes sortes de champs électriques, plus il perdrait d'électron, et donc, s'oxydrait? Du coup, selon le principe de la BEV, vous proposez de rééquilibrer la charge électrique du corps en se reconnectant à la terre pour "regagner" des électrons? Pqoi pas, P. Delbet suspectait en son temps que les carences en magnesium pouvait favoriser le cancer, et sa carte entre la pédologie de la France et les cas de cancer était assez troublante. Corrélation n'est pas causalité, etc, etc... https://i.goopics.net/L2WQW.png Force est de constater sur cette carte de l'INSEE, à ce stade de déplacement de l'épidémie, une disparité Nord/Sud se dessine et un quart Sud-Ouest fait une résistance assez marqué. Les facteurs d'oxydations sont nombreux dans notre environnement et nos modes de vie, et de nos jours, on ne mange plus local comme il y a 60 ans, on se déplace beaucoup plus à traves le territoire, etc... Il faudrait des facteurs environnementaux très ancrés localement pour établir un lien avec l'épidémie.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 14:28
    Hélène Banoun
    Activité antivirale in vitro de la doxycycline contre le SRAS-CoV-2 source (en anglais) : https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/ 2020/04/Dox_Covid_pre-print.pdf Résumé En décembre 2019, un nouveau coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) causant des maladies à coronavirus 2019 (COVID-19) est apparu à Wuhan, en Chine. Malgré les mesures de confinement, le SRAS-CoV-2 s'est propagé en Asie, en Europe du Sud, puis en Amérique et actuellement en Afrique. Il est urgent d'identifier des médicaments antiviraux efficaces. Une approche efficace de la découverte de médicaments consiste à évaluer si les médicaments approuvés existants peuvent être efficaces contre le CoV-2 du SRAS. La doxycycline, qui est une tétracycline de deuxième génération ayant des activités antimicrobiennes, antipaludiques et anti-inflammatoires à large spectre, a montré une activité in vitro contre le CoV-2 du SRAS avec une concentration efficace médiane (CE50) de 5,6 ± 0,4 μM. La doxycycline, avec ses activités antivirales et anti- inflammatoires, pourrait être utilisée en prophylaxie du COVID-19 à 100 mg par jour en association avec la chloroquine, ou en traitement à 200 mg par jour pendant 10 jours en association avec l'hydroxychloroquine. 1. Introduction En décembre 2019, un nouveau coronavirus du syndrome respiratoire aigu sé- vère (SRAS-CoV-2) causant des maladies à coronavirus 2019 (COVID-19) est apparu à Wuhan, en Chine [1]. Malgré les mesures de confinement, le SRAS-CoV-2 s'est propagé en Asie, en Europe du Sud, puis en Amérique et actuellement en Afrique. Actuellement, il n'existe aucun traitement antiviral recommandé par le ministère français de la santé contre le SRAS-CoV-2. Plusieurs médicaments sont testés dans le cadre de l'essai de découverte [https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04315948] et un protocole controversé utilisé massivement dans le monde associe une combinaison d'hydroxychloroquine et d'azithromycine [2,3]. Cependant, il est urgent d'identifier des médicaments antiviraux efficaces, peu coûteux et aux effets secondaires limités, qui soient immédiatement abordables, en particulier pour les pays émergents. Une approche efficace de la découverte de médicaments est la réutilisation de médicaments qui consiste à évaluer si les médicaments existants approuvés peuvent être efficaces contre le SRAS-CoV-2. La doxycycline est une tétracycline de deuxième génération qui possède un large spectre d'activités antimicrobiennes [4] et anti-inflammatoires [5]. En outre, la doxycycline a été approuvée comme prophylaxie contre le paludisme par la Food and Drug Administration en 1994 et est utilisée depuis 2006 à la dose de 100 mg/ jour par les forces militaires françaises déployées dans les zones d'endémie du paludisme [6]. La doxycycline présente également une activité antivirale in vitro. Ce dérivé de la tétracycline a inhibé de manière significative la réplication du virus de la stomatite vésiculeuse in vitro [7], le virus de la dengue par inhibition de la sérine-protéase NS2B-NS3 [8-10]. La doxycycline a montré l'inhibition de l'entrée et de la réplication du virus Chikungunya dans la cellule Vero à 11 μM [11]. En utilisant la méthode in-silico, la doxycycline pourrait être un inhibiteur potentiel de la nucléoprotéine du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, une protéine essentielle dans la réplication du virus [12]. En outre, la doxycycline a inhibé la réplication du virus du syndrome reproductif et respiratoire porcin, qui provoque des maladies respiratoires, avec une CE50 (concentration médiane efficace) de 0,25 μg/ ml (environ 0,5 μM) [13]. L'étude actuelle a évalué l'effet antiviral de la doxycycline contre le SRAS-CoV-2. 2. Méthodes et matériaux 2.1. Agent, virus et cellules Une solution mère d'hyclate de doxycycline (Sigma, Saint Louis, MO, USA) a été préparée dans du méthanol et diluée dans un milieu essentiel minimum (MEM, Gib- co, ThermoFischer) afin d'obtenir 7 concentrations finales allant de 0,1 μM à 100 μM. Le diphosphate de chloroquine (Sigma, Saint Louis, MO, USA) a été utilisé comme comparateur. La souche clinique isolée SARS-CoV- 2 (IHUMI-3) [2] a été maintenue en production dans des cellules Vero E6 (collection de cultures de type américain ATCC® CRL-1586TM) en MEM avec 4% de sérum foetal bovin et 1% de glutamine (milieu complet). 2.2. Essai de cytotoxicité L'évaluation de la viabilité cellulaire in vitro sur la lignée cellulaire VERO E6 a été réalisée selon la méthode décrite par Mosmann avec de légères modifications [14]. En bref, 105 cellules dans 200 μl de milieu complet ont été ajoutées à chaque puits des plaques de 96 puits et incubées à 37 °C dans un CO2 humidifié à 5 %. Après une incubation de 24 heures, 25 μl de chaque concentration de doxycycline et de chloroquine ont été ajoutés et les plaques ont été incubées 48 heures à 37 °C. Après élimination du surnageant, 100 μL de solution de MTT (bromure de 3-(4,5- diméthyl-2-thiazolyl)-2,5-diphényl-2H-tétrazolium, Sigma Aldrich, France) (0,5 mg/ ml en MEM sans FBS) ont ensuite été ajoutés à chaque puits. Les cellules ont été incubées pendant 2 h à 37 °C. Après incubation, la solution de MTT a été retirée et 100 μl de diméthyl sulfoxyde (DMSO) ont été ajoutés pour dissoudre les cristaux de formazan. Ensuite, les plaques ont été secouées à 700 tours/minute pendant 10 min à 37 °C. L'absorbance a été mesurée à 570 nm à l'aide d'un lecteur de microplaques TECAN Infinite F200 en utilisant le DMSO comme blanc. La concentra- tion de cytotoxicité à 50 % (CC50) a été calculée à l'aide du modèle sigmoïde inhibiteur Emax, qui a estimé la CC50 par régression non linéaire en utilisant une fonction standard du logiciel R (ICEstimator version 1.2, http://www.antimalarial- icestima- tor.net). La valeur de la CC50 a donné la moyenne de 5 expérimentations diffé- rentes. 2.3. Test d'activité antivirale En bref, des plaques de 96 puits ont été préparées avec 5,105 cellules/ml de Vero E6 (200μL par puits), comme décrit précédemment [15]. Les concentrations de doxycycline et de chloroquine ont été ajoutées 4 heures avant l'infection. Les cellules Vero E ont été infectées avec IHUMI-3 à un MOI de 0,25. Après 48 heures après l'infection, la réplication a été estimée par RT-PCR en utilisant le kit Superscrit III platine une étape avec Rox (Invitrogene) après extraction avec le kit BIo- Extract SuperBall (Biosellal, Dardilly, France). Les amorces utilisées ont été décrites précédemment [16]. La concentration efficace médiane (CE50) a été calculée avec le modèle sigmoïde inhibiteur Emax, qui a estimé la CE50 par régression non linéaire en utilisant une fonction standard du logiciel R (ICEstimator version 1.2). La valeur de la CC50 a donné la moyenne de 4 expérimentations différentes. 3. Résultats et discussion L'évaluation de la cytotoxicité de la doxycycline et de la chloroquine a montré que les valeurs de CC50 étaient > 100 μM pendant 48h. La valeur de la CC50 de la chloroquine est conforme à celles décrites précédemment [17,18]. La concentration ef- ficace médiane (CE50) était de 5,6 ± 0,4 μM pour la doxycycline et de 2,1 ± 0,8 μM pour la chloroquine (figure 1). Ces valeurs de CE50 dépendent de plusieurs conditions méthodologiques comme le MOI, la durée d'incubation [17,19]. La valeur de la CE50 pour la chloroquine est cohérente avec les résultats obtenus précédemment sur les cellules Vero E6 à un MOI de 0,2 [17]. La doxycycline a diminué la réplication du CoV-2 du SRAS de manière dépendante de la concentration. Outre son activité antivirale, la doxycycline a des effets anti-inflammatoires en diminuant l’expression de diverses cytokines pro-inflammatoires dont les interleukines 1, 6 et 8 et le facteur de nécrose tumorale alpha par les macrophages [5] et les chimiokines dont la protéine chimiotactique monocyte 1, la protéine inflammatoire des macrophages 1α et 1β [20]. L'activité immunimodulatrice de la doxycycline a amélioré la survie des souris septiques souffrant d'une inflammation pulmonaire [21]. La concentration de doxycycline était deux fois plus élevée dans les poumons que dans le sérum [22]. La doxycycline, utilisée comme prophylaxie du paludisme, a été bien tolérée à la dose de 100 mg/jour pendant plusieurs mois [23]. De plus, la doxycycline a été recommandée à la dose de 100 mg deux fois par jour pendant 10 jours pour la prophylaxie post-exposition de l'anthrax. Cette dose peut même être prise par les enfants de moins de 8 ans [24]. La doxycycline pourrait être utilisée dans la prophylaxie de COVID-19 à 100 mg par jour en combinaison avec la chloroquine à 100 mg par jour, qui inhibe l'entrée du SRAS-CoV-1 dans les cellules [25], ou dans le traitement à 200 mg par jour pendant 10 jours en combinaison avec l'hydroxychloroquine. À ces doses actuellement utilisées pour d'autres indications, la doxycycline pourrait être rapidement évaluée dans les essais cliniques de COVID-19.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 14:21
    Hélène Banoun
    Revoici le résumé que j'en avais fait L'avis des experts sur les vaccins antiCovid : très très mitigé !! Éviter les écueils dans la recherche d'un vaccin COVID-19 30 mars 2020 https://www.pnas.org/content/early/2020/03/27/2005456117 Editorial du PNAS La facilitation par le système immunitaire peut se manifester de différentes manières, comme la facilitation dépendant des anticorps (ADE), un processus dans lequel un virus utilise des anticorps pour faciliter l'infection, ou la facilitation cellulaire, qui comprend l'inflammation allergique causée par l'immunopathologie Th2. Dans certains cas, les processus de facilitation peuvent se chevaucher. Un débat scientifique est en cours pour savoir lequel de ces phénomènes, le cas échéant, dont les mécanismes exacts restent obscurs, pourrait être en jeu avec le nouveau coronavirus et comment ils pourraient affecter le succès des candidats vaccins. Certains affirment que bien que l'ADE ait reçu le plus d'attention jusqu'à présent, il est moins probable que les autres voies de facilitation immunitaire provoquent une réponse dérégulée au COVID-19, étant donné ce que l'on sait de l'épidémiologie du virus et de son comportement dans le corps humain. "Il existe un potentiel ADE, mais le plus gros problème est probablement l'immunopathologie Th2. Dans des études antérieures sur le SRAS, on a constaté que les souris âgées présentaient des risques particulièrement élevés d'immunopathologie Th2 potentiellement mortelle. Un expert s'inquiète de ce que cela pourrait signifier pour l'utilisation d'un vaccin COVID-19 chez les personnes âgées. "Bien sûr, les personnes âgées sont notre population la plus vulnérable". "Il faut vraiment tester un vaccin avec soin", "et pas seulement le lancer parce que les gens le réclament à cor et à cri alors qu'une épidémie est en cours". Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves : l'immunopathologie Th2, dans laquelle une réponse défectueuse des cellules T déclenche une inflammation allergique, et des anticorps peu fonctionnels qui forment des complexes immuns, activant le système du complément et pouvant endommager les voies respiratoires. Dans les années 1960, les scientifiques cherchaient un vaccin contre le VRS, la principale cause de maladie respiratoire grave chez les nourrissons. Lors des essais d'un candidat vaccin, plusieurs enfants ayant reçu le vaccin ont développé une maladie grave lorsqu'ils ont été infectés par le virus naturel. Deux bambins sont morts. Lorsque le SRAS, également un coronavirus, est apparu en Chine en 2002 et s'est répandu dans le monde entier il y a près de vingt ans, M. Hotez faisait partie des chercheurs qui ont commencé à étudier un vaccin potentiel. Lors des premiers tests de son candidat, il a observé comment les cellules immunitaires des animaux vaccinés attaquaient les tissus pulmonaires, de la même manière que le vaccin contre le VRS avait entraîné l'attaque des poumons des enfants par les cellules immunitaires. Je me suis dit : "Oh merde", se souvient-il, en notant sa crainte initiale qu'un vaccin sûr ne soit à nouveau pas possible. Mais son équipe a revu son approche. Au lieu de produire toute la spike protéine du virus, ils n'en ont construit qu'un minuscule morceau, celui qui s'attache aux cellules humaines, appelé le domaine de liaison au récepteur. Des tests ultérieurs sur les animaux ont montré que cette stratégie offrait la protection souhaitée sans provoquer la facilitation. Grâce au financement du NIH, l'équipe de M. Hotez a continué à fabriquer le vaccin et était prête pour les essais cliniques. Faux départ Mais ils se sont heurtés à un barrage. L'argent s'est tari. À ce moment-là, le SRAS ne se propageait plus et l'intérêt pour un vaccin avait diminué. Face à l'actuelle pandémie de coronavirus, "le calcul des risques et des bénéfices pourrait être très différent". Hotez : la partie passionnante est que je pense que nous avons déjà partiellement résolu le problème du renforcement du système immunitaire". Les anticorps produits pour se lier aux antigènes originaux du SRAS-1 peuvent ne pas se lier de manière aussi cohérente aux nouveaux antigènes du SRAS-2. Et ce manque de puissance pourrait augmenter le risque de facilitation, suggère Graham (Moderna) . Sinon, l'approche du domaine de liaison aux récepteurs pourrait être efficace. "Si nous avions déjà eu un vaccin homologué contre le coronavirus humain de 2002, nous serions beaucoup moins préoccupés par ces problèmes de sécurité . » Moderna : L'équipe de Graham tente d'atténuer la possibilité d'une facilitation et de maximiser la vitesse de développement du vaccin en injectant de l'ARNm afin de fabriquer un type de protéine très précis. "Nous savons au niveau des détails atomiques que cette protéine est façonnée de la bonne manière pour obtenir les bons anticorps pour avoir une activité fonctionnelle contre ce virus, "Ceci crée le type de réponse des cellules T qui préviendra l'inflammation allergique." Autre avantage de la transmission de gènes (par l'ARNm) : elle peut être fabriquée rapidement. Nous devons obtenir des réponses d'ici l'hiver prochain afin d'être au moins mieux préparés pour l'hiver 2021-2022". Mais les problèmes de facilitation persistent. Un comité spécial a été convoqué par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la traiter. Le comité a maintenant pour objectif de définir la signification exacte de cette facilitation, les questions pertinentes pour un vaccin COVID-19 et ce qu'il convient de faire avec ces informations. Un sous-groupe du comité devrait produire un rapport de synthèse dans quelques mois. Un expert est convaincu qu'au moins l'un de ces vaccins fonctionnera. "Mais, lorsqu'ils auront fait l'objet d'essais pour déterminer la sécurité et l'efficacité, le public aura-t-il la même volonté de mettre ce produit sur le marché ? "Allons-nous continuer à avoir des investissements publics et privés ?" L'OMS et d'autres responsables de la santé soulignent qu'il faudra probablement attendre un an et demi avant qu'un vaccin soit soumis à des essais sur des animaux et des humains et prêt à être diffusé. D'autres coronavirus attendent sans doute chez les chauves-souris sauvages, les primates et les rongeurs, prêts à faire le saut vers l'homme. "Les perturbations écologiques augmentent vraiment les chances de rencontrer un agent pathogène que nous n'avons jamais vu auparavant mais qui se développe très bien en nous".

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 14:20
    Hélène Banoun
    pour info Raoult 14 avril 2020 https://www.mediterranee-infection.com/coronavirus-recul-de-lepidemie-a-marseille/ Épidémie en train de disparaître à Marseille On a eu jusqu'à 368 cas positifs par jour et maintenant on est à 60-80 par jour. Surtout chez les asymptomatiques : on note diminution des cas positifs. Possible donc qu'épidémie disparaisse au printemps, on ne sait pas pourquoi mais c'est banal pour les maladies respiratoires Pour l'instant, pas d'incidence sur la mortalité à l'inverse de ce qu'il s'est passé en 1997, 2009 ; 2017 avec la grippe et autres infections respiratoires. Traitement : à l'IHU, il y a la plus grande série mondiale. 76 000 sérums testés de 32 000 patients, dont 2086 positifs. 2600 traités hydroxychloroquine et azithromycine : mortalité inférieure à 0,5% Cette thérapeutique se répand Institut de sondage Cermo montre que AZT utilisé dans 50% des cas et OHC dans 44% des cas : adoptés par praticiens car ça marche Publi remdesivir : aucun comparateur ni historique, ni placebo ! On note 60% d'effets secondaires, donc utilisable que chez formes graves, sinon ne sert à rien ! Cette publi permettra de suivre les fluctuations des actions Gilead (fabricant du Remdesivir) Kaletra aussi totalement inefficace (étude publiée) Les antiviraux auront activité modeste (formes graves, il n'y a plus de virus ou très peu!) Toxicité OHC et Azithromycine Cardiologie, des patients n'ont pas été traités car déconseillé par les cardiologues (très peu), sur les 2600 traités, il n'y a eu aucun problème. Mortalité des pays riches est supérieure aux pays peu médicalisés : en France lutte contre utilisation médicaments peu coûteux est peut-être responsable de ces taux de mortalité. La mortalité )à Marseille est plus basse qu'ailleurs : est-ce dû à l'utilisation de médicaments anciens et peu chres ?

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 14:12
    Bernard Guennebaud
    Oui Max, la stratégie retenue par la France (et d'autres ...) et exposée hier par un épidémiologiste est donc d'atteindre une immunité de groupe suffisante en laissant les enfants scolarisés contaminer leurs parents. Ces derniers étant jeunes, peu d'entre-eux feront des formes graves, pense-t-on et, pour éviter de submerger les hôpitaux, les "vieux" resteront encore confinés. Mais il faudra bien qu'ils sortent un jour ! Nous sommes donc tous condamnés et même invités, mais pas tous en même temps, à rencontrer le virus avec pour conséquence que les personnes fragiles, âgées vont en mourir ou être infirmées à vie avec une durée de vie réduite. Nous sommes condamnées à cela par la stratégie choisie par nos experts avec comme espoir présenté en premier par le Président : LE VACCIN !!! Le vaccin avant les traitements ! Il a exprimé ainsi la force dominante dans ce pays pour donner l'espoir, entrevoir le bout du tunnel. On ne sait même pas si la maladie est immunisante mais on surf sur des mythes. Roselyne Bachelot commentait en disant "c'est un pari ! " Oui, nos experts font un pari sur nos vies.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 12:39
    Leaunade
    Merci merci merci pour toutes vos informations et réflexions qui m'éclairent ! Elles m'amènent a la position suivante qui m'est toute personnelle. Les enfants ne sont pas atteints,ils restent en équilibre avec le virus parce que leur terrain n'est pas (encore ) suffisamment altéré par l'environnement'(air,eau,alimentation),la prise de médicaments, l'état de stress .... Le virus est une conséquence ,un révélateur.Il n'est pas l'origine de la maladie ,il en est l'accélérateur.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 12:19
    njama
    Pour compléter mes commentaires (voir + haut) un article d'un Blog de CATHY LG sur Mediapart met en plein texte deux des papiers du Dr Sabine Paliard Franco, le premier sur les formes sévères , le deuxième sur les cas suspects de Covid-19. https://blogs.mediapart.fr/cathy-lg/blog/140420/covid-19-lespoir-par-des-traitements-antibiotiques même s'il manque les graphes pour illustrer, l'essentiel de l'observation clinique et du traitement est là, à copier et sauvegarder pour mémoire... ou à appliquer en médecine de ville puisque c'est conforme à l’AVIS HCPS du 5 mars 2020. A priori, conclusion provisoire, les antibiotiques sont efficaces contre ce Covid-19... L'IHU de Marseille avait raison EN FÉVRIER 2019 de battre en brèche le dogme de l'antibiorésistance
    Résistance aux antibiotiques – De nouveaux résultats qui réfutent les prédictions catastrophistes
    Depuis 2002, chacun connaît le slogan « Les antibiotiques, c’est pas automatique » [.........] En conclusion, le diagnostic d‘une infection respiratoire virale ne doit pas contre-indiquer l’usage d’antibiotiques, car elle favorise le développement de surinfections bactériennes.
    Virus respiratoires et antibiotiques : il y a urgence à traiter les surinfections bactériennes
    Le rôle de HCQ n'est peut-être que modeste dans l'histoire, pareillement pour la Quercétine préconisée par le canadien le Dr Chrétien.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 12:15
    Brigitte Fau
    Oui Njama, vous avez raison concernant les variations "cosmiques" (l'influence de la lune, du soleil, interviennent en plus de notre rythme digestif, d'hydratation ...) des mesures et cela est vrai pour les mesures bioélectroniques comme pour tout autre type d'analyses. Et il faut en tenir compte en effet et surtout en être conscients. Concernant ma logique ou plutôt celle de la bioélectronique, voici une conférence (la première que je faisais) qui pourrait vous éclairer et beaucoup d'autres : la voici en version "longue" (1h) donc plus explicite : https://youtu.be/Y7782mV4QbI et en version "courte" (<30mn) : https://youtu.be/AWMVVDp3Eu8

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    14/04/2020 12:13
    Bernard Guennebaud
    Au contraire, malgré ces différences que vous indiquez, il y a des choses communes et ici je pointais la volonté qui fut déterminante. Certes le fait que la variole était facile à dépister à vue était un avantage considérable. Sur le terrain la méthode de test était .. des affiches ! Deux milliards d'affiches montrant une petite fille atteinte de variole avait été imprimées, autant que de doses de vaccins ! Des récompenses étaient offertes à toute personne qui signalait un cas. La correspondance ce sont les tests biologiques qu'il faudrait avoir en masse et qu'on n'a pas. Dans les 2 situations, avec des moyens techniques très différents, il faudrait chercher à faire la même chose :remonter et descendre les filières. D'ailleurs je suis convaincu que l'OMS s'inspire beaucoup de la stratégie variole, adaptée bien sûr, dans ses recommandations. Je persiste à penser et dire que ce qui s'est produit au cours de la campagne d'éradication est un formidable exemple d'école qui serait très utile aujourd'hui. Par exemple encore le fait de mettre en quarantaine dans la même habitation le malade avec la famille fut catastrophique, le malade contaminant les autres personnes, d'où une flambée énorme avec 188 003 cas en 1974 contre 21 700 en 1970. Contre le covid 19, laisser chez eux les malades avec la famille est un désastre. Tant qu'on les laissera ainsi au lieu de les sortir pour les isoler, l'épidémie ne régressera pas ou très peu. On le sait grâce à la leçon de la variole mais il faudra attendre le 11 mai, selon ce qui fut dit hier, pour s'engager dans cette voie. Je crains qu'on n'ait pas beaucoup avancé si rien ne se fait dans cette direction d'ici là. Il y a les stratégies épidémiologiques d'une part et les critères biologiques et médicaux d'autre part. Il ne faut pas tout mélanger en écartant des stratégies épidémiologiques au motif que les critères biologiques ne sont pas les mêmes.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 10:42
    Scotome
    « On peut pousser son [chariot] au supermarché, mais on ne peut pas accompagner le cercueil de sa mère » [...] on ne peut pas dire adieu à sa mère, on ne peut pas assister à sa crémation, on ne peut pas dire lui dire un dernier poème, devant quelques proches réunis. Ça n’a rien à voir avec le coronavirus. Ça vient de nous, de notre inhumanité naissante. [...] L’homme ne s’est pas retiré du monde, il s’est retiré de lui-même, il a retranché son humanité. Ne pas enterrer ses morts, c’est enterrer sa vie même. [...] Le deuil, les larmes, le rituel, la chaleur humaine, le cœur, l’âme, les déchirements, les déchirures, les cicatrices, les colères, les rages, ça ne rapporte rien, ça ne mérite aucune case dans aucune attestation dérogatoire de déplacement. [...] Je ne vous pardonnerai pas de laisser crever les morts. [...] Vous êtes les fantômes d’un monde mortifère détruisant nos songes. Vous avez presque le monopole radical de la mort, je ne vous laisserai pas celui de la vie. https://www.bastamag.net/Covid-deces-obseques-deuil-ceremonie-funeraire-enterrer-ses-morts

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 09:48
    Max Divert
    Ne faut-il pas passer à un stade de conscience supérieur et se demander si, pour les petits des peuples, l’histoire ne vient pas d’être arrêtée ? Le pouvoir européen essaie de confiner à vie, les + de 65 ans… pour les protéger, c’est-à-dire en langage macronien pour les fragiliser, donc, voire plus… En effet, cela signifie : ne plus voir ses amis, ses voisins le moins possible, son coiffeur, même son médecin parfois (!) etc. et, surtout : ses enfants et ses petits enfants ! Cette isolation va démoraliser les plus fragiles de nos anciens, entraînant une défaillance immunitaire, laquelle se fera submerger par le premier pathogène venu, aidé en cela par un « vaccin anti-corvid ». Et, de là ... Quant aux enfants, les vaccinations obligatoires devraient régler la situation. Seuls, ceux qui auront le droit d’aller travailler, pourront sortir, ...jusqu’à 65 ans.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    14/04/2020 08:28
    njama
    Un internaute (pseudo Flash) a retrouvé dans le cache Google la version HTML du fichier https://sfgg.org/media/2020/03/covid-traitement-macrolide-c3g.pdf. sauf que le fichier PDF d’origine a été transformé par Google en page html et que les graphes ont disparu. https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:8lbEM4gs0okJ:https://sfgg.org/media/2020/03/covid-traitement-macrolide-c3g.pdf A noter que l'option thérapeutique prise par le Dr Sabine Paliard-Franco est dans les clous, la prescription de Macrolides n’étant pas hors AMM et même indiquée dans l'AVIS HCPS du 5 mars 2020. Par contre le document HCPS du 23 mars incite lourdement les médecins à cornaquer les malades Covid vers l’essai Discovery *. Nos savants auraient-ils du mal à trouver des volontaires pour ces essais cliniques ? * « Ainsi, le HCSP recommande notamment : Que tout praticien soit fortement incité à inclure tous les patients atteints de Covid-19 dans les essais cliniques. Que tout prescripteur prenne en compte l’état très limité des connaissances actuelles et soit conscient de l’engagement de sa responsabilité lors de la prescription de médicaments dans des indications hors AMM, en dehors du cadre d’essais cliniques. » https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=785

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    14/04/2020 08:26
    Nathalie
    Bonjour, voici le lien vers un documentaire d'un média indépendant sur le financement de l'OMS, je vous invite à le regarder. https://mrmondialisation.org/loms-dans-les-griffes-des-lobbyistes/?fbclid=IwAR1RjI2JaCvRgdwGsVGnclrKjEXnNGdVkDOqyf9RdCLub2s6bM7UN9jvCxw

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 23:42
    S. Barahj
    Beaucoup de médecins traitent les angines de l'adulte, les bronchites, essentiellement virales, les rhinites, par un antibiotique , et je vous le confirme , ça marche très bien.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 21:54
    njama
    @Brigitte Fau J'entends bien votre logique qui toutefois me laisse très perplexe pour le moment. Concrètement suggéreriez-vous de mettre au point une sorte de test pour mesurer "l'état bio_électronique" des patients, un peu (pour imager) comme on mesure la capacité d'une batterie (?) à un instant T. Je suis très attentif à ce que vous écrivez et qui me passionne parfois mais j'avoue avoir dans d'autres moments du mal à vous suivre sur tous les points dans vos connexions bio-électroniques... En toute amitié aimsibienne je vous promets d'essayer de m'améliorer sur ce point... Pour recoller un peu au sujet de l'article, la mesure du cholestérol ou celle de la tension artérielle peuvent l'une comme l'autre varier dans la journée ou sur quelques jours, et jouer au yo-yo (+ ou -) - j'ai expérimenté ça - aussi je m'en méfie énormément des mesures de ceci ou de cela, toujours faites à un instant T, celui de votre RDV avec votre médecin (votre stress ou sa blouse blanche pouvant influencer les résultats (?)), celui du prélèvement par un labo aux aurores quand vous avez encore le cœur qui dort ou la tronche dans la cake comme on dit ... pouvant faire varier ces résultats dans un sens ou dans l'autre. A la lecture de cet article je reste vraiment "sidéré" devant cette liste de médicaments -pril et -sartans que je ne connaissais ni d'Éve ni d'Adam, pas mais qui laisse entrevoir derrière un marché de la santé sur quelques définitions de ce qui serait normal de ce qu'il ne le serait pas. La bonne illustration, le contre exemple, Uffe Ranskov ! Merci Uffe ! Si un taux de cholestérol considéré comme normal est à discuter et très discutable celui de la tension artérielle devrait l'être tout autant. Sauf que la médecine académique, y compris l'OMS qui nous distille la bonne parole comme le Congrégation de la Foi s'y emploie pour le Vatican, elle nous dit (impose subjectivement) un standard Amis_si_biens, si vous avez un p'tit coup de sang, un p'tit coup de chaud, un p'tit coup de calcaire, un p'tit coup de blues pour je ne sais quoi qui, après coup, n'en vaut pas la peine sûrement, ne vous inquiétez pas trop vite. Consultez l'Aimsib pour vous rassurer, ou laissez un message, et si ça ne va vraiment pas "les conseils" votre médecin préféré.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 21:53
    Bernard Guennebaud
    Sur une télé j'ai entendu un jeune épidémiologiste dire avec beaucoup d'assurance qu'en ouvrant les crèches, les écoles etc... après le 11 mai l'objectif était de favoriser la circulation du virus afin d'atteindre une immunité collective suffisante et non pas de chercher à stopper sa circulation. Il a ajouté que cela, le président ne pouvait pas le dire dans son discours. Nul doute que les experts l'ont conseillé en ce sens. La stratégie d'ailleurs explicitée par cet épidémiologiste serait donc la suivante : le virus circulerait parmi les enfants sans y faire de dégâts. Ils contamineront leurs parents qui sont des adultes jeunes chez lesquels les formes graves restent rares. Les personnes dites âgées (plus de 65 ans) resteront confinés pour limiter les formes graves afin de ne pas submerger les hôpitaux. Le choix est clair : on ne cherche pas à éradiquer le virus mais au contraire à le faire circuler suffisamment mais pas trop. C'est un pari doublement risqué pour 2 raisons majeures : 1- Ce n'est pas très facile à entendre pour les populations : se protéger tout en cherchant quand même à se contaminer ... 2- Il n'est pas du tout certain qu'une telle stratégie puisse fonctionner sur le terrain et dans des délais acceptables pour l'économie et la patience des populations. Il fut affirmé que si on visait l'éradication il faudrait rester confiné très, très longtemps alors qu'ainsi ça durera moins longtemps. Rien n'est moins sûr. Je l'ai déjà expliqué avec des petits calculs. Chercher à atteindre une immunité collective suffisante alors que l'on n'a aucune idée de sa valeur est une folie. On a dit 60%, 70%, en fait on n'en sait rien et on n'est même pas sûr que la maladie soit immunisante. Il y a donc là un pari extrêmement risqué. Un vaccin ? On mise sur les propriétés mythiques attribuées au vaccin. Quand il arrivera, s'il arrive, on risque de déchanter très vite. L'éradication parait plus difficile et est déclaré impossible. En fait le premier obstacle est que la volonté d'y parvenir n'existe pas. Le premier ingrédient qui fut à l'origine de l'éradication de la variole fut la VOLONTE d'y parvenir. Au début, en 1962, cette objectif n'était pas partagé par tous les pays endémiques, beaucoup n'y croyaient pas. Il a fallu le dynamisme de Donald Henderson pour les entraîner et pour dynamiser les équipes sur le terrain. S'il fut un piètre scientifique, il fut un grand chef de guerre, un maréchal Foch dirait William Dab ! Pour réussir cette opération il faudrait dépister le plus tôt possible les malades, les sortir de chez eux pour les isoler, dépister les autres membres de la famille, remonter et descendre les filières. Distribuer des masques etc ..Tout cela on ne le fait pas parce qu'on ne peut pas le faire. On nous dit qu'on commencera à le faire après le 11 mai ... Je crains que nous soyons parti pour une très longue et très coûteuse promenade en bateau où nous perdrons de tous les côtés. Je persiste à penser, modélisations à l'appui, que l'éradication du virus était la méthode la plus rapide pour nous sortir de cette impasse. Mais il en faudrait la volonté et au niveau mondial... On en est très loin et l'OMS prêche dans le désert.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 21:00
    Inoxydable
    Comme vous dîtes Brigitte Fau : "Nous y voilà" Confinement jusqu'au 11 mai , dans le meilleur des cas, triomphe de vaccinalistes obligationistes, echec des médecines alternatives quel qu'elles soient ( hydro..;machin, antibio ou autres). Où seront les études randomisées là ??? On pourra discuter longtemps sur la comète après çà. Je le redis comme je l'ai dis sur le Blog Info, pour la première fois de ma vie j'ai vraiment peur et tout ça parce qu'un idiot, pour paraître plus intelligent, s'est entouré de plus idiots et d'incapables que lui. Il ne reste plus que ça : https://youtu.be/V20Rjm1HslM

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 20:53
    Olive verte
    Ok, merci, du coup Je vais sortir un peu du sujet. Si je suis à côté de la plaque sur la mise en parallèle de ces états, ne pas hésiter à faire sauter mon message. Les causes entre cette peut être vascularite qui accompagne le covid 19 et les vascularites déjà connues sont a priori différentes. A voir à la saison suivante si une vascularite temporaire "Covid19" ne sera pas aussi une contre indication pour le vaccin anti-grippe, comme le mentionne Wikipédia pour les vascularites connues. Les références sont dans le lien. " https://fr.wikipedia.org/wiki/Vascularite Vascularites et vaccinations L’existence de vascularites postvaccinales reste toujours à démontrer. Cependant la littérature rapporte des observations suggérant la responsabilité éventuelle d’une vaccination dans le déclenchement et/ou la réactivation d’une vascularite systémique. Les deux vaccins le plus souvent incriminés sont l’anti-VHB et l'antigrippal. Il faut savoir évoquer l'hypothèse vaccinale devant une vascularite cutanée en saison automnale vaccinale. La vaccination antigrippale est donc contre-indiquée formellement chez les sujets ayant fait une vascularite après vaccination antigrippale, et fortement déconseillée chez les sujets ayant des antécédents même lointains de vascularite. Les imputations au vaccin antihépatite B doivent être mises en regard avec les cas imputés au virus lui-même : avant la mise au point du vaccin contre l'infection par le virus de l'hépatite B, plus de 50 % des cas des périartérites noueuses étaient liés à une infection par le VHB10"

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 20:41
    Inoxydable
    C'est vrai Njama, les liens fournis ne fonctionnent plus mais celui ci oui : https://blogs.mediapart.fr/jeroboam51/blog/130420/traitements-possibles-pour-les-malades-atteints-du-covid-19 C'est peut-être plus difficile de museler Médiapart...

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 20:16
    Brigitte Fau
    Nous y voilà, Vincent, les mesures bioélectroniques du terrain pourraient tellement facilement mettre en évidence les risques. Les maladies virales et même nos maladies de société pour la plupart sont liées à un sang veineux oxydé ; une simple mesure du rH2 du sang peut en témoigner. Que se passe-t'il quand le sang est suroxydé ? Il manque d'électrons disponibles pour capter l'oxygène au niveau des poumons. L'oxygène se fixe par une réaction d'oxydo-réduction, il est l'oxydant et le sang devrait être le réducteur (cas terrain sain) mais il ne l'est plus (terrain oxydé). Les maladies virales s'expriment sur un terrain oxydé donc, mais également surminéralisé, et la dérive de ces 2 paramètres est propice aux thromboses (aux microthromboses donc). Il se produit en effet une coagulation du sang lorsque l'énergie vitale dépasse 540 microwatts, c'est la fameuse ligne des thromboses du diagramme Vincent (voir l'article du Pr A. Fougerousse) (1). De nombreuses causes affectent ces paramètres : ->L'oxydation : la nourriture transformée, les vaccins, les ondes électro-magnétiques, le stress, le fait d'être coupé de la terre .... ->La surminéralisation est le plus souvent souvent causée par des eaux minérales dont les minéraux ne sont pas assimilables, Les sodas, la déshydratation ... A noter que les minéraux doivent être fournis par les végétaux qui nous les fournissent sous un forme assimilable. La surminéralisation du sang est dû au fait que le sable formé par ces minéraux, devrait être éliminé régulièrement par l'urine, mais il finit par boucher les reins et le sang devient de plus en plus chargé. Le virus n'a rien à voir dans tout çà, c'est bel et bien l'état dégradé du terrain qui peut avoir été aggravé par un vaccin, la nourriture aseptisée, la 5G ou que sais-je ? qui provoque cette enchainement de symptômes conduisant à la détresse respiratoire. La BEV serait d'un tel secours ! (1) https://www.aimsib.org/2019/11/17/lexplication-sur-la-thrombose-qui-va-vous-en-boucher-un-coin/

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 19:31
    Ratatouille
    https://algerianext.com/2020/04/letude-qui-chamboule-tout-le-covid-19-nous-a-berne-mais-nous-avons-peut-etre-trouve-son-secret/ Les Pr Wenzhong Liu et Hualan Li ont en effet mis en évidence le fait que le Coronavirus ne serait pas un virus qui s’attaque au système respiratoire comme on le pensait jusqu’à présent, mais au système sanguin.

  • Des raisons de la déraison d’une époque traversée par un virus meurtrier
    13/04/2020 19:30
    pezet
    13 AVRIL: 14967 morts le chiffre que j'avais avancé va être dépassé demain et on est encore loin de la sortie...nos voisins germains n'en sont qu'à 3000...Je les envie.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 18:09
    spartacus
    Confinement et gestion sociale https://lundi.am/Pouvoir-domicile-mort-a-l-ere-du-Covid-19

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 17:57
    Inoxydable
    et pourtant : https://www.laprovence.com/article/societe/5960359/la-mort-na-pas-voulu-du-moi-les-provencaux-gueris-du-coronavirus-temoignent.html

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 17:56
    Inoxydable
    C'est votre phrase "Et l’arrivée probable aux affaires du pire de ce que la politique est capable de produire." qui m'a laissé supposer. Mais finalement, en un sens il est heureux ou malheureux selon le cas, que le "pire de ce que la politique est capable de produire " ne soit pas arrivé .. qu'est ce qu'on aurait lu ou entendu ne serait-ce que sur la gestion de cette pandémie, les larbins genre BMF T.V auraient poussé à la révolution. Et ce n'est pas le moment, mais tout se paie un jour... ou alors, c'est que les Français auraient vraiment la mémoire courte. Bon, Spartacus, je ne suis pas votre Crassus, et je cesse de supputer.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 17:48
    Letessin
    Pour compléter mon post précédent, voici la dernière fréquence à jour mise à dispo par le site : https://www.spooky2.fr/mise-a-jour-frequences-de-soin-coronavirus-2019-2020-03-26/ https://soundcloud.com/frequency-heals/update-healing-frequencies-for-coronavirus-2019-20200326#t=0:00 et pour ceux que ça intéresse, un exemple d'étude publiée comme il se doit ici apparemment (en dbl av. + placebo), difficile à trouver car ce n'est pas vraiment le genre de sujet aisément financés... https://www.researchgate.net/publication/268297712_Effect_of_Pulsed_Radio_Frequency_Stimulation_on_Wound_Healing_A_Double-Blind_Pilot_Clinical_Study Ce type de thérapie à base de RF est utilisé dans certains pays, quand il est complètement délaissé dans d'autres. Les financements (rien à vendre?), la société Novabiotronics d'Anthony Holland semble en avoir fait les frais car ses travaux, quoique intéressants, semblent s'être figés en 2013 : http://novobiotronics.com/MRSA1.html Dommage car leur technologie (antenne plasma + gaz + champs électriques) n'était pas sans rappeler les travaux d'un certain Antoine Priore... https://www.amessi.org/Qu-est-devenue-la-decouverte-d-Antoine-Priore

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 16:54
    Dr Vincent Reliquet
    Je vous livre ce qui me tombe ce soir, à trier cette semaine. C'est important car cela peut expliquer la raison pour laquelle la réa menée telle qu'elle l'est n'est pas souvent très opérante. 1. La recherche révèle que le COVID-19 attaque l'hémoglobine dans les globules rouges, le rendant incapable de transporter l'oxygène. Les protocoles médicaux actuels pourraient tous être erronés! https://www.thailandmedical.news/news/must-read-research-reveals-that-covid-19-attacks-hemoglobin-in-red-blood-cells,-rendering-it-incapable-of-transporting-oxygen--current-medical-protoco?fbclid=IwAR0ottaOdbyQvgPySZET0-BwR07nr6t0EMslz4qLvoCdDjx9RF2Xi9d_4to Traduit sur facebook : https://www.facebook.com/notes/lyme-team-le-collectif/la-recherche-r%C3%A9v%C3%A8le-que-le-covid19-attaque-lh%C3%A9moglobine-dans-les-globules-rouges/661060431374284/ 2. COVID-19: Attaque la chaîne 1-bêta de l'hémoglobine et capture la Porphyrin pour inhiber le métabolisme de L’heme humaine. https://chemrxiv.org/articles/COVID-19_Disease_ORF8_and_Surface_Glycoprotein_Inhibit_Heme_Metabolism_by_Binding_to_Porphyrin/11938173 3. Coronavirus: espoirs de la découverte de Sandro Giannini https://buongiornonews.it/coronavirus-una-speranza-dalla-scoperta-del-prof-giannini/?fbclid=IwAR0omJzFRc2cr8uW33Vf5HR9uHcI6G_CrMSamJejHhITcjmsdN5Fd9FVDrQ

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 16:31
    njama
    Si je peux me permettre cet aparté en marge de vos érudites et très intéressantes considérations sur les -pril et les sartans... Un « 4ème » médecin généraliste, le Dr Sabine Paliard-Franco exerçant à Chabons en Isère a fait part à ses confrères du protocole d’antibiothérapie qu’elle applique depuis début mars et qui fonctionne très bien. Elle a transmis un rapport de son expérience fin mars à la Société de gériâtrie et gérontologie qui l’avait mis sur son site. Ce document traitait des cas graves dont elle a eu à s’occuper (15 sur 80). Il n'était encore disponible samedi, mais il n'est plus accessible ??? rétracté, ou glissé sous le tapis ? http://www.agree-asso.fr/index.php/actualite/123-experiences-territoriales?fbclid=IwAR1mgHlDb97plpo6RCg6kJwhd9uZFrmXPoCc5us6Tl250LIKEaxwFSnuInE Elle a donc traité et guéri un bon nombre de patients avec un antibiotique courant de la catégorie des Macrolides (Zithromax, Zeclar, Rulid ou Josacine) et dans les cas présentant une pneumopathie mal tolérée, une association avec une C3G (CEFTRIAXONE) ou Cefpodoxime. Elle explique que les 3 ou 4 antibiotiques qu’elle a administrés - en fonction de la façon dont ils étaient supportés sur le plan digestif - se sont montrés aussi efficaces l’un que l’autre. L’amélioration est nettement perceptible après 2 jours. Par contre, la partie du rapport qui concerne les cas modérés est encore disponible : RETOUR D’EXPÉRIENCE sur la prise en charge de MALADES SUSPECTS DE COVID 19 : GROUPE I https://sfgg.org/media/2020/03/protocole-groupe-i-29-mars-2020-bis-suspicions-covid-19-docx.pdf Le plus étonnant est que ce protocole "fait maison" s'inspirant certainement du traitement de pneumonies figure pages 19, 20/33 dans l' AVIS Haut Conseil de la santé publique relatif à la prise en charge des cas confirmés d’infection au virus SARS-CoV21 du 5 mars 2020, toutefois après les options thérapeutiques Traitement spécifique par Remdesivir, lopinavir-ritonavir, chloroquine, et autres. Il n'en est que plus légitime. 5.2 Traitements non spécifiques 5.2.1 Prise en charge des formes graves en réanimation 5.2.1.3 Antibiothérapie En cas de pneumonie, il est nécessaire, de réaliser le plus rapidement possible des prélèvements respiratoires profonds à visée diagnostique virologique, bactériologique et mycologique afin de documenter au mieux l’infection ou les co-infections. • L’antibiothérapie probabiliste peut s’inspirer des recommandations émises pour le traitement des pneumonies post-grippales de la SPILF, SPLF et ANSM (2010) et des recommandations émises par la SFAR et la SRLF sur les pneumonies associées aux soins de réanimation (2017) [64, 65] • Concernant l’antibiothérapie probabiliste initiale : - Pour les formes non graves, l’antibiothérapie probabiliste peut s’inspirer des recommandations émises pour le traitement des pneumonies post-grippales : amoxicilline + acide clavulanique ou C3G injectable (céfotaxime). - Pour les formes graves (avec désescalade dès documentation microbiologique) : C3G injectable (céfotaxime) ± macrolide ou fluoroquinolone (lévofloxacine) - Pour les formes gravissimes (avec désescalade dès documentation microbiologique): C3G (céfotaxime) + linézolide + macrolide ou fluoroquinolone. • Pour les pneumonies associées aux soins, survenant en réanimation : voir le tableau 4 en infra. • L’antibiothérapie documentée permettra d’adapter le traitement anti-infectieux aux agents identifiés (bactéries, champignons…), et à leur sensibilité déterminée in vitro. https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/273958.pdf

  • Pandémie COVID-19, l'analyse générale de l'AIMSIB
    13/04/2020 16:04
    Dr Vincent Reliquet
    Bonjour Carreaud, "La vente de bestiaux" n'est pas fantaisiste, cherchez un peu et vous trouverez un pekinois qui se serait constitué une sorte de treizième mois d'une valeur d'un million de dollars en vendant de la viande de primates issus de labos non P4 de sa ville. S'agissant de Yves Levy il m'a semblé en écrivant cet article que de le citer ne servait à rien dans mon propos.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 15:57
    riboulours
    Sur le traitement , on a une réponse en temps réel : 2494 / 10 ( 0,40 % )

  • Pandémie COVID-19, l'analyse générale de l'AIMSIB
    13/04/2020 15:47
    carreaud
    Il me paraît bien étrange qu'un virus puisse "s"échappé" d'un laboratoire de Wuhan type P4 , en effet ces labos sont une sorte de fort-knox avec des sécurités hors normes et qui dépassent même notre imagination. La vente de bestiaux après des essais sur eux dans un marché de Wuhan me paraît fantaisiste, les chercheurs de ce type de laboratoire sont très bien payés en Chine et n'ont aucune raison d'aller vendre des bêtes sur le marché de Wuhan, tout cela est ridicule, votre sujet parle comme si les hommes de ces Labos de hautes sécurités biologiques en Chine feraient des trafics dans tous les sens . Mais vous ne parlez pas absolument pas du plus grand immunologue de France voir même du monde et Directeur de l'INSERM "Yves Levy" celui-ci était pourtant à l'inauguration du Laboratoire P4 Franco-Chinois à Wuhan en 2017 ?

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 15:23
    Bernard Guennebaud
    Merci pour le lien et Y'a la traduction google : "Le Dr Anthony Cardillo a déclaré avoir vu des résultats très prometteurs lors de la prescription d'hydroxychloroquine en combinaison avec du zinc pour les patients COVID-19 les plus gravement malades. "Chaque patient auquel je l'ai prescrit était très, très malade et en 8 à 12 heures, ils étaient pratiquement sans symptômes", a déclaré Cardillo à Eyewitness News. "Donc, cliniquement, je vois une guérison." Cardillo est le PDG de Mend Urgent Care , qui a des bureaux à Sherman Oaks, Van Nuys et Burbank. Il a dit qu'il a trouvé que cela ne fonctionne que s'il est combiné avec du zinc. Le médicament, a-t-il dit, ouvre un canal pour que le zinc pénètre dans la cellule et bloque la réplication du virus." Il a ajouté que le médicament ne devrait pas être prescrit à ceux qui ne présentent que des symptômes bénins pour éviter une pénurie. C'est l'inverse de Raoult mais pour des raisons différentes et ce dernier n'utilise pas le zinc.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 15:21
    Raymonde
    Cela donne tout de même une bonne idée de "l'affaire" ! merci Bernard Guennebaud

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 14:32
    S. Barahj
    Un autre du même grade de preuve Raoult 5 (Raoult 1 c'est les papiers sur hydroxycoloquinte, Raoult -0 c'est ce qui lui a valu le bannissement 1 an de publication dans les journaux d'une société savante): https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.07.20056788v1 Comme me dit un camarade qui m'a passé le papier: Quelques défauts majeurs, inhérents à la conception : observation. Parmi les patients morts ou passés en soins intensifs, il se peut qu'une grande partie d'entre eux étaient si malades que leurs médecins avaient décidé que les ACEI/ARB étaient contre-indiqués. Il s'agirait de patients dont la maladie rénale, l'insuffisance cardiaque, etc. étaient si graves que les IECA/ARB n'avaient jamais été essayés, ou l'avaient été, avaient causé des problèmes (hypotension, insufisdance rénale aiguë, etc.) et avaient donc été arrêtés. Si tel était le cas, cette étude pourrait détecter que certains patients sont morts ou sont passés en soins intensifs pas parce qu'ils n'étaient pas très malades mais parce qu'ils prenaient des ACEI/ARB (ce qui les rendait susceptibles de complications), et d'autres qui étaient très malades (trop malades pour prendre des ACEI/ARB), qui sont morts ou sont allés aux soins intensifs. Le groupe des pas morts ou pas passés aux soins intensifs peut contenir des patients trop bien portants pour avoir réellement besoin d'ACEI/ARB,. L'analyse aurait pu regrouper ces quatre groupes en deux : (1) [trop malade pour prendre des ACEI/ARB PLUS pas très malade, sous ACEI/ARB, et malchanceux], qui sont morts ou sont allés aux soins intensifs ; et (2) pas très malade et pas sous ACEI/ARB PLUS pas très malade, sous ACEI/ARB, et pas malchanceux], qui ne sont pas morts ou ne sont pas allés aux soins intensifs. Il s'avère que le nombre de personnes qui prenaient des ACEI/ARB dans le groupe (1) est un peu plus faible que le nombre de personnes qui prenaient des ACEI/ARB dans le groupe (2). Il y a aussi un élément d'ethnicité possible. L'observation selon laquelle les ACEI/ARB ne fonctionnent pas très bien chez les Afro-Américains s'est peut-être répercutée dans la pratique britannique, de sorte que le groupe qui ne prenait pas d'ACEI/ARB avait des antécédents environnementaux et génétiques différents de ceux qui en prenaient. Nous nous retrouvons avec un document qui constitue une bonne raison de procéder à une étude randomisée, qui est en fait l'endroit où nous étions déjà. Au moins, cela ne sonne pas comme un énorme avertissement.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 14:11
    Bernard Guennebaud
    Toutes choses égales par ailleurs, ce sera difficile car les 2 démarches sont différentes. Je veux chercher si ma ville a voté comme la France. Je prends le résultat obtenu pour toute la France, 52,3% de oui au référendum. Le test ne fera pas intervenir le nombre total de votants pour la France. Cette proportion sera traitée comme valeur théorique. Je veux maintenant comparer les résultats entre 2 villes, Tours et Orléans pour décider si elles ont voté ou non de la même façon.Dans ce cas, les tailles des échantillons retenus pour les 2 villes vont intervenir. Que peut bien vouloir dire "toutes choses égales par ailleurs" entre ces 2 situations ? Même si j'habitais à Tours je ne vois vraiment pas comment préciser "toutes choses égales par ailleurs". Vraiment je ne vois pas. Si vous voyez, dites-le mais pas uniquement en martelant une affirmation mais avec des arguments précis s'il vous plait. Dans le premier cas on compare Tours à la France considérée comme modèle théorique et dans l'autre Tours à Orléans en utilisant dans les 2 situations 2 tests différents par leur technique. De plus, si l'une des conditions pour constituer les 2 groupes est l'unité de temps et de lieu, comment en déduire une conclusion qui serait indépendante du lieu et du temps comme on pense pouvoir le faire ? Au contraire, le test en relation avec une valeur "théorique" d'un paramètre peut s'établir dans des lieux différents et à des moments différents. Si cette valeur est stable malgré des lieux différents et des populations différentes on pourrait au contraire avoir une information qui aura toutes chances d'être plus universelle que des comparaisons en un même lieu et au même moment.

  • COVID-19 et hydroxychloroquine, pourquoi tant de hargne?
    13/04/2020 13:47
    spartacus
    Je ne supposais pas que vous aviez des problèmes de cognition dus aux statines, c'est vous qui le supposiez me concernant. Et vous faites d'autres suppositions quant à mes choix politiques que rien ne vous permet d'affirmer. Pardonnez-moi d'avoir à mon tour supposé que vous étiez en grande sympathie avec Bredontiot.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 13:32
    Albatross
    «Le silence sempiternel de ces experts infaillibles m’effraie.» Bon, je vous l’accorde, c’était facile, mais je ne peux pas m’empêcher...

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 11:25
    Samir Barahj
    Le tout est une boucle de regulation imaginez une suite d'actions en casquade avec un retour d'information vers la modification initiale. Pour illustrer ce qu'est une boucle de regulation: le systeme thyroïde en simplifié: la thyroïde secrète l'hormone T4, l'hypothalamus est informé , il informe l'hypophyse qui envoie plus ou moins d' une molécule, la TSH dire à la thyroïde de sécréter plus ou moins de T4. Pareil avec rénine, angiotensine, tonus artériel .... Quand on interfère avec la boucle chaque élément se met à réagir. Donc si on bloque la boucle ça finit par se savoir et divers participant à la boucle pas seulement le recepteur ACE des medicaments IEC, vont essayer de relancer la boucle. Par exemple en fabriquant plus de récepteurs pour capter plus de signaux . En fait comme les signaux ne viennent pas ça marche pas. Mais le virus pourrait etre un de ces signaux venant se coller sur l'un des elements de la boule: l'ECA-2 alias ACE-2 qui pourrait (conditionnel ) être sur-exprimé. Je concède que mon niveau de compréhension du système rénine angiotensine est du niveau journal de Mickey.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 11:21
    Bernard Guennebaud
    Dans cet article il y a des sigles familiers aux médecins mais pour les non médecins leurs signification doit être un peu hermétique. Alors j'ai essayé de préciser un peu : IEC : Inhibiteur de l'Enzme de Conversion (de l'angiotensine 1 en angiotensine 2). Les angiotensines sont des hormones. ARA II : Antagoniste Récepteur Angiotensine II Système rénine - angiotensine - aldostérone : ensemble physiologique qui contribue à l'hypertension formé par la rénine (enzyme) et son dérivé l’hormone angiotensine. L’effet hypertenseur est dû à la vasoconstriction des artérioles et à la stimulation de la sécrétion d’aldostérone qui réduit l’élimination du sodium et de l’eau. Si j'ai compris : l'angiotensine I peut se transformer en angiotensine II qui, si elle est trop importante va favoriser la vasoconstriction (d'où augmentation de la tension artérielle). Elle favorise aussi la production de l'aldostérone (hormone) qui réduit l'élimination de l'eau et du sodium, d'où une augmentation de la tension artérielle. Rôle de la rénine produite par le rein : si la tension artérielle diminue au niveau du rein, il produit la rénine qui va accroître la production d'angiotensine I qui elle même donnera l'angiotensine II. Tout cela provoquera une élévation de la tension artérielle rendue nécessaire quand elle devient trop basse. On cherche donc à endiguer ce processus quand cette tension est chroniquement trop élevée. L'aldostérone est produite par les surrénales. Si elles sont trop actives elles pourront produire trop d'aldostérone. Elles produisent aussi l'adrénaline et le cortisol qui sont des hormones de stress. J'suis pas endocrinologue alors, vous pouvez amender et corriger, j'me vexerai pas !

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 11:19
    Hélène Banoun
    Olive Verte, vous posez toujours des questions très pertinentes qui nécessiteraient pour répondre à chacune plusieurs vies de chercheurs malheureusement!

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 11:16
    Hélène Banoun
    En effet, on ne peut rien dire! L'ACE et l'ACE2 (un des certainement nombreux récepteurs du virus) sont 2 enzymes qui interviennent dans la transformation de l'angiotensinogène. Il doit y avoir des effets de feed-back positifs et négatifs dans l'expression des gènes de tous ces composants : on doit pouvoir prouver tout et son contraire in vitro sans rien pouvoir conclure sur ce qui se passe dans un organisme vivant selon les doses de médicament ingéré ou pas! Certaines hormones sont capables, en fonction des doses d'avoir des effets contraires à ceux habituellement observés.

  • IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les "experts"
    13/04/2020 11:04
    Dr Vincent Reliquet
    Sans réponse à ce jour, même le tableau initialement décrit de SDRA (syndrome de détresse respiratoire aigu) est discuté largement depuis une semaine, la controverse n'est pas vaine car elle remet en question la prise en charge des insuffisances respiratoires graves par intubation-ventilation susceptible d'aggraver les lésions pulmonaires préexistantes, excuse du peu. Après l'anosmie-agueusie mise en évidence il y a un mois considéré comme quasi-pathognomonique de COVID-19 en cas de non-obstruction nasale les dermatos nous ont alertés sur l'existence de lésions cutanées des extrémités digitales sous forme ulcéreuse témoignant d'une indiscutable vascularite distale associée pouvant parfaitement attaquer les espaces pulmonaires péri-alvéolaires dans le même temps. Ventiler de telles lésions devient alors inutile... Les troubles de la crase sanguine et de la coagulabilité sont connus depuis le départ, de nombreux patients décèdent d'embolies pulmonaires massives malgré une anti-coagulation systématique.

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