Bien que toutes les réflexions actuelles se tendent avec avidité vers un déconfinement proche, prenons ici un coup d’avance, c’est bien le double sujet du vaccin salvateur et de l’immunité de groupe providentielle qui occupera tous les esprits demain. Est-il bien raisonnable d’espérer résoudre si facilement l’énigme COVID-19, que craindre à grande échelle pour la santé publique si nos « experts » en viennent à nous mener vers des situations plus dommageables encore que celle que nous vivons aujourd’hui? C’est le Dr Emma Kahn, notre formidable virologue, qui nous aide ici à mettre à jour nos connaissances. Bonne lecture.
Résumé L’immunité de groupe est une notion qui repose uniquement sur des modélisations mathématiques tirées d’observations à partir de la rougeole pendant l’ère pré-vaccinale. |
Introduction
Depuis que le virus responsable du Covid-19 a émergé, de nombreux scientifiques sont sollicités par les politiques pour donner leur avis sur des sujets peu étudiés et peu documentés scientifiquement : l’épidémiologie du virus, les traitements efficaces (sujet déjà traité sur ce blog), l’utilité des masques et des mesures barrières…
Voyons ce qu’il en est de l’immunité de groupe en général, et des vaccins, plus spécifiquement contre ce virus émergent.
L’immunité de groupe
(ou immunité collective ou immunité communautaire)
L’idée moderne d’immunité de groupe est née au début du siècle dernier.
Elle est énoncée en relation avec les maladies infectieuses et la théorie est décrite dans son aspect original par Topley et Wilson en 19231. En 1933 le Docteur Hedrich, inspecteur de santé dans les écoles de Chicago, publie ses observations. Dans la période 1900-1930, les épidémies de rougeole à Boston s’estompent quand 68% des enfants ont subi la maladie2. De façon similaire à Baltimore les épidémies s’estompent quand 55% des enfants ont eu la maladie3. Ces trois publications de l’ère moderne ont apporté les premières observations détaillées sur l’immunité de groupe, mais dans ces cas l’immunité est acquise naturellement. Des années plus tard Anderson et May créent le premier modèle mathématique qui décrit une théorie de façon globale (Anderson and May, 1985).
Cette notion d’immunité de groupe est vague : elle comporterait même plusieurs sens : 4
- Certains auteurs l’utilisent pour décrire la proportion d’individus immunisés au sein d’une population.
- D’autres l’utilisent en référence à une proportion particulière du seuil d’individus immunisés qui devrait entraîner une diminution de l’incidence de l’infection.
- D’autres encore l’utilisent pour faire référence à un modèle d’immunité qui devrait protéger une population contre l’apparition d’une nouvelle infection.
Une implication courante de ce terme est que le risque d’infection, parmi les individus sensibles d’une population, est réduit par la présence et la proximité d’individus immunisés.
On ne peut qu’être d’accord avec la conclusion de cette revue sur l’immunité de groupe : « Il est important de reconnaître que les modèles ne sont que des tautologies de leurs hypothèses, et une épidémiologie de terrain solide est essentielle pour fournir des données appropriées sur lesquelles fonder ces hypothèses. »
Revenons à la rougeole et à l’immunité naturelle et vaccinale contre cette maladie :
Avant l’ère vaccinale les cycles épidémiques suivaient des rythmes biennaux5. On a supposé que l’immunité conférée par le vaccin serait équivalente à l’immunité, solide et à vie, conférée par la rencontre avec le virus sauvage. On a commencé par supposer qu’une proportion de 50% d’immunisés par vaccination serait capable d’éradiquer la rougeole, puis en 1992, on estimait qu’une couverture vaccinale de 80% (ou moins !) des enfants de 2 ans contre la rougeole pourrait suffire pour empêcher les épidémies6.
L’OMS avait pourtant prévenu en 19497 de l’impossibilité d’éradiquer la maladie avec un vaccin qui ne conférerait pas une immunité aussi solide que celle de la maladie.
Pour plus de références sur la rougeole, merci de consulter les articles déjà parus sur le blog de l’AIMSIB. L’histoire a donné raison à l’OMS de 1949 puisqu’on est loin de l’éradication de la rougeole. On observe toujours des flambées de rougeole dans des populations vaccinées à 99% (pourcentage des enfants de 2 ans), et ceci est dû soit à des échecs primaires (non répondeur au vaccin) soit à des échecs secondaires (immunité décroissante avec le temps).
Ces observations ont été faites sur la rougeole, maladie extrêmement transmissible, uniquement humaine, pour laquelle quasiment toute la population au-dessus de 15 ans était immunisée à vie, ce qui est complètement différent des coronavirus. De plus de fortes contraintes génétiques sont garantes de la stabilité du virus de la rougeole8 ; au contraire des coronavirus qui sont très susceptibles de muter9.
De plus, les connaissances sur l’immunité acquise après une infection à coronavirus sont balbutiantes, notamment avec le COVID-19.
En 1990 a été publiée la seule expérience in vivo, sur des humains, concernant l’immunité acquise contre les coronavirus banals des rhumes10 . Des volontaires ont été infectés par le coronavirus 229E, qui provoque les symptômes du rhume, et sont revenus un an plus tard pour être à nouveau exposés au virus.
La plupart des personnes ont été infectées à nouveau, mais celles qui avaient été malades l’année précédente n’ont pas développé de symptômes du rhume : ils sont devenus des « porteurs sains », la terreur des épidémiologistes car ils propagent les infections de façon invisible. Les auteurs de l’étude ont également déclaré que la période d’excrétion du virus, lorsqu’une personne est contagieuse, était plus courte chez ceux qui avaient été infectés l’année précédente.
Concernant les deux pandémies graves à SARS-CoV-1 et MERS (et selon cet article de 201411), on connait très peu de choses sur l’immunité acquise contre ces virus.
-« Les titres d’anticorps neutralisants et la réponse des cellules B de la mémoire sont de courte durée chez les patients guéris du SRAS et l’anticorps ciblera la souche homologue primaire. »
On n’en sait pas plus en 202012 : aucune expérience sur les recontaminations, comme celle sur les coronavirus en 1990, n’a été réalisée sur le SARS-Cov-1 et le MERS. Mais les mesures des anticorps, dans le sang des personnes qui ont survécu à ces infections, suggèrent que ces défenses persistent pendant un certain temps : Deux ans pour le SRAS-Cov-1, selon une étude, et presque trois ans pour le MERS, selon une autre », « Cependant, la capacité de neutralisation de ces anticorps était déjà en déclin pendant les périodes d’étude« .
Seules des modélisations à partir de ces faibles connaissances sont disponibles sur l’immunité supposée conférée par le Covid-19.13Tout ce travail sur les anticorps est à relativiser sachant qu’aucune étude n’a prouvé que l’immunité antivirale était dépendante des anticorps.
Au contraire, dès 1968, Frank Macfarlane Burnet avait exposé le paradoxe suivant : Les enfants agammaglobulinémiques faisaient une rougeole normale et développaient une solide immunité à vie (The Lancet, septembre 1968).
Plus récemment une étude14 montre magistralement que les anticorps ne jouent aucun rôle dans l’immunité contre le VSV (virus de la stomatite vésiculeuse).
Pas de rôle des anticorps dans l’immunité anti-Covid-19?
Cet article15 expose les résultats de 2 études (une allemande et l’autre chinoise) sur la sérologie : la présence d’anticorps n’est pas corrélée à la disparition du virus (les anticorps ne sont donc pas « neutralisants » in vivo contrairement à ce qui se passe in vitro). Le taux d’anticorps semble corrélé à la gravité de la maladie (retrouvé également ici : 16 )
Ces données sont plutôt en faveur d’un effet facilitateur des anticorps sur l’infection, comme il l’a été montré in vitro (pour le SARS-CoV-117) :
Les patients atteints de Covid-19 sévère avaient des taux d’anticorps beaucoup plus élevés que les patients atteints de formes bénignes.
Malgré toutes ces observations concordantes, les médias continuent à écrire « anticorps neutralisants » sans préciser qu’il s’agit d’une neutralisation IN VITRO et que IN VIVO, ces anticorps semblent plutôt jouer un rôle facilitateur… D’ailleurs les experts de l’Institut Pasteur font la même confusion in vitro versus in vivo18 bien qu’ils notent aussi la possibilité de la facilitation.
Personne ne peut prévoir quelle proportion de la population immunisée par la maladie ou par un vaccin serait susceptible de protéger le reste de la population.
Pour l’instant, les chiffres parcellaires tirés des PCR et de la sérologie naissante donnent de 3 à 12% de personnes ayant rencontré le virus (Institut Pasteur20 3% avec un biais de sélection qui pourrait sous-estimer ce pourcentage, pour l’ IHU 12% de tests PCR positifs avec certainement un biais de sélection qui pourrait le surestimer21). De plus, selon une récente étude, l’immunisation de la population semble avoir peu d’influence sur la forme de la courbe de l’épidémie ; au contraire, c’est l’évolution rapide du virus qui serait responsable de l’extinction de l’épidémie. (22)
Utilisons la lumière de la théorie de l’évolution pour nous éclairer dans ce tunnel et pour comparer ces 2 virus, celui de la rougeole et celui du Covid-19 : ils sont à l’opposé.
Le premier est remarquablement adapté à l’homme et peu susceptible de muter, le SARS-CoV-2 au contraire, possède un fort potentiel évolutif et est peu adapté à l’homme puisque son histoire chez notre espèce n’est âgée que de quelques mois.
Ce nouveau coronavirus est arrivé comme un éléphant dans le jeu de quilles du système de santé mondial et de la communauté scientifique : pendant que nous restons prostrés dans notre confinement il va continuer sa trajectoire évolutive. Pour essayer d’anticiper cette trajectoire, il faut se référer au SARS-CoV de 2002 qui lui est très apparenté. L’épidémie causée par ce virus s’est étalée de novembre 2002 à juillet 2003, en plusieurs phases de gravité. Au cours de celle-ci, le virus a continué à s’adapter à l’homme en modifiant les protéines capables d’interagir avec ses « récepteurs », cette évolution au niveau moléculaire s’est accompagnée d’une atténuation de la gravité clinique de la maladie.
En 2020 et en connaissance du SARS-CoV-2 on peut donc raisonnablement supposer une évolution semblable.
En particulier, on peut craindre que les antigènes sélectionnés pour de futurs tests ELISA de sérologie (pour la sensibilité et la spécificité conférés à ces tests) soient obsolètes dans quelques semaines ; il en est de même pour les amorces utilisées dans la Rt-PCR pour la détection du matériel génétique du virus.
Même chose s’agissant des antigènes sélectionnés pour la fabrication de vaccins : qu’ils concernent la protéine S (portant les spicules à la surface du virus) entière, ou des épitopes de celle-ci. En effet le domaine de liaison au récepteur de cette protéine a déjà réservé des surprises et possède une grande plasticité.
Ceci est une hypothèse de travail et nous amène au chapitre des candidats vaccins.
Pourquoi il n’y aura pas de vaccin efficace contre le COVID-19
Bizarrement les trois vaccins en étude clinique en Occident (hors Chine) contre le Covid-19 sont développés par des start-up et non par Big Pharma.
Pourquoi les gros industriels des vaccins (Merck, GSK, Sanofi, Pfizer, etc..) n’ont-ils lancé aucune étude clinique?
Une première raison est préoccupante : les meilleurs experts de l’industrie savent déjà que les vaccins anti-coronavirus sont trop risqués, ils induisent la facilitation et des phénomènes immuno-pathologiques. Le phénomène de la facilitation de l’infection par les anticorps mérite un article à lui seul et sera abordé plus tard sur ce blog.
Quels vaccins actuellement en expérimentation sur l’homme
- La société Moderna22 expérimente un vaccin à ARN messager, ce type de vaccin n’a jamais été testé sur les humains.
- La société Inovio23 développe un vaccin à ADN qui nécessite une décharge électrique pour faire pénétrer l’ADN dans les cellules, c’est l’électroporation, ce type de vaccin et cette technique d’électroporation n’ont également jamais été testés sur les humains. L’électroporation permet d’augmenter l’inflammation au site d’injection et permet de ne pas adjuvanter le vaccin !
- L’Oxford Vaccine Group rassemble des scientifiques d’Oxford et reçoit des fonds des fabricants de vaccins OVG24 . Ce candidat vaccin est basé sur un vecteur adenovirus qui porte la SARS-CoV-2 protéine S. (spike protein)25
Depuis l’épidémie de SAR-CoV de 2003 et de MERS en 2012, des essais ont été lancés sur les vaccins, de nombreuses études sur animaux concernant des candidats vaccins contre le SARS-Cov et le MERS-CoV ont été publiées. Ces vaccins semblent générer de nombreux effets indésirables sur les modèles animaux. Les études cliniques sur l’homme depuis 2004 n’ont pas été publiées, certaines ont même été retirées26 , laissant préjuger d’importants effets non désirés ou un manque d’efficacité.
L’Institut Pasteur développe depuis 2014 des vaccins combinés contre le SARS-CoV de la pandémie de 2002-2003: le virus vaccinal de la rougeole combiné à la « spike » protéine par recombinaison avec un plasmide27. Seuls les essais sur les souris ont été publiés.28
Comme dit plus haut, outre le problème de réversion possible vers la pathogénicité de tous les vaccins à virus vivants atténués, il a été évoqué en particulier des réactions immuno-pathologiques associées (augmentées en présence d’adjuvants) et des phénomènes de facilitation :
Les sujets vaccinés sont rendus plus susceptibles à une infection subséquente par le même coronavirus que celui ciblé par le vaccin.29
Extrait de la revue « Sars where we are ? »30
-« Le plus gros problème est la crainte d’un ADE (antibody dependant enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines « .
Deux études ont montré ce phénomène : chez le furet, vacciné avec un vecteur poxvirus exprimant la protéine spike du virus, avec, en plus, une inflammation du foie augmentée après infection par rapport aux animaux non vaccinés. »
Le 5 mars devant le congrès US, à 39 min, Peter Hotez (expert officiel des vaccins31) met en garde contre la facilitation :
-« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation« 32.
L’avis des experts sur les vaccins anti Covid-19, paru fin mars 2020 est plus que mitigé :
- « Il faut vraiment tester un vaccin avec soin » ,
- « ... et pas seulement le lancer parce que les gens le réclament à cor et à cri alors qu’une épidémie est en cours »
- « Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves »
« Éviter les écueils dans la recherche d’un vaccin COVID-19 », 30 mars 202033 Editorial du PNAS (Proceedings of the National Academy of Science). De même pour Nature 34 21 avril 2020.
L’Institut Pasteur n’a pas lancé d’essai clinique, par contre les actions de Moderna et Inovio grimpent en flèche à la bourse; leurs détenteurs pourront donc les revendre juste avant que les résultats catastrophiques des études cliniques soient révélés voire jamais publiés.
Ensuite Big Pharma rachètera éventuellement ces start-ups avec leur savoir-faire pour l’appliquer à d’autres vaccins du futur.
L’aspect historique et théorique du phénomène de facilitation par les anticorps (ADE antibody dependent enhancement) sera traité dans un futur article sur le blog de l’AIMSIB.
Nous verrons que ce phénomène est connu depuis longtemps et actif pour de nombreux virus. Nous verrons aussi que cet effet immuno-pathologique a été mis en évidence in vitro pour les anticorps dirigés contre la spike protéine du SARS-CoV-2, ceux-là même qu’on cherche à obtenir avec ces candidats vaccins.
Notes et sources:
1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2167341/.
2 (Hedrich AW. Estimates of the child population susceptible to measles, 1900-1930. Am. J. Hyg. 17:613-630.).
3 (https://www.deepdyve.com/lp/ou_press/monthly-estimates-of-the-child-population-susceptible-to-measles-1900-cRtiLHH41a).
4 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21427399)
5https://www.ecdc.europa.eu/sites/portal/files/media/en/publications/Publications/SUR_EMMO_European-monthly-measles-monitoring-February-2012.pdf
6 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1732654/).
7 (https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/38968/WHO_TRS_6_fre.pdf)
8 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27110809
9 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7125620/ revue en français de 2009
10 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2271881/
11 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4125530/,
12 https://academic.oup.com/jid/article/doi/10.1093/infdis/jiaa152/5814216
13 https://spectrumlocalnews.com/tx/san-antonio/news/2020/04/16/do-people-become-immune-to-coronavirus-after-recovering-from-it-
14 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22386268
15 https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/04/17/covid-19-interrogations-sur-lexcretion-du-virus-et-la-reponse-en-anticorps/
16 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.21.20068858v1
17 https://jvi.asm.org/content/94/5/e02015-19
18 (https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.21.20068858v1 ),
20 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.21.20068858v1
21 https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/
[22] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.09.20059782v2
22 (https://www.tradingsat.com/actualites/informations-societes/travaillant-sur-un-vaccin-contre-le-coronavirus-moderna-veut-lever-500-millions-de-dollars-899695.html
23 https://www.zonebourse.com/INOVIO-PHARMACEUTICALS-I-17937428/societe/ et https://www.precisionvaccinations.com/inovio-ino-4800-coronavirus-vaccine-candidate-matched-novel-coronavirus-outbreak-discovered-china
24 https://www.ovg.ox.ac.uk/about)
25 http://www.ox.ac.uk/news/2020-03-27-oxford-covid-19-vaccine-programme-opens-clinical-trial-recruitment)
26 (https://clinicaltrials.gov/ct2/results?cond=SARS&term=vaccine&cntry=US&state=&city=&dist),
27 (https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0042682214000051),
28 Journal du Dimanche du 26 mars 2020 https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/antiviraux-et-vaccins-les-pistes-pour-freiner-le-coronavirus-3957841 « Vaccin recombinant utilisant le virus de la rougeole comme vecteur (Institut Pasteur, Themis Bioscience et Université de Pittsburgh)
Il s’agit d’un vaccin basé sur un virus de la rougeole atténué. Celui-ci est utilisé comme un véhicule à l’intérieur duquel se trouve un gène codant pour une protéine du virus SARS-CoV-2. Le virus vecteur délivre l’antigène du SARS-CoV-2 au système immunitaire, pour induire une réponse protectrice.
Ce consortium a déjà fait preuve de son expérience dans le développement de tels vaccins, dirigés contre le MERS, le VIH, la fièvre jaune, le virus du Nil occidental, la dengue et d’autres maladies émergentes. Leur vaccin est en phase préclinique »
29 https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0065352716300422?via%3Dihub
« Molecular Basis of Coronavirus Virulence and Vaccine Development »
30 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19538115 ,
31 https://en.wikipedia.org/wiki/Peter_Hotez
32 https://www.youtube.com/live/8F1L_Mw-DiE?feature=share
33 https://www.pnas.org/content/early/2020/03/27/2005456117
(34) https://www.nature.com/articles/s41577-020-0321-6
Pardonnez-moi, c’est hors sujet, et important,
Une brouette pleine de Grands Mercis pour Dr Reliquet.
Suite au partage de ses vidéos, ses explications au sujet des bienfaits du Sérum de Quinton, beaucoup de personnes ont, grâce a lui, nul besoin de passer par la case hôpital.
De tout coeur Merci.
Je vous remercie de me remercier mais ces vidéos sont théoriquement toutes la propriété d’organisateurs de manifestations diverses, je m’étonne que vous ayez réussi à en visionner librement une…
Michel de Lorgeril disait en rigolant que si vous étiez trop pauvre pour lire un de ces livres alors volez-le, je dirais pareil pour ces vidéos: L’utilisation médicale des sérums marins autorise des résultats extraordinaires mais c’est un produit naturel alors c’est presque interdit…
Si,si! La vidéo dont vous parlez était, un moment, en libre accès.
Ayant même souvenir que vous y parliez aussi, de votre chien.
Peu importe. Ensuite il suffit de faire comme le petit Poucet, suivre les cailloux pour en savoir plus, et partager.
Voler? Oui, avec deux L. 🙂
Hormis « l’espoir » pour un vaccin, cet article est clair, net et convaincant :
http://www.tv83.info/2020/04/09/non-didier-ce-nest-pas-la-fin-de-la-partie-du-moins-pour-toi/?fbclid=IwAR0_gV1ZccYnrPTTrHFj8UJUf-2Lwrq4p3lONf9_L0DMGoXCaB_Xu0pcrIM
Inoxydable, l’espoir d’un vaccin efficace est une lubie de Big Pharma ! Cela dit, tous les pharmaciens ne sont pas si irréalistes ou si malhonnêtes ! Serge Rader par exemple :
https://www.youtube.com/watch?v=2r9kfU5URf8
@ Laurent. J’ai mal formulé ma phrase, « l’espoir pour un vaccin » c’est que Bigphama attend avec impatience et je sais qu’il n’existera pas et même s’il existait je ne me ferai pas vacciner ainsi que je le refuse pour la grippe.
Pour le reste j’ai lu et écouté Serge Rader, il y a un article de lui sur ce site:
https://www.aimsib.org/2017/11/01/serge-rader-rejoint-laimsib/
Le vaccin covid n’est pas qu’un espoir de Big Pharma il est aussi l’espoir de l’OMS (en admettant que ces 2 sigles OMS et Big … soient distincts). Voilà ce qu’on lit dans le communiqué OMS du 8 mai pour célébrer le 40è anniversaire de l’éradicayion de la variole :
le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré : « Au moment où le monde affronte la pandémie de COVID-19, la victoire de l’humanité sur la variole nous rappelle ce qu’il est possible d’accomplir quand les nations s’unissent pour combattre une menace sanitaire commune. »
« Les pays du monde se sont libérés de la variole en faisant preuve d’une incroyable solidarité et grâce à un vaccin sûr et efficace. La solidarité alliée la science ont apporté la solution. »
« La priorité, dans la perspective d’un vaccin contre la COVID-19, est que l’approvisionnement soit suffisant et que les personnes vivant dans des endroits difficiles d’accès soient vaccinées. La réticence face à la vaccination est un problème important à résoudre pour endiguer l’épidémie. »
Pour l’OMS, une campagne mondiale de vaccination contre la Covid19 est déjà actée alors qu’il n’existe aucun vaccin et que personne n’en connait ses propriétés. Une chose parait certaine « on vaccinera ! » Avec quoi ? Telle devrait être la question. Peu importe, on vaccinera !
https://www.who.int/fr/news-room/detail/08-05-2020-commemorating-smallpox-eradication-a-legacy-of-hope-for-covid-19-and-other-diseases
Comment truquer une étude clinique pour masquer la réduction significative de mortalité due à l’hydroxychloroquine.
Ce qui est exposé dans cette vidéo fait partie des pratiques alambiquées déjà dénoncées ici (HCQ et d’autres), mais j’ai trouvé le côté « pédagogique » en moins d’1 min pas mal fait, car le message peut toucher tout le monde.
https://twitter.com/SamBen82611349/status/1260341782258294786?s=20
Sur BFM TV :Après que son essai thérapeutique ait été qualifié de « naufrage », #KarineLacombe avoue finalement que le traitement à base d’#HydroxyChloroquine prescrit par le PR @raoult_didier marche si il est administré suffisamment tôt..
et
Brésil : le traitement précoce (avant 48 heures depuis l’apparition des symptômes) avec l’#coronavirus et l’#azithromycine ont fortement fait reculer la mortalité. Du coup, le traitement est généralisé.
Covid-19: Médicos do Piauí publicam novo experimento positivo de uso da cloroquina para salvar vidas.
Recueillis sur Twitter.
Oui Pascal. j’ai entendu par intermittence sur CNews un débat très animé avec Eric Zemmour, Marc Menant et d’autres. Il portait sur la déclaration de Sanofi de servir d’abord les Américains quand son vaccin sera prêt. Nos protagonistes réclamaient que le vaccin soit d’abord réservé aux Français car Sanofi s’est développé grâce aux financements français.
J’aurais eu envie de leur dire qu’ils changeront peut-être d’avis quand ils verront les dégâts que ce vaccin a toutes chances de faire vu les conditions dans lesquelles il se prépare. Pensons au Dengvaxia aux Philippines avec Sanofi justement.
Ils ne changeront probablement pas d’avis et si Sanofi avait besoin de faire la promotion de son vaccin voilà une bonne manière de le vendre et de remercier ces messieurs les commentateurs zélés de l’y avoir aidé.
Mais qu’est ce que vous racontez ? Zemmour et Menant ont justement dénoncé l’échec du Dengvaxia, à croire d’ailleurs qu’il a du lire l’AIMSIB et aucun des deux n’a approuvé le vaccin. Leurs propos était de dire que Sanofi qui est à l’origine une société Française , a bénéficié de l’argent Français et n’avait à favoriser ( si on peut dire) les Américains le cas échéant.
Quant à Akira, » je pense qu’on peut dire sans se tromper que celle(s) de Raoult ne sont meme pas sorties du port. C’est pratique pour eviter de se … mouiller. » Non mais franchement ça devient de la schizophrénie, rien de bon ne vient de Raoult alors que bien des pays utilisent avec succès son « protocole ». Dire qu’il ne sont même pas sorti du port ça devient vraiment ridicule!
Même en France on s’en sert avec succès et je ne vais pas remettre les même liens. Il n’est pire sourd qui ne veut entendre surtout lorsque la copine de Macron, Lacombe à bien dit que seul le traitement à l’HCQ et AZT fonctionne bien qu’il y ait des études qui disent le contraire ( dernière en date encore une étude Américaine NewYorkaise complètement baisée).
Alors s’ il veut démontrer que les traitements ou études ( Celle de Laurent Schwartz, de Raoult, de l’ Artémisia ) sont des mensonges qu’il le dise et le démontre et qu’il arrête de nous bassiner avec les « Torsades de )pointe et le QT longs pour justifier sa terreur ou sa position anti Raout !
J’en ai vraiment marre de lire qu’on a rien pour soigner les malades du Covid comme les larbins des médias T.V ayant pignon sur rue tout ça pour donner champ libre à un hypothétique vaccin !!!
Pardonnez-moi, mais je ne regarde pas les gesticulations de messieurs Zemmour et Menant et doute qu’ils aient quelque considération pour l’Aimsib. Quant à Sanofi, il me semble avoir compris que l’Etat n’est plus le principal actionnaire et donc qu’il n’a plus la majorité pour décider des choix commerciaux et autres de l’entreprise. Les gesticulations françaises des 2 commentateurs n’étant finalement que tout à fait accessoires dans la stratégie de l’entreprise pour sa campagne promotionnelle d’un hypothétique vaccin dont on sait à ce jour qu’il sera difficile voire impossible à mettre au point, ce qui ne veut pas dire qu’il est impossible de le mettre en vente dès aujourd’hui.
Rien n’est joué car il n’y a pas de vaccin actuellement et personne ne sait ce qu’ils seront si certains vaccins étaient mis sur le marché. Des Etats ont déjà pratiquement acheté des vaccins qui n’existent pas, ils font un chèque en blanc. Le monde du vaccin joue ici à quitte ou double.
Je sais bien qu’il existe des vaccins fort dangereux qui sont devenus obligatoires comme le vaccin contre le méningocoque C entre-autres. Mais ici les vaccinations seront réalisées simultanément en très grands nombres. Ce qui fait qu’un accident d’avion fait grand bruit c’est d’abord parce qu’il y a beaucoup de victimes en même temps. Il y a aussi un avion détruit ou un paquebot au fond de l’eau, conditions qui n’existe pas avec les vaccinations. On pourrait cependant avoir un laboratoire coulé.
A priori tout est possible et je ne ferai pas de pronostics.
@ Eric Marquant : « je ne regarde pas les gesticulations de messieurs Zemmour et Menant et doute qu’ils aient quelque considération pour l’Aimsib. » ben vous devriez, vous verriez deux personnes qui décortiquent intelligemment et férocement l’actualité ( et on apprend beaucoup de choses sur les personnages historiques) avec deux autres compères voire opposants, et une journaliste présentatrice qui pose de réelle question d’actualité et qui ne se contente pas d’encenser le pouvoir en place … en outre elle est très belle ce qui change de certaines « cruches » insipides même si elle ont un patronyme de véhicule bien carrossé.
En outre, je n’ai pas dit que Menant avait de la considération pour l’ AIMSIB mais tous les mots sortis de sa bouche à propos de vaccins sont en corrélation avec ce qui est dit ici, à croire qu’il nous lit.
Enfin, je termine par la « gesticulation » : Ce n’est pas ce qu’on voit depuis le début de la « crise » du Covid 19″ de tous côtés ? Dire que le « polichinelle de Marseille gesticule ça ravit peut-être @ akira et d’autres qui ont plus peur de l’HCQ que du virus, mais en attendant les résultats à Marseille sont là !
Didier Raoult et Sénat : https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/?fbclid=IwAR27TpmZ0NtHEnX0oytEuo24HeLNXM3Julv-2jPy2HchNzgdKVFwPFKqdSI
j’extrais ce paragraphe pour @ akira :
5. La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion
« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. » (N.D.L.R. Le docteur en psychiatrie, Dominique Martin) »
il ne l’a pas envoyé dire …
L’ANSM ne cite pas le document espagnol pour que l’on puisse le consulter. S’agit-il de cas d’automédication par exemple, ou d’un emploi en milieu hospitalier à un stade avancé (?) à quels doses ? ce qui ne correspondrait pas a protocole de l’IHU de Marseille… le confinement peut tout aussi bien être facteur de troubles psychiatriques, de psychoses, de suicides plus aggravés encore en Espagne où on vit beaucoup dehors que dans les pays plus au nord.
Après les attaques ad hominem ne glorifieront jamais ceux qui les profèrent, c’est du niveau caniveau et si cela vient d’experts c’est minable.
Coronavirus : le professeur Raoult s’attaque cette fois au confinement jeudi 14/05/2020 LA PROVENCE
Il s’interroge cette fois sur les mesures de confinement prises dans la plupart des pays, en s’appuyant sur une étude espagnole menée par le ministère de la Santé et l’Institut de Santé Carlos III.
https://issuu.com/prisarevistas/docs/prevalencia/3
« Séroprévalence de 60 000 personnes en Espagne : parmi les travailleurs actifs, ceux qui exercent une profession essentielle et ont continué à sortir ont été moins contaminés par le COVID19 que ceux confinés. Cela doit amener à réfléchir sur le confinement » a tweeté le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée de Marseille.
grâce au confinement.
[…] https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5988717/coronavirus-le-professeur-raoult-sattaque-cette-fois-au-confinement.html
L’ANSM pourrait peut-être se pencher davantage sur les effets délétères du confinement généralisé, quelques graphiques très éloquents !
Bilan catastrophique chiffré du confinement aveugle et général imposé aux français depuis le 16 mars 2020
Par Delepine https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/bilan-catastrophique-chiffre-du-224302#forum5759172
Akira
ABSTRACT
Interventions – Hydroxychloroquine administrated at a loading dose of 1200 mg daily for three days followed by a maintenance dose of 800 mg daily (total treatment duration : two or three weeks for patients with mild to moderate or severe disease, respectively).
Il me semblerait honnête de comparer ce qui est comparable, (mais si ça peut permettre de définir un seuil de toxicité ?) les doses sont beaucoup importantes et sur plus de temps que dans le protocole IHU Marseille :
« · Pour tous les patients infectés, dont un grand nombre peu symptomatiques ont des lésions pulmonaires au scanner, de proposer au plus tôt de la maladie, dès le diagnostic :
– un traitement par l’association hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé. »
https://www.mediterranee-infection.com/epidemie-a-coronavirus-covid-19/
Non mais c’est une blague ce truc publié dans le BMJ ?
The mean duration from symptom onset to randomisation was 16.6 (SD 10.5; range 3-41) days.
@ akira : Toujours la même rengaine :
https://www.numerama.com/sciences/624451-hydroxychloroquine-linefficacite-du-traitement-surmediatise-a-encore-ete-demontree.html
Extrait : « La première étude, paru le 5 mai 2020, a été réalisée par des scientifiques français, à partir d’un échantillon de 181 patients, de 18 à 80 ans, venant de quatre centres différents, et à un stade moyen de la maladie — nécessitant une assistance en oxygène mais de soins intensifs. L’échantillon était divisé en deux. Il y avait un groupe de traitement, avec une dose d’hydroxychloroquine de 600 mg / jour (et moins de 48h après l’hospitalisation), opposé à un groupe de contrôle au traitement symptomatique standard. »
Encore une fois, c’est l’HCQ seule qui a été utilisée pour des cas déjà avancés et SANS AZT ou autre antibiotique.
La deuxième étude qui parle de l’utilisation de 1200 mg d’HCA pendant 3 js puis de 800 mg les jours suivants (28 js ?) avec des normes de soins ( on ne sait pas ce que c’est …) ont donné L’événement indésirable le plus courant chez les receveurs d’hydroxychloroquine a été la diarrhée, rapportée chez 7/70 (10%) patients. Deux receveurs d’hydroxychloroquine ont signalé des événements indésirables graves. des effets indésirables graves : » Des diarrhée … mais c’est connu et il a fallu une étude supplémentaire pour ça ? Et comme dans la deuxième « étude » ils on sacrifié la santé des « cobayes » pour démontrer leur incompétence !
C’est vraiment se foutre du monde ou comment s’arranger avec des biais de mauvaise application du traitement préconisé par Raoult pour montrer son inéfficacité . CLui c’est 600 mg par jour avec l’antibio ou les antibios pendant 3 js et ensuite 200 mg pendant quelque js et pas 28 js: C’est comme utiliser un tir de revolver pour tuer une mouche là ou une tapette suffit et s’étonner que la cloison soit traversée ou détruite.
M’enfin !
@ akira : « Ce qui rassure, c’est qu’a 68 ans, on aura pas a le supporter encore trop longtemps en activite dans la recherche »
C’est ce qu’on dû se dire les détracteurs de MdL lorsqu’il est parti à la retraite et pourtant il avait raison sur les statines, c’est une grande perte je pense alors je trouve que ce n’est pas joli vis à vis d’un médecin chercheur d’expérience qui aura très probablement raison au sujet du Covid en fin de compte nonobstant sa position sur certains vaccins ( grippe, varicelle …) Il ne peut pas avoir tort sur tout.
Une question concernant les masques :
On nous dit qu’il faudrait arriver à une immunité collective mais manifestement on ne fait rien pour aller dans ce sens si tout le monde porte des masques pour ne pas être contaminé en plus des 2 mois de confinement.
Je ne sais pas si les masques servent à quelque chose mais, si on ne fait pas partie des personnes à risque (plus de 70 ans ou même 80, obésité, maladie chroniques…), n’a-t-on pas intérêt à ne pas porter de masque pour s’immuniser éventuellement ?
Les gens qui ont peur portent un masque pour se protéger et laissent les autres libres de prendre le risque d’être contaminé ?
Je dis des bêtises ??
Le masque chirurgical évite seulement que le porteur transmette ses germes aux autres. Il ne fonctionne pas dans l’autre sens. Pour être doublement protecteur il faut le FFP2 ou masque canard (il a un bec) qui est nettement plus cher et qu’une couturière ne pourra pas produire.
Comme chantait un humoriste : « pour se déconfiner il faut s’immuniser. Pour s’immuniser il faut se contaminer. Pour se contaminer il faut se déconfiner. CQFD !!! »
Il y a effectivement eu 2 stratégies : tenter d’éradiquer le virus (la Corée du Sud par ex) ; viser l’immunité de groupe (l’Europe ). Pour le moment, la Corée s’en sort mieux.
Alors tant mieux !
Heureusement qu’il y a les masques pour bien montrer qu’on est bien sage … même moi ils ont réussi à me rendre paranoïaque :
https://covidinfos.net/covid19/le-port-du-masque-obligatoire-va-provoquer-plus-dimmaturite-de-passivite-et-de-peur-dans-la-population/487/
Extrait : « « Outre l’absence d’intérêt médical, la mesure consiste à forcer tous les citoyens à montrer qu’ils ont peur du virus publiquement et de manière ostensible […]. Sous la menace de sanctions, les personnes sont forcées à signaler [via le port de masque] à leurs concitoyens qu’elles se soumettent volontiers [aux mesures du gouvernement], quelle que soit l’objectivité ou le doute des mesures ordonnées. »
vous avez des publications là-dessus?
J’ai trouvé le contraire sur les aérosols : ils ne seraient pas arrêtés par les masques en papier
Troisième solution que nous apporte le virus : évolution vers moins de virulence et moins de contagiosité
de toutes les façons, l’épidémie est terminée, masques ou pas!
Sur le port du masque
À partir du 11 mai et du début du déconfinement, les masques seront obligatoires dans les transports en commun et dans certains magasins.
Dès maintenant et depuis quelques semaines, on voit beaucoup de personnes portant des masques de toutes sortes dans l’espace public.
Sont-ils utiles ? Quels en sont les inconvénients ?
Les publications ci-dessous montrent que l’utilité des masques chirurgicaux (en papier et non étanches) n’est pas prouvée : ils n’empêchent pas la diffusion des aérosols porteurs de virus chez les patients infectés et ne protègent pas le personnel soignant. Aucune étude n’a évidemment été faite sur les masques maison !
Certains ont évoqué le principe de précaution : mieux vaut porter un masque que rien.
Cela serait valable mais le port d’un masque peut donner aux gens un sentiment de sécurité et donc faire oublier d’autres conseils importants de santé publique tels que le lavage des mains et la distanciation sociale.
Un autre inconvénient est l’effet sur la respiration du port du masque : il a été constaté une hypoxie chez les personnels soignants suite au port du masque et des maux de tête (signe d’hypoxie) ainsi que l’augmentation de la résistance nasale.
Donc il faudrait sans doute limiter le port du masque aux endroits et aux moments où il sera obligatoire. En particulier il serait utile de conseiller aux personnes âgées ou affaiblies d’éviter de marcher dans la rue en permanence avec un masque. De même est-il raisonnable que des jeunes joggers courent avec un masque ? Quels sont les dangers d’une telle pratique ? Risque-t-on d’augmenter les risques d’AVC ou d’infarctus chez les personnes prédisposées ?
Hypoxie
danger des masques
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4647822/
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT00173017 (résultats non publiés)
https://www.researchgate.net/publication/7332926_Headaches_and_the_N95_face-mask_amongst_healthcare_providers
http://medcraveonline.com/JLPRR/JLPRR-01-00021.pdf
Les masques chirurgicaux (simples masques en papier non étanches) ne sont pas suffisants
https://www.news-medical.net/news/20200428/Widely-used-surgical-masks-are-putting-health-care-workers-at-serious-risk.aspx
Les masques pour le public
BMJ 2020;369:m1435 doi : 10.1136/bmj.m1435 (Publié le 9 avril 2020)
2011 grippe
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21477136
https://annals.org/aim/fullarticle/2764367/effectiveness-surgical-cotton-masks-blocking-sars-cov-2-controlled-comparison
Efficacité des masques chirurgicaux et des masques en coton pour bloquer le SRAS-CoV-2 : une comparaison contrôlée chez 4 patients
6 avril 2020
https://www.nature.com/articles/s41591-020-0843-2
Élimination du virus respiratoire dans l’air expiré et efficacité des masques faciaux mars 2020
Nos résultats indiquent que la transmission par aérosol est un mode de transmission potentiel pour les coronavirus ainsi que pour les virus de la grippe et les rhinovirus.
Nos résultats indiquent que les masques chirurgicaux peuvent réduire efficacement l’émission de particules du virus de la grippe dans l’environnement sous forme de gouttelettes respiratoires, mais pas sous forme d’aérosols
From May 11th and the start of deconfinement, masks will be mandatory on public transport and in some shops.
As of now and for the past few weeks, we have seen many people wearing all kinds of masks in the public space.
Are they useful? What are the drawbacks?
The publications below show that the usefulness of surgical masks (made of paper and not waterproof) has not been proven: they do not prevent the spread of virus-carrying aerosols among infected patients and do not protect the nursing staff. Of course, no studies have been done on home-made masks!
Some people have mentioned the precautionary principle: it is better to wear a mask than nothing.
This would be valid, but wearing a mask can make people feel safe and thus overlook other important public health advice such as hand washing and social distancing.
Another disadvantage is the effect on breathing of wearing a mask: hypoxia has been found in healthcare workers as a result of wearing a mask and headaches (a sign of hypoxia) as well as increased nasal resistance.
Therefore, the mask should probably be limited to the places and times when it is mandatory. In particular, it would be useful to advise the elderly or weakened to avoid walking in the street with a mask on at all times. Similarly, is it reasonable for young joggers to run with masks on? What are the dangers of such a practice? Is there an increased risk of stroke or heart attack in susceptible people?
Hypoxia
mask hazard
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4647822/
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT00173017 (unpublished results)
https://www.researchgate.net/publication/7332926_Headaches_and_the_N95_face-mask_amongst_healthcare_providers
http://medcraveonline.com/JLPRR/JLPRR-01-00021.pdf
Surgical masks (simple paper masks that are not waterproof) are not sufficient.
https://www.news-medical.net/news/20200428/Widely-used-surgical-masks-are-putting-health-care-workers-at-serious-risk.aspx
Masks for the public
BMJ 2020;369:m1435 doi: 10.1136/bmj.m1435 (Published on April 9, 2020)
2011 flu
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21477136
https://annals.org/aim/fullarticle/2764367/effectiveness-surgical-cotton-masks-blocking-sars-cov-2-controlled-comparison
Effectiveness of surgical masks and cotton masks in blocking SARS-CoV-2: a controlled comparison in 4 patients
April 6, 2020
https://www.nature.com/articles/s41591-020-0843-2
Elimination of respiratory virus in exhaled air and effectiveness of face masks
March 2020
Our results indicate that aerosol transmission is a potential mode of transmission for coronaviruses as well as influenza viruses and rhinoviruses.
Our results indicate that surgical masks can effectively reduce the release of influenza virus particles into the environment as respiratory droplets, but not as aerosols.
@ emma : L’hypoxie par le port du masque. Maintenant je sais pourquoi j’ai l’impression de suffoquer lorsque je le porte en supermarché, j’ai le souffle court et m^me mal à la tête au bout d’un moment.
je pensais que c’était le stress, mais en fait j’étouffe.
cherry picking contre cherry picking alors!
Voilà ce que je lis : « Nos résultats indiquent que les masques chirurgicaux peuvent réduire efficacement l’émission de particules du virus de la grippe dans l’environnement sous forme de gouttelettes respiratoires, mais pas sous forme d’aérosols »
Et évidemment la conclusion est : les masques en papier sont quasiment inefficaces et les seuls masques efficaces sont les FFP2 ou les N95 qui provoquent de l’hypoxie (et sont parfois portés par le grand public, j’ai même vu des passants avec des masques à gaz pourvus de 2 énormes cartouches filtrantes)
@ emma : à propos des masques à gaz pourvus de 2 énormes cartouches filtrantes, j’ai aussi vu un homme âgé la semaine passée aux caisses rapides d’un supermarché. Emprunté par son port de masque plutôt impressionnant, il ne parvenait pas à utiliser sa carte bancaire et demandait l’aide des caissières ( conseillères ?) complètement terrorisées par l’acheteur.
la situation aurait pu être cocasse si elle n’était pas aussi navrante, un somum de paranoïa… et pendant ce temps là, j’étouffais sous mon masque .
Paru dans France Soir le 12 mai « Comment le Sars-Cov-2 orchestre la virulence des Prevotella spp. »
http://www.francesoir.fr/comment-le-sars-cov-2-orchestre-la-virulence-des-prevotella-spp
Je ne suis pas compétent pour me prononcer, ça paraît cohérent… l’intérêt est que l’auteur tente de théoriser la problématique spécifique du Covid par la (micro)biologie, d’expliquer le pourquoi de ces tempêtes cytokiniques, et suggère quelques perspectives thérapeutiques laissant le soin à la recherche et à la médecine de les définir…
Cette approche aurait sûrement intéressé Michel Georget…
Le Pr Raoult traite le Covid en médecin comme des infections respiratoires, il communique beaucoup mais rien ne semble avoir été théorisé à Marseille pour l’instant. Et les experts parisiens pas mieux…
Claude Escarguel microbiologiste évoque aussi une coopération bactéries/virus responsable des ces tempêtes de cytokines dans un courrier qu’il adresse à Raoult qu’il connaît bien via la presse
http://www.tv83.info/2020/04/09/non-didier-ce-nest-pas-la-fin-de-la-partie-du-moins-pour-toi/?fbclid=IwAR0_gV1ZccYnrPTTrHFj8UJUf-2Lwrq4p3lONf9_L0DMGoXCaB_Xu0pcrIM
L’essai Discovery n’est pas plus fait pour théoriser le phénomène Covid-19, mais seulement pour tester quelques nouvelles/récentes molécules, on devine déjà qu’il conclura qu’il n’y a pas de traitement (assez) efficace… et qu’il faut attendre le vaccin.
Un vaccin n’a pas d’avenir s’il y a un traitement curatif !
J’ai oublié les articles de Bio Moon pour ceux qui s’y intéresseraient ici
Covid-19 : Et si on ne cherchait pas à tuer le virus…
Covid-19 : Et si l’orage de cytokines qui tue les victimes était provoqué par la bactérie Prevotella ?
Pourquoi les obèses et les diabétiques sont-ils plus gravement atteints par le SARS-Cov-2
https://www.agoravox.fr/auteur/bio-moon
À propos de l’aspect clinique de Covid-19
Il semble que Covid-19 présente une particularité : pour les cas sévères, une « tempête cytokinique » se produirait dans un seconde phase de la maladie (https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30183-5/fulltext , https://www.thelancet.com/lancet/article/s0140-6736(20)30566-3 , Clinicians should be aware of the potential for some patients to rapidly deteriorate one week after illness onset, https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/clinical-guidance-management-patients.html)
Une publication de biologie moléculaire pourrait proposer un mécanisme.
https://jvi.asm.org/content/94/5/e02015-19
Elle montre magistralement (mais bien loin de ce qui peut se produire in vivo lors de l’infection d’un humain par le SARS-CoV-2), que le phénomène d’ADE (antibody dependent enhancement, facilitation de l’infection médiée par les anticorps) pourrait expliquer la seconde phase de dégradation de l’état clinique chez certains patients.
Cette étude a été publiée en mars 2020, elle concerne le SARS-CoV de 2003 et le MERS mais vu la proximité du SARS-CoV-2 avec le SARS-CoV, elle pourrait être valide pour le SARS-CoV-2.
Il y est démontré in vitro que ces 2 premiers virus ont une pénétration cellulaire facilitée par les anticorps se liant à la protéine spike (au site du récepteur). Les coronavirus sont connus depuis des décades pour présenter cet ADE, comme d’autres virus (dengue, ebola, Hiv, etc…), mais ce qui est montré ici contrairement aux autres virus, c’est que l’ADE peut se produire avec la même souche. À l’inverse, tous les ADE montrés jusqu’ici l’avaient été avec des souches proches mais différentes antigéniquement.
L’ADE ici dépendrait du taux d’anticorps, de l’expression spécifique dans les tissus des récepteurs viraux et des récepteurs du fragment Fc des immunoglobulines et de caractéristiques intrinsèques (affinité) des anticorps produits.
In vivo, ce mécanisme pourrait expliquer le rebond de la maladie : chez les patients affaiblis, l’immunité innée serait incapable d’éliminer le virus et ensuite, lorsqu’apparaissent les anticorps, ceux-ci occasionneraient l’ADE par l’invasion des tissus présentant les récepteurs spécifiques. Ces anticorps pourraient aussi être concomitants de la réponse immunologique Th2 qui se caractérise par une réaction inflammatoire exagérée. En effet les taux d’anticorps sont plus élevés chez les patients sévères (https://doi.org/10.1101/2020.03.18.20038059) et les anticorps capables de se lier au récepteur et neutralisants sont plus élevés chez les adultes âgés (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/jmv.25715 )
L’un des problèmes du confinement est qu’il enferme toute une famille dans quelques pièces 24h sur 24 avec des contacts multiples et fréquents, plus fréquent et plus intenses que si ces personnes vivaient « normalement ».
Aussi, si l’une de ces personnes rentre à la maison ou dans l’appartement avec le virus, non seulement tous les autres membres de la famille sont pratiquement condamnés à l’attraper mais la charge virale reçue aura toutes chances d’être très élevée, ce qui aggravera la maladie quand elle se déclarera.
Tout cela avait été constaté au cours de la campagne d’éradication de la variole qui est, ou pourrait être si on le voulait, l’exemple d’école par excellence. Quand on pratiquera la recherche active des malades avec mise en quarantaine de ceux-ci dans l’habitation où ils avaient été découverts, toutes les personnes trouvées avec lui dans l’habitation y étant également mises en quarantaine avec obligation de s’occuper du malade, l’effet produit fut cinglant : 12 700 cas notifiés en 1970 ; 88 000 cas en 1973 ; 188 003 cas en 1974 !!! Cependant, comme ces contacts ne transmettaient pas à l’extérieur de leur zone de quarantaine les épidémies s’arrêtaient derrières : 1400 cas en 1975, dernier cas en mai 1975.
Je le répète : la variole est ou pourrait être un exemple d’école. La question est de savoir qui accepte de retourner à l’école pour accepter d’apprendre ?
Une réflexion qui mérite d’être prise en compte pour l’avenir :
https://covidinfos.net/covid19/le-prix-nobel-de-chimie-michael-levitt-se-demande-comment-avons-nous-pu-etre-dupes-a-ce-point/787/
Ce n’est pas Raoult le « Messie » mais Bill Gates celui que si vous le rejetez par la porte entrera par la fenêtre (…) :
https://covidinfos.net/covid19/cest-7-milliards-dindividus-quil-va-falloir-vacciner-affirme-la-fondation-de-bill-gates/940/
En face de ça, qu’est ce que le « protocole Raoult » avec ou sans » torsades de pointe », c’est Billout et Mélinda qui vont nous tordre et commençant par les petits Africains … qui auront survécu au Paludisme grâce à l’HCQ …
Oui, c’est ce qu’explique Peter Aaby : rougeole secondaire plus grave dans les foyers
https://www.deadlymedicines.dk/coronavirus-pandemien-kan-vi-gore-det-bedre/
L’avis de Peter Gøtzsche.
traduction sur le site de Jean-Dominique Michel
http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/05/05/covid-aurions-nous-pu-faire-mieux-306293.html
Une question que je me pose en tant que Candide, quelqu’un pourra t’il me répondre :
Au commencement était le « virus » qui a besoin d’une protéine pour infecter une cellule et ensuite survivre et se multiplier. Le Covid 19 infecte puis tue son hôte de différente manières, y compris en bousillant son système sanguin ( je simplifie) et son hôte meurt. Quel intérêt pour sa survie si son hôte meurt ?
Attention, je ne prête pas une intelligence au virus du SARS COV 2 mais l’évolution biologique des espèces par la sélection naturelle et la concurrence vitale selon Darwin voudrait que , comme pour la Grippe et pour perdurer il soit moins mortel en cas de résurgence à plus ou moins de longue échéance, il devrait donc s’adapter en moins destructeur pour survivre et il sera différent à la prochaine épidémie et donc à quoi servirait un vaccin ?
exactement c’et ce que j’ai écris plus haut les virus émergents s’adaptent à leur hôte en devenant moins virulents
C’est ce que je pensais car sinon, depuis que les virus existent, s’il n’y avait pas adaptation par mutation lors des réplications, le monde serait décimé depuis longtemps par ces « non vivants-presques vivants ».
bon j’ai pas trop faux.
Comme disait l’autre, « c’est vrai que je peux me tromper … mais ça ne m’est jamais arrivé » Lol.
Pour info, pendant que L’AIMSIB discute des masques, de Raoult, de la chloroquine (des études censées démontrer son efficacité sur un virus particulier) etc, il y a des gens qui continuent de penser que cette crise (qui est POLITIQUE et absolument pas sanitaire) est surtout emblématique de la dépolitisation contemporaine, tellement dénoncée par Marc Girard.
Des mesures de coercition extraordinaires ont été prises, elles se sont appliquées au pays entier, c’est a dire à un échantillon de population de 67 000 000 d’individus, à comparer au nombre de morts officiellement affectés au covid 19 de 27 500, dans un pays subissant une moyenne de 50 000 décès mensuel … Les décisions à l’origine de ces incroyables mesures acceptées par presque tous, incluant de nombreux prétendus contestataires de la politique vaccinale, ne sont pas prises par le virus, elles sont prises par des politiques ayant monté en épingle ce virus pour les justifier, au mépris de la réalisation d’une étude sérieuse de la balance bénéfice/risque du confinement. Il est stupéfiant que l’AIMSIB, qui a envie de taper sur Raoult parce que ses études chloroquine/covid19 ne respecteraient pas un protocole rigoureux, refuse de s’attaquer au scandale démesuré du confinement. Marc Girard a expliqué que l’excès de scrupulosité de l’administration sanitaire à ce sujet le faisait ricaner…
Les masques, la chloroquine, la nécessité des tests sérologiques, l’applaudissement des soignants à 20h, l’engorgement des urgences etc … ne sont que des attrapes-couillons permettant de mobiliser les émotions de la population affolée par un épouvantail autour de sujets secondaires, lui évitant ainsi de voir que des mesures dictatoriales ont été prises (car totalement disproportionnées par rapport au problème à traiter et décidées sans preuve d’efficacité et sans preuves que le rapport bénéfice/risque soit positif). Le confinement était (tout comme le premier élargissement des obligations vaccinales) une PROVOCATION-TEST visant à tester la résistance de la population à une limitation drastique de ses droits fondamentaux, avant d’aller plus loin dans la contrainte. Je rappelle que ceux qui ont pris ces décisions sont les mêmes que ceux qui viennent de voter la loi Avia, qui veulent populariser la reconnaissance faciale, qui ont refusé de répondre aux revendications des soignants, qui ont repoussé l’âge de départ en retraite grâce au 49-3 (avec quel supplément de problèmes de santé pour les travailleurs âgés ?), qui a élargi les obligations vaccinales (et les a vendu en montant en épingle la rougeole)… bref, qui brutalise et flique la population sous des prétextes fallacieux. Alors pourquoi leur accorder d’emblée de la crédibilité quand ils incrémentent encore d’un cran dans la brutalité avec le confinement d’un pays entier ?? Marc a largement écrit sur la manière dont les délires sanitaires pouvaient assécher la compassion de ceux qui en sont victimes… quels seront les conséquences de ce délire sur les enfants ayant repris l’école dans les conditions que l’on sait ? Sur les personnes psychologiquement fragiles ou naïves ?
Nos politiques ont reçu l’information que la résistance face à de telles atteintes des droits fondamentaux de la population, dans un contexte hystérique et sous n’importe quel prétexte débile (un virus n’attaquant QUE les personnes âgées ou déjà atteintes de lourdes pathologies) était négligeable…
Dans ces conditions, il est évident que la deuxième vague (voir le reconfinement) aura lieu, puisque la raison a déserté le citoyen dépolitisé, apeuré tel un petit mouton par la moindre médiatisation débile (les enfants atteints de la maladie de Kawasaki ?).
Nous sommes gouvernés par des gens qui se comportent comme des alcooliques. La seule chose à faire à leur égard est d’ignorer purement et simplement leur délire et d’exiger d’eux qu’ils arrêtent la boisson …
Il y a un confinement, Emilio, dont il faudrait se sortir, c’est un confinement mental. On nous a enfermé dans l’idée du tout biochimique pour résoudre les problèmes de santé ou de maladie que nous pourrions avoir. Dans cet univers qu’on nous impose, il y a et il y aura des problèmes sans solutions comme, par analogie, l’équation x2+1=0 est sans solution avec les nombres réels mais on lui en trouve 2 quand on élargit le champs des nombres. Ce confinement là n’est pas politique. En sortir est crucial et urgent.
Emilio, l’Aimsib ne publie qu’un article par semaine et ne peut donc aborder tous les sujets
La question du vaccin a été traitée dans plusieurs articles
Michel de Lorgeril a abordé depuis qq semaines tous les points que vous citez sur son blog
J’ai aussi réfléchi au confinement : ici https://www.mondialisation.ca/pourquoi-le-gouvernement-impose-un-maintien-du-confinement/5645529
Et précédemment ici:
Deuxième vague ?
Tous les jours apparaît dans les médias au moins un avis d’expert qui nous met en garde contre une deuxième vague.
Il y a trois approches de cette question qui permettent, sans jouer au devin, d’affirmer qu’il n’y aura pas de rebond de cette épidémie : la biologie évolutive des virus émergents, l’histoire des épidémies plus particulièrement à virus respiratoire et l’observation de la courbe de l’épidémie selon les pays et les régions.
On trouvera des documents en référence ici https://www.aimsib.org/2020/05/03/vaccin-anti-covid-19-et-immunite-de-groupe-cest-non-et-encore-non/ .
Un virus émergent évolue vite (les coronavirus ont un fort potentiel évolutif) et s’adapte à son hôte en perdant virulence et transmissibilité
Historiquement a-t-on observé un rebond pour une pandémie à virus émergent se transmettant par voie respiratoire?
Le cousin du virus responsable du Covid-19, le SARS-CoV de 2003 nous a montré le contraire : l’épidémie a débuté en novembre 2002 (période précoce), était finie en juillet 2003, et on a encore trouvé qq cas résiduels bénins (4) en janvier 2004.
Il faut comprendre qu’au début d’une épidémie les cas sont grandement sous-estimés car on ne connaît pas le virus, on ne sait pas le détecter.
Par contre à la fin de l’épidémie (où nous en sommes), on va détecter tous les cas, donc même si on trouve encore qq cas, ça ne veut pas dire que l’épidémie est encore active.
Il n’y a pas de rebond dans les pays qui ont déconfiné (exemple : Allemagne, Autriche, Danemark, etc…)
De plus en médecine de ville comme en hôpital en France (et particulièrement en Bouches du Rhône où les tests sont pratiqués à grande échelle dès le début de l’épidémie), les cas nouveaux deviennent rares, dans ces conditions, comment pourrait reprendre l’épidémie?
Où se cache le virus? De quel réservoir pourrait-il reprendre sa course?
Voici deux interviews d’experts qui posent problème : le premier laisse la parole à une biomathématicienne et le second à un professeur de santé publique.
Comment peut-on inférer d’une modélisation mathématique qu’il y aura rebond de l’épidémie?
https://francais.medscape.com/voirarticle/3605934?nlid=135377_2401&src=WNL_mdplsnews_200504_MSCPEDIT_FR&uac=244220AY&faf=1#vp_1
COVID-19 : une deuxième vague est-elle inévitable au vu de l’immunité collective actuelle?
Cette interview de Lulla Opatowski fait suite à une publication :
Les résultats de cette publication concernent donc le taux de personnes ayant rencontré le virus et les prévisions sur la deuxième vague reposent donc sur le concept plus que douteux de l’immunité collective (voir ici la critique : https://www.aimsib.org/2020/05/03/vaccin-anti-covid-19-et-immunite-de-groupe-cest-non-et-encore-non/ ). Il n’y pas d’autre justification avancée : aucune modélisation alors que deux articles montrent qu’il est possible de modéliser l’effet relatif des différentes sortes de confinement sur la forme de la courbe : le niveau des mesures d’éloignement physique n’a pas d’effet sur l’évolution de l’épidémie. Le développement d’une pandémie a une durée limitée, pratiquement indépendante des efforts déployés dans un pays particulier. (https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.09.20059782v2) (https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1)
Autre interview (https://www.publicsenat.fr/article/societe/patrick-zylberman-la-deuxieme-vague-est-souvent-beaucoup-plus-mechante-que-la) Patrick Zylberman, professeur émérite à l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique : « La deuxième vague est souvent beaucoup plus méchante que la première »), le titre, comme souvent dit le contraire du contenu de l’article.
Au passage, je n’insisterai pas sur l’évocation de la pénurie de masques qui serait la faute de l’opinion ! Ni sur l’attente du Messie pour nous sauver du confinement (messie =vaccin), voir également ici : https://www.aimsib.org/2020/05/03/vaccin-anti-covid-19-et-immunite-de-groupe-cest-non-et-encore-non/.
Voici la justification de la crainte d’une seconde vague : le SARS Cov de 2003 aurait provoqué une seconde vague ! Et P Zylberman de citer la deuxième vague à Toronto en juillet 2003 après la première vague en mars 2003.
Pourtant « Au Canada, il y a eu 257 cas, le premier cas étant survenu le 23 février 2003 et le dernier le 12 juin 2003. » (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7106085/)
On lit ici (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31668196) que le virus est arrivé à Toronto début mars et que , vu le faible nombre de cas, l’OMS avait déclaré Toronto débarrassé du virus trop tôt ; mi avril, puisque quelques cas sont apparus en mai et Toronto a été déclaré définitivement déclaré libre du virus le 2 juillet. Sur la courbe mondiale de l’épidémie on ne lit pas de seconde vague.
Donc pourquoi P Zylberman évoque-t-il cette seconde vague qui n’a pas existé ?
Il évoque aussi les 2 pandémies consécutives de la grippe de Hong Kong de 1968-1970, dues au même virus : il affirme que la deuxième vague a été plus sévère que la première. Ce n’est pas ce qui est expliqué ici (https://academic.oup.com/jid/article/192/2/233/856805 ) ; il y a eu plus de décès en Europe (contrairement à l’Amérique) la deuxième année mais les cas asymptomatiques la première année en Europe ont du être largement sous-estimés. Les auteurs expliquent la différence entre les 2 continents par l’immunité de la population européenne déjà acquise contre le virus.
La grippe n’est pas le Covid : on ne peut pas comparer 2 pandémies grippales saisonnières avec l’émergence d’un nouveau virus.
Conclusion : il n’existe pas d’exemple de deuxième vague ou de rebond épidémique, pourquoi donc en attiser la crainte ?
ET APRÈS?
Allons-nous attendre d’avoir 0 nouveau cas de Covid-19 pour déconfiner totalement ?
Il y aura forcément de nouveaux cas : on connaît bien mieux le virus au bout de 7 mois d’épidémie, on le traque avec des tests en nombre, on remonte les chaînes de contamination.
C’est très bien, mais il aurait fallu faire ça au début et pas à la fin de l’épidémie!
Il est attendu de trouver de nouveaux cas, mais de quelle gravité sont-ils ? Entrainent-ils une hospitalisation, des décès ?
Et à l’automne lorsque la grippe saisonnière va arriver, va-t-on tout oublier ?
Il serait utile d’utiliser les capacités techniques mises en œuvre pour le covid-19 pour suivre la prochaine pandémie grippale. Le réseau GROG a dû arrêter ses activités en 2014 faute de subvention (https://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/09/21/22808-surveillance-grippe-reseau-grog-ferme-ses-portes ), ce réseau réalisait des prélèvements pour suivre la grippe et les infections respiratoires, au contraire le réseau Sentinelles de l’Inserm qui assure maintenant seul cette surveillance ne réalise pas de prélèvement (http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=methodes).
Les virus respiratoires peuvent être identifiés par PCR comme le Covid-19 ; juste avant la pandémie de Covid-19, le nombre de prélèvements de surveillance était ridiculement bas (il est tombé jusqu’à 39 pour une semaine pour toute la France !).
Je mets à disposition des études scientifiques, chacun fait ce qu’il veut !
Personnellement j’en porte uniquement dans les endroits où c’est obligatoire.
Je pratique depuis plusieurs années la distanciation physique en période d’épidémie de grippe
Emilio,
vous pensez que l’AIMSIB ne devrait pas discuter des masques (entre autres) parce qu’il se passe des choses autrement plus inquiétantes actuellement.
Je suis entièrement d’accord avec vous : ce que fait le gouvernement est très grave et peu de gens s’en rendent compte à cause de la panique créée par le covid grâce aux médias.
Mais… je ne suis pas médecin. Quand je sors, je vois tout le monde avec des masques (dans les voitures, dans la rue, dans les magasins) alors que je n’en porte pas parce que ma fille est médecin, peu orthodoxe c’est vrai, et parce que je vais régulièrement sur les sites de l’AIMSIB, du Dr de Lorgeril et de Marc Girard… grâce à ma fille. Tout le monde n’a pas cette chance.
Que ces sites soient des espaces d’échanges très riches pour les personnels médicaux je le conçois, mais pour les « pékins » moyens c’est une bouffée d’oxygène qui nous permet de sortir la tête de l’eau car nous sommes noyés dans un flot d’informations anxiogènes ! Et croyez-moi ce n’est pas facile !! J’essaie de faire suivre toutes ces opinions à mes amis, mais ils ont PEUR !!! Et pourquoi croire ces sites plutôt que tous les médias mainstream. Ils ont tous un masque dès qu’ils passent en coup de vent à la maison.
Je vous assure que c’est un travail de longue haleine et il est important, pour moi, que l’AIMSIB soit accessible à des non-médecins, donc qu’elle traite parfois des sujets au raz de pâquerettes pour nous tirer vers le haut comme dirait un certain Marc Girard… sinon où aller chercher l’information ? Dans les médias alternatifs ? Même les partis de gauche sont dans la surenchère pour le confinement. C’est difficile de faire entendre une voix discordante par les temps qui courent, les vaccins n’en parlons pas…
Je peux vous assurer qu’il y a du pain sur la planche et ce n’est pas gagné. C’est même assez désespérant… Donc merci à l’AIMSIB, à Michel de Lorgeril et à Marc Girard.
Akira,
j’ai dit que je viens sur ces sites « entre autres »… Là j’ai posé une question sur le site de l’AIMSIB à propos des masques.
D’après de ce que j’ai lu, il n’est pas prouvé que les masques sont efficaces. Ils peuvent avoir des effets indésirables et de toute façon, l’épidémie est terminée. D’après Emma, il faudrait sans doute limiter le port du masque aux endroits et aux moments où il sera obligatoire. Donc, avec les informations glanées ici et là, je décide comme une grande de ma conduite et j’ai l’intention de suivre ce que dit Emma.
Je remercie surtout Marc Girard, que je suis depuis longtemps, qui est le seul à avoir eu un discours à la hauteur de la situation pour dénoncer sans conditions les obligations vaccinales et qui a été le premier à dire ouvertement que Macron était un dictateur au moment où le confinement a été annoncé.
Dénoncer ces coercitions incroyables est la seule chose à faire si l’on prétend être un opposant à la politique vaccinale et sanitaire de ce gouvernement.
Le confinement était une expérimentation de la contrainte ultime sur la population. Le gouvernement n’a eu aucune considération pour les potentielles victimes du confinement de 67 000 000 de personnes (chiffre à comparer aux 28 000 décès dont le confinement est censé limiter la hausse), je n’ai pas le sentiment que ça ait beaucoup ému l’AIMSIB. Des modélisations mathématiques largement connues pour être foireuses étaient censés théoriser la partie « bénéfice » du confinement, qui a osé dénoncer le mépris absolu consistant à ne PAS prendre en compte la partie « risque » (celle des victimes du confinement, appliquée à un échantillon 2400 fois plus important que celui des décès).
Les masques, la chloroquine, la nécessité de tester la population contre Covid19, les délires autour de la sacralisation des soignants, l’aluminium vaccinal… etc sont des faux sujets servant à alimenter les discussions des contestataires pour empêcher les citoyens de percevoir les vrais sujets (popularisation du confinement, conséquences du vaccin contre l’hépatite B et élargissement des obligations vaccinales).
Lorsqu’il dénonce la dépolitisation, Marc Girard fait allusion à l’incapacité des citoyens à dénoncer les scandales pour ce qu’ils sont, chacun devrait être capable de les identifier sans être « expert » sur les sujets concernés. Il suffit simplement de percevoir la volonté de tromper, d’être capable de hiérarchiser les informations et d’être en mesure d’activer son instinct de survie face à des gens qui délirent continuellement et s’octroient d’immenses prérogatives sur nos droits fondamentaux, avec une évidente volonté de maltraiter la psychologie du peuple et de l’effrayer artificiellement …
Mon cher Emilio,
J’hésite depuis longtemps à vous répondre, je pense que le moment est venu de le faire.
Vous faites à l’Aimsib une série de critiques, et cela est votre plus grand droit, sur le fait qu’elle aurait choisi de « refuse(r) de s’attaquer au scandale démesuré du confinement ». L’Aimsib est une association libre d’individus, non moins libres, qui n’ont pas forcément les mêmes avis, au contraire d’un parti ou d’un groupuscule politique qui oeuvrent à l’organisation d’une pensée unique et partagée par l’ensemble de ses adhérents. L’Aimsib n’est donc pas une machine à produire de l’idéologie. En son sein certains se sont exprimés contre le confinement, d’autres se sont plu à défendre ou attaquer le Professeur Raoult et son traitement à l’hydroxochloroquine ; d’autres encore, plus prudents, ont avancé le fait qu’ils ne savaient pas si le confinement étaient un choix judicieux, ou non, et ont osé aussi dire que nous ne savions pas grand chose à propos du Covi19 et qu’en la circonstance il était préférable de ne pas trop la ramener. Relisez avec attention, tout cela est parfaitement exprimé.
Vous voyez dans la « crise » liée à la pandémie une dimension essentiellement politique. Qu’est-ce qui ne le serait pas ? La question politique est la question de la « gestion de la cité » et cela depuis les anciens. Comment une pandémie pourrait-elle échapper aux problèmes de la gestion de la cité ? Ce que vous supposez c’est que tout cela est volontairement hypertrophié à des fins de manipulations des populations. La question que je me pose est plutôt « Comment se fait-il que l’ensemble des Etats de la planète aient fait le choix d’une crise majeure face à une telle pandémie ? » Pensez-vous que ces beaux messieurs aiment perdre de l’argent ? J’ai entendu dire, par quelques illuminés, que la crise était déjà-là et que la pandémie était l’occasion pour les puissants de la précipiter. Mais les puissants ne sont jamais d’accord entre eux – ça c’est un rêve d’illuminé – ils sont en concurrence permanente et même en sévère concurrence ; la part de marché qui échappera à l’un reviendra inexorablement à l’autre. Regardez-les se vendre et spéculer sur des droits à polluer. Sont-ils d’accord ? Oui, sur le fait de polluer et d’en faire commerce mais jamais sur la véritable question de la pollution ! Alors que la lutte contre la pollution est sans aucun doute l’idéologie d’aujourd’hui et de demain pour gérer et endormir les peuples, ce que le petit monsieur, que vous pensez dictateur, a fort bien compris. Mais les plus grands que lui, qui pourraient en bien des domaines lui donner quelques leçons en dictature-management, n’ont rien à en faire tant la rentabilité immédiate d’un tel investissement est faible. Pour le moment produire à fort indice de pollution est la meilleure dictatoriale mesure. Que les organismes s’affaiblissent et deviennent fragiles en cas de pandémies virales doit se régler à coup de masques (à gaz) et de shoots à l’Hydroxo-Térébentine (par exemple). « Polluer sans limite » pourrait être un très bon slogan politique s’il n’y avait pas les hypocrites pour vouloir polluer avec mesure.
L’ensemble des Etats de la planète ont été pris au dépourvu par la pandémie et tous, à de rares exceptions, ont fini par faire le choix du confinement ; et bien nombreux sont ceux qui, parmi eux, n’ont absolument pas besoin de mise en scène pandémique pour prendre des mesures dictatoriales. Il me semble que vous faites une confusion de taille. Entre la nature totalitaire de la vision du monde – qui n’admet aucune autre possibilité qu’elle-même – de l’ensemble des Etats de la planète et la nature proprement dictatoriale de la gouvernance de certains d’entre eux. Dans un Etat de droit vous pouvez exprimer une opinion, la diffuser, vous faire élire sous ses couleurs, monter le lobbying qui vous convient en son nom… Dans un Etat de non-droit – et ils sont nombreux – vous ne pouvez même pas l’ouvrir car votre sécurité n’est plus alors garantie. C’est cela une dictature. Dans n’importe quelle réelle démocratie si votre point de vue s’avère gênant vous serez dénoncé comme « complotiste », mis à l’index, rejeté par votre milieu professionnel, voire traité comme un malade… A de rares exceptions près, vous ne serez ni éliminé ni déporté ni emprisonné. Vous serez exclus comme de nombreux prolétaires sont exclus dans ces démocraties politiques. Celui qui devient critique en démocratie est alors banni de toutes sphères de pouvoir. Il est sans pouvoir, ni sur sa vie ni dans aucune sphère sociale. C’est un pauvre, un exclu dans la société et non hors la société. Est-ce cela que vous découvrez aujourd’hui ? N’aviez-vous pas conscience de cela depuis toujours ? Pensiez-vous avoir quelques libertés et pensez-vous les perdre maintenant ? Ce sont vos illusions que vous perdez et rien d’autre.
On n’obtient rien des peuples réduits en esclavage, ils ne sont pas aussi rentables que les peuples à la servitude volontaire, car ces derniers adhèrent au modèle et jamais ne sont d’un aussi bon rendement. La lutte contre la pollution est la servitude de demain et celui que vous prenez pour un dictateur n’est autre qu’un infâme manipulateur. Direz-vous demain que vous êtes pour le droit à polluer comme les vieux tyrans ?
@Eric Marquant du 19 mai 2020 à 17 h 56 min
Il ne s’agit pas de produire de l’idéologie, il s’agit d’identifier ce qui est vraiment important, ce qui est significatif. En l’occurrence, confiner un échantillon de population de 67 000 000 de personnes pour éviter à un échantillon de décès 2400 fois moins important de progresser est une mesure disproportionnée. Il s’agit de prendre un marteau pour écraser une mouche … On retrouve ici le même problème qu’avec les vaccins, lorsque l’on décide d’ignorer les conséquences résultants de la vaccination de millions de nouveaux-nés en parfaite santé au motif que la non-vaccination provoquerait un immense problème de santé publique. On raconte absolument n’importe quoi et il n’est pas nécessaire d’avoir fait math sup pour le comprendre, surtout après les scandales H1N1 et hépatite B des années 90. Le confinement est une nouvelle « provocation-test » visant à tester la résistance de la population aux atteintes les plus extrêmes de ses droits fondamentaux, une provocation animée par une volonté de domination et de contrôle…
On m’a relayé le message de Michel de Lorgeril expliquant que Peter Gøtzsche aurait mieux fait de « fermer sa gueule » (à propos d’un article traduit en français et publié sur le site de Marc). Voila l’état de la « résistance » de l’AIMSIB, critiquer violemment ceux qui dénoncent cette mesure disproportionnée et incroyablement autoritaire du confinement… c’est scandaleux. Sinon, il semble que la médiatisation de l’aluminium vaccinal, a laquelle participe activement les livres de Michel de Lorgeril, reprenne de la vigueur (avec France 2 ce matin). Je rappelle juste que le problème aluminique sert surtout à occulter la vaccination des victimes de la myofasciite à macrophage contre l’hépatite B, que le principal médecin qui diffuse cette problématique s’est toujours affiché comme soutien aux obligations vaccinales, et que le vrai scandale, concernant une éventuelle mise sur le marché d’un vaccin anti-COVID19 sera sa mise sur le marché accélérée par l’urgence (fast-track).
Lorsque j’évoque la dépolitisation, je ne parle évidemment pas de la droite ou de la gauche (on remarquera d’ailleurs que de LFI au RN, personne n’a été critique à l’égard du confinement, ni Jadot, ni Rivasi, ni Mélenchon, ni B.Brocard, ni O.Faure, ni Le Pen). La dépolitisation représente l’incapacité des citoyens à auditer le discours des experts pour repérer les mensonges, les exagérations, la volonté de tromper (cf critères intrinsèques de crédibilité de l’expertise de Marc Girard). Elle représente aussi l’incapacité à hiérarchiser les informations et à s’approprier les éléments significatifs d’une problématique complexe pour se faire une opinion, peut-être à cause d’une culture générale minimum absente. Le citoyen est narcissique, élevé par une société néolibérale qui lui dicte ce qu’il doit faire en évinçant non seulement son libre-arbitre, mais aussi sa capacité à percevoir le réel.
Concernant la mise en place d’une dictature, je ne fais allusion à un régime politique ni a l’extrême-droite, ni à l’extrême-gauche. La situation politique de ce pays est alarmante parce que le citoyen accepte sans broncher sa condition de petit animal détenu en cage à cause d’un vilain loup (appelons le coronavirus) qui traînerait dehors. Pour protéger le citoyen mouton tout apeuré par tout ce que la télé rabâche, on lui met une muselière qu’il sera libre de broder chez lui et de décorer comme il a envie. Il peut même broder son petit masque en solidarité avec les soignants, les éboueurs, l’épicier du coin ou la fée clochette.
Si l’ensemble des pays développés ont décidé de mettre en place le confinement, si les différents peuples acceptent d’être mis en cage, il me semble que c’est avant tout parce que les mêmes causes (narcissisme, absence de compassion, perte de vue des vraies valeurs et des vrais scandales, décervelage généralisé etc …) produisent les mêmes effets. L’argument consistant à dire que « tous les pays font pareils c’est bien la preuve que notre pays a raison » résulte d’une mauvaise foi épouvantable.
La dictature d’aujourd’hui ne repose plus sur la chasse aux opposants et leur emprisonnement, elle repose sur des moyens techniques de surveillance (loi Avia, reconnaissance faciale, chasse aux fakes news et censure par enterrement, archivage des données personnelles, drones policiers pourchassant les randonneurs et les cyclistes, application type Stopcovid et … mesures disproportionnées du confinement sous le moindre prétexte idiot), sur la dramatisation des fausses menaces (évitant ainsi d’identifier les vraies menaces) et … sur la parfaite servilité du peuple incapable de s’opposer aux menaces qui pèsent sur ses libertés fondamentales. La dictature macroniste se différencie par la faible capacité du peuple dépolitisé à identifier sa véritable nature…
Marc Girard identifiait les arguments employés par le gouvernement pour justifier l’élargissement des obligations vaccinales comme inspirés par ceux ayant permis une « révolution culturelle nazie » (médicalisation comme fer de lance du néolibéralisme, primauté de l’intérêt général sur l’égoïsme individuel, devoirs des parents et droits de rétorsions des enfants…). Il identifiait l’acceptation large de ce genre d’arguments dans une absence de compassion et annonçait une catastrophe civilisationnelle. Bref, on se dirige tout droit vers une société où l’on n’aura plus besoin de chasser les opposants ayant commis des actions contre le gouvernement… il suffira de les maintenir immobile au sol, en polluant leur réflexion avec des thématiques contestataires débiles, en les censurant, en les brimant dans leur vie quotidienne grâce à la surveillance généralisée en plaçant des « radars automatiques » dans l’ensemble de sa vie quotidienne (voir le reportage de Arte « tous surveillés- 7 millions de suspects, qui montre des citoyens dont les actions quotidiennes sont notées par l’administration, entraînant des droits fondamentaux à géométrie variables), avec une exclusion de la vie sociale, une peine potentiellement illimitée en mesure de tuer à « tout petit feu ». Estrosi est l’agent qui expérimente et popularisé cette dictature de la surveillance dans sa ville de Nice…
Il y a une chose très simple avec la crise politique covid19 : au moment où tout le monde a commencé à délirer (où même des proches m’envoyait des messages de soignants en train de pleurnicher sur les urgences qui débordaient), la mortalité totale selon l’INSEE était tout à fait comparable aux années antérieures, celle-ci a commencé à augmenter au moment où le confinement a débuté. Marc Girard a trouvé cette information suffisamment significative pour en faire un article sur la « chronologie du confinement et de ses conséquences ». Donc pour moi les choses sont claires : tout le monde délirait et l’AIMSIB ne l’a pas perçu de cette manière. Quand la mortalité s’est aggravée, l’AIMSIB s’est simplement reapproprié la propagande la plus grossière (une propagande qui a désigné Raoult comme opposant, lequel n’avait aucun scrupule en 2009 à vacciner la population entière avec un vaccin « pandémique vite fait bien fait », Marc Girard et les Delépine ont dénoncé le confinement policier appliqué en France).
Concernant la pollution et surtout le réchauffement climatique, j’ai découvert un expert extrêmement intéressant et crédible durant le confinement : Jean-Marc Jancovici. J’ai dû voir 4h de vidéo (nécessitant d’être revue plusieurs fois) de ce monsieur. Jancovici a une pleine considération pour la nécessité d’allouer des ressources proportionnées à chaque cause du réchauffement climatique en fonction de leur significativité (en commençant par le pétrole et le charbon). Il semble que le réchauffement climatique ne soit pas un petit problème… la conséquence de ce réchauffement pourrait bien être un milliard de morts. Il semble que les énergies renouvelables ne soient en rien une alternative aux énergies fossiles, que l’énergie nucléaire soit un « doliprane capable de diminuer la fièvre du réchauffement climatique » et que la seule solution à ce réchauffement soit la diminution de l’émission de gaz à effet de serre obtenue grâce à une décroissance énergétique (décroissance de l’utilisation des machines directement à l’origine du confort de vie occidental) et économique. Il semble que le gouvernement, Greenpeace, Jadot, Bayou et EELV soient à côté de la plaque concernant les priorités à désigner pour lutter contre le réchauffement climatique. Bref, je ne suis absolument pas pour un droit à polluer « comme les vieux tyrans ». Il est toutefois hautement probable que le sujet écologique soit récupéré par des incompétents pour imposer de nouvelles contraintes disproportionnées et inutile (de manière directe ou via la fiscalité) et accroître le contrôle de l’État sur les droits fondamentaux des populations…
Mon cher Emilio,
Décidément vous ne comprenez pas, ou ne voulez pas comprendre, que l’Aimsib ne parle pas d’une seule et unique voix. Le point de vue de Michel de Lorgeril, s’il peut être partagé par certains membres de l’Aimsib, ne fait pas forcément l’unanimité. Donc vous avez tort de dire que :
« On m’a relayé le message de Michel de Lorgeril expliquant que Peter Gøtzsche aurait mieux fait de « fermer sa gueule » (à propos d’un article traduit en français et publié sur le site de Marc). Voila l’état de la « résistance » de l’AIMSIB, critiquer violemment ceux qui dénoncent cette mesure disproportionnée et incroyablement autoritaire du confinement… c’est scandaleux. »
Vous êtes juste incroyable lorsque vous affirmez :
« La dépolitisation représente l’incapacité des citoyens à auditer le discours des experts pour repérer les mensonges, les exagérations, la volonté de tromper (cf critères intrinsèques de crédibilité de l’expertise de Marc Girard). Elle représente aussi l’incapacité à hiérarchiser les informations et à s’approprier les éléments significatifs d’une problématique complexe pour se faire une opinion, peut-être à cause d’une culture générale minimum absente. »
Mais il s’agit de la majorité de la population, ceux que Marc Girard appelle les « blaireaux de base » ! Nous sommes dans notre grande majorité incapables de repérer les mensonges et les exagérations des experts et vous osez nous piétiner à cause de notre culture générale absente. Vous avez le mépris facile et hautain des personnes éduquées.
« Le citoyen est narcissique, élevé par une société néolibérale qui lui dicte ce qu’il doit faire en évinçant non seulement son libre-arbitre, mais aussi sa capacité à percevoir le réel. »
C’est l’époque dans sa totalité qui est narcissique. Libéralisme ou pas, la promesse marchande a fait recette. L’individu est le coeur de cible du système. La perception du réel est alors hautement problématique. Vous confondez une idéologie économique avec la réalité d’un monde marchand, fut-il stalinien !
« L’argument consistant à dire que « tous les pays font pareils c’est bien la preuve que notre pays a raison » résulte d’une mauvaise foi épouvantable. »
La mauvaise foi consiste à ne pas répondre au fait que le choix du confinement a été fait par la grande majorité des Etats. Vous êtes un nombriliste, ce que vous dénoncez par ailleurs en parlant du narcissisme. Je ne défends en aucun cas le choix de l’Etat français, j’ose même affirmer que je ne sais qu’en penser, et ne me réfère, pour se faire, à personne. Lorsque je pose la question du recours mondial au confinement, je pose, indirectement, l’idée que nous n’avons pas seulement affaire à un Etat mais à un Monde. Mais il semble que vous soyez plus intéressé par les affaires franco-françaises.
« La dictature d’aujourd’hui ne repose plus sur la chasse aux opposants et leur emprisonnement, elle repose sur des moyens techniques de surveillance »
Vous connaissez bien mal votre époque autant que le Monde dans laquelle elle se joue. On meurt encore beaucoup à travers ce Monde sous des dictatures d’une extrême violence et une fois de plus vous confondez une vision du monde « totalitaire » – donc policière – avec une dictature. Vous devriez échanger, ou mieux, aller voir ce qu’il se passe ailleurs, je vous sens naïf. Maintenant, je partage avec vous cette critique d’un monde mis sous surveillance, ce sont les mots que je ne partage pas, car vous êtes dans l’excès, ce goût du superlatif tant employé dans la société narcissique.
« Quand la mortalité s’est aggravée, l’AIMSIB s’est simplement reapproprié la propagande la plus grossière (une propagande qui a désigné Raoult comme opposant… »
Vous parliez de mauvaise foi ! Relisez les commentaires de l’Aimsib, tout le monde est loin d’être d’accord.
@ Emilio du 20 mai
je vous ai peut être mal lu mais il me semble que vous ne connaissez pas le contenu des livres de Michel de Lorgeril et peu la teneur des articles de l’Aimsib. Par exemple si l’aluminium est cité ce n’est qu’un des éléments pris en compte parmi de très nombreux autres. Je ne maîtrise pas l’ensemble des contenus, dans les deux cas c’est très riche en informations, mais je n’y ai pas vu la même chose que vous.
Pour Jancovici : avec un autre auteur comme M. Auzanneau, ils font partie des références incontournables sur ces sujets je crois. Las ils sont pour moi trop nucléophiles. Dans l’absolu ça se comprend (faibles émissions de Co2, radioactivité a priori maîtrisée en usage normal) mais c’est tout de même une technologie qui peut générer une radioactivité très forte en cas d’incident. Un accident dans la vallée du Rhône par ex, un coup de mistral et hop ce sont des dizaines de millions de personnes touchées. Cette technologie n’est pas adaptée non plus aux conséquences du réchauffement climatique : cela nécessite des quantités d’eau énormes. donc ces usines peuvent moins bien fonctionner en cas d’étiages prolongés, qui risquent d’être plus fréquents.
Ce qui ne veut pas dire que les énergies renouvelables soient partout géniales et sans défaut, mais ceci dit l’Allemagne réussit progressivement à diminuer le charbon et baisser le nucléaire en augmentant sa production de renouvelable, il me semble qu’ils ne prennent pas assez en compte ces aspects dans leurs analyses.
@Olive Verte du 20 mai :
Je possède les livres 1,2 et 4 de MdL. J’ai lu très attentivement la longue partie du livre 2 consacrée à l’aluminium. J’ai aussi lu très attentivement le long article de Marc Girard jamais réfuté et intitulé [Aluminium et adjuvants – I. La mystification de la “myofasciite à macrophages”] que j’ai d’ailleurs activement relayé.
Les articles publiés sur le blog de l’AIMSIB dispose d’un résumé en début de texte permettant de connaître son contenu global. Il est clair que l’aluminium vaccinal n’est pas un sujet anecdotique pour cette association. Avant cela, il y eu la pétition Joyeux (un autre médecin rechignant à dénoncer l’obligation vaccinale et se contentant de réclamer le « retour du DTP »).
A chaque fois qu’une nouvelle session de propagande reprend dans les médias… on nous ressort Gherardi et l’aluminium, ça permet de créer une unanimité de critique rendant les cerveaux indisponibles pour identifier le vrai sujet (cf paragraphe suivant). Les prochains mois seront consacrés à la nécessité de commercialiser « vite fait bien fait » un vaccin contre le COVID-19, l’aluminium pourrait bien réapparaître dans les médias, ce fût déjà le cas en 2009 au moment de la pandémie H1N1 (cf https://www.dailymotion.com/video/xb4ewp) et je me souviens de la sénatrice Laurence Cohen réclamant le financement d’études sur l’aluminium alors que le sénat débattait de l’élargissement des obligations vaccinales. Quand on reparlera de la vaccination HPV élargie aux garçons, on pourra aussi relancer les esprits sur l’aluminium (cf https://twitter.com/bourguignonjea3/status/1182927547983634432).
Avec ou sans aluminium, les vaccins sont mal évalués : parce que les effets indésirables dont la fréquence est inférieure à 1% (voir 2%) ne sont pas relevés lors des études cliniques, parce que la pharmacovigilance ne relève que 1% des effets secondaires (une faible variation des notifications représentant potentiellement un immense drame à cause de cette sous-notification), parce que la durée de suivi des vaccinés lors des études n’est que de quelques jours alors que les effets immunologiques sont censés durer des décennies, parce que l’efficacité est évaluée sans véritable placebo dans le groupe témoin et au travers de critères de substitution (élévation du taux d’anticorps, évolution de lésion précancéreuses etc…).
Bref, la présence de l’aluminium dans les vaccins est à réintégrer dans un ensemble composant LE vaccin. Extraire un composant annexe d’un médicament et l’étudier séparément n’a pas de sens, seul un rapport bénéfice/ risque correctement évalué (prenant en compte l’épidémiologie et la gravité de la maladie à prévenir) du médicament et de l’ensemble de ses composés en interaction est important. Le problème posé par les médicaments génériques (qui ne sont absolument pas équivalents aux médicaments princeps) viennent renforcer ce constat. Le problème des vaccins est la mise en danger des individus en parfaite santé pour les prévenir d’un risque insignifiant. Le problème est le laxisme absolu dans l’évaluation de l’efficacité et de la tolérance des vaccin.
Si l’on ne connais pas Jancovici, son interview de 44 minutes (Thinkerview) paraît intéressante pour aborder son propos :
https://youtu.be/Fp6aJZQldFs
Il n’y a que le Maroc et le Congo RDC qui suivent les doses du protocole de l’IHU
Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée
> Chine Chloroquine 500mg 2x/jour
> Pays-Bas Chloroquine/Hydroxychloroquine J1 : 600mg (6 comprimés A-CQ 100mg), 12 heures plus tard 300mg ; J2-J5 : 300mg
> Iran Hydroxychloroquine 200mg 2x/jour
> Belgique Hydroxychloroquine J1 : 400mg x2 ; J2-J5 200mg
> Italie (Lombardie) Chloroquine/Hydroxychloroquine Chloroquine 500mg pendant 20jours OU Hydroxychloroquine 200mg 5 à 20 jours
> USA (New York) Hydroxychloroquine+Azithromycine Hydroxychloroquine 200mg 3x/jour, Azithromycine 250mg
> Corée Hydroxychloroquine Hydroxychloroquine 400mg/jour
> Inde Hydroxychloroquine -*- Prophylaxie-*-, 400mg*2 au J1, puis 400mg par semaine
> Congo RDC Hydroxychloroquine+Azithromycine Hydroxychloroquine 200mg 3x/jour, Azithromycine 500mg J1 puis 250mg/jour pendant 5 jours
> Maroc Hydroxychloroquine+Azithromycine Hydroxychloroquine 200mg 3x/jour, Azithromycine 500mg J1 puis 250mg/jour pendant 5 jours
> Roumanie Hydroxychloroquine Hydroxychloroquine 400mg 2x/jour
https://www.mediterranee-infection.com/coronavirus-pays-ou-lhydroxychloroquine-est-recommandee/
Ce matin on m’a fait passer le témoignage d’un médecin retraité qui soigne encore.
Comme il ne se cache pas, il donne son nom et son adresse, j’ai trouvé important de diffuser l’opinion de ceux qui sont sur le terrain.
« »
> » Cinquante ans de médecine de campagne… J’ai 76 ans passés et j’en ai vu des épidémies de grippe dès 69-70, qui tuaient 30 à 40 000 personnes sans qu’on affole une population infantilisée par l’idée de la mort et -surtout- par médias et hommes politiques qui surfent sur la vague. J’ai de nombreuses années assumé un cabinet de 40 à 5O malades jours et nuits et dimanches en dépit de 3 associés que j’avais accueillis à mes côtés. Encore inscrit au Conseil de l’Ordre, je viens de soigner une dizaine de personnes atteintes du covid 19 et j’y suis passé moi-même sans encombre en n’hésitant pas à prendre Nivaquine + antibiothérapie. Oui, on n’est pas certain de l’efficacité de ce traitement… mais alors, que proposer à nos patients? Pour mes amis et parents, comme pour moi, je n’ai pas hésité. Toxicité de l’hydrochloroquine? J’en ai prescrit comme tous les autres médecins pendant 50 ans (sans qu’on m’emmerde) contre le palu et dans certaines affections rhumatismales sans le moindre incident alors que j’ai dû hospitaliser des cirrhoses au paracétamol chez des non alcooliques, sans parler des hémorragies digestives sous aspirine… Le confinement : certes pour les personnes fragilisées et afin de ne pas engorger les services de réanimationb qui n’existaient pas dans les années 70. Mais on le prouvera quand nous serons en possession de tests sérologiques fiables : quoi qu’on fasse, les trois quarts de la population auront contracté le Covid 19 en ne présentant qu’une simple « grippette »ou une forte grippe. Que dire de la cacophonie des « grands professeurs » (combien d’entre eux ont-ils réellement fait de la recherche fondamentale?) des grands professeurs qui n’ont pour la plupart jamais eu à soigner une grippe et des pneumopthies virales alors que nous en avons soigné des milliers au cours de notre carrière et que sommes, nous, médecins de famille en première ligne pour soigner les trois quarts des personnes atteintes du Covid 19. Oui : qu’ont-ils à proposer? Alors, qu’on laisse le médecin de famille responsable faire son boulot sans lui interdire tel ou tel produit! Ou alors, qu’on lui interdise le droit de soigner! Seuls quelques grands spécialistes et chercheurs ont droit de nous apprendre. Toute mon admiration va aux médecins de réanimation et à leurs assistants qui se dévouent de façon merveilleuse 24 heures sur 24 pour les cas désespérés. Mais si un jour, il se confirme que Nivaquine et Plaquénil ont une efficacité -même relative- contre le Covid 19, alors nous serons en droit d’accuser tous ceux qui nous l’ont interdit, d’avoir mis en danger la vie de centaine de milliers de malades et -voire- de les traduire en Justice. Car, pour avoir été maire pendant 19 ans et Conseiller Régional 12 ans, je doute de l’esprit de culpabilité de certains »grands » élus. Docteur Jean-Louis Bellaton, né le 5 10 43, 454 chemin des Vignerons 69 830 Saint-Georges de Reneins. »
« »
Merci Docteur Jean-Louis Bellaton pour ce magnifique témoignage.
Vous être très humain.
Pour revenir aux facteurs favorisant le covid-19, à rechercher en priorité je pense avant tout vaccin efficace et sans danger plus qu’improbable : les abattoirs en particulier et l’industrie de la viande en général semblent particulièrement touchés un peu partout. Ca a l’air plus flagrant aux Etats-Unis. Les causes sont discutées : froid constant dans ces lieux de travail ? Conditions sanitaires des vestiaires ? Machines qui produisent des aérosols et/ou vapeur d’eau constante ? Coupures fréquentes ? Autre ? Plusieurs discussions en cours en français et en anglais sur des fils twitter.
Ce n’est pas nouveau que les conditions de travail sont souvent déplorables dans ces usines. Hélas, la médecine du travail manque de suffisamment de moyens et de pouvoir de participation aux décisions pour améliorer ce genre de conditions de travail là.
J’ai aussi svp une toute autre question de sémantique médicale aux médecins qui passent par ici : les effets secondaires du vaccin Bexsero comprennent la maladie de Kawasaki avec des manifestations cutanées. Est ce svp la même chose qu’une « vascularite urticarienne », ou est-ce différent ?
Le vaccin Boxsero contre les infections à méningocoques n’est pas recommandé en France sauf pour personnes à risques…par contre cette vaccination est préconisée en routine chez les britanniques
The MenB vaccine is recommended for babies aged 8 weeks, 16 weeks and 1 year as part of the NHS routine childhood vaccination programme.
https://www.nhs.uk/conditions/vaccinations/meningitis-b-vaccine/
Le syndrome de Kawasaki est mentionné dans les « side effects »
Rare (these may affect up to 1 in 1 ,000 people)
– Kawasaki disease which may include symptoms such as fever that lasts for more than five days, associated with a skin rash on the trunk of the body, and sometimes followed by a peeling of the skin on the hands and fingers, swollen glands in the neck, red eyes, lips, throat and tongue-Itchy rash, skin rash
https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.5168.pdf
Le lien « possible » entre maladie de Kawasaki et vaccinations est évoqué dans cet article, où il est vrai la corrélation entre vaccinations de nourrissons et cette maladie qualifiée « d’auto-immune », ce qui ne veut à peu près rien dire dire, est très suspecte (concomitance de tranche d’âge), quand bien même cet effet indésirable serait assez rare…
http://initiativecitoyenne.be/article-26-enfants-decedent-dans-des-pays-pauvres-apres-un-vaccin-qui-avait-ete-approuve-par-l-oms-116887429.html
Le syndrome de Kawasaki n’a pas attendu le Covid-19 pour se manifester, ceux qui allèguent un lien entre les deux donnent simplement l’impression de botter en touche, et de s’en laver les mains et la cervelle.
@ akira. C’est une explication plausible. Toutefois, pour avoir travaillé très tôt en grande boucherie, je n’ai pas connu d’humidificateur d’air mais, par contre tout est en chambre froide : La viande n’aime pas la chaleur … et les virus non plus sans compter que c’est dans ce milieu professionnel qu’il y a le plus de blessures par « coupures », petites ou grandes . les abattoirs c’est d’abord des animaux vivants ( en plus ou moins bonne santé , les contrôles sanitaires sont plutôt « élastiques » voir les scandales sur ce sujet) et ensuite des carcasses distribuées aux boucheries – charcuteries mais toujours sous atmosphères froides même en maturation.
Alors …
@ akira : Comme quoi j’avais raison, bien lire le paragraphe sur les clusters en boucherie (ailleurs, en France et même en Allemagne..;) :
https://www.jim.fr/e-docs/alerte_dans_les_abattoirs_des_clusters_pas_comme_les_autres__183007/document_actu_pro.phtml
Juste un petit bémol : on ne transpire pas en boucherie …
Après le BCG maintenant ils nous font le coup du ROR !
Certains surfent déjà sur « a second wave » l’idée en Angleterre n’est pas de vacciner contre le covid l’hiver prochain mais bien toute la population contre la grippe pour que « le NHS ne soit submergé cet hiver si le coronavirus constitue toujours une menace. »
Notons au passage que colporter l’idée d’un vaccin gratuit (free) est simplement démagogique, les citoyens le paient d’une façon ou d’une autre.
Everyone in Britain ‘should get the winter flu jab to stop NHS getting overwhelmed if coronavirus still poses a threat’
14 May 2020
Everyone in the UK may have to get the winter flu jab to prevent the NHS from getting overwhelmed this winter if coronavirus still poses a threat.
Government ministers have reportedly been advised to vaccinate all members of society by next winter for free, in an effort to free up hospital beds.
Under current policy, less than half of the population are eligible to a free flu jab.
The vaccine is currently free on the NHS for young children and those aged 65 or over.
The possibility of vaccines for everyone in the country is now being looked into by government scientists, the Sun reported.
It comes amid concerns a second wave of Covid-19 in the winter months could overwhelm hospitals if it coincides with an outbreak of the flu.
Chief medical officer Professor Chris Whitty has previously warned that a second wave of coronavirus during the winter could prove devastating. […]
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8317547/Everyone-Britain-winter-flu-jab-stop-NHS-getting-overwhelmed.html
Les anglais devraient s’intéresser à l’étude du Pentagone…
Le vaccin contre la grippe augmente les risques de coronavirus de 36 % selon une récente étude du Pentagone
Par Julie Lévesque Mondialisation.ca, 26 avril 2020
Une étude du Pentagone parue le 10 janvier dernier dans la revue Vaccine a démontré que le vaccin contre la grippe augmentait significativement les risques d’attraper un coronavirus :
« Se faire vacciner contre la grippe peut augmenter le risque d’attraper d’autres virus respiratoires, un phénomène connu sous le nom d’interférence virale […] L’interférence virale dérivée de vaccins a été associée de manière significative au coronavirus et au métapneumovirus humain. » […]
https://www.mondialisation.ca/le-vaccin-contre-la-grippe-augmente-les-risques-de-coronavirus-de-36-selon-une-recente-etude-du-pentagone/5644767
Et ça continue les idioties destinées à nous terroriser :
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/coronavirus-25-nouveaux-foyers-%c3%a9pid%c3%a9miques-en-france-depuis-lundi/ar-BB14bZRO?li=AAaCKnE
Extrait : « Parmi les derniers clusters identifiés figure un abattoir de Fleury-lès-Aubrais (Loiret), près d’Orléans. 34 cas de nouveaux coronavirus y ont été détectés, selon une annonce faite samedi par l’Agence régionale de santé.
Olivier Véran précise que, malgré cette augmentation du nombre de clusters, un seul territoire français constitue, pour le moment, « une inquiétude : Mayotte. C’est le seul endroit où l’épidémie progresse malgré le confinement, toujours en place là-bas ».
Où sont les autres « clusters » ?
Mayotte est un cas à part dénoncé depuis des années et on vient de s’apercevoir qu’il fallait y transférer l’Hôpital militaire de Mulhouse, et là autres problèmes :
https://la1ere.francetvinfo.fr/mayotte/nous-n-avons-pas-demande-hopital-militaire-campagne-831634.html
Efficacité des mesures, un point de vue factuel. Où a-t-on 30 fois moins de chance de mourir du Covid?
http://www.francesoir.fr/efficacite-des-mesures-un-point-de-vue-factuel-marseille-30-fois-moins-de-chance-de-mourir-du-covid
Extraits :
» Le dépistage – 4 fois plus de tests dans les Bouches-du-Rhône que dans la France entière : 2,6 fois plus de tests par million d’habitants en région PACA que dans le reste de la France.
A toutes les périodes, le département 13 et la région PACA ont des pratiques de tests/dépistages plus systématiques. Le departement 13 a pratiqué pus de tests qu’en Allemagne.
Taux de mortalité par million d’habitants : le taux en région PACA significativement inférieur à la moyenne nationale
A Marseille, le taux de mortalité est inférieur à celui de l’Allemagne, probablement car le dépistage massif et le traitement donné tôt à un effet ESSENTIEL.
En Allemagne, le taux de mortalité est 4 fois moins important qu’en France (27%). A Marseille avec le protocole HCQ+AZ et le dépistage, le taux est 30 fois moins important que dans le reste de la France. »
Qui a dit que « le savont de Marseille » (pour reprendre l’expression vue sur un blog) n’était pas efficace contre le SarsCov2 ?
Il y a tous les jours de nouvelles études proposant les effets de l’HCQ contre le Covid 19
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32367579
FASEB J. 2020 May 5. doi: 10.1096/fj.202000654R. [Epub ahead of print]
The lysosome: A potential juncture between SARS-CoV-2 infectivity and Niemann-Pick disease type C, with therapeutic implications.
Le lysosome: une jonction potentielle entre l’infectiosité du SRAS-CoV-2 et la maladie de Niemann-Pick de type C, avec des implications thérapeutiques.
Extraits : « La réutilisation des médicaments est potentiellement l’option la plus rapide disponible dans la course pour identifier les médicaments sûrs et efficaces qui peuvent être utilisés pour prévenir et / ou traiter le COVID-19. «
« Plus précisément, nous proposons que les effets lysosomotropes de l’hydroxychloroquine et de plusieurs autres médicaments soumis à des tests puissent être responsables de leurs activités antivirales in vitro démontrées contre le COVID-19. De plus, nous proposons que la maladie de Niemann-Pick de … »
Nous avons un adepte du chloroquisme raoultien 🙂
Trump says he spoke to the White House doctor before he started hydroxychloroquine http://cbsnews.com/live
https://twitter.com/CBSNews/status/1262482865717207044
@ akira : Ah oui, lesquels ?
C’est vrai que l’HCQ et combiné aux antibios dès les premiers symptômes et même durant la phase aiguë selon le « protocole Raoultien » ou adapté par d’autres chercheurs de pays divers qui l’utilisent, c’est autrement plus dangereux que le Covid 19 … On en meurt plus sans doute si j’en crois ta hantise.
Et allez, ça continue la vraie désinformation des médias :
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/trump-claironne-quil-prend-de-la-chloroquine-au-m%c3%a9pris-des-recommandations-sanitaires/ar-BB14hoyF?li=AAaCKnE
Quand il anonçait qu’il prenait des statines pour baisser son cholestérol, pas de protestation dans la presse et là on prétexte des études RECENTES sur l’HCQ prétendant que c’est inefficace et hautement g sans toute fois les citer.
Je n’ai pas de sympathie particulière pour lui mais là les anti Raoult font vraiment feu de tous bois faute de réels arguments.
Pas politiquement correct = pas traitement correct.
Bonjour akira
Lesquels?
Où puis-je le vérifier?
Et l’HCQ est toujours ce qu’il y a demieux et d’abordable pour les patients Covid et Diabète D2 ;
A t-on quelque chose d’autre à proposer ?
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7102587/
Diabetes Metab Syndr. 2020 May-June; 14(3): 241–246.
Published online 2020 Mar 26. doi: 10.1016/j.dsx.2020.03.011
PMCID: PMC7102587
PMID: 32247211Chloroquine and hydroxychloroquine in the treatment of COVID-19 with or without diabetes: A systematic search and a narrative review with a special reference to India and other developing countries
Comme annoncé dans l’article ci-dessus, les résultats des essais de vaccins sont décevants (peu efficaces et toxiques), les mouvements de bourse sur les actions Moderna et Inovio vont s’accélérer!
voici la traduction d’un post de Tetyana Obukhanych
Moderna vient d’annoncer des données « positives » pour leur candidat vaccin COVID-19 mRNA-1273. Le vaccin semble induire des anticorps neutralisants contre le virus chez les personnes testées (8 sujets à ce jour). Le communiqué de presse mentionne également qu’ils ont réalisé une étude sur la souris en collaboration avec le NIAID, indiquant que lors d’une épreuve virale avec le CoV-2 du SRAS, les animaux vaccinés ont été protégés de la réplication virale dans les poumons. https://investors.modernatx.com/news-releases/news-release-details/moderna-announces-positive-interim-phase-1-data-its-mrna-vaccine
Vous vous souvenez de ce vieux document sur les vaccins candidats contre le SRAS qui n’ont jamais été utilisés chez l’homme ? Ces vaccins ont également induit des anticorps neutralisants et réduit la charge virale dans les poumons des souris, mais… au détriment de l’immunopathologie lors de la provocation virale. (En d’autres termes, les risques d’infection ultérieure ne valaient pas la protection). https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3335060/
Où est l’assurance de Moderna que la provocation virale par le SRAS-CoV-2 de souris vaccinées n’a pas entraîné d’immunopathologie pour ces animaux ?
Ont-ils vérifié l’immunopathologie et ils n’en ont pas trouvé – alors pourquoi ne le disent-ils pas ?
Ou bien ont-ils omis de le faire malgré un précédent évident dans le domaine de l’expérimentation animale sur le SRAS-CoV ?
Ou bien ont-ils simplement annoncé uniquement des données « positives » plutôt que toutes les données dont ils ont connaissance ?
Via Ashley Everly sur FB ( les posts sont supprimés)
Cela fait un mois que l’essai de vaccin à haute dose contre le SRAS-CoV2 a commencé (14 avril 2020).
Dans le cadre des essais Moderna, 45 sujets ont été assignés au hasard à une dose de vaccin spécifique. Nous les appellerons faible, moyen et élevé. 15 sujets dans chaque cas. (45/3)
???? Extrait du communiqué de presse de Moderna :
« Jusqu’à présent, les effets indésirables les plus notables ont été observés au niveau de dose de 250 µg, comprenant trois participants présentant des symptômes systémiques de niveau 3, seulement après la deuxième dose ».
Si 3 des 15 sujets de l’essai à forte dose ont subi des effets indésirables graves…
C’est un taux d’effets indésirables *graves* de 20 %.
Et bien sûr, les effets à long terme n’ont pas été examinés.
La population américaine actuelle est de 330 millions d’habitants.
Si ne serait-ce qu’un *huitième* (1/8) de la population prenait ce vaccin, 8,25 millions de personnes subiraient un effet indésirable grave dû au vaccin lui-même.
Dans un délai d’un mois.
Espérons que le vaccin à forte dose d’ARNm Moderna ne deviendra pas leur premier choix comme vaccin COVID-19 « efficace ».
————————————————
« Cet essai a débuté avec 45 volontaires en bonne santé, âgés de 18 à 55 ans, qui ont donné au hasard une des trois doses pour deux injections : 25 microgrammes, 100 microgrammes et 250 microgrammes ».
« Après avoir reçu les deux doses, les 15 volontaires ayant reçu la dose la plus faible avaient également des anticorps dans le sang à des niveaux similaires à ceux des personnes ayant récupéré de COVID-19 ».
Le vaccin était « généralement sûr et bien toléré », a déclaré. Moderna. La société a noté qu’au niveau de dose le plus élevé, 250 microgrammes, trois personnes ont eu des effets secondaires graves mais non mortels ».
Tous les effets indésirables ont été transitoires et se sont résorbés d’eux-mêmes », a noté la société, sans décrire plus avant ces effets secondaires dans le bras de la dose élevée ».
???????? Mes notes : « L’autosurveillance » ne signifie pas grand-chose lorsqu’ils ne surveillent les sujets testés que depuis un mois.
Article : https://www.businessinsider.com/moderna-coronavirus-vaccine?IR=T lien supprimé !
Début de l’essai d’un vaccin modéré à forte dose :
https://www.fiercebiotech.com/?fbclid=IwAR3QTabcN8b1UesdqD8AE3LO4v505R9DTX-vb-eMbrd9R_VYamOpUBp1PKg
LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMPLET, ICI :
https://investors.modernatx.com/
https://www.zerohedge.com/markets/popular-tesla-analyst-explains-why-investors-should-be-extremely-skeptical-moderna-and-its
5 mai 2020
Moderna vient de sortir un appât géant : Une entreprise vend des actions après un rallye boursier
Mise à jour (2100)ET : Selon Bloomberg, Moderna a fixé le prix de son offre d’actions à 76 dollars par action. Le prix représente une réduction de 5,0 % par rapport à la dernière vente de lundi, et a eu lieu le même jour où les actions ont fait un bond de 20 % après que la société a révélé les premiers résultats positifs de son vaccin expérimental pour Covid-19, couronnant une hausse de 309 % cette année.
Morgan Stanley avait initialement proposé les actions à 75 à 77,50 dollars chacune. Moderna a déclaré qu’elle recueillait 1,25 milliard de dollars grâce à la vente d’actions et qu’elle utiliserait le produit pour financer la fabrication d’un vaccin contre le coronavirus.
Les initiés n’ont pas vendu d’actions lors de l’offre, mais à en juger par leur historique de vente, nous doutons qu’ils attendent longtemps avant de reprendre leur dumping.
Il faut absolument qu’un vaccin soit mis en vente … pardon, utilisé … sans ça il n’y a pas de bussiness durable. Même, la découverte d’un médicament plus efficace que l’HCQ et sans danger ne serait qu’un « effet transitoire » sur la « pandémie » du Covid.
Faudrait qu’il inventent un autre Corona virus intentionnellement ou profitent d’un accident de labo, ou encore qu’une malheureuse chauve souris, bien au frais dans grotte, provoque une autre pandémie.
Je parle de la chauve souris ayant vu récemment un documentaire T.V concernant une personne, une vétérinaire qui dans le sud des USA procédait au sauvetage et aux soins des grandes chauve souris blessées notamment par les fils électriques aériens. Elle ne devait pas être au courant des risque « hénoormes » qu’elle prenait.
Ici sont testés des aérosols générés artificiellement dans des chambres spéciales où ils sont filtrés pas des masques : rien à voir avec un masque porté par un être humain (avec le manque absolu d’étanchéité d’un masque chirurgical) malade ou pas et qui émet des gouttelettes et des aérosols en respirant ou en parlant.
J’ai cité une étude où était recueilli les émissions de personnes malades du covid avec ou sans masques : les virus recueillis à la sortie n’étaient pas en nombre significativement inférieur avec port du masque
1000 médecins atteint du Covid-19 se sont portés volontaires pour tester le protocole de l’IHU Marseille, mais la DGS s’y est opposée.
Groupe 1 (n=34) => non traité => 25,8 jours pour guérir
Groupe 2 (n=34) => AZT => 12,9 jours
Groupe 3 (n=20) => AZT + HCQ => 9,2
https://twitter.com/boutaour/status/1263469940918628353?s=20
et au UK, 10 000 employés du système hospitalier vont recevoir de l’#hydroxychloroquine.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8342933/UK-frontline-workers-given-hydroxychloroquine-clinical-trial.html?ito=amp_twitter_share-top
Beni, auriez-vous le lien vers les résultats que vous donnez : je ne les vois pas sur le lien twitter
Merci!
Il y a des débats très animés ici et Je ne souhaite pas me retrouver entre l’enclume et le marteau !
On peut disserter et discuter indéfiniment sur les mérites et les limites du confinement. On peut savoir depuis longtemps, les désastres qui ont accompagné la campagne d’éradication de la variole l’avaient démontré, Raoult le disait récemment, mettre en quarantaine, même de 2 semaines, un malade avec sa famille ou au sein d’une Ephad est une catastrophe. Le slogan qu’on a pu entendre à longueur de journées fut « Si vous êtes malades, restez chez vous ! Attendez que ça passe tout seul ou que ça s’aggrave ! Appelez alors le 15 et le Samu viendra vous chercher. Auparavant vous pourrez contaminer à loisir toute votre famille ou tous les pensionnaires de votre Ephad ».
La même stratégie de quarantaine avait été mise en oeuvre contre la variole, où le malade était confiné chez lui avec toutes les personnes qui s’y trouvaient. En Inde par exemple on passera ainsi de 12 700 cas notifiés en 1970 à 188 003 en 1974 avec une létalité accrue …
Connaissant cela depuis longtemps pour la variole, je n’ai jamais approuvé ce mode de confinement. Au contraire, je l’ai souvent dénoncé ici même et depuis le début. Il fallait bien sûr ne pas laisser les malades confinés avec leurs familles. Ceci dit et bien que l’Aimsib ait publié nombre de mes articles, y compris celui en cours actuellement sur la vaccination contre la variole, je n’ai jamais pensé représenter l’Aimsib.
Pour ma part j’ai l’ai plutôt perçue comme offrant à divers auteurs l’opportunité d’exprimer leurs recherches, leurs analyses sur différents sujets en toute indépendance et ainsi d’alimenter une recherche commune mais non uniforme et possiblement contradictoire par la rencontre de talents variés et aux parcours divers et multiples. Cette multiplicité est une opportunité à saisir. Elle peut être fructueuse en nous protégeant en particulier du piège de la pensé unique distribuée par un leader.
Pour terminer sur le confinement, je répète que le seul vrai confinement est un confinement mental et émotionnel qui nous enferme depuis très longtemps dans des croyances et des dogmes erronés sur les propriétés et les capacités de la matière vivante qui justement n’est pas que matière. Sortir de ce confinement dans lequel ce qu’on appelle « la science » nous maintient offrirait d’autres possibilités pour répondre en particulier aux maladies et aux épidémies, coupant l’herbe sous le pied aux mesures contraignantes et autoritaires.
Dans le lien qui suit il faut remonter jusqu’au billet du 22 mai 2020 à 18h09, qui cite un article du Lancet avec cette conclusion
» https://www.lemonde.fr/planete/live/2020/05/22/coronavirus-en-direct-suspense-sur-la-tenue-du-second-tour-des-municipales_6040409_3244.html
L’étude a analysé les données d’environ 96 000 patients infectés par le virus SARS-CoV-2 admis dans 671 hôpitaux entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020, sortis ou décédés depuis. Environ 15 000 d’entre eux ont reçu l’une des quatre combinaisons (chloroquine seule ou associée à l’antibiotique, hydroxychloroquine seule ou associée à ce même antibiotique), puis ces quatre groupes ont été comparés aux 81 000 malades du groupe témoin n’ayant pas reçu ce traitement.
Résultat, les quatre traitements ont tous été associés à un risque de mortalité bien plus élevé qu’au sein du groupe témoin (qui était de 9,3 %): 16,4 % de décès pour la chloroquine seule, 22,2 % quand elle était combinée à l’antibiotique; 18 % pour l’hydroxychloroquine seule, et 23,8 % quand elle était associée au même antibiotique. Les auteurs estiment ainsi que le risque de mortalité est de 34 % à 45 % plus élevé chez des patients prenant ces traitements que chez des patients présentant des facteurs de comorbidité, c’est-à-dire de facteurs de risques. »
Je n’ai pas trouvé l’article original du Lancet. Si cela se confirme, ce que je n’ai pas les moyens de vérifier, c’est dramatique pour les patients concernés et pour les médecins pris dans cet engrenage.
Il faut au moins espérer que la prudence énoncée assez vite par des officiels sur ces molécules là sera reportée aussi sur les éventuels vaccins à venir et en fait sur tous les produits de traitement.
Et si c’était une nouvelle version de « qui veut noyer son chien …. »
A propos de noyer son chien…
https://twitter.com/StevePhillipsMD/status/1263899565654265857?s=20
https://twitter.com/glaco64/status/1263981395912855554?s=20
LE PARISIEN. Le gouvernement a autorisé un essai clinique de grande ampleur pour tester l’effet de la chloroquine sur le coronavirus. C’est important pour vous d’avoir obtenu cela ?
DIDIER RAOULT. Non, je m’en fiche. Je pense qu’il y a des gens qui vivent sur la Lune et qui comparent les essais thérapeutiques du sida avec une maladie infectieuse émergente. Moi, comme n’importe quel docteur, à partir du moment où l’on a montré qu’un traitement était efficace, je trouve immoral de ne pas l’administrer. C’est aussi simple que ça.
LE PARISIEN. Que répondez-vous aux médecins qui appellent à la prudence et sont réservés sur vos essais et l’effet de la chloroquine, notamment en l’absence d’études plus poussées ?
DIDIER RAOULT. Comprenez-moi bien : je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J’ai 75 patients hospitalisés, 600 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé.
LE PARISIEN. Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?
DIDIER RAOULT.Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée.
Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait.
On savait que c’était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté l’azithromycine à l’hydroxychloroquine.
LE PARISIEN. Qu’attendez-vous des essais menés à plus grande échelle autour de la chloroquine ?
DIDIER RAOULT. Rien du tout. Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et sur le plan de l’éthique médicale, j’estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses preuves. Je suis convaincu qu’à la fin tout le monde utilisera ce traitement. C’est juste une question de temps avant que les gens acceptent de manger leur chapeau et de dire, c’est ça qu’il faut faire.
LE PARISIEN. Sous quelle forme et pendant combien de temps administrez-vous la chloroquine à vos patients ?
DIDIER RAOULT. On donne de l’hydroxychloroquine à raison de 600 mg par jour pendant dix jours (sous forme de Plaquenil, le nom du médicament, NDLR) sous la forme de comprimés administrés trois fois par jour. Et de l’azithromycine à 250 mg à raison de deux fois le premier jour puis une fois par jour pendant cinq jours.
LE PARISIEN. Est-ce un traitement qui peut être pris en prévention de la maladie ?
DIDIER RAOULT. Nous ne le savons pas.
LE PARISIEN. Lorsque vous l’administrez, au bout de combien de temps un patient atteint du Covid-19 peut-il guérir ?
DIDIER RAOULT. Ce qu’on sait pour l’instant, c’est que le virus disparaît au bout de six jours.
LE PARISIEN. Comprenez-vous néanmoins que certains de vos confrères appellent à la prudence sur ce traitement ?
DIDIER RAOULT. Les gens donnent leur opinion sur tout, mais, moi, je ne parle que de ce que je connais : je ne donne pas mon opinion sur la composition de l’équipe de France enfin ! Chacun son métier. La communication scientifique de ce pays s’apparente aujourd’hui à de la conversation de bistrot.
LE PARISIEN. Mais n’y a-t-il pas des règles de prudence à respecter avant l’administration d’un nouveau traitement ?
DIDIER RAOULT. A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du parachute.
Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce traitement qui devrait devenir la référence.
Et c’est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat pour traiter les malades.
Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la science.
LE PARISIEN. Quid des risques d’effets indésirables graves liés à la prise de chloroquine, notamment à haute dose ?
DIDIER RAOULT. Contrairement à ce que disent certains à la télévision, la Nivaquine (le nom d’un des médicaments conçus à base de chloroquine, NDLR) est plutôt moins toxique que le Doliprane ou l’aspirine prise à forte dose. En tout état de cause, un médicament ne doit pas être pris à la légère et toujours prescrit par un médecin généraliste.
LE PARISIEN. Avez-vous conscience de susciter un immense espoir de guérison pour les patients atteints ?
DIDIER RAOULT. Je vois surtout qu’il y a des médecins qui m’écrivent du monde entier tous les jours pour savoir comment on traite des maladies avec l’hydroxychloroquine. J’ai reçu des appels du Massachusetts General Hospital et de la Mayo Clinic de Londres.
Les deux plus grands spécialistes mondiaux, l’un des maladies infectieuses, l’autre des traitements antibiotiques, m’ont contacté pour me demander des détails sur la manière de mettre en place ce traitement.
Et même Donald Trump a tweeté sur les résultats de nos essais. Il n’y a que dans ce pays qu’on ne sait pas très bien qui je suis ! Ce n’est pas parce que l’on n’habite pas à l’intérieur du périphérique parisien qu’on ne fait pas de science. Ce pays est devenu Versailles au XVIIIe siècle !
On savait que c’était un antiviral efficace.
Pourtant eux ils sont à l’IHU : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0166354220301145
Chloroquine has been proposed several times for the treatment of acute viral diseases in humans without success.
J’espère que E. Macron, le gouvernement et les hautes autorités de santé auront des comptes à rendre, il y a 4,25 fois plus de décès (« attribués ») Covid en France (418 / M d’hab.) qu’en Allemagne (98 /M d’hab.) ça questionne non ? alors le trublion de Marseille pas de quoi en faire un bouc-émissaire, d’autant qu’il semble avoir fait mieux que les autres.
L’explication , en partie du moins >> Taux de lits en soins intensifs 2016 (source OCDE)
L’Allemagne a conservé 6 lits de soins intensifs pour mille habitants, contre 3,5 en Suisse… et le France 3 ou moins !
GRAPHIQUE : http://jdmichel.blog.tdg.ch/media/01/00/337694503.png
ou dans l’article : http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html
et la frilosité de certains MG à prescrire un antibiotique, de l’AZI ou autres macrolides ?
@ Surya : ce n’est pas ce qui est dit dans le dernier paragraphe de l’étude et sa conclusion … a moins que Google traduction m’ait trompé.
Bonjour,
qu’en pensez-vous ?
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext#%20
que c’est très mauvais ? Néanmoins les signaux pour les effets indésirables sont forts.
@ Suria et @ akira : comment pouvez vous dire ça , l’article du Lancet (ô combien décrié ici ou sur le Blog Info pour d’autres études même par vous) intervient juste après que Trump ait déclaré qu’il prenait de l’Hydroxichloroquine à titre préventif. Vous n’y voyez pas une manoeuvre politique pour le discréditer ? Nancy Pelosi et tous ses opposants doivent se régaler…au détriment des malades qui n’auront même pas la possibilité de se soigner comme dans les pays Africains les plus pauvres;
les médias Français à la botte se réjouissent de pouvoir dédouaner notre Napoléon IV et son varan encore plus menteur que la Buziness.
« Faire état d’ une étude allant à l’encontre des résultats que l’on combat, même si elle est fausse et réfutée par la suite, laissera un doute dans le public qui se désintéressera alors du sujet devenu trop compliqué à cerner ».
Et en attendant, commence l’offensive médiatique pour un futur vaccin en essayant de culpabiliser les futurs récalcitrants » qui empêcheraient le monde de revenir à une normalité gr^ce au vaccins » Fermez le ban.
Publier un article en 6 jours pour discréditer Trump ? Il n’y a que la mafia marseillaise qui peut faire passer un article cosigné par le rédac chef de la revue qui le publie pour être capable de ça. Je concède que je n’ai pas trouvé la date de soumission ni d’acceptation : https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext#seccestitle80
@ Surya : Parce qu’avec les technologies informatiques actuelles faire un article sur des fausses études ce n’est pas possible ? Surtout lorsqu’on le prépare depuis un petit moment sans doute et qu’on attend le bon moment ..
Quant à la « mafia Marseillaise » etc… je crois que c’est outrancier et injurieux envers celui qui s’est décarcassé avec son équipe pour soigner les « Covidés » jusqu’à présent ;
S’il est une mafia de fait, c’est celle qui n’a rien fait si ce n’est que critiquer et injurier l’équipe Marseillaise – Raoult n’est pas seul – et ceux qui ont osé appliquer son protocole tout ça pour protéger leur incompétence et leurs prébendes.
On parle de la clique marseillaise qui pratique des projets de recherche biomédicale sous couvert de soins courants ? article 223-8 du code pénal ?
« Beaucoup d’entre eux n’ont pas accès à une alimentation saine et présentent de nombreuses comorbidités importantes, comme l’obésité, l’hypertension ou le diabète » à propos de la très forte proportion de jeunes brésiliens victimes du covid-19 :
https://www.ouest-france.fr/monde/bresil/coronavirus-au-bresil-le-covid-19-fait-plus-de-morts-chez-les-jeunes-6843125
Le problème majeur de cet article est qu’il utilise de mauvaise bases, celle qui ont déjà été utilisées pour le VIH. Les chinois ont indiqué qu’ils n’avaient ni purifié ni isolé le virus que celui ci ne répondait pas aux postulat de Koch.
Donc les tests sont fait à partir d’une soupe contenant du matériel humain ce qui implique qu’ils sont bidons.
La PCR ou CQ PCR à été adopté de fait pour mesurer la charge virale sans aucune preuve alors que Kary Mullis sont inventeur indiquait qu’il était frauduleux de l’utiliser à cette fin et à clairement détaillé tout cela.
Alors que reste il ???
Pourquoi avoir adopté immédiatement l’origine virale? Curieusement en France la région la plus touchée est le grand est.
N’avons nous pas eu un accident majeur avec l’incendie de LUBRIZOL qui à eu des retombées jusqu’en Belgique
Les incendies en Australie n’ont ils pas eu un rôle?
Plus c’est pollué plus il y a de cas,curieux. La science est partie en cacahuète depuis 40 ans.Depuis la soit disant découverte du VIH qui à donné un autre sens au mot ISOLATION et utilisé des preuves indirectes pour soit disant prouver la présence d’un nouveau virus « rétrovirus » même procédé utilisé actuellement pour le Covid 19. Ça dérape sec .
Merci de ne pas confondre le SARS-CoV-2 avec le retrovirus du SIDA!
Celui-ci intègre son génome dans celui de l’hôte et peut rester dormant plusieurs années, ce qui explique la difficulté à le mettre en évidence à certains stades de la maladie.
Ce n’est pas le cas du SARS-CoV-2.
Personne ne peut mettre en doute l’existence du virus responsable du Covid-19.
La PCR détecte la présence du virus : vous remettez ça aussi en doute?
Ha j’oubliais:
La société Moderna22 expérimente un vaccin à ARN messager, ce type de vaccin n’a jamais été testé sur les humains. Moderna 22 c’est Bill Gates
La chloroquine a été utilisée en 2002 et testée contre le coronavirus du SRAS-1 dans une étude sous les auspices du CDC publiée dans le Journal of Virology.
Un rapport d’août 2005 dans le Journal of Virology (résumé ci-dessous) a été publié en 2005.
La principale conclusion de l’article était la suivante : La chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection par le coronavirus du SRAS et de sa propagation. Elle a été utilisée lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Elle a été approuvée par le CDC et l’IHSS.
Résultats
Nous signalons cependant que la chloroquine a de forts effets antiviraux sur l’infection par le SRAS-CoV des cellules de primates. Ces effets inhibiteurs sont observés lorsque les cellules sont traitées avec le médicament avant ou après l’exposition au virus, ce qui suggère un avantage à la fois prophylactique et thérapeutique. En plus des fonctions bien connues de la chloroquine telles que l’élévation de…
Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and spread
Martin J Vincent, Eric Bergeron, Suzanne Benjannet, Bobbie R Erickson, Pierre E Rollin, Thomas G Ksiazek, Nabil G Seidah & Stuart T Nichol
https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-2-69
Source : https://www.mondialisation.ca/selon-le-dr-anthony-fauci-la-reouverture-de-leconomie-etasunienne-mettrait-en-danger-la-sante-des-gens/5645831
Par Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 24 mai 2020
Akira, je pense que vous êtes très fatiqué même épuisé. Un peu de méditation vous fera du bien:-) Prof Raoult est pour vous depuis des semaines une obsession ultime.
Cordiales salutations
Son message ne parle pas de Raoult. De surcroît quand on prétend défendre l’intégrité scientifique, le double discours est malvenu et à l’inverse la cohérence est la bienvenue.
L’obsession est plutôt du côté des adeptes de la secte chloroquienne.
Ah ? il y a une secte » chloroquienne » ? Ca me rappelle ce qui se disait d’une secte « anti Statinienne » …
« Les nains sapent le travail des géants ».
C’est comme la secte vaccinale, mais là c’est dans un autre style…
Oui, c’est in vitro!
« The Lancet nous fournit ici un exemple emblématique de malhonnêteté scientifique… »
Hydroxychloroquine : The Lancet dans de sales draps… 24 mai 2020, par Jean-Dominique Michel
……..
« Ce qui est sûr, c’est que l’étude du Lancet est de la très très mauvaise science. Que la plus prestigieuse revue médicale, ayant admis les difficultés éthiques liées à la faible qualité de la plupart des publications, ayant identifié le problème majeur des conflits d’intérêts, ose publier un tel papier est à vrai dire assez époustouflant.
The Lancet nous fournit ici un exemple emblématique de malhonnêteté scientifique tel qu’il en existe tant -et qui pourrissent de manière systémique le domaine.
Les journaux et la presse audiovisuelle (qui ne savent simplement pas lire la science, comme le développe mon excellent confrère Laurent Mucchielli) embraient à plein régime, répandant le poison de la désinformation et de la propagande. Les gros titres déferlent : « l’HQ n’est pas efficace et augmente même le risque de mortalité ! » ce qui est une contre-vérité flagrante : ce que l’étude montre, c’est que donner de l’hydroxychloroquine à des patients en phase critique ou terminale n’a pas d’effet thérapeutique avéré, ce que le Pr Raoult affirme de son côté depuis dix semaines !
Un peu comme si vous donniez de l’aspirine à des mourants pour conclure après leur décès que l’aspirine ne soulage pas la migraine ! Voilà le degré de malhonnêteté crasse à laquelle sont réduits les intérêts dominants qui ont financé (à hauteur de dizaines de millions de dollars) une étude aussi inepte…
J’avais montré comment l’étude Discovery était scélérate précisément du fait de cette manipulation de prescrire en phase critique de la maladie, là où le remède n’est plus indiqué – ils n’ont d’ailleurs même pas trouvé suffisamment de patients assez insensés pour accepter le risque de se voir prescrire un placebo plutôt que le remède !
Puis dénoncé la première « étude » publiée dans le NEJM. La propagande n’a cure de ce genre de scrupules : martelez un mensonge autant de fois que vous le pouvez et la foule finira par accepter l’idée sans rechigner. »
[…] https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/05/24/hydroxychloroquine-the-lancet-dans-de-sales-draps-306637.html
Bonjour njama,
Nous avons failli développer ce sujet pour l’article de la semaine prochaine tant la litanie des scandales en chaîne qui se succèdent dans cette affaire est incroyable:
– Un collectif d’industriels « met au pot » une cinquantaine de millions de dollars pour organiser de par le monde une « étude épidémiologique » de qualité abominable que le premier étudiant en Médecine venu aurait immédiatement jeté à la poubelle,
– Le Lancet et son comité de lecture accepte l' »oeuvre » et la publie sans barguigner, comme à l’habitude,
– La force de vente du consortium bombarde toutes les rédactions du monde et aucun journaliste ne se livre au moindre travail de lecture critique,
– TF1 par exemple ouvre un soir son journal avec l’annonce prédigérée des industriels, jusqu’ici tout est habituel, on l’avait magnifiquement constaté avec la cohorte danoise qui voulait définitivement innocenter le ROR de toute genèse d’autisme,
– Mais là record battu, un Ministre de la Santé en exercice, Médecin de profession relaie dans la minute le communiqué officiel et réclame de la HAS qu’elle en tire au plus vite les conséquences. Gâté jusqu’à la moelle Olivier Véran, ou le plus mal entouré des Ministres?
Pauvres de nous!
Akira, ne fait-on pas passer les « torsades de pointe » pour des effets secondaires de CQ ou HCQ alors que leur(s) cause(s seraient ailleurs ?
par exemple une hypokaliémie (défaut de potassium dans le plasma sanguin), une hypomagnésémie (faible taux de magnésium dans le sang) ? ou autres causes connues susceptibles de provoquer des troubles du rythme cardiaque…
Peut-être y aurait-il un cardiologue parmi les membres de l’Aimsib qui pourrait nous renseigner sur le sujet
C’est vrai que c’est pas comme si c’était listé sur la notice du produit… Sinon le cardiologique s’appelle Michel De Lorgeril il parait.
Dans les quelques décès enregistrés à l’IHU de Marseille (35 de mémoire) aucun n’est mort de torsades de pointes dixit Raoult dans une vidéo, et pour cause peut-être puisque l’HCQ est un antiarythmique…
Je ne suis pas cardiologue, pas même médecin mais ces quelques recherches vite faites avec Google sur « torsades de pointes » me semblent suffisantes pour être contradictoires sur les « supposés » risques cardiaques liés à l’HCQ. Après le seuil de toxicité est question de posologie comme pour tout médicament, doliprane compris.
Une question pour @Akira du 25 mai 19h28 :
Tu passes ton temps à pourfendre Raoult et la chloroquine (dont objectivement je me contrefous) en prétendant promouvoir la rigueur scientifique pour mettre en cause ses études…
Pourquoi tu ne dénonces par le confinement comme un incroyable scandale ???
Ce sujet est absolument capital, puisque ses conséquences sont monstrueuses (appliquées à 67 millions de personnes) et puissamment antiscientifique, il n’y a pas besoin de mener une études clinique pour le comprendre.
Pourquoi tu ne dénonces pas l’absence de science derrière la mesure la plus significative, la plus massive, la plus aveugle, dont la portée politique est profondément angoissante etc … liée à cette crise ?
@ Vincent
» Nous avons failli développer ce sujet pour l’article de la semaine prochaine tant la litanie des scandales en chaîne qui se succèdent dans cette affaire est incroyable »
…… et pourquoi ne pas l’écrire , ce bel article démonstratif ?
Parce que j’ai été sollicité pour participer à cet article hypothétique, qu’étudier une publication dans le détail peut prendre des heures et que s’il fallait sortir un article à chaque fois qu’une merde est publiée, on y passerait nos journées.
Donc en fait on préfère se consacrer à des choses plus intéressantes.
La chloroquine, certains antipaludéens dont la quinine… auraient des propriétés anti-arythmiques, étonnant non ?
Espérons que le Haut Conseil de la Santé Publique saisi par Olivier Véran innocentera la chloroquine, mettra à jour le Vidal, car le risque de « torsades de pointe » est scientifiquement à chercher ailleurs, sauf à remettre en cause les connaissances acquises en cardiologie.
Effet stabilisant de membrane
18 novembre 2019 par Pierre Taboulet Cardiologue – Urgentiste Hôpital Saint-Louis (APHP)
Cette réduction [de perméabilité des canaux ioniques membranaires des cellules myocardiques] a été observée initialement en présence des antiarythmiques de classe I dont les quinidiniques, d’où le synonyme d’ « action quinidine-like ».
Etiologies
Les stabilisants de membrane sont nombreux. Il s’agit en particulier des antiarythmiques de classe I, antidépresseurs tricycliques, chloroquine et cocaïne. Mais de très nombreuses substances possèdent cette propriété dose-dépendante : certains bêtabloquants (propranolol et sotalol), certains antipaludéens dont quinine et halofantrine, les phénothiazines, anti-histaminiques, le dextropropoxyphène, le magnésium…
La thérapeutique – à base de sels de sodium hypertoniques et alcalins – repose sur la largeur des QRS
https://www.e-cardiogram.com/effet-stabilisant-de-membrane/
Magnésium
L’ion Mg++ possède un effet stabilisant de membrane qui freine la conduction entre deux cellules.
Il n’y a pas de signes ECG d’hypo- ou d’hypermagnésémie [1]. En revanche, l’hypomagnésémie potentialise les effets ECG d’ une hypokaliémie et expose au risque de torsade de pointes.
Indications thérapeutiques du magnésium IV
1 – Traitement de première intention des torsades de pointe associées à un syndrome du QT long. Plus rarement, la prévention des torsades dans les situations à haut risque. [2]
2 – D’autres indications sont plus marginales :…
https://www.e-cardiogram.com/magnesium/
La quinidine est un médicament qui agit comme antiarythmique de classe I sur le cœur. C’est un stéréoisomère de la quinine, dérivé originellement de l’écorce de quinquina.
C’est l’antiarythmique le plus ancien.
Cette molécule est un antifibrillant4, placé dans la classe Ia des « stabilisants de membrane ». Elle agit en déprimant le courant entrant sodique rapide des cellules cardiaques et rend les cellules moins excitables : effet bathmotrope négatif.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Quinidine
« The half-century-long use of this drug in the therapy of malaria demonstrates the safety of acute administration of chloroquine to human beings »
Pourquoi The Lancet publie l’inverse aujourd’hui ?
Effects of chloroquine on viral infections : an old drug against today’s diseases
Dr Adrea Savarino, John R Boelaert, Antonio Cassone, Giancario Majori, Roberto Cauda Published:November, 2003
[…] Safety considerations
(trad) Les études examinées ici montrent que la chloroquine hydroxychloroquine a des effets antiviraux in vitro et des propriétés anti-inflammatoires qui pourraient être intéressantes pour les infections virales associées à une inflammation et/ou une activation immunitaire. Avant d’analyser les effets potentiels d’un médicament sur une maladie, des critères de sécurité doivent être remplis, afin d’estimer le rapport risques-avantages. La chloroquine hydroxychloroquine a un profil de toxicité bien étudié. L’utilisation de ce médicament pendant un demi-siècle dans le traitement de la malaria démontre la sécurité de l’administration aiguë de chloroquine aux êtres humains. L’utilisation de la chloroquine hydroxychloroquine dans les maladies rhumatismales et pour la prophylaxie antipaludéenne a montré une faible incidence d’effets indésirables lors de l’administration chronique de ce médicament pendant des périodes pouvant aller jusqu’à quelques années. Dans ces cas, l’effet toxique le plus grave est une rétinopathie maculaire, qui dépend de la dose cumulative plutôt que de la dose quotidienne, et des dommages permanents peuvent être évités grâce à une surveillance visuelle régulière pendant le traitement.27, 28, 29 Une étude récente30 a fourni des résultats encourageants sur la sécurité d’un dosage élevé du médicament (jusqu’à 500 mg de chloroquine base par jour) même pendant la grossesse.
Nous concluons que l’administration de chloroquine/hydroxychloroquine présente une toxicité limitée et bien évitable et peut donc entraîner un faible rapport risques/bénéfices, du moins lorsqu’elle est utilisée dans des conditions mettant la vie en danger.
Dorénavant, nous discuterons de l’utilité potentielle de ce vieux médicament dans le traitement de deux maladies infectieuses qui représentent une menace sérieuse pour la santé publique à l’ère de la mondialisation, le SIDA et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Ces maladies sont toutes deux causées par des virus à ARN enveloppés et partagent certaines manifestations cliniques qui sont susceptibles d’être médiées par des réactions immunitaires de l’hôte.
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(03)00806-5/fulltext
https://youtu.be/x5DQT05S1V4
Dernière vidéo(à cette heure) du Pr Didier Raoult
Prenant moi-même l’hydroxychloroquine, à raison de 400mg par jour depuis vingt ans, mon Docteur m’a expliqué que ce traitement n’était nullement responsable de la fibrillation auriculaire dont je souffre depuis dix ans.
Le plaquenil, peut agir sur les VENTRICULES et demande pour cela une surveillance, ce qui a été mentionné et pratiqué par le professeur, il n’a pas fait n’importe quoi ! Merci Njama pour votre obstination à apporter les éclaircissements nécessaires ! Vous le faites tellement bien !
@Surya
Je ne me sens pas à la hauteur du tout, je ne devrais même pas prendre la liberté d’intervenir ici, mais :
Lorsqu’on sait qu’en Italie, sur 65000 personnes traitées à l’hydroxychloroquine pour différentes pathologies, vingt seulement on développé le covid19 et que les africains prenant ce médicament en prévention du paludisme ne prennent pas non plus la maladie … Comment peut-on ne pas croire en l’efficacité de ce plaquenil ? un peu de logique serait la moindre de choses ! l’observation est bien le départ de la science ?
Seulement il fallait absolument discréditer ce médicament, par tous les moyens !
Nous ne nous attendions pas à autre chose.
Je me joins à vous Raymonde pour remercier @ njama et les liens qu’il nous précise, ça nous change des dernières idioties criminelles du Lancet.
Si on écoute les auteurs, Raoult est un tueur en série! Mais pas ceux qui ont laissé mourir faute soins et de traitements donné à temps aux malheureux patients âgés notamment ceux vivant en EHPAD ou ceux atteints de co morbidité.
99 % de ceux qui sont atteints par le Covid guérissent tout seuls selon les beaux esprits et le 28000 morts qui se trouvent dans le misérable pourcentage restant, ont fait exprès de trépasser faute de chance et de médicaments adaptés en début de la maladie.
Mais il ne faut surtout pas parler des fibroses pulmonaires qui touchent ces patients et même ceux qui sont asymptomatiques et qui auraient pu être évitées avec le traitement tant honni pris dès le début… les torsades de pointe c’est plus important.
On peut continuer à discourir longtemps sur ce qu’on aurait pu faire ou ne pas faire mais faute de nouveaux et nombreux malades certains feront et font même des prédictions ( 2è vague de la pandémie qui reviendra l’an prochain, ou cet hiver…) et attendant le miraculeux vaccin…
Où elle est cette pandémie si redoutablement contagieuse et mortelle?
Comme le disait @ emma, le virus s’adapte à l’hôte. Sinon, il n’y aurait plus de chauve souris en ce monde, elles auraient disparues depuis longtemps avec tous les coronavirus qu’elles hébergent.
De toute cette histoire avec laquelle on nous a terrorisé depuis de mois en nous séquestrant chez nous, c’est que je vois de malheureuses personnes âgées marcher avec le masque sur le visage en se promenant alors que dans le village il n’y a pas beaucoup de monde, il y de l’espace, d’autres qui roulent seuls dans le véhicule le masque sur le nez et de jeunes enfants traumatisés qui n’osent plus sortir de chez eux comme un de mes petites fille de 10 ans, excellente danseuse ( style moderne) et redoutable combattante en capoeira, blanche comme un cachet d’aspirine, le regard apeuré et qui se réfugie dans les jeux sur son Smartphone. Traumatisée à vie par un confinement imbécile et de consignes de distanciations qui ne reposent sur aucune étude scientifique.
Nos autorité politique et/ou médicales ont été en dessous de tout et font tout pour détourner l’attention du citoyen de leur incompétence et de leur mauvaise foi et désignant un bouc émissaire : Haro sur le baudet Raoult.
Merci beaucoup pour votre témoignage.Je comprends parfaitement ce que vous resentez car le resens la même chose que vous. Tout est faux dans la publication bidon du Lancet.
Merci Inoxydable. Il y a de quoi sortir de ses gonds, surtout, en plus, lorsqu’on apprend que certains docteurs, détracteurs du plaquenil, le donnent à leur famille et le prennent eux-même … On nous fait prendre des vessies pour des lanternes !
Il y a tout simplement une volonté, à peine déguisée, de ne pas soigner !
Malheureusement, beaucoup de personnes sont à genoux devant toutes ces infos mensongères et « rasent les murs » terrassés par la peur, même dans nos villages …
@ akira : Bon, tu veux ergoter sur quelques tournures de phrases. Je vais t’expliquer de façon pêle-mêle :
Un article sur MSN parlant de Raoult et de sa réponses aux affirmations du Lancet ayant l’air impartial se terminait par ( en parlant du protocole Raoult) : « mais 91 % des infectés auraient guérir tous seuls » !
1 /Je m’étais trompé ce n’était pas 99 % mais 91 %; Donc le 9 % ( pourcentage dans lequel sont inclus les patient intubés qui pour la plus grande partie rejoignent » le boulevard des allongés », les quelques survivants s’en tirent avec des séquelles qui ne leur laissent que peu de chances de s’en remettre plus tard > voir le décès de Claude Goasguen aujourd’hui, et pour le 100 % des patients supposés atteints, combien ont été testés ? L’IUT de Marseille et sa « mafia » comme tu dis l’a fait pour ceux qui sont passés dans ce Service. On peut donc légitimement penser que si les 9 % de malheureux Covidés avaient été traités en temps utile (Raoult…) un grand nombre s’en serait tiré ( 30000 victimes dont la plus grande partie doivent leur décès à l’aveuglement et l’incompétence de leurs soignants obnubilés par les torsades de pointe..)
2/ « Cette partie n’as pas de sens. Les réservoirs animaux de virus mortels pour les humains peuvent parfaitement etre asymptomatiques… » : Comme certains patients infectés et qui vivront avec leurs contemporains en diffusant à bas bruit le virus (à défaut d’être testés …) qui pourrait être neutralisé rapidement avec le seul médicament efficace disponible et pas cher.
Ces mêmes asymptomatiques qui s’étonneront dans quelques temps que leurs poumons fibrosés fonctionneront moins bien.
Au final, le virus qui vivait paisiblement avec les chauves souris et qui a trouvé par accident ( ou délibérément) un autre hôte finira par s’épuiser de lui même. Tu parles de la Malaria mais d’après ce que j’ai compris , la transmission d’un virus propre à l’homme ne se transmet jamais à l’animal , essaie donc de refiler ton rhume ou ta Grippe à ton chien…
3/ « Pour le reste … », voici quelque exemples tirés des médias à propos de l’article du Lancet et et de la gravité de la pandémie :
https://www.midilibre.fr/2020/05/27/professeur-jacques-reynes-on-naura-pas-de-reponse-sur-linteret-de-lhydroxychloroquine,8905173.php?fbclid=IwAR0CAkQ6EY5q76zYX3dy_JymFdyudZ4HSwYTXiNHm7T3Mmx6KT1oRHU_uZk
http://www.wikistrike.com/2020/04/sceptiques-du-coronavirus-10-experts-medicaux-de-premier-plan-s-opposent-au-discours-officiel-des-gouvernements-et-des-medias.html
«Extrait s» « Les Espagnols (Agence Espagnole du Médicament, AEMPS) et les Britanniques (comité de surveillance de l’essai Recovery) ne sont pas, eux non plus, convaincus par l’étude publiée dans le Lancet par Mehra et al.
Les autorités australiennes interrogées par le Guardian Australia s’interrogent sur les fortes discordances entre les données de l’article de Mehra et al dans le Lancet et leurs données nationales. Elles ne comprennent pas quels hôpitaux ont partagé leurs données patient.
Le Lancet demande des comptes aux auteurs de toute urgence. Ceux-ci se défendent en expliquant qu’un des 5 hôpitaux australiens était en fait un hôpital asiatique. Toujours des écarts inexpliqués. La magie du big data ! « (dixit Le Pr Raoult)
https://amp-theguardian-com.cdn.ampproject.org/c/s/amp.theguardian.com/science/2020/may/28/questions-raised-over-hydroxychloroquine-study-which-caused-who-to-halt-trials-for-covid-19
Je vais terminer par deux remarques :
1/ Les journalistes ne sont pas de médecins ou des scientifiques pour se permettre de porter un jugement péremptoire et biaisé sur cette actualité du Covid, ni toi ni moi non plus.
2/ Ceux qui prétendent qu’une Afrique il y a moins de morts ou d’infectés par le Covid parce que la population est jeunes ne doivent par regarder les documentaires ou reportages sur les pays de ce continent : population jeune certes mais qui désertent leur pays face à la pauvreté, dans les villages beaucoup de personnes âgées pour lesquelles ceux qui restent ont encore du respect, beaucoup de femmes et de très jeunes enfants( vaccinables mmmm) plus résistantes au virus. Bon, je n’y suis jamais allé mais j’aime les docus et durant la « séquestration » j’ai eu le temps d’en voir beaucoup ( ex. la chaîne voyage) et j’ajoute que souvent, selon les pays des hommes jeunes paraissent vieux en raison de la malnutrition par ex . Et vivent moins longtemps que dans nos beaux pays occidentaux…
Hormis tout ça, j’ajoute quand même que je ne dénigre pas la position du Dr MdL intransigeant sur la question des études ou essais scientifiques mais quand la maison prend feu, il est plus pratique d’utiliser une casserole d’eau ou le tuyau d’eau du jardin pour éteindre le départ du feu que d’attendre le capitaine des Pompiers qui analysera la situation et réfléchira s’il doit utiliser un extincteur à poudre car il y a des câbles électriques ou la grande lance…
Alors pour ceux qui veulent effectuer un essai random, c’est un peu tard non , bientôt il faudra les chercher les patients et surtout les volontaires maintenant qu’on les a bien terrorisé…
Merci Raymonde et Inoxydable pour vos aimables compliments. Même si la tournure des événements semble désespérante cette guerre picrocholine est loin d’être close malgré le tintamarre des médias, différents contre-feux (seule technique efficace d’extinction d’un incendie violent) apparaissent un peu à la fois et s’ajouteront les uns aux autres, comme en 2009.
Hydroxychloroquine. Des avocats lancent une action collective pour annuler le décret de son interdiction
BONNE NOUVELLE ✨Les 10.000 inscrits à l’action collective Le #droit de #soigner & d’être soigné ont été atteint. Un grand MERCI à toutes les personnes qui nous soutiennent !
https://twitter.com/MySMARTcab/status/1264823890028699648/photo/1
[…] Enfin, une dernière action reste « secrète » et n’a pas été communiquée. Chacun peut participer grâce à un système d’abonnement à 3,50 € permettant d’obtenir « des informations mais aussi de générer un fonds de soutien pour les procédures ».
Source ouest-france.fr d’après la Dépêche du Midi
il y a largement matière à ester en justice, surtout qu’il s’agit de défendre des libertés fondamentales, celle des médecins de prescrire, celle les patients, mais il faut relativiser, l’interdiction de l’HCQ n’est pas stricte comme le détaille cette avocate.
Covid-19 et chloroquine : le patient infecté peut-il choisir son traitement ?
Par Delphine Provence, Avocat.
Le refus d’administrer de la chloroquine à un patient atteint du Covid-19 constitue-t-il une atteinte grave et manifestement illégale au droit au respect à la vie et au consentement du patient ?
(Article actualisé par l’auteur suite aux décrets des 25 et 26 mars 2020, et à la décision du Conseil d’Etat du 28/03/2020.)
(…) « Depuis la loi Kouchner du 4 mars 2002, le temps du paternalisme médical est révolu : le patient est désormais émancipé, pleinement apte à assumer le rôle de décideur final des soins qui le concernent. »
(……..) Fort de ces éléments, la réponse à la question posée précédemment doit être nuancée : un hôpital qui refuserait d’administrer à un patient la médication à base de chloroquine déjà testée avec succès sur des dizaines de patients, sans lui offrir de traitement curatif alternatif, alors même que ce patient ne présenterait pas de prédispositions négatives à ce protocole thérapeutique et comporterait un risque sérieux de complications graves ou de décès lié à son infection au Covid-19, pourrait se voir enjoindre par le juge des référés l’obligation de délivrer ce traitement. A l’inverse, dans l’hypothèse où les risques liés à l’utilisation d’un tel traitement étaient estimés supérieurs au bénéfice escompté par le corps médical, l’hôpital ne violerait aucun droit fondamental à refuser de le délivrer au patient.
https://www.village-justice.com/articles/covid-chloroquine-patient-infecte-peut-choisir-son-traitement,34334.html ?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS
Autre interrogation…
L’OMS et tous ses satellites déploient beaucoup d’énergie à discréditer (opportunément ?) certains remèdes simples et même à tenter de les faire interdire (sic*)
* L’OMS, 8 juin 2016 Retrait des monothérapies à base d’artémisinine par voie orale
plus de détails ici > https://www.agoravox.fr/commentaire5062236
Il ne serait pas impossible que ces attaques contre la quinine, chloroquine et autres dérivés « antipaludéens » n’y seraient pas étrangères ??? pour faire prospérer un vaccin… car il ne saurait prospérer sans le mantra « Il n’existe pas de traitement efficace » ! Je n’y vois pas un complot, juste une possible explication très prosaïque, l’argent mène le monde. Et d’une pierre deux coups, la promotion de deux vaccins ?
Car oui il existe depuis peu un vaccin — étrangement contre le paludisme et l’hépatite B — qui a reçu un Avis €uropéen (EMA/518713/2015) favorable pour vacciner les enfants en zones endémiques.
L’AIMSIB ne s’était pas privée d’en parler … avec fracas !
https://www.aimsib.org/2020/04/26/essais-mosquirix-quand-des-investigateurs-meritent-la-prison/
je pense que les attaques de l’OMS contre l’Artemisia visent plutôt à promouvoir des médicaments antipaludéens qu’un vaccin, car celui-ci (Mosquirix) est trop toxique et inefficace.
« Ni torsades de pointes, ni morts subites n’ont été à déplorer »
Est-ce que cette dernière publication de l’IHU mettra fin à la polémique ? ou peut-être faudrait-il redéfinir la notion d’efficacité qui semble être un concept à géométrie variable.
COVID-IHU #15
Version 1 du 27 Mai 2020
Early diagnosis and management of COVID-19 patients: a real-life cohort study of 3,737 patients, Marseille, France
[……] No cases of torsade de pointe or sudden death were observed.
Conclusion
Early diagnosis, early isolation and early treatment with at least 3 days of HCQ-AZ result in a significantly better clinical outcome and contagiosity in patients with COVID-19 than other treatments. Long-term follow-up to screen for fibrosis will be the next challenge in the management of COVID-19.
https://www.mediterranee-infection.com/early-diagnosis-and-management-of-covid-19-patients-a-real-life-cohort-study-of-3737-patients-marseille-france/
Bonjour,
Il y a d’autres effets non visibles de cette « pandémie » c’est l’état d’esprit des médecins généralistes voir cet article en date du 23 mai :
Covid-19 et le Lot. Coup de tonnerre dans le milieu médical : démission d’une jeune médecin de Cahors
https://actu.fr/occitanie/cahors_46042/covid-19-coup-tonnerre-dans-milieu-medical-dr-magali-roussilhe-demissionne-explique-pourquoi_33767888.html?fbclid=IwAR38mmAEP3a7p28mj5jpsDbQ_sVDmz8PxfgIGziNhVFo2k2WVZPcdmypUls
En aparté, au lieu d’écrire « une jeune médecin » le journaliste aurait pu changer pour : « une jeune doctoresse »…on voit la richesse de vocabulaire du journaliste !
@Dr Vincent Reliquet : Je ne sais pas si l’ HCQ, le Bleu de méthylène ou l’Artémisia Annua sont des médicaments curatifs ou même prophylactiques contre le Covid 19, je n’en ai pas eu besoin jusqu’à présent, je me fie aux témoignages de ceux qui l’ont utilisé pour soigner et de ceux qui ont été soignés avec mais une chose est certaine : Grâce à votre article conjoint avec celui du Dr Ménat pour lequel j’ai également une grand estime, je pense que même si moi ou mon épouse avions été en contact avec une personne contagieuse, nous avons bien été protégé en utilisant en mettant en pratique les conseils de cet article :
https://staticmail.editionsbiosante.fr/2020/04/gbd/dossierbonuscovid_19.pdf?fbclid=IwAR09VvGmbB1dXK44ILyn3UqEVvLf-SgN9AyedYngbM1mNCpWDu6uz9cK5Nc
Sans en avoir connaissance et dès le début de l’hiver je me supplémentais avec des gouttes journalière de vit. D3, de gélules d’ Echinacée, et pour faire bonne mesure un traitement homéopathique , puis le Covid menaçant, j’y ajoutais des gélules de Quercétine et votre article lu, du Zinc et à la place du sureau Noir, l’Aronia que je prends tous les jours avec la coQ10 et pour mon épouse l’ ALA et l’ Hydroxicitrate ( les meilleurs anti oxydants ) et résultat, de tout l’hiver jusqu’à maintenant pas un Rhume, pas de trachéite ou de pharyngite, encore moins de grippe ou de gastro. Rien.
Aussi je ne vous remercierai jamais assez tous deux pour m’avoir conforté dans ma façon de gérer ma santé par les temps qui courent.
Bien sûr, ce que je dis est sans doute subjectif mais toutefois « observationnel » et j’avais attendu des études random etc… … Pfff.
Pardon !
https://youtu.be/xxy3fCB11C8
Très juste :
https://youtu.be/zUbiYhknaK0
Toujours dans le négatif, mais bon. Lis ça, c’est plutôt complet et bien rédigé :
http://www.francesoir.fr/societe-science-tech/traitement-du-professeur-raoult-le-point-sur-les-connaissances-actuelles
Il y a de nombreuses références …
Dans l’article, il est dit :
« Pourquoi les gros industriels des vaccins (Merck, GSK, Sanofi, Pfizer, etc..) n’ont-ils lancé aucune étude clinique ? »
Or il semble bien que Sanofi se soit lancé dans la course au vaccin contre covid 19.
Où en sont-ils aujourd’hui ?
Toujours pas d’études cliniques avancées pour le vaccin Pasteur : ils sont en phase 1
https://www.nytimes.com/interactive/2020/science/coronavirus-vaccine-tracker.html
Peut-être qu’il y aura des volontaires parmi les commentateurs de l’AIMSIB pour participer à la phase 2 ? Hola, n’en jetez plus, je plaisante….
https://www.fiercepharma.com/pharma/after-nearly-1b-research-funding-moderna-takes-1-5b-coronavirus-vaccine-order-from-u-s
Voilà pourquoi il faut que la pandémie dure encore : 100 milliard de dollars de gâteau à se partager pour les fabricants de vaccins.
Ils peuvent bien arroser les conseils scientifiques de toute la planète avec ça!
Le vaccin Russe a du plomb dans l’aile !
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/konstantin-severinov-sans-donnees-de-la-phase-3-impossible-que-le-vaccin-russe-contre-le-coronavirus-soit-accepte-partout-dans-le-monde_146920
Qu’en pense Ndjama et les russophiles béats ?