La teneur en aluminium autorisée par la FDA dans les vaccins est basée sur des tests vieux de plusieurs décennies, mais ces tests n’ont rien à voir avec la sécurité

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A l’AIMSIB nous avions sérieusement pris l’habitude de désinformer notre cher public autour de la toxicité particulière des sels d’aluminium vaccinaux (*), les autorités sanitaires n’ayant pour leur part jamais évolué autour de cette question dramatique, pour des raisons financières bien comprises. Mais voilà que le 22 septembre dernier les USA ont annoncé de manière parfaitement officielle la fin de ce tabou criminel (**). Il devient donc nécessaire de « rafraîchir » la mémoire des parents comme des médecins européens sur l’urgence de la situation avec la reprise de cet article initialement paru sur le site  du CHD (***). Excellente lecture.

 

Un nouvel examen des études qui sous-tendent la limite imposée par la FDA à la quantité d’adjuvant en aluminium autorisée par dose de vaccin révèle que cette limite, fixée il y a plusieurs décennies, a été déterminée en fonction de la capacité de l’adjuvant à générer une réponse immunitaire, et non pas en fonction du risque que l’aluminium représente pour la santé.

Au milieu des années 1900, les organismes de réglementation américains ont fixé la limite de l’adjuvant aluminium dans les vaccins à 0,85 milligramme (mg) par dose. Les organismes de réglementation n’ayant jamais modifié cette limite, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) affirment aujourd’hui que les adjuvants à base d’aluminium « sont utilisés en toute sécurité dans les vaccins depuis plus de 70 ans ».

Mais comment les autorités de réglementation ont-elles déterminé la limite de 0,85 mg par dose ? Et quelles preuves existe-t-il aujourd’hui qu’il est sûr d’exposer les enfants qui suivent le calendrier vaccinal recommandé par le CDC à des quantités d’aluminium allant jusqu’à cette limite ?

Ce n’est pas parce que des adjuvants en aluminium ont été utilisés dans les vaccins pendant des décennies qu’il s’ensuit logiquement que cette exposition à une neurotoxine connue est inoffensive – surtout si l’on considère qu’en plus des vaccins individuels, les enfants sont exposés à des quantités cumulées d’aluminium par le biais de plusieurs vaccins figurant dans le calendrier des CDC.

Pour étayer son affirmation, le CDC déclare que « les vaccins contenant des adjuvants font l’objet d’essais cliniques pour en vérifier l’innocuité et l’efficacité avant d’être autorisés à être utilisés aux États-Unis ».

Le CDC cite une page web de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, qui indique également que les vaccins contenant de l’aluminium « ont un profil de sécurité démontré au cours de nombreuses décennies d’utilisation ».

Selon la page web de la FDA, « lorsqu’elle évalue la sécurité et l’efficacité d’un vaccin, la FDA considère les adjuvants comme un composant du vaccin ; ils ne sont pas approuvés séparément ».

Le problème de ce raisonnement est que les essais cliniques des vaccins ne sont pas conçus pour détecter les effets néfastes à long terme – par exemple, le développement ultérieur d’allergies, de maladies auto-immunes ou de troubles du développement neurologique – de cette exposition à l’aluminium.

La déclaration de la FDA selon laquelle les adjuvants ne sont pas approuvés séparément pour leur sécurité revient à admettre qu’il existe une pénurie de données toxicologiques pour étayer l’affirmation selon laquelle l’injection aux enfants de vaccins contenant un adjuvant à base d’aluminium est inoffensive.

Un article publié le 26 août dans la revue Environmental Toxicology and Pharmacology met en évidence ce manque d’études de sécurité. L’article, intitulé « Les limites réglementaires de la teneur en aluminium des vaccins n’ont pas été fixées sur la base d’études toxicologiques« , est rédigé par les chercheurs français Loïc Angrand, Ph.D., Romain K. Gherardi et Guillemette Crépeaux, Ph.D.

Comme le révèlent les auteurs, la limite de 0,85 mg par dose, fixée il y a plusieurs décennies, était basée sur des considérations immunologiques – et non sur des données démontrant que cette quantité n’est pas toxique lorsqu’elle est injectée à des enfants. Cette limite n’a jamais été destinée à indiquer une quantité d’aluminium pouvant être considérée comme inoffensive pour les enfants.

Pourquoi les fabricants de vaccins utilisent-ils des adjuvants aluminium ?

Un adjuvant est une substance utilisée dans les vaccins pour stimuler une réponse immunitaire plus inflammatoire, ce qui entraîne une plus grande production d’anticorps en aval.

Les fabricants de vaccins utilisent depuis longtemps l’aluminium comme adjuvant privilégié pour répondre aux exigences réglementaires en matière d’immunogénicité, c’est-à-dire un certain niveau d’anticorps dans le sang considéré comme protégeant contre le virus (ou la bactérie) ciblé par le vaccin.

Dans le cadre réglementaire actuel, les titres d’anticorps servent généralement de mesure de substitution de l’immunité – même si aucun niveau d’anticorps n’a été scientifiquement corrélé à la protection contre l’infection ou la maladie.

Par exemple, le vaccin anticoquelucheux avec adjuvant en aluminium produit par GlaxoSmithKline Biologics (GSK) a été approuvé par la FDA sur la base de tests sanguins conçus pour mesurer la réponse en anticorps aux antigènes anticoquelucheux inclus dans le vaccin.

GSK admet dans la pièce jointe à l’emballage du vaccin qu’il ne s’agit pas d’une approche scientifiquement validée. La notice précise :

« Le rôle des différents composants produits par B. pertussis dans la pathogenèse de la coqueluche ou dans l’immunité contre la coqueluche n’est pas bien compris. »

Ces informations sont légalement requises dans les notices d’emballage car, bien que les fabricants aient bénéficié d’une large immunité juridique en vertu du National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 – qui a transféré la charge financière des dommages dus aux vaccins de l’industrie pharmaceutique à l’État (c’est-à-dire aux consommateurs contribuables) – ils peuvent toujours être poursuivis en justice pour avoir fait des déclarations frauduleuses concernant la sécurité et l’efficacité de leurs produits.

Comment les régulateurs ont-ils déterminé la limite de 0,85 mg/dose ?

Comme le soulignent Angrand et ses collègues dans leur article, pendant de nombreuses décennies, les adjuvants à base d’aluminium « ont été considérés comme sûrs par les organismes de réglementation » malgré l’accumulation de preuves d’effets toxiques chez l’animal et l’homme.

Ces preuves de nocivité comprennent des observations cohérentes selon lesquelles les adjuvants à base d’aluminium peuvent induire des maladies auto-immunes et que l’aluminium est biopersistant et transloque du site d’injection vers d’autres tissus et organes – y compris le cerveau, où il s’accumule.

En 2019, le réseau Informed Consent Action Network (ICAN) a envoyé des demandes d’information (FOIA) aux National Institutes of Health (NIH) et à l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR), une sous-agence du CDC, pour demander les études que les agences ont utilisées « pour établir la sécurité de l’injection de nourrissons et d’enfants » avec des adjuvants à base d’aluminium.

Les deux agences ont répondu à la demande d’accès à l’information en déclarant qu’aucun document de ce type n’avait pu être localisé.

Selon l’examen du dossier documentaire effectué par les chercheurs, la teneur maximale de 0,85 mg d’aluminium a été fixée par le NIH en 1968. L’autorité réglementaire sur les produits biologiques, qui comprend les vaccins, a été transférée en 1972 à la FDA, qui a conservé la limite de 0,85 mg.

En creusant davantage, les chercheurs ont obtenu, par le biais d’une requête FOIA, deux documents du NIH qui ont servi de base à l’établissement de cette limite supérieure.

Le premier document, datant de 1947, concernait la fabrication de l’anatoxine diphtérique. Le second, datant de 1952, concerne la fabrication de l’anatoxine tétanique.

Ces documents révèlent que les autorités réglementaires ont fixé la limite de 0,85 mg en se fondant non pas sur des données toxicologiques, mais sur des données d’immunogénicité, c’est-à-dire sur la quantité d’adjuvant en aluminium nécessaire pour induire la réponse immunitaire voulue.

Le document de 1947 stipule que « dans tous les cas, la quantité d’aluminium utilisée doit être la plus faible possible pour atteindre l’objectif visé ».

Une déclaration similaire figure dans le document de 1952. Aucun de ces documents ne traite de la toxicité de l’aluminium.

Les seules références en matière de sécurité étaient les exigences relatives à l’essai de l’anatoxine respective sur des souris et des cobayes, au moins deux animaux de chaque espèce, avec un suivi d’au moins une semaine pour détecter les symptômes immédiatement évidents ou la mort, ainsi qu’un test de « désintoxication » impliquant « au moins quatre animaux » observés pendant un mois.

Les chercheurs ont conclu qu’il « est difficile de voir comment les textes [de ces documents] pourraient servir de base fiable pour garantir la sécurité » des vaccins avec adjuvant en aluminium recommandés systématiquement pour les enfants aujourd’hui par le CDC.

La limite réglementaire « établie il y a plus de 60 ans », résument les auteurs, était « initialement basée sur l’efficacité immunologique des seules anatoxines diphtérique et tétanique, plutôt que sur des évaluations toxicologiques solides » des adjuvants à base d’aluminium.

La FDA admet que la sécurité n’est pas une priorité

Le NIH et la FDA ont également reconnu explicitement la note des chercheurs français.

Lors d’un atelier sur l’aluminium dans les vaccins en 2000, le Dr Michael Gerber du NIH a demandé au Dr Norman Baylor de la FDA s’il pouvait expliquer comment les régulateurs étaient parvenus à la limite de 0,85 mg par dose.

Baylor a répondu : « Malheureusement, je ne peux pas l’expliquer ».

Il a ajouté qu’ils avaient « essayé de le découvrir » à partir des « archives historiques », mais « sans succès ».

Deux ans plus tard, Baylor et ses collègues ont publié un article dans la revue Vaccine dans lequel ils admettent que la limite de 0,85 mg par dose « a été choisie de manière empirique à partir de données qui ont démontré que cette quantité d’aluminium renforçait l’antigénicité et l’efficacité du vaccin ».

En d’autres termes, elle était fondée sur la nécessité perçue de générer un niveau élevé d’anticorps, et non sur des considérations relatives à la sécurité de l’injection d’une neurotoxine connue à des enfants.

« L’innocuité des adjuvants à base d’aluminium a été prouvée », ont néanmoins conclu Baylor et ses collègues, en se basant sur le raisonnement circulaire selon lequel « les vaccins utilisant des adjuvants à base d’aluminium ont un profil d’innocuité démontré depuis plus de six décennies ».

Selon les chercheurs français, « en l’état, la limite de 0,85 mg d’Al [aluminium] par dose de vaccin semble justifiée par un précédent historique et non par une investigation scientifique rigoureuse correspondant aux calendriers de vaccination actuels ».

En d’autres termes, le règlement établissant une limite de 0,85 mg par dose n’a jamais eu pour but d’indiquer une quantité d’aluminium pouvant être considérée comme inoffensive pour les enfants.

Elle n’est pas non plus totalement arbitraire.

Il s’agissait simplement d’un plafond qui garantissait une quantité d’aluminium suffisante pour provoquer la réponse immunitaire souhaitée sans être immédiatement réactogène : il s’agissait d’éviter que les signes de toxicité aiguë se manifestent presque immédiatement dans les modèles animaux.

Les scientifiques et les médias appliquent deux poids deux mesures lorsqu’ils interprètent des données d’observation

Dans leur article, Angrand et ses coauteurs soulèvent des inquiétudes croissantes quant à l’évolution de la situation :

Parmi les études épidémiologiques qui ont été menées, on peut citer une étude du CDC publiée dans Academic Pediatrics en 2023. L’étude « a révélé une association significative entre l’exposition cumulative à l’Al associée aux vaccins avant l’âge de 24 mois et l’incidence de l’asthme persistant à l’âge de 24 à 59 mois. »

La publication de cette étude a été accompagnée des assurances habituelles selon lesquelles il ne s’agit que de données d’observation, d’une étude « imparfaite » à laquelle nous ne devrions pas accorder trop d’importance en raison de ses limites méthodologiques.

Cela contraste avec la nature des rapports sur les études d’observation qui n’établissent aucun lien entre les vaccins et les effets néfastes. Ces études sont régulièrement qualifiées de méthodologiquement si solides que nous pouvons considérer leurs résultats comme absolument concluants.

Une récente étude danoise déclarant l’aluminium sûr s’attire des critiques

C’est le cas d’une récente étude menée au Danemark par Niklas Worm Andersson, M.D., Ph.D., un chercheur danois du Statens Serum Institut à Copenhague.

L’étude a examiné les effets des vaccins contenant l’adjuvant aluminium et un grand nombre de problèmes de santé chez l’enfant, notamment les maladies atopiques et allergiques, l’auto-immunité et les troubles du développement neurologique.

Les médias ont salué l’étude comme une preuve concluante que l’aluminium contenu dans les vaccins est inoffensif pour les enfants.

Mais comme le notent Angrand et ses collègues, « les débats méthodologiques en cours sur l’évaluation de l’exposition, les critères d’exclusion, les ajustements utilisés et la cohérence des données d’une correction ultérieure justifient pour l’instant une interprétation prudente ».

Les commentaires des scientifiques sur l’étude danoise, publiée le 15 juillet dans Annals of Internal Medicine, comprennent un large éventail de critiques :

  • absence d’une cohorte de contrôle non exposé,
  • exclusion effective des enfants à haut risque,
  • résultats biologiquement peu plausibles d’un effet protecteur de l’aluminium,
  • prreproductibilité de leurs résultats en raison de la non-divulgation des données et de la modélisation,
  • absence de contrôle de la tendance des enfants présentant un risque plus élevé de subir les conséquences à recevoir moins de vaccins (parfois appelé « biais des vaccinés sains« ),
  • durée de suivi inférieure à l’âge moyen du diagnostic pour de nombreux résultats,
  • contradiction entre l’affirmation des auteurs selon laquelle ils n’ont trouvé aucune preuve de nocivité et les associations statistiquement significatives montrées dans une version corrigée de leur supplément.

L’étude danoise est biaisée, selon certains critiques

De nombreuses analyses critiques de l’étude ont été rédigées. Dans une critique publiée le même jour que l’étude, le chercheur et auteur James Lyons-Weiler, Ph.D., a souligné comment les chercheurs danois ont « ajusté » leurs données sur le nombre de visites chez le médecin généraliste avant l’âge de 2 ans, traitant ainsi à tort ce nombre comme s’il s’agissait d’une variable indépendante.

Cela introduit un biais de collision, qui se produit lorsque deux variables influencent toutes deux une troisième – la « collision ». Le fait de traiter un facteur de collision comme un facteur de confusion et de l’ajuster peut dissimuler des associations réelles entre les expositions et les dommages.

Dans ce cas, les vaccinations peuvent entraîner une augmentation des visites chez le médecin en raison des effets indésirables. Les symptômes précoces des effets néfastes des vaccins peuvent également entraîner une augmentation des visites chez le médecin. Le nombre de visites est donc influencé à la fois par l’exposition et par le résultat.

En outre, le nombre de visites peut à son tour influencer ces deux facteurs : plus de visites peuvent entraîner plus de vaccinations et plus de diagnostics, créant ainsi une boucle de rétroaction qui se renforce d’elle-même.

Comme il ne s’agit pas d’une variable indépendante, le fait d' »ajuster » leurs données en fonction du nombre de visites de cette manière a biaisé l’étude en faveur de l’absence de lien.

Cela, ainsi que d’autres décisions méthodologiques, pourrait expliquer pourquoi l’étude a trouvé des associations négatives statistiquement significatives malgré l’invraisemblance biologique de l’exposition à l’aluminium comme protecteur contre les maladies atopiques et allergiques, l’auto-immunité et les troubles du développement neurologique.

RFK Jr. demande la rétractation d’une étude danoise

Dans un article publié le 30 juillet par le Brownstone Institute, le mathématicien tchèque Tomas Fürst, Ph.D. et la chercheuse médicale danoise Vibeke Manniche, M.D., Ph.D. ont souligné, parmi d’autres problèmes de l’étude, la manière dont les enfants présentant un risque plus élevé de résultats mesurés ont été effectivement exclus.

Ils ont également noté que le supplément original a été remplacé par une version corrigée montrant « une association statistiquement significative entre certains troubles du développement neurologique – en particulier l’autisme et le TDAH – et l’exposition à l’aluminium des vaccins ».

Le secrétaire américain à la santé et aux services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr., a demandé la rétractation de l’étude dans un article publié par Trial Site News le 1er août 2025, dans lequel il résumait les nombreuses façons dont l’étude était biaisée en faveur de l’hypothèse nulle.

Alors que les auteurs de l’étude danoise affirment qu’ils « n’ont pas trouvé de preuves » d’un risque accru, Kennedy a également noté que leurs données supplémentaires corrigées montrent des associations significatives. Comme il l’a écrit :

« Les données montrent une augmentation statistiquement significative de 67 % du risque de syndrome d’Asperger par augmentation de 1 mg de l’exposition à l’aluminium chez les enfants nés entre 2007 et 2018.

« Par rapport au groupe d’exposition modérée, pour 10 000 enfants de la cohorte d’exposition à l’aluminium la plus élevée, il y a eu 9,7 cas de plus de troubles neurodéveloppementaux, 4,5 cas de plus de troubles autistiques et 8,7 cas de plus de la catégorie plus large des troubles du spectre autistique. »

C’est ce que corrobore une critique de l’étude par des scientifiques de Children’s Health Defense (CHD) publiée le 5 août 2025 sur Preprints.org, un serveur en ligne pour les articles qui n’ont pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs.

Dans cet article, Karl Jablonowski, Ph.D., chercheur principal de CHD, et Brian S. Hooker, Ph.D., responsable scientifique de CHD, soulignent comment, dans le matériel complémentaire original de l’étude, « les diagnostics de développement neurologique des enfants les plus malades ont été supprimés », alors que « dans le matériel complémentaire mis à jour, où ces diagnostics ont été inclus » – et après avoir rétabli les enfants omis – les données « ont révélé une association entre l’exposition à l’aluminium et les maladies dévastatrices du développement neurologique ».

Qualifiant l’étude de « travail défectueux avec de bonnes preuves de fraude », Jablonowski et Hooker ont fait écho à l’appel de Kennedy en faveur de la rétractation de l’étude.

Des chercheurs danois refusent de rétracter leur étude

Les rédacteurs de la revue ont toutefois refusé de rétracter l’étude, affirmant dans un commentaire public le 11 août que l’étude « n’a trouvé aucune preuve d’une association claire » et qu’elle est exempte de toute « erreur sérieuse » susceptible d’invalider leurs conclusions ou d’indiquer une faute scientifique.

Dans un article reprenant les nombreuses failles qui, ensemble, indiquent que l’étude a été conçue pour ne pas établir de lien, Lyons-Weiler décrit la revue comme étant impliquée dans le « toilettage du discours plutôt que dans l’arbitrage scientifique neutre ».

Dans un commentaire public sur leur étude répondant aux critiques, Andersson et ses collègues ont fait valoir que les associations significatives montrées dans leurs données supplémentaires pouvaient être rejetées parce que les enfants nés avant 2002, qui ont reçu moins de vaccins contenant de l’aluminium, ne pouvaient pas appartenir au groupe le plus exposé, et que le fait de réexécuter l’analyse sans ces enfants effaçait la signification statistique.

Cependant, leur analyse principale a également comparé les expositions et les résultats entre les cohortes de naissance, y compris celles nées avant 2002. L’étude a été conçue pour vérifier si les enfants plus exposés à l’aluminium, nécessairement dominés par les cohortes nées plus tard, présentaient des risques plus élevés de subir les conséquences de l’exposition à l’aluminium.

Le CDC s’est appuyé sur une analyse obsolète et discréditée de la sécurité des vaccins avec adjuvant en aluminium.

Pour étayer leur conclusion selon laquelle les vaccins avec adjuvant aluminium sont inoffensifs, les chercheurs danois ont cité sans esprit critique une étude de la FDA réalisée par Robert J. Mitkus, Ph.D., et al. sur laquelle le CDC s’appuie pour étayer son affirmation selon laquelle « la quantité d’exposition à l’aluminium chez les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme ».

Le CDC accompagne cette affirmation du raisonnement circulaire habituel selon lequel les adjuvants à base d’aluminium « sont utilisés en toute sécurité dans les vaccins depuis des décennies ».

Dans leur article révélant l’absence de données de sécurité sous-jacentes à la limite réglementaire de 0,85 mg par dose, Angrand et ses collègues font allusion à cette étude de la FDA en déclarant :

« En outre, les points de vue théoriques dépassés et mal documentés qui soutenaient ces affirmations ont été remis en question par la compréhension croissante de la nature des nanoparticules, de leur persistance imprévue à long terme dans les cellules immunitaires, de leur capacité à se propager à partir du site d’injection dans tout le corps, y compris le cerveau, de leur neurotoxicité dans les modèles animaux, et par les préoccupations croissantes concernant leur rôle potentiel dans les troubles du développement neurologique et les troubles allergiques ».

La référence fournie est « Analyse critique des études de référence sur la toxicocinétique des adjuvants à base d’aluminium« , par Jean-Daniel Masson, Ph.D., et al, et publiée dans le Journal of Inorganic Biochemistry en 2018.

Les auteurs de cette critique, dont les associés d’Angrand, Crépeaux et Gherardi, ont noté que Mitkus et ses co-auteurs ont adopté de manière inappropriée un « niveau de risque minimal » (MRL) défini pour la prise orale quotidienne d’aluminium soluble chez les souris – et non pour la forme particulaire insoluble de l’aluminium injecté aux enfants.

Les chercheurs de la FDA ont également effectué des « calculs erronés de la durée d’absorption » et ont ignoré la diffusion systémique des particules d’aluminium, y compris dans le cerveau, où elles peuvent provoquer une neuroinflammation.

Lorsque j’ai demandé à Mme Crépeaux quel était le problème de citer l’étude de Mitkus de la FDA comme preuve de l’innocuité des adjuvants à base d’aluminium, elle m’a répondu :

« Le principal problème est que des études plus récentes évaluées par des pairs ont expliqué pourquoi Mitkus se trompe. Le CDC devrait fonder ses recommandations sur une littérature actualisée, et Mitkus se trompe à plusieurs égards, comme nous l’avons expliqué en 2018 – il y a déjà sept ans ! »

Dans leur nouvel article examinant les origines de la limite de 0,85 mg par dose, Crépeaux et ses collègues concluent qu’il existe un « besoin urgent d’études pharmacocinétiques et toxicologiques indépendantes » en rapport avec le calendrier de vaccination actuel du CDC.

Ignorer les échecs alarmants de la recherche existante pour explorer et encore moins démontrer la sécurité, remarquent les auteurs, « ne les ferait pas disparaître ».

Les points de vue et les opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux de Children’s Health Defense.

Jeremy R. Hammond
Octobre 2025

 

 

 

A propos de  Jeremy R. Hammond  :  Jeremy R. Hammond est un chercheur et un journaliste indépendant qui s’attache à dénoncer la propagande mensongère du courant dominant qui sert à faire accepter des politiques gouvernementales néfastes.

(***) Lien vers l’article original: https://childrenshealthdefense.org/defender/fda-allowable-level-aluminum-vaccines-outdated-tests-not-safety/

 

Notes et sources

(*)

Adjuvants aluminiques, bravo à ceux qui savent changer d’avis

Autopsie d’un assassinat scientifique

Professeur Romain Gherardi et l’aluminium vaccinal, quand la science avance à pas de géants

Aluminium vaccinal l’article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites

(**) https://lepointcritique.fr/2025/09/09/ce-sont-tous-des-poisons-donald-trump-denonce-toxicite-des-vaccins-sur-son-reseau-social/

(***) Lien vers l’article original: https://childrenshealthdefense.org/defender/fda-allowable-level-aluminum-vaccines-outdated-tests-not-safety/

 

 

 

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Monique F
19 octobre 2025 19h01

Je peux , personnellement, apporter un témoignage important sur ce sujet .
Pour faire court:
En 2019 /2920 je me suis laissée convaincre par le vétérinaire de vacciner un de mes chats..j’étais réticente car je ne le trouvais pas en forme .
Quelques semaines après , une grosseur est apparue dans le cou ,à l’endroit exact de l’injection.
…d’après une jeune vétérinaire stagiaire- encore un peu naïve- le labo avait prétendu avoir enlevé l’aluminium des vaccins depuis un certain temps …alors qu’il ne l’a fait qu’un an ou deux après .
Ce n’était qu’un chat ,me diraient certaines personnes (..qui n’ont jamais eu d’animaux domestiques ….) ça aurait tout aussi bien être un enfant .

Dieter Fleischer
Dieter Fleischer
Répondre à  Monique F
20 octobre 2025 2h46

Bonjour Monique,

Merci pour votre témoignage.

La vaccination obligatoire doit être supprimé / interdite pour les humains et les animaux !

Claire Severac, Sylvie Simon et J.J.C – Documentaire : L’arnaque de la vaccination !

COMMENT ROCKEFELLER A MONOPOLISÉ LA MÉDECINE ET CRÉÉ BIG PHARMA

Pasteur a été un imposteur / plagiaire qui c’est attribue, entre autres, les traveaux de Béchamp

La grande imposture pasteurienne | Jacques Antonin

Dernière modification le 22 jours il y a par Dieter Fleischer
JOSEPH
19 octobre 2025 19h34

L’Institut Pasteur utilisait comme adjuvant du Phosphate de calcium. Lorsqu’il a été acheté par Mérieux, Mérieux a exigé le remplacement pas les sels d’aluminium au grand dam de son directeur le Pr Levy qui si j’ai bonne mémoir a été viré…

Dieter Fleischer
Dieter Fleischer
19 octobre 2025 19h49

C’est la même chose pour l’eau du robinet ! Le gouvernement intervient pour menacer et stopper les lanceurs d’alertes! Depuis des décennies nous avons des gouvernements malveillantes envers la population française qui se succèdent, mais le pire gouvernement qu’on a jamais eu c’est le gouvernement actuel (si on peut appeler cette organisation mafieuse « gouvernement ») !
Vidéo -> Rappel – Les médias détournent l’attention ! De l’aluminium dans l’eau et dans le sang…

Dernière modification le 22 jours il y a par Dieter Fleischer
Inoxydable
Inoxydable
19 octobre 2025 21h34

L’aluminium n’est pas un oligo-élément, sa production nécessite énormément d’énergie, et c’est un contaminant croissant de l’environnement et de l’alimentation » En clair, il n’a rien a foutre dans l’organisme humain; quelle que soit la façon dont on l’absorbe !

philippe Mathelet
philippe Mathelet
Répondre à  Inoxydable
20 octobre 2025 11h11

Bonjour,
merci de ne pas confondre « Aluminium élément » avec Hydroxyde d »aluminium, 1 sel minéral d’aluminium qui lui est neurotoxique.
Prétendre que l’aluminium n »a rien à foutre dans l’organisme… » relève de la méconnaissance de la physiologie la plus élémentaire.
Pour ceux qui se soignent avec de l’argile, petit rappel, celle-ci est formée de:
Silicium+ Aluminium + H2O…
Ne mélangez pas tout SVP

Hypatie A
Répondre à  philippe Mathelet
20 octobre 2025 14h38

Permettez-moi d’éclairer un point : l’association de l’aluminium et du silicium est une association naturelle, celle qui constitue la croûte terrestre. Elle est non toxique car l’aluminium n’est pas biodisponible, il ne peut pas réagir. Mais ce n’est absolument pas le cas d’Al3+ et des sels à base d’aluminium.

Le Pr Chris Exley qui est le spécialiste mondial de l’aluminium explique bien que cette association naturelle inhibe le caractère toxique de l’aluminium. Cette toxicité s’est révélée quand il a été possible d’isoler l’aluminium (élément Al3+) du silicium, au cours du 19ème siècle (ce qui demande beaucoup d’énergie).

Tout l’enjeu de santé publique réside aujourd’hui dans le fait de réassocier la silice (sous forme d’acide silicique présent dans certaines eaux minérales comme la Volvic… et non pas de silicium organique) avec l’aluminium afin de permettre une inhibition et une élimination de ce dangereux toxique.
https://drchristopherexley.substack.com/p/reproducing-natures-gift
https://drchristopherexley.substack.com/p/silicon-rich-natural-waters
https://drchristopherexley.substack.com/p/live-and-let-live-in-the-aluminium

J’ai découvert que les industriels de l’agro-alimentaire américains ont truqué leurs études de sécurité, au début du 20ème siècle, pour démontrer l’innocuité de l’aluminium en particulier comme poudre à lever dans les pains industriels… en ajoutant systématiquement de la silice dans leurs essais cliniques. Donc ces informations sont connues (et censurées) depuis plus d’un siècle. Le Pr Exley a redécouvert expérimentalement le rôle du silicium dans l’inhibition de la toxicité de l’aluminium dans les années 80…

D’ailleurs tous les chercheurs dans ce domaine l’affirment : l’élément aluminium est incompatible avec toute forme de vie. Ils affirment que si l’aluminium n’avait pas été piégé par le silicium dans la croûte terrestre, la vie sur terre n’aurait tout simplement pas pu se développer. Pour en savoir plus : https://drchristopherexley.substack.com/p/cycling-aluminium
https://drchristopherexley.substack.com/p/the-aluminium-age

Dans l’argile, l’aluminium est naturellement associé au silicium = sa toxicité est inhibée, il n’est pas biodisponible et il est éliminé facilement. Il ne pose donc pas de problème en effet.
Dans les vaccins, l’aluminium est particulaire, il circule dans l’organisme (via les macrophages), il est très biopersistant, mutagène, cytotoxique, cancérigène, pro-inflammatoire, neurotoxique… et j’en passe.
Dans la nourriture, l’aluminium est sous forme ionique généralement bien éliminé par les reins (à 99,9%) mais cela dépend des fonctions biologiques de chacun. Avec l’accumulation progressive dans le cerveau, l’aluminium Al3+ provoque (notamment) la maladie d’Alzheimer : https://journals.sagepub.com/doi/10.3233/ADR-170010

Pour résumer : l’aluminium n’a rien à faire dans un organisme vivant. Boire une eau riche en acide silicique permet de l’éliminer. Et vive l’argile !

njama
njama
Répondre à  Hypatie A
20 octobre 2025 17h23

« Dans les vaccins, l’aluminium est particulaire, il circule dans l’organisme (via les macrophages),… »

On peut y ajouter la possibilité suivant la récente théorie du « Bolus » [1] qui tend à démontrer que « toutes les injections passent partiellement par voie intravasculaire, causant des dommages corporels variables en fonction de la dose, de la localisation et des circonstances de l’injection ».
(…) Bien que les enfants aient une capacité de guérison remarquable, la multiplication des vaccins amplifie significativement les risques.

Un enfant américain reçoit en moyenne 27 injections vaccinales (hors grippe) avant l’âge de 5 ans, ce qui correspond effectivement à un risque cumulé de 75 % de subir une blessure vaccinale grave [1 – 0,95^27]. L’ajout de 3 doses de vaccin COVID porte ce risque à 79 %.

Lorsqu’on applique ces chiffres à l’échelle d’une population entière, l’ampleur du désastre devient évidente. Le système vasculaire étant impliqué dans chaque injection, tout le corps est potentiellement exposé. Si le cœur et le cerveau sont souvent les plus touchés (comme en témoignent l’augmentation des souffles cardiaques et l’explosion des cas d’autisme), d’autres organes et systèmes subissent également des dommages, proportionnellement à leur exposition endothéliale. (…)

Cependant il appert que les EI ne sont pas dus à ce facteur accidentel que le produit injecté ou une fraction passe directement dans le sang, mais bien aux produits eux-mêmes, auxquels s’ajoutent les facultés de tolérance ou d’intolérance des injectés en fonction des composants des vaccins (ou autres substances), dont certains sont des substances exogènes dont la toxicité est connue…

Pour s’en convaincre à titre de « placebo parfait » on sait que les injections de substances organiques « autologues » (lorsque le donneur et le receveur sont le même individu) en intramusculaire comme dans le cas de l’auto-hémothérapie [2] qui se résume à enlever le sang d’une veine et à l’appliquer dans un muscle, vont stimuler pareillement le système immunitaire (le Système Réticulo-Endothélial qui fabrique les anticorps), sans jamais faire de dommages, alors même que 5 ml, 10 ml, rarement 20 ml de sang sont injectés en intramusculaire, dans le muscle deltoïde ou dans la fesse. cf. mon commentaire 12 février 2025 14h44

Or, les vaccins ne sont jamais testés vs placebo neutre… c’est le problème !

[1] « Bolus » de Marc Girardot, le livre qui va vous empêcher de dormir par La rédaction de l’AIMSIB, 09/02/2025   
https://www.aimsib.org/2025/02/09/bolus-de-marc-girardot-le-livre-qui-va-vous-empecher-de-dormir/
[2] https://www.youtube.com/watch?v=51xwGxdDJzg

Inoxydable
Inoxydable
Répondre à  Hypatie A
25 octobre 2025 12h00

Merci pour ces éclaircissements . J’ajoute que si certains ingurgitent de l’argile, tout ça est éliminé tant bien que mal par les reins, mais injecter directement de l’aluminium dans le corps humain il s’y accumulera avec les conséquences qu’on connait. @ mathelet : »Ne mélangez pas tout SVP » ben justement ! J’utilise l’argile verte comme emplâtre ça fonctionne bien et l’aluminium qui s’y trouve ne pénètre pas mon organisme …

Dieter Fleischer
Dieter Fleischer
20 octobre 2025 8h37
Dernière modification le 22 jours il y a par Dieter Fleischer
Roberti Catherine
Roberti Catherine
20 octobre 2025 10h24

Merci infiniment pour tout ce travail indispensable pour nous tous.

Christian Tarpin
20 octobre 2025 10h50

Dites-moi… Suis-je seul dans ce cas, ou quoi : le lien vers la vidéo « Alu total » depuis l’article sur le « Docteur Zet » m’amène vers une page Youtube qui m’annonce que « Cette vidéo a été supprimée, car elle ne respectait pas le règlement de la communauté YouTube » !? Vous confirmez la censure ? Elle serait disponible ailleurs ?

njama
njama
Répondre à  Christian Tarpin
20 octobre 2025 12h39

Merci de signaler que le lien vers la vidéo « Alu total » Hypatie Dr Zet de février 2021 Adjuvants aluminiques, bravo à ceux qui savent changer d’avis
par Hypatie A, 28/02/2021
https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8&t=2115s7
ne fonctionne plus !

Elle n’est pas enregistrée en archive web Wayback Machine has not archived that URL
voir copie d’écran ci-dessous.

On peut (pour combien de temps encore ?) en retrouver une copie sur cet autre compte YouTube dans sa version originale de presque deux heures 1:53:53
L’Alu Totale!!! Dangers de l’Aluminium des Vaccins
Carlos Bonjour
https://www.youtube.com/watch?v=nVaBEpZOR2M

Une censure de YouTube probablement comme il y en eut tant d’autres, la Rédaction de l’AIMSIB va informer l’auteure
6 articles ! https://www.aimsib.org/author/hypathie/

et faire le nécessaire pour mettre les liens à jour sur l’AIMSIB, qu’ils le soient également sur son site :
https://alutotal.wordpress.com/2020/01/30/alu/
La vidéo pourrait être enregistrée sur d’autres plateformes Odysee, Rumble (à nouveau accessible en France depuis quelques jours source : usine-digitale.fr)…

Cet autre lien figurant dans l’article Aluminium vaccinal l’article sans concession, à suivre deux heures de vidéo gratuites par Hypatie A, 29/07/2019
a également été torpillé !
(lien mort) https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8

Par contre on retrouve la vidéo en Archive Web :
https://web.archive.org/web/20250818024704/https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8

Autre source partielle sur dailymotion
Dangers de l’Aluminium des Vaccins : L’ALU TOTAL ! (1/2)(59’41) https://www.dailymotion.com/video/x6y490c

version 2/2 ???

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Hypatie A
Répondre à  njama
20 octobre 2025 13h56

J’ai un site qui est en plein chantier… depuis des années : Alutotal.org
Merci !

Hypatie A
Répondre à  Christian Tarpin
20 octobre 2025 13h53

Bonjour, ma vidéo a été censurée par Youtube en 2022 (après avoir dépassé les 100k vues). Je l’ai mise sur Odysee et Crowdbunker

https://odysee.com/@SacrésVaccins:7/L'ALU-TOTAL-DEF:8

https://crowdbunker.com/v/tZPxGEzRe7

(Youtube a effacé tout le contenu de ma chaîne… y compris une vidéo de l’OMS au sujet du Garsasil… arguant que cette vidéo ne respectait pas les données de l’OMS…)

Dieter Fleischer
Dieter Fleischer
Répondre à  Christian Tarpin
20 octobre 2025 14h03

J’ai trouvé deux liens du documentaire L´ALU TOTAL

L´ALU TOTAL

Alu Total vidéo en français et avec sous-titrage chinois

Dernière modification le 21 jours il y a par Dieter Fleischer
Guillaume Rampon
20 octobre 2025 11h42

Réflexion d’un béotien.

Après la crise « COVID19 » il n’est plus possible de prendre « la science médicale » au sérieux. Il faut tout remettre en cause .
C’est vrai pour les anticorps :
1°) Normalement la théorie affirme que la présence d’anticorps nous protège contre la maladie. Mais c’est plus vrai pour le SIDA là au contraire c’est la présence d’anticorps qui témoigne que l’on est porteur de la maladie.
2°) Puis on a inventé les anticorps facilitant là au contraire la présence d’anticorps est nocive.
3°) Comment savent ils contre quoi sont dirigés ces anticorps ?
Pour les vaccins contre des virus vu qu’aucun virus n’a jamais été isolé comment peut on faire des expériences in vitro ?

Mon impression : c’est que les anticorps ne sont que la réaction du corps contre des agents toxiques et pas une protection contre une maladie.

Hypatie A
20 octobre 2025 13h47

Et pour comprendre le rôle des adjuvants aluminiques dans l’apparition des troubles du neuro-développement : https://www.aimsib.org/2022/10/16/les-chercheurs-savent-ce-qui-provoque-lautisme-pas-vous

Geneviève C.
Geneviève C.
20 octobre 2025 17h59

Je partage totalement votre analyse. Découvrant en février 2020 à la suite des vaccinations à 3 mois de mon petit-fils, la composition des vaccins (avec aluminium), leur nombre (11 dont un juste transmissible par rapports sexuels), leur histoire, alors que la barrière encéphalique n’est pas mature à cet âge, ni le système immunitaire, j’ai cherché les informations plus complètes sur internet et j’ai été effarée et proprement scandalisée.
Quoi des médecins (dont le Dr Buzin, ministre de la santé, et tous ses successeurs) sont capables de « marchander » au sens premier du terme, la santé de nos enfants ????? Le serment d’Hippocrate serait-il ainsi en vente libre, librement vendu par Big Pharma et acheté par nos décideurs ????
A la suite de cette enquête j’ai écrit une lettre documentée que j’ai envoyée à notre Président et à Brigitte Macron. J’ai bien reçu un avis de bonne réception et l’annonce d’une réponse… que j’attends toujours. J’ai conservé ces lettres.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
21 octobre 2025 9h10

Lu dans The Defender du 20 octobre :

« Un nouveau groupe de travail du CDC étudie l’aluminium dans les vaccins infantilesL’ACIP, le comité consultatif des CDC en matière de vaccination, a formé un nouveau groupe de travail chargé de réviser le calendrier de vaccination infantile de l’agence. Ce groupe examinera le calendrier et l’ordre des vaccins recommandés, l’impact cumulatif du calendrier et l’innocuité des adjuvants aluminiques, et en particulier leur lien avec l’asthme.
https://childrenshealthdefense.org/defender/new-cdc-work-group-study-aluminum-childhood-vaccines/

Le chercheur scientifique et auteur James Lyons-Weiler, Ph.D. , a déclaré que l’attention portée par le comité à la toxicité de l’aluminium est sans précédent.
« Cette formulation marque la première reconnaissance officielle par l’ACIP que l’hydroxyde d’aluminium et le phosphate d’aluminium, principaux adjuvants de la plupart des vaccins pédiatriques, pourraient mériter un examen toxicologique différencié », a-t-il écrit dans un article publié dans The Maha Report . « Ce changement place cette question au cœur des priorités et du champ d’action officiels du groupe de travail, et non comme une question secondaire. »
« Le nombre de vaccins que reçoivent nos enfants et nos adolescents aujourd’hui dépasse celui que reçoivent les enfants de la plupart des autres pays développés — et celui que la plupart d’entre nous dans cette salle avons reçu lorsque nous étions enfants.
Outre l’étude et l’évaluation de chaque vaccin, il est important d’évaluer l’effet cumulatif du calendrier vaccinal recommandé. Cela inclut les interactions entre les différents vaccins, le nombre total de vaccins, les quantités cumulées de composants vaccinaux et le calendrier d’administration relatif des différents vaccins.
Un sondage réalisé en juillet par Zogby Strategies auprès des électeurs a montré que près de la moitié des électeurs et 60 % des parents interrogés sont favorables à une révision du calendrier de vaccination des CDC pour les enfants.

Nass a déclaré que la plupart des données évaluées par le comité provenaient de l’industrie pharmaceutique, un « talon d’Achille » que personne n’a encore trouvé de solution. Elle a ajouté :
Il est peu probable que les fabricants conçoivent des protocoles de test permettant de générer des données permettant de faire échouer un produit favori s’il existe un moyen d’éviter cela. Ils peuvent contrôler toutes les données, dont la fiabilité est douteuse. Le phénomène de la porte tournante est un autre problème majeur. Les régulateurs qui traitent favorablement les produits pharmaceutiques peuvent obtenir un emploi dans des entreprises pharmaceutiques juste après leur départ à la retraite.
Alors, à quelles données peut-on se fier ? Tant que des sanctions significatives ne seront pas imposées pour les pratiques de corruption et que des efforts accrus ne seront pas déployés pour les identifier, il sera difficile de faire confiance aux données sous-jacentes à tous nos produits médicaux. »

njama
njama
21 octobre 2025 14h14

Bonne nouvelle que d’étudier les effets sur l’organisme des sels d’aluminium dans les vaccins, combien cela prendra-t-il de temps, des années probablement… il est assez prévisible que l’industrie pharmaceutique productrice de vaccins freinera des quatre fers pour que ne soit pas remis en cause cette théorie qui date d’un siècle.
Alexander Glenny (1882 – 1965) « In 1925-6 he developed alum-precipitated diphtheria toxoid. » https://en.wikipedia.org/wiki/Alexander_Glenny

Même en substituant l’hydroxyde d’aluminium par le phosphate de calcium, ce qui est parfaitement possible et ne demanderait peut-être pas de nouvelles AMM, tous les dosages seraient à ré-évaluer pour chaque vaccin dans les process de fabrication.
Au plan économique, cela réduirait le volume des ventes de 1/3 environ… avec un tarissement équivalent de toute la chaîne de production, de distribution, d’injections tant dans le domaine humain que vétérinaire.
interview du Pr Gherardi dans l’Obs :
Vaccins : « Nous ne savons pas grand-chose sur les effets de l’aluminium » 24 septembre 2017
Pourquoi ce choix du tout-aluminium ?
« J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium. De plus, pour obtenir l’immunisation, avec le phosphate de calcium, on n’avait besoin que de deux injections alors qu’il en fallait 3 avec l’aluminium. Mérieux a dit : « On préfère vendre 3 vaccins plutôt que 2 ». Il faut comprendre que la politique vaccinale est très déterminée par des intérêts financiers… ».

Cette ignorance date d’un siècle également, de plus elle est ouvertement reconnue aux plus hauts niveaux ! Comment la médecine en était-elle arrivée à cautionner cette « potion » vaccinale au doigt mouillé sans considérations d’éventuelles toxicités !

Le Dr Nathalie GARÇON, spécialiste des adjuvants pour GlaxoSmithKline en 2002 :
Dr. Garcon joined SmithKlineBeecham Biologicals, which is now GlaxoSmithKline, in 1990, where she set up the vaccine formulation technologies group. She is now in charge of the technology area program on vaccine formulations, alternative deliveries, and preclinical operations encompassing vaccine formulation design, development, preclinical testing through formulation, and animal laboratory sciences and toxicology evaluation.

PARTICIPANT [Dans l’auditoire] : Concernant les antigènes. Et notamment l’absorption ou l’utilisation de ces médicaments oraux. Le contexte de tout cet adjuvant est souvent flou. Il est seulement empirique et peu étayé par des données probantes. C’est là toute la difficulté.

DR. GARCON : « En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour usage humain, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. […] En fait, je crois que si l’aluminium arrivait maintenant, il ne serait pas accepté. »
 

PARTICIPANT [In Audience]: Of the antigens. And so such as the absorption or the use of those orals. And the background of all that adjuvant is in a lot of cases not very clear. It’s only empirically, and not supported by a lot of data. That’s the difficulty.

DR. GARCON : Actually, the adjuvant, the only one that is licensed for human use, is the one which is the most empirical. I mean, nobody knows how it works, nobody knows the biodistribution. I mean, it has really not much known about this one. It’s for the new one for which, I agree, you have to attempt for better characterization. Actually I believe that if alum * was coming now, it won’t be accepted.
(source : page 220 de ce document officiel SAFETY EVALUATION OF ADJUVANTS: SHOULD THEY BE CONSIDERED SEPARATELY, OR ONLY IN THE CONTEXT OF THE FINAL VACCINE? PRESENTER: NATALIE GARCON, GLAXO-SMITH-KLINE

VIDÉO 11’17 Dr Luciia TOMLJENOVIC : « L’aluminium a été commercialisé simplement en supposant qu’il était inoffensif »
Le Professeur Lucija TOMLJENOVIC est Docteur en biochimie, Chercheuse au Neural Dynamics Research Group de l’Université de Colombie-Britannique, Vancouver (Canada), Rédactrice en chef adjoint de Journal of Alzheimer’s Disease.

Le 22 mai 2014, des scientifiques du monde entier se sont rassemblés à l’Assemblée Nationale Française pour le colloque : « Aluminium et vaccins : l’expertise internationale nous impose d’agir ». Site internet : http://asso-e3m.fr
Colloque organisé par l’association E3M (entraide aux malades de Myofasciite à Macrophages)
https://www.youtube.com/watch?v=GYgXse23mZk&list=PLPA7rUJ05NlYnPeShJvCbgD5hohn2IXa0&index=7

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Monique F
Répondre à  njama
22 octobre 2025 18h08

Personnellement ,je me réjouis d’avoir eu une mère plus préoccupée du grain de poussière sur ses meubles que d’un microbe qui aurait menacé ses enfants…

Ceci dit , par certains côtés nous pouvons remercier les malfaisants qui ont voulu nous faire re écrire 1984 car ils nous ont rendus plus lucides ,plus responsables…et peut être plus intelligents .
Nous vivions dans une inconscience bienheureuse…
Certes nous ne sommes pas encore au bout de notre apprentissage ,mais ..nous sommes en chemin .

njama
njama
23 octobre 2025 16h46

La « vaccinologie », soit le discours sur les vaccins émaillé de bribes de sciences, ne retient de l’adjuvant aluminium, sous forme d’hydroxyde Al(OH)3 ou de phosphate AlPO4, que ses effets combinés avec l’antigène (l’émulsion du précipité) sur la base de la découverte par Alexandre Glenny en 1925-6 que l’on dit fortuite, (sérendipité ?) dont à l’origine, l’objet de l’association aux antigènes, était de « purifier » les toxoïdes diphtériques et de les « concentrer ». A cet effet à l’époque il utilise de l’alun, un sel connu depuis l’antiquité — (alum en anglais) a hydrated double sulfate salt of aluminium with the general formula XAl(SO4)2·12H2O — à l’évidence pour ses propriétés chimiques !
Que la vaccinologie a résumé en disant qu’ils améliorent la réponse immunitaire, en faisant l’impasse sur un tas d’interactions biologiques avec l’organisme humain ou animal pour n’y voir que l’intérêt de l’industrie naissante des vaccins.

Alexander Glenny (1882 – 1965) « In 1925-6 he developed alum-precipitated diphtheria toxoid. »https://en.wikipedia.org/wiki/Alexander_Glenny

Alum adjuvant discovery and potency 
28 September 2020, By Amos Matsiko
(…) In an attempt to purify and concentrate diphtheria toxoids (inactive toxin), Glenny and colleagues used potassium aluminium sulfate in the production of the vaccine. Surprisingly, they found that vaccines developed using aluminium salt precipitation led to better antibody responses in guinea pigs than the soluble toxoids — the first demonstration of aluminium salt adjuvanticity. Glenny aptly stated in his article that “the antigenic value of the emulsion of precipitate appeared greater than that of the toxoid from which it came”. Since then, numerous vaccines have been developed with ‘alum’ salts.
Traduction Deepl : Découverte et efficacité de l’adjuvant d’alun
Dans le but de purifier et de concentrer les toxoïdes diphtériques (toxines inactives), Glenny et ses collègues ont utilisé du sulfate d’aluminium et de potassium dans la production du vaccin. À leur grande surprise, ils ont découvert que les vaccins développés à partir de la précipitation de sels d’aluminium entraînaient une meilleure réponse immunitaire chez les cobayes que les toxoïdes solubles — première démonstration de l’adjuvanticité des sels d’aluminium. Glenny a judicieusement déclaré dans son article que « la valeur antigénique de l’émulsion du précipité semblait supérieure à celle de l’anatoxine dont elle provenait ». Depuis lors, de nombreux vaccins ont été développés à partir de sels d’alun.
https://www.nature.com/articles/d42859-020-00011-w

Alum Uses https://en.wikipedia.org/wiki/Alum#Uses

LAROUSSE UNIVERSEL en 2 Volumes, 1922 :
« L’alun ordinaire fixe les matières colorantes; il rend certaines matières animales imputrescibles, sert de mordant en teinture; on l’utilise aussi pour la clarification de certaines eaux, la conservation des peaux, le collage du papier, le durcissement du plâtre, la conservation des clichés photgraphiques, etc. En médecine il est employé comme astringent et comme caustique quand il est anhydre (alun calciné). »

ASTRINGENT : MÉD.: Qui a la propriété de resserrer les tissus :
CAUSTIQUE : Qui attaque et détruit les tissus organiques.
Substance qui exerce une action corrosive sur les tissus (Méd. Biol. t. 1 1970); p. ext. ,,médicament destiné à cautériser la peau (Duval 1959).

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njama
njama
Répondre à  njama
24 octobre 2025 12h38

En se replaçant dans le contexte de l’époque côté français pas mieux en matière d’empirisme…

Gaston Ramon (1886 – 1963) un vétérinaire et biologiste français. Par un traitement chimique approprié, il est parvenu à rendre efficace le vaccin antidiphtérique. 
Il fait quatre découvertes considérées comme majeures en ce qui concerne la vaccination. Ces dernières mettent en évidence les réactions de floculation , les anatoxines, les adjuvants de l’immunité et la vaccination associée.

Durant l’année 1915, Émile Roux [directeur général de l’Institut Pasteur] lui demande de trouver un antiseptique propre à assurer, dans des conditions de guerre, une bonne conservation des immunosérums (les sérums souffrent de contaminations microbiennes dues à la récolte, la mise en flacons et aux mauvaises conditions de transport). Le choix du formol se révèlera excellent[4].

En 1921, Gaston Ramon met au point un procédé de purification des sérums antitoxiques qui va rendre les accidents sériques moins fréquents et moins sévères. L’année suivante, lors d’expériences entreprises sur le poison diphtérique, Gaston Ramon observe la formation d’une précipitation au sein d’un mélange de toxine diphtérique et de son antitoxine. Il remarque que cette floculation se montre d’autant plus intense que le mélange de toxine et d’antitoxine se sont mutuellement saturées. Cette constatation sert de base à la méthode de dosage par floculation [? par quel procédé] qui permet de titrer in vitro l’antitoxine diphtérique ce qui, auparavant, ne pouvait se faire que par l’épreuve in vivo, sur des animaux d’expériences. Ainsi, il démontre, en 1923, que la toxine diphtérique qui a subi l’action simultanée d’une petite quantité de formol et de la chaleur, se transforme en un dérivé inoffensif [?…] mais qui conserve intact son pouvoir vaccinant. Gaston Ramon lui donne le nom d’anatoxine diphtérique. Après quelques essais, la vaccination par l’anatoxine diphtérique entre dans la pratique.

L’année suivante [en 1925], il instaure le principe des substances adjuvantes et stimulantes de l’immunité, technique qui permet d’obtenir des sérums plus riches en antitoxines en joignant au vaccin une substance irritante pour les tissus. Dans l’avancement de ses travaux, il applique l’anatoxine tétanique à la prévention du tétanos, chez les animaux domestiques avec Pierre Descombey, puis chez l’homme avec Christian Zoeller. Toujours avec Christian Zoeller, en 1926, il instaure la méthode des vaccinations associées. Elle consiste à utiliser un vaccin mixte composé d’un vaccin microbien associé à une ou deux anatoxines. On réalise ainsi plusieurs immunisations en une seule injection. Cette technique est à la base de la conception du vaccin diphtérie-tétanos. 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaston_Ramon

La floculation est une étape fondamentale du traitement primaire de l’eau (épuration, dépollution, potabilisation), pour laquelle on utilise des agents dits floculants, tels des ions métalliques (fer,aluminium) ou des macromolécules (polyélectrolytes) afin de favoriser l’agrégation des micelles et des matières en suspension.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Floculation

A l’époque « purifier « la soupe vaccinale se présentait comme une priorité compte-tenu de nombreux accidents vaccinaux… dont des décès. La vaccination pouvait faire plus de morts que la maladie elle-même…
https://www.aimsib.org/2025/03/16/loligarchie-de-la-biodefense-et-ses-defaites-demographiques/#comment-77264

L’immunité vaccinale conférée ne se mesure que sur le dosage d’anticorps produits abstraction faite d’effets délétères connexes induits par les « adjuvants »…

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