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Chat-GPT contre Guennebaud : fin de partie

robot and human hand making fist bump

Le match s’intensifie et les questions qui fâchent se font plus serrées. Après une première passe d’armes acharnée (*), les deux adversaires cherchent le KO et Bernard Guennebaud sait frapper là où il sait que Chat-GPT aura très mal : polio, système SIR, Lévothyrox® nouvelle formule, médicaments anti-cancéreux… Finement manœuvré Bernard, et à toi la victoire : ton adversaire électronique peut retourner s’entraîner quatre ans afin de prétendre à nouveau venir défier ta belle expérience humaine aux JO de l’intelligence. Bonne lecture, à tous, et bon été ! 

Introduction

Dans le présent article, j’ai poursuivi l’interrogatoire de Chat-GPT avec de nouvelles questions adressées à sa sagacité et à sa pertinence. Nous avions déjà constaté, dans l’article précédent, qu’il se comportait invariablement comme le très bon élève qui, les mains derrière le dos, récite instantanément et sans aucune hésitation les leçons que son maître lui avait demandé d’apprendre. À moins qu’il ne soit, comme les candidats dans les jeux télévisés, les mains jointes, prêtes à appuyer sur un buzzer.

Avec cette nouvelle série de questions, va-t-il nous surprendre, se montrer capable de sortir de sa rigidité académique pour enfin faire preuve d’initiatives, nous montrer qu’il est un vrai chercheur, remettant en cause les idées préconçues et les dogmes des vérités officielles ? Quand j’étais jeune, on m’avait appris deux choses : l’autorité dit le Vrai et fait le Bien. Si tu répètes ce qu’elle te dira de dire et si tu fais ce qu’elle te dira de faire, tu diras le Vrai et tu feras le Bien. Comme à chacun de nous sans doute, on ne m’avait pas appris autre chose. Je me suis rebiffé, je ne suis pas devenu un robot ! Aujourd’hui nous n’avons plus d’autre choix que de nous ranger docilement sous les vérités de la coupole académique – que j’appelle aussi la cloche à fromages sous laquelle on voudrait nous voir tous fermenter – ou de la pulvériser !

Question 1 : Le vaccin contre la poliomyélite pourra-t-il éradiquer la polio ?

Réponse de Chat-GPT :
« Le vaccin contre la poliomyélite a le potentiel d’éradiquer la polio, mais plusieurs défis doivent être surmontés pour atteindre cet objectif. Voici quelques points clés à considérer :
1. Efficacité des vaccins : il existe deux principaux types de vaccins contre la polio : le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) et le vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI). Le VPO est particulièrement efficace car il induit une immunité intestinale, réduisant ainsi la transmission du virus. Cependant, il peut, dans de rares cas, provoquer une poliomyélite vaccinale dérivée (PVDV). Le VPI est très sûr et efficace pour prévenir la maladie, mais il n’empêche pas la transmission du virus aussi efficacement que le VPO.
2. Couverture vaccinale : pour éradiquer la polio, il est crucial d’atteindre une couverture vaccinale très élevée dans toutes les régions du monde. Cela nécessite des campagnes de vaccination robustes et continues, en particulier dans les zones où l’accès est difficile en raison de conflits ou de troubles sociaux.
3. Surveillance et réponse rapide : une surveillance efficace et une réponse rapide aux épidémies sont essentielles pour contrôler et éliminer les cas résiduels de poliomyélite. Les systèmes de surveillance doivent être capables de détecter les cas de polio rapidement pour permettre une intervention immédiate.
4. Logistique et infrastructure : les infrastructures de santé doivent être suffisamment développées pour soutenir des campagnes de vaccination à grande échelle. Cela inclut la chaîne du froid pour conserver les vaccins à la bonne température, ainsi que des équipes de santé bien formées pour administrer les vaccins et sensibiliser les populations.
5. Engagement politique et financier : l’éradication de la polio nécessite un engagement politique et financier soutenu aux niveaux international, national et local. Les gouvernements, les organisations internationales et les partenaires privés doivent continuer à fournir les ressources nécessaires pour maintenir les efforts d’éradication.

Bien que la polio ait été éradiquée dans la plupart des régions du monde grâce à la vaccination, le virus continue de circuler dans quelques pays, notamment en Afghanistan et au Pakistan.
Des efforts concertés et soutenus sont nécessaires pour atteindre l’objectif de l’éradication mondiale de la polio.
En résumé, le vaccin contre la poliomyélite peut éradiquer la polio, mais cela dépend de nombreux facteurs, dont l’efficacité des vaccins, la couverture vaccinale, la surveillance, l’infrastructure, et l’engagement continu des parties prenantes ».

Mes articles Aimsib [1] et [2] sur les problématiques de cette éradication. Pour résumer, même si les virus polio sauvages étaient éradiqués, il sera impossible d’éradiquer les virus polio dérivés de souches vaccinales sans la maîtrise des eaux usées.

Question 2 : quel crédit peut-on attribuer aux modèles SIR en épidémiologie ?

Réponse de Chat-GPT :
« Les modèles SIR (Susceptible-Infectious-Recovered) sont largement utilisés en épidémiologie pour comprendre la propagation des maladies infectieuses et pour évaluer les effets des interventions de santé publique. Voici une évaluation de leur utilité, de leurs limites, et de la manière dont ils sont appliqués :
Utilité des modèles SIR
1. Compréhension de la dynamique des maladies :
• Simplification efficace : les modèles SIR offrent une simplification efficace de la dynamique des maladies infectieuses en catégorisant la population en trois groupes principaux : susceptibles (S), infectieux (I) et récupérés (R).
• Intuitivité : la structure du modèle est intuitive et aide à comprendre les mécanismes de base de transmission des maladies.
• Analyse de l’épidémie : ils permettent d’analyser des caractéristiques épidémiologiques clés comme le taux de reproduction de base (R0), la durée de l’épidémie, et le seuil d’immunité collective.
2. Prévisions et planification :
• Scénarios de transmission : les modèles SIR sont utilisés pour prévoir l’évolution de l’épidémie sous différents scénarios, ce qui aide à planifier les réponses de santé publique.
• Évaluation des interventions : ils permettent d’évaluer l’impact potentiel des interventions telles que la vaccination, la quarantaine et les mesures de distanciation sociale.
3. Flexibilité et extensions :
• Adaptabilité : les modèles SIR peuvent être étendus pour inclure plus de compartiments (par exemple, SEIR avec les exposés, SIRS avec perte d’immunité) et d’autres facteurs complexes comme l’hétérogénéité de la population et les dynamiques spatiales.
Limites des modèles SIR
1. Simplicité excessive :
• Hypothèses simplificatrices : les modèles SIR font plusieurs hypothèses simplificatrices, comme une population homogène, des taux de contact constants, et une immunité permanente après la récupération, qui peuvent ne pas être réalistes pour toutes les maladies ou contextes.
2. Données et paramètres :
• Qualité des données : la précision des modèles SIR dépend fortement de la qualité et de la disponibilité des données épidémiologiques et des paramètres utilisés (taux de transmission, période infectieuse, etc.).
• Estimation des paramètres : l’estimation des paramètres peut être difficile et sujette à des incertitudes, surtout en début d’épidémie.
3. Complexité des interactions :
• Facteurs externes : les modèles SIR ne capturent pas toujours bien les influences externes et les comportements humains changeants, qui peuvent affecter la propagation des maladies.
• Évolution du virus : ils ne prennent généralement pas en compte les mutations du virus et leur impact sur la transmissibilité et la virulence.
Application et crédit
Les modèles SIR sont très utiles pour fournir une compréhension de base de la dynamique des épidémies et pour explorer les impacts potentiels des interventions. Cependant, leur utilisation doit être complétée par des modèles plus sophistiqués et une analyse des données empiriques pour capturer la complexité réelle des épidémies.
En conclusion, les modèles SIR sont des outils précieux en épidémiologie, offrant des
insights importants et aidant à guider les décisions de santé publique. Toutefois, ils doivent être utilisés en complément d’autres approches et avec une compréhension claire de leurs limitations. Les modèles plus complexes et les données empiriques sont essentiels pour obtenir une image plus complète et précise de la dynamique des maladies infectieuses ».

En fait le modèle SIR comme le SEIR et le SIRS s’appuient sur des équations différentielles.

La première conséquence sera que la durée de la maladie dépendra du nombre de malades en cours : plus ils seront nombreux et plus la porte de la guérison sera embouteillée !!! Imaginez le médecin vous disant : “vous n’avez pas de chance, il y a beaucoup de malades actuellement, aussi vous allez rester malade plus longtemps…“

Plus de détails dans cet article : « Provoquer la haine des uns envers les autres à l’aide d’un modèle mathématique parfaitement frauduleux – Seconde partie » [3]

Question 3 : que penser de l’homéopathie ?

Réponse de Chat-GPT :
« L’homéopathie est une pratique médicale alternative développée à la fin du XVIIIe siècle par Samuel Hahnemann. Elle repose sur deux principes : le principe de similitude, qui suggère que « le semblable guérit le semblable » (c’est-à-dire qu’une substance qui provoque des symptômes chez une personne en bonne santé peut, à des doses très faibles, traiter ces mêmes symptômes chez une personne malade), et la loi des infinitésimales, qui affirme que plus une substance est diluée, plus elle est potentiellement efficace.
Arguments en faveur de l’homéopathie
1. Témoignages de patients :
• De nombreux patients rapportent des améliorations subjectives de leur état de santé après avoir utilisé des remèdes homéopathiques. Ces témoignages incluent des réductions de la douleur, de l’anxiété, et d’autres symptômes.
2. Effet placebo :
• L’effet placebo est un phénomène bien documenté où les patients peuvent ressentir une amélioration de leurs symptômes simplement parce qu’ils croient en l’efficacité du traitement. L’homéopathie pourrait bénéficier de cet effet, en particulier dans les conditions où le stress et l’attention individuelle jouent un rôle important.
3. Pratique globale :
• L’homéopathie est largement pratiquée et acceptée dans certains pays, et certains médecins intégrateurs l’utilisent en complément de la médecine conventionnelle.

Critiques et limites de l’homéopathie
1. Absence de preuves scientifiques :
• La majorité des études rigoureuses et bien conduites n’ont pas trouvé de preuves solides que les remèdes homéopathiques ont des effets supérieurs à ceux d’un placebo. Les méta-analyses et les revues systématiques, qui regroupent les résultats de multiples études, concluent généralement que l’homéopathie n’est pas plus efficace qu’un placebo.
2. Problèmes de plausibilité :
• Les principes de l’homéopathie, en particulier la loi des infinitésimales, défient les principes fondamentaux de la chimie et de la physique. Il est difficile de concevoir, selon les connaissances scientifiques actuelles, comment une substance diluée au point de ne plus contenir de molécule active pourrait avoir un effet thérapeutique.
3. Risque de retarder les traitements efficaces :
• Le recours à l’homéopathie pour traiter des maladies graves ou potentiellement mortelles peut retarder l’accès à des traitements médicaux éprouvés et efficaces, ce qui peut avoir des conséquences graves pour la santé des patients.
4. Position des autorités de santé :
• De nombreuses autorités de santé et organisations médicales, y compris l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, et l’Académie nationale de médecine en France, ne reconnaissent pas l’homéopathie comme une pratique médicale efficace basée sur des preuves scientifiques. Certains pays ont commencé à dérembourser les remèdes homéopathiques en raison du manque de preuves de leur efficacité.
En conclusion, bien que l’homéopathie puisse offrir des améliorations subjectives pour certains patients, principalement en raison de l’effet placebo et de l’attention individuelle qu’ils reçoivent, elle manque de preuves scientifiques solides pour soutenir son efficacité au-delà de cet effet placebo. Les principes sur lesquels elle repose ne sont pas compatibles avec les connaissances actuelles de la science médicale et de la chimie. Il est important pour les patients de se tourner vers des traitements médicaux fondés sur des preuves pour les maladies graves ou chroniques et de consulter des professionnels de santé qualifiés pour des conseils appropriés ».

On doit constater que Chat-GPT ne retient que les dilutions successives dans la préparation d’un produit homéopathique.

Pourtant il est clairement mentionné qu’entre chacune de ces dilutions on imprime à la solution une agitation vibratoire particulière nommée succussion. Elle est réalisée aujourd’hui en y créant un vortex.

La moindre des choses serait d’en tenir compte quand on veut discuter sur la préparation du produit homéopathique indépendamment de ses propriétés thérapeutiques !

Ce sont sans doute ces impulsions vibratoires successives qui donnent au produit homéopathique ses propriétés ondulatoires dont il est tout à fait possible de vérifier l’existence en testant le produit par résonance vibratoire. Par exemple entre un tube d’arnica 15CH** et la plante arnica ou même entre deux tubes d’arnica 15CH alors qu’il n’y aura pas de résonance entre un tube d’arnica 15CH et un tube de belladona 15CH bien que ce sont les mêmes granules d’un point de vue chimique.

Ces expériences ne préjugent pas des propriétés thérapeutiques de ces produits, elles en sont indépendantes. Elles montrent seulement qu’on ne peut en écarter la possibilité en se contentant d’avancer les arguments de la rubrique plausibilité de Chat-GPT.

On peut tout à fait soutenir, a priori, que pour qu’un produit homéopathique puisse avoir une action thérapeutique, il faut qu’il y ait une résonance vibratoire entre le patient et le produit. La loi de similitude est une façon non scientifique mais qui semble efficace pour que l’on puisse avoir de telles résonances sans avoir eu la possibilité de les tester. Avec les appareils dont on peut disposer aujourd’hui, ce qui n’était pas le cas du temps de Hahnemann, la pratique homéopathique ou du moins la recherche en homéopathie, aurait tout intérêt à s’orienter dans cette direction, certes contraignante, pour améliorer son efficacité et faire taire des critiques très simplistes. Étudier les effets thérapeutiques d’un produit homéopathique de la même façon que cela est fait pour un produit allopathique conduit à des échecs. Il faudrait, pour le moins, se limiter aux patients pour lesquels on aura trouvé une résonance avec le produit que l’on veut étudier.

Question 4 : le nouveau Levothyrox® (2017) a t-il eu des effets secondaires graves inattendus ?

« Oui, la nouvelle formule du Levothyrox® (lévothyroxine) introduite en 2017 a été associée à des effets secondaires inattendus pour de nombreux patients. Voici un résumé des événements et des effets secondaires signalés :
1. Changement de formule : en mars 2017, Merck, le fabricant du Levothyrox®, a introduit une nouvelle formule du médicament en France. Ce changement visait à améliorer la stabilité du produit, en remplaçant le lactose par de l’acide citrique et du mannitol comme excipients.
2. Réactions des patients : après l’introduction de la nouvelle formule, de nombreux patients ont signalé des effets secondaires inattendus et parfois graves. Ces effets incluaient :
• Fatigue intense
• Maux de tête
• Vertiges
• Douleurs articulaires et musculaires
• Troubles digestifs (nausées, douleurs abdominales)
• Chutes de cheveux
• Insomnie
• Troubles de l’humeur (anxiété, dépression)
3. Ampleur des réactions : en France, des milliers de patients ont rapporté ces effets secondaires, et certains ont attribué une détérioration significative de leur qualité de vie à la nouvelle formule. Les autorités sanitaires françaises ont reçu un nombre élevé de signalements de pharmacovigilance concernant le Levothyrox®.
4. Réactions officielles : en réponse aux plaintes, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mené une enquête et a organisé des réunions avec des associations de patients et des professionnels de santé. Des études ont été réalisées pour comparer les effets de l’ancienne et de la nouvelle formule, mais elles n’ont pas démontré de différences significatives en termes de sécurité et d’efficacité.
5. Retour de l’ancienne formule : en réponse à la pression des patients, l’ancienne formule du Levothyrox (sous le nom d’Euthyrox) a été temporairement réintroduite sur le marché français en septembre 2017. D’autres alternatives à base de lévothyroxine ont également été mises à disposition.
6. Facteurs contributifs : plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer les effets secondaires signalés, notamment la possibilité que certains patients étaient sensibles aux nouveaux excipients ou que des variations dans l’absorption de la nouvelle formule aient pu entraîner des déséquilibres hormonaux. Des différences individuelles dans le métabolisme de la lévothyroxine peuvent aussi jouer un rôle.
En conclusion, la nouvelle formule du Levothyrox introduite en 2017 a été associée à des effets secondaires graves et inattendus pour de nombreux patients, entraînant une réponse importante des autorités sanitaires et la réintroduction temporaire de l’ancienne formule pour répondre aux besoins des patients ».

Question 5 : qu’en est-il aujourd’hui des effets actuels du Levothyrox® ?

Réponse de Chat-GPT :
« Aujourd’hui, la situation concernant les effets secondaires du Levothyrox s’est stabilisée, mais des préoccupations subsistent chez certains patients. Voici un état des lieux actuel concernant les effets du Levothyrox :
1. Stabilisation de la situation : après les réactions initiales à la nouvelle formule du Levothyrox en 2017, de nombreux patients ont pu s’adapter à la nouvelle formule ou ont trouvé des alternatives qui fonctionnent pour eux. Les autorités sanitaires ont continué de surveiller la situation et de mener des études pour évaluer les effets à long terme.
2. Disponibilité d’alternatives : en réponse aux problèmes rencontrés avec la nouvelle formule du Levothyrox, plusieurs alternatives à base de lévothyroxine ont été mises sur le marché. Cela inclut des produits comme L-Thyroxin Henning, Euthyrox (l’ancienne formule de Levothyrox), et des marques génériques. Cela a permis aux patients de trouver une option qui leur convient mieux en cas de sensibilité aux excipients de la nouvelle formule.
3. Études et enquêtes : des études ont été menées pour comprendre les effets de la nouvelle formule du Levothyrox. Ces études n’ont pas montré de différence significative en termes de bioéquivalence, mais elles ont reconnu que des variations individuelles dans la tolérance aux excipients peuvent expliquer les effets secondaires rapportés.
4. Pharmacovigilance continue : l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) continue de surveiller les effets secondaires rapportés par les patients. Les signalements sont moins nombreux qu’au début de la transition, mais les autorités restent vigilantes.
5. Communication et soutien aux patients : il y a eu un effort continu pour mieux informer et soutenir les patients concernant l’utilisation du Levothyrox et ses alternatives. Les professionnels de santé ont été encouragés à surveiller de près leurs patients sous lévothyroxine et à ajuster les traitements si nécessaire.
6. Précautions personnalisées : les médecins sont désormais plus attentifs aux différences individuelles dans la réponse au traitement par lévothyroxine. Des ajustements de dose et des changements de formule sont faits au cas par cas pour minimiser les effets secondaires et optimiser le traitement.
En résumé, bien que les effets secondaires de la nouvelle formule du Levothyrox aient causé des préoccupations initiales importantes, la situation est maintenant plus stable grâce à une meilleure gestion des alternatives disponibles et une surveillance continue. Les patients continuent d’être encouragés à signaler tout effet indésirable et à travailler avec leurs médecins pour trouver le traitement le plus adapté à leur condition ».

Je propose mes deux articles sur cette question [4][5]. Pour le premier je ne disposais que du résumé publié en février 2019. Le document complet ne sera publié qu’en juin. Le résumé n’est plus disponible.

Question 6 : le médicament anti-cancer 5-FU peut -il provoquer des décès ?

Réponse de Chat-GPT :
« Oui, le médicament anticancéreux 5-fluorouracile (5-FU) peut provoquer des effets secondaires graves, y compris des décès, bien que cela soit rare. Voici quelques points importants à considérer :
1. Toxicité du 5-FU : le 5-FU est un agent chimiothérapeutique qui peut avoir des effets secondaires sévères. Ceux-ci incluent la suppression de la moelle osseuse, ce qui peut entraîner une diminution des globules blancs, des globules rouges et des plaquettes, augmentant ainsi le risque d’infections, d’anémie et de saignements.
2. Réactions individuelles : certaines personnes peuvent être particulièrement sensibles au 5-FU en raison de variations génétiques. Par exemple, les patients présentant une déficience en dihydropyrimidine déshydrogénase (DPD), une enzyme nécessaire à la dégradation du 5-FU, peuvent subir des effets toxiques graves du médicament. Environ 3 à 5 % de la population a une activité réduite de la DPD, et chez ces individus, l’administration de 5-FU peut entraîner une toxicité sévère ou même la mort.
3. Effets secondaires graves : les effets secondaires graves du 5-FU peuvent inclure la mucosite (inflammation et ulcération des muqueuses), la diarrhée sévère, la cardiotoxicité (incluant des douleurs thoraciques et des crises cardiaques), ainsi que la toxicité neurologique et gastro-intestinale.
4. Surveillance et gestion : pour minimiser les risques, les patients sous traitement par 5-FU doivent être étroitement surveillés par leur équipe médicale. Des tests de dépistage pour la déficience en DPD peuvent être effectués avant le début du traitement pour identifier les patients à risque élevé. La surveillance régulière des fonctions hématologiques et la gestion rapide des effets secondaires sont cruciales.
5. Cas de décès : bien que la majorité des patients tolèrent le 5-FU avec des effets secondaires gérables, des cas de décès ont été rapportés, souvent liés à une toxicité aiguë ou à des complications graves comme des infections ou des troubles cardiaques.
En conclusion, bien que le 5-FU soit un médicament efficace pour le traitement de divers cancers, il comporte des risques potentiellement graves, y compris le risque de décès. Une surveillance attentive, une évaluation pré-thérapeutique adéquate, et une gestion rapide des effets secondaires sont essentiels pour réduire ces risques. Les patients doivent être bien informés des potentiels effets secondaires et doivent immédiatement signaler tout symptôme inhabituel à leur médecin ».

Mon article sur cette question, sur l’estimation des décès par toxicité de médicaments anticancéreux, ici : [6]

La fin de cet article doit nous conduire à nous poser cette question cruciale : Chat-GPT saura-t-il un jour s’émanciper des seules données qu’on lui a apprises ?

 

Un bon été à tous +++++

 

Bernard Guennebaud
Juin 2024

 

 

Notes et sources :

(*) https://www.aimsib.org/2024/06/16/les-jo-commencent-premier-match-guennebaud-contre-chat-gpt/
(**) J’ai mentionné 15CH parce qu’à ce niveau de dilution il n’y a plus aucune molécule de la substance initiale (nombre d’Avogadro).
[1] L’éradication de la polio ou Perrette et le pot à lait https://www.aimsib.org/2022/09/18/leradication-de-la-polio-ou-perrette-et-le-pot-a-lait/
[2] L’OMS aurait-elle renoncé à vouloir éradiquer la polio ? https://www.aimsib.org/2022/09/25/loms-aurait-elle-renonce-a-vouloir-eradiquer-la-polio/
[3] https://www.aimsib.org/2024/01/21/provoquer-la-haine-des-uns-envers-les-autres-a-laide-dun-modele-mathematique-parfaitement-frauduleux-2e-partie/
[4] Levothyrox nouvelle formule : aucun problème qu’ils disent, https://www.aimsib.org/2019/02/10/levothyrox-nouvelle-formule-aucun-probleme-quils-disent/
[5] Rapport Levothyrox de juin 2019, les saisissants contre-sens de l’ANSM, https://www.aimsib.org/2019/06/24/rapport-levothyrox-de-juin-2019-les-saisissants-contre-sens-de-lansm/
[6] https://www.aimsib.org/2022/01/23/sur-lestimation-des-deces-par-toxicite-de-medicaments-

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11 Responses

  1. « Chat-GPT saura-t-il un jour s’émanciper des seules données qu’on lui a apprises ? » Non, mais on peut lui apporter d’autres éléments, il me semble. Toi particulièrement. As-tu essayé de le nourrir d’informations complémentaires ?

    1. Bonjour,
      il ne peut pas en être autrement. Pour influencer Chat-GPT je pense qu’il faudrait des milliers de publications.
      Du temps de Galilée Chat-GPT aurait dit que le soleil tourne autour de la terre puisque Galilée était le seul à dire le contraire. Chat-GPT répète les informations qui ont le plus de publications peu importe qu’elles soient vraies ou fausses.

  2. Je ne savais pas qu’on pouvait le nourrir ! Mais peut-être ferait-il un rejet comme cela se produit avec les bébés ? Rejet d’une nourriture à laquelle son estomac n’est pas préparé.

  3. Sur une suggestion qui m’a été faites par mail, j’ai posé la question suivante à Chat-GPT :
    « Chat-GPT, sur un thème donné, utilisez vous toutes les données publiées sur le web ou faites vous une sélection a priori ? Est-il possible pour un simple quidam de vous donner des informations que vous n’auriez pas sélectionnées ? »

    Voici sa réponse, très intéressante et révélatrice avec en particulier ceci :
    « Un utilisateur peut certainement fournir des informations supplémentaires ou poser des questions pour affiner les réponses que je donne, mais cela ne modifie pas ma base de connaissances globale. »:

    « En tant que modèle de langage développé par OpenAI, je ne fais pas de recherche active sur le web en temps réel. Au lieu de cela, j’ai été formé sur un vaste corpus de textes disponibles sur Internet jusqu’à ma date de coupure de connaissance en septembre 2021, et une mise à jour partielle en 2023. Cela inclut des livres, des articles, des sites web, des forums et autres sources de textes écrits. Voici quelques points importants concernant la façon dont je fonctionne :

    Corpus de Formation : Mon entraînement a été effectué sur une large base de données textuelles qui inclut une variété de sources d’information publiquement accessibles. Ces données ont été sélectionnées pour leur diversité et leur représentativité de la langue et du savoir humain.

    Sélection des Informations : Je ne fais pas de sélection active ou en temps réel des informations. Les réponses que je fournis sont générées en utilisant les modèles statistiques et les connaissances que j’ai accumulées au cours de ma formation. Mon but est de fournir des réponses précises et pertinentes basées sur ces informations.

    Mise à Jour des Informations : Les informations que je fournis sont basées sur ma formation et ne sont pas mises à jour en temps réel. Ainsi, je ne peux pas accéder à des événements ou des développements qui ont eu lieu après ma dernière mise à jour en 2023.

    Interaction avec les Utilisateurs : Si un utilisateur fournit de nouvelles informations ou des précisions dans une conversation, je peux utiliser ces données pour ajuster mes réponses dans le contexte de cette interaction spécifique. Cependant, cela ne met pas à jour ma base de connaissances globale de manière permanente.

    Vérification des Informations : Il est toujours recommandé de vérifier les informations provenant de sources multiples et fiables, surtout pour des sujets importants ou controversés. Je peux fournir des réponses et des conseils basés sur les informations dont je dispose, mais je ne suis pas infaillible.

    En résumé, je suis conçu pour aider à fournir des informations et répondre aux questions en fonction des données sur lesquelles j’ai été formé. Un utilisateur peut certainement fournir des informations supplémentaires ou poser des questions pour affiner les réponses que je donne, mais cela ne modifie pas ma base de connaissances globale. Pour des informations précises et à jour, surtout sur des sujets sensibles ou en évolution rapide, il est toujours conseillé de consulter directement des sources fiables et à jour. »

    1. Cette réponse de Chat-GPT gratuit permet de répondre aux questions soulevées par ci-dessus par Brigitte Fau et Roger : il n’est pas possible pour nous de modifier la base de données sur laquelle il s’appuie pour nous répondre. C’est dit très explicitement par Chat-GPT en personne, en admettant qu’il soit une personne !!!
      Seuls ses maîtres peuvent le faire en réalisant des mises à jour où ils ajoutent les données qu’ils auront décidé d’ajouter. En clair, Chat-GPT est un perroquet !
      Un perroquet qui peut, à l’occasion discuter avec nous de façon spécifique mais sans que cela modifie sa base de données :
      « Si un utilisateur fournit de nouvelles informations ou des précisions dans une conversation, je peux utiliser ces données pour ajuster mes réponses dans le contexte de cette interaction spécifique. Cependant, cela ne met pas à jour ma base de connaissances globale de manière permanente. »

  4. Petite explication de Momotchi en moins de 10 minutes (vidéo)
    L’IA n’est pas un truc qui vient de sortir, l’IA est une hydre multi-têtes déjà installée dans nos vies, particulièrement sur les rézosocios semble-t-il…

    Addiction aux plateformes et danger de l’I.A : “On est formaté à aimer tous la même chose” Momotchi, ingénieure, sonne l’alerte
    Auteur(s) France-Soir, Publié le 24 juin 2024

    ENTRETIEN – Le mercredi 8 mai à Saintes, au cours de la journée de conférence du C.S.I, « Momotchi » ingénieure en électronique et blogueuse, a pris la parole pour parler des transformations de la société face aux nouvelles technologies. Nous nous sommes entretenus avec elle à la suite de son intervention. Elle est revenue sur l’évolution de nos interactions avec les écrans, et les dangers qu’ils soulèvent en matière de libertés individuelles, mais également en matière de santé mentale. « Momotchi » démystifie au passage l’I.A, nous parle de ses risques, ses atouts et ses limites.

    https://edition.francesoir.fr/videos-reportage/addiction-aux-plateformes-et-danger-de-l-ia-est-formate-aimer-tous-la-meme-chose

    L’IA, d’intelligence il n’y en a point, n’en déplaise aux journaleux des médias mainstream qui ne savent pas traduire l’anglais !
    Merci à Ekiem sur l’Aimsib (22/06/2024) pour son commentaire sous l’article précédent :
    « Il serait temps que se répande la connaissance du fait que IA traduit de l’anglais vers le français par « intelligence artificielle » relève d’une erreur de traduction, due à ce faux ami que représente le mot anglais « Intelligence« . Comme dans CIA (Central Intelligence Agency), qui est le service de RENSEIGNEMENT américain, et non pas le service d’intelligence, ou dans «latest intelligence» (information de dernière minute). La création du terme se basait sur la puissance de traiter des informations, des renseignements, de façon artificielle. Il n’était pas question d’intelligence. »

  5. Définition de l’intelligence (Larousse) : « 1- Ensemble des fonctions mentales ayant pour objet la connaissance conceptuelle et rationnelle. 2- Aptitude d’une être humain à s’adapter à une situation, à choisir des moyens d’action en fonction des circonstances; sa capacité de comprendre ; discernement.3- Personne considérée dans ses aptitudes intellectuelles en tant qu’être pensant. 4- Qualité d’une personne qui manifeste dans un domaine quelconque de l’activité humaine un souci de comprendre, de réfléchir, de connaitre. 5- Capacité de saisir une chose par la pensée »

    Intelligence Service (Larousse) : organisme chargé en Grande Bretagne de recueillir tous les renseignements intéressant la conduite de l’action diplomatique, politique, économique et militaire du gouvernement. »
    En fait l’IA est d’abord l’expression de l’intelligence de ses créateurs qui l’ont nourrit une première fois en 2021 puis une seconde fois par une mise à jour partielle en 2023. Il ne cherche pas par lui-même en dehors des données qui lui ont été apportées. Il n’est qu’un relai automatisé entre ses maitres et nous.

  6. Voici le titre d’un article publié sur Medscape :

    « IA : ChatGPT pas si efficace sur les migraines et leurs traitements »

    francais.medscape.com/voirarticle/3611597?ecd=WNL_mdplsfeat_240701_mscpedit_fr_etid6637294&uac=251346AG&impID=6637294#vp_1

    « L’outil d’intelligence artificielle (IA) ChatGPT, qui peut fournir des informations sur les maux de tête, commet des erreurs importantes en ce qui concerne les traitements médicamenteux de la migraine, mais fait mieux lorsqu’il s’agit de thérapies non pharmacologiques, selon une évaluation réalisée par des spécialistes des maux de tête.

    Les résultats, présentés le 13 juin lors de la réunion annuelle 2024 de l’American Headache Society (AHS) , suggèrent que les médecins devraient conseiller aux patients de ne pas se fier uniquement à ChatGPT pour obtenir des informations précises sur les traitements de la migraine, du moins pas dans sa version actuelle,
    Puis-je faire confiance à l’IA ?
    Les cliniciens ont des sentiments mitigés à l’égard de l’IA, y compris les modèles élaborés de langage comme ChatGPT. Ils sont intrigués et s’y aventurent, mais sont conscients de ses limites et des informations obsolètes, a déclaré Bonakdar, qui traite les migraines depuis plus de vingt ans et a l’habitude d’utiliser ChatGPT.

    Bien qu’il existe d’autres outils d’IA, ChatGPT est l’un des plus complets et c’est celui que les spécialistes des maux de tête sont le plus susceptibles d’utiliser, a indiqué Robert Bonakdar. Des études montrent que l’outil est utile dans certains domaines de la médecine, comme l’orthopédie, mais moins bien pour les autres domaines, comme la neurochirurgie, a-t-il ajouté.

    « La question est de savoir si l’on peut faire confiance à l’IA pour la migraine », a-t-il ajouté.
    Options inappropriées
    Les évaluateurs ont noté que le ChatGPT recommandait également des options de traitement inappropriées, telles que les opioïdes et la chirurgie de la migraine.

    Ils ont également remarqué que l’outil affirmait à tort que le dispositif Cefaly ® nécessitait une ordonnance alors que la stimulation externe du nerf trijumeau est disponible en vente libre. ChatGPT n’a pas non plus noté les risques potentiels pour la santé des traitements de la migraine pendant la grossesse, »

    Je ne suis donc pas le seul à m’interroger sur l’IA, ça fait plaisir !

  7. Je viens de recevoir cette annonce en faveur de Chat-GPT :

    « Le monde de l’IA est en pleine ébullition.
    Les sociétés du secteur se livrent en ce moment une lutte sans merci pour sortir au plus vite de nouveaux modèles, plus puissants, plus rapides, et plus faciles à utiliser.
    Leur objectif est simple : attirer un maximum d’utilisateurs sur leur technologie, avant les autres.
    Parce que plus leur IA sera utilisée, et plus elle aura de données pour “apprendre” et “se corriger”… et donc, plus elle deviendra performante !
    C’est un cercle vertueux qui s’auto-alimente en permanence. »

    Ce n’est pas ce que m’avait répondu Chat-GPT lui-même qui, au contraire, s’il pouvait discuter avec un interlocuteur lui proposant des infos qu’ils n’avait pas en stock, il ne les intégrait pas dans sa mémoire permanente. Celle-ci est mise à jour périodiquement par ses maîtres, il ne le fait pas lui-même.

    « “GPT-4o” explose la concurrence
    Le “o” signifie “omnimodel”.
    Concrètement, cela veut dire que ce modèle peut maintenant traiter plusieurs types de formats : du texte, de l’image, des graphiques, des photos…

    … et même bientôt de la vidéo, y compris en temps réel !

    Pour l’utilisateur, cela devient incroyable.
    Car l’IA “comprend” ce que vous dites, “voit” son environnement, et vous “parle” de façon spontanée, sur n’importe quel sujet.
    Et en plus, elle vous fait des réponses en moins de 2 millisecondes, avec une voix qui peut exprimer des émotions, des respirations, ou de l’humour.
    C’est-à-dire… comme un humain.
    L’échange est fluide, naturel, ce qui facilite l’adoption immédiate, voire un certain attachement au modèle.
    Vous pourriez croire que vous parlez à une collègue, à un mentor… ou à une amie.
    Et le résultat est sans appel…
    3 MILLIARDS de visiteurs sur ChatGPT ! »
    « Tout ChatGPT… dans votre poche

    Sam Altman, le patron d’OpenAI, a indiqué que les nouvelles fonctionnalités audio et vidéo de ChatGPT seront d’abord intégrées dans sa version sur l’appli mobile.

    L’ambition est claire : faire de ChatGPT votre partenaire indispensable au quotidien, dans votre smartphone.

    À l’ère d’internet, tout le monde utilisait Google.
    (On vous a forcément déjà répondu, à une question que vous posiez : “Google est ton ami”).
    Et bien demain, à l’ère de l’IA, tout le monde utilisera ChatGPT.
    (Et l’on pourrait bientôt vous répondre : “ChatGPT est ton ami”).
    Et le plus beau… C’est que tout est gratuit !
    Car OpenAI ne cherche pas – encore – à gagner d’argent avec son modèle.
    L’entreprise veut déjà le diffuser de façon massive pour fiabiliser sa technologie, et avoir la plus grande base d’utilisateurs possible.
    Ensuite, quand elle aura assuré sa position dominante, elle pourra toujours monétiser ChatGPT via des publicités ciblées (comme le fait aujourd’hui Google, avec sa régie publicitaire qui utilise vos recherches sur internet…) »

    Les yeux fermés, j’achète !!!

  8. Je viens d’essayer d’interroger ChatGPT sur la polio à Gaza. Les réponses sont vagues, incomplètes et imprécises. Des débuts de phrases qui sont interrompues ….Très décevant !
    QUESTION : « Les virus polio à Gaza sont-ils sauvages ou dérivés de souches vaccinales ? »
    ChatGPT a dit :
    ChatGPT
    Dans des régions comme Gaza, où les infrastructures sanitaires sont fragiles et où l’accès aux soins de santé est limité, il est possible que des cas de poliomyélite soient liés aux virus dérivés de souches vaccinales plutôt qu’à des virus polio sauvages. Voici une explication plus détaillée sur la distinction entre ces deux types de virus et leur pertinence à Gaza

    1. Virus polio sauvage (WPV – Wild Poliovirus) :
    Nature :
    État mondial :
    À Gaza :
    2. Virus dérivé d’une souche vaccinale (PVDc):
    Nature :
    Mécanisme:virus dérivé d’une souche vaccinale (PVDVc).
    À Gaza: En raison
    3. Différences entre PVS et PVDVc:
    Transmission: Les
    Prévention: Les
    Circonstances d’apparition du PVDVc: Les
    4. Stratégies de vaccination et les défis à Gaza:
    Vaccination systématique:VPO (vaccin antipoliomyélitique oral),
    Risque de cVDPV:
    Transition vers le VPI:VPI (vaccin antipoliomyélitique inactivé) ,
    5. Surveillance et gestion des cas à Gaza:
    Surveillance: L
    Réponse:
    C
    À Gaza, comme dans d’autres régions où les infrastructures sanitaires sont fragiles, le risque de poliomyélite est principalement associé aux virus dérivés de souches vaccinales (PVDVc)plutôt que »

    1. Pour moi, ces bugs à répétition (qui ressemblent à s’y méprendre à un bégaiement) ont deux causes bien distinctes (mais liées) :
      – le sous-dimensionnement évident du système de refroidissement de ChatGPT,
      – le réchauffement climatique.
      Il va de soi que la première cause influe gravement sur la seconde ! 😁
      Vivement la prochaine glaciation ! J’ai lu quelque part qu’elle avait déjà commencé… 😂

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