Les mois passent et les industriels de la vaccination persistent imperturbablement à nous abreuver d’études ineptes, inexactes, inutiles voire carrément mensongères dans le but de qualifier leurs produits, ce que sempiternellement d’ailleurs les agences d’évaluation leur accordent. Voici le retour de l’horrible étude observationnelle avec zéro mort dans les deux groupes, ce qui ne manque pas de sel pour décrire l’utilité d’un vaccin qui prétend s’attaquer à une maladie mortelle. Evidemment, encore contre un placebo qui n’en n’est pas un du tout (*), dans le but évident d’éteindre un tant soit peu la mauvaise tolérance de ce nouveau vaccin. Et pour quel résultat? Merci à Emma Kahn de s’être attelée pour nous à un pensum pareil, bonne lecture…
Résumé Certains attendent avec impatience les vaccins « classiques » à virus entier inactivé. |
Introduction
Est-il bien raisonnable d’attendre les « vaccins classiques » pour nous sauver de la Covid ? Rappelons rapidement qu’en ce moment le virus semble très peu pathogène (1), voir les chiffres d’hospitalisation sur les statistiques officielles; de plus il existe des traitements efficaces pour les personnes fragiles (2).
Cependant certains attendent avec impatience les futurs vaccins pour pouvoir se soumettre à l’obligation vaccinale déguisée qui nous est imposée. Nous avons déjà montré que le Novavax™ (vaccin à protéine recombinante adjuvanté) n’était pas si classique que cela, présentait des risques importants d’effets indésirables et de facilitation de l’infection (3).
Qu’en est-il des vaccins à virus inactivés ? Aucune publication n’est disponible sur les essais cliniques de Valneva™, société française, résultats attendus en septembre (4). Des discussions sont en cours avec l’UE pour l’achat de 30 millions de doses depuis janvier 2021 (5).
Valneva™ contiendra deux adjuvants, l’hydroxyde d’aluminium et le CpG 1018 (nouvel adjuvant encore jamais commercialisé).
Ces vaccins à virus inactivés n’auront-ils pas les inconvénients des autres : effet indésirables, efficacité douteuse, résistance des variants ? Pour tenter d’y voir plus clair il est utile d’analyser ce qui est publié sur le CoronaVac™, vaccin chinois à virus inactivé entier de Sinovac™.
Essai clinique du CoronaVac™ en Turquie: vaccin chinois à virus inactivé
Cet essai clinique réalisé en Turquie semble vraiment très peu fiable :
Première critique, il y a bien trop peu de participants (6646 vaccinés seulement, c’est trop peu pour détecter les Eis rares)
Seconde critique, la composition n’est pas très claire
Il s’agit d’un vaccin à virus entier inactivé adjuvanté en aluminium (0,45mg/ml ; dose de 0,5ml), cultivé sur cellules Vero, inactivé par beta-propriolactone,. On lit aussi ailleurs que l’excipient est 0,3 à 0,6 mg/ml d’aluminium hydroxyde (alors 0,45mg d’aluminium ou bien 0,3 à 0,6 mg d’hydroxyde d’aluminium ?)
Troisième critique, ce vaccin a été testé contre un « placebo » contenant l’adjuvant aluminium : ce n’est donc pas un vrai placebo.
Savoir qu’en plus Les participants du groupe placebo sont vaccinés dès que sont atteints les 40 cas de Covid dans l’essai : il n’y aura pas de groupe placebo à moyen terme.
On pourrait s’arrêter là pour l’analyse de cet essai, mais continuons…
1-Efficacité
Avant administration de la seconde dose, 0,9% des participants du groupe vaccinés ont été infectés et 1,2% du groupe placebo : il n’y aurait donc pas d’ADE (antibody dependent enhancement, aggravation de l’infection par le vaccin) si les chiffres sont fiables. 14 jours après la seconde dose, 12 Covids sont signalés chez les vaccinés contre 38 dans le groupe placebo. Ces chiffres sont faibles et les résultats ne seront pas statistiquement significatifs. Les investigateurs ont eu du mal à recruter les participants (principalement ce sont des personnels de santé)
A noter qu‘il y a eu un changement de protocole en cours d’essai : démasquage de l’essai dès 41 cas de Covid observés, les groupes placebo et vaccinés ne sont pas équivalents en nombre.
La moyenne d’âge est basse ( 45 ans), les personnes à risque peu représentées (seulement 15% d’obèses, les comorbidités ne sont pas connues pour tous les participants).
Le taux d’attaque global de la Covid symptomatique est de 1,5%, il n’y a eu aucun décès dans les deux bras de l’étude, et très peu d’hospitalisations :
Il est donc impossible de connaître la protection due au vaccin sur les formes graves et les décès.
La réduction du risque absolu d’attraper la Covid 14 jours après la dose 2 est de : 0,9% (placebo) – 0,14% (vaccinés) = 0,76%
En résumé, vu le profil des participants et l’absence de Covid grave et de décès cet essai ne permet pas de conclure sur la protection contre les formes graves et les décès.
2-Toxicité
4 personnes du groupe vacciné sont exclues pour EI (effet indésirable) après la dose 1 et 2 sont exclues pour EI grave : 6 au total contre 1 dans le groupe placebo ; ces personnes ne sont donc pas comptabilisées au final.
Il y a eu plus d’EI dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo. 6 EIs grave chez les vaccinés dont 2 reliés au vaccin (réaction allergique systémique et convulsions 43 jours après vaccin, pour cet EI on découvre ensuite un gliome infiltrant et on exclut le vaccin de la responsabilité, comme si le vaccin ne pouvait pas provoquer de gliome, voir l’article précédent sur les dangers de la spike vaccinale) et 5 EIs dans le groupe placebo qui a reçu l’adjuvant aluminium. Dans l’appendice supplémentaire, on lit page 13: 1 réaction allergique systémique, 1 encéphalite, 1 convulsion, 1 kyste ovarien dans le groupe vaccin.
En conclusion, vu le faible nombre de participants et l’apparition de ces Eis on peut craindre des Eis graves en nombre important lors de la commercialisation
3-Immunogénicité
89,7% seulement des vaccinés montent des anticorps anti-RBD (domaine de liaison de la protéine spike) et 4,4% des groupe placebo! Pourquoi ?? Les sérologies effectuées ne sont même pas quantitatives ! Quel manque de sérieux !
L’efficacité est calculée sur les Covid symptomatiques confirmées par PCR (sans mention des Ct, nombre de cycles d’amplification) : donc l’efficacité n’est pas connue sur la transmission et les Covids asymptomatiques.
L’essai a eu lieu en période de variant alpha (B.1.1.7, « anglais »), on ne connaît pas l’efficacité sur les autres variants. Des études montrent une baisse d’efficacité sur certains nouveaux variants (6) .
A noter que CoronaVac™ est l’un des principaux vaccins du programme national d’immunisation du Brésil, alors qu’ une nouvelle étude montre que les anticorps générés par CoronaVac™ sont moins efficaces contre le variant P.1 Brazil (Gamma).
CoronaVac™ au Chili, étude observationnelle
Elle a été réalisée sur plus de 10 millions de personnes. Selon cette étude la prévention serait de 87% vis à vis hospitalisation, 90% du passage en réanimation, 90% contre décès, et contre 65,9% l’infection Covid. Que ressort-il de l’analyse détaillée de cette étude (7)?
En résumé seuls les Covids symptomatiques survenant plus de 14 jours après la première ou la seconde dose sont pris en compte.
Les Covids asymptomatiques et surtout survenant dans les 14 jours après la première ou la seconde dose ne le sont pas alors que l’étude montre clairement que la première dose augmente le risque d’être infecté par rapport aux non vaccinés.
La première dose de vaccin semble augmenter le risque d’attraper la Covid, la pente de la courbe est plus forte que celle de la courbe des non vaccinés. La figure des cumuls de Covid chez les vaccinés 1 dose, les non vaccinés et les vaccinés 2 doses montre clairement que les vaccinés 1 dose ont beaucoup plus de risque d’attraper la Covid que les non vaccinés.
C’est la seule conclusion certaine qu’on puisse tirer de cet article !
La plus grande efficacité du vaccin chez les plus de 70 ans par rapport à la tranche d’âge 60-69 ans fait planer le doute sur la validité de cette étude, les plus de 70 ans ayant eu la Covid ou décédés juste après le vaccin ne sont pas pris en compte, ce qui pourrait expliquer cette bizarrerie. Pourtant, dans les 2 sous-groupes, il y a autant de % de vaccinés une dose ou 2 doses entre le 2 février et le 1er mai 202.
Cette étude ne prend donc pas en compte les risques d’ADE (aggravation de l’infection par le vaccin) qui pourraient expliquer ces résultats étranges, de même qu’on ne sait pas combien de personnes sont décédées dans les 14 jours après la première dose (par ADE ou par effets indésirables du vaccin)
- Infections Covid chez les non vaccinés = 185 633 sur 5 471 728 personnes = 3,39%
- Infections Covid 14 jours après la dose 1 = 20 865 sur 542 418 personnes = 3,85% (donc il y a plus de risque de Covid après la 1ère dose que chez les non vaccinés)
- Infections Covid plus de 14 jours après 2 doses = 12 286 sur 4 173 574 personnes = 0,3% de Covid chez les vaccinés 2 doses (efficacité du vaccin d’après ces chiffres : 3,9 – 0,3 = réduction du risque absolu de 3,6%)
Le nombre total de Covid prises en compte est de 218 784 pour mesurer l’efficacité du CoronaVac™
Mais d’après le tableau 1, le total est de 10 187 720 personnes étudiées (4 715 992 vaccinées – donc 46 % – et 5 471 728 non vaccinées) dont 248 645 qui ont été infectées par la Covid ; taux d’attaque de la Covid pendant l’étude = 2,4%
La différence 248 645 (total infectés Covid) – 218 784 (total infectés Covid pris en compte) qui est de 29 861, correspondrait donc aux cas de Covid dans les 14 jours suivant les dose 1 ou 2 (ce chiffre représente 59% des cas de Covid chez les vaccinés). On pourrait objecter que ce sont des personnes vaccinées avec Pfizer ou un autre vaccin (en effet ces personnes sont incluses dans cette étude)?
Mais alors il est impossible de trouver 92,6% d’efficacité contre le risque d’attraper la Covid pour le vaccin Pfizer™ comme mentionné dans cette étude.
19% des vaccinés ont reçu un autre vaccin que Coronavac™, ce pourcentage est cohérent avec ce qui est publié le 1er juillet dans une autre étude chilienne (8):
Au total 910 934 personnes ont été vaccinées avec Pfizer™ : 490 760 personnes ont eu 2 doses de Pfizer™ et 420 174 ont eu 1 dose pendant la période analysée.
Ces 29 861 cas ne sont pas comptés dans l’efficacité du vaccin, ils représentent 12% des cas de Covid au Chili entre le début février et le 1er mai, pendant la campagne de vaccination
Si on ajoute ces Covids dans les 14 jours après les injections aux 12 286 cas plus de 14 jours après la dose 2, on obtient 42 147 Covids chez les vaccinés CoronaVac™, ce qui donne 0,893% du total des vaccinés au lieu du 0,3% annoncés (réduction du risque absolu : 3,9% – 0,893% = 3%).
Conclusion
Ces manipulations laissent planer le doute sur les chiffres d’efficacité donnés dans cette étude : les effectifs sont déjà très faibles, de plus on nous dit que tout ceci a été ajusté d’un point de vue statistique.
Les calculs d’efficacité contre les Covid symptomatiques, Covid graves et les décès ont exclut les évènements observés dans les 14 jours suivant les doses 1 ou 2. Contrairement au tableau 1 qui nous permet d’extraire les Covids survenues dans cette période critique, le tableau 3 qui détaille les hospitalisations et les décès ne le permet pas.
Encore une suspicion très forte de manipulation qui laisse planer un doute énorme sur l’efficacité annoncée sur les hospitalisations et les décès !
La seule conclusion à tirer est que chez ceux qui ont survécu aux doses de vaccin (et éventuellement à la Covid développée dans les 14 jours après une des 2 injections), le CoronaVac™ réduit le risque d’attraper la Covid symptomatique, d’être hospitalisé ou de décéder de la Covid. Les autres (Covids, hospitalisation ou décès dans les 14 jours suivant les doses) sont comptés en pertes et profits !
Des échecs vaccinaux en Thaïlande avec le CoronaVac™ viennent confirmer ces doutes (voir addenda).
Un ADE (aggravation de l’infection par les anticorps vaccinaux) pourrait expliquer la forte proportion de Covids post-vaccinaux juste après les doses vaccinales : voir addenda (12).
Emma Kahn
Août 2021
Addendas
Echecs vaccinaux en Thaïlande avec CoronaVac™
https://www.clarin.com/internacional/covid-murio-enfermera-dosis-vacuna-china-sinovac_0_t62CtVJvR.html
13 juillet 2021
677 348 membres du personnel médical ont été vaccinés à deux doses de Sinovac/CoronaVac ; 618 ont été infectés par la Covid (0,09%)
Une personne est décédée de la Covid et plusieurs autres sont en état critique. La victime avait reçu la première dose en avril et la seconde en mai
Les experts recommandent une 3ème dose : l’immunité diminue avec le temps.
Efficacité sur les variants en Amérique du Sud :
Les principaux variants sont le Gamma (P.1 « brésilien) et le lambda (C37, sud-américain), https://covariants.org.
Au Pérou le lambda est majoritaire alors que la vaccination a été principalement menée avec Pfizer et Astra Zeneca ; au Chili où la vaccination a été menée avec le CoronaVac, le lambda semble marquer le pas : le vaccin à virus inactivé pourrait être plus efficace contre certains variants que les vaccins OGM, cependant une étude montre que le sérum des vaccinés CoronaVac neutralise moins efficacement des pseudovirus portant les mutations de la S du variant lambda, ces variants lambda sont plus infectieux en culture. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.28.21259673v1
Cette efficacité pourrait être due au fait que le vaccin cible tous les antigènes du virus et pas seulement ceux de la protéine spike (modifiée). Ce sont surtout les antigènes de la spike qui mutent (mais pas seulement).
En détail : la circulation des variants au Chili pendant cette étude (variants gamma (P.1 brésilien) et lambda (C37, sud américain) )
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.28.21259673v1
Infectivity and immune escape of the new SARS-CoV-2 variant of interest Lambda, 1er juillet 2021
Au Chili, 65,6% des plus de 18 ans sont vaccinés à 2 doses ; 78,2% de ces vaccinés ont reçu 2 doses de CoronaVac.
D’après l’étude observationnelle en question dans cet article (arrêtée au 1er mai 2021), il y avait seulement 41% de vaccinés à 2 doses à ce moment.
Circulation des variants selon covariants.org : en rose foncé le lambda, en rose clair le gamma.
Chili : la majorité des vaccinés le sont avec CoronaVac, le variant gamma marque le pas.
Pérou : la majorité est vaccinée avec Pfizer et Astra Zeneca, donc la progression du variant lambda n’est pas empêchée par ces vaccins OGM. Un essai Sinopharm (autre vaccin chinois à virus inactivé) a eu lieu au Pérou en octobre 2020 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00508-0/fulltext
Le variant lambda (C37) circule au Chili, Pérou, Equateur et Argentine, mais n’est pas dominant et semble marquer le pas, sauf au Pérou. Un essai Sinopharm (autre vaccin chinois à virus inactivé) a eu lieu au Pérou en octobre 2020 (https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00508-0/fulltext), mais la majorité des vaccins utilisés au Pérou provient de Pfizer et Astra Zeneca, donc la progression du variant lambda n’est pas empêchée par ces vaccins et ne peut être imputée, ni au Pérou ni au Chili au vaccins à virus inactivés chinois.
Les vaccins utilisés au Pérou entre février et mai :
-Commandés 1 million de doses de Sinopharm, 32 millions de Pfizer, 14 millions d’Astra Zeneca et 13 millions de Covax (Pfizer et AZ)
-Reçus : 2,75 millions de doses la majorité provenant de Pfizer, début mai
-Sont prévus 1 million d’AZ et 3 million Pfizer, 500 000 Sinopharm
(https://gestion.pe/peru/covid-19-cuantas-vacunas-de-astrazeneca-pfizer-y-sinopharm-llegaran-en-mayo-covax-facility-nndc-noticia/)
Aggravation de l’infection par les anticorps vaccinaux
Rappel, il a été montré avec des virus inactivés aussi bien qu’avec des vaccins recombinants d’importants phénomènes d’ADE (antibody dependent enhancement, aggravation de l’infection par les anticorps) chez les animaux dans les expériences d’immunisation contre le SARs-coV-1 de 2003. (Yasui et al., 2008,https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18941225, Tseng et al;, 2012, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22536382,Bolles et al., 2011, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3209347/)
Un ADE pourrait expliquer la forte proportion de Covids post-vaccinaux juste après les doses vaccinales : lorsque les anticorps sont à faible taux et faible affinité (Liu et al., 2021, Cell 184, 3452–3466 June 24, 2021 a 2021 Elsevier Inc.https://doi.org/10.1016/j.cell.2021.05.032, An infectivity-enhancing site on the SARS-CoV-2 spike protein targeted by antibodies)
Notes et sources:
(*) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2021/02/28/adjuvants-aluminiques-bravo-a-ceux-qui-savent-changer-davis/
(1) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2021/07/18/bientot-tous-non-vaccines/
(2) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2021/07/04/traitement-de-ville-de-la-covid-19-reactualisation-de-juillet-2021/
(3) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2021/07/11/novavax-bientot-un-vaccin-classique-contre-la-covid/
(4) https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-06-30/valneva-said-to-be-nearing-eu-vaccine-deal-after-talks-resume
(5) https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-002264-ASW_EN.html
(6) https://scitechdaily.com/coronavac-covid-19-vaccine-is-less-effective-against-the-p-1-brazil-variant/
(7) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2107715
(8) https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.28.21259673v1
(9) Yasui et al., 2008, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18941225
(10) Tseng et al;, 2012, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22536382
(11) Bolles et al., 2011, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3209347/
(12) Liu et al., 2021, Cell 184, 3452–3466 June 24, 2021 a 2021 Elsevier Inc. https://doi.org/10.1016/j.cell.2021.05.032 , An infectivity-enhancing site on the SARS-CoV-2 spike protein targeted by antibodies
64 Responses
Je suis en admiration devant vos analyses, pertinentes, concernant les vaccins. Nous sommes tout à fait conscients que les discussions qui ont lieu autour des études sont difficiles dans un contexte biaisé où seules comptent les études officielles biaisées elles aussi. Les instances en place utilisent des chiffres et les manipulent à volonté afin d’impressionner les gens par la peur et afin d’imposer la vaccination. Désormais, une seule chose me semble importante à expliquer: c’est que les vaccins qu’ils soient fabriqués selon la mode « ancienne » à partir du virus ou qu’ils soient des vaccins génétiques NE SERVENT A RIEN. Ils sont INUTILES. Nous ne devons pas entrer dans le jeu du gouvernement et du conseil scientifique concernant les vaccins de la covid 19. Il faut bien expliquer aux personnes qu’il n’y a aucun intérêt à se faire vacciner. Nous avons des traitements qui GUÉRISSENT à 100% cette maladie. Utilisons- les.
Petite requête: seriez-vous d’accord pour mettre mon blog en lien sur votre site. Merci de votre réponse sur mon mail.
Cette étude est presque intéressante: elle montre que les vaccins sont peu efficaces et potentiellement dangereux, même les classiques.
Des études qui n’ont jamais été faites pour les anciens vaccins, partant du fait qu’ils étaient forcément efficaces puisqu’ils montraient l’apparition d’anticorps, ce qui est un critère douteux, la véritable immunité étant cellulaire, et très peu procurée par les vaccins.
L’efficacité absolue est un dogme qu’il suffit d’affirmer sans le vérifier.
Nous tenons peut-être là l’occasion de le remettre enfin en cause, et de prouver que « les millions de vies sauvées chaque année » ne sont que du vent.
En effet, si ce petit nouveau, qui bénéficie de tellement d’expériences passées et d’un prétendu savoir-faire accumulé au cours des décennies ne fonctionne pas, pourquoi les anciens fonctionneraient-ils?
Il serait peut-être temps de demander aux anti-vaccins pourquoi ils le sont devenus…
On ne renonce pas à une pratique aussi juteuse sans d’excellentes raisons, et les antivax en savent beaucoup plus sur les vaccins que ceux qui les pratiquent sans se poser de questions (il suffit de coincer un vaccinaliste dans un coin et de lui poser deux ou trois questions pour comprendre l’étendue de son ignorance: j’ai été l’un d’eux, j’en ai honte, mais je sais de quoi je parle).
Quand je vous disais que les posts PHB sont jouissifs.
Bonjour et merci Mme Kahn et à vous tous. Peut-on prouver son immunité naturelle anti sars cov2 en faisant analyser et doser son immunité cellulaire anti sars cov2 ? Quelle est la meilleure analyse à demander pour cela?
Oui vous pouvez chercher les preuves de votre immunité mais seront-elles reconnues?
Si pas vacciné : sérologie anticorps totaux anti-spike
Mieux encore : sérologie anti protéines M,N et E de sars-cov-2-cov-2
Et aussi Elispot T cell chez Cerba
https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html
SARS CoV-2 ELISpot : un nouveau test dans l’arsenal diagnostique et vaccinal contre la COVID 19
Suite à l’infection par le SARS-CoV-2, une réponse immunitaire innée apparait rapidement au site de l’infection puis une réponse adaptative se produit dans les 6 à 10 jours. Cette réponse se divise en 2 types : l’immunité cellulaire et l’immunité humorale avec le recrutement et la multiplication de cellules spécifiques du virus.
La première est principalement médiée par les lymphocytes T effecteurs (lymphocytes T helper CD4+ et lymphocytes T cytotoxiques CD8+) tandis que la seconde est majoritairement médiée par les lymphocytes B producteurs d’anticorps. L’action conjointe de ces cellules spécifiques permet l’élimination ciblée des cellules infectées dans l’organisme et du virus circulant(1).
La réponse en anticorps n’est cependant pas toujours présente (figure1). De plus, le taux d’anticorps peut diminuer de manière significative après l’infection. Dans ce contexte, l’exploration de l’immunité liée aux lymphocytes T présente un intérêt. Ces lymphocytes T peuvent être détectés dans le sang de 2 à 4 jours après l’apparition des symptômes et perdurer 6 à 9 mois minimum.
Néanmoins, l’étude de la réponse immunitaire médiée par les lymphocytes T CD4+ et CD8+ présente un intérêt :
Dans le diagnostic rétrospectif d’une infection par le SARS-CoV-2 non objectivée par la réalisation d’une RT-PCR en aigu chez les patients présentant une sérologie négative ou douteuse. Cette situation est observée principalement chez les patients ayant développé une forme pauci ou asymptomatique de l’infection(3) .
Chez ces patients infectés séronégatifs, la sensibilité de l’ELISpot est de 50% à 80%
Prix fixe : 200 € (Hors Nomenclature)
Je pense avoir eu la COVID en février 2020, mais rien de sur, combien de temps après peut on faire l’analyse pour savoir si l’on a les anticorps ou pas ?
Merci
Bravo mille bravissimo pour ce remarquable travail de bénédictin
Bravo Emma je suis très admiratif devant ton analyse et tes conclusions !
Dommage que Véreux et le Pr Pfizer Monsieur vaccin ne te lisent pas !’
Quoique !!
Coucou,
Merci Emma,
Pfizer et Moderna ont augmenté le prix de leurs vaccins contre le coronavirus dans le cadre des derniers contrats d’approvisionnement de l’Union européenne, rapporte dimanche le Financial Times.
Le nouveau prix d’une dose de vaccin Pfizer se monte désormais à 19,50 euros, contre 15,50 euros précédemment, ajoute le journal britannique, citant des passages des contrats qu’il a pu voir.
Ce nouveau tarif représente une augmentation de plus de 25%.
Selon le FT, qui cite un officiel proche du dossier, le prix du vaccin Moderna ressort pour sa part désormais à 25,50 dollars la dose, bien plus que les 19 euros du premier contrat mais moins que les 28,50 dollars convenus auparavant parce que le volume de la commande a augmenté entre-temps.
https://www.lindependant.fr/2021/08/01/covid-19-pfizer-et-moderna-augmentent-le-prix-de-leurs-vaccins-en-europe-9708248.php
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De mon côté, beaucoup craquent et prennent rendez vous. Même ceux qui semblaient les plus rétifs!
– Ouais, tu sais, mon grand père était résistant, les chiens ne font pas de chats, bla bla bla …….
Ce n’est pas faute de les avoir avertis, informés, le matériel est bien plus séduisant, et prend le dessus.
Bien a vous toustes,
« En résumé seuls les Covids symptomatiques survenant plus de 14 jours après la première ou la seconde dose sont pris en compte. »
C’est certainement une clause très importante qui permet de masquer, d’éluder même, pourrait-on dire, une partie essentielle du problème. A savoir que la vaccination pourrait favoriser l’apparition de la maladie dans les 2 semaines qui suivent cette vaccination. « Ils » se dispensent ainsi d’étudier le problème !
Cela rappelle ce qui s’est produit avec la vaccination antivariolique qui, chez des personnes contaminées ou qui allaient l’être, aggravait la variole chez les non immunisés et la provoquait chez ceux qui l’auraient évité grâce à une ancienne vaccination ou une ancienne variole. En effet, la maladie apparaissant dans les jours qui suivaient la vaccination, il était facile de soutenir que c’était parce que la vaccination n’avait pas eu le temps d’agir. Ces cas, nombreux, étaient donc mis sur le compte d’une vaccination trop tardive alors que c’était la vaccination qui les provoquaient. Il faudra attendre les expérimentations sur des singes (2005-2008) pour que les yeux des experts s’ouvrent enfin. Mais motus et bouche cousue pour le public.
Merci Emma Kahn pour votre contribution au débusquage des tromperies que recèle cette « étude » dont la nocivité est en corrélation avec l’objet étudié…. Malgré tout ,les prêtres aiguilleurs de la bonne citoyenneté continuent leur travail de stérilisation et fossilisation des des corps et des esprits…https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-la-federation-hospitaliere-veut-rendre-le-vaccin-obligatoire-pour-tous-4436081.php Heureusement, l’image des résistants n’est pas si terne….mais cela ne doit pas rester au stade de la » triste consolation « . …https://pjmedia.com/news-and-politics/rick-moran/2021/07/17/mit-study-vaccine-hesitancy-is-highly-informed-scientifically-literate-and-sophisticated-n1462591
Voici, pour compléter mon précédent commentaire, comment en 1870, les experts chargés de conseiller les autorités, présentaient le problème posé par les varioles apparaissant peu après une vaccination :
« Ici se place un scrupule. En vaccinant ou revaccinant certaines personnes pendant le cours d’une épidémie dans le foyer de laquelle elles se trouvent, de les exposer par cela même à contracter la maladie.
Je crois que cette crainte est chimérique. Si la variole vient à se déclarer pendant l’incubation du vaccin s’est plutôt à l’influence épidémique qu’à la perturbation apportée par le vaccin qu’il faut attribuer le fait.
En tout cas ni la vaccination ni la revaccination ne sauraient aggraver l’état de l’individu soumis à la double influence du vaccin et de l’épidémie. »
Par le Dr Jules Bouteiller qui était, entre-autres, président de la société de médecine de Rouen et médecin en chef des épidémies. Il présentera au congrès médical de Lyon, en 1872, un mémoire sur les épidémies de variole qui venaient de ravager la France. Ce document est aujourd’hui en ligne aux archives de la Bibliothèque nationale.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54513154
Un seul mot MERCI
Quel boulot Emma ! Quelle abnégation pour nous fournir toutes ces informations et documents. Un grand merci.
Pour moi troisième Samedi de manifestation anti pass sanitaire et anti obligation vaccinale.
Merci à l’auteure, car l’article m’a interrogée sur la manière dont il faut tester les vaccins. En effet, j’ai été surprise par le groupe « placebo » adjuvanté, et ai donc cherché dans la littérature scientifique ce qui justifiait un tel choix. Et si la notion de placebo me paraît fausse, dans la mesure où un adjuvant ne constitue pas stricto sensu un excipent (un excipient est par définition dénué d’action pharmacologique, alors que l’adjuvant, ayant un rôle de moduler une fonction physiologique rentre de facto dans la définition du médicament et donc du principe actif), les recommandations pour l’évaluation tant préclinique que clinique indiquent clairement qu’il faut tester une valence vaccinale contre un tampon adjuvanté (https://www.fda.gov/files/vaccines%2C%20blood%20%26%20biologics/published/Guidance-for-Industry–for-the-Evaluation-of-Combination-Vaccines-for-Preventable-Diseases–Production–Testing-and-Clinical-Studies.pdf)
En cela, l’essai clinique est conforme à la règlementation en vigueur.
Quelques remarques sur le reste de l’article :
– OGM veut dire ‘organisme génétiquement modifié’, donc les vaccins à ARNm, ne contenant aucun organisme, ne rentrent pas dans la définition d’un OGM. Je ne reparlerai pas du fait qu’ils ne contiennent pas non plus de principe actif de nature à modifier le génome car je connais votre position et ne pense pas qu’argumenter vous fera changer d’avis à ce sujet.
– Pour le reste, un point où nous sommes d’accord, je crois (c’est une opinion), comme nous l’avions d’ailleurs discuté dans un précédent billet de blog, que le vivant inactivé, présentant toutes les protéines virales, dont certaines avec des analogies structurales avec des protéines du soi, est plus à risque que le vaccin ARNm à spike de favoriser l’émergence de syndromes auto-immuns, et à ce titre je crois qu’il est moins souhaitable.
– Pour le reste, le variant delta, s’il est effectivement bien moins pathogène, réplique avec une efficacité environ mille fois supérieure à celle de l’alpha (https://virological.org/t/viral-infection-and-transmission-in-a-large-well-traced-outbreak-caused-by-the-delta-sars-cov-2-variant/724) ce qui fait surtout craindre l’accélération de l’émergence de nouveaux variants, qui peuvent être plus pathogènes, ou pas du tout d’ailleurs, c’est comme toujours, la loterie.
– Votre hypothèse de gliome post-vaccinal n’est pas étayée. Vous vous basez sur un de vos billets de blog, sans fondement scientifique. 43 jours pour développer une tumeur cliniquement significative ? Les derniers travaux sur le sujet ne vont pas du tout dans ce sens (https://www.nature.com/articles/s41467-020-17186-5)
– Enfin, pour les ADE, ça ne fonctionne pas dans ce contexte, puisque les vaccinés à deux doses, donc ‘boostés’ feraient alors plus de covids que les primovaccinés, ce qui n’est pas le cas.
Au plaisir de vous lire
Philippine.
AUTO-IMMUN est un terme collabo. Les résistants diront XÉNO-IMMUN.
IMMUN tout court pour les scientifiques mous [mais qui n’absolvent pas systématiquement les pharmas sans scrupules : 1’000 médicaments sont déjà à la fois inutiles et néfastes (Evin et Debré, les 4’000 médicaments)].
« Enfin, pour les ADE, ça ne fonctionne pas dans ce contexte, puisque les vaccinés à deux doses, donc ‘boostés’ feraient alors plus de covids que les primovaccinés, ce qui n’est pas le cas. »
Pour ma part, je ne suis pas convaincu, et ce depuis de début, que ce soient les anticorps qui soient à l’origine de ces covids observés peu de temps après une vaccination. covid.
L’hypothèse des anticorps facilitateurs s’appuie sur l’exemple de la dengue ou plutôt des dengues. Cela commence à être bien connu. Mais il y a l’exemple de la variole qui est beaucoup moins connu et même ignoré. On a observé dès le 19è siècle de nombreux cas de variole très graves se manifestant dans les jours qui suivaient une vaccination.
Cela agita beaucoup les experts comme en témoigne mon commentaire du 1er aout 22h05. L’explication que l’on peut proposer ne peut être liée aux anticorps car alors le phénomène pourrait se produire, comme pour la dengue, plusieurs mois ou années après la vaccination. La bonne explication est sans doute dans la rencontre entre les 2 virus sauvage et vaccinal, ce dernier ayant conservé la capacité de se répliquer (d’où la fameuse pustule vaccinale). D’ailleurs la souche de vaccin antivariolique MVA (virus Ankara modifié) obtenue après 530 passages sur embryon de poulet (de mémoire), a perdu la capacité de se répliquer et, selon les expérimentations animales conduites par Earl (2008), ne manifeste plus cet effet sur les singes testés.
Fort de ces données sur ces vaccinations antivarioliques et du fait qu’il s’agit d’expliquer les covids post vaccinaux, la situation parait plus proche de celle de la variole que de celle de la dengue. C’est pourquoi je n’étais pas tenté de retenir les anticorps qui subsistent plusieurs mois plutôt que la rencontre du virus porteur de la protéine spike avec la protéine spike apportée ou produite par la vaccination. C’est une simple hypothèse de ma part mais d’autant plus tentante que cette protéine est le fer de lance du virus.
S’il fallait tenter d’expliquer le fait que les covids post vaccinaux seraient surtout après la première vaccination, comme affirmé par Philippine on pourrait suggérer que l’immunisation acquise par la première injection réduirait l’importance de cette rencontre.
Quoi qu’il en soit, je n’ai jamais adhéré à cette hypothèse des anticorps facilitateurs comme explication valable. Mais je ne suis que mathématicien !
Je ne suis ni médecin ni mathématicien… Auriez vous la gentillesse de m’indiquer où est l’entourloupe de ce qui me semble être du substrat de mauvais slogan? https://modelisation-covid19.pasteur.fr/evaluate-control-measures/impact-partially-vaccinated-population/
@ 11. BG du 2 à 14:53
Je me disais aussi…
Bel article de : https://anthropo-logiques.org/a-tous-les-gens-raisonnables-et-tres-intelligents-qui-sindignent-devant-ceux-qui-ne-veulent-pas-se-faire-vacciner/
pour ceux qui n’ont pas compris…
Lorsque tout semble aller contre vous,
souvenez-vous que les avions
décollent toujours face au vent.
Henry Ford
Tout à fait Raymonde car le vent opposé devient porteur. La situation actuelle offre aussi une possibilité beaucoup plus grande d’écoute. En 2017 les manifestations contre les 11 vaccins obligatoires n’avaient pas vraiment fait recette.
Ceux qui prônent la vaccination pour eux-mêmes et les autres ont-ils conscience que ce ne sont pas seulement 2 vaccinations à 3 semaines d’intervalle, mais une troisième 6 mois plus tard puis une quatrième 1 an plus tard puis une nouvelle tous les ans.
« Une seule solutions, la vaccination » entend on de partout. Une seule après avoir éliminé toute possibilités de soigner les malades dès le début de la maladie. Le mot d’ordre est « ne rien faire sauf du Doliprane avant d’avoir des difficultés à respirer ». « Inutile de me déranger dises les médecins, faites le 15 ». Authentique !!!
Pourtant il y a plein de choses à faire pour soutenir l’organisme dans sa confrontation avec le virus, plein de choses. « Non, y’a pas d’traitement ! » Vraiment ? Le premier scandale est là, « y’a pas d’traitements »
https://youtu.be/zQfuweQYU5U
PR Alexandra Henrion Caude. Beaucoup de gravité.
vidéo supprimée car ne respectant pas le règlement de la communauté YouTube …
Grand merci à E.K., évidemment, même si j’ai grand mal à la suivre.
Merci aussi à Philippine (du 2 à 13:56) de nous démontrer que la réglementation est faussaire en recommandant un ‘placebo’ « adjuvanté », c’est à dire empoisonné à l’aluminium dans l’espoir incertain de provoquer des anticorps (dont il reste d’ailleurs à démontrer l’efficacité et la spécificité anti-covid. N’essayeraient-ils pas tout simplement de contrer l’aluminium ?)
Je commence à en avoir plus qu’assez de me faire inonder de fausse science par des ‘réglementations’ scientifriques (oukases corrompus) pour m’impressionner et me faire admettre des magouilles patentes.
Ce qui nous intéresse nous, les bipèdes d’expérience, car il s’agit tout de même de notre corps à nous, hein, c’est que l’on COMPARE DES vacciNÉS à des NON-empoisonNÉS, tout-venants, quoi, sans même une piqûre de sérum physiologique (car la piqûre, elle-même, comporte des effets indésirables (tous les piqueurs et spikeurs le savent bien). Quelqu’un, ici, a-t-il quelque chose contre cette exigence de rustre ?
Cela va d’ailleurs avec son emploi de l’épithète-traître d’ ‘‘auto-immun’ pour un effet indésirable. On dit XÉNO-IMMUN (4e édition), Madame, pour éviter d’accuser (manie industrielle) l’organisme du malheureux au lieu de pointer (horreur !) le xénobiotique (étranger à la vie) industriel qui l’empoisonne, comme toutes ces saloperies appelées benoîtement ‘adjuvants’ sélectionnées pour leur neurotoxicité maximale, l’aluminium et le mercure étant même recordmans pour (7e édition) leur ténacité cumulative (probablement due à la liposolubilité de leurs composés ou métabolites).
Non, en fait il s’agit bien d’auto-immunité, même si je comprends tout à fait la dissonance cognitive que le terme provoque lorsque l’on a l’industrie pharmaceutique en horreur.
Le terme ne vient d’ailleurs pas de l’industrie pharmaceutique, mais de la biologie fondamentale.
La spécificité de l’anticorps auto-immun existe avant l’infection, ou l’inoculation de virus. Simplement, le lymphocyte mature naïf n’ayant pas été activé, cette spécificité est l’apanage d’un ou de quelques dizaines de lymphocytes circulant dans le système lymphatique et sanguin. Jusqu’à ce qu’il rencontre quelque chose qui l’active. C’est ce qui se passe par exemple dans les diabètes auto-immuns. La proximité entre certaines protéines du Coxsackievirus avec des protéines membranaires des cellules à insulines sur les ilots de Langerhans du pancréas, couplé à l’activation immune qui se produit lors de l’infection virale va favoriser l’activation, la différenciation et la mise en mémoire de lymphocytes qui étaient jusque là dormants, mais pré-existants, et auto-réactifs, c’est-à-dire stricto sensu, dont la spécificité les rend de nature à lier des antigènes du soi.
Au plaisir
Philippine
C.Q.F.D., merci.
Juste pour ceux qui n’auraient pas compris la technqiue !
« Juste avant la conférence de presse en direct : (ne sachant pas qu’ils sont déjà filmés), le préfet de la Guadeloupe ordonne la consigne à la directrice de l’ARS :
« On adopte un ton GRAVE et CATASTROPHIQUE »
https://www.facebook.com/stephane.dupont.395/videos/938059100073905
en flagrant délit !!!
Hier j’ai encore entendu, pour la nième fois qu’il faudrait rendre obligatoire la vaccination pour les personnes à risque élevé de faire une forme grave si elles sont contaminées.
SI, vous avez bien entendu SI … C’est une probabilité conditionnelle comme on dit dans le jargon. Mais quelle est la probabilité de faire une forme grave ? C’est le produit de cette probabilité par la probabilité d’être contaminé, ce qui change tout !
Si j’ai une probabilité égale à 1 de faire une forme grave SI je suis contaminé et que j’ai un risque de 1 sur 1 million d’être contaminé au cours de cette pandémie, la probabilité que je fasse une forme grave sera de 1 sur 1 million. Autrement dit elle sera très faible.
Par contre, si j’ai un risque de 1 sur 1000 de faire une grave réaction au vaccin et que je suis obligé de ma faire vacciner (probabilité d’être vacciné égale à 1), la probabilité que je fasse une réaction grave sera 1 sur 1000.
Mais allez expliquer ça à des médecins de télés et à des journalistes de télés …On est sur la planète des singes, vous savez ce film où quelques humains se retrouvaient sur la Terre dirigée par des singes. Plus les humains se montraient humains et plus ils étaient battus, torturés par des singes qui, oubliés par l’Evolution, ne pouvaient accéder à des valeurs plus hautes.
🙂
https://twitter.com/Carterj37919661/status/1422268491994968068
https://twitter.com/lordvanvan/status/1422892333708808192/photo/1
Avant ce coronacircus, les « cas » asymptomatiques s’appelaient des « bien-portants » !
Le gouvernement et les médias ne parlent que de taux d’incidence de « cas positifs », ce qui ne saurait définir une épidémie, puisque d’une part les tests RT-PCR n’ont pas vocation à poser un diagnostic, et que d’autre part les asymptomatiques positifs (donc non-malades) sont compris dans ces chiffres, ce qui est une situation inédite, et une utilisation frauduleuse de cette technologie qui a fabriqué cette pandémie.
Auparavant, pour la grippe, et encore aujourd’hui, le seuil épidémique est fixé 175 cas d’IRA (Infections Respiratoires Aigües) pour 100.000 habitants, donc de personnes symptomatiques qui ont consulté.
Bulletin du Réseau Sentinelles semaine 30:
La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).
En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s30), le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale a été estimé à 56 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [44 ; 68]). Ce taux est stable par rapport à la semaine 2021s29 (données consolidées : 51 [42 ; 60]).
…
Surveillance de la COVID-19 :
La semaine dernière (2021s30), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0%, 38% et 22%, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.
Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 19 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [14 ; 24]), ce qui représente 12 376 [8 960 ; 15 792] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.
https://www.sentiweb.fr/france/fr/?
En Corse :
la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de infection respiratoire aiguë (ira) [ toutes causes confondues COVID-19, GRIPPE et autres virus respiratoires ] vus en consultations de médecine générale a été estimé à 90 cas pour 100 000 habitants IC 95% [0 ; 182].
Taux d’incidence Incidence Corse 90 [0 ; 182] 308 [0 ; 623]
https://www.sentiweb.fr/corse/fr/
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Et c’est avec ces chiffres faibles ** 19 cas pour 100 000 habitants en semaine 30, 14 en semaine 29, 4 en semaine 28) ** que l’on continue de nous mener en bateau, de pourrir la vie des français, et de les forcer à se vacciner contre une pathologie d’origine incertaine, plus que probablement apparue suite à un échappement d’un laboratoire (celui de Wuhan, ou celui de Fort Detrick ?), bref non pas une maladie, mais une « pollution biologique »…
Et puis comment prouver l’efficacité d’un vaccin contre une maladie pour laquelle les porteurs sont assez rarement malades, rarement hospitalisés et très rarement décédés ?
Cela fait 2 jours que j’hésitais. J’espère qu’Emma ne prendra pas mon espèce de vulgarisation comme un désaveu de son magnifique travail de bénédictin. Viens d’écrire le contraire et je crois qu’elle sait mon estime.
Moi, mon boulot, c’est d’être avant tout compréhensible [normalement la moindre des politesses, y compris dans le domaine pompeusement appelé scientifique (alors qu’il ne s’y agit que de vocabulaire et des 4 opérations)]. Je dis compréhensible c’est-à-dire des gens de mon peuple, simples (gibiers trop crédules de prédateurs richissimes aux innombrables cabinets d’invention d’emberlificotements intéressés]. Regarder Raoult, tout ce qu’il a trouvé (le premier, hein) simplement en étant humain (comme Kousmine 1980-87). C’est pour cela et par jalousie que les susnommés l’ont promu ennemi public et charlatan (qui a tout de même fait condamner Rafffi et inculper Karine Lacombe, cette sainte Nitouche publiée comme par hasard sur des pages dans ‘La Croix hebdo’. « D’abord ne pas nuire », non mais, je vous demande un peu ! c’est elle, la nuisible, et de bénitier, les pires, parole de fils de jèzes qui les révère).
Alos voilà : NON l’efficacité d’un quelconque vaccin (encore à me démontrer, si l’on ose m’affronter tout seul et tout mouillé) n’est pas liée à un nombre d’ANTI-CORPS (3 G€ de C.A. et bouteille à l’encre afférente) mais uniquement aux nombres de MORTS (et de morts toutes causes comprises, seule chose indiscutable) comparés entre vaccinés et non-vaccinés.
Comparer par maladies, c’est imdémerdable (terme propre) en raison du fric et de l’imagination insondable des innombrables cabinets de fabricants industriels du doute.
Et si l’on ne trouve pas de différence suffisante entre les nombres de morts toutes causes confondues, c’est que le vaccin en question est INUTILE et TRÈS NOCIF (notamment à cause de l’aluminium qui devrait être notre ennemi à tous. Cela fait 3 ans que je le braille à tous vents et sur tous les tons, soigneusement gradués, à l’Aimsib).
l’Aluminium est HYPERNEUROTOXIQUE et CUMULATIF par LIPOSOLUBILITÉ supposée (hub) de son oxyde au moins spontané. Hub qui vous parle, a vu disparaître à vue d’œil, dès la sortie du bâti à vide de déposition (en technologie micro-électronique), de minces couches d’aluminium, par successivement oxydation à l’air, hygroscopie, liquéfaction-dissolution à l’air normalement humide. L’arsenic fait cela aussi mais me suis abstenu de le vérifier en raison de la toxicité suraiguë de l’hydrogène arsénié (à craindre dès la moindre acidification). À propos (100 articles photocopiés), ce dernier tue par immunotoxicité, le cœur réduit à l’état d’éponge par les macrophages qui ne font que leur devoir de chasseurs de protéines non-soi : devenues telles par liaisons covalentes avec As. J’entends d’ici le chœur des vierges entonner l’hymne irrépressible à l’auto-immun pour absoudre un XÉNO-IMMUN qui crève les yeux)]. La liposolubilité de l’alumine n’est pas chiffrée, elle. En effet, l’Inrs, captif du Medef car ‘paritaire’, ne veut pas (lettre 1990) et ne voudra jamais, déjà raconté ici. Citoyens, à vos poches. Le labo du coin ne trouve pas d’aluminium dans une solution saturée de l’oxyde spontané ci-dessus… Il faudrait joindre un labo allemand. Ils le font, eux).
L’aluminium, XÉNOBIOTIQUE (étranger à la vie) hyperneurotoxique a remplacé le phosphate de calcium (que nous avons, lui, déjà dans nos os) absolument sans aucun danger et à peine 4 sous plus cher que cette merde d’Al encensée par les chauffeurs de climat. Le (PO4)2 Ca3 (moi aussi je peux charabier, diaphoriusser avec des termes barbares superfétatoires) est un brevet institut Pasteur du temps où il veillait à la santé des gens, c’est à dire avant l’année, 1954. Là, dans les journaux, il a traité Neveu de charlatan pour protéger ses chers FUTURS vaccins ‘contre’ toutes les maladies infectieuses. Neveu (évidemment banni de Pubmed) en guérissait déjà de nombreuses sortes avec du simple chlorure de magnésium à 2 € les 20 g. Les seules choses que l’institut Pasteur protégeait et protège depuis lors, c’est, conformément à son nom, les vaccins et le C.A. de leurs fomenteurs.
Pourquoi seulement en nombres de MORTS ? Parce que c’est (malheureusement, dirait le Corse de service) le seul moyen de couper court à la logorrhée des ergoteurs professionnels : les discussions, toujours interminables et donc démobilisantes (ce qui est l’objectif principal) sur les différentes sortes de maladies évitées ou provoquées ne servant que d’enfumage (sauf chez Mawson ar, Ray bd & al 2017 aux USA pour les 6-12 ans). Moyennant quoi le groupage imposé des vaccins par 3 puis 5 puis 7 par nos ministres-médecins pour des bébés, leur reviendra dans la gueule avec usure [par composition multiplicative des risques (comme ma trouvaille argon + radon : les toxicités composées sont soigneusement ignorées ou tues) et non pas seulement additive (comme les empoisonneurs industriels et leurs séides s’efforcent de nous le faire croire), voir Mogensen ar, Ray bd & al & Aaby 2017 cité 4 fois ici (faut que je mette ‘op.cit.’ pour faire suffisamment sérieux ?) sans aucune réaction : le DTCoq Bill Gates multipliant par 10 la mortalité toutes causes confondues des bébés a priori bien portants (mamans célibataires écartées pour risque de malnutrition) de Guinée Bissau.
Ah, l’alumine, hyperneurotoxique non liposoluble… Car en effet si c’était le cas, alors votre première papillote de pois(s)on serait votre dernière !
La liposolubilité est évaluée par le ratio de quantité double dans l’octanol sur la même chose dans l’eau. Un produit est dit bioaccumulable en ecotoxicologie lorsque le facteur de liposolubilité est supérieur à 1000 (log P >3).
Pour le methylHg+, on est à 2500 environ, il s’accumule bien dans les graisses. L’alumine à un ratio de l’ordre de 8, elle s’accumule à peine 8 fois plus dans les graisses que dans l’eau, bien loin des 1000x nécessaires à la qualifier de bioaccumulable…
Enfin, pour parler avec des facteurs bruts de survie, l’espérance de vie n’a pas reculé depuis que l’alumine est utilisée comme adjuvant… Il vous manque une hécatombe pour valider votre hypothèse.
Ah et immunologiquement parlant, le vaccin hexavalent contient environ 800 fois moins d’antigenes que les premières générations de monovalents… Et le système immunitaire ne connaît pas la classification des micro organismes, donc ça fait moins d’alumine à utiliser, moins d’injections et moins d’immunostimulations…
Au plaisir de vous lire
Philippine
Ah, enfin, vous jetez le masque pharma avec vos termes vagues faussement savants (bioaccumulation, notion typiquement pharma : tant qu’on ne tombe pas raide sur place), raisonnements foireux indéfinissables repeints en scientifiques, définitions fausses (solubilité dans l’octanol au lieu de l’huile d’olive) tant d’efforts pour défendre leur aluminium chéri au lieu de faire droit, pour 4 sous, à la demande générale concernant les vaccins (pour ceux qui y croient encore) et non sur vos papillotes : là les mordus ont le papier sulfurisé. Enfin tout à l’avenant.
Votre but second est de nous faire perdre notre temps sur tous sur vos discours filandreux pour déguiser des positions essentiellement de force. C’est bien ce que je dis : la doute, production industrielle essentielle.
Je ne m’étais pas trompé. Vous avais bien reconnue dès votre premier post, comme je le marquais sans manquer à la décence en cours ici. Vous avez tout à fait raison : pas d’hécatombe (et encore les pharmas nieraient comme dans toutes les études captives) seulement un doublement moyen des diverses maladies dégénératives incurables tous les 15 ans. Et ça, c’est à sauvegarder absolument car c’est ça qui fait flamber les chiffres d’affaire.
Mon objectif atteint, je ne vous répondrai plus. Ma parole a suffisamment discrédité la vôtre.
Et en prime on lui offre
https://www.aimsib.org/2019/08/23/professeur-romain-gherardi-et-laluminium-vaccinal-quand-la-science-avance-a-pas-de-geants/
Comme ça elle ne cherchera plus à assimiler l’aluminium microparticulaire injecté à celui de ses papillottes…
Merci du coup d’épaule, cher Docteur Vincent, mais, vous verrez, cela ne l’empêchera pas de continuer à faire l’intéressante pharma.
Toutes mes excuses si je vous ai froissé, j’ai mal lu l’intitulé de votre association apparemment…
L’ecotoxicologie n’est pas une discipline pharmaceutique, et ne concerne pas que les organismes qui consomment de l’huile d’olive, dont la teneur en lipides varie d’ailleurs énormément en fonction de la technique d’extraction que l’on applique, ce qui en fait un très mauvais modèle.
Mon « but », comme ça vous le connaitrez, était (est) de nourrir une réflexion sans parti pris en venant ici débattre avec des gens que j’espérais bienveillants et un peu scientifiques ou au moins avec un goût pour les sciences de la vie, et ayant un avis a priori different du mien.
Choisissez de ne plus vous occuper de mes commentaires, ça me va foutument bien. Vous prétendez avoir réagi avec classe en me traitant de pute (cf « votre petit macro » )? J’ai une autre définition de ce qu’est la classe.
Au plaisir de vous lire le moins souvent possible
Philippine
Qui que vous soyez je veux vous dire que si une insulte s’est glissée dans un commentaire c’est qu’elle a échappé à la vigilance des modérateurs, je vous présente nos excuses alors, au nom de toute l’association.
Bonjour à Tous.
Akira commençait en fait à me manquer.
Bienvenue à Philippine pour nous expliquer la « vrai vérité » celle de cette science formidable qui a tout compris sur tout et qui est capable de l’expliquer via un langage certes un tantinet abscons, mais formidablement rassurant.
Ne doutez pas braves gens, le moyen age de la connaissance est loin derrière nous, si le complexe Médico-Industriel le dit, nous n’allons pas chipoter pour deux ronds.
Ah, si, peut être préciser qu’il faut éviter le jus de poissons en papillotes en intramusculaire, mais ça, c’est un détail.
Cordialement.
@ Philippine « le vaccin hexavalent contient environ 800 fois moins d’antigènes que les premières générations de monovalents… »
Bonjour, si j’ai bien compris l’adjuvant permet de réduire la quantité d’antigènes… pour un niveau équivalent d’efficacité je suppose, ce qui serait tout bénéf pour l’industrie, en termes de coûts et de productivité, car produire des antigènes cultivés sur cellules Vero, ou autres, cellules MRC-5 type fibroblastes embryonnaires humains, ça prend du temps, et comme ne peut l’ignorer pas la science, le temps c’est de l’argent…
On pourra bien sûr prétexter l’urgence de produire les vaccins…
Le Pr Jean-Bernard Fourtillan pose la question adjuvant aluminium plus simplement avant même d’aborder celles de toxico-cinétique, de sa neurotoxicité (cf Chris Exley grand spécialiste mondial) , et d’aller ensuite jusqu’à prescrire d’en exclure totalement l’usage.
Il a simplement relevé comme point de départ de son analyse pharmacologique, que les doses utilisées dépassaient la norme pourtant édictée par la FDA (Minimal Risk Level fixé à 1 mg d’aluminium par kg de poids corporel et par jour, dans l’alimentation…), reprise par l’OMS, tant pour les pansements gastriques, que pour les vaccins, ce qui pose évidemment un problème à la fois scientifique, éthique et juridique. https://valentonine.fr/fr-fr/explications-aluminium.html
Tout cela laisse penser que la nébuleuse « big pharma » et tous les ruissellements scientifiques, médicaux, politiques, qui gravitent autour et en découlent, préfèrent garder la tête dans le sable pour ne pas voir la fraude à cette règle… et ne pas opter pour une autre orientation, qui existe pourtant, les vaccins adsorbés sur phosphate de calcium sur lesquels la France a une grande expertise…
https://www.agoravox.fr/commentaire5248662
Bien à vous… au plaisir de vous lire
@Philippine
Croyez bien à vous lire que je pense sincèrement que vous essayez tant que faire se peut d’être intellectuellement très rigoureuse au regard de vos connaissances scientifiques, et respectueuse des opinions exprimées ici,..
J’essaie à mon modeste niveau d’être un peu du même tonneau, bien que n’ayant pas toutes vos connaissances universitaires, dont certaines très précieuses en références, sans liens d’intérêts immédiats avec l’industrie pharmaceutique, pas forcément comme actionnaire, mais comme salarié (?).
Ce serait clair pour tous les lecteurs de ce site, en respectant comme il se doit votre anonymat (pseudonymat), sans désavouer vos connaissances (peut-être stratosphériques par rapport au commun des mortels), et opinions constructives, et les respecter comme il se doit, ce qui serait un minimum syndical de confiance entre nous et votre participation sur ce site, que vous nous éclaireriez sur ce point, que vous seriez étrangère à des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, ou pour le moins de nous indiquer « votre distance » par rapport à ceux-ci.
Toutes les critiques (au minimum structurées) participant à promouvoir l’idéal affiché de cette association Aimsib, ne pourraient qu’être les bienvenues…
Au plaisir de vous lire encore chaque fois que vous souhaiteriez sur un sujet ou un autre intervenir et enrichir le débat…
Sauf bévue de ma part, c’est le but de ce blog / forum
Bien à vous, au plaisir de vous lire…
njama
C’est beau un modérateur poli…
Bonsoir,
Merci pour votre réponse. Je ne compte pas exposer ce qu’il ressort de mon analyse des liens que vous m’avez fournis @njama, car je pense sincèrement que ça n’intéresse personne ici. Néanmoins leur étude va alimenter ma réflexion, et pour ça je vous remercie.
Je n’ai cure de savoir qui vos collègues pensent que je suis. Quand bien même je répondrai, que je serais accusée de mentir. Qu’ils pensent ce qu’ils veulent, un bon argument n’est rien s’il a besoin du CV de son auteur pour exister
J’ai eu en rentrant dans ce que j’espérais être un débat constructif plus d’injures et de sous entendus haineux que dans le reste de mon parcours, et me contenterai d’observer de loin les échanges qui ont cours ici, soyez tranquillisés à ce sujet.
Philippine
« Il s’agit d’un vaccin à virus entier inactivé adjuvanté en aluminium (0,45mg/ml ; dose de 0,5ml), cultivé sur cellules Vero, inactivé par beta-propriolactone,. On lit aussi ailleurs que l’excipient est 0,3 à 0,6 mg/ml d’aluminium hydroxyde (alors 0,45mg d’aluminium ou bien 0,3 à 0,6 mg d’hydroxyde d’aluminium ?) »
Si le Coronavac contient autant d’adjuvant aluminium, c’est à dire entre 1,5 mg et 3,0 mg / dose, ce niveau dépasse le seuil toxique fixé par la FDA (dose minimale toxique de l’aluminium dans les vaccins : 0,01 mg / kg de poids corporel)
A toutes fins utiles pour faire valoir ce que de droit le Certificat d’expertise de l’aluminium et sa justification établi par le Pr Fourtillan en novembre 2019 à télécharger en bas de page http://www.verite-covid19.fr/
@ Daniel Bardou du 5 à 15:43 \\ 4 à 22:21 \19:08
Merci, Monsieur, pour chacun de vos termes.
Merci Njama (6/1.8 à 15:18) de confirmer ce que j’écris depuis 10 ans à savoir que l’aluminium (hypertoxique et cumulatif) dans les vaccins (où il a enfin été indiscutablement incriminé par des Chinois) ne sert qu’à faire des économies sur la substance active. Vous êtes la première. Merci énormément.
Quant à ces fameuses substances actives, aucune n’a jamais démontré un quelconque intérêt en matière de bénéfice allégué/risques, bien sûr en MORTALITÉ TOUTES CAUSES CONFONDUES (l’indicateur le plus robuste comme ne l’avouent jamais ses propagandistes).
Pour compliquer encore les choses, les vaccins les plus suspects ne se trouvent plus guère que groupés. Pas de chance, ils alourdissent alors leur dossier en raison de la mutiplicativité (pas du tout additive, encore du bourrage de crânes) des toxicités.
Exemple, mortalité (toutes causes confondues) décuplée par le DTCoq Bill Gates en Guinée Bissau (Mogensen s.w., Andersen a., [……], Aaby a., 2017, 7 p).
Simplement, puisque les pharmas font tout ce qu’ils veulent, ils changent de vaccin suffisamment souvent pour que les épidémiologues aient généralement le prétexte de ne rien trouver de « significatif » (encore une arnaque pour glisser des morts sous le tapis bruissant de la logorrhée pseudoscientifique de ces vendeurs de poisons aux gouvernements complices).
Merci à Emma K, une fois de plus pour ses articles très documentés, tout le travail qu’ils supposent, lesquels ne prétendent pas je pense vouloir faire une lumière absolue sur les phénomènes virologiques, immunologiques, épidémiologiques, … complexes comme chacun sait au point que nos « scientifiques experts » (de plateaux TV souvent) souffrant de myopie (ou de bon sens ?, d’un manque d’observationnel sur le terrain ?) en viennent pour certains à avoir besoin de modélisations en tous genres pour seulement y voir un peu clair en eux-mêmes, s’orienter, puis prétendent ensuite éclairer nos lanternes de petits citoyens sur ce qui se déroulerait devant nos yeux.
Je bloque cependant sur un certain point, primordial de mon point de vue puisque « La Science » qui se voudrait rigoureuse, celui cité dans l’article « Il s’agit d’un vaccin à virus entier inactivé … »
car jusqu’à présent je ne connais pas de source valable que le virus serait connu « en entier »…, il semblerait que ce serait le contraire ! … depuis le début de ce qui apparaîtrait comme son identification précoce qui résulterait d’une modélisation (chinoise) de ce génome, partagée ensuite de part le monde, qui le prit pour référence… et argent comptant !
En découlerait de ce constat, que les conclusions à en tirer devraient être diamétralement opposées, puisque nous ne pourrions en tenir griefs à Dame Nature de quelques mutations aussi facétieuses qu’improbables, mais à l’inverse bel et bien aux hommes responsables de ce qui serait un accident, volontaire ou non, peu importe, « un échappement » disais-je, par analogie comme ceux de Tchernobyl ou de Fukushima.
Un point que la nouvelle intervenante Philippine sur ce blog, que l’on devine brillante, et très pointue dans ses arguments, positivement critique de dernières publications de l’Aimsib, ne semble pas retenir, ou s’en être alertée plus que cela (?), bien qu’il (m’) apparaisse essentiel pour la compréhension général du sujet, et donc de son traitement il va de soi. Car si l’on en connaît les causes, on sera comment en traiter justement les conséquences, c’est un b-a-ba en logique, comme en médecine.
Pour souligner mon point de vue je me réfère à deux sources. La première dont je ne citerai qu’un extrait, accompagnée d’une image assez parlante pour tous :
Corona: Die nachvollziehbare und überprüfbare Widerlegung der Virus-Behauptungen
Oktober 15, 2020
https://www.samueleckert.net/corona-die-nachvollziehbare-und-ueberpruefbare-widerlegung-der-virus-behauptungen/
(Corona : la réfutation compréhensible et vérifiable des allégations du virus)
(Extrait traduction Deepl)
Naomi Seibt a récemment utilisé un exemple simple mais séduisant dans sa conférence au Bundestag [ https://www.youtube.com/watch?v=5ok8_6S1sxY ], qui aide les profanes à comprendre comment visualiser. Veuillez considérer l’image suivante :
https://telegra.ph/file/e04a1d4b87bffcd733887.png
L’ARN entier obtenu à partir du lavage bronchique (BALF) d’un patient a été utilisé pour construire ensuite de nombreuses sections de séquences courtes (petites briques Lego, photo de gauche) et un canard entier (photo de droite) à partir de cette soupe de matériel génétique. Toutes ces petites sections de séquences (briques de lego sur la photo de gauche) n’ont rien à voir les unes avec les autres. Sans un plan, un alignement, appelé alignement, personne ne pourrait faire quoi que ce soit avec toutes ces petites sections de séquences courtes (à l’exception des enfants créatifs, des jeunes de cœur, et surtout des personnes créatives qui cherchent la preuve d’une idée).
Les virologues du CCDC ont donc utilisé un alignement basé sur les « corona virus » des chauves-souris. L’algorithme tente maintenant de construire un nouveau canard, c’est-à-dire de créer un modèle, à partir de ces nombreuses séquences courtes non apparentées (briques de Lego) sur la base du modèle (un autre canard en caoutchouc). Il s’agit d’une construction purement mentale, ce n’est pas une entité réelle et elle n’a jamais et à aucun moment été isolée en tant que génome intact et complet (brin entier du génome dans le SARS-CoV-2 de près de 30 000 nucléotides) !
Les structures présentées dans les images EM [Electron Microscope] et publiées comme des images de virus n’ont jamais été caractérisées biochimiquement. Aucun acide nucléique n’a jamais été prélevé sur de telles particules et déterminé. Ces particules sont uniquement présentées comme des virus, en omettant l’information selon laquelle les mêmes particules de ce type sont produites chaque fois que des cultures cellulaires « non infectées » sont traitées de la même manière que des cultures cellulaires définies comme « infectées ». Les non-virologues appellent ces particules, par exemple, phagosomes, endosomes, exosomes, vésicules de transport, et en coupe transversale, villosités, etc. pp.
Pour plus d’informations, consultez notre article :
Comment une seule erreur d’interprétation le 10.01.2020 a induit le monde entier en erreur
Wie eine einzige Fehlinterpretation am 10.01.2020 die ganze Welt in die Irre führte !
https://telegra.ph/Wie-die-Fehlannahme-des-behaupteten-SARS-CoV-2-begann-10-08
Traducteur allemand français https://www.lexilogos.com/allemand_traduction.htm
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Bon à savoir cette offre d’un Jackpot tient toujours, avis à tous ces experts qui moulinent des bras jusqu’à présent, leur « expertise » leur donne bien plus de chances que de gagner au Loto !
L’équipe allemande de Samuel Eckert et le Fonds Isolate Truth ont promis une récompense de 1,5 million d’€uros (265.000 dollars) pour tout scientifique capable de fournir des preuves incontestables que le virus SRAS-CoV-2 a été isolé et donc existe. Ils ont également souligné qu’aucun laboratoire dans le monde n’a encore réussi à isoler ce virus corona.
(site en allemand et anglais)
All virologists, not just those pictured, have deceived themselves and the public when they claim the existence of disease-causing viruses such as SARS-CoV-2.Virologists inadvertently kill cells in test tubes, believing that this is proof of the presence and isolation of a virus. Only from fragments of dying cells do virologists mentally construct a gene sequence and pass it off as fact. Therefore, the test procedures do not offer any significance or meaning. Typical structures of dying cells in the electron microscope are passed off as viruses. Such structures could never be detected or recognized in a human being so far !
Our goal
These misguided developments have distanced medicine far from the reality and understanding of true health. We would like to contribute to a comprehensive understanding of disease and health for all people.
We guarantee :
1,5 million € for a virologist who presents scientific proof of the existence of a corona virus, including documented control attempts of all steps taken in the proof.
You’re on !
https://www.samueleckert.net/isolate-truth-fund/
Concernant la seconde source, elle a trait aux mathématiques en lien avec l’Harmonie du Vivant
Biogénèse fractale
Une autre étude récente basée sur des modèles mathématiques tend à confirmer l’hypothèse que le SRAS-CoV2 n’est pas d’origine naturelle, l’article est long, il pourrait passionner des biologistes et bio-mathématiciens, et autres, bref en résumé, cette étude révèle que la structure de ce virus ne cadre pas avec l’architecture du vivant.
Histoire du COVID-19 – chapitre 9, partie 2 : Où le mathématicien Jean-Claude Perez et le professeur Luc Montagnier nous révèlent que les laboratoires de virologie font planer un danger obscur sur l’humanité.
Auteur(s): Valère Lounnas et Gérard Guillaume (avec le concours de Jean-Claude Perez), pour FranceSoir
Partie 2. Sur les traces du mathématicien Jean-Claude Perez et le Maître Code biologique universel (Codex de la biogenèse) qui lève un coin du voile sur les secrets de la nature
Résumé du lecteur pressé – Nous voyons dans cette partie du chapitre 9 comment une analyse géométrique fractale fait apparaître un ordre caché dans l’apparence aléatoire des séquences d’ADN et d’ARN.
(…)
Harmonie géométrique des formes du vivant
Tout ce qui concerne les faits et les calculs établis précédemment sont suffisants à démontrer que le SARS-Cov2 ne peut être que le fruit de manipulations GOF de laboratoire. Cependant, nous ne pouvons achever l’histoire du Covid-19 sans y ajouter une découverte aussi fondamentale qu’étrange sur l’harmonie mathématique des génomes.
(…)
Le mathématicien Jean-Claude Perez en s’appuyant sur ces principes est allé voir au-delà de l’image des génomes que les microscopes les plus puissants sont capables de produire. Il a utilisé le prisme extrêmement puissant des mathématiques pour découvrir que les codes génétiques recelaient au niveau des chromosomes et des gènes des ondes stationnaires fractales de Fibonacci qui révèlent leur ordre caché.
(…)
Quel que soit l’angle adopté, l’analyse scientifique du SARS-Cov2, nous conduit au constat mathématique qu’il ne s’agit pas d’un virus naturel.
(…)
https://www.francesoir.fr/histoire-du-covid-19-chapitre-9-partie-2
Bonjour,
Merci pour votre sollicitation. Le point que vous soulevez n’avait pas été abordé dans les écrits ci-dessus, aussi ne m’y étais-je pas intéressée. Après une petite recherche rapide, à ma connaissance l’hypothèse d’une fuite de laboratoire n’a pour l’heure pas été écartée, et reste plausible et étudiée. Les tenants et aboutissants politiques étant très prégnants, il est fort probable que si c’était un virus issu d’un laboratoire, les responsables auraient tout à perdre si ça se savait (https://www.nature.com/articles/d41586-021-01529-3)
Pour autant, de multiples laboratoires ont désormais séquencé le génome de SARS-CoV2, et en implémentant deux requêtes « {« complete »+ »genome »+ »sars-Cov2 »} et {« full »+ »genome »+ »sars-cov-2″} » sur pubmed et google scholar, je trouve une petite dizaine d’articles qui ont effectué divers travaux de séquençage et de recherches de dynamique évolutive sur le virus dont voici quelques exemples (le premier vous intéressera sans doute car il serait éligible à un pris de 150’000€ 😉 ):
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33111751/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32511397/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34114198/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7272567/
Si je ne suis pas généticienne, j’ai fait en revanche un peu de phylogénétique, et je peux vous dire ceci, qui me rassure quand cette histoire m’inquiète un peu trop:
Si manipulation génétique il y a eu, si toute cette histoire était le fruit d’une malveillance ou d’une bêtise, les génomes complets donneront l’information.
Les virus, comme les autres êtres vivants, évoluent au rythme d’horloges moléculaires, grâce à des erreurs aléatoires de réplication. Des mutations au pif, dont la fréquence et l’importance peuvent être mesurées. Si la main de l’Homme a été utilisée pour modifier un morceau, ce rythme naturel n’aura pas été respecté, et tôt ou tard, les phylogénéticiens sauront, grâce à des modèles évolutifs, dire s’il y’a eu intervention humaine.
En conclusion, en imaginant que tout ceci soit une vaste bourde humaine, même si tous les politiciens cherchaient à le cacher, les 1300 et quelques laboratoires de virologie à travers le monde qui possèdent des isolats de SARS-CoV2 donneront l’information tôt ou tard.
Au plaisir de vous lire
Philippine
Revue complète pour l’ Aluminium :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4997813/
Dernières lignes de la conclusion ( article tréééés long ) : » Les raisons de ces différences ne sont pas claires. Parmi les nombreux problèmes de risques pour la santé abordés dans cette revue, plusieurs en particulier méritent une plus grande attention. Celles-ci incluent la prise en compte de la biodisponibilité relative de différentes espèces d’Al dans l’élaboration des directives d’exposition humaine, la contamination par l’Al des solutions de NP, la justification de l’utilisation de l’Al comme adjuvant de vaccin et la base et la dérivation des VLEP pour les composés d’Al. La résolution de ces problèmes nécessitera une enquête supplémentaire et l’application de méthodologies d’évaluation des risques appropriées pour arriver à des décisions de gestion des risques fondées sur des preuves (Landry et Sibbald 2001, Guzelian et al. 2005). «
@ phillipine : Pour parfaire ma réponse : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5596046/
Conclusion de l’article très documenté : »Abstrait
La conceptualisation des troubles du spectre autistique et de la maladie d’Alzheimer a subi une sorte de changement de paradigme ces dernières années et plutôt que d’être considérées comme des maladies uniques avec une pathogenèse et une physiopathologie unitaire, elles sont de plus en plus considérées comme des syndromes hétérogènes avec une étiopathogénie multifactorielle complexe, impliquant un combinaison complexe et diversifiée de facteurs génétiques, épigénétiques et environnementaux. Un tel facteur environnemental impliqué comme cause potentielle dans les deux syndromes est l’aluminium, en tant qu’élément ou en tant que partie d’un sel, reçu, par exemple, sous forme orale ou comme adjuvant. Une telle administration a le potentiel d’induire une pathologie via plusieurs voies telles que provoquer un dysfonctionnement et/ou une activation des cellules gliales qui jouent un rôle indispensable dans la régulation de l’homéostasie du système nerveux central et du développement neurologique. D’autres voies incluent la génération de stress oxydatif, l’épuisement du glutathion réduit, les réductions directes et indirectes des performances et de l’intégrité mitochondriales et l’augmentation de la production de cytokines pro-inflammatoires dans le cerveau et en périphérie. Les mécanismes par lesquels l’aluminium environnemental pourrait contribuer au développement du modèle très spécifique de neuropathologie observé dans la maladie d’Alzheimer sont décrits. Sont également détaillés plusieurs mécanismes par lesquels des quantités importantes d’aluminium introduites via la vaccination pourraient produire une neuropathologie chronique chez les enfants génétiquement prédisposés. En conséquence, il est recommandé que l’utilisation de sels d’aluminium dans les vaccinations soit interrompue et que les adultes prennent des mesures pour minimiser leur exposition à l’aluminium environnemental. «
Affaire à suivre, effectivement, cher (chère) Njama mais alors par beaucoup plus calé que moi. Pour le moment, Raoult, mon pape laïc préféré, prêche en chaire qu’on ne « sait (saurait) pas encore le faire » (synthétiser). Or, c’est une pointure en virologie, n’est-il pas ? Je garde donc le petit doigt sur la couture du pantalon face à ce décoré de la légion d’Honneur. Les gens frustes sont comme cela (sans doute parce qu’ils ont d’autres soucis, plus prégnants).
Il y a deux sujets que les industriels détestent qu’on aborde, la toxicité du vaccin ROR et celle de l’aluminium vaccinal. Dimanche on va essayer de les exiter avec autre chose…
Une série de vaccination qui semble avoir été prévue dès 2009 : 4 mn à écouter datant de 2009 :
https://t.me/trottasilvano/4282
Eglise post-conciliaire liée aux mondialistes :
https://lbry.tv/@Re-information2.0:2/Une-journaliste-Italienne-nous-dit-tout-ce-que-nous-avons-besoin-de-savoir-en-4-mn-videoby_Re-information2.0:b?
Quelques liens dans ce plan d’ensemble où on retrouve le Pentagone, les banques, les labos, Bill Gates, Epstein, Google, les médias mainstream, les sionistes et même la Russie !
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.49F2E255-4736-439E-97E1-EA30462470E6:7?src=embed
Bonjour Valérie
Merci pour les liens, le dernier surtout, échange vidéo qui interpelle et qui ouvre la voie à une forme de résistance politique (vers le fin de la vidéo)
A signaler que cette vidéo initialement publiée sur YouTube a été censurée, comme tant d’autres…
Source: https://www.youtube.com/watch?v=FU3rGFejBMo
Merci à Quadrillage Traduction qui l’a reprise sur Odysee en y ajoutant le Transcript en français de cet interview d’une heure. Il pourrait être très utile comme référence documentaire
https://textup.fr/571696oR
Pour ceux pressés ou qui manquent de disponibilité le résumé :
Whitney Webb est une journaliste d’investigation américaine. Elle est régulièrement censurée sur tous les médias sociaux puisqu’elle s’intéresse particulièrement à Jeffrey Epstein, Bill Gates ainsi qu’à tout l’élite de la Silicon Valley et leur volonté de développer la surveillance des masses en réduisant les libertés. Elle témoigne ici auprès de l’équipe de l’avocat allemand Me Reiner Fuellmich en assurant avoir tous les documents et preuves en sa possession.
Elle évoque ici la folle mégalomanie de Jeffrey Epstein, l’obsession de la Silicon Valley dont Google pour remplacer la médecine de ville telle que nous la connaissons en application numérique surveillée, le VAX attack, l’Astrazeneca, le Welcome Trust, Cyberpolygon, le Forum de Davos et bien d’autres sujets.
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Concernant « l’église conciliaire » (en simplifiant post-Vatican II), une église qui se politise de plus en plus sous la bannière de l’U€, très active parmi les lobbies à Bruxelles (son antenne locale s’appelle le COMECE http://www.comece.eu/ ), j’ai trouvé très regrettable et très déplacé que la pape François appelle les fidèles à se faire vacciner ! oups ! pour quelqu’un supposé avoir une grande foi dans Son Créateur… avant même une hécatombe pandémique de ses fidèles…
Oui njama, d’ailleurs le directeur du CNRS Laurent Mucchielli a bien compris que les vaccins covid étaient non seulement contagieux mais en plus entraînaient une surmortalité :
https://odysee.com/@RaphiDeschamps:a/d49a49:e?
Laurent Mucchieli est directeur de recherche AU CNRS. Il n’est pas directeur DU CNRS, nuance ! Il y a la version courte 3’32 » et une version longue de 35’30 ».
Avec d’autres chercheurs, il a examiné les données.
Pour la directrice du CDC (The Centers for Disease Control and Prevention) Rochelle Walensky « le vaccin n’empêche pas l’infection au COVID-19, ni n’empêche la personne vaccinée de transmettre l’infection ou la variante delta. Le seul avantage du vaccin maintenant est probablement qu’il réduit la gravité des symptômes. Alors quelle est l’utilité d’un passeport de vaccination ? »
https://theconservativetreehouse.com/blog/2021/08/06/cdc-director-makes-case-vaccination-passports-are-futile-vaccines-do-not-prevent-covid-infection-or-delta-variant-transmission/
Oui, le passe sanitaire n’a aucun intérêt médical explique Gérard Delépine en observant les événements internationaux :
https://nouveau-monde.ca/dapres-lexperience-internationale-le-passe-sanitaire-na-aucun-interet-medical/
@ Njama du 6 à 13:42 \ Valérie du 5 à 16:06
Oui, Njama, moi aussi. Qu’espérer de sa nomination, le 10, à son Acad Sci de poche, de la Nobel 2020 Emmanuelle Charpentier, inventeure du ‘système universel d’édition du génome Crispr-Cas9″ ?
Plus clair que ça y a pas : https://www.facebook.com/groups/644820209769382/permalink/882792145972186/?sfnsn=scwspmo&ref=share
@ inox du 7 à 8:49
Lien illisible (par allergie aux cookies) mais immense merci pour vos deux galops de haute tenue contre l’aluminium (des 8 à 23:02 et 9 à 11:19 \\ 5 à 9:53 \ njama à 0:45).
Bonsoir a toustes,
Quelqu’un voudrait-il me répondre?
Pourrait il avoir une mauvaise interférence entre ce faux vaccin et l’ argent colloïdal.
Merci, vous êtes des amours,
Ceci répondra peut-être à votre question, c’est déjà traduit, i y a 6 pages, allez jusqu’au bout :
https://www.ivermectin.africa/wp-content/uploads/2021/01/SID-Protocol-for-Covid-19.pdf
oups, en kliquant dessus on tombe sur l’original en Anglais. Y plus qu’à traduire.
Merci Inox,
Mes excuses pour le retard de réponse.
C’est gentil de votre part.
Ivermectine et AC, c’est bon.
Vaccin C et AC, ?
Je suis frustrée! 🙂 La question reste posée. A creuser.
Pas de soucis.
Bien a vous,
bel article de Enzo Lolo sur le Blog de Médiapart :
https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/050821/covid-19-la-guerre-de-l-ivermectine-continue-exemple-au-mexique
Ils vont le censurer c’est sûr.