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Vaccynisme et réalité

Anne Gourvès tient une place à part au sein de l’équipe des rédacteurs de l’AIMSIB, celle du coeur. Docteur en Biologie spécialisée en génotoxicité, la thématique vaccinale sans vraie science ni absolument aucune conscience lui vaut périodiquement des prises de position d’une très grande précision, toujours parfaitement référencées. Cet article est limpide, érudit et au final, désabusé parce que le moment l’impose. Plus long que d’habitude aussi, mais quand la qualité est là… Bonne lecture.

Résumé

  • Dans un climat d’épidémie de rougeole fantôme, on alarme les Français sur la situation sanitaire catastrophique du pays, espérant ainsi récupérer les 41% de Français qui doutent de l’efficacité et de la sécurité des vaccins. A cours d’argumentaire convainquant, les autorités de santé ont donc imposé 11 vaccins à tous les bébés français depuis janvier 2018. 11 vaccins non testés comme des médicaments, et pour lesquels personne ne connaît l’impact d’un tel cocktail sur un bébé de moins de 18 mois. En Afrique certains vaccins stérilisent les jeunes filles, les garçons, et augmentent la mortalité infantile. Chez nous, des nanoparticules, du glyphosate, du Viagra© et l’absence d’antigène nécessaire à l’efficacité des vaccins. Notre calendrier vaccinal, quant à lui, incite à l’administration conjointe de vaccins alors que les notices indiquent des risques plus importants d’effets secondaire dans ce cas. Déni total de tous ces scandales, déni des augmentations de maladies auto-immunes. Les autorités de santé camouflent les drames les uns après les autres, s’assurant que toute information mettant le doute sur les vaccins sera qualifiée de fake news et censurée sur les réseaux sociaux. Quant aux experts de la vaccination, ils usent d’un double discours, confirmant les scandales en coulissent et niant tout drame vaccinal sur la place publique. En attendant, tout enfant qui n’aura pas ses 11 vaccins sera banni de l’école et les parents seront dénoncés et fichés comme parents irresponsables, mettant en danger la santé de leurs enfants. Et c’est dans ce climat de dictature médicale que les français ont retrouvé la confiance dans les vaccins : comme par magie, la couverture vaccinale augmente depuis l’obligation de janvier 2018…et les labos retrouvent de la croissance.

 

La vaccination est aujourd’hui le sujet le plus censuré du net. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination. 11 vaccins sont obligatoires depuis le 1er Janvier 2018. Etrange d’imposer un acte médical. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination. Aucun bébé 2018 ne pourra rentrer à l’école sans ces 11 vaccins. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination.

Onze vaccins au lieu de trois malgré l’absence d’urgence sanitaire

Depuis le 1er janvier 2018, tous les bébés ont l’obligation de recevoir 11 vaccins. Avant c’était 3. Mais tout le monde sait que la situation sanitaire de la France est devenue tellement catastrophique entre 2017 et 2018 qu’il a fallu vite augmenter le nombre de valences pour passer de 3 à 11…

Surtout à cause de la rougeole : 349 cas confirmés en 2017, l’alerte est lancée et on parle d’épidémie de rougeole en France. Sauf que lorsqu’on se penche sur les données épidémiologiques, il y avait 15 000 cas de rougeole en 2011, et depuis 2012, c’est en fait…le calme plat ! (1)

 

Et donc en 2019… on est loin d’une épidémie. Il y a encore moins de cas cette année que l’an dernier à la même période. Difficile de comprendre ces médias qui s’excitent comme jamais sur la rougeole alors qu’ils étaient silencieux sur ce même sujet en 2011, malgré 15 000 cas.

Et l’urgence apparemment est aussi de vacciner tous les bébés contre l’hépatite B. Une maladie sexuellement transmissible… Je dirais même que je suis choquée par cette obligation car s’il est aussi important de vacciner des bébés contre une maladie sexuellement transmissible, que craint-on vraiment? Dans ce cas, on se trompe de combat…

Trêve de cynisme, pourquoi la France est-elle le seul pays dans le monde où l’on impose 11 vaccins malgré la méfiance de plus de 40% de la population en matière de vaccination ?

Obliger pour mieux convaincre

Comment a-t-on fait pour ne pas avoir réussi à convaincre 41% des parents français pleins d’amour pour leurs enfants de la nécessité à vacciner leurs progénitures ?

Ce chiffre, record mondial et à la hausse en France serait donc à l’origine de l’obligation vaccinale. Et c’est là que je ne comprends pas : je n’arrive pas à convaincre, donc j’oblige.

C’est un véritable aveu d’échec de la part des autorités de santé ! Comment semer encore plus de doute lorsque toutes les autorités de santé s’avouent impuissantes à trouver des arguments convaincants pour garantir l’efficacité et la sûreté des vaccins ?

On en vient aussi à la censure, en interdisant donc à tout parent de se faire sa propre opinion sur la vaccination, même lorsque cette opinion se base sur des sources scientifiques, puisque ce sont aussi ces sources qui disparaissent de la toile.

On parle de censure de la « désinformation », mais s’il s’agissait de désinformation, une argumentation sérieuse suffirait à démanteler ces soi-disant « fausses informations ».

Insulte également aux médecins incompétents qui n’ont pas su convaincre leurs patients, ceux-là même qui leur confient leur santé depuis des dizaines d’années… Mais cette dictature va t elle redonner confiance en la vaccination ?

Pas de vaccin, pas d’école

Je suis toujours surprise de voir des parents qui ont peur que leurs enfants vaccinés soient contaminés par des enfants non vaccinés en milieu scolaire. Donc, au final, les parents qui vaccinent comme ceux qui ne vaccinent pas ont de sérieux doutes sur l’efficacité de la vaccination ! Certains vaccinent leurs enfants en pensant faire un acte d’altruisme : « mon enfant vacciné aujourd’hui contre la diphtérie, le tétanos et la polio protège aussi les autres ». Même pas ! La vaccination contre ces 3 maladies n’empêche en aucun cas la dissémination des bactéries responsables de la diphtérie, ou du tétanos ni du virus de la polio (vaccin sous forme injectée), sans parler du fait que le tétanos n’est pas une maladie contagieuse (2). Quant à la fameuse vaccination contre la rougeole dont on nous rabat les oreilles, elle est aussi loin de protéger les autres :

« Par conséquent, le virus de la rougeole peut circuler sans être détecté dans une population vaccinée, ce qui augmente faussement l’estimation de l’efficacité de la vaccination (3) ».

Ce qui a d’ailleurs été confirmé aussi par des congressistes scientifiques de la Société Française de Santé Publique en 2017, mais ils s’empressèrent d’ajouter qu’on ne peut tout dire au public, justifiant ainsi le manque de transparence sur la vaccination.

L’exigence altruiste en matière de santé publique n’est donc pas non plus la base de l’obligation vaccinale imposée en collectivité. Finalement sur quelles bases (autres que commerciales) repose aujourd’hui l’obligation de vacciner tous les bébés avec 11 vaccins ? L’obligation vaccinale exigée à l’entrée de l’école s’annonce comme une réelle discrimination. A Otranto, en Italie, une école maternelle a affiché sur la porte d’entrée la liste des enfants non vaccinés. Près de New York, depuis le 26 mars, les enfants non vaccinés contre la rougeole sont exclus de tout lieu public y compris des moyens de transport. (4)

Ira-t-on jusqu’à épingler un insigne discriminatoire sur les vêtements des enfants non vaccinés?

Ainsi, sans aucune justification sanitaire ou altruiste, pas de vaccin, pas d’école. Et pourtant, selon le bulletin officiel du 25 juin 2015, l’école a l’obligation d’un enseignement moral et civique basé sur les valeurs de la République. « Ces valeurs sont la liberté, l’égalité, la fraternité, la laïcité, la solidarité, l’esprit de justice, le respect et l’absence de toute forme de discrimination ». (5)

Mais un parent qui ose défier la loi est aujourd’hui harcelé par son médecin, dénoncé, harcelé par la responsable de la crèche, par sa nounou, se retrouve avec les services de la PMI sur le dos suite aux dénonciations, avec un ultimatum à la vaccination de son enfant, et n’aura pas le droit d’inscrire son enfant à l’école. Donc, au bout du compte il vaccine… car il a retrouvé confiance en la vaccination n’est-ce pas ?

Vaccination, une prévention prioritaire pour qui?

La santé de nos enfants serait donc tellement importante pour nos autorités de santé qu’elles auraient choisi de décider pour nous malgré nos réticences ? On oblige donc à vacciner car c’est la priorité en matière de prévention. Et si nous ne sommes pas d’accord, nos enfants seront privés d’école. Dans ce même cadre de prévention de santé, a-t-on nous aussi le droit de dire à nos dirigeants : « si vous continuez à autoriser la présence de glyphosate dans la nourriture de nos enfants, nous ne paieront plus nos impôts » ? Mais ce n’est pas possible, il semblerait que cette dictature ne puisse aller que dans un seul sens. Et d’ailleurs on trouve aussi des traces de glyphosate dans les vaccins (6).

Comment peut-on, au sein d’un même gouvernement autoriser la présence de poisons dans l’alimentation de nos enfants et imposer la vaccination car soudain on se soucie de leur santé ? Comment peut on laisser des enfants mourir de faim en 2018 alors que la moitié du budget alloué aux campagnes de vaccinations mettrait fin à la faim dans le monde ? Comment garder confiance dans les autorités de santé lorsque les décisions politiques prises en matière de prévention ne sont que celles qui profitent aux industriels ?

Un calendrier vaccinal qui n’inspire aucune confiance

11 vaccins, 10 injections, 6 consultations chez le médecin nous annonce Mme Buzyn. (7) Ce qui suppose donc que les vaccins mentionnés à 2 mois, 4 mois et 11 mois sont injectés lors du même rendez-vous chez le médecin. Et c’est effectivement ce qui se passe : l’Infanrix© Hexa et le Prévenar© 13 sont injectés simultanément. Mais comme je suis une maman consciencieuse, j’ai lu les notices.

« Une augmentation des taux de déclarations de convulsions (accompagnées ou non de fièvre) et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EHH) a été observée lors de l’administration concomitante de Prevenar© 13 et d’Infanrix© Hexa  (8)

Comment peut-on recommander un calendrier vaccinal qui optimise des effets secondaires ?

Ce qui suppose aussi que les médecins ne sont pas au courant, et qu’ils n’informent pas non plus leurs patients des risques d’effets secondaires. Dans un souci de bienveillance, L’AIMSIB a mis au point une série de recommandations provisoires nécessaires à toute vaccination (9), mais est-ce à une association de définir ces recommandations ? Pourquoi nos autorités de santé supposent-elles encore que cet acte ne présente absolument aucun risque de santé et ne nécessite aucune précaution particulière ni de mise en garde des patients et des médecins?

La raison est simple : il faut redonner confiance en la vaccination. Circulez, vaccinez, il n’y a rien à dire, les vaccins sont sûrs et efficaces et toute mention contraire est une fake news.

Une Pharmacovigilance qui n’en inspire pas plus

Daniel Floret, ancien président du Comité Technique des vaccinations à la HCSP, écrivait lui-même dans un dossier de juin 2010 (dossier : « comment faire de la pédagogie autour du vaccin ? »  ADSP n°71, juin 2010)  : « La liste des effets secondaires énumérés dans le résumé des caractéristiques (RCP) des vaccins donne le vertige. Comment communiquer sur l’association vaccination contre l’hépatite B et maladies démyélinisantes dès lors que la sclérose en plaques et le syndrome de Guillain Barré apparaissent en tête de la liste des effets secondaires neurologiques liés au vaccin ? ».  (10) Et pourtant tous les médias grands publics clament que « les vaccins sont absolument sûrs ». Où se trouve réellement la désinformation ?

Pr. Daniel Floret, 2010

Au 7 février 2019, sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (11), pour l’Infanrix© Hexa (indiqué pour la vaccination de 800 000 bébés en France chaque année), en Europe, sont répertoriés 23.379 effets secondaires graves et 584 décès. (Ces chiffres sont en plus sous-estimés : dans un pays comme la France, « Il est généralement admis que 1 à 10 % des effets secondaires graves liés aux médicaments font l’objet d’une déclaration aux centres régionaux de pharmacovigilance. » (10)

Alors bien sûr, on me rétorquera que ces chiffres sont des valeurs absolues, que ce sont des observations faites pour des millions d’enfants vaccinés…oui…sauf que…

Un vaccin serait un médicament ?

On n’injecte pas un vaccin pour traiter un patient malade, on injecte un vaccin chez une personne parfaitement saine, en estimant que cela puisse éventuellement lui éviter de contracter peut-être un jour une maladie…qu’elle n’aurait sans doute jamais eu. Lorsqu’une personne est malade, il est plus logique d’envisager des effets secondaires lorsque le traitement entraîne une nette amélioration de l’état de santé du patient.

La vaccination c’est donc comme une assurance-vie : vous payez sans vraiment connaître le risque. Dans ce sens, les effets secondaires graves et les morts, si « faibles » soient-ils comparés au nombre de personnes vaccinées sont-ils acceptables ?

Personnellement, je ne souhaite pas que l’on m’impose ce type « d’assurance-vie » : c’est à moi seul d’en estimer les risques, d’autant plus qu’aucun des 11 vaccins obligatoires n’a été évalué selon les exigences imputées à un médicament en ce qui concerne l’efficacité clinique.

Les vaccins ne sont pas non plus soumis à des études de pharmacocinétique, de carcinogénèse, mutagénèse ou tératogénèse contrairement aux médicaments. Aucune étude non plus pour évaluer l’impact de l’administration de plusieurs vaccins sur une période aussi courte chez un bébé de moins de moins de 18 mois. Et pourtant aucune application du principe de précaution, la remise en question n’est jamais d’actualité, et toute personne émettant des doutes sur l’efficacité et la toxicité sera demain censurée partout sur la toile.

Mais c’est pour la bonne cause n’est-ce pas : il faut redonner confiance en la vaccination. Et donc l’absence de transparence est de mise

Déni de la contamination chimique et biologique des vaccins

En Italie, la controverse vaccinale bat son plein depuis des mois et des mois. https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2019/10/adobestock_151075408-1.jpegnzo d’Anna, ancien parlementaire et président de l’Ordre national des Biologistes a proposé un partenariat avec l’association CORVELVA afin de lancer un projet d’analyse de la composition des vaccins par un laboratoire indépendant.

Fragments d’ADN humains au-delà de la norme, fragments de virus (singe, souris..), traces de pesticides, médicaments (antibiotiques, sildenafil…), herbicides (glyphosate…) et autres contaminants chimiques jamais notés sur la notice. Le plus étonnant fut de ne retrouver aucun des antigènes nécessaires à l’efficacité de l’Infanrix© Hexa, mais une grosse molécule insoluble à la place. (12)

Ces informations relèvent d’un énorme scandale sanitaire, et même si elles demandent confirmations par d’autres laboratoires elles seraient à prendre au sérieux très rapidement. Est-ce le cas ? NON. Aucun de nos médias ne parlent de cette découverte cruciale sur les vaccins, ni des travaux d’Antonietta Gatti concernant la mise en évidence de nanoparticules en très grand nombre dans les vaccins, malgré sa publication dans la revue Vaccine en janvier 2017 (13).

Aucune déclaration officielle des autorités de santé. Dans le doute, s’abstenir ? Encore NON, aucune levée même temporaire de l’obligation vaccinale. En revanche, Mme Agnès Buzyn a tout de même demandé (poliment) aux fabricants de couches pour bébés d’enlever des substances toxiques histoire de montrer aux français que l’on se préoccupe de la santé des enfants.

Mais surtout ne pas ébruiter ce scandale sanitaire sur la composition des vaccins. Pourquoi ?

Pour garder confiance en la vaccination.

Déni des maladies auto-immunes générées par les vaccins

Pourtant ce joli petit cocktail vaccinal pourrait bien expliquer l’épidémie de maladies auto-immunes que l’on observe aujourd’hui de plus en plus chez des enfants !

Non, nous dit-on, les vaccins ne sont responsables d’aucune maladie auto-immune ! Pourtant dans une lettre de la direction médicale de Pasteur Vaccins de 1992, il est clairement admis qu’une stimulation de l’immunité peut révéler ou provoquer une poussée de maladie auto-immune (cf infra). Une ancienne infirmière a d’ailleurs été indemnisée en France en 2014 à hauteur de plus de 2 millions d’euros pour une sclérose en plaque déclenchée après une vaccination hépatite B. (14)

Institut Pasteur, correspondance

Concernant le Gardasil, Robert F. Kennedy a déroulé un exposé édifiant devant une Cour de Justice Américaine récemment, montrant que selon les données du laboratoire Merck, 2,3 % des filles recevant le vaccin se sont plaintes de symptômes de maladie auto-immune dans les 7 mois. Comme le cancer du col de l’utérus ne tue que 1,5 Américaines sur 100 000, il a fait remarquer : « Les propres données de Merck montrent que les risques de contracter une maladie auto-immune à cause de ce vaccin sont 1000 fois plus élevées que le risque de mourir du cancer du col de l’utérus ». (15)

Malgré cela, certains trouvent que le déclenchement de maladies auto-immunes est un avantage de la vaccination ! Un très respecté praticien hospitalier, professeur des universités a déclaré sur Twitter en 2018 : « La vaccination contre l’hépatite B ne provoque pas la sclérose en plaques, mais la démasque, ce qui est une bonne chose pour les futurs malades, car cela permet de débuter plus tôt les nouveaux traitements efficaces qui les sauveront. »  (16)

La stupidité de tels propos ne va pas non plus restaurer la confiance des patients dans les médecins…Ne serait-ce pas plutôt ce genre de propos cyniques qu’il faudrait censurer ?

Des hormones stérilisantes dans les vaccins antitétaniques

Récemment, un ancien ministre du Kenya a confirmé que les vaccins de la campagne de vaccination contre le tétanos de 2014-2015 contenaient une hormone de stérilisante, dénommée HCG. “Aujourd’hui, nous pouvons confirmer au pays que l’Église catholique avait raison. Des centaines de milliers de filles et de femmes âgées de 14 à 49 ans, issues des populations les plus dynamiques du pays, n’auront pas d’enfants, en raison de la stérilisation parrainée par l’État qui a été vendue au pays comme vaccin contre le tétanos ». (17) Les hommes étaient d’ailleurs écartés de ce programme de vaccination, même ceux qui souhaitaient recevoir cette vaccination. Etonnant d’avoir mené une campagne de vaccination uniquement dédiée aux femmes en âge de procréer alors que le tétanos peut naturellement toucher aussi les hommes et les enfants…

Le Kenya avait déjà été le pays destinataire de vaccins du même type : certains vaccins contre la polio destinés aux enfants de moins de 5 ans contenaient de l’oestradiol, une hormone stérilisante lorsque administrée aux garçons.

Mais ce n’est pas nouveau. Dans les années 90, l’OMS avait lancé une grande campagne de vaccination contre le Tétanos dans de nombreux pays du Tiers-Monde, toujours à destination des femmes en âge de procréer et l’analyse des produits injectés avait aussi montré la présence d’hCG, qui en aucun cas ne peut être considéré comme une contamination fortuite du vaccin. Mais on comprend mieux l’existence de ce type de campagne de vaccination lorsque l’on sait que L’OMS a tenté pendant plus de 20 ans de mettre au point un « vaccin contraceptif » à base d’hCG introduit dans le vaccin anti-tétanique (18). Ces recherches furent soutenues par la Banque Mondiale, la Fondation Rockefeller et de nombreuses universités. Le dossier de l’OMS de 1994 relatif à ce sujet devait être très intéressant, mais malheureusement, la version actuelle ne rend accessible que 31 pages sur les 199 du dossier (19)… Sans doute s’agit il à nouveau d’une censure de « fake news » ?

Ce « vaccin contraceptif » n’a pas obtenu d’AMM, mais continue apparemment d’être utilisé comme vaccin anti-tétanique dans les pays du tiers monde… Et plusieurs vaccins contiennent aussi d’autres substances stérilisantes plus « modernes » : le polysorbate 80 et le borate.

Ainsi en Afrique les drames vaccinaux se poursuivent : en Mars 2019, une campagne de vaccination (contre une maladie non indiquée) menée en Guinée dans des écoles primaires a tourné au vinaigre : plusieurs élèves se sont évanouis systématiquement après la vaccination, suscitant panique et colère dans la population. (20)

Ce sont sans doutes ces informations qui seront aussi bientôt qualifiées de « fake news » et qui seront censurées, afin de maintenir la confiance dans la vaccination.

La vaccination peut augmenter la mortalité infantile

Si dans nos pays il est impossible de réaliser des études comparatives d’enfants vaccinés versus enfants non vaccinés (proportion trop faible de non vaccinés), ces études sont possibles dans les pays en voie de développement et notamment en Afrique. L’équipe du Pr P. Aaby (fervent défenseur des campagnes de vaccination en Afrique) a été commissionnée par l’OMS pour évaluer la mortalité infantile dans des populations vaccinées et non vaccinées, et selon les résultats de plusieurs campagnes depuis 1981: (13).

Les résultats ont été publiés en mars 2018 et sont sans appel : les campagnes de vaccination Diphtérie, Tétanos, Polio, Coqueluche en Guinée-Bissau ont augmenté en moyenne de 100% la mortalité infantile (multiplié par 4 dans certains sous-groupes) ! Ceci malgré le fait que les enfants vaccinés étaient aussi ceux qui étaient les mieux nourris…

Ces campagnes ont elles été suspendues suite à ces études ? Non. Les médias français ont-ils fait état de ces données scandaleuses ? Encore et toujours non.

Pourquoi ?

Il faut vraiment garder confiance en la vaccination. On vous dira donc, malgré tout ceci que la confiance revient car la couverture vaccinale est en hausse depuis 2018. Mais c’est la confiance ou l’obligation qui a augmenté la couverture vaccinale ? Sous couvert d’épidémie de rougeole fantôme, dans un climat volontaire de peur, on justifie une obligation vaccinale qui ne repose sur aucun critère sanitaire ou scientifique.

A court d’arguments pour convaincre ceux qui doutent de l’efficacité et de l’innocuité des vaccins, les autorités de santé étouffent les scandales, utilisent les médias pour imposer une pensée unique en matière de vaccins et mettent en place un système de censure sur internet.

Quant aux experts scientifiques institutionnels, ils jouent un double jeu, admettant les scandales sanitaires en coulisse, et clamant l’innocuité des vaccins sur la place publique… Car il faut redonner confiance dans les vaccins… pour améliorer l’état de santé… celle des labos bien sûr, car grâce à la vaccination, Merck est redevenu un labo « rentable », dégageant en 2018 1,82 milliards de dollars de bénéfice net. (22)

Gardons donc confiance dans les vaccins, car la santé financière des grands laboratoires pharmaceutiques dépend… de nos comportements de moutons parfaitement dociles.

Anne Gourvès, Mai 2019

 

Sources:
(1) http://invs.santepubliquefrance.fr
(2) « Introduction générale à la médecine des vaccins », M. de Lorgeril, Ed. Chariot d’Or, nov. 2018
(3) Orenstein WA, Bernier RH, Hinman AR. Epidemiol Rev. 1988;10:212-41. Review. / https://www.yumpu.com/fr/document/view/38634696/souches-africaines-du-virus-de-la-rougeole-etude-
(4) https://www.sciencesetavenir.fr/sante/new-york-les-enfants-non-vaccines-bannis-des-lieux-publics_132462
(5) https://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=90158
(6) « Analyse scientifique de la toxicité des vaccins », M. de Lorgeril, Ed. Chariot d’Or, fév. 2019
(7)https://www.vidal.fr/actualites/22542/obligation_vaccinale_des_nourrissons_en_pratique_10_injections_6_consultations_14_vaccins_disponibles/
(8) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/123-prevenar-13
(9) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2019/03/31/les-six-precautions-preconisees-par-lhttps://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg-pour-la-vaccination-des-nourrissons-mars-2019/
(10) https://www.hcsp.fr/explore.cgi/Adsp?clef=111
(11) http://www.adrreports.eu/fr/search.html
(12) http://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccingate-initial-results-on-infanrix-hexa-chemical-composition.html
(13) A. Gatti and S. Montanari, New Quality-Control Investigations on Vaccines: Micro- and Nanocontamination, International Journal of Vaccines and Vaccination, vol. 4, issue 1, january2017). https://static1.squarespace.com/static/56d36e9d86db43f4f77637c1/t/59f6629e24a694055a6fa602/1509319356231/Quality+Control+-+Vaccines+study.pdf
(14) http://www.doctissimo.fr/medicaments/news/indemnisation-record-pour-une-sclerose-en-plaques-apres-un-vaccin-contre-l-hepatite-b
(15) https://www.collective-evolution.com/2019/01/30/athlete-confined-to-wheelchair-after-her-third-gardasil-vaccine-takes-merck-to-court/?fbclid=IwAR2LxNNpu3qz1Wz6wBlMnsG4N0aI4_oE1QPfj9bHSEnNGD70zS_2j83PtWQ
(16) http://docteurdu16.blogspot.com/2019/01/la-phrase-la-plus-comment-dire-la-plus.html)
(17) http://www.wikistrike.com/2018/03/kenya-un-ancien-ministre-presente-le-vaccin-contre-le-tetanos-comme-un-programme-cible-de-sterilisation-de-masse.html
(18) Françoise Joet, « Tétanos, le mirage de la vaccination »
(19) https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/39653/924156170X.pdf?sequence=1&isAllowed=y
(20) http://www.ledjely.com/sanoyah-des-eleves-sevanouissent-apres-leur-vaccination/
(21) « Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine to Children Aged 6-35 Months in Guinea-Bissau: A Time for Reflection? », P. Aaby et coll, Front Public Health, 2018 Mar 19 ;6 :79  https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29616207
(22) http://www.lefigaro.fr/flash-eco/merck-repasse-dans-le-vert-grace-aux-vaccins-et-anti-cancereux-20190201

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njama
njama
5 années il y a

Bonjour aux Bienveillants et merci à Anne Gourvès pour cet article.

La présence du vaccin anti-hépatite B inclus parmi d’autres valences n’a rien de scientifique, elle n’a résulté que d’une stratégie commerciale du fabricant pour l’imposer aux pouvoirs publics.
De l’aveu même d’icelui !!!
Il s’agit sans conteste d’un cas de vente forcée puisque le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) avait cherché à créer un monopole en commercialisant des vaccins multiples parce qu’il les trouvait plus rentables.
Quelle gloire pour la santé publique d’imposer un vaccin contre une MST à des nourrissons de 2 mois … n’est-ce pas Madame Buzyn !

Déclaration de Jean Stéphenne qui a dirigé la branche vaccins chez GSK pendant 23 ans, en juin 2012 devant un parterre de chefs d’entreprise :
« Nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B, c’était la première fois qu’un vaccin était protégé par brevets. Nous avons tous les brevets, et maintenant, vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, eh bien vous allez devoir négocier avec nous. Je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful, et après on a développé des vaccins combinés, c’est à dire on a mis l’hépatite B avec tout autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets, et en faisant ça, on rendait évidemment les produits combinés protégés.
Et donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça… ».

source : VIDEO (2’06) Envoyé spécial. Vaccins pour enfants : les labos font-ils de la vente forcée ?
Une vidéo compromettante
Pour deux cadres du laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) qui commercialise ce vaccin hexavalent, il s’agit d’abord de considérations de santé publique – lutter contre l’hépatite B –, et en aucun cas de raisons commerciales ou de rentabilité.
Pourtant, Sophie Bonnet s’est procuré une vidéo datant de juin 2012, où l’on voit Jean Stéphenne, ancien directeur de la branche vaccin de GSK, se vanter de sa réussite. Il explique que GSK détient tous les brevets sur le vaccin contre l’hépatite B. En le combinant avec des vaccins non protégés par un brevet, le laboratoire étend son monopole sur l’hépatite B aux cinq autres vaccins : « C’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful […] donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. » Le labo a donc commercialisé ces vaccins multiples parce qu’il les trouvait beaucoup plus rentables.
Extrait d’« Envoyé spécial. Se soigner à quel prix ? » du 11 février 2016.
https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-envoye-special-vaccins-pour-enfants-les-labos-font-ils-de-la-vente-forcee_1311677.html

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  njama
5 années il y a

Bonjour et merci de votre commentaire !
Je me rappelle très bien de cette émission d’Envoyé Spécial… Les propos de Jean Stéphenne étaient assez clairs… La stratégie commerciale prime toujours sur la santé…. Comme quoi, en 2016, AVANT l’extension de l’obligation vaccinale, les journalistes d’Envoyé Spécial étaient moins frileux pour dénoncer les scandales de la vaccination… Jeudi dernier, cette même émission a fait preuve de médiocrité malheureusement… S’alarmer sur l’épidémie de rougeole déclarée en Ukraine en 2018 alors qu’il n’y avait que quelques cas en 2016… Et omettre de mentionner l’énorme campagne de vaccination ROR de 2017… Nous ne pouvons plus compter sur les médias classiques pour nous informer sur la vérité malheureusement.
https://stichtingvaccinvrij.nl/12-000-cas-de-rougeole-en-ukraine-consequence-dune-campagne-de-vaccination/?fbclid=IwAR2PxCG2kMAXEZUu6fzs_CjkXR3l-afg59pdiWo5XF227BXaS2ylghNw1yE

François
François
5 années il y a

Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée-Infection, et Emilie Javelle, Médecin en thèse scientifique : « Aujourd’hui la rougeole »
https://www.youtube.com/watch?v=ZPE-117rdd0
Ajoutée le 17 avr. 2019

Quelques extraits :

Didier Raoult à 02:21
« Il est possible que pour la rougeole comme pour la grippe, qu’il faille qu’il y ait un mélange de souches de différentes natures dans les nouveaux vaccins, et ne pas refaire le vaccin qu’on fait depuis des décennies, pour faire face au fait qu’il y a une telle pression de sélection sur la souche initiale, qu’il émerge des souches qui sont résistantes à ce vaccin. C’est un même mécanisme que celui de la résistance aux antibiotiques »

Emilie Javelle à 05:10
« Il y a des pays qui avaient une excellent couverture vaccinale, je pense à la Mongolie qui avait une couverture de 97%, et qui a quand même eu en 2015/2016, une épidémie majeure et qui a été responsable du plus fort taux d’incidence de la rougeole par rapport à d’autres pays qui avaient eux aussi une bonne couverture vaccinale.
Les dernières années, des pays qui avaient réussi à maintenir une couverture vaccinale à plus de 95% pendant 10 ans, ont quand même vécu des épidémies majeures, comme c’était le cas en Russie ou au Sri Lanka »

Didier Raoult à 12:29
Le combat actuel contre la rougeole est trop simple, il faut tenir compte de la variation des souches, des populations qui sont résistantes à la vaccination, et la vaccination des gens qui sont le plus à risque, les personnels de soins ».

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  François
5 années il y a

Bonjour et merci pour ces informations complémentaires du Pr Didier Raoult.
Un excellent article de Bernard Guennebaud sur le sujet également :
https://www.aimsib.org/2017/12/20/propagation-de-rougeole-feu-de-vaccination/

Catherine GERVAISE
Catherine GERVAISE
5 années il y a

Merci pour cet article clair …
L’idée d’un génocide planétaire discret est tellement incroyable, que personne n’ose y penser. Et pourtant baisser la natalité grâce aux vaccins est un engagement personnel de Bill Gates fait en conférence au sommet en 2010.
Tous peuvent le voir et l’entendre sur you tube ( non censuré) !

Avec de l’argent on a tous les pouvoirs : priver de liberté, censurer, inquisitionner, stériliser, légaliser la mise à mal/à mort de milliers d’humains…
Mais: « c’est pour le bien de tous qu’il faut bien en sacrifier quelques uns » a déclaré Mme Buzin. Elle est donc au courant de la Chose !

Soit…les africains, les peuples lointains, les pauvres, les autres, les « nouveaux juifs »….mais aussi les enfants, les femmes… et les bébés , nos bébés !!!
Ils font partie des quelques uns…quantités négligeables. Autant s’attaquer au mal par la racine !!!

Les peuples vont-ils se réveiller avant d’être anéantis ?

Doctorix
Doctorix
Répondre à  Catherine GERVAISE
5 années il y a

Bill Gates est connu pour deux points précis.
C’est un eugéniste notoire, qui affirmait dans une conférence que « les progrès de la médecine et de la vaccination ne parviendraient pas à réduire la population mondiale de plus de 15% ». Ce qu’évidemment il déplorait, au cours d’un discours réchauffiste et carbocentriste bien évidemment. Mais quel aveu!!!
Ensuite, c’est un personnage qui dépense des milliards pour vacciner les enfants du monde entier, mais qui ne vaccine pas ses propres enfants, selon les dires de son propre médecin (pas plus que l’élite américaine).
De là à conclure qu’il mène en fait une vaste campagne de dépopulation mondiale, il n’y a qu’un pas que je franchis sans le moindre doute. C’est d’ailleurs aussi un gros actionnaire de Monsanto.
Hitler a tué des millions de personnes, avec Bill Gates on franchit l’étape supérieure, avec un objectif en milliards de morts, soit un facteur x mille.
Y aura-t-il un jour un Nuremberg pour tous ces assassins?

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Catherine GERVAISE
5 années il y a

Bonjour et merci pour votre commentaire !
Effectivement la conférence TED de 2010 laissait entendre que Bill Gates voulaient dépeupler la terre au travers de politiques de santé. Mais si ces propos n’ont pas été censurés, c’est parce qu’il explique ses propos de la manière suivante : « Fait surprenant mais crucial, nous avons appris que la baisse du nombre de morts réduit en réalité la croissance démographique. Le graphique 3 montre le lien fort entre le taux de mortalité infantile et le taux de fertilité. […] En fait les parents choisissent d’avoir assez d’enfants pour s’assurer une chance que plusieurs survivront pour les soutenir quand ils vieilliront. Comme le nombre d’enfants qui survivent jusqu’à l’âge adulte augmente, les parents peuvent atteindre ce but sans avoir autant d’enfants». Cette partie de réponse est omise sur les réseaux sociaux. Par contre, lorsque l’on constate l’impact de certains vaccins sur la mortalité infantile en Afrique (cf article) et les projets de l’OMS pour mettre au point un vaccin stérilisant, on peut se poser des questions sur les intentions réelles de la fondation Bill et Melinda Gates effectivement, cette même fondation qui finance l’OMS. Le père de Bill Gates ne se cachait pas non plus de tenir des propos eugénistes.

Doctorix
Doctorix
Répondre à  Anne Gourvès
5 années il y a

Cette explication semble bien fumeuse. Ces gens sont bien obligés de cacher leurs intentions réelles derrière des paravents humanitaires.
Je n’y crois guère, au vu du contexte.
Les intentions de sa clique sont d’ailleurs clairement exposées sur le monument de Guidestones, en Georgie (américaine):
https://www.youtube.com/watch?v=5jIIkUqt5ws
En gros, il s’agit de réduire la population mondiale à 500 millions d’esclaves d’une élite financière.
Et c’est gravé dans la pierre en huit langues depuis 40 ans, avec dix commandements (!) parfaitement clairs. Plus de détails ici:
https://www.courrierinternational.com/article/2009/12/17/dix-commandements-pour-l-apres-catastrophe

Emilio
Emilio
Répondre à  Anne Gourvès
5 années il y a

@John Doe 14 mai 9h26 écrit :

« souhaiter que la population totale sur Terre diminue n’est pas deraisonnable. Je suis meme assez convaincu que c’est une condition necessaire pour depasser la crise ecologique actuelle. »

C’est marrant cette idée qui se banalise de plus en plus …

Comment fixez-vous le nombre « optimal » de naissance ? Selon quels critères ?

Le problème de la destruction de l’environnement me semble être avant tout liée à l’irresponsabilité des entreprises, de l’éthique, de la mise en oeuvre par le néolibéralisme d’une philosophie de l’illimitation chez le consommateur moyen.

Faire la promotion de la régulation du nombre de naissance s’oppose à la prise de conscience par le citoyen de ses propres tares. La destruction de l’environnement serait forcément la faute des autres.

On sait tous que ce sont dans les pays pauvres et désindustrialisés que la population croit le plus fortement, ce ne sont certainement pas eux qui polluent le plus, qui sont les plus arrogants dans leur volonté d’imposer leur modèle de vie au monde entier.

Une catastrophe civilisationnelle est en train de se produire. Ses déterminants se trouvent dans l’infantilisme, le narcissisme, l’absence de compassion, l’incapacité du citoyen à hiérarchiser les informations, à comprendre (en grande partie à cause de son narcissisme) comment le système fait pour le manipuler.

Il est fondamental de comprendre la nature et le fonctionnement véritable du système. C’est un préalable fondamental si l’on veut lui résister et empêcher qu’il nous instrumentalise.

Le système néolibéral place la PREVENTION, LA santé, la nécessité d’atteindre un prétendu « risque zéro », l’innovation décomplexée et dénuée de la moindre éthique au coeur de sa stratégie marketing pour développer ses profits.

Pour espérer inventer une stratégie de lutte contre Big Pharma ou pour défendre l’environnement, il me paraît fondamental de comprendre les mécanismes à l’oeuvre :

http://www.rolandsimion.org/spip.php?article385

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
5 années il y a

Je reprends cette partie du texte de Anne Gouvès :
« Par conséquent, le virus de la rougeole peut circuler sans être détecté dans une population vaccinée, ce qui augmente faussement l’estimation de l’efficacité de la vaccination (3) ».

Ce qui a d’ailleurs été confirmé aussi par des congressistes scientifiques de la Société Française de Santé Publique en 2017, mais ils s’empressèrent d’ajouter qu’on ne peut tout dire au public, justifiant ainsi le manque de transparence sur la vaccination. »

Je suis à l’origine de cela alors j’y apporte les précisions suivantes quand j’allais au congrès Adelf-Sfsp
d’Amiens les 4-6 octobre 2017. Adelf : association des épidémiologistes de langue française ; Sfsp société française de santé publique.

En fait cela c’est passé sur le quai du bus ou nous étions nombreux à attendre pour nous rendre au congrès alors que des bus passaient sans s’arrêter car ils étaient complets, rien n’ayant été prévu pour transporter plusieurs centaines de congressistes… L’attente était longue alors nous parlions et j’ai sorti : « le virus de la rougeole peut circuler sans … » afin de tester si les épidémiologistes présents le savaient. C’est là, sur le quai du bus qu’il me fut répondu « que c’était connu mais qu’on ne pouvait pas tout dire » sous entendu « au public », la ministre disant le contraire !

Deux jours plus tard, je suis intervenu depuis la salle pleine d’épidémiologistes, à la suite de la communication d’une épidémiologiste suisse sur l’élimination de la rougeole en Suisse. J’ai repris la même phrase « le virus de la rougeole peut circuler … » puis J’ai ajouté l’observation faite dans une île isolée du Pacifique : il y eu une campagne de vaccination contre la rougeole ; pendant 27 ans il n’y eu aucun cas de rougeole puis une épidémie se déclara dans l’île ; il fut établi que le virus était un virus autochtone qui avait donc circulé à bas bruit pendant 27 ans avant de déclencher une épidémie. J’ai conclu en disant que l’élimination en Suisse pourrait n’être que provisoire.

Personne ne contestera mes propos. L’intervenante ne cherchera pas à soutenir que l’élimination serait définitive. Elle se retrancha derrière le fait que la rougeole pouvait être une maladie grave et qu’il fallait donc vacciner.

Comme de plus, on sait que la vaccination crée des lacunes immunitaires dans toutes les classes d’âges vaccinées, ce que la maladie ne faisait pas, il ne faut pas s’étonner si l’élimination dans un pays puisse ne pas être définitive.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Bonjour Bernard !
Ce sont effectivement tes propos que j’ai repris dans l’article et je te remercie de nous donner ici plus de précisions.
J’invite nos lecteurs à reprendre également ton excellent article sur la rougeole :
https://www.aimsib.org/2017/12/20/propagation-de-rougeole-feu-de-vaccination/

andré girard
andré girard
5 années il y a

Bonjour à Tous,
A ce jour, j’ai lu beaucoup d’articles sur la rougeole et sans être un anti-vaccin, il y a une notion qui n’apparaît jamais..! Cette maladie infectieuse n’est pas toujours immunisante. Il y a des individus (dont je fais parti) qui font une rougeole à 9 ans (soignée par le Dr portier) et une nouvelle fois à 32 ans (un vrai cadeau de mon jeune fils) . Ce fut mon seul arrêt de travail de toute ma carrière : 15 jours vraiment impossible de faire face.Et ceci est je pense vérifiable à la CPAM

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  andré girard
5 années il y a

Bonjour et merci de votre commentaire
Ceci peut être expliqué par le fait qu’il existe plusieurs génotypes du virus de la rougeole, comme mentionné par le Pr Didier Raoult (Rougeole_Raoult_Lancet_20181004-2.pdf)
C’est aussi une des raisons pour lesquelles les personnes vaccinées peuvent aussi contracter la rougeole.

Doctorix
Doctorix
Répondre à  andré girard
5 années il y a

Ce que vous dites est vrai pour la coqueluche, mais je ne l’ai jamais entendu dire à propos de la rougeole, qui est une des maladies les mieux immunisantes.
Dans votre cas, j’envisagerais aussi la possibilité d’une erreur diagnostique initiale, à une époque où un généraliste soignait 20 rougeoles par semaine en période épidémique.
Ce qui va dans ce sens est la grande difficulté des diagnostics différentiels dans les maladies éruptives de l’enfant, comme vous allez le constater ici:
https://www.hug-ge.ch/sites/interhug/files/structures/saup_professionnels/fichiers/erruptions_cutanees_st_justine.pdf
Mais en médecine, tout est possible, et peut-être avez-vous raison: en tous cas, considérez votre cas comme une rareté.
Le phénomène sera certainement beaucoup plus fréquent maintenant après la vaccination, qui ne sera pas d’un effet aussi durable. Les rougeoles surviendront à l’âge adulte, et vous avez payé pour constater à quel point elles sont handicapantes, voire dangereuses, à cet âge.

Yves Thomas
Yves Thomas
5 années il y a

Remarquable !
Science + Conscience… enfin une vraie Scientifique, et tellement courageuse !
Merci Madame Gourvès de nous redonner espoir.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Yves Thomas
5 années il y a

Bonjour et merci de votre enthousiasme !
L’espoir du futur devient réalité du présent lorsque chacun prend le courage de poser un regard sur le monde, objectif et cohérent avec les vraies valeurs de la Vie…

Doctorix
Doctorix
5 années il y a

Cette fois, je demande la permission de publier cet article complet sur agoravox.
Comment faire pour ne pas nuire à AIMSIB?
Mon dernier essai de ce genre a eu un grand succès, avec 6725 vues et 765 commentaires.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/donner-un-vaccin-a-un-enfant-ce-n-213968
J’aimerais bien renouveler l’expérience, mais cette fois avec votre accord.

Dr Vincent Reliquet
Répondre à  Doctorix
5 années il y a

Cher Ami,
Votre proposition nous honore, le plus correct sur le plan du SEO (référencement naturel) serait que
– vous copiiez notre image
– Vous rédigez votre propre rédaction d’intro
– suivi du lien pointant vers notre article

Notre Webmaster en cas de problème sur notre site.

Bon courage avec vos internautes, certains chez vous sont très, mais très mal élevés….

Doctorix
Doctorix
Répondre à  Dr Vincent Reliquet
5 années il y a

Je vais tenter l’opération, mais je sais que diriger les lecteurs vers des liens plutôt que de publier l’intégralité d’un document est très aléatoire quant à l’impact.
Je vais tâcher de mettre dans mon introduction pas mal d’extraits pour donner envie de lire le tout.
Nous devons profiter de ce qui reste d’opportunités de publier largement avant que les lois en cours d’élaboration ne clouent définitivement le bec à la dissidence.
Et c’est vrai que beaucoup des lecteurs d’agoravox sont fort mal élevés, s’ils ne sont pas payés pour l’être…
Je regrette que tout ce que je vous ai adressé ne soit pas publié, je suppose que c’est lié à la peur de passer pour complotistes…
Pourtant, il y a bien complot contre l’humanité…Le pire étant que la plupart des comploteurs ne savent même pas qu’ils complotent! Et contre eux-mêmes, en plus…

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
5 années il y a

Voilà ce que je cherchais ! Une personne ayant fait 2 fois la rougeole. J’étais persuadé depuis au moins 2008 que de tels cas devaient exister et j’en parlais sur ce site il y a seulement 1 mois avec le risque d’empêcher Vincent de dormir !!!!!

https://www.aimsib.org/2019/04/07/une-epidemie-de-rougeole-qui-accablerait-la-population-francaise-en-2019/

La rougeole n’a été constatée immunisante à vie que dans des populations où le virus circulait chez les enfants, ce qui entretenait l’immunité chez les adultes.

Si la rougeole n’immunise pas à vie en l’absence de relances de l’immunité, qu’en est-t-il du vaccin ? Quand on réalise qu’il y a encore des médecins pour affirmer que la vaccination est immunisante à vie alors que Raoult en est à demander des rappels tous les 10 ans après test immunologique …

njama
njama
5 années il y a

Les médias de même que les décideurs politiques et experts liges laissent entendre que l’obligation vaccinale a été motivée par une défiance irrationnelle, voir obscurantiste si pas complotiste sévissant « dans la population française », raccourci simpliste et opportuniste qui blanchissait l’ensemble du « corps médical » ou presque de toutes sortes de suspicions plausibles sur la vaccination fussent-elles de bon aloi, « lui » qui lui vivait sous les Lumières de la vraie information du ministère et sous l’aile de la vraie science.
Le mot d’ordre actuel repris en chœur par nos médias est donc sans surprise de faire croisade contre la propagation de théories jugées grotesques, contre les marchands de peurs et propagateurs de rumeurs, pour faire reculer l’obscurantisme des mouvements anti-vaccins.
Ce que les autorités sanitaires savent mais qu’elles ne vous diront pas, c’est ce que les médecins pensent de la vaccination : l’enquête-choc, non publiée, de l’INPES

(page 12 du PDF) « D’autre part, en 2005, une étude9* auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins généralistes et pédiatres montrait qu’une majorité d’entre eux (58 %) se posait des questions sur l’opportunité de certains vaccins donnés aux enfants et 31 % faisaient part de leurs craintes par rapport à la sécurité de ces produits. »

La référence à cette enquête est donnée, très confidentiellement, aux praticiens dans le document de l’INPES intitulé « Vaccinations, Guide pratique pour le praticien » et est notée comme suit : * (page 35 du PDF Note 9) « BVA. Étude sur les vaccins pédiatriques auprès des médecins généralistes et des pédiatres. 2005 : p. 31 – non publiée. »
http://inpes.santepubliquefrance.fr/50000/OM/pdf/vaccination/09vod_guide-medecin.pdf

Effectivement publier le résultat d’une telle enquête n’aurait pas manqué de secouer le Landerneau et fait désordre au point peut-être de remettre en question la vaccination. L’obligation vaccinale, un projet de loi pour remettre dans le rang les prescripteurs, accessoirement cheville ouvrière et force de vente pour les producteurs de vaccins ?

Doctorix
Doctorix
Répondre à  njama
5 années il y a

Bonjour Njama
Effectivement, comment peut-on trouver sur cette même page 12 ces deux affirmations:
« d’après le Baromètre santé médecins/pharmaciens 2003, les médecins généralistes tout comme les pharmaciens sont très majoritairement favorables à la vaccination (97 % des médecins et 97 % des pharmaciens). »
Et cette autre:
« D’autre part, en 2005, une étude auprès d’un échantillon représentatif
de 400 médecins généralistes et pédiatres montrait qu’une majorité d’entre eux (58 %) se posait des questions sur l’opportunité de certains vaccins donnés aux enfants et 31 % faisaient part de leurs craintes par rapport à la sécurité de ces produits. »
Il est vrai qu’une grande proportion des médecins ne vaccinent pas (ou peu) leurs enfants.
Pas si fous…

Brigitte Fau
5 années il y a

Merci Anne.
Toujours convaincue par les travaux d’A. Béchamp : « la maladie est en nous et vient de nous », complétés par la mesure du terrain biologique grâce aux travaux de LC Vincent qui indique que les maladies infantiles se développent sur un terrain (sang veineux) acide et oxydé, Je me pose la question à nos lecteurs :
Qui peut me fournir la moindre étude scientifique démontrant que le virus de la rougeole est étranger à l’organisme sur lequel il se développe.
Souvenez-vous (1) que, persuadés que nos organismes sont stériles, les scientifiques suivant aveuglément Pasteur, admettent que nos organismes sont attaqués par des microbes lorsqu’ils développent une maladie. Même lorsqu’ils n’en trouvent pas, ils en inventent.
Ce biologiste allemand qui avait promis 100 000 € à qui trouverait une étude scientifique valide prouvant l’existence du virus de la rougeole, semble avoir obtenu gain de cause ; les seules études qui ont été présentées n’étaient pas valides (il a fallu 2 procès pour que les experts l’admettent) : https://www.preventdisease.com/news/17/012717_Biologist-Proves-Measles-Isnt-Virus-Wins-Supreme-Court-Case.shtml
Que faut-il en penser ?
(1) https://www.aimsib.org/2019/03/10/et-si-notre-organisme-netait-pas-du-tout-sterile-un-siecle-derreurs-scientifiques/

njama
njama
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Bonjour Brigitte Fau

Il est facile de comprendre que les fabricants n’ont aucun intérêt à orienter leurs recherches vers des solutions curatives pour les pathologies visées par les vaccins. Entre un marché très aléatoire de quelques centaines ou milliers de cas par an de rougeole par exemple, et vacciner 800.000 nourrissons /an rien qu’en France, le marchand comme l’industriel n’auront pas trop d’états d’âme pour sélectionner l’option préventive tellement la plus rentable.

A priori nous pouvons supposer que le système immunitaire d’une personne en bonne santé qui bénéficie de bonnes conditions de vie et de nutrition serait très suffisant pour résister et venir à bout de l’infection. Sauf à ce que la nature serait si mal faite qu’elle mettrait nos existences à la merci de petits microbes. Pour les autres personnes plus fragiles ou fragilisés par leurs conditions d’existence, par l’âge, il paraitrait logique à titre de prescription curative de « doper » momentanément le système immunitaire de la personne malade. Soit par des apports de vitamines C (méthode de Fred R. Keller) ou vitamines diverses (en injection ou non), avec du chlorure de magnésium (20 gr/l) qui stimule fortement l’activité des leucocytes suivant les observations des Dr Delbet et Neveu (*), lequel soignait polio et diphtérie, ou avec de l’argent colloïdal, … les différentes possibilités pouvant être complémentaires.

* PDF http://www.aryanalibris.com/index.php?post/Neveu-A-Traitement-cytophylactique-par-le-chlorure-de-Magnesium-La-Polyomyelite

njama
njama
Répondre à  njama
5 années il y a

dsl correction > La méthode de Fred R. Klenner (et non pas Keller)
J’en profite pour signaler que le paragraphe « Méthodes alternatives » dans le traitement de la poliomyélite avait été d’abord modifié puis supprimé de la page Wikipédia
https://www.agoravox.fr/commentaire4146499
Le paragraphe « Traitement » de la page actuelle de Wikipedia nous dit : « La médecine ne reconnait pas de traitement curatif de la poliomyélite. »
censure ?

Brigitte Fau
Répondre à  njama
5 années il y a

Merci Njama

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Bonjour Brigitte
J’ai toujours pensé que si Béchamp avait remplacé Pasteur et si Jung avait remplacé Freud, le monde actuel serait tellement plus beau !
J’invite d’ailleurs les lecteurs à lire votre excellent article sur le microbiome :
https://www.aimsib.org/2019/03/10/et-si-notre-organisme-netait-pas-du-tout-sterile-un-siecle-derreurs-scientifiques/

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

John Doe : Le fait d’être capable d’inoculer la maladie, ne démontre en rien que lorsque celle-ci se déclare chez un individu, elle est alors provoquée par un microbe étranger. Rien n’empêche que celui-ci se développe à partir de l’organisme lui-même, puisque précisément nous ne sommes pas stériles, quand les conditions internes favorisent ce développement.
Les habitudes de société sont uniformes, les mêmes causes peuvent avoir les mêmes effets sur différents individus.
Un raisonnement basé sur une base fausse n’aboutit jamais qu’à une erreur supplémentaire. Toutes les options possibles doivent être envisagées.
On continue à chercher un microbe à l’origine de chaque maladie, c’est comme penser encore que le corps est stérile, formé uniquement de molécules auxquelles on applique des raisonnements purement physico-chimiques, qu’un organisme étranger attaque.
Mais, en effet, nous ne sommes pas stériles (les scientifiques le découvrent depuis peu).
Mais vous n’avez pas répondu : Pourquoi les experts au 2ième procès, ont admis qu’aucune des études scientifiques présentées sur le virus de la rougeole n’était valide. Alors que ce sont ces mêmes experts qui avaient été convaincus par les conclusions de ces études lors du premier procès. Que découvre t’on en approfondissant les études ?
Alors virus ou pas virus cause de le rougeole ?
Il faudra bien un jour remonter à la source des erreurs.
On arrive même à nous faire croire que des HPV sont à l’origine de cancers, alors qu’on ne les retrouvent systématiquement. c’est énorme tout de même.

Jane D.
Jane D.
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

John Doe
D’accord avec vos commentaires .
Parce que rester coincés sur les seuls travaux de Béchamp et que ce soit le seul cadre de références est dogmatique et comme à chaque fois qu’il y a dogme ça empêche d’avancer.
Ces imprécations contre Pasteur, qui disent combien le monde serait meilleur si on avait suivi Béchamp et pas Pasteur m’irritent, parce que la connaissance engrangée depuis la mort de Bechamp (1908 ! on a travaillé beaucoup, depuis), si elle peut être revue pour de meilleures compréhensions, ne devrait jamais être purement niée et c’est ce qu’on fait.
Sans compter la personnalisation du débat sur les personnes et les personnalités ou l’honneteté de Patseur et de Béchamp, qui apportent rien non plus
Nous devrions plus tôt nous saisir de tout ceux là, avec un esprit ouvert. Malheureusement, quand vous venez avec des arguments solides, on va comme même vous expliquer que de toutes façons les chercheurs sont tous vendus.
Tout cet extrêmisme discrédite et empêche d’avancer et c’est dommage pour l’AIMSIB qui se forge lentemetn une image sur la science très peu crédible, alors qu’on pourrait beaucoup faire mieux que ça

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Et il faudra effectivement que nous soyons vraiment ouverts Jane… Car quand on lit les travaux de Mario Beauregard, on se rend compte que tout notre édifice biologique et médical s’effondre avec la physique quantique…. Nous ne sommes pas encore prêts à une telle remise en question… C’es Pourtant aussi de la science bien réelle… et je pense que Bechamp et Jung étaient un peu plus en avance sur leur temps…. tout simplement…. Mais chaque théorie doit être expérimentée, qu’elle soit proche ou non de la vérité, ce n’est que l’experIence et non la théorie qui nous permet d’avancer ! Ce sont nos erreurs qui nous font faire les plus grands pas…Alors oui, avançons sans jugement ! Mais serons nous suffisamment ouverts et humbles pour que notre médecine fasse ce saut quantique ?

Dr Vincent Reliquet
Répondre à  Anne Gourvès
5 années il y a

Tu as raison Anne, l’irruption de la physique quantique fera exploser nos pauvres savoirs actuels. C’est Bernard Guennebaud qui « vibre » depuis longtemps de cette nouvelle approche.

Marc Henry dont personne ne doute de l’extraordinaire intelligence a repris l’idée que les molécules d’eau pouvaient s’organiser en domaines de cohérences avec par définition rien au centre, sauf du vide donc peut-être un piégeage possible d’ondes électro-magnétiques.

La suite ne plaira pas beaucoup à John ni à Jane mais poursuivons quand même par pur amusement de l’esprit, Henry calcule avec Avogadro qu’on devrait pouvoir arriver à stocker… 100To/cm3 d’eau.

Si 100 To peuvent tenir dans 1cm3 d’eau alors:
– Tout les génomes d’un million d’êtres humains pourraient tenir dans 1cm3 d’eau,
– Tous les génomes des 7 milliards d’humains vivants actuellement ne nécessiteraient que 7 litres d’eau pour les conserver tous,
– Tous les livres du monde? (200.000 To), 2 litres d’eau,
– Tout le contenu mondial de tous les flux internet de 2014, 640 litres d’eau!

Marc Henry, »L’eau et la physique quantique », la flemme de rechercher l’éditeur.

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Mais toutes ces questions sont légitimes et parfaitement scientifiques, tout bon scientifique doit aller au bout du questionnement, ne rien admettre qui n’ait été vérifié.
Je disais que le HPV serait prétendument la cause de cancer du col de l’utérus : alors qu’il n’est pas présent dans tous les cas de cancer du col. Cherchez l’anomalie !
Oui je me réfère à Béchamp parce qu’il savait déjà, il y a 150 ans que nous ne sommes pas stériles alors que la science ne le découvre que depuis peu (le microbiote intestinal était déjà connu à leur époque).
La démarche scientifique est précisément de s’appuyer sur des faits démontrés. Toutes les conclusions des scientifiques jusqu’à peu, se sont basées sur le fait que nous étions stériles. Tout pathogène trouvé dans l’organisme a donc été systématiquement considéré comme étant étranger à l’organisme. Mais cela n’a jamais été démontré, puisqu’admis.
Béchamp montrait que les microzymas morbides rejetés par nos organismes dans l’air deviennent très vite inoffensifs.
L’air en est saturé : nous serions tout le temps malades.
Oui, il a constaté qu’en introduisant un pathogène dans l’organisme il pouvait provoquer la maladie et parfois même une autre maladie, mais pour autant cette introduction n’est pas naturelle et il se posait la question de savoir si ce n’était pas le changement de milieu provoqué par cette introduction qui rendrait les microzymas internes pathogènes, sinon pourquoi développeraient-ils d’autres maladies. Mais il n’avait pas la génétique à sa disposition pour répondre.
Autrement dit, il reste énormément d’inconnues et je demande aux scientifiques de vérifier tout hypothèse « admise » parce que les conclusions de nombreuses études (basées sur des dogmes faux) peuvent tout simplement être fausses, mais particulièrement arrangeantes pour des commanditaires peu scrupuleux.

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

J’ajoute : en bref, n’y a t’il pas autant de gènes ‘viraux’ de la rougeole qu’il y a d’individus affectés. Sans compter les mutations suivant le milieu de culture.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3991672/
Mais les banques de gènes transcrits finiront par exploser un jour (pas si lointain). Peut être alors on se décidera à envisager l’identité propre à chaque individu des microbes et leur polymorphisme.

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

« transcrits » n’est pas le terme adéquate, disons analysés dans leur globalité.
Il est vrai que je m’attaque à une maladie jugée comme hautement transmissible. C’est présomptueux mais je ne fais que poser les questions qui devraient l’être systématiquement.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Mon cher Vincent…. Si tu savais à quel point ça me fait plaisir de voir des médecins ouverts sur les concepts de médecine quantique… prêts à remettre en question toutes les notions apprises sur les bancs de la fac… C’est cette ouverture d’esprit qui me rend fière d’être membre de l’AIMSIB !

Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

A propos de la science et des scientifiques actuels et auxquels John Doe se réfère, Marc Henry dit « ils ont raison, ils ont raison … mais dans un certain cadre. Il faut changer de cadre ». Dans un certain cadre, la racine carrée de -1 n’existe pas mais dans un autre cadre il y en a deux. Ce n’est pas tant de trancher entre ce qui serait vrai ou faux que de définir un nouveau champ des possibles. C’est à dire rechercher la fécondité plutôt que livrer des batailles sur le vrai et le faux, ce qui s’avère finalement très stérile.

Dans un certain cadre on peut faire ceci comme par exemple traiter des troubles de santé avec une molécule chimique mais dans un autre cadre, en élargissant le champ des possibles, on pourrait faire tout autrement.

Ceci dit, je ne ferai pas d’amalgame avec Béchamp, c’est a priori autre chose. Quant à l’éditeur de Marc Henry, c’est Dangles.

Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Voici des extraits de la description donnée en 1936par Jules Tissot professeur au Museum d’histoire naturelle sur l’évolution de la connaissance de la tuberculose :

« En 1865-1866, Villemin démontre que l’inoculation sous la peau du lapin de la matière tuberculeuse prise sur l’homme, une vache ou un lapin déjà rendus tuberculeux, reproduit la tuberculose ; il déduit de ce fait sa doctrine de la contagiosité de la maladie.

Ainsi était introduite dans la science la grave erreur qui devait diriger toutes les recherches futures dans une voie fatalement stérile. Les expériences de Villemin ne comportaient nullement la conclusion qu’il en a tirée. Cette conclusion aurait dû être strictement limitée à la signification du résultat de ses expériences qui était la suivante :

l’inoculation sous-cutanée de matière tuberculeuse aux animaux leur confère la tuberculose. Il n’y avait pas, dans ces expériences, la preuve que la contagion d’homme à homme était toujours la cause déterminante et nécessaire au développement de la maladie dans les conditions de vie habituelles, qui n’ont rien de commun avec les conditions de la transmission par inoculation sous-cutanée. »

Ici Tissot se montre rigoureux du point de vue de la logique élémentaire qui demande de ne pas confondre une proposition avec sa réciproque, à savoir que  »si A est vraie, alors B est vraie » n’implique pas pour autant que  »si B est vraie, alors A est vraie » ! Cette confusion est malheureusement assez répandue et tout particulièrement en recherche médicale comme Tissot nous le fait constater, ce qui peut avoir de graves conséquences. Il poursuit :

« Les conclusions de Villemin relativement à la contagiosité de la tuberculose furent très combattues parce qu’elles ne s’accordaient nullement avec les faits cliniques observés à ce moment par une pléiade de cliniciens qui nous ont laissé les preuves qu’ils étaient des observateurs de tout premier ordre. Il est intéressant, au point de vue historique, de rappeler avec quel pressentiment de la réalité Pidoux exposait à l’Académie de Médecine les arguments qu’il opposait aux conclusions de Villemin :

 »Des expériences sur les animaux vous donnent tel ou tel résultat, et, au lieu de les contrôler par l’expérience clinique et par toutes les données de la physiologie humaine, vous échafaudez sur elles une doctrine générale de la tuberculose humaine et de toutes les maladies. Pour cela, vous renversez toutes les notions acquises. Il faut que nous acceptions, du jour au lendemain, que la phtisie tombe des nues et que, dans sa pathogénie, le sujet, la constitution, les conditions hygiéniques, l’hérédité, les diathèses, ne sont rien, et que tout est sur la lame d’une lancette chargée d’un virus tuberculeux impossible, provenant sans doute d’un tuberculeux qui le tenait d’un autre, ainsi de suite jusqu’au premier homme, qui ne le tenait pourtant de personne et devait l’avoir formé de toutes pièces ».

Pidoux appuyait son argumentation en demandant qu’on lui fasse connaître un seul cas de tuberculose résultant d’une contagion avérée. Six ans après, pas un seul cas n’avait encore pu lui être opposé. De tels arguments ont une valeur si considérable qu’ils ont laissé un doute et que la notion de contagiosité a continué à être très contestée jusqu’en 1882.

La découverte et la culture du bacille de Koch en 1882, donnèrent une consécration décisive aux conclusions de Villemin et firent tomber, dès ce moment, toutes les objections opposées à la contagiosité ; celle-ci fut admise à peu près par tous.

Cependant, cette découverte n’enlevait rien à la valeur des faits cliniques observés au cours du siècle dernier et qui s’opposaient à la doctrine de la contagiosité.

L’infection bacillaire étant à peu près universellement admise, comme cause de la tuberculose, la lutte contre cette maladie se trouvait, par ce fait, engagée dans une voie dont elle pouvait difficilement sortir. »

Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Par contre, on ne peut dire la même chose pour la variole par exemple qui a été éradiquée en stoppant la transmission du virus. On ne peut pas appliquer un seul et même principe à toutes les maladies et à tous les pathogènes. Le bacille de Koch devenu Mycobacterium Tuberculosis, c’est très particulier sans être un cas unique, (il y a aussi la lèpre par exemple).
Soit dit en passant, Tissot avait découvert et publié des photos du BK en filaments 40 ans avant que la science le redécouvre ainsi, ce bacille ficelle uniquement pathogène sous cette forme. Les méthodes de préparations utilisées fragmentaient les filaments en bâtonnets.

Il y a une autre question très importante : le virus de la variole humaine tout comme celui de la rougeole ne se cultivent pas sur les animaux et ne les rendent donc pas malades. Le chat peut dormir pendant des jours sur le lit d’un malade de la rougeole, il ne la fera pas. Pourquoi ? Ce n’est pas parce qu’il serait bardé d’anticorps dès la naissance. La question est importante et plus encore serait la réponse car la véritable immunité ce serait cela.

Ce qu’on appelle la science a laissé beaucoup de zones d’ombre. La nature a horreur du vide, aussi il est naturel que certains cherchent à le combler en tentant de reprendre ce que l’histoire a laissé sur la route. Il n’est pas non plus interdit de penser que la vie ne peut s’affranchir des lois de la Physique et qu’elle se serait développée et maintenue indépendamment de celles-ci.
Luc Montagnier affirme que les microbes pathogènes ont une signature électro-magnétique, ce qui n’est pas le cas pour les non pathogènes. Il y a là un fait intéressant et qui pourrait être exploité de façon bénéfique mais ce qu’on appelle la science a enfermé la vie dans le tout biochimique et ça c’est une erreur colossale aux conséquences infiniment plus préjudiciables que les erreurs que les commentateurs de ce site pourraient commettre. J’ai raison parce que vous avez tort ! Ce n’est pas aussi simple.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Bernard,
merci pour tous tes commentaires
Ta sagesse, ton objectivité et ton ouverture d’esprit ne peut que tous nous éclairer ici et je ne me lasse pas de lire tes propos bienveillants…
Dire que la physique quantique sort du cadre de la science demande effectivement à ce que l’on redéfinisse la science et que l’on change de cadre pour ouvrir enfin le champ des possibles…
Si ces concepts de médecine quantique étaient une question de mode ils ne seraient pas soumis à la censure… mais envisager d’autres concepts que ceux matérialistes mettent à mal les lobbyistes…
Les résultats très scientifiques de Mario Beauregard montrent cependant qu’il est temps de changer de cadre car la science matérialiste actuelle devient de plus en plus impuissante à expliquer tous les mystères de la Vie…

Jane D.
Jane D.
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Dr Reliquet
Des nouvelles choses et perspectives est forcément plaisant !
Mais c’est pourvu qu’on ne manque pas de prudence et qu’on ne soit pas naïfs, à traiter comme si ces nouvelles choses étaient faciles à traiter et surtout qu’elles expliquaient tout, en faisant fi de ce qui existe actuelleemnt.
Ce n’est pas une bonne démarche

Dr Vincent Reliquet
Répondre à  Jane D.
5 années il y a

Vous avez raison mais je me méfie énormément des gens plus intelligents que moi (ils sont nombreux, John ne l’ignore pas) et qui comprennent avant moi si qui pourrait se révéler banal demain. Marc Henry c’est du lourd, à surveiller de près!

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Tous ces échanges sont riches. Chacun apporte les connaissances qu’il a approfondies sur la base de travaux scientifiques le plus souvent exemplaires et qui ne sont en aucun cas des délires, John. Les travaux de physique quantique dont parlent Marc Henry sont publiés. Lui-même, insiste auprès des scientifiques précurseurs afin qu’ils publient leurs travaux malgré tous les obstacles qu’ils rencontrent du fait de cette pensée unique imposée, plus par propagande que pour des raisons scientifiques.
Bernard, pourquoi y aurait-il amalgame ? Il y a sûrement un lien entre tous ces travaux, de Béchamp à la physique quantique et même à Jung. Cette notion de terrain (en réalité de Claude Bernard quand il a compris l’importance des découvertes de Béchamp), ne prend son sens que si l’on explique la contagion. Ce lien je le fais grâce aux travaux de LC Vincent : il avait établi un lien étroit entre maladie et paramètres de bioélectronique, mesurant le terrain. Mais s’il était capable de déterminer en aveugle la maladie d’une personne, la réciproque n’est pas vraie : des personnes peuvent présenter les mêmes caractéristiques BEV, sans exprimer la maladie.
La question est alors : qu’est-ce qui déclenche la maladie ?
On peut faire référence à Jung pour un déclenchement psychique, lorsque le mental est débordé, la maladie propice à l’état du terrain se déclare.
Quant à la contagion : la rencontre avec des microbes pathogènes qui émettent une onde électro-magnétique (merci Bernard pour ce rappel du Pr Montagnier) pourrait expliquer le déclenchement, toujours lorsque le terrain est propice bien sûr, au développement de la maladie en question.
Dans le cas des maladies infantiles, n’y a-t’il pas besoin pour l’enfant de faire un « break » pour que l’organisme assimile. Il pourrait y avoir à la fois une saturation mentale alors même que l’organisme entend le signal de « contagion », son terrain étant à ce moment là propice (sang acide-oxydé) et déclencherait alors la maladie.
Tout cela reste à prouver. Mais quand on a connu les maladies infantiles, soi-même ou celle de ses enfants, on constate l’évolution de l’enfant après cette étape par laquelle son organisme est passé.
De même que cette notion de terrain, on peut l’expérimenter soi-même, en se rétablissant ou en évitant les maladies grâce à un bon terrain de santé.
Cela dit, la maladie lorsqu’elle s’exprime est le signal que nous devons nous poser et remettre notre terrain et notre psychisme en état.
Jung proposait d’observer les pensées qui nous traversent quand la douleur s’éveille, afin de comprendre l’origine psychique de la maladie. C’est en lisant ce conseil dans la « guérison du coeur » de Guy Cornaud et en l’appliquant que j’ai découvert une blessure psychique que j’avais occultée pendant 25 ans et qui était sans doute à l’origine de la maladie dont j’étais victime. En rétablissant mon terrain (sans en avoir vraiment conscience à ce moment là) et en replaçant dans son contexte cette expérience qui m’avait marquée au point de l’occulter, j’ai retrouvé la santé alors que la médecine ne savait pas me soigner.

Jane D.
Jane D.
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Madame Fau,
Est-ce que les maladies infantiles ne sont pas, justement, la démonstration inverse à celle que vous tentez ? Tous les enfants d’une génération ont la rougeole, les oreillons, la varicelle, etc, parce que certains virus ou certaines bactéries pathogènes sont très contagieux. Et les varicelle parties épargnent peu d’enfants qui y participent.
Alors, le terrain a une importance probablemnet, persoonne ne le nie, mais que vous éxagérez très certainement beaucoup.

Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Brigitte Fau nous dit :  » la maladie lorsqu’elle s’exprime est le signal que nous devons nous poser et remettre notre terrain et notre psychisme en état ». Mais lorsque des maladies deviennent trop fréquentes, comme les maladies dégénératives, ce principe devrait aussi s’appliquer à nos sociétés qui doivent et devront aussi apprendre à se remettre en cause. Là c’est encore plus difficile et cela ne se fait généralement, comme l’histoire pourrait nous l’apprendre, que contraints et forcés par les événements.

Notre société est ainsi faite qu’elle ne veut pas ou ne peut pas se remettre en question. La rougeole dont on parle beaucoup en est un exemple. Même Didier Raoult, qui n’est ni marginal ni antivaccinaliste, remet en cause la politique vaccinale contre la rougeole. L’échec mondial contre la rougeole est inévitable car le vaccin n’a pas les propriétés requises pour obtenir les résultats escomptés. Mais « ils » ne veulent pas le reconnaître alors il faut trouver des coupables et les coupables c’est nous qui contestons depuis longtemps cette politique.

La rougeole et la varicelle ont pratiquement les mêmes problématiques. Il faut vacciner systématiquement contre la rougeole et surtout pas contre la varicelle (sauf des personnes particulièrement à risques comme les greffés non immunisés). Pourquoi ? Pour ne pas reproduire avec la varicelle les mêmes erreurs que celles commises avec la rougeole. C’est pratiquement ce que j’avais entendu aux journées de veille sanitaire de l’InVS fin novembre 2005.

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Oui, Bernard, nous sommes tributaires de notre environnement et du formatage dégradant de notre société.
C’est, en fait la société qui est malade d’une maladie auto-immune, elle s’autodétruit par méconnaissance de la nature, elle se ment à elle-même au point de s’en convaincre (propagande). L’homme se croit supérieur à la nature qui le compose, aux microbes qui le composent (et qui constituent tout organisme vivant) qu’il prend pour ses ennemis. La société est devenue paranoïaque. La cause de nos maladies est là. et nous pourrions refaire le monde sans aucun doute …

PascalB33
PascalB33
5 années il y a

Bonjour et merci Madame Gourvès pour cet article.

Il ne faut pas non plus oublier d’autres raisons moins scientifiques qui ont présidé à la mise en place de cette obligation vaccinale à 11 vaccins au lieu de 3.

Je veux dire le fait que, suite à un recours au conseil d’état de plus de 3 000 personnes, le ministère de la santé (à l’époque de notre chère « MST » Marisol Touraine) avait obligation de « faire usage de ses pouvoirs »… ou de modifier la loi vaccinale (« Sauf à ce que la législation évolue en élargissant le champ des vaccinations obligatoires. »).
En effet, le 8 février 2017, le Conseil d’État, que nous avions saisi, avait donné six mois au gouvernement pour « faire usage de ses pouvoirs » afin que les trois vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos et poliomyélite) soient disponibles dans les pharmacies sans être associés à d’autres vaccins. Ces vaccins n’étaient plus disponibles seuls depuis bientôt 10 ans ! (2008).
Pour respecter leur obligation vaccinale, les parents étaient obligés d’administrer un « super-vaccin », l’Infanrix Hexa, qui contient notamment l’hépatite B absolument inutile pour la plupart des enfants.

Notre nouvelle Ministre, qui semble avoir confondu Hypocrate et hypocrite, s’est empressée de choisir la seconde solution en passant l’obligation vaccinale à 11 vaccins.
Son 1er crime contre l’immunité !
La suite viendra avec la vaccination obligatoire au Gardasil…

A quand un RIC sur ce thème ? Ou pire peut-être…
si les autorités sanitaires continuent de se moquer des citoyens de tous âges, pour le seul profit de quelques-uns.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  PascalB33
5 années il y a

Il n’y a pas eu extension des obligations pour les enfants nés avant 2018, il serait important de ne pas l’oublier. Or le DTP avec une AMM enfant n’est toujours pas disponible pour eux.

Aussi, la conclusion logique de l’arrêt du Conseil d’Etat du 8 février 2017 est que, en l’absence d’un vaccin DTP disponible, le DTP certes obligatoire ne saurait être exigé :

 » Le Conseil d’État juge toutefois que la loi, qui n’impose que trois obligations de vaccination, implique nécessairement qu’il soit possible de s’y conformer en usant de vaccins qui ne contiennent que ces trois vaccinations. »

http://www.conseil-etat.fr/Decisions-Avis-Publications/Decisions/Selection-des-decisions-faisant-l-objet-d-une-communication-particuliere/CE-8-fevrier-2017-M.-B

PascalB33
PascalB33
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Parce que vous pensez que les enfants nés avant 2018, et non vaccinés (avec les 11 vaccins), sont acceptés à l’école ou chez les assistantes maternelles ?

njama
njama
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

@ PascalB33
Dans le public ce ne sont pas les écoles, mais les services scolaires des mairies qui sont en charge des inscriptions et contrôl(ai)ent avec plus ou moins de zèle. Pour les enfants nés « avant 2018 » une copie du carnet de vaccination est demandée à l’inscription, et doit attester d’au moins les 3 valences obligatoires DTP. Dans le privé (mon épouse est directrice d’une école primaire maternelle et primaire), parmi d’autres renseignements succincts sur la santé de l’enfant (allergies ?, médicaments à prendre ?, régime alimentaire particulier ?…) – une fiche type à remplir et à signer par les parents -, une photocopie du carnet de vaccination leur est également demandée et classée dans le dossier de l’élève « pour info » à disposition éventuelle du médecin scolaire au cas où…, c’est tout. Un carnet de vaccination qui n’est pas « à jour », ou vide, est de la seule responsabilité des parents, cela ne relève ni de ses fonctions ni de ses responsabilités (aucune instruction administrative officielle n’existe en ce sens), et n’ a jamais été un obstacle à une inscription, du moins dans son école.
A partir de 2021 le problème se posera probablement de n’accepter en classe maternelle que les enfants de 3 ans ayant reçu les 11 vaccins. Au delà de 6 ans, les vaccins ne sont que « recommandés »…

njama
njama
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Bonjour John Doe
Vous avez parfaitement raison le décret des 11 vaccins ne concernent que les enfants nés à partir du 1er janvier 2018. Et donc pour l’intégration en collectivité « dans les écoles » ne seront donc concernés que les enfants de 3 ans intégrés à partir du 1er janvier 2021. Je n’informais que sur la situation actuelle dans les écoles jusqu’à cette échéance.
Comme je l’indiquais les directeurs(trices) d’école qu’elles soient publiques ou privées (sous contrat d’association avec l’État je précise), à preuve du contraire aucune instruction administrative nationale officielle n’existe en ce sens, ils(elles) ne sont pas des « contrôleurs sanitaires » et ont bien d’autres chats à fouetter que de se s’occuper de savoir qui est vacciné ou non, et si les vaccins sont à jour ou non. C’est de la seule responsabilité des parents (ce qui paraît logique) en plus d’un dossier médical supposé confidentiel (cas de dispense de vaccins pour x raisons qui n’ont pas à être connue(s)).

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
5 années il y a

Votre interrogation est très pertinente, John Doe. En fait le Conseil d’Etat n’a pas explicité la conséquence logique de sa description de la loi (c’est son rôle de dire la loi en tenant compte de l’ensemble des lois). Les directeurs de crèches et autres n’ont pas de directives en ce sens qui viendraient de leur hiérarchie. Aussi, même s’ils comprennent parfaitement la logique qui fait conclure comme je le faisais, ils ne veulent pas prendre la responsabilité d’accepter l’enfant alors qu’ils le devraient.

J’ai eu connaissance d’un tel cas récemment et j’ai « piloté » l’affaire en donnant aux parents toutes les infos en provenance de cet arrêt du CE. Certes, les directeurs comprennent et ce à 2 niveaux, le directeur de la crèche et le superviseur des crèches de la région mais ils ont peur de la réaction de la PMI et de perdre leur agrément. Aussi, les parents on reçu un courrier dont j’ai eu copie leur annonçant que leur enfant était mis à la porte alors que le Droit leur donne raison.

Pour traiter cette question il faudrait, il n’est pas encore trop tard même si beaucoup de temps a été perdu, pour saisir le Conseil d’Etat sur ce point strictement juridico-juridique pour le contraindre à expliciter la conclusion : « en l’absence de sa disponibilité, le DTP certes obligatoire ne peut être exigé ».

Le Conseil d’Etat précise d’ailleurs que la formule DT d’un côté et polio de l’autre n’est pas une solution de rechange comme certains le disent et comme cela fut dit aux parents dont je parlais :

« Il ressort des pièces du dossier que, depuis plusieurs années, aucun vaccin correspondant aux seules obligations légales de vaccination des enfants de moins de dix-huit mois, prévues par les articles L. 3111-2 et L. 3111-3 du code de la santé publique, n’est commercialisé en France. Ainsi qu’il résulte des informations mises à disposition du public par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, et comme le reconnaît le ministre, le « kit spécifique » comportant ces seules trois vaccinations obligatoires, que les médecins peuvent obtenir auprès du laboratoire titulaire des autorisations de mise sur le marché et qui comprend, depuis mai 2015, en raison d’une rupture de stocks en France, un vaccin antidiphtérique et antitétanique faisant l’objet d’une autorisation d’importation en provenance du Canada, est réservé uniquement aux enfants présentant une contre-indication à la valence coquelucheuse »

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Le kit DT et Polio n’a pas d’AMM pour la France il me semble. Il est seulement autorisé à l’importation, ce qui n’est pas la même chose d’un point de vue juridique. Car en cas d’effets secondaires l’Etat ne peut indemniser une personne qui a utilisé un produit sans AMM pour la France. Donc utiliser ce kit entraîne la responsabilité des parents en cas d’effets secondaires.

Dans le cas de l’exigence DTP pour la crèche : les responsables d’établissement ne veulent pas prendre la responsabilité d’inscrire un enfant non vacciné alors que le vaccin n’existe pas ? Ils n’ont pas le droit de refuser l’inscription d’un enfant non vacciné : c’est seulement le 1er jour de garde qu’ils peuvent exiger les preuves des vaccins. Le DTP étant absent du marché, si les parents font un autre vaccin incorporant d’autres valences, ce sont eux aussi qui sont responsables en cas d’effets secondaires puisque ce vaccin n’est que recommandé.
Ils peuvent alors demander à la crèche une lettre du médecin de la PMI leur demandant de faire un autre vaccin étant donné l’absence du DTP. Dans ce cas c’est le médecin de la PMI qui endosse les risques d’effets secondaires.
Bref, c’est le serpent qui se mord la queue…Mais si on rajoute effectivement les propos du CE de février 2017 concernant le DTP, on arrive à une situation où tout le monde se décharge de toute responsabilité…. malgré l’obligation de vaccination pour un vaccin qui n’existe pas !
Il serait peut être bien dans cette situation d’expliquer aux responsables de crèches que la vaccination DTP n’est en aucun cas altruiste, et qu’il est préférable pour tous que les parents assument la non vaccination de leur enfant plutôt que de mettre les médecins de PMI, les responsables d’établissement et les parents face à des responsabilité de risques médicaux qu’ils n’ont pas à assumer.
Gardons en tête que l’Etat n’est jamais mis en cause en cas d’effets secondaires même sur des vaccinations obligatoires et que les médecins qui se croient protégés par le caractère obligatoire de la vaccination sont dans les faits les 1ers incriminés lors d’effets secondaires. Quant aux labos, il ne faudra pas moins de 15 ans de procédures pour les mettre face à leurs responsabilités en cas de conséquences graves d’une vaccination…
A méditer…

Bernard Guennebaud
Répondre à  Anne Gourvès
5 années il y a

En fait, selon le décret accompagnant la loi, l’enfant doit être accepté même sans vaccin. Les parents ont alors 3 mois, non pour faire réaliser toutes les vaccinations manquantes selon le calendrier mais pour débuter celles-ci et poursuivre selon un calendrier décalé.
Pour le cas dont j’ai eu à m’occuper, l’enfant était déjà dans l’établissement depuis longtemps, donc le délai de 3 mois était dépassé. Ils ont reçu une lettre d’expulsion malgré tous nos efforts pour faire comprendre la loi telle que décrite par l’arrêt du CE.

Le problème étant strictement juridico-juridique il n’y a pas lieu d’aller chercher d’autres arguments.

En fait, les parents ont saisi la PMI pour qu’elle donne son point de vue puisque c’était la réaction de la PMI que les directeurs craignaient. A l’heure actuelle je n’ai pas de nouvelles de la démarche. J’avais aussi suggéré aux parents d’aller en justice avec un jugement en référé qui peut être rendu sous un mois, ce qui peut permettre de laisser l’enfant dans la crèche en attendant un jugement plus définitif plus tard, si j’ai bien compris le principe du référé.

Il serait plus simple qu’une association saisisse le CE pour régler définitivement le problème…

Jane D.
Jane D.
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

le kit DTP n’est plus disponible. Il y a une possibilité de diphtérie et tétanos seuls, encore disponibles à des conditions précises et restrictives, marquées sur le site de Sanofi :
http://www.sanofipasteureurope.com/fr/nos-vaccins/Vaccin-dipht%C3%A9rique-et-t%C3%A9tanique.html

Rader
Rader
5 années il y a

Bel article. Je confirme. C’est bien le DTCoq qui est responsable, non seulement en Guinée Bissao mais aussi aux USA (Hinman et Copezan). C’est aussi ce vaccin qu’on a injecté aux parturiantes au Brésil à partir de fin novembre 2014, entre la 27e (mais 20e possible) semaine et 20 jours de l’accouchement… s’en est suivie l’explosion des cas de microcephalies…

njama
njama
5 années il y a

Des hormones stérilisantes dans les vaccins ? contamination confidentielle ou accidentelle, pas facile à établir. Une question délicate à manipuler car elle prête le flanc aux accusations de théories complotistes qui circuleraient dans les milieux qualifiés d’antivax.

D’après un article de Nexus n°68 de mai-juin 2010 sur le lien entre surpopulation et eugénisme (médical) ainsi que sur les vaccins stérilisants (en ligne*), le Dr Françoise Berthoud pédiatre homéopathe à Genève qui a travaillé en Afrique signale que ce n’est pas la première fois que l’Unicef est impliquée dans une polémique sur des agents stérilisants dans les vaccins. Au Nigeria, comme aux Philippines et que « la hCG glissée dans des vaccins a été également trouvée dans au moins quatre autres pays en voie de développement ». Tout en indiquant que ce genre d’allégations démenties par l’OMS comme par l’UNICEF émane souvent de milieux « pro-life » et religieux … Voir Interview pages 61 à 63.
* http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/Juin-2013/Mondialisme—Surpopulation–le-nouveau-visage-de-l-eugeni.pdf

A contrario, la présence d’éléments chimiques dans les vaccins tels que le polysorbate 80 alias Tween 80 ou le borax, l’octoxynol 10 (Triton X-100) ou du squalène (connu sous le nom d’adjuvant AS03 ou MF59) serait parfaitement susceptible d’affecter la fertilité. C’est d’ailleurs ce qu’il semble se passer avec le dernier vaccin en promo …
« Gardasil, combien de vierges sacrifiées sur l’autel de la vaccination ? » Magazine NEXUS 15 septembre 2018
Extraits de Nexus n° 118 : « Dès l’introduction des premiers vaccins anti-HPV (Gardasil quadrivalent et Cervarix), de nombreuses jeunes filles ont rapporté des troubles du fonctionnement ovarien survenus après l’injection. Si l’on ignore les effets potentiels de l’administration de neuf protéines de papillomavirus (on peut imaginer une forme de réaction auto-immune locale), l’on sait pourtant qu’un risque est associé aux autres composants : l’aluminium dont on connaît les effets neurotoxiques, le polysorbate et le borax. Le polysorbate ou Tween 80 provoque des perturbations hormonales, des déformations des ovaires et la destruction de follicules, lorsqu’on l’injecte à des souris, et il est utilisé dans les vaccins pour la stérilisation des animaux (2). Quant au borax, c’est l’ingrédient de la mort-aux-rats (…)

Aux États-Unis, le taux de natalité a connu une baisse drastique de 11 % suite à l’introduction du vaccin HPV, alors qu’il avait augmenté de 8 % durant la décennie précédente. Les chiffres analysés par Gayle Delong interpellent : sur 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, on note que 60% des non-vaccinées ont démarré au moins une grossesse, pour seulement 35 % chez celles ayant reçu un vaccin anti-HPV. Dans la catégorie des femmes mariées, l’écart reste marqué, avec 75 % de conception chez les non-vaccinées, pour seulement 50 % chez les femmes “immunisées” (3). »

(2) Gajdova M., Jakubovsky J., Valky J., « Delayed effects of neonatal exposure to Tween 80 on female reproductive organs in rats », Food Chem. Toxicol., 31 mars 1993 (3) : 183-190. PMID : 8473002.
(3) 12. DeLong G., « A lowered probability of pregnancy in females in the USA aged 25-29 who received an HPV vaccine injection », Journal of Toxicology and Environmental Health, vol. 81, Issue 14, p. 661-674, 2018.

source :https://www.facebook.com/magazine.nexus/photos/-gardasil-combien-de-vierges-sacrifi%C3%A9es-sur-lautel-de-la-vaccination-sous-couver/10160727444870244/

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  njama
5 années il y a

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3124969
(…) »La gonadotrophine chorionique humaine (hCG) est un candidat majeur pour la mise au point d’un vaccin. Le programme spécial de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), par le biais de son groupe de travail sur les vaccins pour la régulation de la fertilité, soutient la recherche sur un vaccin de synthèse dirigé contre les 37 derniers acides aminés du C-terminal fin de la molécule bêta hCG.  » (…)

njama
njama
Répondre à  Anne Gourvès
5 années il y a

Merci Anne Gourvès pour le lien

Les programmes de recherches de régulation de la fertilité par les vaccins sont bien une réalité historique si j’en crois quelques recherches vite faites, aussi incroyable que cela puisse paraître ! Voilà qui va ajouter de fortes suspicions à la défiance générale sur les vaccins, et aux intentions de la vaccinologie, un vaccynisme qui ne nous veut pas forcément du bien…
Il suffit par exemple d’indiquer « Task Force on Vaccines for Fertility Regulation » ou « contraceptive vaccines » pour obtenir de nombreux résultats et constater que ce n’est pas de la science-fiction !

L’OMS, la Banque mondiale et le Fonds des Nations Unies pour la population sont parties prenantes depuis le début des années 70 dans ces programmes de recherches sur les méthodes immunologiques de régulation de la fertilité par des vaccins initiés et financés par la Fondation Rockefeller.

The WHO Task Force on Vaccines for Fertility Regulation. Its formation, objectives and research activities.
Hum Reprod. 1991 Jan;6(1):166-72. Griffin PD1.1 Special Programme of Research, Development and Research Training in Human Reproduction, World Health Organization, Geneva, Switzerland.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1874951

Rockefeller-Funded Anti-Fertility Vaccine Coordinated by WHO
By Jurriaan Maessen – Global Research, September 04, 2010

https://www.globalresearch.ca/rockefeller-funded-anti-fertility-vaccine-coordinated-by-who/20906
l’article en français : https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&hl=fr&prev=search&rurl=translate.google.com&sl=en&sp=nmt4&u=https://www.globalresearch.ca/rockefeller-funded-anti-fertility-vaccine-coordinated-by-who/20906&xid=25657,15700022,15700043,15700186,15700190,15700253,15700256,15700259&usg=ALkJrhjxt0G1V4bwpQB1qzdA7CYJ4Cv_1Q

Jacques Lefort
Jacques Lefort
5 années il y a

Bonjour

Au sujet de la vaccination, pour les personnes qui désirent ne pas faire vacciner leurs enfants en toute conscience. Il peut y avoir un moyen en mettant tout le monde devant ses responsabilités, sachant comme l’a si bien démontré Anne Gourvès, qu’il y a tromperie sur la communication envers les parents sur composition des vaccins.
Il suffirait au moment de la vaccination que le, les parents demandent aux médecins ou à le, la pharmacien(ne) [ La vaccination fait partie des missions pouvant être exercées par les pharmaciens d’officine sur l’ensemble du territoire depuis le 1er mars 2019 (article 59 de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2019).], de signer un papier comme quoi l’enfant ne subira aucun risque et qu’en tant que praticiens ils prennent la responsabilité de ce qui peut arriver, sachant qu’aucun risque ne peut arriver suite à cette vaccination.

Dr Vincent Reliquet
Répondre à  Jacques Lefort
5 années il y a

Proposition très intéressante que l’on retient pour nos discussions de Juin à Paris, merci à vous

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Jacques Lefort
5 années il y a

Bonjour,
malheureusement dans la pratique ceci ne fonctionne pas.
Aucun médecin n’acceptera de signer un tel papier, d’autant plus vu de la longue liste d’effets secondaires figurant sur la notice des vaccins.
Comme en plus il s’agit d’une vaccination obligatoire, le médecin ne signe pas de responsabilité, car il se croit totalement protégé par le caractère obligatoire de la vaccination. Ce qui est totalement faux dans les faits : dans le cadre d’une vaccination, même obligatoire, c’est assez fréquent qu’un médecin qui déclare un effet secondaire vienne se faire « titiller » sur son mode opératoire par des experts des labos… Aucun témoin, le médecin a sûrement foiré son injection n’est-ce pas ? Si vous voulez attaquer les labos, par contre il faudra 15-20 ans de procédures judiciaires… Alors le médecin est une proie bien plus facile quand il faut trouver un coupable… Bref, de toutes manière, le médecin ne signera pas un tel papier et si les parents refusent de vacciner, l’enfant n’ira pas à l’école… Attendons de voir la réalité en septembre 2021…

Ballais
Ballais
5 années il y a

Pour ce qui est de l’épidémie supposée de rougeole vous dites qu’en 2011 il y avait 15000 cas mais sur le diagramme je n’en vois que 3600; alors qu’en est-il vraiment? Pourquoi ne dites vous pas 3600?? Je me pose cette question car s’il y a un écart aussi énorme entre 2 chiffres pour une même donnée à quelques lignes que dois-je penser de vos autres chiffres dans le reste de l’article?? Peut-t-on s’y fier??

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Ballais
5 années il y a

Bonjour,
le graphe de la figure 1 est un diagramme barre qui représente les cas de rougeole mois par mois ! Pour l’année 2011 il faut donc comptabiliser toutes les barres de l’année et non uniquement le pic de mars à 3600 cas.
Si vous avez d’autres doutes sur les chiffres mentionnés dans l’article, n’hésitez pas à m’en faire part…

Ballais
Ballais
Répondre à  Anne Gourvès
5 années il y a

merci pour cette précision!

Bernard Guennebaud
5 années il y a

Quoiqu’il en soit des effets indésirables graves ou modérés des vaccinations, il n’y a aucune raison pour s’en inquiéter puisque, au cours de la restitution de la concertation vaccinale, le 30 novembre 2016, le Professeur Alain Fisher avait affirmé « qu’il y a l’ONIAM, c’est parfait ! » Dormons en paix, l’ONIAM veille sur nous.

Auparavant il avait affirmé que la vaccination systématique, généralisée et obligatoire contre la variole nous avait libéré de 2 fléaux, la variole et sa vaccination. Il précisera en effet que cette vaccination provoquait une encéphalite pour 1000 vaccinations et que malgré cela la balance bénéfice-risque était très positive. Il en déduisit que même si aujourd’hui des vaccins pouvaient provoquer parfois des accidents graves, la balance bénéfice-risque demeurerait positive.

Soyons donc convaincus qu’en mère protectrice et aimante, l’ONIAM sera toujours là pour bercer et adoucir la vie des rares victimes.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Tout à fait Bernard !
Et donc, puisqu’on ne tient pas compte de l’impact individuel de la vaccination et qu’il faut bien assumer des risques pour « sauver » la population, vacciner revient donc à demander aux parents :
« quels sont ceux qui acceptent de voir leur enfant en pleine santé mourir ou finir handicapé à vie suite à la vaccination pour le « bien » de la communauté ? »
Les courageux qui accepteront de sacrifier leur progéniture à la roulette russe auront (peut-être) la chance d’être indemnisés par l’ONIAM, si le lien de cause à effets est reconnu, après 15 ans de procédure judiciaire…
Malheureusement, par le caractère obligatoire de la vaccination, on oblige tous les parents à être « courageux » et à jouer à la roulette russe avec leurs enfants…

njama
njama
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Les propos du Professeur Fischer sont une belle illustration de ce que peut être le vaccynisme ! puisque le politique de santé publique s’accommode sans états d’âme particulier d’un pourcentage de ratés (accidents, handicaps et décès) pour promouvoir un bénéfice au plus grand nombre, assez hypothétique dans le cas des vaccins.
Nous ne sommes plus dans la déontologie, ni même dans la morale, mais dans « l’utilitarisme », une théorie anglo-saxonne (Jeremy Bentham, John Stuart Mill) qui identifie le bien à l’utilité (utility) et le juste à ce qui maximise l’utilité. Cette doctrine normative est malheureusement dans l’ADN de l’OMS si l’on en juge par la définition officielle que cette organisation internationale donne de la santé dans sa Constitution.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Utilitarisme
https://www.who.int/fr/about/who-we-are/constitution

Éthique déontologique vs éthique utilitariste, vaste sujet…

Ballais
Ballais
5 années il y a

Je ne sais pas d’où viennent vos chiffres mais ce ne sont pas ceux de santepublicfrance
« Depuis le 1er janvier 2019, 1184 cas de rougeole ont été déclarés (vs 2306 cas sur la même période en 2018), dont 378 (32%) hospitalisés (16 en réanimation), 94 cas (8%) compliqués de pneumopathie, 2 cas d’encéphalite dont 1 décès (encéphalite subaiguë chez un sujet immunodéprimé). »

njama
njama
Répondre à  Ballais
5 années il y a

Le graphique (Figure 1) vient de Santé Publique France ici :
Publié le 21/02/2018 Épidémie de rougeole en France. Actualisation des données de surveillance au 20 février 2018.
http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-prevention-vaccinale/Rougeole/Points-d-actualites/Epidemie-de-rougeole-en-France.-Actualisation-des-donnees-de-surveillance-au-20-fevrier-2018

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Ballais
5 années il y a

Bonjour,
dans l’article je mentionne « 349 cas confirmés en 2017 ». Ce sont bien les chiffres de l’InVs. Mais il s’agit des cas confirmés biologiquement et non simplement les cas déclarés. Je trouve que ces chiffres sont cliniquement plus fiables. Les chiffres que vous mentionnez sont les cas déclarés de 2018/2019.
Si vous pensez que j’ai volontairement mentionné les cas confirmés plutôt que les cas déclarés pour minimiser les chiffres 2017 par rapport à la période 2010-2011, vous constaterez sur le graphe 1 que cela n’est pas nécessaire pour constater l’absence d’épidémie actuelle. Le graphe 1 qui représente uniquement les cas déclarés est sans équivoque…même en tenant compte des chiffres les plus élévés de 2017…

Ballais
Ballais
5 années il y a

Votre source n4 https://www.sciencesetavenir.fr/sante/new-york-les-enfants-non-vaccines-bannis-des-lieux-publics_132462
« D’après le bulletin épidémiologique rougeole de Santé Publique France du 27 mars 2019, 489 cas de rougeole ont été déclarés en France depuis le 1er janvier 2019 et « 91 % des cas sont survenus chez des sujets non ou mal vaccinés. » Le nombre de cas est beaucoup moins important qu’en 2018 mais reste préoccupant : il est équivalent à celui obtenu en une année entière en 2013 ou 2015. »
Alors qu’en est-il de cette rougeole?

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Ballais
5 années il y a

Bonjour,
je vous sens effectivement préoccupé par ces chiffres sur la rougeole. Les médias sous lobbying font effectivement un excellent boulot et la pression à la vaccination basée sur la peur a toujours parfaitement bien fonctionné.
Je vous invite donc à lire avec attention l’article suivant :
https://www.aimsib.org/2019/04/07/une-epidemie-de-rougeole-qui-accablerait-la-population-francaise-en-2019/
En espérant qu’après cette lecture vous ne soyez pas trop inquiet concernant la varicelle, qui touche 700 000 personnes en France chaque année et qui tue 20 fois plus que la rougeole…

njama
njama
5 années il y a

Pourquoi la rougeole (measles), alors que le risque épidémiologique n’est pas du tout manifeste, et pourquoi 90 % de couverture vaccinale … sur des enfants de moins de 15 mois ?

L’explication pourrait bien se trouver dans ce programme mondial GLOBAL HEALTH SECURITY AGENDA – Immunisation Action Package GHSA Action Package Prevent-4

Five-Year Target : A functioning national vaccine delivery system—with nationwide reach, effective distributions, access for marginalized populations, adequate cold chain, and ongoing quality control—that is able to respond to new disease threats.

As Measured by : At least 90% coverage of the country’s fifteen-month-old population with at least one dose of MEASLES-containing vaccine as demonstrated by coverage surveys or administrative data.

Desired National Impact : Effective protection through achievement and maintenance of immunization against measles and other epidemic-prone vaccine-preventable diseases (VPDs). MEASLES immunization is emphasized here because it is widely recognized as a proxy indicator for overall immunization against VPDs. Countries will also identify and target immunization to populations at risk of other epidemic-prone VPDs of national importance (e.g., cholera, Japanese encephalitis, meningococcal disease, typhoid, and yellow fever). In the case of some diseases that are transferable from cattle to humans, such as anthrax and rabies, animal immunization should also be taken into account.

Country Commitments to Action Package :
Leading countries : Italy, Portugal
Contributing countries : Bangladesh, Cote d’Ivoire, India, Mongolia, Pakistan, Republic of Korea, Saudi Arabia, United Arab Emirates, Yemen
Contributing international organizations : FAO, OIE, WHO

https://www.ghsagenda.org/packages/p4-immunization
———————————
La France y adhère > Site du Gouvernement français, page en anglais :
6 May 2016
Global Health Security Agenda
Implementation of international health regulations, with robust, transparent global governance, is a priority for France. It particularly supports the creation of a health crisis response platform, and has taken the initiative of mobilising the G7 on the issue of the cost of innovative medicines.

Content published under the Government Valls III from 2016 11th February to 2016 06th December
http://www.gouvernement.fr/en/global-health-security-agenda
—————————————–
President Obama Cements Global Health Security Agenda as a National Priority
https://blogs.cdc.gov/global/2016/11/04/president-obama-cements-global-health-security-agenda-as-a-national-priority/
—————————————–
L’histoire de la vaccination contre la rougeole est-elle encore scientifique ? ou devenue purement politique ? Le gouvernement français remettrait-il ce programme international en question ?

Ballais Anna
Ballais Anna
Répondre à  njama
5 années il y a

Merci d’avoir répondu aussi rapidement à mes interrogations.
C’est que j’ai un fils de 9mois qui doit faire son entrée en crèche dans quelques jours, je suis donc censée amener le carnet de santé avec les vaccinations pour finaliser son inscription. Je suis donc en pleine recherche sur le sujet, et j’avoue que comme on trouve tout et son contraire, que les 2 bords anéantissent les arguments de l’autre en disant qu’il n’y a aucune preuve scientifique valable, que je ne sais plus quoi penser, même si de toute façon je ne crois pas que les labos soient philanthropes, mais quand je vois des choses qui me semblent incohérentes j’ai besoin de précisions.
Et je ne sais toujours pas quoi faire!!

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Ballais Anna
5 années il y a

Bonsoir Anna,
je comprends parfaitement votre désarroi concernant ces obligations vaccinales.
Effectivement aujourd’hui, on est dans une période où l’on trouve finalement trop d’informations sur la vaccination, et toute personne novice a beaucoup de mal à se faire sa propre opinion sur un tel sujet.
Alors ça ne sert à rien bien sûr que je vous dise encore une fois tout le fond de ma pensée sur ce sujet, sujet que je creuse depuis 15 ans, car malgré tous les arguments que vous pourriez lire ici, vous pourriez trouver d’autres informations contraires ailleurs.
Mais quand on est maman, je crois que l’instinct maternel finit toujours par nous guider sur la bonne voie si on s’écoute vraiment, avec le cœur.
Finalement, je vais plutôt vous dire d’arrêter de lire pleins de choses et de vous installer confortablement avec votre fils dans le canapé, et de commencer par retrouver un peu de sérénité par rapport à tout ça… Et il arrive un moment où vous vous affranchissez de la peur, où vos prises de décisions deviennent finalement plus évidentes quand on écoute son cœur… Faites les choses en votre âme et conscience Anna, ne prenez aucune décision basée uniquement sur la peur, que ce soit la peur des maladies ou la peur des vaccins. Et quelles que soient les décisions que l’on prend dans la vie pour ses enfants, si elles sont prises avec amour, ce sont toujours de bonnes décisions. L’intention que l’on met dans ce que l’on fait est souvent plus important que ce que l’on fait…
Je vous souhaite de passer un week end serein, et de trouver les réponses à vos questions, pas forcément ici, mais à l’intérieur de vous même !

Bernard Guennebaud
Répondre à  Ballais Anna
5 années il y a

Dans ce cas, il y aura au moins une chose qu’il faut que vous sachiez : même si votre enfant n’a reçu aucun vaccin, son entrée en crèche ne peut pas lui être refusée pour ce motif. Vous avez alors 3 mois, non pas pour faire toutes les vaccinations manquantes (il risquerait d’en mourir !) mais pour débuter ces vaccinations avec un calendrier décalé, en le débutant par exemple à 10 mois au lieu de 2 mois.

C’est le décret d’application du 25 janvier 2018 : https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2018/1/25/SSAP1732098D/jo/texte

 » lorsqu’une ou plusieurs des vaccinations obligatoires font défaut, le mineur est provisoirement admis. Le maintien du mineur dans la collectivité d’enfants est subordonné à la réalisation des vaccinations faisant défaut qui peuvent être effectuées dans les trois mois de l’admission provisoire conformément au calendrier prévu à l’article L. 3111-1. Les vaccinations n’ayant pu être réalisées dans ce délai sont poursuivies suivant le calendrier susmentionné. »

Bernard Guennebaud
Répondre à  Ballais Anna
5 années il y a

Vous pouvez avoir raison dans les faits, c’est malheureusement la réalité, l’idéologie de la vaccination étant ce que nous constatons tous les jours et qui va s’amplifiant dans ses manifestations. Cela n’interdit pas pour autant de connaitre les règlements et de tenter de les faire valoir.

Souvent, un enfant est inscrit en crèche plusieurs mois à l’avance, la vérification du dossier vaccinal se faisant au moment de l’arrivée de l’enfant, d’autant plus que les vaccinations exigibles ont pu évoluer. Ce serait une manifestation raciste que de l’exclure à ce moment là et contraire à la loi. Imaginez une mère blanche ayant un enfant noir. Quand elle l’inscrit, l’enfant n’est pas présent. Quand il arrive, on l’exclut parce qu’il est noir. Imaginez le scandale !

Je l’ai déjà dit ici je crois, j’ai connu tout récemment le cas d’un enfant né avant 2018 et qui fréquentait une crèche. Il a été exclu en avril dernier au motif de l’absence de DTP alors que ce vaccin n’est pas disponible sans vaccins additionnels et que le Conseil d’Etat avait clairement tranché cette question en écrivant qu’on ne pouvait exiger des vaccins enrichis pour satisfaire à la seule obligation du DTP, lançant même un ultimatum au gouvernement !

L’exclusion fut prononcée au nom du non respect de la loi alors que cette exclusion n’est pas conforme à la loi telle que l’avait décrite le Conseil d’Etat dont la mission est justement de dire la loi en tenant compte de l’ensemble du dispositif législatif et non d’une seule phrase extraite d’une loi. En fait, le directeur, pourtant conscient du problème, avait très peur de perdre son agrément. C’est le règne par la terreur comme le fait aussi le conseil de l’ordre des médecins qui terrorise ceux-ci par rapport aux vaccinations.

Ce recours à la terreur où, à tous les échelons de la société, les responsables de ceci ou de cela ont peur de représailles, c’est très inquiétant et on observe là une dérive très dangereuse qui s’installe avec les vaccinations et qui pourra ensuite s’étendre à d’autres domaines.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Ballais Anna
5 années il y a

John Doe,
je comprends votre réaction face à mes propos qui vous semblent « incroyables »…. Ils sont effectivement in-croyables car ils ne tiennent pas de la croyance…
Rappelons que les parents qui refusent une transfusion sanguine pour leurs enfants le font soit par peur soit par conviction religieuse. La peur est à l’opposé de l’amour et les règles d’une religion ne sont pas loin de la peur.
Sans doute faudrait il pour répondre à votre question redéfinir aussi ce que signifie réellement aimer…
Je ne vais pas m’étendre sur ce sujet ici, John, ce serait bien trop complexe… et ma réponse ferait à nouveau appel à la physique quantique… Savez vous que des chercheurs ont démontré que chacune de nos pensées avaient une fréquence énergétique capable d’influer sur nous même et notre environnement ? Que chaque pensée peut avoir une action sur la matière ?
Il faudrait aussi reprendre les merveilleuses expériences de Masaru Emoto décrites dans son livre « le miracle de l’eau » pour étayer cette réponse…
Je ne sais plus qui a dit : « l’intention que l’on met dans ce que l’on fait est plus importante que ce que l’on fait vraiment »… Mais je trouve que c’est assez exact et se vérifie souvent…
Bref, répondre à votre interrogation sur mes propos ne peut se faire ici, serait bien trop complexe, trop long…
Il faudrait même redéfinir ce qu’est la maladie ou mal-a-dit…
Car comme le disait C.G.Jung, « la maladie est l’effort que fait la nature pour nous guérir »
Très vaste sujet !
Je vous souhaite une belle journée John

Brigitte Fau
Répondre à  Ballais Anna
5 années il y a

Je suis une fois en phase avec la réponse de Anne, mais John, vous allez être une fois de plus choqué, mais quand on connaît les travaux de René Quinton on comprend qu’une transfusion sanguine n’est pas la panacée d’autant plus que le sang que l’on transfuse est totalement oxydé et que les risques de conséquences sur la santé sont plus importantes qu’on ne le pense.
Ce sont des choses que l’on cache aux scientifiques, encore une fois, pourtant Quinton a sauvé quantité de gens, à l’article de la mort.
https://www.bonnes-habitudes.fr/contact/articles/sv-quinton/

Brigitte Fau
5 années il y a

Il manque « encore » … une fois en phase avec Anne.

njama
njama
Répondre à  Brigitte Fau
5 années il y a

Effectivement le sérum de Quinton pourrait remplacer dans la majorité des cas très avantageusement et sans aucun risque beaucoup de transfusions sanguines … ce qui éliminerait par ailleurs les problèmes de compatibilité sanguine et de contaminations diverses ( présence de maladies ou d’agents transmissibles (VIH-SIDA, hépatite B et C, syphilis, paludisme, maladie de Chagas,…)
D’un point de vue purement « physique » en cas d’hémorragie, il faut suppléer très rapidement aux pertes de « liquide sanguin » pour maintenir (au moins) dans un premier temps une pression artérielle suffisante, et d’un autre point de vue « physiologique », maintenir l’ensemble des paramètres physico-chimiques de l’organisme etc. (homéostasie)… c’est aisé à comprendre … or, le PLASMA DE QUINTON est identique physiquement, chimiquement, physiologiquement à notre milieu intérieur.

Page 183 du PDF ou 171 du livre :
« Les globules rouges eux-mêmes, malgré leur apparence de mobilité et de diffusion, sont limités comme champ de vie à un système vasculaire clos, ne représentant que le douzième en poids de l’organisme. Le globule blanc seul, par son pouvoir de diapédèse lui rendant perméables les parois, vit essentiellement de la vie générale de l’organisme, au contact des tissus, dans toutes les régions de l’économie. Il doit être considéré par excellence comme le témoin du milieu vital. »

Page 187 du PDF, ou 175 du livre :
« Ainsi, l’eau de mer, substituée totalement au milieu vital de différents animaux, choisis au hasard dans toutes les classes des Vertébrés, permet la vie d’une des cellules les plus délicates de l’économie, le globule blanc, témoin par excellence du milieu vital.
De toutes ces expériences, il résulte en résumé que : l’eau de mer, substituée d’une façon ou d’une autre, partiellement ou totalement, au milieu vital d’un Vertébré, se comporte auprès de ses cellules (au moins relativement) comme le milieu vital lui-même. Entre l’eau de mer et le milieu vital du Vertébré (c’est-à-dire de l’organisation la plus élevée du règne animal et douée de la plus haute puissance vitale), il y a physiologiquement identité. »
——————-
* « L’EAU DE MER MILIEU ORGANIQUE, constance du milieu marin originel, comme milieu vital des cellules, à travers le série animale ».
Par René Quinton, Assistant du Laboratoire de Physiologie pathologique des Hautes Études, au Collège de France.
Paris MASSON ET Cie ÉDITEURS Librairie de l’Académie de Médecine,(1904)

réédité >> http://www.amazon.fr/LEau-milieu-organique-Ren%C3%A9-Quinton/dp/2733771450

ou télécharger le PDF : http://www.vliz.be/imisdocs/publications/214765.pdf

Alexandre
Alexandre
5 années il y a

Bonjour

Vous sous-entendez vers la fin de votre article que les vaccins pourraient générer des maladies auto immunes alors même que dans la lettre que vous joignez avec, il est explicitement expliqué que le vaccin ne peut pas générer de maladie auto immune mais « seulement la révéler ou en provoquer une poussée ».
Le vaccin n’est pas responsable de la maladie en elle même mais peut participer à son aggravation. Raison pour laquelle on évite de vacciner ces personnes quand on a connaissance de la maladie; ce qui est également expliqué dans la lettre.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Alexandre
5 années il y a

Bonjour Alexandre et merci de votre message.

On sait qu’il existe des gènes qui prédisposent à des maladies auto-immunes. Il y a quelques années, certains (rares) médecins réalisaient un typage HLA avant de faire le vaccin contre l’hépatite B car en cas de prédisposition à la sclérose en plaque, ils ne faisaient pas ce vaccin chez cette personne. Malheureusement, le typage HLA n’est plus remboursé.
Cette prédisposition génétique n’est qu’une prédisposition et ne signifie en rien que la personne aura un jour la maladie au cours de sa vie. C’est simplement un risque augmenté.

Lorsque l’on parle en génétique de « créer de novo » comme mentionné dans cette lettre, il s’agirait de dire que la vaccination serait capable de réaliser la mutation génétique favorable à cette prédisposition. Comme mentionné dans la lettre, cela n’a encore jamais été observé. Par contre la vaccination peut « révéler » la maladie, c’est à dire qu’elle pourrait contribuer à l’expression de la maladie.

C’est à dire qu’on ne peut attendre de savoir si la personne est atteinte d’une maladie auto-immune pour s’interroger sur le fait de faire ou non une vaccination. Il faudrait au moins réaliser un typage HLA afin de comprendre si cette personne a déjà dans ses gènes une prédisposition à ce type de maladies. Dans ce cas, un stimulation artificielle de son système immunitaire n’est pas souhaitable.

Je vous souhaite une belle journée

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
5 années il y a

Il y a quelque chose qui me gène, c’est le cas de le dire puisqu’il est fait allusions aux gênes ! En quoi des facteurs génétiques pouvant prédisposer à une maladie pourraient-ils être assimilés à une anomalie, une maladie qu’une vaccination pourrait révéler ?

Une personne a la peau très blanche, elle ne bronze pas au soleil et est ainsi prédisposée aux coups de soleil. En quoi ce serait une maladie que le soleil révélerait ? Si les rouquins étaient prédisposés, du fait d’être rouquins, à certaines maladies, en quoi le fait d’être rouquin serait une maladie ?

Donc une vaccination ne révèle pas une maladie qui n’existe pas. Par contre, la structure du vaccin peut interagir avec certains gènes et déclencher une maladie. Si le vaccin était préparé autrement il pourrait ne pas produire cet effet. Il ne faudrait pas en arriver à ce que ce soient les vaccins conçus par les industriels qui définissent la norme humaine en éliminant ceux et celles qui ne seraient pas génétiquement conformes à leurs produits, ce serait un comble que nous ne sommes pas loin d’accepter.

Anne Gourvès
Anne Gourvès
Répondre à  Bernard Guennebaud
5 années il y a

Bonjour Bernard

Intéressante réflexion !…
Mais ce débat est très complexe car si l’on tient compte de l’épigénétique, on ne peut plus considérer que seuls nos gènes seraient responsables de prédispositions à des maladies. Il a déjà été démontré que notre mode de vie a une forte incidence sur les oncogènes par exemple…

En ce qui concerne la comparaison avec le soleil, je ne pense pas qu’elle soit juste… Si un vaccin peut influencer l’expression ou non d’un gène impliqué dans une prédisposition à une maladie, ce n’est pas le cas du soleil. Le soleil n’entre pas en interaction avec nos gènes pour déterminer le type de mélanine que l’on va produire. Le type de mélanine est codé par nos gènes dès notre conception et dénote d’une caractéristique physique et non un gène de prédisposition à des coups de soleil. Le coup de soleil ne peut non plus être considéré comme une maladie car c’est un mécanisme de défense important de la peau. Cette inflammation est le « résultat » de l’apoptose des cellules qui ont accumulé trop de lésions induites par les UV et qui n’ont pu être réparées. La cellule choisit la mort plutôt que de survivre et maintenir des anomalies génétiques qui pourraient conduire à un phénomène de cancérisation. La mélanine détermine le niveau de protection de notre peau. Ainsi une peau blanche a un « seuil de réactivité » plus bas qu’une peau noire et sera plus sujette à des coups de soleil. Mais c’est peut-être justement l’évolution qui a sélectionné les gènes qui codent pour telle ou telle mélanine en fonction de notre localisation géographique….dans ce sens, les UV ont peut être eu un impact sur la sélection des gènes codant pour la mélanine en fonction de nos besoins ?

Quoiqu’il en soit, il faut retenir que grâce à la plasticité de notre ADN (que l’on croyait auparavant figé), l’existence de tels ou tels gènes ne revêt plus un caractère irréversible…. Et je pense que c’est à nouveau la physique quantique qui nous permettra de comprendre à quel point la lecture de notre ADN seul ne peut déterminer ce que nous sommes !

Doc77
Doc77
5 années il y a

Bonjour,

Il est indiqué dans un commentaire ci-dessus de Mme Gourvès que le typage HLA n’est plus pris en charge par la sécurité sociale. Pourtant, juridiquement, nous avons le droit de nous assurer de ne pas avoir de prédisposition négative à un vaccin comme une allergie à l’un des produits qu’il contient. La Loi, et notamment, l’Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de ‘ prendre toutes précautions ‘, c’est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l’on veut administrer à l’enfant n’est pas dangereux pour lui.
Je suis dans le même cas que beaucoup, j’ai un nourrisson qui doit rentrer à la crèche et il est hors de question de lui faire injecter Infanrix Hexavalent (avec hépatite B, adjuvant aluminique et dérivé de mercure-entre autres) et le Prevnar (qui est une saloperie, très douloureux à l’injection dixit noter medecin de famille pour qui s’est un crève cœur de faire hurler les bébé lors de son administration) et cela à 8 semaines! C’est juste n’importe quoi. Toute personne ne bon sens devrait s’alarmer.

Bref,

J’ai donc fait faire une ordonnance à mon médecin. Cela ne l’implique pas, c’est à notre demande pas la sienne. Car tenter de lui faire signer une décharge est un non sens juridique. Ils ont d’ailleurs été prévenus sur les site de lobbying pro-vaccins obligatoires. Comme ici (dernier paragraphe) : https://www.macsf-exerciceprofessionnel.fr/Responsabilite/Humanisme-deontologie/vaccins-obligatoires-refus-parents

Je vais donc demander une prise en charge à la sécurité sociale par courrier en recommandé avec accusé de réception en indiquant que je souhaite m’assurer de ne faire encourir aucun risque à mon enfant lors de la vaccination et notamment sa sensibilité à certains allergènes ainsi qu’un typage HLA (mon médecin sera mis en copie):

a) Ionogramme complet, dosage de l’urée,
b) Lipidogramme,
c) Test allergiques (Formaldéhydes et Niomicines sont disponibles car demandés par certaines professions)
d) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques

Si des médecins me lisent, peuvent-il me préciser quel(s) bilan(s) endocrinien peut être utile également svp?

Lors de la demande de consultation du carnet de santé du directeur de la crèche, si la secu ne m’a toujours pas répondu, je ferai inscrire dans le carnet de santé : « vaccination en attente de tests préalables ».

Voici un excellent moyen de gagner du temps. En cas de réponse négative, il faudra alors engager une poursuite devant les autorités compétentes.

Très honnêtement, j’aurais vacciné mon enfant contre la polio et la tuberculose sans aucune hésitation si le vaccin ne contenait pas de mercure et d’adjuvant aluminique. Mais là, ça devient débile de fermer les yeux devant cette dérive qui est tombée dans l’excès. En 2030, 36 vaccins dès l’accouchement?

Cdt,

Emilio
Emilio
5 années il y a

En complément des informations figurant sur le site de la MACSF, je vous invite à lire et à relayer cet article :

http://www.rolandsimion.org/spip.php?article431

Lire plus particulièrement la partie « un éléphant en forme de bête immonde ? », le PS du 21/12/18 et la PJ « courrier CPAM aux généralistes », les note n°9 & n°10.

Il y a aussi différents articles chez Hippocrate et Pindare qui peuvent vous intéresser, notamment celui-ci :

https://hippocrate-et-pindare.fr/2018/06/15/la-police-medicale-cest-bien-le-debut/

Duke
Duke
5 années il y a

Merci Emilio, en effet, la CPAM refuse systématiquement la prise en charge des examens pré-vaccinaux sous le motif qu’il n’y a aucune réalité scientifique derrière ces précautions ni aucun droit juridique à l’exiger… sauf que c’est faux. Évidemment, on est en droit d’exiger des tests préalables à une vaccination chez un nourrisson puisque les textes disent que le vaccinateur doit s’assurer de l’absence d’antécédents ou d’allergie par exemple. Or, dans le cas d’un nourrisson, et donc d’une première vaccination, on ne peux pas connaitre ses antécédents! Le seul moyen pour prévenir une réaction anormale à un vaccin réside donc bien dans des tests complets, contrairement à ce que la lettre adressée aux médecin affirme.

https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Aspects-pratiques/Acte-vaccinal/Precautions-avant-vaccination

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