Beyfortus en février 2025: alors l’efficacité? Et la toxicité?

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Hélène Banoun ne sait pas oublier les sujets qui fâchent. Dès novembre 2023 les premiers résultats cliniques publiés semblaient faire craindre une mortalité accrue chez les bébés soumis aux injections de Beyfortus, nous vous l’avions relaté à trois reprises (*, **, ***). Alors que la campagne « immunisante » 2024-2025  a été interrompue prématurément de nombreux signaux d’alertes apparaissent, concernant à la fois l’efficacité mais aussi la toxicité du nirsevimab. Pourquoi la communauté médicale et l’ensemble des parents ne peuvent pas avoir accès aux éléments soigneusement camouflés par les industriels et par nos autorités de tutelle ? Bonne lecture. 

 

Les quatre questions pour lesquelles nous attendons des réponses concernant la campagne 2024-2025 d’immunisation des nouveau-nés avec le Beyfortus (le nirsevimab ou Beyfortus® est un anticorps monoclonal injecté aux nourrissons à la naissance pour les protéger du VRS, virus de la bronchiolite).

1- Pourquoi 37% des bébés admis en réanimation pour bronchiolite avaient-ils été immunisés avec le Beyfortus ?

2- Pourquoi le Ministère de la Santé ne donne pas le statut d’immunisation au Beyfortus des 3 bébés décédés de bronchiolite ?

3- Pourquoi le taux d’admission en réanimation pour les bébés de 6 à 11 mois est-il supérieur cette année à toutes les saisons précédentes alors que la plupart de ces bébés ont été immunisés par Beyfortus la saison précédente ?

4- Pourquoi le Ministère de la Santé a-t-il mis fin prématurément à la campagne d’immunisation des nourrissons au Beyfortus le 31 janvier 2025 ? La saison dernière, la campagne était prévue jusqu’au 31 mars 2024 et elle a été écourtée par manque de doses disponibles, ce qui n’a pas été le cas cette année puisque le gouvernement avait mis 600 000 doses en circulation. Le prétexte avancé par les autorités serait l’arrêt de la circulation du VRS, le virus responsable de la bronchiolite du nourrisson. Cependant, ce n’est pas ce qui apparaît sur les courbes fournies par le Ministère. La temporalité des actes de SOS médecins pour bronchiolite du nourrisson recoupe les années précédentes (2025 = courbe rouge) 

sos medecin bronchiolite fev25

Que nous dit le Bulletin IRA (infections respiratoires aigües) du 5 février 2025 (1) ?

Extraits du bulletin:

 Pour les nourrissons les plus jeunes, l’intensité de l’épidémie de bronchiolite est restée inférieure à celle des épidémies antérieures.

« Parmi les 1 488 enfants de moins de 2 ans vus aux urgences pour bronchiolite en S05, 473 (31,8%) ont été hospitalisés, dont 439 étaient âgés de moins de 1 an.
La surveillance des cas graves de bronchiolite chez les moins de 2 ans s’appuie sur des services de réanimation pédiatrique volontaires. Sont signalés les patients de moins de 2 ans avec une bronchiolite nécessitant une prise en charge en réanimation, quel que soit le virus à l’origine de l’infection (identifié ou non). Les services participant peuvent signaler tous les cas admis en réanimation ou les cas admis en réanimation un jour donné de la semaine. Cette surveillance n’est pas exhaustive.

Depuis début septembre 2024 et jusqu’au 3 février 2025, 449 cas graves de bronchiolite ont été signalés par les services de réanimation participants. Parmi eux, le VRS et les rhinovirus/entérovirus ont été identifiés dans 293 et 106 cas respectivement (soit 65% et 24% des cas pour lesquels un pathogène a été recherché et identifié). Les cas étaient majoritairement âgés de moins de 6 mois (74%) et 31% des cas avaient au moins une comorbidité identifiée ou étaient nés prématurés. Un traitement préventif contre les infections à VRS par nirvesimab avait été administré pour 37% des cas.

Au 3 février 2025, 3 décès de nourrissons hospitalisés en réanimation pour bronchiolite ont été signalés au cours de la saison 2024-2025 (aucun décès au cours de la saison précédente). 65% des bébés hospitalisés et testés étaient porteurs du VRS (tous les nourrissons ne sont pas testés même en cas d’admission en réanimation). Au total 449 enfants de moins de 2 ans ont été admis en réanimation

Alors que la saison épidémique a été inférieures aux saisons précédentes, la part de la bronchiolite parmi les passages en réanimation des enfants de moins de 2 ans a été comparable aux années précédentes (courbe rouge, la moyenne étant la zone grise) »

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D’après l’annexe au Bulletin, l’intensité de l’épidémie apparait ainsi, à ce stade de la saison, globalement inférieure à ce qui avait été observé les saisons antérieures chez les nourrissons de moins de 3 mois.

C’est la deuxième saison d’immunisation au Beyfortus, pourtant il est clair d’après les courbes fournies que les admissions en réanimation pour les moins de 1 mois ont été supérieures à TOUTES les autres saisons en 2023-2024 et se situent dans la moyenne en 2024-2025.

Pour les bébés de 3 à 5 mois, le taux d’admission en réanimation après passage aux urgences pour bronchiolite se situe dans la fourchette haute pour 2023-2024 et 2024-2025 et il est supérieur à celui de toutes les autres saisons pour les bébés de 6 à 11 mois pour 2024-2025 :

rea bebe 6 11mois fev2025

La plupart de ces bébés ont été immunisés au Beyfortus la saison précédente ; cet anticorps monoclonal a une action de longue durée qui dure 6 mois, ensuite les taux diminuent et peuvent alors provoquer une facilitation/aggravation de la bronchiolite par phénomène ADE comme je l’ai montré (12)

 

Une étude française (3) sur « l’acceptabilité du Beyfortus chez les parents de nouveau-nés et sur la sécurité du produit » (publiée en décembre 2024) vient encore confirmer la toxicité probable et l’efficacité douteuse de ce produit.

L’analyse de cette petite étude (sur 477 nouveau-nés) vient confirmer, malgré les conclusions rassurantes des auteurs, les doutes sur l’efficacité et la toxicité de ce produit.

Cette étude a été réalisée à la maternité de l’hôpital universitaire de Lille entre le 18 septembre 2023 et le 23 janvier 2024, c’est-à-dire pendant la première campagne d’immunisation en France. Elle concerne 477 enfants sur 1730 enfants nés dans cet hôpital pendant cette période. Les parents qui ont participé à l’étude ont accepté à 91,6% l’injection du produit.

Seuls les enfants nés à plus de 34 semaines de gestation et pesant plus de 1800 g ont été inclus. Mais en tout, 1253 sur les 1730 enfants ont été exclus : pour des raisons administratives ou pour refus des parents de participer. Il est étonnant qu’avec une acceptabilité de 91,6% seulement 27,5% des parents aient accepté de participer à l’étude. Mais au final seulement 297 questionnaires complets ont été rendus par les parents (270 enfants ayant reçu le nirsevimab et 27 enfants contrôles), donc cette étude ne concerne que 17% des enfants qui auraient pu être inclus et 167 (38%) parents d’enfants traités et inclus dans l’étude n’ont pas répondu à l’enquête. Aucune raison n’est donnée par les auteurs.

On ne peut donc pas conclure d’après une étude aussi parcellaire (83% des bébés nés pendant la période observée n’ont pas été inclus, pourquoi) ?

Les évènements indésirables sont suivis jusqu’à 30 jours après l’injection ou l’inclusion dans l’étude pour les contrôles. Pour les auteurs aucun effet indésirable grave n’est attribuable au nirsevimab. Les auteurs principaux font partie des experts en vaccins chez Sanofi et Merck.

Aucun effet indésirable grave n’a été recensé 2h après l’injection chez les 351 enfants (351/437 = 80%) dont les parents ont répondu, chez les 20% d’enfants restants, on ne sait pas si un effet grave a été recensé.

On peut supposer que les parents des enfants ayant reçu le nirsevimab et ayant subi un effet indésirable dans les 2h suivant l’injection n’auront pas pris la peine de remplir le questionnaire puisque les médecins étaient parfaitement au courant de cet événement.

Un effet indésirable a été noté dans les 2h après injection chez 21 enfants traités (sur les 351 dont les parents ont répondu, donc 6%) ; il s’agit de diarrhée, éruption cutanée, respiration anormale, autre effet non précisé. Dans les 7 jours après injection il y a 9 effets indésirable graves chez les nouveau-nés traités et aucun chez les contrôles ; mais ce ne serait pas significatif d’après l’étude statistique.

Les auteurs concluent que la seule différence entre les 2 groupes concerne les régurgitations à 30 jours.

Pourtant on note aussi plus de coliques dans les 30 j, plus de toux dans les 7 jours, plus de fièvre, plus de bronchiolites, de désordres alimentaires, de conjonctivites, une Covid, plus de respirations anormales dans les 7 jours, et surtout d’admissions à l’hôpital (11 chez les traités -4%- contre 1 chez les contrôles -3,7%) chez les enfants traités.

Dans le matériel supplémentaire il est noté 26 effets indésirables graves et 295 effets non graves dans les 30 jours suivant l’injection chez les 437 enfants traités. Tout ceci est jugé non significatif (étant donné le faible nombre de sujets) et non attribuable au nirsevimab.

Il faut noter que l’ANSM (4) notifie des effets indésirables semblables aux effets rapportés dans cette étude : bronchiolites, bronchiolite grave, trouble respiratoire (détresse respiratoire parfois immédiate), syndrome grippal, diarrhées, risque avéré d’hypotonie (et même mort subite) .

Concernant la plus grande proportion de fièvres, conjonctivites, désordres intestinaux, il faut rappeler que le Beyfortus®-nirsevimab est susceptible de provoquer une facilitation/aggravation des bronchiolites et également de favoriser toutes sortes d’infections respiratoires par perturbation non spécifique du système immunitaire (5).

Qui voudrait bien avoir la correction d’apporter une réponse à nos quatre fondamentales interrogations de départ ?

 

Hélène Banoun,
Février 2025

 

 

 

 

Notes et sources

(*) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2023/11/12/les-mauvaises-surprises-des-vaccins-et-therapies-preventives-contre-la-bronchiolite-a-vrs/
(**) https://www.aimsib.org/2023/12/10/le-train-du-beyfortus-a-deja-deraille/
(***) https://www.aimsib.org/2024/09/29/analyse-de-la-campagne-dimmunisation-au-beyfortus-nirsevimab-efficacite-biais-et-risques-dade-dans-la-prevention-du-vrs/
(1) https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/grippe/documents/bulletin-national/infections-respiratoires-aigues-grippe-bronchiolite-covid-19-.-bulletin-du-5-fevrier-2025
(2) : Banoun H. Analysis of Beyfortus® (Nirsevimab) Immunization Campaign: Effectiveness, Biases, and ADE Risks in RSV Prevention. Curr Issues Mol Biol. 2024 Sep 18;46(9):10369-10395. doi: 10.3390/cimb46090617. PMID: 39329969; PMCID: PMC11431526. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39329969/)
(3) Ocana de Sentuary C, Testard C, Lagrée M, Leroy M, Gasnier L, Enes-Dias A, Leruste C, Diallo D, Génin M, Rakza T, Dubos F. Acceptance and safety of the RSV-preventive treatment of newborns with nirsevimab in the maternity department: a prospective longitudinal cohort study in France. EClinicalMedicine. 2024 Dec 9;79:102986. doi: 10.1016/j.eclinm.2024.102986. PMID: 39726670; PMCID: PMC11669793. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39726670/
(4) https://ansm.sante.fr/actualites/prevention-de-la-bronchiolite-du-nourrisson-les-premieres-donnees-de-pharmacovigilance-confirment-le-profil-de-securite-du-nirsevimab-beyfortus
RAPPORT D’ENQUETE DE PHARMACOVIGILANCE, RAPPORT D’EXPERTISE N°1 BEYFORTUS® (Nirsevimab), 11/09/2023 au 30/04/2024, publié le 30 septembre 2024
(5) Banoun, 2024, Analysis of Beyfortus® (Nirsevimab) Immunization Campaign: Effectiveness, Biases, and ADE Risks in RSV Prevention https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39329969, en français : Analyse de la campagne d’immunisation au Beyfortus® (nirsevimab) : efficacité, biais et risques d’ADE dans la prévention du VRS https://www.aimsib.org/2024/09/29/analyse-de-la-campagne-dimmunisation-au-beyfortus-nirsevimab-efficacite-biais-et-risques-dade-dans-la-prevention-du-vrs/

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hub37
hub37
16 février 2025 18h27

La seule question qui n’est pas posée est la raison de l’absence de la moindre étude clinique randomisée en double insu des 1) morbidité-TOUS SPECTRES et 2) mortalité TOUTES CAUSES.  Il y a pourtant un certain nombre de décennies qu’on sait parfaitement les faire honnêtement (avec, notamment, les nécessaires standardisations par âge).  J’ai du mal à évaluer notre sincérité dans la recherche prioritaire de la vérité utilisable par les cons de sommateurs.  Déjà que l’État confie systématiquement aux coupables récidivistes les seules zétudes sans que personne n’y trouve à redire…

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
16 février 2025 23h46

Il y avait « 270 enfants ayant reçu le nirsevimab et 27 enfants contrôles » avec un dossier complet et « Dans les 7 jours après injection il y a 9 effets indésirable graves chez les nouveau-nés traités et aucun chez les contrôles ; mais ce ne serait pas significatif d’après l’étude statistique. »

Les auteurs ont donc réalisé un test statistique entre les cas et les contrôles (appelés aussi témoins). De quel test s’agit-il ? Il s’agit du test dit « exposés – non exposés » où l’on compare les proportions de malades parmi les exposés (au nirsevimab) et les non exposés.
Avec 9 cas parmi 270 et 0 parmi 27 le test est très significatif (0,12% de chances pour avoir un tel écart par le seul hasard). Cependant avec 1 seul cas parmi les 27 témoins on aurait 46% de chances d’avoir un tel écart par le seul fait du hasard.
Ce n’est pas surprenant car le groupe témoin est 10 fois plus faible que le groupe des exposés et l’on a alors seulement 9 fois plus de cas parmi les exposés que parmi les témoins.
Il faut reconnaitre que la faiblesse de l’effectif des témoins rend peu fiable le résultat très significatif du test. Les médecins furent trop convaincants dans leur insistance zélée (n’en doutons pas !) pour faire accepter l’injection aux parents.
D’une manière générale, si tout le monde est vacciné il n’y a plus de comparaison possible. Les vaccinations systématiques et obligatoires rendent impossibles la réalisation d’études épidémiologiques fiables.

Maurice Seigner
Maurice Seigner
17 février 2025 9h21

L’ANSM pourrait renforcer sa crédibilité si elle décidait de mettre sous surveillance renforcée cet anticorps monoclonal avec la mise en place d’un suivi des E.I. (Effets Indésirables) à la hauteur de ce qu’il avait été possible de faire par les centres de pharmacovigilance avec le précédent des vaccins à ARN.
Ainsi, elle s’éviterait un potentiel nouveau scandale comme celui vécu avec le changement de formule de la L-thyroxine de Bayer (Levothyrox) !

anthome
17 février 2025 11h14

En attendant, vous reprendrez bien un peu de propagande ?
Les premiers résultats de l’immunisation contre le VRS sont très encourageants : les hospitalisations de jeunes enfants sont fortement réduites
Publié le : Mercredi, 12 février 2025
https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/les-premiers-resultats-de-limmunisation-contre-le-vrs-sont-tres-encourageants-les-hospitalisations

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
19 février 2025 9h24

Lu dans The Defender du 18 février :

« RFK Jr. : Le HHS va enquêter sur toutes les causes possibles des maladies chroniques, y compris les vaccinsDans son premier discours adressé à son personnel, le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr., s’est engagé à soumettre les causes potentielles des maladies chroniques – même les plus controversées – à une « enquête scientifique impartiale ».
Dans son premier discours devant son personnel, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS) Robert F. Kennedy Jr. s’est engagé à soumettre les causes potentielles des maladies chroniques à une « enquête scientifique impartiale ».
« Rien ne sera tabou », y compris ses convictions personnelles passées, a déclaré Kennedy lors de sa cérémonie de bienvenue aujourd’hui.
Le 13 février, la Maison Blanche a publié un décret créant la Commission Make America Healthy Again , que Kennedy dirigera.
Kennedy a déclaré aujourd’hui que dans le cadre de ce programme, il demanderait au HHS d’enquêter sur de nombreuses causes possibles de l’ épidémie de maladies chroniques aux États-Unis.
« Certains des facteurs que nous allons étudier étaient formellement tabous ou insuffisamment étudiés », a-t-il déclaré. « Ceux qui ne sont pas disposés à adopter ce genre d’idées peuvent prendre leur retraite », a-t-il ajouté.
Avant et pendant ses audiences de confirmation , Kennedy a été vivement critiqué par les démocrates et les médias grand public pour avoir soulevé des questions sur la sécurité des vaccins . Aujourd’hui, il a inclus le calendrier de vaccination des enfants dans la liste des domaines autrefois « tabous » qu’il prévoyait d’examiner.

L’ agence étudiera également d’autres facteurs potentiels de l’ épidémie de maladies chroniques , notamment les rayonnements électromagnétiques , le glyphosate et d’autres pesticides, les aliments ultra-transformés , les additifs alimentaires artificiels , les antidépresseurs et autres médicaments psychiatriques, un groupe de produits chimiques connus sous le nom de PFAS et les microplastiques .
Kennedy a déclaré qu’il prévoyait de réunir les parties prenantes « de tous les points de vue » et d’établir à l’avance des protocoles d’étude qui ne seront pas modifiés lorsque les résultats sembleront « gênants ».
« Dépolitisons tous ces questions et rétablissons un terrain d’action commun et renouons la recherche de vérités existentielles sans obstacles politiques ni idées préconçues », a-t-il déclaré.
Kennedy a également déclaré qu’il travaillerait à éliminer les « conflits d’intérêts » au sein des comités consultatifs du HHS afin de rétablir la confiance du public, a rapporté Bloomberg Law . »

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
19 février 2025 9h40

Lu dans The Defender du 14 février. C’est long mais tout est absolument passionnant et porteur d’un immense espoir. On ose à peine y croire. Et pendant ce temps chez nous …on a Michel Cymes … :

« Nous le ferons tout de suite » : RFK Jr. promet un meilleur suivi des blessures causées par les vaccins, alors que la Maison Blanche lance la commission MAHARobert F. Kennedy Jr. dirigera une nouvelle commission multi-agences, Make America Healthy Again, a annoncé jeudi la Maison Blanche après que Kennedy a prêté serment en tant que 26e secrétaire du HHS du pays. Kennedy a également déclaré qu’il développerait un système de déclaration et de surveillance des blessures liées aux vaccins plus précis.

Le programme de Robert F. Kennedy Jr. pour lutter contre l’épidémie de maladies chroniques a commencé à prendre forme jeudi, immédiatement après sa confirmation au poste de secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS).
Dans un décret publié jeudi soir, la Maison Blanche a annoncé la création de la Commission Make America Healthy Again , que Kennedy dirigera.
Et lors d’une apparition sur Fox News dans l’émission « The Ingraham Angle », Kennedy a promis de s’attaquer aux problèmes de sécurité des vaccins en développant un système de surveillance et de déclaration des blessures liées aux vaccins plus précis que le système de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins ( VAERS) , géré par le gouvernement , qui ne capture que 1 % des blessures .
« Nous allons le faire immédiatement », a déclaré M. Kennedy à M. Ingraham. « Nous devons connaître le profil de risque de ces produits. »

Les deux annonces s’inscrivent dans le cadre du programme « Make America Healthy Again » (MAHA) de Kennedy, visant à lutter contre l’ épidémie de maladies chroniques aux États-Unis. Le Sénat américain a confirmé Kennedy lors d’un vote de 52 à 48 jeudi.
La lutte « agressive » contre l’épidémie de maladies chroniques devient une politique officielle
Selon le décret du président Donald Trump , lutter « de manière agressive » contre « les défis sanitaires critiques auxquels sont confrontés nos citoyens, notamment les taux croissants de troubles de santé mentale, d’obésité, de diabète et d’autres maladies chroniques » deviendra la politique officielle du gouvernement.
Les maladies telles que l’autisme , l’asthme et la stéatose hépatique font partie des pathologies sur lesquelles la commission se concentrera , a rapporté Fox News.
« Le trouble du spectre autistique touche désormais 1 enfant sur 36 aux États-Unis, soit une augmentation stupéfiante par rapport aux taux de 1 à 4 enfants sur 10 000 diagnostiqués avec cette maladie dans les années 1980 », indique le décret exécutif.
Sayer Ji , fondateur et directeur de GreenMedInfo et cofondateur de Stand for Health Freedom , a déclaré que le décret exécutif représente « un moment extraordinaire et historique pour le mouvement pour la liberté de la santé et l’avenir du bien-être de notre nation ».

La commission nouvellement créée « marque l’institutionnalisation du mouvement MAHA – un mouvement qui lutte depuis des décennies pour apporter vérité, transparence et responsabilité aux soins de santé américains », a déclaré Ji.
Ji a ajouté :
« Pendant bien trop longtemps, nous avons vu les maladies chroniques, les blessures causées par les vaccins , la toxicité environnementale et la capture réglementaire dévaster la santé de millions de personnes, en particulier nos enfants .
« Pour la première fois dans l’histoire moderne, une commission fédérale reconnaîtra officiellement ces crises et œuvrera à la recherche de véritables solutions qui placeront le bien-être du peuple américain au-dessus des profits des entreprises. »
Kennedy a déclaré à Fox News que Trump lui avait également demandé d’étudier la sécurité des vaccins et leurs signaux de sécurité.
« Nous n’avons pas de système de surveillance qui fonctionne réellement », a déclaré Kennedy. « Le Congrès, l’Institut de médecine et l’Académie nationale des sciences ont demandé à plusieurs reprises aux CDC [Centers for Disease Control and Prevention] de mettre en place un meilleur système de notification des vaccins. »
« Soutenir la création d’un système de déclaration des blessures liées aux vaccins plus fiable et plus efficace est essentiel pour la transparence et la confiance en matière de santé publique », a déclaré la Dre Michelle Perro , pédiatre . Un tel système « garantirait une meilleure collecte de données, permettant aux praticiens d’identifier les effets secondaires, d’améliorer les protocoles de vaccination… et de mettre en place des programmes de vaccination sûrs ».

Une approche multi-agences pour résoudre les crises sanitaires
Les dirigeants des National Institutes of Health, du CDC, de la Food and Drug Administration (FDA), de l’Agence américaine de protection de l’environnement, du ministère américain de l’agriculture et du ministère américain de l’éducation, entre autres, seront représentés au sein de la commission.
« Ce que nous aimons dans ce décret, c’est qu’il s’agit en fait d’un mandat donné aux chefs des différents départements de l’administration pour qu’ils se montrent conciliants et travaillent ensemble », a déclaré Zen Honeycutt, directrice exécutive fondatrice de Moms Across America et du Neighborhood Food Network . « C’est ainsi que nous allons rendre à l’Amérique sa santé et sa grandeur : en comblant les fossés en mettant de côté les égos et en collaborant. »
Ji a déclaré que Kennedy « aura besoin d’alliés forts et respectueux des principes au sein de la commission, prêts à remettre en question le statu quo, à dénoncer la corruption et à faire pression pour un véritable changement systémique ».
La commission remettra au président des recommandations sur la politique et la stratégie à suivre. Elle devra notamment réaliser une évaluation initiale des facteurs susceptibles de contribuer à l’épidémie de maladies chroniques dans un délai de 100 jours et élaborer une stratégie nationale visant à rendre nos enfants en bonne santé dans un délai de 180 jours.
Perro a salué les objectifs et le calendrier établis par le décret exécutif pour la commission.
« Il est essentiel d’évaluer l’efficacité des programmes de santé actuels, de garantir l’accès du public à des données fiables et transparentes et de préserver l’intégrité scientifique en empêchant l’influence de l’industrie », a déclaré Perro.
« Ce que nous allons faire, c’est donner aux gens de bonnes connaissances scientifiques »
L’évaluation et la stratégie permettront également d’évaluer l’efficacité des programmes et du financement fédéraux existants et de restaurer « l’intégrité de la science » en augmentant la transparence et en supprimant « l’influence indue de l’industrie ».
Lors de ses auditions de confirmation plus tôt ce mois-ci, Kennedy s’est engagé à faire de la « transparence radicale » et de la « bonne science » les pierres angulaires de sa direction du HHS.
Selon le décret, « toutes les recherches en santé financées par le gouvernement fédéral devraient donner aux Américains les moyens d’agir grâce à la transparence et aux données open source », en donnant la priorité à « la recherche de référence sur les causes profondes des maladies des Américains ».
Cette recherche devrait également « éviter ou éliminer les conflits d’intérêts qui faussent les résultats et perpétuent la méfiance », stipule le décret.
Kennedy a déclaré à Fox News que plusieurs panels d’agences de santé publique qui élaborent des politiques telles que des directives sur les vaccins et la nutrition sont composés d’« experts extérieurs », dont presque tous « ont de graves… conflits d’intérêts ».

a Commission aborde « la plus grande crise à laquelle notre nation est confrontée »
Le décret exécutif autorise Kennedy à « organiser des audiences publiques, des réunions, des tables rondes et des événements similaires, selon le cas » et à recevoir l’avis d’experts de la part de dirigeants en matière de santé publique et de responsabilité gouvernementale.
Perro a déclaré qu’elle se réjouissait de l’opportunité offerte aux membres du public de travailler avec la commission, la qualifiant d’« opportunité en or que nous attendions ».
« Notre expérience acquise au cours de nos années de soins aux enfants atteints de maladies chroniques en première ligne peut aider Kennedy à élaborer une stratégie pour concrétiser au mieux nos objectifs en matière de santé », a déclaré Perro. « Beaucoup d’entre nous sont déterminés à contribuer à ce processus. »
La révérende Wendy Silvers , fondatrice du mouvement Million Mamas , a déclaré que la commission et les remarques de Kennedy lui donnent « un sentiment d’espoir et d’enthousiasme qu’il y a quelqu’un dans un poste gouvernemental qui honore non seulement les mères mais aussi les enfants d’une manière qui ne s’est jamais produite auparavant ».
« J’espère que cette commission s’efforcera de dépasser les clivages partisans pour créer un avenir où le peuple américain ne sera plus prisonnier d’un système médical défaillant et axé sur le profit. Si elle est menée à bien, cette initiative établira une nouvelle norme mondiale pour ce que la santé publique peut et doit être », a déclaré Ji.

njama
njama
19 février 2025 12h15

La fabrique de l’opinion !

Sabatier Jean-Marc
@SabatierJeanMa1
« Le Monde » :
TRIBUNE : « 52 personnalités du monde de la santé appellent à un plan national d’action en faveur de la vaccination maternelle ».

Tribune soutenue par Pfizer (cf. bas article*) !
https://x.com/SabatierJeanMa1/status/1891901727139414393

*La liste des signataires
https://nextep-health.com/tribune-plan-national-vaccination-maternelle/

Nextep, un Cabinet de Conseil Expert en Santé…
Premier cabinet français de conseil en Affaires Publiques spécialisé sur le secteur de la santé, nous proposons un regard unique sur les interactions public-privé qui combine l’expertise santé, l’éthique métier et le sens de l’intérêt général.

L’article du Monde, intégralité réservée aux abonnés
https://www.lemonde.fr/sciences/article/2025/02/18/la-vaccination-maternelle-doit-etre-une-priorite-de-sante-publique_6552457_1650684.html

Tribune payée par Pfizer ?
Les signataires auraient-ils des liens d’intérêts ?

njama
njama
19 février 2025 14h18

Un bébé, un nourrisson, une œuvre parfaite en 9 mois seulement ! une œuvre qui n’a jamais cessé de nous éblouir…
Selon la science une création en 300 000 ans pour l’homo sapiens, ou du moins selon l’hypothèse évolutionniste, et quelques millions d’années pour le genre homo…et quelques autres millions d’années avant…

L’idée d’aller souiller cette perfection de Dame Nature aussi précocément avec des vaccins est très récente, bébés ET nourrissons, comme celle d’interférer sur cette bien mystérieuse création en vaccinant les mères !
Un mot a même été inventé pour ça, la « vaccination maternelle » ! un détournement sémantique ! on connaissait l’instinct maternel (qui n’est pas propre qu’à l’homme), la langue maternelle, les écoles maternelles… est maternel, ce qui est propre à la mère…
Demain la « vaccination paternel » ?

C’était pourtant clairement contre-indiqué en 1952 ! Cet arrêté qui vaut loi, aurait-il été abrogé ni vu ni connu… ?

L’arrêté de mars 1952 [page 2595 et suivantes jusqu’à 2599], plus précisément p 2596 partie IB ;
Les sujets à vacciner. « La grossesse et l’allaitement constituent également une contre-indication temporaire à la vaccination »

Source : Décret n°52-247 du 28 février 1952 SUR L’ORGANISATION DU SERVICE DES VACCINATIONS ANTIDIPHTERIQUE, ANTITETANIQUE ET ANTITYPHOPARATYPHOIDIQUE
JORF du 5 mars 1952
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000886382
>> PDF: https://www.legifrance.gouv.fr/download/securePrint?token=@d6L2j2bR8qv7HXKZWO!

Comme quoi, déjà à l’époque, on considérait la pratique de la vaccination dangereuse pendant la grossesse. Des études ont par la suite confirmé qu’en effet, c’est contre-indiqué. Le risque de fausse couche est démultiplié. Par exemple, en 2009 , le vaccin de la grippe AH1N1, pratiqué largement sur les femmes enceintes aux USA a fait bondir le taux de fausse couches de 4250 % !
1 décembre 2012
http://www.initiativecitoyenne.be/article-mortalite-foetale-hausse-de-de-4000-apres-la-vaccination-des-femmes-enceintes-113027861.html

jo-5-mars-1952-contre-indications-vaccinations
Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  njama
19 février 2025 15h04

MERCI njama de rappeler le principe au nom duquel certains se sont opposés aux vaccinations sans pour autant rien connaitre de leurs effets et propriétés particulières : les vaccins contiennent des produits qui n’ont rien à faire dans un corps humain ou animal et que l’on injecte dans le corps sans même passer par la voie digestive. Voire, que l’on injecte directement dans un vaisseau comme on l’a vu avec l’article précédent.

Pour faire plus « sérieux » il nous a fallu travailler beaucoup (et j’en sais quelque chose !) pour mettre en évidence leur nocivité et les défaillances de leur. efficacité contre la maladie visée. Pour cela Kennedy lance une grande enquête pour inventorier leurs effets nocifs et leurs limites. Il faut que cela soit fait sans doute et tant mieux mais nous pouvons aussi modestement reconnaitre que l’intuition de ceux qui étaient convaincus de la nocivité de ces produits en raison de leur nature avaient raison même si leur démarche n’était pas du tout scientifique.

Le vaccin antivariolique provenait du pus d’une vache malade. Le BCG provenait d’un bacille tuberculeux bovins cultivé sur de la pomme de terre cuite dans de la bile de boeuf. Le vaccin polio provient de virus polio cultivés sur des cellules de reins de singes. plongées dans un milieu nutritif qui est le sérum de ces mêmes singes. Celui contre la fièvre jaune est cultivé sur cerveau de souris et plus tard sur embryon de poulet.

Le vaccin ROR D’après Wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccin_contre_la_rougeole,_la_rub%C3%A9ole_et_les_oreillons:
« Le vaccin est une solution stérile lyophilisée de trois vaccins, soit Attenuvax, Mumpsvax et Meruvax.

  • Attenuvax est un vaccin contenant une souche du virus vivant de la rougeole. Celle-ci dérive de la souche atténuée d’Enders d’Edmonston et est propagée dans une culture de cellules embryonnaires de poule.
  • Mumpsvax est le vaccin utilisé contre les oreillons. Il contient la souche vivante et atténuée Jeryl Lynn (de type B) et est aussi produit à l’aide de culture de cellules embryonnaires de poule.
  • Meruvax s’attaque, quant à lui, à la rubéole. C’est un vaccin contenant un virus vivant et atténué de la souche Wistar RA 27/3 qui est créé à partir d’une culture de cellules diploïdes WI-38 venant de fibroblastes de poumons humains4.

Le vaccin contient aussi un antibiotique nommé la néomycine. Cet antibiotique sert à empêcher la contamination par des bactéries lors de la fabrication du vaccin.  »

Et ces poumons humains proviendraient de foetus …D’où le risque de réactions auto-immunes …Il y a eu un article Aimsib à ce sujet par une Américaine.

« Que ce doit être bon !!! »

njama
njama
Répondre à  njama
19 février 2025 19h36

Les médecins de la médecine « moderne » feraient-ils du passé table rase comme dit la chanson (L’internationale) au mépris de l’histoire médicale, au mépris de leurs pairs !
A archiver !
Paragraphe B — Sujets à vacciner

Préalablement à chaque injection, les sujets à vacciner sont soumis à un examen médical pratiqué dans les conditions prévues à l’article 3 de l’arrêté du 28 février 1952.
L’examen médical doit obligatoirement comporter une analyse d’urines (recherche d’albumine et de glucose).
L’examen médical permet de poser les contre-indications éventuelles à la vaccination : elles sont temporaires ou durables.
Les contre-indications temporaires font ajourner les vaccinations ; leur durée doit être mentionnée. Elles s’appliquent notamment aux convalescents d’affections aiguës, aux sujets fébriles, aux porteurs de pyodermites ou d’eczéma, aux syphilitiques en évolution, aux sujets sains pour lesquels est signalé un virage de tuberculino-réaction datant de moins de douze mois. La grossesse et l’allaitement constituent également des contre-indications temporaires à la vaccination.
Les contre-indications durables éliminent notamment de la vaccination les sujets atteints de cancer, de certaines formes de maladies chroniques de l’appareil respiratoire, de l’appareil circulatoire, de l’appareil rénal, de l’appareil digestif, des glandes endocrines.
En cas d’épidémie, notamment de grippe, d’hépatite épidermique ou de poliomyélite, les séances de vaccination sont suspendues.
Il est formellement recommandé que la veille de la vaccination le sujet à vacciner soit mis au repos et soumis à une alimentation légère, surtout au repas du soir.
———-
Et voilà qu’aujourd’hui la chanson est de vacciner en priorité les « personnes fragiiiiiiiles »!

Une sémantique malhonnête et perverse qui joue sur la peur !

njama
njama
19 février 2025 14h20

fascinant, non…

nouveau-ne
Raymonde
Raymonde
Répondre à  njama
19 février 2025 21h45

Très fascinant…

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
19 février 2025 15h16

Voici l’article de l’Aimsib par Theresa Deisher:
Profusion d’ADN fœtaux dans les vaccins, des conséquences potentiellement incalculableshttps://www.aimsib.org/2019/09/15/profusion-dadn-foetaux-dans-les-vaccins-des-consequences-potentiellement-incalculables/

Raymonde
Raymonde
20 février 2025 8h07

Tiré de la newsletter de Michel Dogna

https://www.artemisia-college.info

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
20 février 2025 11h04

Lu dans The Defender du

Les dernières épidémies de rougeole sont le résultat de l’échec des vaccins, et non de l’absence de vaccinationAlors que les épidémies de rougeole continuent de se multiplier, les médias grand public accusent le secrétaire d’État à la Santé Robert F. Kennedy Jr. de « rhétorique anti-vaccin ». Pourtant, des épidémies de rougeole se sont produites à plusieurs reprises dans des communautés où la couverture vaccinale dépassait les 95 %, prouvant que le vaccin lui-même ne confère pas une immunité durable.
Alors que les épidémies de rougeole continuent de faire surface, les médias grand public les utilisent désormais comme une arme politique, tentant de blâmer notre nouveau secrétaire du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr., pour ce qu’on appelle la « rhétorique anti-vaccin ».

Le Wall Street Journal a récemment publié un article d’opinion insinuant que son plaidoyer en faveur de la sécurité des vaccins était responsable de l’augmentation des cas de rougeole.
Ce récit est non seulement sans fondement, mais ignore également des décennies d’échecs documentés du vaccin contre la rougeole – des échecs qui se sont produits dans des populations hautement vaccinées partout dans le monde.
Le véritable problème n’est pas l’échec de la vaccination, mais l’échec du vaccin. Comme le montre cet article, des épidémies de rougeole se sont produites à plusieurs reprises dans des communautés où la couverture vaccinale dépassait 95 %, prouvant que le vaccin lui-même ne confère pas une immunité durable.
L’effort continu visant à faire de RFK Jr. un bouc émissaire n’est qu’une diversion par rapport aux preuves scientifiques et historiques plus profondes qui remettent en cause le récit dominant sur les vaccins.
Une longue histoire d’échecs du vaccin contre la rougeole
Depuis plus de 25 ans, des épidémies ont été signalées dans des populations dont le taux de vaccination dépassait 95 %, ce qui remet en cause l’hypothèse dominante selon laquelle les vaccins constituent la seule solution pour contrôler la rougeole.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
20 février 2025 11h24

D’une manière générale, la vaccination pour lutter contre les pathogènes ne peut être qu’une impasse pour au moins 2 raisons :
1- Il existe des milliers et des milliers de pathogènes et la liste est en constante évolution. Il n’est pas envisageable de vacciner de façon spécifique contre des milliers de pathogènes. Ce qui se passe avec les pathogènes à souches multiples comme les pneumocoques (91 types) est révélateur à ce sujet : le prévenar 7 pratiqué chez les enfants a eu pour effet de favoriser d’autres souches, ce qui a conduit à le remplacer par le prevenar 13 en attendant la suite …

2- Les processus divers de fabrication des vaccins conduisent à introduire dans le corps des produits qui n’ont vraiment rien à y faire. D’où de multiples conséquences et en particulier, comme constaté aux EU, une avalanche de maladies chroniques qui mettent en péril le pays lui-même (Plus de 70% des jeunes américains sont trop diminués pour pouvoir être incorporé dans l’armée ; même si on est antimilitariste, ce constat est plutôt très inquiétant).

Jeanne Calment est morte à 122 ans. Je l’avais vu et entendu pour l’anniversaire de ses 114 ans. Elle avait encore bon pied, bon oeil pour déclarer d’une voix ferme:  » Jusqu’à 90 ans je n’ai jamais été malade, je n’ai jamais senti mon corps, je n’ai jamais vu un médecin ! »
Elle avait évité les maladies parce qu’elle était bardée d’une foule de vaccins qui n’existaient pas quand elle était jeune ? Elle est née en février 1875. Seul le vaccin antivariolique existait. Elle avait plus de 50 ans quand le vaccin antidiphtérique fut inventée.
Son exemple montre qu’il existe autre chose que les vaccins pour être en bonne santé. Plutôt que de chercher de nouveaux vaccins, les chercheurs en science de la vie feraient mieux de chercher à comprendre le secret de Jeanne Calment.

njama
njama
Répondre à  Bernard Guennebaud
20 février 2025 16h03

Bien d’accord Bernard, au plus que je creusais le sujet des vaccins depuis des années, au moins j’y voyais un embryon de « science » là dedans… et tant pis pour ceux qui y croient, qui travaillent sur le sujet… ils ne pourraient de toute façon arrêter la liberté d’expression.
En principe la vocation et l’art de la médecine est de soigner… pas d’être colporteur d’espoir hypothétique, de vendre des (pseudo) assurance-vie, du préventif… surtout s’il est très relatif en fonction de la singularité des sujets qui ne sont pas des unités mathématiques.

Tous ces vaccins sont autant de lignes Maginot il y a de très gros trous dans la raquette, exemple plus de 90 sérotypes identifiés de pneumocoques ; idem pour la rougeole (24 génotypes) ; pour les papillomavirus, au mieux Gardasil 9 sur plus de 100, mais en fait 6 en France, la prévalence n’est pas la même sur tous les continents ! ce qui est peut-être le cas pour d’autres pathogènes…
Et comme les vaccins sont produits dans certains pays, l’efficacité ne peut être que variable selon les latitudes.
Pour le Beyfortus il y a deux sous-types distincts de VRS, A et B. Le VRS, comme les virus de la grippe, est très variable. Parmi les deux protéines du VRS ayant la capacité antigénique la plus élevée (G et F), la protéine F, est beaucoup plus conservée. Cependant il existe plusieurs génotypes au sein des sous-types A et B…
Comme la ligne Maginot, les protections supposées sont partielles, relatives.
En protégeant la fenêtre d’entrée de certains pathogènes cela peut être une facilitation de l’infections par un pathogène « cousin », exemple connu pour illustrer :

Haemophilus-épiglottite(Hib)
conseils du site infovaccins.ch sur le vaccins hib – (Groupe médical de réflexion sur les vaccins a été fondé en 1987 par une dizaine de médecins praticiens de Suisse romande) :
Noms de marque : Hibérix®, ACT-Hib® et les vaccins combinés .
[…]
L’utilité du vaccin est limitée, car les complications graves sont rares et le bénéfice de la diminution des méningites à Haemophilus est annulé par l’augmentation des méningites à méningocoques et à pneumocoques. De plus, la vaccination contre l’Haemophilus de type B favorise une sélection des germes et l’on voit apparaître des méningites à Haemophilus de type F et E sur lesquelles le vaccin n’a aucune action.

Le nombre total de méningites bactériennes n’a donc pas été diminué par ce vaccin. Si la vaccination diminue la virulence des bactéries, elle n’empêche pas celles-ci de coloniser les muqueuses du nez et de la gorge de la personne vaccinée. Ceci explique le retour d’infections sévères à Haemophilus dans les pays où la couverture vaccinale reste pourtant très élevée. Enfin, certaines études suggèrent un lien entre cette vaccination et l’augmentation de diabète chez le jeune enfant.
Nos recommandations
La décision d’une vaccination contre l’Haemophilus doit tenir compte des facteurs individuels tel l’allaitement du nourrisson qui s’est révélé être un facteur de protection important contre cette infection. D’autre part, la fréquentation précoce d’une crèche augmente légèrement les risques qui restent toutefois faibles, cette affection n’étant pratiquement pas contagieuse. Si vous décidez de vacciner votre enfant, nous proposons de ne pas le faire avant 4 mois, et si possible pas avant un an, afin de réduire le nombre d’injections.

Référence : Qui aime bien, vaccine peu ! – Jouvence Édition 2009 – 4,95 €
Si l’Édition est toujours valable en Suisse et ailleurs, elle ne l’est plus en France depuis janvier 2018 la Loi Buzyn qui rend « obligatoire » la vaccination des nourrissons nés à partir du 1er janvier. Néanmoins il peut servir de référence d’informations.

njama
njama
Répondre à  njama
20 février 2025 16h14

Holes in the racket

holes-in-the-racket
njama
njama
Répondre à  njama
22 février 2025 11h28

D’ailleurs en matière de « vaccinologie » il y a d’énormes trous noirs dans la raquette, un embryon de science en est encore bien loin…
une archive « collector » !

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur : « On ne sait pas comment marchent les vaccins »
Pour être un scoop, ça en est un (du moins pour ceux qui ne savaient encore rien sur les vaccins). Le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de Production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS chez Sanofi Pasteur mais également consultant pour l’OMS, a notamment déclaré dans une vidéo sur la fabrication et le contrôle des vaccins qu’ils ne savaient pas comment marchent les vaccins. Ils ne savent pas comment ça fonctionne mais il faut cependant qu’on continue absolument à vacciner sans savoir, dogme et idéologie obligent !!
Et cette vidéo, qui fait partie des cours de vaccinologie aux médecins (sic !), comporte bien sûr encore plusieurs autres belles perles que nous tenions à vous faire partager ci-dessous, histoire de ne franchement plus se faire vacciner idiot, comme on dit :
dans la VIDÉO
https://www.canal-u.tv/chaines/canal-u-medecine/vaccinologie-clinique-paris-2011-hopital-du-val-de-grace/cif-18

à 50’15 : « Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »
à 51’ : « …Jamais on n’a pu faire un vaccin avec une protection mucosale… tout simplement parce qu’on met toujours la charrue avant les bœufs… On ne connaît pas comment marchent les vaccins. »
lire l’article :
à 9’40 dans la vidéo YT
https://www.youtube.com/watch?v=rnKnp_nuMeA

http://initiativecitoyenne.be/article-dr-saluzzo-de-sanofi-pasteur-on-ne-sait-pas-comment-marchent-les-vaccins-114130498.html

njama
njama
Répondre à  njama
22 février 2025 10h59

Régulièrement la Presse fait état de cas de méningites dont quelques rares cas se soldent pas un décès. Cependant jamais n’est précisé s’il y aurait pu avoir un lien iatrogène avec les prescriptions médicales données (antibiothérapies, antipyrétiques ?, …). Ni quel sérotype de pneumocoque (parmi les 90) a conduit à l’issue fatale. D’autre part, les recommandations vaccinales ont largement été suivies pour une grande partie des enfants, ados… la Presse ne précise pas plus si concernant ces cas les personnes avaient été vaccinées ou non, ni si elles étaient soignées pour d’autres pathologies.
Les vaccins ne sont jamais ni mis ni remis en cause, ce serait pourtant des données intéressantes, la première question à se poser, car ce n’est pas un mystère qu’il y a de très gros trous dans la raquette avec ce genre de vaccins… voir mon post ci-dessus.
A l’inverse, les médias aidant, chaque cas renforce la politique vaccinale ! Et même la récente ministre de l’Éducation nationale s’en mêle !

Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 21/02/2025
« Pour l’année scolaire 2025-2026, le gouvernement prépare une campagne de vaccination combinée au collège contre les papillomavirus et contre les infections invasives à méningocoques, une évolution inscrite dans le budget 2025 de la Sécurité sociale, a souligné le ministre. Par ailleurs, avec la ministre de l’Éducation nationale Élisabeth Borne, « il faut qu’on réarme la médecine scolaire », a-t-il jugé. »
https://www.sudouest.fr/sante/hopital/meningite-le-ministre-de-la-sante-insiste-sur-la-vaccination-des-enfants-et-adolescents-23349967.php

njama
njama
Répondre à  njama
23 février 2025 12h43

L’annonce de la ministre de l’Éducation nationale ne serait-elle pas en partie pour faire diversion de l’Affaire Betharram qui met François Bayrou en difficulté… il sait pas, il ne se souvient pas,…
ou juste une coïncidence ?
… et puis ce vocabulaire martial et nébuleux de « réarmer la médecine scolaire »… un langage à la Betharram ou de Conseil de Défense à la Macron ?…
toujours est-il que à bas bruit cela a été inscrit dans le budget 2025 de la Sécurité Sociale
Comme si c’était une priorité de l’Éducation nationale !

https://www.instagram.com/steph_gaillard/reel/DGTXfD2A8Ym/

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
21 février 2025 11h41

Lu dans The Defender du 20 février :

« Brouillard cérébral post-vaccinal et dysfonctionnement immunitaire liés à la protéine Spike qui peut persister dans le corps pendant des annéesDes chercheurs de l’université Yale ont découvert que des personnes que l’on pensait atteintes de la COVID longue souffraient peut-être du syndrome post-vaccinal. Les chercheurs ont détecté la protéine Spike dans le sang des participants vaccinés entre 26 et, dans un cas, 709 jours après la vaccination.

Des chercheurs de l’Université Yale ont détecté la protéine de pointe du vaccin contre la COVID-19 dans le sang d’au moins une personne 709 jours après la vaccination – un temps nettement plus long que celui mesuré précédemment.
L’équipe de recherche a également constaté que de nombreuses personnes que l’on pensait souffrir d’une forme longue de la COVID-19 pourraient en réalité souffrir du syndrome post-vaccinal (SPV) causé par la protéine de pointe des vaccins contre la COVID-19 .
Les symptômes du PVS, similaires à ceux du COVID long , comprennent généralement un brouillard cérébral, des étourdissements et des acouphènes.
Les participants à l’étude qui n’ont jamais été infectés par le virus mais qui étaient atteints du PVS présentaient des niveaux « significativement plus élevés » de protéine de pointe circulant dans leur sang – la protéine étant détectée entre 26 et 709 jours après avoir reçu un vaccin contre la COVID-19.
L’étude, co-écrite par une équipe de scientifiques dirigée par trois chercheurs de l’Université Yale et publiée mardi sur le serveur de préimpression medRxiv, a également révélé que les personnes vaccinées souffraient de troubles auto-immuns , d’épuisement du système immunitaire et d’autres changements biologiques après la vaccination.
Dans certains cas, d’autres virus qui étaient dormants dans leur corps, comme le virus d’Epstein-Barr , ont été réactivés.
Akiko Iwasaki, Ph.D. , professeur à la faculté de médecine de Yale et l’un des principaux auteurs de l’étude, a déclaré à Yale News que la persistance de la protéine de pointe « était surprenante ».
« Nous ne savons pas si le niveau de protéine Spike est à l’origine des symptômes chroniques, car d’autres participants atteints de PVS n’avaient pas de protéine Spike mesurable. Mais cela pourrait être l’un des mécanismes sous-jacents à ce syndrome », a-t-elle déclaré.
L’immunologiste et biologiste computationnelle Jessica Rose, Ph.D. , a déclaré qu’elle n’était pas surprise par les résultats de l’étude.
« Étant donné que le matériel codant pour la protéine Spike… est introduit dans le corps humain via des nanoparticules lipidiques, il peut littéralement être acheminé vers n’importe quelle partie du corps via la circulation sanguine », a déclaré Rose. « Il n’existe aucun moyen de prédire quelles cellules et combien de cellules peuvent produire la protéine Spike à long terme. »
Christof Plothe, DO , membre du comité directeur du Conseil mondial de la santé , a déclaré que les personnes qui reçoivent les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont « essentiellement transformées en mini-usines, chargées par leur propre corps de produire l’une des protéines les plus pathogènes connues de la science » : la protéine de pointe.
Plothe a dit :
« Nous ne savons pas encore combien de temps cette production pourrait se poursuivre. Il est fort probable que les instructions génétiques aient pu être intégrées au génome humain, ce qui pourrait rendre les effets de cette thérapie génique durables, voire héréditaires, transmissibles à la génération suivante. Les premières observations suggèrent que cela pourrait déjà se produire. »
Dans la pratique clinique, Plothe a déclaré avoir vu des patients présentant des niveaux « très élevés » de protéine Spike « même des années après la dernière injection ».

Les chercheurs ont prélevé du sang auprès de 42 personnes diagnostiquées avec le PVS et de 22 personnes non diagnostiquées avec la maladie, entre décembre 2022 et novembre 2023. Ils ont également examiné 134 personnes ayant un diagnostic de COVID longue et 134 personnes vaccinées en bonne santé.
L’ étude a également révélé qu’en plus du PVS, certains participants ont signalé des scores de santé générale inférieurs et des niveaux plus élevés de douleur, de dépression, d’anxiété, de fatigue et de troubles du sommeil.
Bon nombre de ces symptômes ressemblent à ceux généralement diagnostiqués comme étant de longue durée, comme la COVID, mais selon l’étude, ils pourraient en fait être causés par la protéine Spike.
« Certaines personnes ont signalé des symptômes post-vaccinaux ressemblant à ceux de la COVID longue, qui ont commencé peu de temps après la vaccination. […] Il existe un chevauchement considérable entre les symptômes autodéclarés de la COVID longue et de la PVS », indique l’étude. Pourtant, contrairement à la COVID longue, les autorités de santé publique ne reconnaissent pas la PVS .
L’étude a également révélé que les patients atteints de PVS ou de COVID long étaient plus susceptibles de connaître la réactivation de virus dormants tels que le virus d’Epstein-Barr et l’herpès, tandis que leurs cellules immunitaires montraient des signes d’« épuisement ».
Les personnes atteintes du PVS ou du COVID long présentaient également un taux plus élevé d’antigènes liés à des maladies auto-immunes, notamment un antigène associé à la neuromyélite optique , une maladie rare qui attaque le système nerveux central.
Rose a déclaré que la longue pandémie de COVID-19 a aidé les autorités de santé publique et les médias à dissimuler l’étendue et la fréquence des blessures causées par les vaccins contre la COVID-19.
« Je pense que le COVID long est un moyen de dissimuler la réémergence d’une infection virale latente due aux effets des produits injectables contre le COVID-19 », a déclaré Rose.

« Les preuves sont incroyablement convaincantes »
Les auteurs de l’étude de Yale ont déclaré que leurs résultats « révèlent des différences immunitaires potentielles chez les personnes atteintes du syndrome de Stevens-Johnson qui méritent d’être étudiées plus en détail pour mieux comprendre cette maladie et éclairer les recherches futures sur les approches diagnostiques et thérapeutiques ».

Rose a déclaré que le résultat de la nouvelle étude pourrait marquer un changement dans la réflexion conventionnelle sur les produits d’ARNm par des chercheurs comme Iwasaki.
« Les preuves sont incroyablement convaincantes et ce depuis très longtemps », a déclaré Rose. « Dans ce cas précis, il suffit de choisir de les examiner ou de les produire. »
Notant qu’un nombre croissant de pays et d’États américains envisagent d’interdire les produits à base d’ARNm et que plusieurs organisations scientifiques et médicales ont appelé à un moratoire sur leur utilisation, Plothe a déclaré : « Les preuves s’accumulent et soulignent le besoin urgent d’un moratoire sur la technologie de l’ARNm. »

« Ceux qui ne croient pas à la Science (et qui refusaient de se vacciner covid) sont des crétins ». Déclaration propagée par les télés …

Monique F
Répondre à  Bernard Guennebaud
21 février 2025 14h17

J’ai un ami qui est décédé après injection covid. Je le revois encore ,en 2023 , me disant avec un ton de reproche dans la voix  » je crois en la science MOI « .
La 2 ème injection l’a amené à l’hôpital..Le 3eme …au cimetière..

Raymonde
Raymonde
22 février 2025 0h57

Une autre bonne nouvelle :

Kash Patel officiellement assermenté en tant que directeur du FBI.

njama
njama
Répondre à  Raymonde
22 février 2025 9h14

Elle n’est pas bonne pour tout Le Monde
La nomination controversée de Kash Patel à la tête du FBI confirmée par le Sénat américain
Le Monde avec AP et AFP

On a les mêmes à la maison… Richard Ferrand nommé à la présidence du Conseil Constitutionnel ! oups !
Les 3 critères essentiels de compétences qui lui manquent, niveau d’expertise en droit très faible (bac + 2), inexpérience totale dans le domaine de la magistrature, aucun critère d’indépendance dans sa carrière…
Public Sénat https://www.youtube.com/watch?v=bWw34poxF8w&t=170s

On pourrait imaginer qu’il devrait statuer sur des questions de santé publique, ou sociétales … son impartialité serait très suspecte compte-tenu de ses accointances avec certaines personnalités politiques…
[VIDÉO] Un amendement sur la PMA adopté en force par Richard Ferrand à l’Assemblée ?
25 septembre 2019
https://www.marianne.net/politique/video-un-amendement-sur-la-pma-adopte-en-force-par-richard-ferrand-l-assemblee

Monique F
Répondre à  njama
22 février 2025 11h58

Ah Le Monde évidemment, organe du DS ..ça prouve que c’est une bonne nomination …
 » Tous les démocrates ont voté contre Patel, et tous les républicains – sauf deux – ont voté pour.
Susan Collins et Lisa Murkowski étaient les seules dissidentes du Parti républicain.
La confirmation du directeur désigné n’était pas une garantie. Contrairement à des candidats comme Elise Stefanik, dont la machine de guerre de Washington pense qu’elle pourrait être un instrument pour subvertir de l’intérieur le programme America First, les convictions de Patel s’alignent sans réserve et sincèrement sur celles du président.
IL SAIT QUE LE DEEP STATE EXISTE ET IL.COMPTE Y METTRE UN TERME . »

anthome
anthome
Répondre à  Monique F
22 février 2025 19h11

Mais non, enfin, le DS n’existe pas ! La preuve ? C’est un délire de complotistes, et c’est Le Point qui le dit !
Le Monde, Le Point… ah, les médias prostitués comme les appelle notre ami Jean-Dominique Michel.
Leur problème, c’est que les thèses « complotistes » sont avérées les unes après les autres. Et ça commence à se voir… et se savoir. Combien de temps leur reste-t-il avant que leur château (de cartes ou d’allumettes, je vous laisse le choix) ne s’écroule ?

anthome
anthome
Répondre à  anthome
22 février 2025 19h46
Monique F
Répondre à  anthome
23 février 2025 9h10

Merci pour cet article que j’ai un peu survolé..
L’Etat profond n’existe pas !? Oui c’est une façon de voir les choses…tout à fait actuelle , car on n’a jamais autant pratiqué le DENI …
Tout comme l’enfant qui cache le vase cassé sous le lit , les malfaisants ont fait en sorte que ce qui n’apparaît pas dans la presse aux ordres , également appelée  » prestituée  » , n’existe pas …et les gogos gobent …avec une confiance absolue dans tout ce qu’ils voient  » à la télé  » , et un dédain profond pour les réseaux sociaux où il n’y a que des « fake »…
Michel Onfray a pourtant confirmé son existence..dès 2020 …avec un numéro (2 ) très édifiant, de la revue  » Front populaire » entièrement consacré à l’Etat profond…
Bref , il y a de nombreux mois que l’Etat profond s’effondre…lentissimo…et ILS sont devenus de plus en plus dangereux …
Mais nous voyons le bout du tunnel …je ne dirais pas que ÇA commence…car ÇA ne fait que continuer depuis des mois et des mois .
On se dit toujours, ÇA y est, c’est la fin ..et non … mais tant que la presse ne signera pas la fin de la partie …
Enfin de ce côté là aussi , il y a des remous dans les sous sols.Certains journalistes mafieux commencent à retourner leur veste, d’autres se vengent d’avoir été licenciés… ET à mon avis, ILS viennent de faire une énorme erreur en virant Hanouna .

Poutine a dit que le bal des vampires arrivait à sa fin …

A suivre

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Monique F
Répondre à  anthome
23 février 2025 9h15

Tant que la presse ne sonnera pas …désolée..le  » correcteur d’orthographe » a pensé que signer devait être mieux que sonner …

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