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Big Pharma, big baudruche

L’analyse de l’actualité politico-sanitaire portée par l’un de nos membres peut parfois alimenter le désir de prolonger cette réflexion chez un autre. Voici le complément d’analyse que le Dr François Choffat en retire (*) s’agissant de l’expérience qu’il a accumulé après une vie de soins exercée sous diverses latitudes. La taille phénoménale de nos monstres pharmaceutiques actuels les rend finalement fragiles, donc extrêmement dangereux même pour nos démocraties, comment est-ce possible ? … Bonne lecture.

  Introduction

L’excellent texte de Michel Cucchi (*) que vous avez publié récemment donne de précieuses informations sur les coulisses politico-techniques de la grippe porcine de 2009. Il démontre que l’épisode Covid se préparait déjà à l’échelle planétaire. Mais l’énormité de la crise survenue avec l’avènement d’une société dictatoriale quasi mondialisée ne peut s’expliquer que par un certain nombre de causes plus ou moins coordonnées dont l’ensemble nous échappe encore. Mais il paraît de plus en plus évident que les entreprises pharmaceutiques sont parmi les plus compromises dans ces grandes manœuvres médico-financières … et qu’elles en sont les premières bénéficiaires.

« La grippe, pas de panique! »

J’avais écrit un petit livre que j’ai publié aux Editions Jouvence, intitulé « La grippe ? Pas de panique !  » Il a été imprimé en septembre 2009, avant la survenue de cette pseudo pandémie sous nos latitudes. Le texte que je vous propose ici est une réflexion centrée sur la dynamique économique des puissances pharmaceutiques.

Les découvertes majeures de la biochimie ont été nombreuses au siècle dernier entre les années 50 à 80, donnant lieu à de nouvelles voies thérapeutiques et à de formidables bénéfices. Depuis lors, elles se sont raréfiées au point que, en 2008, et malgré des centaines de médicaments nouveaux annoncés cette année-là, pas un seul brevet n’a été considéré comme innovant par la revue médicale indépendante Prescrire. C’était la première fois depuis la création de cette publication en 1981. (2)

Notre système économique ultralibéral exige la croissance permanente des profits attestée par leur cotation en Bourse. Le moindre fléchissement de ses cours peut entraîner l’effondrement d’une entreprise et plus celle-ci est énorme, plus elle est menacée. Le grand public semble nourrir l’illusion que les pharmas fabriquent sans cesse des médicaments nouveaux assurant ainsi les progrès permanents de la médecine pour le bénéficie de toute l’humanité. En réalité, le filon biochimique semble tari comme si les chercheurs en avaient épuisé toutes les ressources. Et que parallèlement les spécialistes de la finance mettaient tout en œuvre pour cacher la situation aux investisseurs (3).

Pour ma part, je crois que la voie biochimique est réellement épuisée et qu’il serait temps d’explorer le domaine de la biophysique, mais les entreprises exploitant la biochimie s’acharnent à dévaloriser les recherches dans cette direction. Les calomnies pseudo-scientifiques mondialement organisées contre l’homéopathie en sont une illustration.

La croissance de la production, pourtant indispensable à la survie des grandes entreprises de la biochimie, s’est trouvée gravement menacée par la raréfaction des brevets rémunérateurs. J’ai cru alors naïvement à une conversion des investisseurs en faveur d’autres thérapeutiques, mais les traitements plus proches de la nature sont hors circuit car impossible à breveter donc sans avenir financier. J’ai aussi imaginé, plus ou moins consciemment, que les pharmas allaient simplement entrer en décroissance, ce n’était qu’un blasphème ! La cupidité rend ingénieux mais pas plus honnête.

Le coup des traitements contraints, concept de vaccination obligatoire

Comment continuer à faire croître ses revenus, encore et toujours, sans fabriquer de produits nouveaux ? Les pharmas ont alors changé leur politique. Elles ont investi massivement dans le marketing au détriment des unités de recherche qui ont été fermées. Elles ont alors adopté la devise du Dr Knock :

  • « Une personne en bonne santé est un malade qui s’ignore ! »

Dans notre société, on n’a pas le droit de se dire en bonne santé sans l’aval du médecin. On consulte souvent pour s’assurer qu’on va bien. On se soumet à des dépistages, à des checkups. Et on va bien parce que sa tension, son cholestérol ou son glucose sont dans les clous, avec ou sans traitement.

En réalité, les normes de ces mesures sont édictées et modifiées en permanence à la baisse par l’Organisation Mondiale de la Santé influencée par les Pharma. On augmente ainsi le nombre des patients en bonne santé à se faire traiter à vie. La mort dite « naturelle » est le plus souvent due à des complications vasculaires et il s’avère qu’une majorité de mourants sont en traitement par un médicament du cholestérol et un autre de la tension artérielle. Est-ce à dire qu’ils meurent guéris ? Un autre filon pour « traiter » les personnes en bonne santé, ce sont les vaccins. Les anciens vaccins comme celui de la variole et le BCG contre la tuberculose, celui du tétanos, de la diphtérie, étaient simples à fabriquer et à copier, donc bon marché, ils ne bénéficiaient pas de brevet, donc sans intérêt pour les Pharmas. Mais la situation a changé avec le vaccin de l’hépatite B, plus complexe à fabriquer donc nettement plus cher et moins facile à copier. Il a relancé l’intérêt des fabricants et mis la pression sur le public et les soignants. Avec le succès que l’on sait, il est devenu incontournable juste après la naissance, bien que la maladie dans les pays riches soit rare, le plus souvent bénigne et qu’elle n’atteigne pas les jeunes avant l’adolescence. Vint ensuite le vaccin du papillomavirus, responsable d’un cancer de plus en plus rare chez nous, celui du col de l’utérus survenant après la ménopause et auxquels sont soumis les adolescents des deux sexes. Mais ces nouveautés généralisées et coûteuses n’ont pas permis de remplacer le manque de nouveaux brevets. Une exception inattendue cependant, le Tamiflu un anti-viral anciennement proposé contre la grippe, mais pratiquement abandonné pour cause d’inefficacité et, bien que sans brevet, a propulsé le laboratoire Roche au sommet du classement des fabricants de médicaments en 2010 car seul médicament proposé contre la grippe H1N1.

La situation me faisait écrire en 2009 que « la vente des vaccins serait particulièrement prometteuse pour l’industrie pharmaceutique si le projet se réalisait de vacciner toute la population du globe. Ce serait le marché du siècle, les actionnaires ont aussi le droit de rêver ! ».

A force d’acquisitions et de fusions, les géants de la pharmacie ont atteint une taille incompatible avec une société démocratique. La moindre baisse de profit signifie l’effondrement de ces monstres obèses. Dans le monde de la finance regroupé dans cette institution maffieuse de la Bourse, personne ne souhaite l’affaiblissement de Big Pharma.

Tout le système économique risquerait de s’effondrer comme un château de cartes. Donc malgré la concurrence, la complicité est tacite dans les rangs du grand capital. D’ailleurs, les grands prédateurs du commerce en ligne ont très largement bénéficié du confinement et des mesures liberticides. De là en imaginer qu’ils ont participé activement au hold-up me paraît logique.

Sortir de la démocratie

Dans une démocratie, la consommation et sa croissance dépendent du désir du consommateur, attisé par la publicité. Le consommateur conserve une relative liberté.

Dans une société autoritaire, la consommation est assurée par la peur, la menace et la délation. Le citoyen n’a plus aucune liberté.

Même en démocratie, la consommation médicale fonctionne déjà partiellement sur le mode autoritaire, donc sur la peur : « votre santé est aux mains de la médecine, si vous ne vous soumettez pas à tel test, si vous ne prenez pas tel médicament, si vous ne vous vaccinez pas, vous mettez votre santé, voire votre vie, en danger. » … La peur prédomine sur le désir. La loi de l’offre et de la demande n’a pas cours ici, vous avez payé d’avance avec vos cotisations aux caisses maladie et vos impôts, c’est l’autorité médicale qui décide de votre consommation, sans que votre avis soit requis. Le prix est sans importance, puisque assuré d’avance. Vous n’avez pratiquement aucune liberté, sinon de désobéir en cachette. En orientant commercialement les recherches cliniques, les pharmas s’ouvrent de nouveaux marchés. Par exemple, en faisant croire que la ménopause est une maladie, c’est toute la clientèle des femmes de plus de cinquante ans qui s’est offerte. Et comme nous l’avons vu, en manipulant les normes de tension artérielle ou de cholestérol, on élargit également le marché sous prétexte de prévention. On peut ainsi faire prescrire des produits (à prendre à vie) à toujours plus de personnes en bonne santé à condition de leur faire peur. L’effort publicitaire des pharmas ne s’est jamais fait auprès du consommateur mais auprès du médecin qui choisit sa prescription.

Sans tenir compte de l’avis du patient consommateur et sans même connaître le coût de sa prescription qui n’a aucun rapport avec le succès du traitement, moins bon est le traitement plus il dure et plus le bénéfice du vendeur est important.

Un patient qui meurt coûte moins cher qu’un malade qui survit. Donc à l’encontre des lois les plus élémentaires du marché, il n’y a, en médecine, aucune relation qualité/prix. Tout s’est passé comme si le système économique médical dans sa soif de croissance, se trouvait à l’étroit dans une société démocratique alors que l’industrie pharmaceutique était jusqu’ici aux petits soins avec les médecins.

Conclusion

Depuis la phase Covid, le médecin est devenu complètement inutile, les labos ont dicté leurs consignes directement aux autorités politiques en les évinçant du circuit.

Interdiction de soigner les malades, de les rassurer, de prendre des mesures avant que la situation ne dégénère. Tout a été fait pour mettre la panique à son comble. Il reste un certain nombre de questions en suspens : Pourquoi les autorités politiques du monde se sont-elles soumises avec tant de docilité à ce plan diabolique ? Comment les médecins ont-ils pu accepter dans leur majorité ces consignes tellement contre nature ? Et question inquiétante, que feront les pharmas pour maintenir leur croissance après avoir utilisé toutes leurs cartouches ?

François CHOFFAT
Septembre 2022

 

Notes et sources (*) Le Dr François Choffat est médecin généraliste et homéopathe, de nationalité Suisse, en retraite, auteur de: –  » Aït-Baha-ou-Baha « , Thèse en anthropologie médicale, sur les rapports entre une population marocaine de culture traditionnelle et la médecine moderne. Revue de psychopathologie africaine, Dakar, 1968. –  » Sur les traces d’Ounamir « , avec CatherineChoffat. Relation de notre séjour au Maroc. Ed La Baconnière 1978 –   » L’homéopathie au chevet de la médecine « , Essai, 2éme édition, Paris 1993. Editions du Cerf. –   » Hold-Up sur la santé  » Ed. Jouvence 2005 (épuisé) (2) Collectif,  » L’année 2008 du médicament : gare à la non-qualité « , Revue Prescrire, no 204, février 2009, Paris (3) Pignarre Philippe, «  Le grand secret de l’industrie pharmaceutique « , Ed. La Découverte, Paris 2003

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37 Responses

  1. Bonjour
    Il s agit la d une.pargaite analyse. Je recommande pour compléter le dernier livre de Laurent coupelle LE REVEIL. Tout y est clairement expliqué. Merci de m avoir lu.

  2.  » je crois que la voie biochimique est réellement épuisée et qu’il serait temps d’explorer le domaine de la biophysique, mais les entreprises exploitant la biochimie s’acharnent à dévaloriser les recherches dans cette direction »

    Bien sûr ! La voie biochimique est en échec complet mais « ils  » s’efforcent de le. cacher dans une fuite en avant.
    Il y a par exemple, j’en ai déjà parlé sur ce blog, les protéides, un mot inventé par Joël Sternheimer un physicien français qui a exploité le fait qu’à chaque accrochage d’un acide aminé pour constituer une protéine, il y a émission très brève d’une fréquence liée à l’acide aminé, ce qui forme une musique, inaudible bien sûr et heureusement, composée de 20 fréquences. Sternheimer a dégradé ces fréquences pour les rendre audibles et faciles à reproduire sur un piano électronique. Ainsi, à chaque protéine on peut associer une musique audible, une protéodie, musique des protéines.

    Si vous voulez avoir une idée des résultats obtenus voici le reportage réalisé en 2014 par France 3 Centre-Val de Loire (18 mn), vous ne vous ennuierez pas !

    https://www.youtube.com/watch?v=ZlpRtR8M1r8

    1. oui, je sais que je suis taquin, mais dans cette vidéo, le viticulteur explique à la minute 2’00 que l’intérêt de cette méthode est qu’on n’est plus dans une lutte d’éradication mais que l’on habitue les 2 à vivre ensemble, « parce que l’éradication crée le vide que la nature bouche tout de suite par autre chose. »

      si vous voyez ce que je veux dire 😉

    2. Montagnier a été exclu du système parce qu’il avait démontré qu’on pouvait soigner non pas avec un médicament pondérable, mais avec la fréquence spécifique correspondant à ce médicament.
      Fréquence dont il a démontré qu’on pouvait la transmettre via internet (il l’a fait en transmettant le signal d’un ADN (ou ARN?), la molécule la plus complexe de l’univers.
      https://vimeo.com/222406655
      Bien sur, si on peut mettre la panoplie de la pharmacopée sur une clé USB, il n’y a plus de profit possible.

      1. Il n’a pas montré que l’on pouvait soigner, ces expériences ont montré le phénomène vibratoire qui pouvait être transmis et reproduit. ce qui ne faisait peur à personne. Il a même émis l’idée que le « virus » du sida était aussi(?)/surtout(?) vibratoire. Ainsi il n’était plus dans le sang des personnes tri-thérapisées, mais sa « vibration » était toujours présente. et il posait l’hypothèse que c’est cette vibration qui le re-créait (et donc qu’il n’était pas caché à un endroit qu’on ne connaissait pas). Parce que là aussi il y a un mystère « scientifique » qui va à l’encontre de la théorie des virus. Comment un virus peut « disparaître par traitement » (parce qu’il n’est plus présent dans l’organisme ! !) et revenir comme par magie lorsque le traitement s’arrête trop longtemps ?

        Il a été écarté mais laissé tranquille lorsqu’il a sorti l’arme de dissuasion massive : les effets négatifs des vaccins et mort subite du nourrisson. À ce moment là, la meute médiatique l’a laissé tranquille comme un « vieux sénile ».

        MAISces expériences faisaient jonction avec l’homéopathie qui est surtout vibratoire. Ainsi il montrait scientifiquement que l’on pouvait « dupliquer » le remède homéopathique et même le « transmettre » par voie numérique.

        Le hic étant que numériser le doliprane ne devait pas donner grand chose ainsi même par cette voie, toute la pétro-chimie était dead (comme dirait la meuf) puisque absente de champ vibratoire.

        il existe des machines permettant de dupliquer « numériquement » les remèdes homéopathiques, mais on peut tout à fait le faire « manuellement » en acceptant une dilution de plus.

        Il faut noter que homéopathie et genodique, bien que vibratoires toutes deux semblent partir de 2 points opposés. L’homéo étant, pour résumer, le mal par le mal (on « contamine » par un poison dilué et énergisé ayant les mêmes symptômes que ce que l’on veut traiter) et la genodique étant le mal par le bien : faire en sorte que agresseur et agressé se combattent moins violemment pour vivre en une forme d’équilibre. pour ne pas laisser une niche écologique vide. 🙂

  3. Ce n’est pas tellement la voie de la biochimie qui est épuisée, mais le concept même de médecine comme on l’entend aujourd’hui qui ne peut pas fonctionner « à plein ». On peut à la limite soigner des symptômes, mais on est incapable de trouver de véritables causes. J’entends véritable par fonctionnant à 100% pour tout le monde.

    Pour le moment (et à mon avis à jamais) la médecine ne fonctionne que par « statistiques ». Ce que je veux dire par là : elle applique des méthodes à des phénomènes qu’elle ne comprend que partiellement, et cette compréhension partielle fait que la méthode fonctionne sur un certain pourcentage de cas. D’ailleurs c’est la méthodologie « moderne » on fait une expérience et on trouve que cela marche dans 40% des cas contre 30% des cas sans rien. On décide alors de l’appliquer sans savoir si le patient sera dans les 40% des cas ou cela opère… parce que nous n’avons pas compris comment cela marche et que nous tâtonnons, comme des enfants. Et nous ne pouvons pas le comprendre parce que le corps humain est une machine tellement complexe que sa compréhension nous est hors de portée intellectuelle. Ce serait comme demander à un mécano formé il y a 50 ans de réparer une panne intermittente dans une voiture très récente bourrée d’électronique.

    On considère que c’est une démarche scientifique, pourquoi pas faire des expérience sur/avec des gens… MAIS la démarche scientifique est tellement scientifique qu’elle écarte TOUT discours qui montre que cela ne marche pas. On le voit dans tous les domaines de la médecine. Le covid a montré un exemple parfait pour les vaccins et autres mesures de prophylaxie. En obstétrique une étude montre qu’il y a moins d’accidents en accouchant à la maison. Chaque étude sérieuse sur les pratiques « admises » montrent qu’elle sont très souvent tout sauf « optimales ». Et là, la force de l’habitus, quasi religieux, fait que l’on se bat pour que cela perdure tout de même.

    Un exemple à grande échelle est le couchage des bébés sur le ventre qui a tué environ 1000 bébés, en plus, PAR AN, pendant pratiquement 15 ans. 15 000….. et je vous dis pas le scandale pour 3 bébés mort de la rougeole ou 5 vieux non vaxXxinés (parce que s’ils était vaxXxinés c’est plus un problème) du vrai covid, celui qu’on a vraiment soigné (et pas au remdesivir ni au rivotril) et ou cela ne marcha pas.

    Un autre exemple était sur un billet de docdu16 qui dans un commentaire, il me semble d’un billet sur l’immobilisation de la tête pendant le transport d’un blessé, ou il disait qu’une étude sur l’influence de la vaccination et des mesures de prophylaxie des soignants ne changeait RIEN en terme de morbi-mortalité par grippe des vieux dans une maison médicalisé. Et il disait, on va pas quand même pas abandonner ses mesures ! ! !
    Pourquoi les garder ? probablement parce que cela ne peut pas faire de mal. mais marcher à cloche pied non plus et pourtant, il y a seulement les enfants qui marchent à cloche pied et pour le moment pas de grosses mortalités (à part des effets du vaxXxin covid) 🙂

    1. @herve_02 09/10 14h00

      Bonjour.
      Vous dites : Et nous ne pouvons pas le comprendre parce que le corps humain est une machine tellement complexe que sa compréhension nous est hors de portée intellectuelle. Ce serait comme demander à un mécano formé il y a 50 ans de réparer une panne intermittente dans une voiture très récente bourrée d’électronique.

      C’est totalement vrai et je pense que vous n’allez encore pas assez loin avec votre exemple.
      La vie utilise des principes physiques particuliers que nous n’avons surement encore pas découverts, nous pourrions tout de même essayer d’utiliser ceux que nous connaissons déjà.
      Pour ma part la médecine est restée très enferrée dans sa composante chimique pour des raisons que je n’arrive toujours pas à comprendre.

      Pourtant il y a des preuves que le vivant utilise absolument toutes les techniques « nouvelles » découvertes ces derniers siècles.
      Je me souviens de mes cours au sujet du « potentiel d’action »..
      Le déplacement électronique est crucial dans tous les organismes vivant, mais nos interventions dessus se limites à trouver quelle chimie pourrait modifier ceci ou cela. Un peu comme un alchimiste téléporté dans notre temps à qui on demanderai de limiter les contenus pornographiques dans un data center et qui « découvrirait » qu’en versant un peu de vitriol sur certains câbles il « améliore » la situation…
      Il lui faudrait peut être chercher ailleurs, mais sa pensée du 17éme siècle ne pourrait surement pas en concevoir le fonctionnement.

      Pour revenir en 2022, la résonance moléculaire à des fréquences qui nous sont familières ne fait plus aucun doutes, il existe d’ailleurs dans l’industrie des systèmes qui « écoutent » les vibrations d’un gaz stimulé thermiquement par un faisceau laser pour en analyser précisément sa composition.
      L’industrie de la mesure chimique est plus ouverte aux innovations que la médecine qui devrait pourtant faire feu de tout bois.
      Il est curieux de voir que le magnétisme est utilisé en imagerie mais que son action sur les organisme ne fait que peu d’objets d’études.
      Mis à part certaines controverses concernant l’électromagnétisme l’étude des champs ne fait pas recette.
      Les chimistes n’en sont pas à leur coup d’essais concernant leurs grosses bêtises.. Ceux de chez Kodak s’en souviennent encore dans leur dénigrement de « l’image électronique » face à leur technicité « chimique » supérieure dans les années 2000. Sanofi en ayant même racheté des morceaux (ceci explique peut être cela..).
      En tout cas, nous aurons encore je le crains et pour longtemps la médecine « scientifique » qui se situe parfois encore à l’époque de son fondateur du quinzième siècle et les « médecines parallèles » qui essayent encore de sortir de l’ornière…. Mais encore peut être trop parallèle pour en sortir vraiment.

      Pourquoi ne pas inventer le concept de médecine « perpendiculaire » .

      C’est peut être ce que l’on a vu ces dernières années.

      Cordialement.

      1. ILVous dites « la médecine est restée très enferrée dans sa composante chimique pour des raisons que je n’arrive toujours pas à comprendre. »

        Il n’y a pas que la médecine car en amont de la médecine il y a la biologie. J’échangeais un jour avec un biologiste de l’université où j’enseignais les maths aux étudiants de SVT. Il me dira « la seule chose qui nous intéresse dans la Physique c’est l’optique à cause des microscope. »

        Il était à des années lumières des découvertes de Jacques Benvéniste confirmées par Luc Montagnier, Marc Henry et bien d’autres sans parler des protéides de Joël Strenheimer qui révolutionneraient la Biologie comme le dit un biologiste malheureusement décédé depuis, dans le documentaire de France Centre-Val de Loire.

        Des étudiants m’avaient rapporté qu’une biologiste leur disait que les maths ça servait à rien en biologie … Dès qu’on se lance dans le vibratoire, les fréquences et les phénomènes de résonance dans le monde du vivant (la biorésonance), les maths peuvent évidemment intervenir. D’ailleurs Phytagore disait « au commencement, Dieu géométrisa. »

        L’harmonie musicale que l’on peut ressentir directement en écoutant de la musique est fondamentalement une harmonie numérique entre des sons et leurs harmoniques et pas seulement entre des fréquences mais aussi entre les intensités, celle des harmoniques diminuant progressivement en obéissant à des lois mathématiques rigoureuses connues sous le nom de séries de Fourier. Il en va sans doute de même pour l’harmonie prodigieuse de la vie, la maladie étant un couac dans cette harmonie.

      2. Je suis d’accord avec vous, mais même là vous allez vous cogner au mur de la connaissance. vous pourrez trouver toutes nouvelles techniques de résonances, d’imageries, de molécules, de nucléaire, de quantique, magnétisme, électro-magnétisme, ondes, vibrations… vous ne ferez que regarder un petit grain de sable en pensant décoder l’univers.

        Je ne dis pas que dans peut être des centaines de milliers d’années nous auront acquis une science telle que nous auront enfin compris et intégré chaque parcelle de chaque relation dans la biologie d’un corps humain et nous serions alors capable de prédire à 100% tout changements qui arriverait si on modifiait un infime paramètre. À ce moment là, on pourrait peut être pour chaque individu, en analysant la totalité de son état et de ses constantes, donner le « remède » parfaitement adapté individuellement (sans avoir besoin de faire des études statistiques sur de grands nombres de patients). Personnellement je ne le crois pas.
        Cette « utopie » est poussée par les films de science fiction ou des « machines intelligentes » analysent le corps et arrivent à reconstruire la « perfection de la bonne santé », peut importe l’état de départ. Cette propagande ne sert qu’à imprimer de force dans la tête des gens que la science va amener le « bonheur » et la bonne santé et ainsi donner à la médecine et ses « recherches criminelles » un semblant de légitimité en montrant la fin pour justifier les moyens.

        C’est un mensonge. La mécanique biologique du corps humain n’est pas plus à notre porté (l’hybris de l’humain se croyant un dieu) que de prédire les mouvements de la fontaine turbulente de la cité des science. un article complet et « péchu » est là :

        http://images.math.cnrs.fr/Le-moulin-a-eau-de-Lorenz.html

        Concernant pythagore et la géométrie, il faut le replacer dans le contexte, à cette époque la philosophie grecque parait du principe que n’existe que ce que je peux voir ainsi toute les mathématiques partaient du dessin (ce que je peux voir/dessiner) et donc la géométrie. par exemple le fameux théorème de Pythagore peut se démontrer par le dessin.

    2. Le VIH c’est comme la balle magique de Kennedy, Montagnier n était pas très a l aise avec ca. Quand le vih s’appelait encore LAV une etude de Montagnier montrait qu on pouvais le perdre. Il suffit de réécouter ses interviews pour voir le malaise. En 1990 il disait clairement qu il n avait pas confirme que le VIH provoquait le sida mais le business était lancé et personne ne l a écoute. Le Vih c’est comme la fable du covid. J encourage le plus grand nombre a désapprendre ce qu on leur a inculquer et de reprendre leurs réflexions.Ha il y a aussi la reprise des statistiques mondiales de la grippe par Pierre Chaillot, il est tombé sur le cul en découvrant que finalement la grippe ne se propage pas comme une maladie contagieuse les stats sont implacables la dessus il semble que cela soit du aux températures et humidité de l air.

  4. Tellement évident ! Merci de cette analyse si limpide au Dr Choffat.
    « Le reveil » de Laurent Gounelle est à lire oui Nathalie pour compléter encore et encore nos connaissances de ce qui devient de plus en plus inacceptable à tolérer.

  5. « Qui trouve nos organisations et pratiques sociétales, tant dans le domaine politique, qu’économique, qu’environnemental ou encore sanitaire en particulier, rationnelles et louables ne l’est guère ».

    Il est des analyses qui confortent des intuitions ou simplement enrichissent l’horizon et le vocabulaire.

    Merci.

  6. Merci Dr Choffat pour cette contribution. Je pense que le constat d’épuisement de la voie biochimique est un peu hâtif. La chimiosynthèse de médicaments et de pesticides issue de la pétrochimie assurément, mais comme le préconise le Pr. Raoult, il existe de nombreux principes actifs qui n’ont pas dit leur dernier mot, et qui ne sont pas explorés pour d’autres indications pour des raisons d’absence de rentabilité (à commencer par l’acide acétylsalicylique). Et puis il y a tout le champ des substances naturelles (aromathérapie) qui, isolées ou en cocktail, peuvent encore ouvrir de nouvelles perspectives.

    Le traumatisme que nos sociétés subissent me semble lié à la toute-puissance des multinationales du médicament et de l’État profond étasunien (entreprises philanthrocapitalistes à la Bill Gates, Biosécurité, Défense, Espionnage), désormais en mesure d’imposer au monde leurs projets les plus déraisonnables. Pour corrompre tout un aréopage d’experts et de sociétés savantes, les sommes à débourser sont colossales, mais du fait des subventions directes allouées par les gouvernants des USA, de l’Union européenne et de quelques pays hôtes (Suisse, France, Allemagne, Royaume-Uni…), les multinationales du médicament, succursales en charge de la corruption de la décision publique, disposent de moyens quasi-illimités, et dans cette configuration, leur effondrement n’est pas pour demain. Comme les grandes industries prédatrices (secteur financier, industries extractives, luxe, aéronautique), leur responsabilité pénale se dissout dans des amendes provisionnées d’avance. Avec le transfert de leur responsabilité à l’égard de leurs productions sur les gouvernements, il n’est plus nécessaire pour elles de perdre du temps et de l’argent dans des études d’innocuité ou d’efficacité de leurs produits: toujours plus vite du délire à la mise en œuvre. C’est ce que nous vivons actuellement avec la répétition des doses de « vaccins » génétiques anticovid.

    Comment les acteurs sanitaires peuvent-ils laisser faire? La communication à caractère scientifique assurée par quelques leaders d’opinion habille ces projets industriels/financiers de légitimité académique, la soumission ordinaire à l’autorité fait le reste (cf. les expériences de Milgram). Depuis le Médiator, nous savons en France que les agences sanitaires travaillent de facto pour l’industrie en transformant ces projets industriels/financiers en éléments de politiques publiques nationales. Enfin, le traitement du covid a permis de vérifier que l’OMS et la plupart des gouvernements occidentaux sont désormais sous la coupe de ces oligarques, au travers de relais tels que les cabinets conseils (McKinsey en premier lieu), la voix de leurs maîtres.

    Comment en sortir? Par la volonté politique, contre les logiques d’influence et de prédation. C’est un travail de démantèlement de secteurs d’activité devenus obsolètes, nuisibles, insoutenables et probablement criminels qu’il s’agit d’engager. Il faut travailler à l’éviction des grandes féodalités du médicament et du dispositif biomédical de la recherche fondamentale, de la recherche clinique et des lieux de soin, en faisant sans doute davantage de place à une diversité d’approches (telle que par exemple les approches biophysiques, l’aromathérapie, etc.) dans une perspective hippocratique. Il faut lutter contre la corruption de la décision publique, évincer ces féodalités des lieux de décision, approfondir la souveraineté démocratique à tous les étages, à commencer par la santé (santé communautaire).

  7. Personne n’est « obligé » de se « soigner » !
    « Pour commander à la nature, il faut lui obéir » Voilà la voie de la raison, le reste c’est du pipo. La médecine ne guérit pas, elle accentue la maladie avec ses grigris.
    Mais il est plus simple et nettement moins fatiguant de prendre des pilules multicolores que d’accepter une certaine discipline de vie, alimentaire, de mouvement …

    1. encore de la faute des simples gens.

      truc de malade ! ! ! je commence à abhorrer cette société composée de gens qui rendent responsables l’autre des maux sociétaux.

      je serais l’oligarchie, je cultiverais ces personnes elles me seraient d’un grand secours.

  8. Quand j’ai vu ce qui se passait avec la crise covid, j’ai vu de nombreuses analogies avec la maladie de Lyme chronique : volonté politique de non prises en charge des malades, poursuites des médecins qui tentent de soigner, divergence d’appréhension de la maladie au sein de la communauté scientifique etc Et à présent il en est de même avec les covids longs.
    Pourquoi une telle similitude de gestion de ces pathologies au niveau mondial ?

  9. Il sera bien difficile de rester en bonne santé sans prendre soin de la planète et sans éliminer les pollutions chimiques dont celles des big pharma,électromagnétiques et la radioactivité.

    Le Pr Montagnier disait  » L’homme gagnera s’il se concentrer la loi de la nature et uniquement cela »

    Pollution des réacteurs nucléaires en vallée de La Loire
    https://www.sdn-berry-giennois-puisaye.fr/news/rejets-des-centrales-nucleaires-dans-le-fleuve-de-la-vallee-de-la-loire1/

    « Le livre blanc du tritium »Le tritium que l’on ne peut filtrer même avec un osmoseur inverse car trop petit, passe la barrière placentaire
    https://www.asn.fr/sites/tritium/240/
    A Angers, nous en avons dans l’eau du robinet 30-40Bq/l au quotidien.
    Et on ne sait pas quoi faire des déchets de haute activité provenant des centrales nucléaires. Projet aberrant d’enfouissement CIGEO en Lorraine.

    Ces examens pourraient venir en aide au médecin et au patient, en préventif aussi.En attendant d’avoir accès à la banque de toutes les fréquences.

    https://www.medprevent-systems.net/en/products/prognos/
    Le prognos est un appareil assisté par ordinateur qui analyse l’énergie des méridiens et analyse les » produits » qui les corrigent au mieux. Cela permet au moins d’éliminer ceux qui sont nocifs ou sans effets pour chaque personne.

    https://www.proteomis.com/fr/effectuer-un-bilan

  10. La biochimie s’est limitée d’elle-même en méconnaissant le vivant (racine « bio ») et en se limitant à la chimie.
    Il en sera de même pour la biophysique si l’on se contente de la physique en ignorant « la vie » associée.
    Je ne crois pas que l’on puisse comprendre la notion d’organisme vivant alors que nous sommes dans l’ignorance de ce qui vit en nous, sans avoir lu la théorie de « l’organisation et de la vie » dûment démontrée par Antoine Béchamp.
    Peut être que ces diaporamas que j’ai récemment mis en ligne, décideront des scientifiques à enfin s’y intéresser.
    https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/diaporamas/

    1. je ne suis pas sûr que ceux qui mettent en avant la « biochimie » respectent vraiment les lois de la chimie, ce qui serait la moindre des choses.

    1. Oh! Xavier Bazin parmi nous! Lire impérativement ses lettres du mercredi à 8h (c’est dans 2 min) et « Big Pharma démasqué », son bouquin de 2021: Un journaliste indépendant, enfin! et un vrai de vrai!

      1. Merci Vincent ! Pour info, mon prochain livre sort en novembre :
        Antivax toi-même ! Retrouvons un esprit critique sur la vaccination 🙂

      2. Puisque vous relancez l’affaire de la vaccination hépatite B je vais redire quelques mots au sujet de cette affaire. Il y a eu, de façon indiscutable, de multiples témoignages de vaccinés contre l’hépatite B qui, alors qu’ils ne ressentaient aucun trouble neurologique particulier, se sont soudainement retrouvés avec une sclérose en plaques (ou d’autres manifestations). On a pu ainsi observer l’existence d’un fort signal humain, comme en 2017 avec le lévothyrox nouvelle formule.
        Puis les épidémiologistes ont réalisé des études pour conclure au final que tout allait bien et, après avoir admis en 2004 la possibilité d’un lien faible (réunion de consensus), en sont arrivé aujourd’hui à affirmer fortement l’absence totale de lien.
        La question que l’on peut se poser est donc : comment ces études ont elles été réalisées pour effacer un signal humain très fort ? La même question se pose aussi avec l’affaire du lévothyrox nouvelle formule. Dans les deux cas j’ai pu apporter une réponse claire et nette à ces questions dans des articles Aimsib.

        Pour la vaccination HB et la sclérose en plaques (SEP) voici la clé du mystère.
        1- Il faut savoir que la SEP est précédée d’une première atteinte démyélinisante centrale qui peut être régressive pour ne plus se manifester. Elle peut être suivie par une seconde atteinte qui peut être différée de plusieurs années après la première et qui sera alors une SEP.

        2- Il n’était pas très difficile de comprendre que si la vaccination HB favorisait la SEP, elle devait favoriser l’évolution d’une première atteinte démyélinisante centrale vers une SEP. Sous une telle hypothèse on devrait alors trouver davantage de vaccinés HB parmi les SEP que parmi les atteintes démyélinisantes centrales non SEP.

        3- Pour y voir clair de ce point de vue il suffisait donc de comparer les proportions de vaccinés HB parmi les SEP et parmi les premières atteintes non SEP.

        4- Cela a-t’il été fait par les épidémiologistes ? Oui, une seule fois ! Il s’agit de l’étude publiée en février 2007 sur les 33 enfants qui avaient été vaccinés HB APRES avoir fait une première atteinte. (Mikaeloff-Tardieu…) Dans le délai de suivi choisi, seuls 10% d’entre eux avaient converti en SEP, soit 30,30%. Chez les enfants français de la même cohorte KIDSEP suivie par les mêmes auteurs, le taux observé de conversion en SEP parmi les non vaccinés HB est 32%. Il ne peut donc y avoir de signal.

        5- Les mêmes auteurs ont publié le 8 octobre 2008 une étude sur les 349 enfants ayant fait une première atteinte démyélinisante centrale APRES avoir été vaccinés contre l’hépatite B. Le taux observé de conversion en SEP parmi les vaccinés HB est 52% contre 32% chez les non vaccinés HB. L’écart observé est très significatif avec une chance sur 10000 de l’observer par le fait du hasard. Ce signal très fort avait été vu par les auteurs qui en avaient informé au moins le HCSP et le ministère avant la publication comme le confirmera l’ancien président du HCSP au cours d’une émission radio que je faisais avec lui (mars 2018 sur une radio bordelaise) et où j’avais présenté ce signal.
        Les auteurs avaient publié les données qui m’avaient permis de trouver ce signal mais sans y faire aucune allusion alors qu’ils l’avaient vu …
        Au lieu de publier cette comparaison entre les taux de conversion en SEP dans ces 2 groupes, ils ont fait du cas-témoins qui permet de noyer le poisson …

        6- Les autres études épidémiologiques publiées porteront soit sur les SEP seules, soit sur les SEP cumulées avec les atteintes démyélinisantes centrales non SEP pour être traitées en … cas-témoins !
        AUCUNE de ces publications n’a sorti les nombres et proportions de vaccinés HB parmi ces atteintes non SEP, AUCUNE !!!!!!! Ce n’est pas normal bien sûr !

        7- On est contraint de constater qu’aucun leader de la critique de ces études épidémiologiques sur le lien entre vaccination HB et SEP n’ait vu ce problème car s’ils l’avaient vu, ils l’auraient sans doute soulevé, contrairement aux auteurs de ces études qui avaient sans doute vu mais n’en n’ont rien dit, se contentant de nous amuser et de détourner la critique avec une foultitude de tests cas-témoins.

      3. CORRECTIF à mon commentaire ci-dessus :

        « 10% d’entre eux avaient converti en SEP, soit 30,30%.  » il faut lire « 10 d’entre eux avaient … »

      4. marc girard affirme que la SEP pédiatrique n’existait pas avant la vaccination hepB. la messe est dite.

        Mais le monde médicale soigne un peu, tue beaucoup et passe son temps à expliquer que quand il soigne un peu c’est de la causalité mais quand il tue beaucoup c’est de la corrélation.

        Maintenant pendant au moins 2 ans ils (le milieu médical) ont préféré faire des injections de rivotril parce que chloroquine ou ivermectine avaient pas d’étude en double aveugle contre le covid (mais le rivotril probablement que oui). La médecine a tué des gens sciemment et avec application.

        ne venez pas me parler de science. le mec bourré sous acide en plein délire schizophrène est plus scientifique qu’un gilles 2 raies (une devant, une derrière pour être plus disponible). pourtant le gilles à le droit de tuer des gens avec sa blouse blanche, et il le fait droit dans ses bottes.

      5. Une affirmation de Marc Girard reste une affirmation. Même si elle est exacte elle est tout à fait insuffisante pour ébranler les experts et les autorités qui font la pluie et le beau temps. Par contre, les données qu’ils publient dans leurs « études » et les signaux qu’elles révèlent peuvent avoir un tout autre poids à leurs yeux.
        C’est d’ailleurs pour cette raison que le signal très fort dont je rappelais l’existence dans mon commentaire n’a pas été explicité dans la, publication alors qu’auteurs et commentateurs autorisés le connaissaient.

        Voir mon article Aimsib à ce sujet :
        https://www.aimsib.org/2020/02/23/mentir-ou-travestir-pour-ne-pas-faillir-le-coup-du-signal-fort-quon-prefere-oublier/

      6. C’est pourtant simple, cher Bernard, tous les  ÉPIDÉMIOLOGUES  sont dans la main de l’industrie puisqu’aucun État n’a plus de crédit de recherche pour eux.

  11. Bonjour,
    Selon la définition que l’on fait de la Vie se construit une société ou une autre (voir les travaux d’André Pichot, au C.N.R.S.).
    Si vous croyez que la Vie est décomposable en éléments unitaires dont le comportement peut être reproduit en laboratoire, vous construisez la société actuelle.
    Si vous croyez que qu’il y a un tout à la Vie, inatteignable à l’individu dans un laboratoire, alors vous construisez une société similaire à celle des natifs d’Amérique, ou d’Afrique.
    Dans tous les cas, il n’y a de pire croyant que celui qui croit qu’il ne croit pas.
    Admettre nos croyances, afficher une humilité par rapport à ce que l’on peut espérer de notre processus scientifique et industriel reste la première des conditions à une meilleure société.
    F.B., artisan, adhérent à l’A.I.M.S.I.B. depuis peu.

  12. Puisque l’article (merci au Dr Choffat) aborde le sujet « La grippe ? Pas de panique ! » il me paraît assez évident, données officielles à l’appui, que le taux de létalité est extrêmement faible et que si le monde en avait conscience, on en parlerait comme d’une maladie très bénigne dont très peu de personnes (de quel âge ?) en meurent, et la baudruche du vaccin contre la grippe se dégonflerait très vite au grand dam de Big Pharma qui en a fait une rente à l’échelle mondiale !

    Ci-dessous un de mes commentaires publié sur le site Agoravox :
    njama 11 mai 2020 15:00
    La moyenne des décès notifiés « grippe » sur actes de décès a été de 603 par an entre l’année 2000 et 2016. Dans ces chiffres on peine à trouver une pandémie H1N1 cru 2009 ! à se demander si elle n’a existé que dans l’imagination des épidémiologistes (?)

    Données du Cepidc_Inserm (Centre d’épidémiologie sur les causes médicales des décès) France entière Années : 2016 / 2015 / 2014 / 2013 / 2012 / 2011 / 2010 / 2009 / 2008 / 2007 / 2006 / 2005 / 2004 / 2003 / 2002 / 2001 / 2000

    Décès toutes causes confondues : 591357 / 591163 / 556467 / 567078 / 568902 / 544885 / 549962 / 545852 / 541118 / 528885 / 524802 / 536233 / 517433 / 560497 / 543191 / 538759 / 538374 /

    Total Maladies de l’appareil respiratoire :
    41289 / 42710 / 35413 / 37626 / 38640 / 34555 / 32534 / 34445 / 33193 / 32547 / 31066 / 35571 / 30717 / 36447 / 34169 / 32524 / 36087 /

    GRIPPE : 960 / 1915 / 341 / 715 / 777 / 337 / 140 / 532 / 205 / 248 / 127 / 1009 / 159 / 475 / 555 / 173 / 1588 /

    Pneumonie : 13295 / 13365 / 11058 / 12056 / 12293 / 10636 / 10563 / 11368 / 10788 / 10498 / 9824 / 11332 / 9658 / 12074 / 11294 / 10688 / 11493 /

    Asthme : 924 / 888 / 851 / 883 / 920 / 863 / 963 / 1013 / 944 / 1053 / 1038 / 1186 / 1150 / 1398 / 1419 / 1498 / 1636 /

    Autres maladies chroniques des voies inférieures : 10406 / 10741 / 9008 / 9657 / 9291 / 8621 / 8210 / 8169 / 8330 / 8119 / 7756 / 8500 / 7553 / 8398 / 7608 / 7326 / 7970 /

    Autres maladies de l’appareil respiratoire : 15704 / 15801 / 14155 / 14135 / 15359 / 14098 / 12658 / 13363 / 12926 / 12629 / 12321 / 13544 / 12197 / 14102 / 13293 / 12839 / 13400 /

    (Inserm Cépidc > (dans Menu) Causes médicales décès > Interroger les données de mortalité > dans la Page cliquez sur consultez les principaux indicateurs produits à partir de la base de données des causes médicales de décès.)

    (les dernières données disponibles sont celles de 2016). Sur ces dernières années on constate une augmentation assez significative des décès par maladies respiratoires à pondérer toutefois puisque la mortalité toutes causes confondues à augmenter (génération baby boomers ?)
    —————————————————————————-
    Nous sommes donc très très loin des chiffres alarmants en milliers publiés dans nos médias de même que le site de l’OMS qui fait mourir quelques 600.000 personnes par an de cette pathologie saisonnière..
    A noter que l’accès aux données du Cepidc pour les années 2017 et suivantes est depuis restreint :

    « Je suis un chercheur et/ou j’ai un projet d’étude sur les causes de décès ou le SNDS
    Attention, pour accéder aux formulaires via cette page d’aiguillage, vous devez créer un compte utilisateur et y être connecté.
    > Je suis affilié à une équipe labellisée Inserm, je souhaite obtenir
    > Je ne suis pas affilié à une équipe labellisée Inserm, je souhaite obtenir »
    https://www.cepidc.inserm.fr/je-suis-un-chercheur-etou-jai-un-projet-detude-sur-les-causes-de-deces-ou-le-snds

    La vaccination contre la grippe est une sorte de fer de lance d’une « NÉBULEUSE internationale » dont l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires sont partie prenante (stakeholders). On citera bien sûr, l’OMS (1), mais aussi l’ESWI (European Scientific Working group on Influenza) créé en 1992 (2) dont les partenaires sont les géants de l’Industrie Pharmaceutique > The pharmaceutical companies supporting ESWI include: Hofmann-La Roche, AstraZeneca, GlaxoSmithKline, Seqirus, Sanofi Pasteur, Viatris, Janssen (3), Vaccine Europe (4), La Commission européene pour booster la vaccination « urging EU countries to commit to vaccinating 75% of at risk groups against seasonal flu each year. » (5), sans oublier le Global Health Security Agenda initialisé par 40 pays en 2014 sous la présidence de Obama (6)

    Que d’ardeurs suspectes déployées à vouloir notre bien ! à moins qu’il s’agirait de nous dé-Naturer (?) au plan ontologique. Alain Fischer, le « Monsieur vaccin » du gouvernement, qui émarge au conseil d’administration de la Foundation Edmond de Rothschild (7) n’avait-il pas déclaré que la vaccination Covid « se rapproche d’être une norme sociale » ! une norme sociale !!!!!!!!!! oups !

    (1) https://www.who.int/europe/fr/news/item/12-10-2022-joint-statement-by-commissioner-stella-kyriakides–who-regional-director-for-europe-dr-hans-henri-p.-kluge-and-director-of-the-ecdc-dr-andrea-ammon–working-together-towards-covid-19-and-seasonal-influenza-vaccinations-for-this-winter
    (2) https://eswi.org/
    (3) https://eswi.org/site/eswi/financial-supporters
    (4) https://www.vaccineseurope.eu/
    (5) https://health.ec.europa.eu/vaccination/influenza_en
    (6) https://blogs.cdc.gov/global/2016/11/04/president-obama-cements-global-health-security-agenda-as-a-national-priority/
    https://www.cdc.gov/globalhealth/security/ghsagenda.htm
    (7) https://www.edmondderothschildfoundations.org/nous-connaitre/gouvernance

    1. Et donc, si vous prenez juste 2 secondes en considération ces « CHIFFRES TRÈS OFFICIELS » du Cepidc, ce satellite de l’INSERM – une moyenne de 603 décès par an – soit moins de un décès par an pour 1000 hab., ou en moyenne par département -, dans notre population en France, on se demande bien à quoi elle sert cette vaccination anti-grippe ??? qui démarre ces jours-ci tambour battant.

      Chers lecteurs, vous irez par vous-même constater dans ces chiffres que j’avais publié en 2020, que dans l’année 2009, la si fameuse année « plandémique H1N1 » qui allait tous nous faire mouriiiiirrrrrr comme elle nous prédisait notre voyante Roselyne ministre de la santé à l’époque, il n’y eut que 532 décès grippe répertoriés…
      Rapporté à quelques 600 mille décès par an en France toutes causes confondues, cela représentait moins de 1 seul cas pour 1000 décès. N’y aurait-il pas des causes plus « essentielles » en termes de santé publique (?) plutôt que de vouloir injecter un quart de la population (l’objectif de 75% des plus de 65 ans)?

      Cela questionne forcément, tellement plus loin que ma petite personne, votre humble serviteur, qui était allé comme une petite souris au hasard de ses pérégrinations internautiques glaner ces infos, qui devraient, sauf à n’avoir pas la tête à l’endroit, être normalement médiatiquement « explosives » en pulvérisant cette pathologie hivernale très commune, depuis bien des siècles certainement, au rang d’un p’tit coup de froid, ou d’un gros rhume, n’en déplaise à Big Pharma, ses actionnaires et ses sbires. Petite vague que, vos recettes de grand-mère, de famille (être alité sous un gros édredon, laisser la fièvre agir, de l’eau, une alimentation sobre pendant quelques jours,…), ou celle de votre médecin de famille, pour aider à la surmonter, sauf peut-être au stade d’un très grand âge, car au-delà de toutes leurs qualités et dévouements souvent irréfrénés quand ils nous connaissent bien, ils ne sont pas non plus thaumaturges (faiseurs de miracles)… lequel nous transporte un jour ou l’autre, tout un chacun au bord du Styx, ou de Notre Créateur,… suivant une polarité spirituelle propre à chaque âme.

      1. La vaccination ne sert à rien pour rien. elle tue juste des gens…

        comme les armes occidentales en ucraigne…

        une forme de tropisme.

      2. @herve_02
        Mon propos était de mettre en avant la question faut-il vacciner des millions de personnes pour une pathologie dont la létalité est extrêmement basse ? coût pour la collectivité, bénéfices-risques pour les personnes de cet abonnement annuel, alors que le gouvernement et les médias nous bassinent que les services de santé sont sous tension, en sous-effectifs… Ne faudrait-il pas qu’ils emploient leur énergie de façon plus efficiente…

        Couverture vaccinale grippe par saison et dans chaque groupe d’âge
        (source : SNDS – DCIR- tous régimes – Traitement Santé publique France)
        Saison 2021-2022,
        Moins de 65 ans : 34,3 %
        65 ans ou + : 56,8 %
        TOTAL = 52,6 % ……….. c’est à dire 35 millions de vaccinés

        https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/vaccination/articles/donnees-de-couverture-vaccinale-grippe-par-groupe-d-age

        Au niveau de l’Union européenne, en imaginant un taux de vaccination similaire de 50 % ça fait 220 millions de vaccinés, et au niveau mondial,…
        Pour vendre leurs vaccins le marketing a fait de la grippe un terrible fléau en manipulant l’histoire et les chiffres de la grippe espagnole, alors que, hormis de rares grippes sévères, genre grippe de Hong-Kong (1969-1970), elle ne représente dans le paysage de toutes les causes de décès, du moins pour les chiffres de 2000 à 2016, que 1/1000 des décès / an en France, et que 2 % environ du Total des Maladies de l’appareil respiratoire (en 2016, 960 / 41289 = 0.023).

        Les choses changeront quand les personnes commenceront à penser que les industries pharmaceutiques sont avant tout des commerçants.

      3. mon propos étant : « faut-il vacciner tout court ? ».

        Pour le dire autrement, si demain arrivait un vraie cygne noir; est-ce qu’un vaccin pourrait solutionner le problème ?

  13. En attendant, sur 170 M d’Anglais et Gallois de 55 à 75 ans hospitalisés pour GRIPPE de 2000 à 2014 [dont 7,6 M de décès (de vieux)], la VACCINATION avait été totalement inefficace [donc purement nocive (aspect E. Nocifs) qui avait été soigneusement tu)] : Anderson M L, (2020) Dobkin C & Gorry D,  »The effect of influenza vaccination for the ederly on hospitalization and mortality : an observational study with a regression discontinuity design », Ann Int Med 172 (7) : 445-452, article (coup de tonnerre récent) trop cher pour les manants dans mon genre (35€, ce qui est aussi un moyen de maintenir la lumière sous le boisseau).

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