Pour qui doute encore (*) de l’intérêt de cette discorde d’apparence anodine -un vaccin vivant a-t-il été préparé sur chimpanzés africains ou sur macaques asiatiques- il faut comprendre que seul le premier primate est porteur d’un bien curieux virus, le VIS, semblable au VIH humain à quelques mutations près. Alors, on nous explique que tous ces scientifiques s’étaient réunis dans l’ex-Congo belge pour travailler sur des fragments d’animaux venus d’Asie, confortablement installés à côté d’une énorme chimpanzerie comptant plusieurs centaines d’animaux et qu’on en sacrifiait tous les jours comme ça, pour rien… Bernard Guennebaud, comme tous nos vieux limiers de légende, ne sait pas abandonner. Il termine ici un passionnant, mais déplorable récit. Alors bonne lecture…
(Le premier épisode de cet article se trouve ici: https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2022/04/10/le-sida-a-t-il-vu-le-jour-a-cause-dun-vaccin-anti-polio-defectueux-premiere-partie/ )
Guerre des singes et crispation médicale face aux témoignages des acteurs :
- « Professeur Koprowski, avez-vous utilisé des chimpanzés pour préparer votre vaccin ? » (photo de Koprowski répondant à cette question, ci-dessus)
- “Jamais de la vie ! “
Introduction
Dans le précédent article, nous avons vu les attitudes et gesticulations de personnalités de la science brandissant la rigueur scientifique à tout va, tout en étant incapables de répondre à une question simple comme « que signifiait le sigle CHAT ? » ou en attribuant à la fameuse analyse d’ADN présentée au symposium de Londres des conclusions qu’elle ne pouvait pas donner.
Tous ces scientifiques donc, réunis devant la presse mondiale pour en finir avec Hooper et son hypothèse, vont produire l’effet inverse. De toute évidence, pour agir ainsi « c’est qu’ils ont quelque chose à cacher ! » De plus, était-il si habile de s’en prendre à la méthode de travail des journalistes, l’enquête, en prenant à témoin d’autres journalistes ?
Chimpanzés ou pas
Pour Hooper, l’objectif ne sera plus de démontrer que le sida viendrait du vaccin utilisé au Congo mais d’établir seulement qu’il avait été préparé sur chimpanzé. Cinq télévisions, française, belge, canadienne, espagnole et suisse romande vont soutenir Hooper en envoyant des équipes de journalistes qui vont mener pendant plusieurs années une remarquable enquête diffusée le 23 avril 2004 sur France 2 à l’occasion du sidaction. Ce documentaire « Les origines du sida » réalisé par Peter Chappell et Catherine Peix est toujours visible [2] ainsi que les critiques dont il fut l’objet [3].
Moins de 4 ans après le symposium qui avait voulu classer l’affaire, cette diffusion va relancer la polémique grâce en particulier aux éléments suivants :
1 – Un film tourné à l’époque pour les actualités cinématographiques montrait l’animalerie de chimpanzés du Camp Lindi sur une île de la rivière du même nom. La zone était protégée par des pancartes mentionnant : « Polio Mission Courtois Koprowski Centre d’Expérimentation Entrée interdite ». Courtois était un Belge qui dirigeait le centre. Les journalistes ont retrouvé Bayello qui travaillait à la chimpanzerie et s’occupait de nourrir les animaux.
Selon lui, 600 chimpanzés séjournèrent dans le centre, pendant 3 ans, de 1957 à 1959. A quoi était destinés tous ces singes ?
Le film montre un singe vivant, debout dans sa cage. On lui enlève un organe, il grimace et soudain s’écroule…
2 – On a pu voir aussi les immenses bâtiments à l’abandon du laboratoire de Stanleyville (devenue Kisangani). Le film montre un document qui atteste que la fabrication de vaccins faisait partie de ses attributions.
3 – On peut voir Hilary Koprowski interrogé par Hooper À la question (34’42’’) :
- « Avez-vous utilisé des chimpanzés ? » il répondra avec une totale assurance « Jamais de la vie ! ».
Deux Questions Fondamentales
Question 1 : que voulait dire le sigle CHAT ? Koprowski, le grand organisateur de cette affaire en connaissait certainement la signification. Pourquoi a-t-il constamment ignoré la question ?
Question 2 : le vaccin était-il produit sur place « en quantité », même s’il était élaboré, dans sa conception, à l’Institut Wistar de Philadelphie ? C’est une question très importante qui a été posée par Hooper car une réponse positive rendrait totalement invraisemblable l’utilisation de singes d’Asie pour la fabrication du vaccin utilisé au Congo : il aurait en effet fallu faire venir ces singes de l’Inde jusqu’au Congo alors qu’on entretenait une chimpanzerie à proximité avec des équipes de chasseurs qui en avaient capturé vivants plusieurs centaines !
Le relais de Koprowski au laboratoire de Stanleyville, Paul Osterrieth, a soutenu au symposium de Londres que ce laboratoire n’était pas équipé pour produire le vaccin, affirmant :
- « Je n’aurais jamais risqué ma réputation et la vie d’êtres humains en faisant des choses aussi hasardeuses ».
D’un mensonge à un autre
Pourtant, il existe des éléments décisifs en faveur d’une réponse positive à cette question. D’abord, que faisait là-bas un biologiste de la qualité de Paul Osterrieth qui savait pratiquer les cultures cellulaires, ce qui était rare à l’époque ?
Il y avait d’ailleurs sur place toute une équipe de biologistes belges dont Mme Liégeois, Gaston Ninane et Pierre Doupagne qui affirma avoir appris les cultures cellulaires au Congo. Juste pour réceptionner des colis de vaccins congelés et les installer dans des congélateurs après les avoir testés ?
Par ailleurs, il n’aurait pas été très rationnel d’envoyer aux USA des centaines de singes vivants pour ensuite expédier vers le Congo de gros envois de vaccin devant rester impérativement congelé à -20°. D’ailleurs :
La revue La Recherche indique à ce sujet qu’une « trop lourde logistique a empêché la généralisation d’envois de reins de singe du Congo aux USA »[n°338, janvier 2001]. Raison de plus pour penser que la production se faisait sur place….
Il en alla ainsi pour le vaccin Sabin testé sur 40 millions de personnes en URSS : il était produit en quantité sur place et des macaques étaient expédiés en grand nombre pour assurer une production locale.
Les témoignages des assistants et infirmiers africains
– Jacques Kanyama, l’assistant de Paul Osterrieth, témoigna que ce dernier préparait lui-même le vaccin, disant à son assistant : « Nettoie et stérilise les tubes pour qu’on mette le vaccin » alors que Philippe Elebe, l’assistant de Pierre Doupagne, mettait des étiquettes mentionnant « vaccin polio ».
– et surtout celui, encore plus décisif, de Joseph Limbaya l’infirmier. Il affirma prélever le sang des chimpanzés en le mettant dans un bocal « comme ceci » et aussi le foie et les reins pour les donner à celui qui fabriquait le vaccin, Paul Osterrieth.
Une photo de ces scènes montrait Joseph à l’œuvre. Il affirma tuer 2 ou 3 chimpanzés par jour, « si le docteur le demandait ».
Les témoignages des biologistes belges
Pierre Doupagne témoigna clairement qu’il préparait des cultures à base de chimpanzé et qu’il les remettait à Paul Osterrieth au laboratoire de Stanleyville. Combien de fois l’avait-il fait?
- « Souvent…souvent…répondra-t-il. »
On entendra la voix de Gaston Ninane, décédé par la suite.
En 1992, il déclara à Hooper que le virus était bien cultivé sur cellules de reins de Chimpanzé et – les cellules de chimpanzé se multipliant facilement – que c’était un très bon substrat pour la culture du virus de la polio.
Des témoignages contestés
La valeur de ces témoignages fut mise en cause au cours d’une émission ( »Arrêt sur image’‘) qui eut lieu quelques jours plus tard sur France Cinq. Je n’ai pas vu cette émission, mais Simon Wain-Hobson, l’un des deux co-organisateurs du symposium de Londres, se livra aussi à une contestation dans le Concours Médical du 9 juin 2004. Il travaillait à l’Institut Pasteur de Paris et fut un acteur éminent de l’équipe de Luc Montagnier qui découvrit le virus du sida :
- « Que penser des témoignages recueillis par ce journaliste ? La plupart des témoins oculaires qu’il a pu rencontrer sont aujourd’hui âgés, et, dans le script que j’ai pu lire, ils se contredisent eux-mêmes, ne se souviennent pas bien. Que penser de la rétention de leurs propres contradictions dans le document diffusé ? »
Ce fut effectivement, selon ce qui m’a été rapporté, l’une des critiques formulées contre ce documentaire : les personnes interviewées se seraient contredites et leurs contradictions auraient été censurées au montage.
Mais que penser d’une telle appréciation quand on sait que l’infirmier Joseph Limbaya, par exemple, dit avoir égorgé 2 à 3 chimpanzés certains jours, plusieurs centaines en tout, et que, quand on a vécu cela même 40 ans après, il me semble qu’on est plus qu’un simple témoin oculaire.
Un chimpanzé, ce n’est pas un être humain mais presque ! D’ailleurs pour Koprowski la même durée s’était écoulée depuis ces événements et il est nettement plus âgé. Pourtant, son témoignage n’est pas remis en cause. Hooper fait aussi remarquer que Osterrieth, qui n’était pas plus jeune que les infirmiers africains, se contredit lui-même en affirmant au symposium de Londres qu’il avait bien réalisé 6 envois de reins de singes chimpanzés pour l’Institut Wistar de Philadelphie alors qu’il avait signé le 28 février 2000 un document dactylographié complété par une note manuscrite affirmant le contraire comme le montre le documentaire.
Quant à Koprowski, s’il ne sait plus ce que voulait dire le sigle CHAT dont il est très certainement l’instigateur, alors c’est qu’il est très marqué par les effets de l’âge qui pourtant ne l’ont pas empêché de tenir sa place au symposium de Londres et d’y faire un long exposé …
Alors, vaccin sur chimpanzé ou sur macaque ?
La souche CHAT sur macaque a très certainement existé : celle utilisée en Pologne pour 7 millions de vaccinations. De plus, l’échantillon qui a été retrouvé provenait du congélateur d’un laboratoire de Stockholm qui l’avait reçu du laboratoire de Koprowski à Philadelphie.
Les chimpanzés étaient-ils captifs ou en liberté ?
Il a été découvert une très grosse différence entre les virus VIS des chimpanzés sauvages et en captivité : si l’analyse de la séquence de toutes les souches virales de chimpanzés captifs a apporté des éléments convaincants en faveur de l’hypothèse que le VIH-1 proviendrait du chimpanzé, des données récentes sur les chimpanzés dans leur habitat naturel apportèrent une double surprise :
– d’une part, très peu d’animaux sont contaminés par le VIS, 2% contre 80% pour les autres espèces de singes ;
– d’autre part, le virus infectant les chimpanzés sauvages est très différent du virus humain et aussi du VIS infectant les chimpanzés captifs et qui, par contre, est très proche du virus humain.
Ces faits suggèrent très fortement que ce serait des chimpanzés captifs qui auraient contaminé les humains, ce qui enlève beaucoup de crédibilité à l’hypothèse du chasseur qui est pourtant aujourd’hui l’hypothèse retenue par les scientifiques pour expliquer le passage à l’homme.
Des alliés scientifiques pour Hooper
Des recherches furent menées sur le terrain par un biologiste de renom, Bill Hamilton, considéré comme le plus grand biologiste de l’évolution depuis Darwin. La capture des chimpanzés étant devenue interdite, il avait mis au point un procédé permettant de dépister le VIS dans les excréments des animaux. Pour lui, l’hypothèse de Hooper, à qui il avait demandé de l’accompagner, avait 95% de chances d’être exacte. Il paiera ces recherches de sa vie car il mourra de la malaria en mars 2000 et, selon les organisateurs, c’est en son honneur que le symposium de Londres dont il avait demandé la tenue sera organisé.
Auparavant, Hamilton avait déclaré à CNN :
- « Que l’idée que ce grand triomphe sur la polio ait pu s’accompagner d’un désastre aussi énorme que celui du sida avait de quoi vous faire vaciller de votre piédestal. Que l’hégémonie de l’industrie pharmaceutique était la plus grande entrave à l’indépendance de la recherche médicale et qu’il était du devoir des scientifiques de faire connaître les dangers éventuels de leurs recherches et découvertes pouvant affecter notre société et qu’à propos du sida ils devaient admettre que cela avait pu se produire, pire, que cela s’était effectivement produit. »
« Voulez-vous dire, lui demande CNN, que le monde scientifique refuse d’endosser la responsabilité morale à défaut d’une responsabilité légale pour ce qui s’est passé pour le virus du sida? »
- « Je pense que c’est le cas. A chaque fois que je rencontre des représentants du monde médical, ils ne veulent pas entendre parler de cette théorie. Il s’agit d’une réaction quasi paranoïaque. C’est l’hypothèse la plus haïe du monde médical. Ils ne veulent tout simplement pas en entendre parler. Ce n’est pas seulement l’origine du sida mais c’est le comportement du monde scientifique qui est en cause ; c’est l’aspect le plus inquiétant de l’affaire. Il y a une grande résistance à publier quoi que ce soit sur la question, à vérifier les pièces disponibles qui pourraient être facilement testées.»
Dans son livre de janvier 2018, « La vérité sur les vaccins » Didier Raoult écrit, page 92 :
- « La méfiance vis-à-vis des vaccins n’est pas forcément le symptôme d’une paranoïa, comme certains voudraient le croire. Je pense notamment à ces campagnes de vaccination réalisées en Afrique avec des aiguilles qui n’étaient pas à usage unique -c’était avant le sida – et qui ont diffusé dans les populations l’hépatite B, l’hépatite C, et sans doute favorisé l’infection par le VIH. Chape de plomb sur le sujet.»
Il s’agit très certainement des campagnes de vaccination contre la variole menées dans les années 1960-77 dans le cadre de l’éradication de la variole.
On utilisait alors l’aiguille bifurquée inventée par Benjamin Rubin [4]
Quand sa partie fourchue est trempée dans un flacon de vaccin antivariolique lyophilisé, c’est la juste quantité de vaccin qui se retrouve entre les deux dents. Cette aiguille permettra tout à la fois d’économiser le produit et de vacciner beaucoup plus rapidement.
Pour le pathologiste Cecil Fox qui fut directeur de l’Institut National américain des maladies infectieuses de 1982 à 1992, c’est aussi l’hypothèse que le sida proviendrait du vaccin sur chimpanzé de Koprowski est l’hypothèse la plus haïe du monde médical et à propos du symposium de Londres il dira :
- « La communauté scientifique a su s’unir et procéder à un lynchage publique. Ils ont proclamé qu’ils avaient mis à mort la théorie selon laquelle le sida aurait ce vaccin pour origine ; il y a toujours des trous béants dans leur argumentation. Je ne crois pas qu’ils aient fait là du meilleur travail qu’auparavant. »
Dès 1985, en tant que fonctionnaire de l’État américain, il demandera d’avoir accès à des échantillons de vaccins pour les analyser. On lui répondra qu’il n’y en avait pas, ou plutôt qu’il y en avait eu mais que quelque chose s’était produit qui faisait que maintenant il n’y en avait plus. D’autres lui dirent que des analyses avaient bien été faites et que la thèse avait été infirmée :
- « Je devais les croire sur parole ».
Il affirma qu’on aurait dû arrêter d’utiliser des reins de singes dès 1960, mais que c’est l’industrie pharmaceutique qui a décidé, alors qu’on pourrait utiliser un vaccin de synthèse, mais que cela coûterait très cher de changer la production. Aussi, on produit « de la purée de singe et on vaccine les enfants avec » selon ses propres termes.
Les objections à la thèse du vaccin
Même en admettant, ce qui est plus que probable, que le vaccin utilisé au Congo était bien cultivé sur rein de chimpanzé et non de macaque, on ne peut pour autant en déduire que l’utilisation de ce vaccin serait à l’origine du sida. Il existe un certain nombre d’arguments qui ont été avancés pour démontrer que même en pareil cas – impliquant un énorme mensonge de la part de Koprowxki et collaborateurs – ce vaccin ne pouvait être à l’origine du sida.
1- Le vaccin oral : il fut avancé que ce n’était pas une bonne voie pour assurer la transmission du virus VIS du chimpanzé à l’homme. Cela peut convaincre même s’il est quasi certain que des vaccinés aient pu avoir des blessures à la langue ou à la bouche au moment de la vaccination. Pourtant, les plus rudes adversaires de Hooper soutiennent eux-mêmes la thèse de la contamination orale pour l’origine du sida , comme Wain-Hobson dans le Concours médical du 9 juin 2004 :
- « L’hypothèse la plus probable, pour l’origine du sida, est celle d’une contamination par voie alimentaire (17% des prélèvements de viande de singe vendus sur les marchés camerounais sont positifs pour un virus simien)».
2- La congélation : pour Plotkin, le plus zélé collaborateur de Koprowski,
- « Les scientifiques s’accordent pour dire que la congélation aurait détruit un virus aussi fragile que le VIS ou le VIH » [La Recherche janvier 2001].
Peut-être mais justement :
C’est par des prélèvements congelés effectués en 1971 sur un marin norvégien puis sur sa femme et sa fille, mais qui seront testés beaucoup plus tard, que le virus VIH-1 a été retrouvé… De même, aussi pour les 2000 prélèvements effectués au Congo par Van de Pitte en 1959. Ils seront testés 20 ans plus tard, un sera trouvé positif pour le VIH, confirmé par plusieurs laboratoires. Ce cas sera considéré comme le premier cas détecté de sida.
3- Le rein ne serait pas un organe favorable : toujours selon Plotkin, car contenant très peu de cellules nécessaires à la propagation du virus. C’est possible, mais le vaccin n’était pas uniquement constitué de virus saupoudrés à sec sur des reins émincés. Il faut une sauce, c’est-à-dire un milieu nutritif servant aussi de liant, comme en cuisine, et cela Stanley Plotkin le sait parfaitement. Pour les vaccins, on utilise souvent du sérum de veau, ce qui a donné lieu à la manifestation de nombreuses inquiétudes au moment de l’affaire de la vache folle. Mais ici, il s’agissait très vraisemblablement du sérum du singe. D’ailleurs l’infirmier africain Joseph a effectivement témoigné qu’il prélevait le sang des chimpanzés.
De plus, le chercheur allemand Fritz Deinhardt était à l’époque au laboratoire de Stanleyville pour y faire des recherches sur le virus de l’hépatite, ce qui démontre que ce laboratoire était très bien équipé, contrairement aux affirmations de Paul Osterrieth. Un document fut présenté dans le film.
Il décrivait la culture du virus de l’hépatite sur rein de chimpanzé finement émincé dans un milieu de culture élaboré à partir du sang de la même espèce de singe. Cela est mentionné en toutes lettres. Il est donc plus que vraisemblable qu’il en allait de même avec la préparation du vaccin polio.
Observons donc que la polémique a créé une focalisation exclusive sur les reins du singe, ce qui a pour effet d’occulter l’extrait de sang qui accompagnait obligatoirement la préparation du vaccin et que ce sang était un parfait véhicule pour le VIS. De cela, les défenseurs du vaccin de Koprowski ne parlent point…
4- Les premières contaminations seraient plus anciennes :
Au symposium de Londres, la date d’apparition du sida, 1959, fut remise en cause. Elle deviendra 1930 à la suite des calculs de l’équipe américaine de Bette Korber, publiés en 2000 :
- » Selon les calculs, tous les virus M ( souches du VIH1) se sont individualisés vers 1930, à partir d’un ancêtre commun. La propagation du sida au sein de l’espèce humaine daterait de cette époque, son explosion ultérieure découlant de l’intensification des échanges internationaux, des transfusions sanguines et de l’usage de drogues injectables. Le passage du chimpanzé à l’homme remonterait au moins au 17ème siècle. » [ La Recherche décembre 2003]
De toutes façons, une première transmission occasionnelle n’en empêcherait pas une autre par la suite.
Ce n’est pas parce qu’on aurait trouvé des cas d’infection VIH dès 1935 qu’il existerait une filiation entre ces cas et l’épidémie actuelle.
Mais cette remise en cause est elle-même remise en cause aujourd’hui : Wain-Hobson, par exemple, écrit dans le Concours médical du 9 juin 2004 :
- « Il y a un consensus pour dire que le virus du sida est probablement apparu chez l’homme vers le milieu du XXe siècle, même si certains scientifiques le font remonter à 1930. Mais personne ne peut vraiment avancer une date précise »
5- Pas les bons chimpanzés : Les chimpanzés du camp Lindi ne seraient pas la bonne espèce de chimpanzés, celle sur laquelle on a trouvé le VIS le plus proche du VIH-1, objection formulée au cours de l’émission sur la Cinq mais que Koprowski n’avait pas exprimée. A quoi bon d’ailleurs puisqu’il n’utilisait pas de chimpanzés ! Bill Hamilton a risqué sa vie au point d’en mourir pour aller étudier les chimpanzés sur place, là où ils étaient chassés pour approvisionner le camp Lindi ;
La communauté scientifique concernée par cette affaire c’est mobilisée au plus haut niveau, organisant en particulier un symposium. Pourquoi tant d’activités si un argument aussi facile avait permis de trancher la question ? Et pourquoi vouloir que la transmission n’ait pu se faire qu’à partir du VIS le plus proche du VIH actuel alors que l’on sait que ces virus ont un important et constant pouvoir de mutation ?
De plus et pour cette raison, les virus étudiés à l’heure actuel peuvent différer sensiblement de ceux qui existaient en 1957. De tels arguments pourraient procéder du détournement d’attention, le principe fondamental utilisé par tous les magiciens. D’ailleurs, pour Plotkin :
- « Les chimpanzés dont il est question provenaient de l’est du Congo, alors que le virus SIV proche du VIH provient des régions de l’ouest (Burundi, Ouganda) »
[La recherche janvier 2001]. Mais ces régions sont justement à l’EST du Congo comme le fera remarquer un lecteur dans le numéro suivant et comme chacun pourra le vérifier sur une carte !!!
Conclusion
S’il n’y a aucun doute à avoir sur le fait que le vaccin CHAT utilisé en Europe ne fut pas cultivé sur chimpanzé mais sur macaque.
Il n’y a maintenant plus guère de doute à avoir sur le fait que le vaccin CHAT utilisé au Congo belge fut bien cultivé sur rein de chimpanzé avec du sérum de ces mêmes singes comme milieu nutritif et que la production en quantité pour assurer l’ensemble des vaccinations locales fut réalisée sur place au laboratoire de Stanleyville.
La question qui se pose alors est de comprendre pourquoi Koprowski et ses collaborateurs ont nié ces faits avec autant d’insistance malgré les évidences contraires, avec le risque d’entretenir ainsi le soupçon et la méfiance à leur encontre. Pourquoi avoir pris un tel risque si des arguments simples et crédibles permettaient d’infirmer la thèse de Hooper tout en reconnaissant la préparation du vaccin sur chimpanzé ? Dès 1992, Koprowski avait choisi sa ligne de défense par rapport à l’article de Curtis. A l’époque, il lui fut aisé de se défendre en raison des erreurs techniques de Curtis mais en 1999, face à la monumentale et rigoureuse documentation de Hooper, c’était une autre affaire.
Au début de cette histoire, il pouvait paraître plus simple, sur un plan tactique, de nier la culture sur chimpanzés, ce qui réglait aussitôt le problème de façon définitive, plutôt que de reconnaître ce fait puis de devoir batailler indéfiniment pied à pied pour tenter de démontrer que, malgré cela, ce vaccin ne pouvait être à l’origine du sida. Mais une fois ce choix fait, il devenait difficile pour Koprowski de faire marche arrière malgré l’accumulation des preuves contraires à ses affirmations initiales. Mais Koprowski pouvait-il prévoir l’extraordinaire ténacité de Hooper ? Les organisateurs du symposium de Londres pouvaient-ils imaginer que, loin d’isoler Hooper et d’anéantir définitivement son travail d’enquête, ils allaient au contraire susciter la mobilisation des moyens de grandes télévisions ? Si c’était à refaire, Koprowski et ses collaborateurs choisiraient-ils la même stratégie ?
Il ne s’agit pas ici de chercher à apporter une réponse à la question sur l’origine du sida mais de s’interroger sur l’étrange attitude des scientifiques des grands laboratoires, tous soudés derrière les invraisemblables affirmations de Koprowski. Cependant, imaginons un instant que la question posée par Hooper sur l’origine du sida reçoive une réponse positive et publique.
Quelles en seraient les conséquences pour le prestige des programmes de vaccination ? Comment maintenir la possibilité de pratiquer des essais sur des êtres humains ? Les conséquences seraient énormes, trop sans doute, et chacun pourra les imaginer aisément.
Et si ceci expliquait cela… D’ailleurs Koprowski n’a-t-il pas dit qu’il ne s’adressait pas à Hooper mais au public, le seul qu’il leur importait vraiment de convaincre…
Bernard Guennebaud
Avril 2022
(*) (Le premier épisode de cet article se trouve ici: https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2022/04/10/le-sida-a-t-il-vu-le-jour-a-cause-dun-vaccin-anti-polio-defectueux-premiere-partie/ )
Notes et sources:
[1] http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/13655_1
[2] https://www.canal-u.tv/video/cerimes/les_origines_du_sida.13982
[3] https://www.lemonde.fr/archives/article/2004/04/27/un-documentaire-sur-les-origines-du-sida-suscite-une-polemique_362726_1819218.html
[4] https://www.contrepoints.org/2020/08/30/379122-benjamin-rubin-laiguille-bifurquee-contre-la-variole-les-heros-du-progres-32
Bonjour,
Le livre de Jacques Pépin, édition Seuil, octobre 2019, « Aux origines de Sida » expose en presque 500 pages ce qui fut fait en Afrique depuis 1920 et ce qui très probablement à conduit au Sida que nous connaissons.
Pour être édité, il exclut la vaccination en préambule, et incrimine seulement les injections…
Il expose quand même la réalité des travaux de Koprowski et la réalité de la contamination de ses préparations tout en envisageant que la source de la contamination mondiale soit encore ailleurs…
Ce livre est essentiel, il soulève ainsi de très nombreuses autres dérives, dont particulièrement les « fermes à plasma »…
Merci pour signaler cette recherche de Jacques Pépin. Voici une brève description du contenu de ce livre.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2019/10/08/nouvelle-histoire-sida-pepin/
Je viens aussi de trouver cette vidéo de 42 mn de Jacques Pépin. Il fait partir l’épidémie d’un chasseur qui aurait été contaminé en mangeant du chimpanzé … Les contaminations par des seringues réutilisées seraient celles utilisées pour traiter la syphilis et pointe la prostitution comme facteur important de propagation du VIH.
https://www.youtube.com/watch?v=yyxvHW26E0w
IL ne faudrait pas s’imposer a priori l’hypothèse d’une contamination originelle d’où toute la suite aurait découlée. On peut aussi concevoir plusieurs sources indépendantes.
> Il fait partir l’épidémie d’un chasseur qui aurait été contaminé en mangeant du chimpanzé
moi je suis pas un scientifique, mais j’ai une bonne mémoire. Il fut dit qu’on aurait pu éviter les contaminations des hémophiles (responsable mais pas coupable de l’autre empoisonneur) en chauffant les produits sanguins.
J’ai du mal à voir des chasseurs dans une jungle hostile manger des singes CRUS. Aussi bien en terme de goût qu’en terme de sécurité (et pas que pour le sida).
le point commun à tous ces « scandales » est le mensonge. Ils mentent comme des arracheurs de dents. aussi bien verantaplan sur les morts que MST (marisol touraine) sur le consensus pour les 11 vaccins, que ficher price sur l’arnM (il a tué combien de bébés bulles ?) que défraichy sur l’immunité naturelle, que lakonne sur les vaccins, que 2raies sur le recul en terme de sécurité. c’était la même chose pour le H1N1, le vioxx, la dépakyne, le médiator, le distilbène, la chloroquine, l’ivermectine, le remdesivir, le bcg, l’hepB…
À partir de moment ou la science ment, tous ceux qui mentent doivent être déconsidéré définitivement avec rétroaction, supprimer tous leurs travaux publiés (retracted) et les traîner devant les tribunaux pour complicité d’homicides.
Il est évident que le sida a été inoculé par les médecins à l’homme, de la même manière que le covid n’est pas venu d’une civette mordue par une chauve-souris qui aurait violé un pangolin, le sida n’est pas venu d’un chasseur qui aurait mangé un singe cru, ni d’un steward qui aurait eu une relation sexuelle non protégée avec un singe ou une guenon.
ils mentent depuis des siècles et cela tue des gens. mais comme ils ne sont jamais mis devant leurs responsabilités, ils continuent.
C’est comme le tabac (ils savaient depuis longtemps), l’amiante, les sels de mercures, le sels d’aluminium, le plomb des canalisations…. ils savent, mais les « riens » sont des riens qu’on peut laisser crever pour gagner plus.
Dès que je pourrai, je réécouterait plus attentivement les 42mn de vidéos de Jacques Pépin. J’ai l’impression que vous avez raison Herve_02. Sa façon de raconter l’histoire pourrait apparaitre comme une tentative pour écarter le vaccin de Koprowski : il fait naitre la première contamination en 1921 par des chasseurs mangeant du chimpanzé ; ce ne serait pas au Congo belge mais à l’ouest (Gabon) là où se trouvent les bons chimpanzés porteur du VIS qui a pu donner le VIH ; au Congo belge les chimpanzés ne conviennent pas pour cela … De plus ce seraient les injections pour traiter la syphilis avec des aiguilles à usage multiple qui auraient contribuer à répandre le virus, occultant les campagnes de vaccination antivariolique alors que des chercheurs avaient fait remarquer, à l’époque de l’extension du sida, la remarquable concordance entre les campagnes de vaccination contre la variole et l’émergence du sida.
« mais comme ils ne sont jamais mis devant leurs responsabilités, ils continuent. » En fait, ils sont juges et parties. Et personne pour les contredire !
En poursuivant la lecture de ce débat, j’ai le sentiment que tout ça se déroule dans une structure logique décalée.
Le point de départ, qui nous a menés jusqu’ici, est la fausse bonne idée du vaccin. On a cru pouvoir éviter une maladie (grave, au demeurant, la variole) en injectant quelque chose d’autre, bien que voisin, cuisiné à l’époque directement sur les « producteurs » (enfants trouvés, prostituées, pensionnaires d’asiles de fous, etc.).
La question centrale que je me pose : « pourquoi cette fausse bonne idée a-t-elle fait fortune? »
Merci à tous.
En fait il s’agissait, Minna, de la polio et non de la variole.
Cher Bernard Guennebaud, je parle évidemment des vaccins EN GENERAL, la variole ayant été la première maladie concernée.
Le principe étant le même pour tous les vaccins, je veux dire qu’il s’agit de la même erreur méthodique, depuis le début, avec le même irrespect pour les « objets » d’expérience, humains ou non.
Un article à lire : J.B. FRESSOZ
https://journals.openedition.org/traces/5368
De même, votre site a publié le 25 décembre 2021, un article exhaustif du Dr Broussalian.
Herve_02
Au sujet de l’hypothèse de contamination de l’homme via la chasse, en réalité, la propagation ne se serait pas faite parce que les hommes mangent du singe cuit , mais plutôt au moment où les chasseurs dépecent l’animal, pourraient potentiellement se blesser + la plaie au contact de la chair crue donc du sang animal. Ce qui est curieux dans cette hypothèse ne tient donc pas au fait que ce serait impossible en raison de la cuisson de l’animal porteur , mais au fait que l’homme chasse tue et mange de la chair de simiens depuis des millénaires. Pourquoi cette contamination se serait elle alors produite au XX ieme siècle ? Et pas avant ?
Voici un résumé de la vidéo de Jacques Pépin (commentaire sous la vidéo) :
« La source du VIH-1 est le chimpanzé d’Afrique centrale Pan troglodytes troglodyte. La transmission inter-espèces est survenue au début du 20ème siècle, via la manipulation de viande de chimpanzé lors de la chasse. Ce premier humain infecté n’habitait probablement pas le territoire de la RDC, où on ne retrouve que de faibles populations de P.t. troglodytes. Le virus s’est disséminé le long des circuits fluviaux, atteignant éventuellement Léopoldville/Brazzaville, où il a réussi à se diversifier. Des ‘horloges moléculaires’ ont démontré qu’à Léopoldville, le nombre d’individus infectés est resté faible pendant plusieurs décennies, augmentant exponentiellement à partir du début des années 1950. Le virus existait chez les chimpanzés depuis des siècles, et pendant cette période des chasseurs s’infectaient occasionnellement, mais sans propagation subséquente. Que s’est-il passé au milieu du 20ème siècle pour qu’à partir d’un ‘patient zéro’ 65 millions d’êtres humains soient infectés? Et comment expliquer qu’au même moment, dans une autre région d’Afrique, le VIH-2, qui origine d’un autre primate, réussisse lui aussi à se disséminer, pour ensuite disparaitre comme il est venu ? La présentation portera sur les deux facteurs qui ont permis l’émergence du VIH-1 en Afrique centrale, et particulièrement à Léopoldville:
a) Les changements sociaux amenés par l’urbanisation, en particulier la prostitution.
b) Les interventions médicales durant lesquelles des médicaments étaient administrés par voie intraveineuse, avec des seringues et des aiguilles réutilisées et mal stérilisées, permettant la transmission iatrogène des virus présents dans le sang. »
Les mensonges s’accumulant les uns sur les autres, les soulever devient de plus en plus lourd. Pire : il ne s’agit pas seulement de la dépakine, l’amiante et autres médiators, il s’agit de l’ensemble des technologies modernes à base de chimie et d’ondes radio.
Merci herve_02 ! Continuez !
« Voulez-vous dire, lui demande CNN, que le monde scientifique refuse d’endosser la responsabilité morale à défaut d’une responsabilité légale pour ce qui s’est passé pour le virus du sida? »
ça s’appelle le déni il me semble, le refus de reconnaître une réalité, ou ça y ressemble fort, il n’est pas propre qu’au monde scientifique…
https://psychologueparis-7.fr/mecanismes-de-defense-le-deni/
Pas facile d’accepter une part de responsabilité… ou même de simplement récuser que les vaccins depuis qu’ils existent n’auraient aucune base scientifique. D’hypothèses ils sont passés à un acte de foi dont le prophète est Louis Pasteur, pour « sauver des vies » malgré qu’ils créent de façon aléatoire des dommages graves, voire mortels, documentés.
Pas simple non plus de reconnaître ses méconnaissances, voire son ignorance, et tellement plus aisé de rester dans sa zone de confort, bercé par la doxa.
Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur : « On ne sait pas comment marchent les vaccins » !
e Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de Production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS chez Sanofi Pasteur mais également consultant pour l’OMS, a notamment déclaré dans une vidéo sur la fabrication et le contrôle des vaccins qu’ils ne savaient pas comment marchent les vaccins.
la VIDÉO sur CIF Vaccinologie 2011- Fabrication et contrôle des vaccins
https://www.canal-u.tv/chaines/canal-u-medecine/vaccinologie-clinique-paris-2011-hopital-du-val-de-grace/cif-18
[…] à 50’15 : « Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »
à 51’ : « …Jamais on n’a pu faire un vaccin avec une protection mucosale… tout simplement parce qu’on met toujours la charrue avant les bœufs… On ne connaît pas comment marchent les vaccins. »
lire l’article :
http://initiativecitoyenne.be/article-dr-saluzzo-de-sanofi-pasteur-on-ne-sait-pas-comment-marchent-les-vaccins-114130498.html
Dans sa vidéo Jacques Pépin mentionne au début l’isolat le plus anciennement collecté et qui avait été testé positif quand les tests seront disponibles en 1983. Cet isolat avait été prélevé et congelé en 1959 à Léopoldville devenue Kinshasa. Cela correspond à ce que rapporte Van de Pitt dans le documentaire. Il fut directeur par interim du laboratoire de Stanleyville quand Courtois était en vacances. Avec un autre il avait lui même collecté près de 2000 échantillons de sang.
Puis Pépin lance l’hypothèse du chasseur contaminé en se blessant en découpant un chimpanzé pour proposer la date de 1921 comme première contamination conséquente. Mais il ne donne aucun argument en faveur de cette date ni même en faveur d’une telle hypothèse. Disons que ça parait séduisant quand on se raconte ainsi l’histoire mais le niveau de preuve est très bas par rapport à l’isolat de 1959.
Bien qu’il reconnaisse qu’au début de l’ère du sida, Kinshasa fut la zone la plus touchée et bien que beaucoup pensaient que c’était là qu’il fallait chercher l’origine du sida, il veut situer cette origine dans un pays situé à l’ouest du fleuve Congo, là où vivent les « bons » singes ». Puis, pour expliquer l’explosion de la maladie à Kinshasa, il va chercher une modification significative de la prostitution dans cette ville alors que les « bons singes » ne vivaient pas au Congo belge.
On peut se laisser bercer par le ronronnement de l’argumentation mais elle possède « des trous béants » comme dirait le pathologiste américain Cecil Cole (voir le documentaire).
Je vous invite à lire le livre de Robert Kennedy Big Pharma Fauci ,Bill Gattes et de visionner la vidéo du reportage du group de Perth sur le VIH « les habits de l empereur dont voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=LB2JyBnlE7w
Reportez vous ensuite sur toutes les déclarations du professeur Montagnier et ce depuis les années 1990 et sur d’autres nombreux témoignages de scientifiques sérieux dont Pr Duesberg, A. Hässig, H. Kremer, S. Lanka, W-X Liang, K. Stampfli Val Turner.David Rasnick. etc etc…………. ces plus de 2000 scientifiques médecins dont 3 prix Nobel qui ont demandé la réévaluation du risque SIDA.
Un entretien à vous glacer le sang avec le Dr. Valendar F. Turner
Par Huw Christie. Continuum, hiver 1997
Traduction Pete Kimberley
Le Dr. Valendar F. Turner est un des membres du groupe de Perth, un groupe de dissidents qui milite contre l’hypothèse VIH/SIDA. Il a été diplômé par l’University of Sydney en 1969, c’est un « Fellow du Royal Australasian College of Surgeons » et aussi un « Foundation Fellow of the Australasian College for Emergency Medicine ». Il pratique à la Royal Perth Hospital dans l’Australie de l’Ouest.
Huw Christie est l’éditeur du magazine » Continuum » à Londres. Après une enfance en Tasmanie, Australie, il a été diplômé par Oxford University, Angleterre, en 1981. Il est membre du conseil de l’association suisse » International Forum pour Accessible Science » (IFAS). http://www.sidasante.com/science/scivalt.htm
RETROVIRUS: LES SOUVENIRS D’UN MICROSCOPISTE ÉLECTRONICIEN.
Etienne de Harven.
http://www.sidasante.com/edh/edhsouv.htm
Les années 1970-1980 furent dominées par une série d’idées dont la valeur scientifique n’aurait jamais été acceptée 10 ou 20 ans auparavant.
Par exemple:
1. Il devenait acceptable d’affirmer que, lorsque des virus ne pouvaient pas être identifiés par la microscopie électronique, d’autres méthodes de nature biochimique ou immunologique, supposées capable d’identifier des « marqueurs » viraux, étaient suffisantes pour démontrer l’infection virale des cellules étudiées. Ces « marqueurs » pouvaient être un enzyme (RT), un antigène, diverses protéines, ou certaines séquences d’ARN. Le fait de n’avoir jamais vu au microscope de particules virales était expliqué d’une façon fort commode par l’intégration du génome viral dans les chromosomes des cellules prétendument infectées. Accepter une telle interprétation impliquait l’ignorance complète de tout ce que nous avions appris durant l’étude des cancers expérimentaux des animaux de laboratoire Il faut toutefois reconnaître que, dans ces modèles expérimentaux, la microscopie électronique ne permettait d’observer que l’étape finale de la multiplication virale, les étapes initiales consistant en une série d’événements moléculaires qui échappent complètement aux images ultrastructurales. Et pourtant, dans tous les systèmes expérimentaux classiques tels que les leucoses aviaires ou murines, les phases terminales de la réplication virale (le bourgeonnement, « budding ») étaient toujours observées et considérées comme essentielles à la propagation de l’infection virale d’une cellule à l’autre.
2. Un autre court-circuit aux conséquences désastreuses fut cette notion fort naïve selon laquelle tout matériaux biologiques sédimentant sur gradient de sucrose à la densité 1.16gr/ml étaient de nature rétrovirale ! Sans aucun doute, les rétrovirus bien caractérisés sédimentent au voisinage de cette densité. Mais ceci n’implique pas que tout ce qui sédimente à cette densité soit de nature rétrovirale ! Dans les années 1960, des collègues biochimistes me demandaient souvent de regarder (au microscope électronique) certaines « bandes » sédimentant à la densité 1.16: « Regarde bien ceci, ça forme une bande nette à 1.16, ce doit être du pur rétrovirus ! ». Les culots d’ultracentrifugation obtenus à partir de ces fameuses « bandes 1.16 » , étudiés en coupe fines par microscopie électronique, permettaient de reconnaître une grande variété de microvésicules et de débris cellulaires, mais pas un seul rétrovirus ! Et cependant cette méthode de sédimentation à la densité 1.16 est toujours utilisée pour identifier de prétendus « marqueurs » viraux ! Comme il est désolant de penser qu’un contrôle adéquat au microscope électronique de ces fameuses « 1.16 bands » (ce qui prend environ 2 jours et coûte quelque centaines de dollars seulement) aurait pu éviter ces interprétations dangereuses de prétendus « marqueurs rétroviraux » sur lesquels d’énormes budgets de recherche ont été lamentablement gaspillés…
Tout le monde est-il infecté par le VIH ?
Par Paul Philpott
Rethinking AIDS, mai 2000
http://www.sidasante.com/science/giraldo.htm
Pour n’importe quel virus, c’est l’isolement du virus qui détermine les procédures de test, mais Giraldo ne trouve aucune donnée faisant état de l’isolement du VIH. Il ne découvrit pas non plus pourquoi le niveau de dilution exigé était si mystérieusement élevé, pourquoi la réaction était dite positive à partir d’un certain seuil de luminosité, pourquoi il fallait un certain nombre de réactions protéiques pour qu’un Western Blot soit déclaré positif, pourquoi on n’utilisait pas de tests antigène VIH.
Ses recherches par contre lui firent connaître les travaux d’une équipe de chercheurs australiens dirigée par Eleni Papadopulos-Eleopulos. Cette dernière a partout cherché les données attestant l’isolement du VIH qui justifieraient les tests VIH, mais n’a rien trouvé. (R.A. Juin-juillet 1997). Ses travaux amenèrent un autre spécialiste de l’isolement des virus, Etienne de Harven, à se pencher sur la question. Il arrive à la même conclusion. (R.A. Nov-Déc 1998).
Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA :
Drogues récréationnelles, chimiothérapies antivirales, malnutrition.
JOURNAL BIOSCIENCE, VOL 28, #4, June 2003, 383-412 © Indian Academy of Sciences
par
Peter Duesberg, Donner Laboratory, University of California Berkeley, Berkeley, CA 94720, USA,
and corresponding author (fax, 510-643-6455 ; Email, duesberg@uclink4.berkeley.edu)
Claus Koehnlein, Internistische Praxis, Koenigswege 14, 24103 Kiel, Germany
David Rasnick, Donner Laboratory, University of California Berkeley, Berkeley, CA 94720, USA http://www.sidasante.com/science/bioscience.htm
http://www.sidasante.com/science/scipete1.htm
http://www.sidasante.com/science/scipete1.htm
Le virus du sida relève-t-il de la science-fiction?
La cause du SIDA serait à trouver dans un comportement immunosuppresseur et non pas dans le virus HIV.
Peter H. Duesberg et Bryan J. Ellison
De quels anticorps s’agit-il donc ?
Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs.
Par Christine Johnson, Continuum Sept./Oct. 1996
Traduction Dr. Marc Deru
L’establishment SIDA est arrivé à convaincre beaucoup de gens que les tests dits « du SIDA » (Elisa, IFA et Western Blot) sont sûrs à « 99.5% ». Dans cet article Christine Johnson donne une liste de situations reconnues comme pouvant faire réagir positivement ces tests. Elle s’est basée pour cela sur la littérature scientifique et donne ses références.
Cette liste va sans doute susciter beaucoup de discussion et de controverses. Donnons donc dès le départ quelques éclaircissements.
Qu’un facteur se trouve sur la liste n’implique pas qu’il va sûrement, ni même probablement, causer un résultat faussement positif. Un faux positif dépend des anticorps dont l’individu est porteur, mais aussi des caractéristiques de chaque test en particulier.
Par exemple, certaines personnes, mais pas toutes, ayant reçu des transfusions de sang, ou ayant été plus d’une fois enceintes, ou ayant subi une transplantation d’organe, vont faire des anticorps HLA. Et certains tests (Elisa ou Western Blot), mais pas tous, seront contaminés par des antigènes HLA vis-à-vis desquels ces anticorps peuvent réagir. Il faut que ces 2 conditions soient réunies pour qu’un faux positif sur HLA apparaisse.
Certains facteurs causent plus facilement que d’autres des faux positifs. Et d’autres facteurs que nous ne connaissons pas encore, mais qui pourraient nous apparaître à l’avenir, peuvent aussi causer de faux positifs.
Certains des facteurs de la liste ont été étudiés par rapport seulement au test Elisa, d’autres par rapport aux tests Elisa et Western Blot (WB).
Certaines personnes pourraient objecter que si un facteur est connu comme cause de faux positifs seulement avec le test Elisa, il n’y aurait pas de problème car le WB, lui resterait négatif. Mais n’oublions pas que le WB est un test basé sur l’accumulation de réactions antigènes-anticorps positives chez un individu (39). Donc plus un individu a été exposé à des protéines, agents infectieux et antigènes étrangers, plus il aura accumulé d’anticorps dans son organisme, et plus il est probable qu’il y aura chez cet individu suffisamment d’anticorps réagissant pour rendre le WB positif.
Il faut noter que tous les groupes à risque SIDA, y compris les Africains, ont en commun ce problème : il sont exposés à une foule de protéines et antigènes étrangers. Ce qui n’est pas le cas de la population générale aux Etats-Unis et en Europe occidentale. C’est la raison pour laquelle les représentants d’un groupe à risque ont souvent un WB positif (et sont de ce fait considérés comme « infectés par le VIH »), et pas les autres gens. Des gens « non à risque » peuvent cependant, pour des raisons encore mal comprises, présenter aussi un WB positif. (47)
Comme on a pu trouver des faux positifs pour chaque protéine VIH (36), comment savoir si les bandes positives du WB sont le témoin de protéines VIH ou bien seulement un ensemble de réactions faussement positives à divers anticorps non VIH ?
Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs.
anticorps anti-glucidiques (52, 19, 13)
anticorps spontanés (5, 19)
immunisation passive par gammaglobulines ou immunoglobulines (utilisées prophylactiquement contre une infection immunisante). (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13)
lèpre (2, 25)
tuberculose (25)
mycobactérie aviaire (25)
lupus érythémateux disséminé (15, 23)
insuffisance rénale (48, 23, 13)
insuffisance rénale avec hémodialyse (56, 16, 41, 10, 49)
traitement à l’interféron de patients hémodialysés (54)
grippe (36)
vaccin antigrippal (30, 11, 3, 20, 13, 43)
herpès simplex 1 (27)
herpès simplex 2 (11)
infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11)
infection virale récente ou vaccination contre maladie virale (11)
grossesse chez des femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36)
malaria (paludisme) (6, 12)
taux élevés de complexes immuns circulants (6, 33)
hypergammaglobulinémie (taux élevés d’anticorps) (40, 33)
faux positifs pour d’autres tests, y compris le test RPR (rapid plasma reagent) pour le syphilis (17, 48, 33, 10, 49)
polyarthrite rhumatoïde (36)
vaccination antihépatite B (28, 21, 40, 43)
vaccination antitétanique (40)
transplantation d’organe (1, 36)
transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56)
anticorps antilymphocytaires (56, 31)
anticorps anticollagène (qu’on trouve chez des homosexuels masculins, des hémophiles, des Africains des deux sexes, des lépreux) (31)
test positif pour le facteur rhumatoïde, anticorps antinucléaires, (présents tous deux dans les polyarthrites rhumatoïdes et d’autres affections associées) (14, 62, 53)
maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : lupus érythémateux disséminé, maladies du tissu conjonctif, dermatomyosite
infections virales aiguës (59, 48, 43, 53, 40, 13)
néoplasmes (cancers) (40)
hépatite ou autre maladie du foie d’origine alcoolique (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53)
cholangite sclérosante primaire (48, 53)
hépatite (54)
anémie à cellule falciforme (chez les Africains) (38, 34, 40)
anticorps à forte affinité pour le polystyrène (utilisé dans les test kits) (62, 40, 3)
transfusions sanguines, transfusions répétées (63, 36, 13, 49, 43, 41)
myélome multiple (10, 43, 53)
anticorps HLA (vis-à-vis des antigènes leucocytaires de classe I & II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53)
anticorps « anti-smooth muscle » (48)
anticorps antimembrane cellulaire (48)
IgM (anticorps) antihépatite A (48)
IgM antihépatite B (HBc) (48)
préparations d’immunoglobulines humaines datant d’avant 1985 (10)
hémophilie (10, 49)
affections hématologiques malignes, lymphome (43, 53, 9, 48, 13)
cirrhose primaire du foie (43, 53, 13, 48)
syndrome de Stevens-Johnson (9, 48, 13)
fièvre-Q avec hépatite asociée (61)
échantillons de sérum inactivé par la chaleur (51, 57, 24, 49, 48)
sérum sanguin surchargé de lipides (hyperlipémie) (49)
sérum venant de sang hémolysé (dont l’hémoglobuline a quitté les globules rouges) (49)
hyperbilirubinémie (10, 13)
globulines produits au cours de gammapathies polyclonales (qui se rencontrent dans les groupes à risque SIDA) (10, 13, 48)
réactions croisées pour d’obscures raisons chez des individus sains (10)
ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13)
d’autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13)
anticorps antimitochondriaux (48, 13)
anticorps antinucléaires (48, 13, 53)
anticorps antimicrosomes (34)
anticorps antileucocytes T (48, 13)
protéines du papier filtre (13)
virus d’Epstein-Barr (mononucléose infectieuse) (37)
leichmaniose viscérale (45)
relation sexuelle anale (réceptrice) (39, 64) http://www.sidasante.com/science/scifalse.htm
Tout le monde reconnaît aujourd’hui qu’aussi bien chez les patients souffrant du SIDA que chez ceux « à risque », la diminution des cellules T4 s’accompagne de l’augmentation des cellules T8, le total des deux restant constant. (53) Il n’est pas sans intérêt de rappeler que, dès 1985, Montagnier écrivait : « Ce syndrome (le SIDA) survient chez une minorité de personnes infectées qui ont généralement en commun d’avoir subi avant l’infection par le LAV une importante stimulation antigénique et une dépression immunitaire »(54), c’est-à-dire que Montagnier reconnaissait que dans le groupe « à risque » vis-à-vis du SIDA, la déficience immunitaire précède l’infection par le « VIH ». En 1984, Montagnier et ses collègues (parmi lesquels Barre-Sinoussi et Chermann) déclaraient que « la preuve indiscutable exigera un modèle animal dans lequel ces virus (LAV, HTLV-III = HIV) provoqueraient une maladie semblable au SIDA ». À ce jour, un tel modèle n’existe pas, ce qui n’a pas empêché Montagnier de répondre à Kary Mullis (prix Nobel) qui lui demandait les références d’au moins un article scientifique prouvant la théorie « VIH » du SIDA : « Pourquoi ne citez-vous pas les travaux effectués sur le VIS » (Virus de l’Immunodéficience Simiennne);(55) http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm
Nancy Padian, du Département d’épidemiologie et de biostatistiques de l’Université de Californie, a mené les études à ce jour les plus poussées sur la transmission hétérosexuelle. Commentant l’étude de Redfield et al ainsi que d’autres études qui prétendaient avoir établi la preuve de ce mode de transmission, elle écrivit en 1991 : « Il se peut que ces études n’aient pas suffisamment pris en compte le rôle majeur joué par les modes de transmission non sexuels tels que les risques associés à l’usage de drogues par voie intraveineuse. Des cas qui à première vue semblent devoir être attribués à une transmission hétérosexuelle s’avèrent, après un interrogatoire plus poussé, être dûs à une autre source… Parce que, par définition, les études portant sur des partenaires sexuels ne se conforment pas à la règle d’échantillonnage aléatoire et que la plupart des résultats dont il est fait état se basent sur des analyses rétrospectives ou transversales, certaines études peuvent privilégier (parce que leur identification est plus facile) la sélection de couples dont les deux partenaires sont infectés, ce qui fausse les taux de transmission qu’on en dérive. Il est en outre souvent difficile d’établir l’origine de l’infection chez ces couples. Lorsqu’on ne dispose que de trop peu de données prospectives ,ce qui était le cas pour la plupart de ces études, l’un des seuls moyens d’éviter que les résultats ne soient faussés consiste à recruter des couples monogames en ne connaissant pas, lors du recrutement, le statut sérologique d’un des partenaires ».(56) De fait, les études prospectives ne sont pas nombreuses mais aucune n’a fourni la preuve que le « VIH » soit sexuellement transmissible.(57-58)
L’étude de Padian et de ses collègues, incontestablement la plus longue et la meilleure de son genre, s’est étendue sur dix années au cours desquelles aucun effort ne fut épargné en vue de prouver que le « VIH » est transmissible par voie hétérosexuelle.(59) Cette étude comprend deux parties, l’une transversale et l’autre prospective. Dans la première, pour 360 femmes dont le partenaire masculin était infecté, « le risque moyen de transmission d’homme à femme fut estimé à 0,0009 par rapport sexuel » (c’est-à-dire 1 chance sur 1 111). Les facteurs de risque de séroconversion étaient : (i) les rapports anaux (Montagnier lui-même a montré que des personnes séropositives peuvent redevenir séronégatives et le nombre de leurs cellules T4 revenir à la normale par la simple cessation des rappports anaux, ce qui signifie que le passage à la séropositivité n’était pas due à un rétrovirus); (ii) le fait que le partenaire ait été contaminé par usage de drogues (Padian elle-même dit que ceci signifie que la femme fait probablement aussi usage de drogues par voie intraveineuse); (iii) la présence chez la femme de MST (maladies sexuellement transmissibles) car les anticorps des microbes qui les provoquent peuvent donner lieu à réaction croisée avec les protéines du « VIH ».(31) Sur 82 hommes séronégatifs partenaires de femmes séropositives, deux seulement devinrent séropositifs. Padian et son équipe estimèrent que la probabilité de transmission de la femme à l’homme était 8 fois plus faible que pour la transmission de l’homme à la femme. Padian elle-même a émis des doutes sur les deux cas de séroconversion précités. Pour le premier, elle donna plusieurs explications en 1991 lorsque ce cas fut mentionné pour la première fois. Pour le second cas, elle attira l’attention sur la coïncidence frappante qu’il y avait entre la contamination par les chlamydia et le passage à la séropositivité. http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm
Dans l’étude prospective qui débuta en 1990, elle déclara : « Nous avons suivi 175 couples VIH-discordants (c’est-à-dire dont l’un des partenaires était séronégatif alors que l’autre était séropositif) pendant une durée d’environ 282 couple-années… Le suivi le plus long comporta 12 visites (6 ans). Nous n’avons observé aucune séroconversion au cours de cette étude… Il est probable qu’à mesure que l’étude avançait, les couples s’abstenaient de plus en plus de rapports sexuels ou utilisaient systématiquement des préservatifs… Néanmoins, lors de la dernière visite de contrôle, seuls 75% des couples déclarèrent avoir utilisé systématiquement des préservatifs au cours des 6 mois précédents ».
Il est à noter que seule l’étude transversale a fait état de cas de séroconversion et que ces cas étaient antérieurs à 1990. Or : (i) tous les experts en « VIH » s’accordent à dire que la spécificité des tests utilisés à cette époque était inférieure à celle des tests d’aujourd’hui; (ii) les critères du Western-Blot en vigueur à l’époque pour définir « l’infection » sont aujourd’hui considérés comme insuffisants pour la définir. Même si l’on accepte les données de Padian et al en ce qui concerne l’étude transversale, ils ont estimé que le risque pour un homme non infecté d’être contaminé par le « VIH » lors d’un rapport sexuel avec une femme infectée est de 0,00011 (1/9 090). Ceci signifie qu’en moyenne un homme non infecté qui aurait un rapport sexuel par jour avec une femme infectée, et ceci pendant 12 années, n’aurait qu’une chance sur deux d’être contaminé. Si la fréquence de ses rapports était de 1 par semaine, il pourrait continuer ses ébats pendant 87 années en n’ayant toujours qu’une seule chance sur deux d’être contaminé. Dans de telles conditions, on peut se demander comment le « VIH » pourrait devenir épidémique du fait de sa transmissibilité bi-directionnelle hétérosexuelle.
Rappel 18.
DT : Pourquoi ne pas avoir purifié ?
LM : Je le répète, nous n’avons pas purifié. Nous avons purifié pour caractériser la densité de la transcriptase inverse, qui était nettement celle d’un rétrovirus.Mais nous ne sommes pas arrivés à avoir le pic… ou ça n’a pas marché… parce que si vous purifiez vous endommagez. Pour les particules infectieuses, il vaut donc mieux ne pas trop les tripoter. Vous prenez donc simplement le surnageant d’une culture de lymphocytes qui a produit le virus et vous en mettez une petite quantité dans une autre culture de lymphocytes, et ainsi de suite. Vous transmettez le rétrovirus en série, vous obtenez toujours les mêmes caractéristiques et vous augmentez la production à chaque fois que vous faites cette transmission.
Commentaire 18.
1. S’ils n’ont pas purifié les particules, pourquoi n’ont-ils cessé de prétendre l’avoir fait jusqu’à cet interview ?
2. Il est exact qu’ils ont fait état d’un pic d’activité RT à la densité de 1,16g/ml, c’est-à-dire à la densité à laquelle ils ont prétendu avoir « purifié et identifié le virus ». Mais comment est-il possible d’affirmer que l’activité RT « était nettement celle d’un rétrovirus » alors qu’ils ne sont « pas arrivés à prendre le pic… ou ça n’a pas marché », c’est-à-dire alors qu’ils n’ont pas trouvé à ce pic de particules ressemblant de près ou de loin à des rétrovirus, et encore moins des rétrovirus proprement dits ? Pour transmettre un rétrovirus d’une culture à une autre, il faut commencer par avoir la preuve de la présence d’un rétrovirus dans la première culture. « Transmettre » des phénomènes non spécifiques ne prouve en rien qu’on a transmis un rétrovirus. En outre, puisque tous les phénomènes que Montagnier et ses collègues ont considérés comme preuve de l’existence d’un rétovirus, y compris l’activité RT et la présence de particules ressemblant à des virus (virus-like) peuvent se produire d’eux-mêmes, de novo, dans les cultures (et tout particulièrement dans les conditions de culture qu’ils ont utilisées), ils ne peuvent absolument pas prétendre avoir fait la preuve qu’ils ont transmis quoi que ce soit. Comment Montagnier et ses collègues savaient-ils que s’ils avaient pris la peine de mettre en place les contrôles corrects, les mêmes phénomènes ne se seraient pas produits dans les cultures de lymphocytes provenant de sang d’un donneur ou de cordon ombilical non « infectés » par le « VIH » ?http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm
Commentaire 22.
Nous sommes d’accord avec la déclaration : « l’analyse des protéines du virus demande une production massive et la purification. Il est nécessaire de le faire ». À cet égard, l’échec de Montagnier et de ses collègues n’est pas partiel, il est TOTAL. Si « l’analyse des protéines du virus demande une production massive et la purification », il en va de même de l’analyse des acides nucléiques, du clonage, etc. Si on ne parvient pas à purifier le virus, alors on ne parvient pas non plus à :
(a) caractériser les antigènes viraux et obtenir un étalon incontestable de la réaction anticorps-antigène, c’est-à-dire qu’on ne peut pas utiliser des tests d’anticorps pour définir l’infection par le rétrovirus;
(b) obtenir et caractériser les acides nucléiques rétroviraux, ARN (cADN), ce qui a pour conséquence qu’on ne peut pas utiliser les tests moléculaires pour définir une infection rétrovirale puisqu’on ne dispose ni des sondes ni des promoteurs pour l’hybridation et les études PCR (Polymerase Chain Reaction). Ceci est reconnu par Donald Francis, chercheur qui a joué avec Gallo un rôle important dans le développement de la théorie selon laquelle le SIDA serait provoqué par un rétrovirus. En 1983, alors qu’il était responsable des activités du Laboratoire du SIDA au Center for Diseases Control des U.S.A. après avoir été responsable du programme variole à l’OMS, Francis travaillait sur l’hypothèse d’une cause virale du SIDA : « On doit recourir à des méthodes de détection plus élaborées qui permettraient, par quelque moyen spécifique, de « voir » un virus. Des substances spécifiques, tels qu’un anticorps ou des acides nucléiques, permettraient d’identifier des virus même si les cellules restent vivantes. Mais le problème, c’est qu’on ne peut développer de telles méthodes que si l’on sait ce que l’on cherche. Si on cherche un virus connu, on peut vacciner un cobaye, par exemple, avec du virus pur… Mais il est évident que si nous ne savons pas quel virus nous recherchons et qu’il est donc impossible de provoquer la formation d’anticorps dans le cobaye, de telles méthodes deviennent bien difficiles à mettre en œuvre… car cela reviendrait à chercher quelque chose qui n’existe peut-être pas en utilisant des techniques qui ne marchent peut-être pas »(77) (italiques d’Eleni Papadopulos-Eleopulos et al)http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm
CJ: Mais alors comment expliquez-vous la séroposivité et le SIDA des hémophiles ?
EPE: Mes collègues et moi-même avons publié plusieurs articles sur ce sujet. Nous donnons plusieurs explications possibles. Dans un numéro spécial de la revue Genetica de 1995 qui traite de la controverse VIH/SIDA nous faisons même une analyse détaillée de l’hémophilie.
CJ: J’avoue accepter difficilement que les hémophiles n’aient pas été infectés par du facteur de coagulation contaminé. Et je parie qu’il en est de même pour les hémophiles concernés.
EPE: Malheureusement, c’est la vérité. Mais peut-être serez-vous persuadée par une petite explication rapide. Dites-moi, si un séropositif se couper et saigne, combien de temps son sang demeure t-il infectieux ? A l’extérieur de son corps ?
CJ: D’après ce que j’ai lu, quelques heures tout au pIus.
EPE: Et pourquoi?
CJ: Parce que le VIH sèche et meurt. C’est du moins ce que dit le Centre Mondial de Surveillance des maladies Infectieuses (CDC).
EPE: Effectivement. Maintenant, permettez-moi de vous poser une question: Comment est préparé le Facteur VIII?
CJ: A partir des dons du sang.
EPE: Exact. Avez-vous déjà vu un flacon de Facteur VIII ?
CJ: Non.
EPE: Eh bien je vais vous le décrire: Il se présente comme une poudre jaunâtre sèche, floconneuse et au moment où il est utilisé il a déjà au moins 2 mois de stockage. Vous voyez le problème?
CJ: Je vois. S’il est dessiqué et vieux de plusieurs mois. Le VIH qu’il contient est mort depuis longtemps.
EPE: Evidemment. Comment fait donc le Facteur VIII pour causer infection VIH et SIDA chez les hémophiles ?
CJ: Je ne sais pas, mais je commence à comprendre pourquoi vous êtes mal vue dans certains milieux! Nous ferions peut-être mieux de ne pas nous laisser entraîner dans une discussion sur l’hémophilie. J’ai une autre question. C’est à propos du contenu de la bande 1.16gm/ ml. : Comment se fait-il, d’après vous, que la plupart des experts en VIH l’aient pris pour du VIH pur. Du moins jusqu’à tout récemment ? http://www.sidasante.com/science/scielen1.htm
Pour faire plus simple
Aucun virus n’ a jamais été isolé
Ce qui est démontré par Stefan Lanka depuis 1997
http://wissenschafftplus.de/uploads/article/wissenschafftplus-l-erreur-d-interpretation-virus-1.pdf
Oui effectivement.
Donc pour faire un résumé, le sida/vih n’existe pas en soi et est du coup un ensemble de causes diverses et disjointes qui ont une étiologie un peu semblable que le milieu médical dans son ignorance habituelle colle à une étiquette sida.
ok, pas de soucis. Faisons un exercice de pensée avec cela comme prémisse.
1. DONC le fabius est coupable de rien, puisque les hémophiles ne peuvent avoir été contaminés par un sang contaminé par un truc qui n’existe pas.
2. les gens qui sont morts « du sida/vih » sont en fait morts de plein d’autres trucs, car le « sida/vih » n’existe pas.
3. les tests vih sont, comme pour le covid (qui lui aussi est un virus qui n’existe pas), sans utilité puisqu’il ne peut détecter un virus qui n’existe pas.
4. l’étude des 282 couple-années (clin d’œil à 2ray qui lui aussi arrive à répartir les grossesses sur plusieurs femmes et qui explique que comme on a tout plein de cobaye, pas besoin de recul) est une étude stupide, puisqu’elle étudie une séropositivité faite avec un test qui ne teste rien puisque rien n’a été isolé.
5. le sida/vih n’a pas pu être inoculé par ce test de vaccin polio puisque le virus n’existe pas et ce sont les coïncidences, tellement présentes en médecine, qui fait que les premières épidémie de cette maladie qui n’existe pas coïncide avec les tests sur un vaccin (lui-même créé pour un virus qui n’existe pas)
Je serais un avocat qui utiliserait le système de défense de rupture, c’est ce que je dirais pour défendre mes clients empêtrés dans une affaire de sang dit contaminé alors que ce n’est pas possible puisque le contaminant n’existe pas.
Seigneur, protégez-moi de mes amis, de mes ennemis je m’en occupe moi-même.
Maintenant posons une théorie. Imaginons que le VIH, la polio, le sars-cov*… existent pour de vrai. Qu’on n’arrive pas à les voir parce que nous ne comprenons pas grand-chose à la biologie du vivant et que nous sommes en incapacité à voir parce que nous ne savons pas quoi chercher. Que nos outils sont le résultat de l’évolution des années 1900 avec un peu d’innovation. et que le milieu médical se crispe dès que l’on touche à leurs dogmes, dogmes qui leur permettent de rester en blouse blanche sur le piédestal du sachant.
Ne l’appelons pas virus, ne tentons pas de le décrire avant de le voir, mais ne peut-on penser qu’une « maladie » (ou un ensemble de maladies) qui se répand, comme un colorant dans de l’eau, dans une population que l’on peut suivre de cas contacts en cas contacts pour peu qu’on y travaille pour de vrai (avec les incertitudes inhérentes à l’observationnel), ne peut-on penser qu’il y a un élément extérieur ? et qu’il n’est pas idiot de tenter de combattre cet élément extérieur ?
Enfin, comment râle sur les scientifiques fou qui travaille sur des gains de fonctions de virus qui n’existe pas. On fait ils sont fous pas à cause de ce qu’ils font (ils ne font rien puisque comme le virus n’existe pas, on ne peut le modifier pour le rendre plus agressif) mais de croire qu’ils travaillent sur des virus.
Un exemple banal : le gastro-entérite « virale » saisonnière, courante dans les villes comme Nice. Après un épisode de pluies violentes, l’eau de la ville est traitée, et sur-traitée au chlore ou à l’ozone, ça dépend des quartiers. Dans les jours qui suivent, certains habitants (voisins, etc…) contractent la gastro-entérite. Y a-t-il des virus dans l’eau « potable » de la ville : on ne sait pas car on ne cherche pas. Par contre, on trouve plein de « virus » dans les eaux usées.
J’élabore un scénario alternatif : l’eau de la ville, sur-traitée pour cause de pluie, est sur-oxydée. L’odeur même en est gênante s’il s’agit du chlore.
La contagion ne serait-elle pas seulement le fait de partager le même environnement pathogène et les virus les témoins de l’apoptose cellulaire (merci Jengi !) et donc une production endogène ? Chacun tombant ou non malade pour des raisons diverses.
Il est à noter que le scénario se tient, qu’on prenne les « virus » pour la cause ou le produit d’un désordre non identifié.
Merci à tous.
Cher Hervé :
N° 1 Laurent Fabius n’est pas coupable de rien :
Il est coupable moralement (au même titre que Georgina Dufoix) pour avoir délibérément permis d’écouler du sang pour s’en débarrasser en économisant du fric – car tout le monde le croyait potentiellement contaminé par le « VIH » – en le distribuant aux hémophiles dont la santé ou la sécurité n’était le soucis de personne. Mais à contrario, il n’est pas coupable de la contamination des hémophiles par le « VIH » car même si le sang en amont aurait pu être éventuellement contaminé par le « VIH » : d’une part le sang était débarrassé de ses cellules afin d’obtenir du plasma et nous savons que le « VIH » libre, c’est à dire dès qu’il quitte la cellule qu’il infecte, perd systématiquement ses protubérances nécessaires à l’infection. Pas ou plus de protubérances : pas d’infection possible ! D’autre part ce plasma était ensuite purifié pour obtenir le Facteur VIII de coagulation pour les hémophiles. Le Facteur VIII se présente enfin sous la forme d’une poudre jaunâtre ayant subie une parfaite et absolue dessication ! Il peut ainsi être entreposé presque indéfiniment dans des flacons en verre blanc souvent exposé à la lumière sur une étagère des mois avant d’être à nouveau réhydraté pour être transfusé aux patients hémophiles. Les CDC informent que le « VIH » du sang d’un porteur du « VIH » une fois hors de son organisme et immédiatement après avoir séché… ne peut plus être infectieux ! Même le codécouvreur du « VIH » le Pr Luc Montagnier n’a jamais réussi à expliquer comment les hémophiles auraient ainsi pu être contaminés le moins du monde par le « VIH »…
Du reste, le Pr Luc Montagnier a effectué une étude prouvant scientifiquement que les hémophiles présumés porteurs du « VIH » et les hémophiles séronégatifs au « VIH » présentent en réalité exactement la même diminution de leur système immunitaire sans aucune différence ! Les hémophiles ont en réalité commencé à mourir du SIDA à partir du moment où ils ont bénéficié de la mortelle AZT généreusement distribuée aux hémophiles indemnes du SIDA mais seulement diagnostiqués séropositifs…
N° 2 Vous confondez plusieurs phénomènes SIDA qui n’ont en réalité strictement rien à voir :
Le vrai SIDA, c’est à dire le SIDA originel, qui touchait les premières victimes uniquement homosexuelles masculines et exclusivement droguées ne présentait que deux très rares catégories seulement de pathologies :
– des maladies fongiques dont la pneumonie à Pneumocystis carinii était la plus généralisée
– et une maladie présentée comme une pathologie cancéreuse : le Sarcome de Kaposi.
Le SIDA actuel qui touche essentiellement les pays pauvres du Sud est une collection sauvage, hétéroclite et arbitraire de pas moins de 35 pathologies qui n’ont strictement rien à voir entre elles – et dont aucune (comme depuis le début de l’épidémie) n’est une nouvelle maladie – simplement associées à un test de dépistage sérologique du « VIH » frauduleux, non spécifique, non sensible, non reproductible et non standardisé, positif au « VIH ».
Pour faire court, un individu tuberculeux séronégatif qui est malade et qui décède sera déclaré malade et décédé de la tuberculose. Mais un individu tuberculeux séropositif qui est malade et qui décède ne sera pas déclaré malade et décédé de la tuberculose mais uniquement déclaré malade et décédé du SIDA ! Quand bien même le syndrome clinique dans les deux cas se résumait uniquement à la seule tuberculose ! Et au motif que la tuberculose est justement une des trente-cinq maladies dites indicatrices du SIDA… Aucun médecin au monde ne pouvant faire de distinction entre la tuberculose de l’individu indemne du « VIH » et la tuberculose de l’individu porteur du « VIH ». C’est de la manipulation de chiffres au niveau des statistiques et de l’épidémiologie que cela s’appelle et pas autre chose !
N° 3 Les tests de dépistage sérologique du « VIH » sont une fraude mondiale généralisée et je vous explique exactement là où tout le monde et y compris et surtout les professionnels de la santé s’abusent (!) :
Un test de dépistage sérologique du « VIH » positif ne signifie certainement pas que vous soyez contaminé par le « VIH » car une réaction d’anticorps, c’est-à-dire votre test de dépistage, n’a strictement AUCUNE signification intrinsèque ! JAMAIS une réaction d’anticorps ne pourra scientifiquement vous indiquer la nature (ou l’origine, appelez-ça comme vous voudrez) ni des anticorps (!), ni des antigènes (!), quand bien même vous connaîtriez à l’avance l’un des 2 groupes !
Cela réagit, c’est positif ? Et alors ? Il y a mille raisons pour que ça réagisse qui n’ont strictement rien à voir avec le « VIH » ! (Voir la fameuse liste de Christine Johnson !)
C’est justement parce que la signification ne réside PAS dans la réaction (le résultat positif) mais dans la corrélation que vous devez obligatoirement obtenir AVANT (!) de proposer un test de dépistage entre d’un côté votre réaction d’anticorps (le test de dépistage) et de l’autre côté votre « VIH » en tant qu’étalon-or !
Vous devez d’abord – avant d’utiliser votre test – réussir la prouesse scientifique de corréler votre réaction d’anticorps à son golden-standard, le « VIH » !
Mais pour obtenir cette précieuse corrélation qui donne sa signification au test de dépistage et qui le valide, vous devez encore une fois de plus en amont, réussir DEUX (!) autres prouesses scientifiques (!) :
N° 1 : isoler et donc purifier votre « VIH »
N° 2 : être capable – ensuite – de caractériser la présence de votre « VIH » par un moyen bien évidemment (!) totalement différent et indépendant de la réaction d’anticorps !
Sinon, vous faites de la logique circulaire qui n’en finit pas et qui est tout sauf de la science : les anticorps prouvent que ce sont les antigènes qui prouvent que ce sont les anticorps qui prouvent que ce sont les antigènes qui prouvent etc… !
PROBLEME :
N° 1 : le « VIH » n’a JAMAIS été purifié et par conséquent isolé, de l’aveu même du Pr Luc Montagnier devant le journaliste français d’investigation Djamel Tahi face caméra dans une interview : « Nous N’avons PAS purifié, je répète (sic !) : nous N’avons PAS purifié. » re sic Luc Montagnier.
Pas de purification, pas d’isolement DONC pas de preuve scientifique de l’existence et de la découverte du « VIH » !
N° 2 : en 40 ans d’endémie SIDA : aucun scientifique au monde n’a jamais réussi à prouver la présence du « VIH » autrement que par une réaction d’anticorps…
Pas d’isolement du « VIH » et pas de preuve de la présence réelle et effective du « VIH » autrement que par une réaction d’anticorps : pas de corrélation possible entre d’une part une réaction d’anticorps (entre des anticorps présents dans le sang et des antigènes – présumés – du « VIH » dans les kits de test, càd votre test de dépistage) et d’autre part votre « VIH » en tant qu’étalon-or.
Pas de corrélation possible : pas de test de dépistage du « VIH » valide.
Pour vous expliquer ça un peu plus clairement je vous donne un autre exemple.
Pour dépister le virus d’Epstein-Barr nous n’utilisons PAS le virus d’Epstein-Barr (ou ses antigènes) dans les tests de dépistage ! De la même manière, pour dépister le « VIH », dans l’absolu nous n’aurions pas besoin d’utiliser le « VIH » dans les kits de test de dépistage sérologique du « VIH »…
Non ! Pour dépister le virus d’Eptsein-Barr on utilise du sang de mouton ! ! ! Pour être précis, les cellules rouges du sang de mouton, les globules rouges ou plus exactement les antigènes de surface des globules rouges si ma mémoire est bonne. Imaginez qu’en cherchant à dépister l’EBV, le virus d’Epstein-Barr, le test se révèle positif :
Cela ne voudra JAMAIS dire que vous soyez contaminé par du sang de mouton (sous prétexte qu’on utilise du sang de mouton comme réactif au lieu du virus EBV et que le test est positif) !
Cela ne voudra pas davantage signifier que le sang de mouton est responsable de votre lymphadénopathie (inflammation des ganglions lymphatiques plus ou moins généralisée) et de votre fièvre (qui sont notamment le tableau clinique de l’infection à l’EBV mais pas que…). C’est seulement qu’une corrélation a d’abord été établie entre d’un côté une réaction d’anticorps (ici entre des anticorps présents dans votre sang et le sang de mouton comme antigènes) et de l’autre côté la présence réelle et effective de l’EBV en tant qu’étalon-or.
Mais pour ça il aura d’abord fallu en amont isoler le virus d’Epstein-Barr et réussir à le caractériser par un moyen évidemment – indépendant – de la réaction d’anticorps ! Ce qui n’a JAMAIS été réalisé pour le « VIH » par Gallo qui a quand même immédiatement fait breveter ses tests de dépistages du « VIH » après l’annonce de la découverte PROBLABLE de la cause du SIDA par conférence de presse internationale et avant TOUTE publication scientifique… !
C’est pareil pour le dépistage du « VIH »…
Ce n’est pas parce que le « VIH » est utilisé dans le test de dépistage du « VIH » et que le test est positif que cela signifie que vous soyez contaminé par le « VIH » ni que le « VIH » soit la cause de votre SIDA si en plus vous êtes malade.
Cela veut dire que vous êtes effectivement contaminé par le « VIH » SI ET SEULEMENT SI vous avez d’abord établi en amont la corrélation entre la réaction d’anticorps d’un côté (ici en l’occurrence entre des anticorps présents dans votre sang et les antigènes présumés du « VIH » dans les kits de test) et le « VIH » de l’autre côté en tant qu’étalon-or soit la présence réelle et effective du « VIH » ! Mais pour cela encore faut-il d’abord avoir isolé le « VIH » puis ensuite avoir été capable de caractériser sa présence par autre chose que par une réaction d’anticorps…
Bien sûr aucun test ne peut être à 100 % spécifique ou à 100 % sensible.
Pour l’EBV, il se trouve que l’utilisation du sang de mouton est infiniment plus facile et moins coûteuse que l’utilisation des antigènes de l’EBV…
Enfin pour avoir vu venir le SIDA quand j’avais 15 ans, je vous explique la cause de l’émergence du SIDA dans ma communauté homosexuelle au début des années 1980 :
– drogues inhalées (poppers) = destruction du système immunitaire pulmonaire.
– multiplicité des rapports sexuels avec multiplicité des partenaires et sans protection = MST récurrentes.
– MST récurrentes = antibiotiques non stop.
– antibiotiques non stop (les homosexuels ont dévoyé leur usage en prolongeant leur utilisation entre 2 MST dans le but non réussi d’échapper ou de minimiser ou de retarder la prochaine, future et inévitable MST) = destruction du système immunitaire intestinal (le pilier de votre système immunitaire ! ! !)
(petite digression : les drogues associées aux antibiotiques augmentent le caractère potentiel cancérigène de presque tous les antibiotiques…)
à ce stade les individus n’ont déjà plus d’immunité ni pulmonaire ni intestinale soit plus de système immunitaire du tout ou presque…
– drogues inhalées (poppers) = maladies INFLAMMATOIRES pulmonaires
– antibiotiques non stop = maladies INFLAMMATOIRES intestinales (mais aussi anales, rectales, gastriques, etc…)
– maladies INFLAMMATOIRES (essentiellement pulmonaires et intestinales) causées par les drogues inhalées et par les antibiotiques pris pour traiter les MST = médicaments ANTI-INFLAMMATOIRES Gluco-Cortico-Stéroïdes IMMUNO-SUPPRESSEURS !
En d’autres termes, des médecins prescrivent des anti-inflammatoires fortement immuno-suppresseurs à des malades qui n’ont déjà quasi-plus de système immunitaire opérationnel !
– anti-inflammatoires immuno-suppresseurs sur terrain déjà immuno-déprimés = SIDA !
L’émergence du SIDA dans la communauté homosexuelle au tout début des années ’80 n’a plus aucun mystère 40 ans après rétro-activement !
Pour info, les anti-inflammatoires gluco-cortico-stéroïdes immunosuppresseurs ont pile à ce moment là été autorisés en plus directement en aérosol…
D’abord MERCI à nadir pour son apport qui demande un certain temps pour la digestion !
Peter Duesberg écrivait qu’il fallait distinguer entre le sida d’Amérique et d’Europe d’une part et le sida en Afrique. Pour lui ce seraient 2 maladies différentes, en tout cas ayant des origines différentes. J’avais donné une citation de Duesberg à ce sujet dans les commentaires du précédent article.
En résumé, on peut avoir des sida sans HIV, des HIV sans sida et HIV et sida. Il me parait utile de rappeler l’histoire de ce marin norvégien décédé en. d’une maladie étrange et alors inconnue. Voilà ce qu’en dit Wikipedia :
« Arne Vidar Røed, que les publications médicales ont surnommé Arvid Darre Noe, était un marin et conducteur de poids lourds norvégien né en 1946 et décédé en 1976. Il fait partie des plus anciens patients reconnus comme contaminés par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et il est le premier malade confirmé en Europe, bien que les médecins de l’époque n’aient pas identifié l’origine de son mal. Les chercheurs étudiant son cas le désignaient comme « marin norvégien » ou par l’anagramme Arvid Noe afin de protéger son identité, qui n’est révélée qu’après son décès.
Røed intègre la marine marchande en 1961 à l’âge de 15 ans. D’après le journaliste Edward Hooper, Røed s’est rendu en Afrique deux fois au cours de ses voyages entre 1961 et 1962 alors qu’il sert à bord du Hoegh Aronde, depuis le long de la côte ouest de l’Afrique vers Douala. Røed contracte alors une gonorrhée. En 1968, Røed quitte la marine et il exerce comme conducteur de poids lourds, parcourant l’Europe et surtout l’Allemagne. À partir de 1968, Røed est atteint de douleurs articulaires, de lymphœdème et d’infections aux poumonsa. Un traitement stabilise la santé de Røed jusqu’en 1975, puis ses symptômes empirent et il développe des difficultés motrices et une démence. Il meurt le 24 avril 1976. Son épouse, qui souffre d’affections similaires, meurt en décembre. Bien que les deux premiers enfants du couple soient séronégatifs, leur troisième enfant — une fille — meurt le 4 janvier 1976, à l’âge de huit ans. L’enfant constitue le premier cas reconnu de décès imputable au SIDA hors des États-Unis. Røed, son épouse et leur fille sont inhumés en Norvège, à Borre.
Environ dix ans après le décès de Røed, le Dr Stig Sophus Frøland (en) du Rikshospitalet conclut que les échantillons de sang venant de Røed, son épouse et leur fille sont tous trois séropositifs. Les recherches menées sur les itinéraires de Røed conduisent à estimer qu’il a contracté le VIH au Cameroun en 1961 ou 1962, époque où il entretenait des relations avec de nombreuses Africaines, dont des prostituées. Røed était porteur de la variante HIV-1 groupe O, qui était prévalente au Cameroun au début des années 1960.
Alors que Røed exerce comme conducteur de poids lourds entre 1968 et 1972, il a des relations sexuelles avec de nombreuses prostituées et il est presque certain qu’il leur a transmis le VIH ; à leur tour, ces femmes ont contaminé leurs clients. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arvid_Noe
Un exemple comme celui là montre qu’il ne faut sûrement pas s’emballer avant de décréter qu’il n’y aurait jamais de lien entre VIH et sida même si le VIH peut exister sans sida et inversement.
Salut Bernard, tu oublis les traitements et notamment l AZT. C’est au moment de l introduction de l AZT que les séropositifs ont commencé à tomber comme des mouches. Concernant les prostituées c’était aussi un paradoxe car seul les prostituées accro à la drogue « contractaient » le VIH. Montagnier a déclaré qu il n’avait pas pu mettre en évidence le role du VHI. Des tas de gens testés positifs à l époque sont en vie sans traitements et notamment Le Dr Manuel Guarrido Sotello 30 ans plus tard Voir le reportage Positive Hell https://www.qwant.com/?client=opensearch&q=positiv+hels+garrido+sotello&t=videos&o=0%3A5Nkpd0vJO04 .Etre dépisté séropositifs avec des tests erronés condamne les gens à ne plus être soignés mais à subir un harcèlement pour prendre des rétroviraux qui finalement les détruits peu à peu.Notre mode de vie est destructeur, il n y a pas besoin de VIH pour avoir une faible immunité.Par exemple tout bète: On à dit au gens qu il fallait éviter de s’exposer au soleil par crainte des cancers de la peau sommes toutes assez rares ,résultat un manque de vitamines D chronique de la population doublé par l utilisation de crèmes solaires cancérigènes. C’est toute la science qu’il faut remettre à plat ainsi que les soins qui actuellement détruisent plus qu il ne soignent.
Cher nad,
Tout à fait et les chiffres officiels états-uniens, officiels mais en sous-déclaration colossale type iceberg font état de pas moins de 330 000 américains homosexuels masculins décédés du SIDA – sous AZT – alors même qu’avant leur médication à la mortelle AZT, aucun d’entre eux n’était en syndrome CLINIQUE du SIDA mais uniquement qu’ils étaient séropositifs et rien d’autre. Soit un génocide médical, un génocide ici médicamenteux et un crime contre l’humanité perpétré par et avec les autorités sanitaires, politiques et la complicité de leurs medias zélés. Mais qui n’était quarante ans plus tôt que le prélude à tous les génocides actuels de la crise covid vaccinaux, médicamenteux, par euthanasie, ou, inversement, par interdiction d’utiliser les médicaments idoines, parfaitement non toxiques, non mortels, non coûteux, mais totalement efficaces et utiles de surcroît…
R. Kennedy l’explique très clairement dans son dernier livre, pendant des années Fauci a fait barrage à tous les médicaments repositionnés (bactrim compris) pour laisser le champs libre à l’AZT et à ses copains de Wellough. Sentant le vent tourner et la menace de procès s’organiser contre lui il a un jour accepté de tester tous les produits qu’il avait réussi à interdire pendant 15 ans…
Je m’excuse pour nadir au lieu de nad mais c’est la correction automatique qui joue parfois des tours quand le mot n’est pas répertorié …
c est rien
Parfaite formulation, cher Bernard Guennebaud, d’une manie automatique exaspérante.
Antidote : ‘sauver’ après les mot plus rares (sinon ils sont estropiés, se transformant souvent en horreurs d’Intercrotte déchaîné).
@Bernard Guennebaud
sur des sujet polémiques, je ne prendrais pas wikimerdia comme source pour appuyer un raisonnement. C’est une usine à propagande qui accepte sans grinver ce qui va dans son sens, mais demande 2000 sources concordantes de « grandes » publication pour laisser entrevoir qu’il pourrait y voir d’autres pistes qui pourraient être explorées.
Il n’est que voir sa « politique » « éditoriale » pendant cette « crise » « sanitaire » pour remettre cette « encyclopédie » à sa juste place : ce que la majorité doit croire.
même pour l’histoire je ne la crois pas… peut être la géographie s’il n’y a pas de problématiques de politiques internationales derrière.
Sur l’affaire de ce marin norvégien il semble que ce soit factuel. Les mêmes faits sont rapportés sur d’autres liens sans que je puisse vous dire les sources originelles. Quels que soient ses défauts, ses limites et ses orientations particulières, Wikipedia n’a pas inventé cette histoire et je ne pense pas qu’il y ait une idéologie quelconque derrière le fait de la rapporter.
Par contre il vaut mieux être prudent avec l’imagination de Jacques Pépin. J’ai en effet trouvé ceci :
« Le mystère de l’origine du sida résolu ? Dans une version mise à jour de son célèbre livre «Aux origines du sida», l’infectiologue et épidémiologiste canadien Jacques Pépin affirme que le «patient zéro» du VIH est un soldat de la Première Guerre mondiale affamé, blessé lors d’une chasse aux chimpanzés dans une forêt du Cameroun.
Ce militaire ferait partie de l’armée de 1.600 soldats français et belges des forces alliées ayant pris part à l’invasion du Cameroun, colonie allemande à l’époque, durant la «Grande Guerre».
Les soldats se sont donc rapidement retrouvés en manque de nourriture et ont été contraints d’aller chasser dans la brousse. «Mon hypothèse est que l’un des militaires a été infecté en chassant dans la forêt. Un chimpanzé a été tué et en coupant l’animal pour le ramener, ce soldat s’est fait une blessure qui a été infectée par le virus», explique au Daily Mail le Dr Jacques Pépin, médecin dans un hôpital de brousse du Zaïre (aujourd’hui la République démocratique du Congo ou RDC) avant de devenir professeur au département de microbiologie et de maladies infectieuses de l’Université de Sherbrooke, au Canada. De précédentes études ont en effet montré que l’origine du VIH se trouvait chez le virus de l’immunodéficience simienne (VIS), équivalent du sida chez les singes.
Cette version diffère donc de celle figurant dans la première édition de l’ouvrage de Jacques Pépin «Aux origines du sida», sortie en 2011, selon laquelle le «patient zéro» du sida était un chasseur local. »
Il donne du réalisme à son imaginaire et à ses hypothèses mais cela reste quand même des hypothèses. Bien sûr, ce soldat malade est allé à Léopoldville et là il a contaminé du monde qui à son tour … et c’est ainsi, dit il que cette ville est devenue le berceau du sida. Sida qui aurait donc du se développer dans cette ville avant l’arrivée du vaccin expérimental de Koprowski (1957-58) alors que le premier échantillon de sang prélevé dans cette région par des médecins belges en 1959 (2000 échantillons congelés) ont donné un et un seul test positif quand les tests devinrent possibles.
Si se blesser en découpant un chimpanzé peut permettre au VIS de ce singe de passer dans le sang du blessé pour s’y transformer en VIH, comment ne pas penser que d’avaler un vaccin préparé sur des reins de chimpanzés découpés en très fines lamelles et cultivés sur un extrait du sang de ces chimpanzés ne puisse pas offrir la même opportunité sur un vacciné qui aurait une blessure dans la bouche ou à un autre lieu du système digestif ? D’un côté un petit nombre de mangeurs de chimpanzés et de l’autre plus d’un millions de vaccinés au Congo belge…
https://www.cnews.fr/monde/2021-01-31/sida-le-patient-zero-identifie-1041427
Cher Bernard,
Nous devons nous souvenir systématiquement que les tests de dépistage sérologiques du « VIH » sont frauduleux car non spécifiques, non sensibles, non reproductibles et non standardisés.
Et que de toute façon, aucune protéine attribuée au « VIH » sans aucune exception n’est en réalité un marqueur – spécifique – du « VIH ».
Tout comme aucun ARN prétendument attribué au « VIH » ou même un ADN proviral du « VIH » n’est pas et n’a jamais été davantage que pour les protéines un marqueur – spécifique – du « VIH ».
Que ce marin ait été longtemps après sa mort, dépisté positif au « VIH » avec de tels tests monstrueux de conception ne signifie aucunement et absolument pas qu’il ait été lui ou lui et sa famille contaminé le moins du monde par un « VIH » putatif…
J’ajoute que la meilleur preuve disponible que Wikipédia n’a fait que rapporter cette histoire de ce marin norvégien peut se lire dans les premières lignes :
« « Arne Vidar Røed, que les publications médicales ont surnommé … fait partie des plus anciens patients reconnus comme contaminés par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et il est le premier malade confirmé en Europe, bien que les médecins de l’époque n’aient pas identifié l’origine de son mal. Les chercheurs étudiant son cas le désignaient comme « marin norvégien » ou par l’anagramme Arvid Noe afin de protéger son identité. »
ça parait clair, le cas de ce marin norvégien a été très étudié par de nombreux chercheurs médicaux. Il n’y a rien à suspecter de la part de wikipedia sur ce point où ce serait un a priori non justifié sur ce coup là.
Est-ce que wikipedia propose également la thèse du vaccin polio oral ? ou il est juste factuel avec les cas qui innocentent la médecine ? Est-ce qu’il retrace factuellement l’enquête en afrique et les 500 pages ?
même s’il y a des articles factuels, les conclusions des faits (c’est le 1er cas..) est parsemé de conjectures.
il AURAIT contracté… il AURAIT fréquenté.. il AURAIT contaminé, elles AURAIENT contaminé.. qu’il soit positif est peut être vrai, que sa femme le soit aussi et sa fille aussi (en supposant que ce ne soit pas un/des faux positifs) … rien ne peut affirmer qu’il fut positif AVANT sa femme. on SUPPOSE que c’est le cas car cela rentre parfaitement dans le narratif que l’on (rien de perso hein !) veut soutenir. On peut poser des faits cela ne fabrique pas une chaîne de réactions, surtout après autant de temps qui coula sous les ponts. Ont-ils été vaccinés contre la polio ? ou est-ce la aussi un angle mort des faits ? a-t-il fréquenté une prostituée qui a été inoculée contre la polio ? (recherches sur le vaccin 1957 – marine marchande 1962 …)
J’ai l’impression que l’on accepte assez facilement que c’est LE/UN disséminateur, comme on a accepté facilement que le covid c’était le pangolin-civette, comme on a accepté facilement que la chloroquine ne soignait pas et que le vaccin évitait les formes grave pendant… 2 mois. C’est ce que je reproche à la médecine : choisir les faits qui l’intéresse pour en tirer les conclusions qu’elle veut. Ce ne serait pas grave si cela, in fine, ne tuait pas des gens.
Admettons même qu’il fut contaminé, cela n’enlève en rien qu’il pu y avoir d’autres contaminations ailleurs, par d’autres voies.
wikipedia ne propose que ce qui innocente la médecine.
Ce qui m’a paru intéressant dans l’affaire de ce marin norvégien était par rapport à l’échange sur ce blog où certains avancent les arguments en faveur de l’absence de lien entre VIH et sida. Ce marin ainsi que sa femme et sa fille sont morts d’une maladie qui n’avait pu être déterminée à l’époque.
C’est sans doute pour cette raison que des prélèvements sanguins congelés avaient été réalisés avant leur mort. Plus tard ces prélèvements seront testés positifs au VIH selon les analyses qui ont été faites (et ce n’est pas wikipedia qui l’affirme).
Cette maladie, non identifiée à l’époque, a pu ainsi être classée sida a posteriori, ce qui contribuerait à penser que VIH et sida peuvent aussi être liés même si ce n’est pas toujours le cas. Ceci pour conclure qu’il faut être prudent avant de brandir des conclusions définitives sur le lien (« il y a toujours un lien ») ou l’absence de lien entre VIH et sida (« il n’y a jamais de lien »).
@ hervé02 du 19 à 15:18
Wikimerdia m’a carrément refusé, à propos des acides gras pluri-insaturés la référence de base en français, C. Kousmine.
Cela montre qu’il est l’otage du lobby du gras saturé (colonial maintenu), ennemi juré des pluri-i (métropolitains).
Il provoque les mauvaises santés (surpoids, obésité, diabète, HTA, cancer, etc) si juteuses pour ses alliés, les pharmas, obstinés à en accuser injustement ce pauvre cholestérol (non seulement innocent mais indispensable).
Le LOBBY DU GRAS saturé (colonial maintenu) n’est pas du tout, les goguenards, un produit de mon imagination enfiévrée : fin 2019, il a fait disparaître (traîtrise U€) de toutes les étiquettes d’huiles ppfb (bios de première pression à froid et donc PLURI-INSATURÉES) les mots DI-INSATURÉ, TRI-INSATURÉS, LINOLÉIQUE, LINOLÉNIQUES et GAMMALINOLÉNIQUE (anti-inflammatoire phénoménal et sans effet nocif), que les médecins appellent des ‘graisses’, (montrant ainsi qu’ils sont sous-développés en nutrition ou bouchés émeri au profit des empoisonneurs) ainsi que les TENEURS CORRESPONDANTES [afin d’EMPÊCHER le consommateur de veiller à la valeur optimale de 4 (1 si maladie) du rapport di-insaturé / tri-insaturés (et donc de le rejeter alors dans les saturés, ces saloperies bousillant en plus les sols et le climat)]. Contre cet attentat (à la bombe à fragmentation) à la santé publique, nous ne trouvons rien de mieux, nous, à l’Aimsib, que de discourir sur le sexe des anges.
Car ce sont les SATURÉS qui provoquent les maladies que je venais d’énumérer, aucunement le cholestérol.
Comme ce serait donc secondaire, la prévention PREMIÈRE (et non primaire, Docteur, ne vous en déplaise) des cancers ! [notamment à l’arsenic (VLE réglementaire DÉCUPLANT la mortalité, mon art. Ital Med Lav 1988;10:183-6, 22 réfs.) ou à l’amiante [150 000 morts français sans un seul coupable épinglé. Arte en passe un film sans ême avouer que 99 % de l’exposition toxique est toujours EXCLUE (des évaluations réglementaires dont, en plus, aucune demandée par les IT, inspecteurs du travail) : les fibrilles < 5 µm initiatrices spécifiques des 3 mésothéliomes)].
Me suis efforcé pendant 15 ans de démentir l’imagination débridée des semeurs de DOUTE (ITs compris). J’ai donc dû commettre le mot ‘ANÉMOPHORÈSE’ (mon art. Indoor Environ 1992;1:251-5, 30 réfs, ou mes 12 pp. avec 36 réfs. qui ont fait flop à la Sécu et au MdT) pour désigner la technique de défense anti-cancer imparable des opérateurs sous hottes (les ‘travailleurs’ dont la LCR a plein la bouche) au moyen de veines d’air de garde à la vitesse folle de 80 cm/s (moins de 3 km/h !). Fric foutu par les fenêtres assurément, Monsieur Médef, puisque cette bonne fille de Sécu est là pour payer les dégâts à votre place.
Qui s’intéresse, en effet, à la grotesque question de la diminution des risques vitaux ?
Pour conclure, j’aimerais bien au moins l'avis de mon cher Albatros, ce très précieux et rare puriste, sur le petit galop non-conformiste ci-dessus.
Cher hub37,
Vous avez entièrement raison de citer la Doctoresse Catherine Kousmine. Elle a été l’une des plus grandes pionnières au monde en matière d’écologie alimentaire, ce qui est appelé vulgairement « diététique » ou encore pompeusement « nutrition » de nos jours. Elle fût à bonne école car elle a été AUSSI la disciple de Johanna Budwig, l’allemande qui a mis au point ni plus ni moins la classification des acides gras toujours en vigueur aujourd’hui ! ! !
Donc ces deux femmes véritablement extraordinaires savent certainement mieux que leurs collègues contemporains ou pas de quoi elles parlent et surtout en matière d’acides gras essentiels précurseurs oméga 6 et 3…
Ces deux scientifiques et médecins demeurent toujours parmi les dissidents les plus brillants en matière d’alimentation autant que de médecine avec des travaux qui, s’ils sont parfaitement compris et lus dans leur intégralité ce qui est très rare, démontrent sans exception des principes universels et intemporels (et révolutionnaires pour leur époque).
Pas étonnant que Wikimerdia vous censure en citant Kousmine, Budwig ou encore plus près de notre temps le Dr Jean Seignalet qui a repris – sans en comprendre toute la portée cependant – une partie malheureusement tronquée des travaux de la Dre suisse d’origine russe.
@ pascal du 24 à 13:58
Votre formulation, la joie de ma vieillesse, est un modèle y compris dans vos 5 dernières lignes.
Si vous voulez me faire encore plus plaisir (suis seul à y insister. Même l’Amiral détourne le regard), remplacez oméga.3 (par TRI-INSATURÉS ou LINOLÉNIQUES) et oméga.6 (par DI-INSATURÉ ou LINOLÉIQUE).
Il importe en effet de retourner à une grandeur utile, elle, à connaître et à surveiller par les consommateurs : le simple NOMBRE D’INSATURATIONS [double-liaisons carbone=carbone ; chut, bien que ce soit du niveau du bacc]. Pas compliqué, il y en a principalement 4 : 1°, zéro, des saturés, chéris du lobby du gras colonial mais insanes [surpoids, obésité, diabète, HTA, cancer sein et prostate, tous attribués injustement (collusion aveuglante entre les pharmas et le lobby en question) à ce pauvre cholestérol au contraire très précieux] et consommant en plus 1,5 fois leur poids (Kousmine) pour des lécithines nécessaires à leur digestion ; 2°, un, ni nocif ni indispensable ; 3°, deux ; 4°, trois, tous 2 ESSENTIELS (les Burr 1930) à raison de 20 g/j Schweigart 1964 (30 g/j d’huiles PLURI-INSATURÉES)].
Les 2 cascades enzymatiques (au nom déjà estropiés par des cuistres Australiens) ∆3 et ∆6 (nomenclature internationale) ne servent à rien ici, qu’à inférioriser le consommateur afin de le priver (dans l’intérêt des pharmas) de la possibilité de maintenir à 4 la valeur souhaitable du RAPPORT di-insaturé / tri-insaturés.
Cette pédanterie malfaisante est tellement chère au lobby ci-dessus que, fin 2019, il a obtenu la suppression des 4 termes (que je vous suggère en majuscules) des étiquettes d’huiles de première pression à froid, bien métropolitaines, elles. Supprimé aussi le nom (GAMMALINOLÉNIQUE) du meilleur anti-inflammatoire connu (dévalué alors en oméga.6 alors qu’il est précieusement tri-insaturé.
Je savais Budwig amie de Kousmine mais j’ignorais son soutien précis).
Ce dont Kousmine n’avait pas parlé c’est du fait que 2 insaturations au moins étaient indispensables à la polymérisation (d’où mon insistance pour remplacer le barbarisme ‘polyinsaturés’ le mot PLURI-INSATURÉS : ils ne sont aucunement polymères mais bien monomères) enzymatique physiologique nécessaire à la métabolision des 10 sortes de membranes (bilipidiques) de notre palanquée de cellules de 250 sortes.
Pendant ce temps là, à l’Aimsib (ne soyons pas trop vache, c’est sur son blog que je vous rencontre), l’on disserte savamment du sexe des anges sans un regard pour les foules à qui, avec Seignalet, elle pourrait épargner tant de maladies pudiquement appelées de civilisation.
On attend un bel article de votre part depuis combien d’années déjà?
Cher hub37,
Peut-être le savez-vous déjà depuis longtemps mais la Doctoresse Catherine Kousmine a soigné et guérit 9 patients malades du SIDA sur 10 qui sont venus à son cabinet; une onzième, une femme enceinte, est venue à la première consultation mais, n’ayant pas saisi l’excellence des travaux de Kousmine, elle n’a pas souhaité continuer avec la Doctoresse et a préféré se faire avorter. Elle est hélas décédée du SIDA peu de temps après.
Sur le pool des 10 malades qu’elle a effectivement traité elle n’en a perdu qu’un seul.
L’extrême humilité de cette grande dame ou son excès de modestie a fait dire à Kousmine que – concernant son seul malade perdu à court terme – son traitement à ce stade avancé de la maladie ne pouvait pas être efficace. Mais elle a ajouté qu’il ne pouvait pas être efficace – également – en raison des médications actuelles (de l’époque bien sûr !) terriblement agressives qu’il subissait en parallèle à l’Hôpital…
Or, d’une part tous ses autres patients guéris étaient dans le même état avancé de la pathologie SIDA que lui, d’autre part nous savons rétroactivement pourquoi avec précision elle a perdu ce malade en rapport justement avec les protocoles hautement toxiques qu’elle dénonçait de cette période du SIDA et où il n’y avait QUE la mortelle AZT à part d’autres traitements – expérimentaux – et qui le sont restés) :
– la mortelle AZT qu’il prenait à monodose élevée et qui a entraîné chez lui une grave hémolyse qui l’obligea à être transfusé ensuite de nombreuses fois : ces transfusions sont hautement immunosuppressives et épuisent le malade.
Notez que la remontée immédiate des LT4 consécutive à l’administration de l’AZT et que les médecins prenaient à tort pour une amélioration, est toujours uniquement très transitoire, n’a strictement rien à voir avec une restauration de l’immunité provoquée par une action antivirale (contre un VIH inexistant) mais est causée à contrario par la réaction de l’organisme à l’extrême toxicité de la molécule.
– L’interféron gamma qu’il prenait à titre exclusivement expérimental et qui provoque des accès de fièvre à 40 ° C, qui épuise encore le patient et qui provoque en supplément une baisse de la tension électrique de la muqueuse intestinale la rendant particulièrement poreuse aux toxines de la lumière intestinale avec les conséquences malheureuses sur l’immunité…
– enfin le Bactrim en perfusion pour soigner sa pneumonie à PCP également immunosuppresseur.
Avec de tels traitements croisés par la médecine conventionnelle, il était condamné… Sans oublier que pendant ses séjours à l’Hôpital, le protocole de Kousmine était de facto interrompu.
Mais concernant les 8 autres hommes tous homosexuels gravement malades du SIDA comme lui : elle a obtenu une guérison TOTALE du SIDA avec disparition intégrale du Sarcome de Kaposi (et amorcée quasi immédiatement dès les premiers jours du protocole Kousmine) en quelques semaines à quelques mois pour chacun de ses patients. Ils ont tous retrouvé une santé pleinement satisfaisante, ont pu reprendre leur travail, leurs loisirs, retrouver une vie absolument normale et tous ces cas sont parfaitement prouvés, référencés et archivés et les médecins qui suivaient aussi ces malades du SIDA à l’époque, mais sont étrangement restés muets à cet égard, ne pouvaient pas ne pas avoir eu connaissance des résultats incroyables et absolument spectaculaires obtenus par la Doctoresse Kousmine et alors même qu’à l’époque tous les malades du SIDA étaient sans exception irrémédiablement perdus par la médecine (c’était avant les Tri-T dont les bénéfices sont uniquement le fait de l’abandon de la mortelle AZT et rien de plus).
Aujourd’hui les spécialistes du SIDA reconnaissent que le « VIH » n’a rien à voir de près ou de loin avec le Sarcome de Kaposi qui est depuis attribué à un autre virus, le HHV8, avec autant de légèreté scientifique que pour le « VIH ».
Faut-il souligner que le protocole de Kousmine a supprimé tout le syndrome clinique de ses patients gravement malades du SIDA (SK compris, « VIH » ou « HHV8 » peu importe !) avec rien d’autre qu’un protocole essentiellement alimentaire et une détoxication des corps ? !
Le dernier cas guéri est celui d’une petite fille de 2 ans et demi, diagnostiquée séropositive à la naissance (mais malade du SIDA uniquement après médication ! ).
Je suis persuadé que vous aviez connaissance de ces faits mais je n’ai pas résisté à rendre hommage à la mémoire de la Doctoresse Catherine Kousmine sur le site de l’AIMSIB…
Je précise que la Doctoresse Catherine Kousmine a obtenu ses guérisons du SIDA à l’âge de 84 ans, qu’elle est décédé à peine 4 années après en 1992 à l’âge de 88 ans et que nous étions donc à l’époque en 1988 !
Pascal? Un article please, le monde est prêt à revoir le SIDA sous un autre angle
Quand on veut faire coller la réalité avec l’explication que l’on souhaite, tout devient bon pour l’expliquer.
« En résumé, on peut avoir des sida sans HIV, des HIV sans sida et HIV et sida » répond Bernard à Nad.
On peut faire le même résumé entre sars-cov2 et covid.
Après çà que dire ? Vous connaissez mon point de vue (voir mes commentaires sur l’article précédent).
Franchement, ce n’est pas de la Science mais du grand n’importe quoi. Tout le monde trouve naturelles ces explications bâtardes parce que l’on fonctionne ainsi depuis si longtemps.
Comme ces gens qui sont vaccinés et « attrapent » plusieurs fois le « covid » et qui accusent ceux qui ont tombé le masque.
A quand le changement de paradigme ?
Tout à fait, pourquoi faire simple quand on peux faire compliqué et qu en plus cela rapporte……..On pourrais tout aussi bien relier ces pneumonies atypiques à la pollution puisque les cartes ce suivent.
Bien sûr ! Il y a sans doute des sources environnementales pathogènes dont il faut éviter de parler, comme les routeurs WiFi (2,4GHz) qui endommagent la glande pinéale, sans parler du reste…
Les dirigeants le savent, mais il y a tellement d’argent en jeu.
Sans vouloir offenser personne ni mettre en doute la sincérité des uns et des autres, il me semble que les théories virales sont de parfaites « couvertures » pour éviter l’émergence de théories alternatives qui pourraient mettre carrières et royalties en danger. La meilleure preuve est le renforcemnt du contrôle social pour la CoViD19.
Meerci à tous
Tout à fait d’accord, chère Minna.
Je remets ici cet extrait de Peter Duesberg présenté comme le chantre du sida sans VIH mais qui a quand même écrit ceci ( extrait de l’étude de Duesberg page 97, en français) :`
« Le paradoxe apparent dans le fait que le même virus causerait au même moment deux épidémies du SIDA entièrement différentes, une en Afrique et l’autre en Amérique. et en Europe, est un artefact de la définition du SIDA.
En raison de la définition du SIDA basée sur VIH, une nouvelle épidémie de drogues en Amérique et en Europe et une épidémie d’anciennes pathologies spécifiques à l’Afrique ont été toutes deux appelées SIDA depuis que l’on a pu détecté VIH. Comme VIH est endémique chez plus de 10% des Centreafricains, plus de 10% des pathologies définissant le SIDA sont aujourd’hui appelées SIDA. »
Ce passage nous inciterait à repenser la définition même de ce qu’on appelle sida et pourrait expliquer pourquoi il y a des sida sans VIH ce qui peut conduire à nier le rôle du VIH dans l’apparition de la maladie. On aurait désigné du même nom deux maladies aux origines totalement différentes d’où une confusion totale. Le VIH pourrait être, avec d’autres conditions, un élément déclenchant d’une maladie décrite comme sida tout en y étant pour rien pour d’autres maladies également classées sida.
On en arrive aussi à oublier le fond de cet article, judicieusement rappelé dans la présentation faite par Vincent : pourquoi les 2 principaux acteurs de cette affaire, Hilary Koprowski et Paul Osterrieth ont ils décidé de nier, contre toute évidence, avoir utilisé des chimpanzés pour préparer le vaccin ingéré par plus d’un million de Congolais entre 1957 et 1959 ? Le premier déclarant, vers l’an 2000 « jamais de la vie » et le second » Je n’aurais jamais risqué ma réputation et la vie d’êtres humains en faisant des choses aussi hasardeuses ». Pourtant ils l’ont fait, c’est INDISCUTABLE.
Et pourquoi ceux qui, avec beaucoup de zèle, développent des thèses sur l’origine de l’épidémie de sida ont ils une tendance marquée pour occulter cet épisode qui avait pourtant beaucoup fait parler de lui avec, tout particulièrement, le symposium de Londres en septembre 2000 ? Il est vrai que ce symposium avait été organisé pour être l’enterrement solennel du fabuleux travail de fourmi réalisé par Hooper (17 années de patientes enquêtes). L’enterrement recevra le soutien immédiat de l’OMS qui titra aussitôt : « rejet de l’hypothèse … ». OUF !!!
Moins de 4 ans plus tard, 5 télévisions feront revivre en images le travail de Hooper pour le mettre à la portée de tous. L’ensemble des commentaires sur ces 2 articles montre que l’enterrement avait accompli son oeuvre et combien il était utile de tenter de faire revivre tout cela aujourd’hui.
Les tests
(tests d’anticorps et de charge virale)
Si l’isolation du virus n’a jamais été faite, toute la théorie du VIH/SIDA s’effondre. Et la première chose à tomber ce sont les tests détectant soi-disant des anticorps à un virus qui n’existe pas. Ils sont, bien évidemment, complètement bidons.
Mais, s’ils ne mesurent pas la présence d’anticorps au virus, que mesurent-ils ? Eh bien, les dissidents pensent que ce que les tests mesurent, ce sont des protéines de stress biologique présentes chez tout le monde à des degrés divers. C’est pour cela que tout le monde est positif en réalité. Mais, tout le monde ne réagit pas positif car les tests ne sont pas des tests tout ou rien, mais des tests avec seuil. Si quelqu’un présente des niveaux de particules de stress inférieurs à un certain seuil, il ne sera pas considéré comme positif alors que les particules sont présentes. De plus, ces tests sont dilués. Et pas un peu, mais énormément par rapport à d’autres test d’anticorps : 400 fois pour l’Elisa et 50 fois pour le Western Blot. Du coup, seuls ceux qui auront un taux de particules de stress assez élevé réagiront positifs. Parmi ceux-ci : consommateurs de drogues, de certains médicaments, transfusés, vaccinés récemment, personnes souffrant d’autres maladies (comme la tuberculose, un rhume), ou sortant d’une maladie, femmes enceintes, et personnes pratiquand le sexe anal inversif (celui qui reçoit). Ca ne veut pas dire que toutes ces personnes vont forcément réagir positif, mais que leur situation entraine plus de risque que le test réagisse positif.
Toutefois, même s’il y avait un virus (mais il n’y en a pas), les tests seraient tout de même bidons. Parce que les antigènes qu’ils détectent ne sont pas spécifiques. Des gens ou des animaux qui ne sont pas en situation d’avoir jamais été en contact avec le supposé VIH, réagissent positifs à des antigènes supposés spécifiques du VIH.
A noter qu’un fois déclaré positif, c’est fini. Vous êtes considéré comme séropositif à vie. A partir de ce moment-là, on ne refait pas de test Elisa ou Western Blot, mais un test de charge virale. Or, que votre test de charge viral soit positif ou nul, pour nos amis les médecins, ça ne change plus rien. Car si votre charge virale est indétectable, on déclare que le virus est toujours présent, mais se cache dans les ganglions. http://www.sidasante.com/themes/lestests.htm
L’utilisation de la méthode PCR pour trouver le VIH
Un problème pour l’hypothèse officielle du VIH était que, même avec l’utilisation de la PCR standard, les chercheurs n’ont pu trouver beaucoup de traces de VIH, si ce n’est une seule, chez des personnes diagnostiquées comme ayant le SIDA. Pour résoudre ce paradoxe, les auteurs des nouveaux articles sur « la charge virale » ont proposé deux modifications de la PCR, qu’ils ont déclarées être beaucoup plus efficaces pour trouver du VIH. Il s’agit de la QC-PCR et du branched DNA test (bDNA). Et soudain — eureka! — des milliards de copies de ce qui était considéré comme du VIH ont été trouvées. La contradiction ici semble avoir échappé aux auteurs de ces articles : pourquoi ces puissants nouveaux tests auraient-ils été absolument nécessaires pour trouver un microbe qui est présent par milliards ? Les méthodes traditionnelles auraient du suffire. http://www.sidasante.com/themes/tests/pcr/charge_virale_et_pcr.htm
La QC-PCR
Il s’agit du test utilisé dans le journal mentionné ci-dessus par Anthony Fauci (Pantaleo) et Ashley Haase (Embretson). Ce sont eux qui ont déclaré que le VIH « se cachait dans les ganglions lymphatiques ». Ces articles ont été acceptés comme des faits, alors que la QC-PCR était, et reste, une technique non-validée.
Mark Craddock, de l’université de Sydney (Australie), a expliqué les principes et les problèmes de la QC-PCR comme suit : (8)
« La PCR produit en masse des fragments d’ADN. Vous commencez avec une petite quantité d’ADN, et après chaque cycle de PCR, la quantité d’ADN que vous obtenez est entre une et deux fois la quantité au début du cycle. Ainsi, la quantité d’ADN que vous pouvez étudier augmente exponentiellement. Le fait que la PCR est un processus de croissance exponentielle signifie que les erreurs expérimentales se développeront également exponentiellement. Aussi, vous devez faire très attention à ce que vous faites durant le processus.
« Un certain nombre de personnes ont décidé qu’il devrait être possible d’estimer la quantité d’ADN présente dans un échantillon en employant la méthode PCR. C’est la PCR concurrentielle quantitative. L’idée est d’ajouter à l’échantillon à mesurer, une quantité connue d’ADN semblable mais distinguable et d’amplifier les deux ensemble. L’hypothèse est que les quantités relatives des deux produits devraient rester identiques, et que par conséquent, vous pourrez établir la taille de l’échantillon avec lequel vous avez commencé en connaissant le rapport des deux (ce dernier étant déterminé par observation quand la PCR a produit assez des deux ADN pour faire des mesures), et combien d’ADN de contrôle a été ajouté au départ.
« Ce qui est absolument crucial c’est que les quantités relatives de l’ADN test et de votre ADN de contrôle demeurent exactement égales. Une valeur proche n’est pas suffisante. Les plus légères variations seront magnifiées exponentiellement et peuvent produire des erreurs massives dans votre évaluation.
« Les difficultés lors de l’emploi quantitatif de la PCR ont été précisées par Luc Raeymaekers dans le journal « Biochimie Analytique » en 1993. Il a remarqué que les papiers publiés sur la QC-PCR contiennent des données qui prouvent que le présupposé fondamental que les tailles relatives des échantillons demeurent constantes ne se vérifie pas en pratique. En dépit de ça, les chercheurs continuent à employer la PCR pour mesurer la charge virale. Il n’y a tout simplement aucun moyen de savoir si une évaluation donnée est correcte ou est 100.000 fois trop importante ! »
La bDNA – BRANCHED DNA PCR
C’est le test utilisé dans le papier de Ho. Bien qu’il ne s’agisse pas, à proprement parler, de PCR, on le mentionne comme tel dans la mesure où il incorpore une technologie de type PCR. La différence est que l’ADN amplifie le signal, pas la cible. La PCR classique multiplie la cible, ce qui entraîne qu’on peut la trouver, tandis que le bDNA projette en quelque sorte un faisceau lumineux sur la cible, de telle sorte qu’on pourra mieux la voir. Le « Project Inform » a été assez aimable pour m’envoyer l’explication suivante concernant la façon dont le bDNA fonctionne : (9)
« Des copies d’une sonde d’ADN sont fixées aux parois d’un petit récipient ; puis, l’échantillon est mis dedans. [une sonde d’ADN est un petit morceau d’ADN complémentaire de la séquence de l’ADN cible.] Cette sonde se lie à une certaine partie de l’ARN de VIH, s’il y en a dans l’échantillon, retenant l’ARN dans le récipient. Ensuite, une autre sonde d’ADN est introduite ; un bout de celle-ci s’attache à une autre partie de l’Arn du VIH. L’autre extrémité de la deuxième sonde a de nombreuses branches et chaque branche se termine avec un produit chimique « révélateur » qui, dans certaines conditions, produira une lumière qui peut être détectée par l’équipement du laboratoire. Chaque molécule de l’ARN de VIH peut se lier à une de ces structures en branche et s’accrocher à quelques unes des sources lumineuses, pas simplement une. De cette façon, de très faibles quantités d’ARN cible peuvent être détectées, sans besoin d’amplification PCR. »
Dans son papier initial, Ho n’a fourni aucune donnée concernant les protocoles pour ce test, ou même s’il était fiable. Le lecteur a été renvoyé à deux autres papiers qui étaient « en cours d’impression ». Ainsi, aucune donnée n’était disponible à ce moment-là pour qui voulait vérifier cette méthode. Les données obtenues à partir du bDNA étaient confirmées par QC-PCR, les détails de la QC-PCR étant présentés dans une référence écrite par quatre co-auteurs de l’étude de Wei, pas vraiment ce que vous pourriez qualifier de chercheurs indépendants ou objectifs. Dans la tradition de la recherche du VIH, des théories non prouvées et des études défectueuses sont acceptées sans se poser de questions et incorporées à « la sagesse conventionnelle » avant d’être correctement validées. A partir de là, les dommages sont faits, et si des failles sont découvertes ensuite, ça importe peu.
Les mécanismes du bDNA sont complexes : cinq réactions différentes d’hybridation sont réalisées. L’hybridation est une technique standard où une sonde d’ADN est mise dans un échantillon et se liera à tous les segments complémentaires qu’elle trouve. C’est un autre test indirect, et il présente beaucoup de problèmes. Selon le biologiste moléculaire Bryan Ellison, « le seul cas où la biologie moléculaire fonctionne se situe quand on purifie les choses d’abord. Il y a toujours la possibilité de réactions croisées, particulièrement quand vous mettez vos sondes dans une grande soupe de protéines « (ce qui est exactement ce qu’est l’échantillon de sang cible).
Duesberg a précisé ce qui suit : après avoir fait les ajustements appropriés à ses calculs, Ho lui-même a constaté plus tard que plus de 10.000 virus déduits par l’analyse bDNA utilisée dans son papier publié dans « Nature » correspondaient en réalité à moins d’un virus infectieux ; ce qui conduit à se demander ce qui est réellement mesuré lors de ces tests. (10) Pourtant, ces papier spéculatifs et non validés ont été acceptés comme vérités d’évangile !
Dans l’esprit d’Ellison, l’étude de Ho est « de la pure imagination. Il n’y a jamais eu un papier montrant la charge virale. »
Chère nad,
Le Test ADNb-PCR ADN ramifié utilise la QC-PCR comme étalon-or.
Mais la QC-PCR utilise la PCR régulière standard comme étalon-or.
Mais la PCR régulière standard utilise les Tests d’Anticorps Anti-VIH comme étalon-or.
Enfin, les Tests d’Anticorps Anti-VIH s’utilisent – MUTUELLEMENT – comme étalon-or.
AUCUN d’entre eux n’utilise le seul et unique étalon-or recevable : le VIH lui-même !
Les papiers de Ho sont de la merde…
Conclusion
Une idée, essentielle à la théorie du Dr. Ho, est que le VIH mute si rapidement qu’en quelques jours ou semaines, il devient résistant à n’importe quel médicament « antiviral » pris par le patient. Afin d’empêcher cela, on recommande que le patient prenne un « combo » (ndt : cocktail) de trois médicaments qui théoriquement frappe le VIH sous tous les angles simultanément ; ce qui réduit le risque qu’une souche résistante survive. Pendant ce temps, il faut surveiller constamment « la charge virale » avec des tests qui coûtent 200 dollars. L’accent est mis sur une intervention rapide, c’est à dire qu’on administre aux patients des multi-drogues dès qu’ils sont séropositifs (ce qui suppose, pour commencer, que tout le monde sait quand cet événement a eu lieu) et qu’on les fait continuer à prendre ces médicaments le reste de leur vie.
Quoique personne n’ai démontré qu’elles étaient pertinentes, les analyses de charge virales sont vigoureusement promues comme outils de l’état de l’art pour les sidéens, et il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. Dans le Washington Post (6-02-96), David Brown a involontairement indiqué la raison : « le traitement agressif du VIH sera probablement bien plus cher que par le passé. Mesurer la charge virale coûtera environ $200 par test, et la nouvelle génération de traitements anti-VIH sera probablement au moins aussi chère que celle qu’elle remplace ».
US News et World Report (12-2-96) étaient plus spécifiques : ils ont estimé le coût annuel d’un inhibiteur de protéase à environ $6.000, et le coût d’une tri-thérapie de $12.000 à $18.000. Des combos de trois ou quatre drogues sont maintenant prescrits, là où un seul (l’AZT) suffisait. Comme de plus en plus de médicaments sont considérées comme nécessaires pour « traiter » les gens, beaucoup de ces derniers n’ayant aucun symptôme, il est évident que ça va être une mine d’or pour l’industrie pharmaceutique.
La théorie de la charge virale a créé une nouvelle source de stress insupportable dans la vie de personnes désespérées. On dit désormais qu’une personne a comme un pistolet à un coup avec les nouvelles drogues « antivirales » (principalement les inhibiteurs de protéase). Si vous ne les prenez pas exactement au bon moment, avec exactement les bonnes combinaisons ou quantités, ou si imprudemment vous prenez un seul médicament à la fois, ou que vous abaissez la dose parce que la dose courante vous rend malade, votre virus deviendra résistant et les médicaments ne marcheront plus jamais sur vous. Et vous ne pouvez pas stopper non plus les médicaments, pour la même raison, même s’ils vous rendent malade à mort.
Chaque article sur le sujet a eu jusqu’ici un avis d’expert différent concernant la façon dont tout ce programme est censé fonctionner : personne ne sait si vous pouvez guérir ou simplement tenir le coup ; personne ne sait quel est le pronostic à long terme pour ceux qui prennent ce triple-combo triplement toxique (les inhibiteurs de protéase ont produit des réactions extrêmement défavorables chez beaucoup de gens. Donc, le résultat ne devrait pas être dur à deviner). N’importe qui assez fou pour s’engager là-dedans deviendra un cobaye pour des personnes qui ne savent pas ce qu’elles font.
Quand arrêterons-nous de permettre d’être employés comme cobayes lorsque de nouvelles idées délirantes font leur apparition ? Quand fermerons-nous nos portes-monnaie et refuserons-nous de payer le privilège d’être empoisonnés ? Et quand arrêterons-nous de soutenir les êtres humains les plus vils qui soient — ceux qui profitent de la douleur des autres ?
Christine Johnson est membre du MENSA et journaliste scientifique indépendante à Los Angeles (Etats-Unis). Elle est la personne de contact de HEAL/Los Angeles, est membre de la commission consultative du magazine Continuum et est l’éditrice de copies de Reappraising AIDS. Elle a une expérience étendue en médecine, loi et recherche bibliothécaire et est motivée par le désir de découvrir la vérité concernant le « SIDA ». Elle s’intéresse tout particulièrement à rendre l’information des journaux techniques scientifiques accessible au public. Au cours des quatre dernières années, elle a suivi le travail du groupe de Perth et a écrit des articles critiques sur les tests d’anticorps VIH, y compris une grande interview avec Eleni Papadopulos-Eleopulos, qui ont été publiés dans le monde entier.
Chère Nad,
Les travaux du Groupe de Perth (Australie Occidentale) sont les plus brillants de tous en matière de « VIH »/SIDA et toujours actuels et pertinents à ce jour. En tout cas c’est mon opinion.
Le contenu de la célèbre interview (Le « VIH » est-il la cause du SIDA ?) par Christine Johnson de la fondatrice du Groupe Eleni Papadopulos-Eleopulos, détruit à la perfection l’hypothèse virale « VIH » du SIDA une bonne fois pour toutes et en un tour de bras.
Mais cela est passé complètement à la trappe et nous savons très bien pourquoi.
A titre personnel j’aurais aimé avoir des nouvelles des membres de ce groupe après toutes ces années et pour lequel j’éprouve un profond respect et une très grande admiration.
L’expérience de Giraldo
» Ma curiosité me conduisit à faire une expérience au laboratoire médical de Yorktown Heights, NY. Je pris d’abord un échantillon de mon propre sang qui, à la dilution mystérieusement requise de 1/400, s’avéra négatif. Je refis alors des tests avec le même échantillon de sang, mais sans le diluer (1/1). Ainsi testé pur, le sérum donna à chaque fois une réaction positive.
Ensuite je testai le sérum non dilué d’autres sujets dont le sérum dilué à 1/400 était négatif. Tous ces sérums, comme le mien, réagirent positivement lorsqu’ils furent testés non dilués.
Mentionnons que, à part mon propre sérum, tous les échantillons de sang étaient envoyés par des médecins qui demandaient un test VIH. Mon expérience m’a appris qu’une demande de test signifie généralement que le patient appartient à un groupe à risque (homosexuel masculin, drogue intraveineuse) « .
Giraldo étudia aussi la quantité d’anticorps que révélaient les résultats des tests. » Selon la notice du laboratoire Abbott, la valeur d’absorption (c’est-à-dire l’intensité de la coloration jaune) est proportionnelle à la quantité d’anticorps anti VIH-1. Je constatai que les sérums qui étaient négatifs quand ils étaient dilués au 1/400 mais positifs quand ils n’étaient pas dilués avaient une valeur d’absorption plus faible que les sérums qui, dilués selon les instructions, étaient positifs aux tests ELISA et Western Blot. Ce fait signifie sans doute que le sang séronégatif quand il est dilué mais positif quand il ne l’est pas a un taux d’anticorps moins élevé que le sang doublement positif quand il est dilué « .
Donc tout le monde, semble-t-il, peut avoir une certaine quantité d’ »anticorps anti-VIH » dans le sang. Et tout le monde peut être, jusqu’à un certain point, déclaré « séropositif VIH ». Qu’est-ce que cela signifie ?
EXPLICATION NON VIRALE
Aucune preuve de l’isolement du VIH n’existant dans la littérature, et E. P-Eleopulos ainsi que d’autres scientifiques ayant montré que le SIDA ne se comportait pas épidémiologiquement comme une maladie contagieuse (Duesberg, « Inventing the AIDS virus »), Giraldo se tourne vers une explication non virale pour comprendre les réactions positives aux « tests VIH ». Il se réfère aux travaux d’E. P-Eleopulos. Les éléments du prétendu VIH à partir desquels les « tests VIH » ont été produits semblent à cette chercheuse être des éléments ordinaires du corps humain. Cela serait invraisemblable si le « matériel VIH » utilisé pour les tests avaient été extraits d’isolats VIH (c’est-à-dire prélevés sur des cultures consistant exclusivement en particules ressemblant à des virus et se comportant comme des virus). Mais E. P-Eleopulos s’aperçut que tout ce qui était présenté dans la littérature médicale comme des « isolats de VIH » se compose essentiellement de matériel manifestement non viral mélangé à une minorité de particules déclarées être du VIH. Elle soutient que ces particules correspondent à la description classique de « microvesicules » cellulaires, et non pas de virus. Elle ne trouve aucun fait prouvant que ce matériel d’ »isolat VIH » soit autre chose que des constituants cellulaires normaux. Etienne de Harven, spécialiste en microscopie virale est du même avis.
Il semble donc à Giraldo que les tests d’anticorps VIH détectent simplement si l’organisme a été exposé à des facteurs augmentant la production d’anticorps réagissant à des protéines prélevées dans les cultures improprement appelées « isolats de VIH ». Ce peut être tout un éventail de facteurs identifiés par E. P-Eleopulos et d’autres chercheurs comme étant la cause probable du SIDA : consommation de drogues, traitements de l’hémophilie, (en particulier multiples transfusions), infections et antibiothérapies sans arrêt répétées (comme chez les homosexuels masculins) et dans le Tiers Monde multiples parasites et infections chroniques comme conséquence de malnutrition, d’absence d’eau potable et de soins médicaux élémentaires. Concernant le test de charge virale, Giraldo n’a pas d’hypothèse à priori, car il n’a pas encore étudié la question.
Il propose des expériences qui aideraient à expliquer la signification de ces tests.
Une chose est désormais certaine : les données existantes ne confirment pas l’hypothèse selon laquelle un test VIH positif (ELISA ou Western Blot) est le signe d’une quelconque infection virale.
Giraldo prétend que tout le monde peut produire une certaine quantité d’anticorps contre les prétendues protéines VIH. Il n’en conclut pas pour autant que tout le monde, séropositif ou non, est infecté par du VIH. http://www.sidasante.com/themes/tests/tout_le_monde_est_il_positif_pour_le_VIH.htm
Tiens, tiens ! Cela me parle.
Mais j’ajoute que même s’il y avait « isolat », il pourrait tout autant être partie de l’organisme sur lequel il a été prélevé quelque soit son aspect. Seule une position dogmatique empêche de l’envisager.
En tout cas merci Nad pour ce rapport complet et instructif, surtout pour ceux qui ne prennent pas le temps de lire les liens qui donnent tous ces détails. Mais il faut du temps en effet.
Oui. Mais on discute du sexe des anges pendant que des technologies pathogènes (sans parler de l’industrie pharmaceutique ou phyto-sanitaire) sont vendues fort cher et installées sans le moindre souci de ce qu’il adviendra aux populations exposées.
Je trouve le temps long…
Merci à tous
Chère Minna, re-tout à fait d’accord ; risque d’inconditionnalité.
Chère nad,
Etienne de Harven n’est pas du tout sur la même ligne que celle d’Eleni et de son fameux Groupe de Perth. Et comme pour Peter Duesberg avec son « VIH » inoffensif et passager ou si on préfère : innocent et furtif (en totale contradiction avec son acronyme, donc), il se trompe complètement. Pour de Harven, le « VIH » est un rétrovirus endogène humain ! Mais ces derniers ne sont pas des virus car ils ne sont pas transmissibles, ils ne répliquent pas. Ce sont des particules.
C’est Eleni (avec son brillant Groupe de Perth) qui est dans le mille et qui a raison :
Le génome du « VIH » est uniquement constitué d’ARN/ADN (proviral) d’origine exclusivement cellulaire et n’a strictement rien à voir avec des rétrovirus ou rétroïdes, exogènes (Duesberg) ou endogènes, ni bien sûr avec des séquences rétrovirales endogènes.
La découverte de Roberto Giraldo : tout le monde, sans exception, est positif au « VIH » si les échantillons sanguins ne sont pas dilués, est remarquable et éloquente ! Les tests de dépistage sérologique du « VIH » qu’ils soient Elisa ou Western Blot (ils sont rigoureusement les mêmes : le fait que les antigènes soient mélangés ou séparés ne modifiant nullement leur nature) sont incapables de prouver la contamination par le « VIH » pour l’unique raison qu’il manque en amont l’isolement du « VIH » et sa caractérisation par un moyen indépendant de la réaction d’anticorps.
Une réaction d’anticorps n’a aucune signification intrinsèque : elle ne vous donne strictement rien, ne vous apporte strictement rien sur la nature ou l’origine, ni des anticorps ni des antigènes : ça réagit ? Et alors ? Il y a mille raisons pour que ça réagisse qui n’ont strictement rien à voir avec le « VIH ». Dans l’absolu, pour dépister le « VIH » dans le sang, nous n’aurions pas obligatoirement besoin d’utiliser dans les kits de test de dépistage du « VIH », des antigènes du « VIH » (comme pour dépister l’EBV où nous n’utilisons justement pas les antigènes de l’EBV mais où nous utilisons comme réactif du sang de mouton, càd les antigènes des globules rouges du sang de mouton… Quand c’est positif, cela ne veut évidemment pas dire que vous êtes contaminé par du sang de mouton ni que celui-ci est responsable de votre maladie).
C’est la corrélation entre une réaction d’anticorps (votre test de dépistage) et le « VIH » comme – étalon-or – qui apporte la signification au test et pas le test en lui-même.
Mais comme il n’y a jamais eu ni isolement du « VIH » ni, à la suite, caractérisation de celui-ci autrement que par une réaction d’anticorps, alors aucune corrélation entre la réaction d’anticorps (le test) et le « VIH » comme étalon-or ne peut, de fait, éventuellement, être établie…
Par conséquent tout test de dépistage du « VIH » est nul et non avenu.
Tout test de dépistage du « VIH » est une fraude, une imposture mondiale et caractérisée et tout test de dépistage du « VIH » qui serait positif doit impérativement être considéré comme un faux positif.
Encore aujourd’hui, c’est la réaction d’anticorps qui permet aux « experts » du « VIH » de clamer avoir réussi à isoler le « VIH » !
Quant à la charge virale, le Groupe de Perth a réussi à l’expliquer ainsi qu’un docteur allemand, Heinrich Kremer dans son ouvrage (traduit en anglais mais pas en français) : La révolution silencieuse dans la médecine du Cancer et du SIDA…
Un test de dépistage positif au « VIH » signifie uniquement que vous avez un excès d’anticorps non spécifiques et non identifiés dirigés contre un excès d’antigènes, eux aussi totalement non spécifiques et non identifiés (par rapport à la population générale). Ce qui n’est pas une bonne nouvelle (sauf par exemple dans le cas de la grossesse) et cela doit alerter car il signale une anomalie sanguine (une hyper gamma-globulinémie…) corrélée quand même avec un risque accru (par rapport à la population générale) de développer une pathologie SIDA, mais qui n’a strictement rien à voir avec un « VIH » parfaitement inexistant. En ce sens, les tests de dépistage du « VIH » peuvent quand même avoir un intérêt évident à la santé des gens pour alerter et prédire l’évolution de l’état général.
à condition de bien leur expliquer que cela n’a rien à voir avec le « VIH » qui n’existe pas et qui ne provoque pas le SIDA. Et aussi, pour leur redonner espoir et montrer la marche à suivre, que nous parvenons parfaitement à guérir le SIDA (voir l’approche alimentaire et immunitaire du SIDA de la Doctoresse Catherine Kousmine en 1988), à fortiori : à prévenir (dans le sens initial d’empêcher) l’évolution vers un SIDA voire même à obtenir une séroconversion négative (comme cela a totalement été documenté en Australie à une certaine époque et comme j’ai pu l’observer chez un ami avec un test acheté anonymement à la pharmacie. Raison pour laquelle, probablement, une fois séropo, vous l’êtes à vie : votre médecin ou votre équipe hospitalière ne vous faisant surtout pas et plus jamais, passer un nouveau test de dépistage du « VIH » de toute votre vie… !) simplement en extrayant l’organisme de la totalité des facteurs de stress oxydant : chez les homosexuels des pays occidentaux : alcools, tabacs, drogues, abus de médicaments tels qu’antibiotiques et anti-inflammatoires type glyco-cortico-stéroïdes (voir le livre et les travaux remarquables du Dr Mohammed Ali Al Bayati), MST, exposition au sperme (par réception passive qui provoque la séroconversion dans une majorité des cas chez les homosexuels), alimentation industrielle, etc… Et chez les personnes hétérosexuelles des pays du Sud : malnutrition, dénutrition et parasitoses.
Je salue la mémoire de l’exceptionnelle et délicieuse Eleni Papadopulos-Eleopulos, qui nous a, hélas, quitté il y a peu, brusquement et qui nous manque énormément.
Tout cela est bien passionnant Pascal, pourquoi ne pas nous proposer un article sur ce sujet?
Voici comment ont été fabriquées les informations génétiques sur le VIH…
En dépit de ce déplorable état de chose, la majorité des chercheurs qui travaillent sur le SIDA persiste à croire à l’authenticité du VIH parce qu’une de ses supposées séquences génétiques a déjà été publiée. De plus, il existe maintenant des procédés génétiques qui, à la différence des tests aux anti-corps, essayent d’identifier plus ou moins immédiatement la présence du VIH sans attendre les semaines nécessaires à la formation des anti-corps. Le fait que les tests génétiques (PCR) (22) ne donnent pas le même résultat que les tests de détection des anti-corps est tout simplement ignoré.
Puisqu’aucun virus n’a été isolé, il s’ensuit qu’il n’a pas non plus été possible d’en isoler l’acide nucléique. On décrit, dans la littérature scientifique, des processus compliqués à l’issue desquels on produit quelque chose qu’on appelle acide nucléique du VIH. (23)
22 : Le peu de confiance placée dans la validité de ces tests est évident lorsqu’on lit les mises en garde de la notice qui accompagnent l’un d’eux :
« Le test Amplicor VIH-1 PCR a été testé seulement à l’aide de spécimens de sang intégral. Ses performances en présence d’autres spécimens n’ont pas été évaluées et pourraient fournir des résultats faussement positifs ou faussement négatifs…
La détection du VIH-1 peut dépendre de la quantité d’ADN proviral du spécimen. Les méthodes de collecte du spécimen et les facteurs propres au patient tels que l’âge, l’état sanitaire, les facteurs de risques, etc. peuvent affecter les performances du test. Comme pour tout autre test de détection visant à établir un diagnostic, les résultats de l’Amplicor VIH-1 doivent être interprétés en tenant compte des informations cliniques et des données obtenues en laboratoire. »
Le lecteur comprendra plus loin pourquoi ce test a recours à des spécimens de sang intégral de préférence au sérum, d’autant plus que le but de ce test est de détecter des particules virales transmissibles qui ne devraient aucunement être affectées par la présence ou l’absence de cellules sanguines. Ceci est d’autant plus significatif qu’un des facteurs majeurs de transmission du VIH est censé être le Facteur 8 administré aux hémophiles et que ce Facteur 8 ne comporte pas de cellules sanguines. Une telle déclaration implique qu’il serait impossible de détecter l’ADN « viral » en l’absence de cellules sanguines !
…dans une éprouvette
On peut, nous dit-on, fabriquer des « litres » de VIH et de son ADN (24), mais dans des conditions pour le moins surprenantes. On permet, entre autres, l’usage d’extraits de plantes et autres produits chimiques oxydants, agents qui ne pourraient exister in vivo. Les lignées de cellules immortalisées (puis brevetées) par les équipes de Mrs Montagnier et Gallo sont co-cultivées avec des cellules humaines ou de leurs extraits. Le processus terminé, on n’obtient pas le VIH lui-même ; on démontre simplement la présence d’une activité de transcriptase d’inversion, dont on tient pour acquis qu’elle signale l’existence d’ADN qui « doit » être d’origine virale.
La véritable explication du phénomène est la suivante. Dans ce mélange de cultures de cellules et de cellules humaines altérées (stressed), on trouve de grandes quantités d’ARN et de transcriptase d’inversion, car ces cellules ont été tout spécialement sélectionnées et traitées pour réagir ainsi. L’ARN est transcodé en ADN par la transcriptase d’inversion. On obtient alors de longs fragments d’ADN que l’on appelle « ADN viral ». Il s’agit en fait de fragments, sans rapport les uns avec les autres, de cellules d’ARN exprimés (expressed), transcodés en ADN et reliés les uns aux autres par un procédé du nom de « template switching » (une des caractéristiques bien connues de la transcriptase d’ inversion).(25) Le chercheur moyen ne manqua pas de croire à tort qu’il avait vraiment fabriqué de l’ADN viral.
On dit que cet ADN linéaire est la forme libre ou non intégrée du VIH, et même que c’est là une des singularités du VIH, parce qu’une telle quantité d’ADN linéaire libre n’a jamais été détectée dans aucun autre modèle de rétrovirus.
…et par un processus de sélection
A ce stade, ces fragments d’ADN sont par ailleurs plus courts ou plus longs que la norme « exacte » du VIH. Il faut donc sélectionner des fragments de la taille « exacte », sans quoi cette préparation censée être d’ADN spécifique n’est qu’un magma de fragments de tailles différentes ; ce qui transgresse une des lois fondamentales de la virologie, à savoir que tous les acides nucléiques d’un même virus doivent être de dimensions identiques.
…et par un processus de détection
Ces fragments d’ADN artificiellement sélectionnés pour présenter des dimensions identiques, ne sont pas encore conformes. Il s’agit, à ce stade de l’opération, d’une mixture de toutes sortes de fragments d’ARN transcodés en ADN et qui ne présentent pas un ADN viral de modèle unique spécifique.
Il faut alors avoir recours à un procédé de détection (qui évoque une serrure à combinaison), procédé que l’on appelle « hybridation »(hybridisation). Procédé au cours duquel des fragments d’ADN sont détectés par une espèce de sonde (probe) qui les collecte grâce à sa forme présélectionnée en fonction de la forme du morceau d’ADN que l’on désire trouver.
…en choisissant une sonde sur mesure
Puisqu’il n’existe aucun ADN provenant réellement du VIH avec lequel il serait possible de procéder à l’hybridation de la mixture d’ADN, Mrs Montagnier et Gallo utilisent simplement des séquences (stretches) de l’ADN qu’ils ont prétendu être spécifiques au VLTH-I (un rétrovirus dont Mr Gallo avait auparavant prétendu avoir découvert l’existence) et qui leur a paru convenir pour cette hybridation. L’ADN ainsi détecté fut dupliqué ; certaines séquences (stretches) en furent clonées et déclarées être de l’ADN de VLTH-I (baptisé plus tard VIH).
Pour résumer : le but de cet exercice est la culture du VIH ; mais le résultat réel est une mixture de fragments de différentes longueurs d’ADN (ce qui va à l’encontre de la loi virologique des dimensions identiques), et n’est en aucun cas une culture de virus. On nous soutient ensuite que l’ADN « exact » a été préparé en isolant certains fragments de cette mixture hétérogène par un processus d’hybridation à l’aide d’une sonde (probe) d’ADN VLTH-I dont la séquence est connue et définie comme étant semblable à celle du VIH. Il n’en reste pas moins que dans une préparation véritablement correcte, on ne devrait trouver aucun fragment non hybridant d’ADN. Donc, le fait que l’on trouve ces fragments, prouve que c’est un véritable pot-pourri de fragments d’ADN sans aucune indication de l’origine des différents composants de la mixture.
Il s’ensuit que l’ADN du « VIH » n’est qu’une fabrication de laboratoire selon des directives préconçues sur ce que « doit » être l’ADN d’un virus. Et personne ne semble se soucier du fait que le virus même ne puisse pas être reproduit, qans quelques conditions expérimentales que ce soient.
L’ADN du VIH cloné par Montagnier et Gallo
On ne peut manquer de s’étonner que personne n’ait depuis longtemps songé à repérer la faille dans les techniques employées par les équipes de Mrs Montagnier et Gallo. Après avoir assumé que quelques fragments d’ADN sont spécifiques du VIH, chaque chercheur a travaillé avec seulement quelques séquences clonées très courtes (jamais sur des fragments entiers), en assumant logiquement que les caractéristiques originales avaient été convenablement reproduites. Si on se souvient du processus d’identification et d’isolation que nous venons de décrire, il s’ensuit qu’en réalité chacune des séquences proposées à l’étude diffère des autres, ce que chaque chercheur n’a pas manqué d’interpréter à tort comme une preuve de la légendaire capacité de mutation de la part du VIH. Une simulation d’arbre phylogénétique a alors été mise au point sur ordinateur et n’a pas manqué de prouver exactement ce que son concepteur cherchait à établir.(26)
Documents courts 1er octobre 1985
Anticorps transitoire contre le virus associé à la lymphadénopathie/le virus T-lymphotrope humain de type III et les anomalies des lymphocytes T chez la femme d’un homme qui a développé le syndrome d’immunodéficience acquise
HAROLD BURGER, Ph. DMD, BARBARA WEISER, M.D., WILLIAM S. ROBINSON, M.D., … Voir plus
Informations sur l’auteur, l’article et la divulgation
https://doi.org/10.7326/0003-4819-103-4-545
PDF
Outils
Partager
Abstrait
Nous présentons des preuves de la transmission du virus associé à la lymphadénopathie (LAV)/virus T-lymphotrope humain de type III (HTLV-III) d’un homme à sa femme, et d’un retour à un nombre normal de lymphocytes T auxiliaires et d’une perte d’anticorps après l’arrêt de l’exposition sexuelle au LAV/HTLV-III. L’homme souffrait d’hémophilie A et a développé le syndrome de lymphadénopathie, des anticorps anti-LAV et un faible nombre de lymphocytes T auxiliaires. Sa femme, qui n’avait aucun risque pour le syndrome d’immunodéficience acquise autre que le contact sexuel avec lui, a développé des anticorps LAV (titre, 1: 160) et un nombre légèrement diminué de cellules T auxiliaires. Le mari a par la suite développé le syndrome et a perdu l’anticorps LAV. Pendant 10 mois de suivi, sa femme est restée cliniquement en bonne santé, a interrompu l’exposition au sperme, puis a perdu l’anticorps LAV et a retrouvé un nombre normal de cellules T auxiliaires. https://www.acpjournals.org/doi/pdf/10.7326/0003-4819-103-4-545
Qu’est-ce qui est vrai ?
Le professeur Peter Duesberg (Université de Californie à Berkeley) a été celui qui a fait le plus de bruit en manifestant que le HIV ne serait pas la cause du sida. Il fut bientôt suivi par le professeur Robert Root Bernstein dont le livre, Rethinking AIDS (repenser le sida), est une démonstration dévastatrice des intrigues politiques et pseudo-scientifiques tournant autour du sida.
Le débat a été illustré par Neville Hodgkinson, correspondant scientifique du Sunday Times (Royaume-Uni), dont l’article du 3 avril 1994, « la Conspiration du Silence », met en lumière le scepticisme scientifique en ce qui concerne le mythe HIV = sida.
Voici quelques citations de témoins :
« Le dogme selon lequel le virus HIV cause le sida représente l’escroquerie la plus gigantesque et peut-être la plus moralement destructrice qui ait jamais été perpétrée sur de jeunes hommes et femmes ». – Charles Thomas, ancien professeur de biochimie à Harvard.
« La façon dont on applique la théorie du HIV est infalsifiable et donc inutile en tant qu’hypothèse médicale. Le sida est le résultat d’un énorme degré d’exposition à des virus et des bactéries humaines ». – Dr Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993.
« De nombreuses personnes atteintes du sida n’ont pas le virus HIV, et un grand nombre de personnes présentant le virus HIV ne déclarent pas le sida. L’hypothèse HIV+sida est beaucoup trop simple. Une alternative plausible, des causes testables… devraient faire partie de la recherche ordinaire sur le sida ». – Dr Hank Loman, professeur de chimie biophysique, Université Libre d’Amsterdam.
« On voit s’accumuler de plus en plus rapidement les preuves du fait que la théorie initiale du virus HIV n’est pas exacte. Celui-ci n’est pas suffisant pour causer la maladie ». – Dr Steven Jonas, professeur de médecine préventive, Université de l’Etat de New-York. (Source : Int’l Journal of Alternative and Complementary Medicine, Août 94)
2. Mais alors, qu’est-ce que le sida ?
Si le virus HIV n’est pas la cause du sida, qu’est-elle ? Du point de vue de Peter Duesberg, « vingt-cinq maladies déjà connues auparavant mais presque entièrement non-reliées entre elles ont été redéfinies comme étant le sida, du moment qu’elles se déclarent en la présence du virus HIV ». (Pharmacology and Therapeutics , 1992, 55:201-77). En d’autres termes, si vous avez la tuberculose sans avoir fait un test ELISA, vous avez la tuberculose. Mais si la tuberculose est diagnostiquée en même temps qu’un test HIV positif, vous avez le sida.
Selon le point de vue hérétique, l’effondrement immunitaire sévère constaté dans le sida déclaré n’est pas causé par un microbe, mais par une variété de facteurs séparés de modes de vie à risque spécifiques à certains groupes à haut risque dont la santé est compromise bien avant la déclaration de la maladie. Le lien commun, selon Eleni Eleopoulos, est que ce sont tous des agents d’oxydation – c’est-à-dire qu’ils provoquent des « feux » indésidables dans les cellules, comme fait le cancer. De telles insultes au corps ne causent l’effondrement immunitaire qu’au bout d’un temps assez long, de même que le fait de fumer des cigarettes met des années à produire un cancer.
La croyance principale est que le syndrôme immuno-dépresseur est causé par un certain nombre de faits suivants :
* Chez les hommes homosexuels, le fait d’avoir un nombre élevé de partenaires et d’assumer le pôle réceptif dans la pénétration anale, ainsi que de s’exposer à certaines drogues comme les nitrites. Selon Eleni Eleopoulos, de nombreuses études démontrent que l’immuno-suppression apparaît plus souvent chez les récepteurs de sperme par l’anus (c’est-à-dire les partenaires passifs), et non pas chez leurs partenaires donneurs. De plus, des études chez l’animal démontrent de façon concluante que le sperme est très fortement immuno-suppresseur s’il migre dans les cellules générales du corps. Ceci est possible surtout dans la sexualité anale puisque, contrairement au vagin dont la paroi épaisse rend impossible le passage de la semence dans le sang, le rectum n’est séparé du flux sanguin et du système lymphatique que par un mince mur cellulaire, aisément traversé lors d’un acte sexuel anal. (Medical Hypotheses, 1988, 25:151-62).
* Chez les hémophiles, non seulement l’état de ces malades lui-même, mais aussi des impuretés présentes dans l’agent coagulant appelé Facteur VIII. Dans une étude, on constata qu’un plus grand nombre d’hémophiles non infectés par l’HIV avaient contracté des maladies reliées au sida que ceux qui étaient séropositifs confirmés. (Gomperts E.D., de Biasi R. and De Vreker R., « The Impact of Clotting Factor Concentrates on the Immune System in Individuals with Hemophilia « , Baxter Healthcare Corporation, Hyland Division, Glendale, California, 1991).
* Chez les usagers de de dérivés opiacés par intraveineuse, l’effet immuno-suppresseur des drogues, lequel est connu depuis les années 1970.
* Chez les récipiendaires de transfusions, les produits sanguins et la transfusion elle-même, dont l’effet immuno-suppresseur est connu, en particulier en cas d’usage de sang irradié. Une étude a démontré que plus le patient reçoit de sang, plus son nombre de cellules-T diminue. (British Journal of Hematology, 1985, 59-713).
* Chez les bébés nés d’une mère séropositive, l’accoutumance aux drogues ou les effets de cette accoutumance chez la mère. Les trois quarts des bébés américains atteints du sida sont nés de « mères à crack », dit Duesberg. D’autres bébés du sida sont des récipiendaires de transfusions ou des hémophiles.
* Chez les Africains, la malnutrition et la sexualité anale largement pratiquée par les hétérosexuels. Le sida est un nom pour de vieilles maladies indigènes. De plus, ce que nous appelons « l’épidémie du sida » pourrait résulter d’une inadéquation sauvage du test sida en Afrique, où des milliers de gens porteurs d’anticorps multiples apparaissent séropositifs lors du test ELISA. Contrairement aux cas de sida américains et européens, le sida africain n’apparaît pas chez les homosexuels, les drogués ni les hémophiles.
* Chez tous les malades atteints du sida, la prophylaxie par des drogues telles que l’AZT, qui provoque l’anémie et la baisse de la numération des cellules, causant le « sida sur ordonnance », selon Duesberg.
3. Les maladies qui définissent le sida
Le sida est généralement caractérisé par un grand nombre de maladies « opportunistes », qui peuvent devenir actives dans un corps dont le système immunitaire a été sérieusement endommagé. Ceci inclus la pneumonie à pneumocystis carinii (PCP) et la candidose (toutes deux causées par des champignons parasites présents chez tous les humains), la tuberculose, la toxoplasmose, la cytomegalovirose et l’herpès. De plus, les malades atteints du sida peuvent souffrir d’autres troubles non causés par l’immuno-déficience, parmi lesquels le lymphome et le sarcome de Kaposi (deux formes de cancer), la démence etc. Si le sida est provoqué par un virus, il a une étrange tendance à causer dans certains groupes certains types de maladies. Par exemple, Duesberg souligne les faits suivants :
* Les homosexuels américains contractent le sarcome de Kaposi vingt fois plus souvent que tous les autres patients américains atteints du sida. Par contre, moins d’un pour cent des hémophiles et des Africains contractent cette maladie. Des études ont relié le sarcome de Kaposi à la sexualité anale et aux « poppers », c’est-à-dire l’amyl-nitrite.
* Les usagers de drogues par intraveineuse ont tendance à avoir la tuberculose.
* Les utilisateurs du « crack » attrapent la pneumonie, en plus de la tuberculose.
* Les hémophiles favorisent des infections opportunistes, dont les trois-quarts sont à champignons, en plus de la pneumonie virale.
* Les bébés du sida ont des maladies bactériennes et la démence.
* Quatre-vingt dix pour cent des malades africains atteints du sida, hommes et femmes en nombre égal contrairement à ce qui se passe en Occident, attrapent des fièvres, la diarrhée, la tuberculose et la « maladie de la maigreur » – maladies depuis longtemps établies sur ce continent. Les Africains n’ont pas la pneumonie PCP et la candidose, bien que ces parasites existent chez tous les humains y compris les Africains.
4. La cellule kamikaze
Ainsi que Duesberg et Eleopoulos le font remarquer, le virus HIV est l’un des cent ou cent-cinquante rétrovirus présents à l’état de latence chez les humains, tous ayant la même structure génétique. Au début des années 1980, Robert Gallo de l’Institut Américain du Cancer ainsi que Luc Montagnier de l’Institut Pasteur ont tous les deux isolé un rétrovirus présent chez des patients homosexuels que l’on croyait atteints du sida. Selon la théorie Gallo-Montagnier initiale, ce rétrovirus est un virus dont le propre ARN (code génétique court qui enseigne à chaque cellule la manière de se reproduire) est transmué par une enzyme particulière (la transcriptase inverse) en ADN, dont la longue hélice double porte le code de l’information cellulaire complète. Selon les théoriciens de la cause unique, le virus HIV peut « s’introduire par effraction » dans une cellule-T du système immunitaire et s’attacher à l’ADN de la cellule, dont il se nourrit. Lors de la réplication de la cellule, le virus procède également à sa réplication. Lorsque le patient est atteint du sida pleinement déclaré, on suppose que le virus a alors complètement dévoré ces cellules, laissant le corps complètement démuni face à n’importe quelle espèce de maladie.
Au vu des trous géants que comporte cette théorie, les « révisionistes » du sida, parmi lesquels le co-découvreur Montagnier, ont tenté de sauver l’hypothèse HIV grâce à la proposition selon laquelle le virus HIV a besoin d’un certain nombre de co-facteurs, tels que le mycoplasme et autres virus, pour induire la mort de la cellule. Ou bien, fait unique dans l’histoire de la maladie infectieuse, le HIV peut forcer le système immunitaire à réagir contre lui-même ou à se suicider.
Duesberg souligne que de nombreux rétrovirus existent dans toutes les cellules à la manière du HIV, et non pas simplement dans quelques unes d’entre elles. Et la plupart des groupes à risques du sida ont un grand nombre d’anticorps à de nombreux parasites humains qu’ils ont accumulés au cours de comportements à haut risque (tels que l’usage de drogues), de transfusions sanguines ou d’intense promiscuité. Duesberg et Eleni Eleopoulos considèrent le virus HIV comme un « innocent passager microbien » sans distinction particulière. Par conséquent, même transmis périnatalement aux bébés, il serait sans danger.
Source : NEXUS , oct-nov 1994, repris de « What doctors don’t tell you » (vol.5, n 4, 1994), 4 Wallace Road, London, N1 2PG, UK. Traduction en français : Mona Bossy
Chère nad,
Il y a une différence fondamentale entre la conception d’Eleni Papadopoulos-Eleopoulos alias le Groupe de Perth d’Australie Occidentale et Peter Duesberg quant au « VIH ».
Contrairement à ce que vous écrivez, le Groupe de Perth n’a jamais considéré comme Duesberg le « VIH » comme un virus passager et anodin.
Pour EPE, le « VIH » n’a AUCUNE existence ni en tant que virus mortel et exogène de la déficience immunitaire humaine qui lui ferait au moins mériter son acronyme, ni en tant que virus parfaitement non létal, non pathogène et non toxique donc toujours anodin mais également – exogène – et passager clandestin de l’hôte et dont l’acronyme dans ce cas là ne voudrait plus rien dire du tout de toute façon.
Pour le Groupe de Perth le « VIH » n’est rien d’autre qu’une particule ENDOGENE, certes anodine, excrétée par nos propres cellules sous l’effet d’un stress oxydatif… C’est le SIDA qui est la cause du « VIH » et non l’inverse… Il ne peut donc dans ce cas pas venir d’une contamination et donc de l’extérieur du corps.
La purification du « VIH » en 1994 par deux équipes dans le monde, comme par hasard une, américaine et une autre, franco-allemande, a conduit pour la première fois au monde à l’isolement du « VIH » mais monstrueux par leur taille et leur volume et en plus totalement différent entre celui des Etats-Unis et celui de l’Allemagne. Le « VIH » franco-allemand était déjà surdimensionné par rapport au « VIH » établi mais le « VIH » américain était – lui – littéralement OBESE (!) par rapport au « VIH » d’outre-rhin : rien à voir avec un véritable virus transmissible exogène, anodin ou pas, mais toujours réplicable sans modification, sans changer de forme, de nature ou de taille… rien à voir du tout en fait avec un vrai virus. Les élecromicroscopistes américains avaient d’ailleurs finit par conclure malgré tous les efforts de l’équipe américaine (sous la direction de Gallo, je crois…) que la tentative de purification et d’isolement du « VIH » :
(et qui aurait dû être réalisée en tant et en heure 14 ANS plus tôt en réalité par Gallo et Montagnier à leur époque et AVANT de clamer à la découverte pour l’un d’un nouveau virus associé à une lymphadénopathie – mais association n’est pas causalité et sur ce coup là Montagnier s’est montré très prudent – et pour l’autre carrément à la découverte de la cause (PROBABLE !) du SIDA soit du 2 en 1 comme le shampooing et l’après-shampooing dans un même flacon, Gallo sous-entendant qu’il avait aussi EN PLUS prouvé que le virus qu’il sous-entendait d’abord avoir aussi découvert, était la cause du SIDA, comme si l’un entrainait de facto l’autre)
n’avait abouti qu’à la découverte de débris cellulaires variés mais rigoureusement d’aucune trace de « VIH » tel que définit par les découvertes autoproclamées de Gallo en 1984 ou de Montagnier en 1983 et sans que cela soit bien évidemment clamé sur les toits du monde entier en 1994 par les tenants orthodoxes de la théorie « VIH »…
C’est très moyennement clair…
chère nad,
La théorie du Mycoplasme de Montagnier n’est intervenue QUE grâce à un événement dont très peu de gens connaissent l’existence ou se rappellent :
Un canadien avait réussi via un journal dépendant de l’Institut Pasteur à faire débattre Duesberg et Montagnier par lettres interposées moyennant un nombre de caractères préétablis. Chacune des 2 parties s’étant engagée à fournir au journal la réponse qui lui convenait et Duesberg ayant été choisi pour commencer le débat. Le journal de l’IP, ayant fournit la lettre de Duesberg à Montagnier AVANT de publier et ne voyant toujours RIEN venir de Montagnier invoquant mille raisons pour retarder sa réponse, en réalité ne trouvant strictement RIEN à opposer aux arguments béton de Duesberg, s’est finalement résigné à ne publier QUE ce qu’il avait reçu… soit la lettre de Duesberg uniquement.
Entre temps, l’hypothèse (invalide en réalité) du mycoplasme comme co-facteur du « VIH » était la stratégie inventée par Montagnier et érigée en tentative pour contrer les arguments impossibles à démonter de Peter Duesberg.
Quelques temps après, comme par hasard, lors d’un congrès (mais sans avoir toujours répondu à la lettre de Duesberg) Montagnier présenta sa théorie du co-facteur (au grand dam des orthodoxes pur et dur du « VIH » présents au Congrès et qui ont ruiné depuis la carrière de Montagnier pour cette raison) qu’un scientifique d’origine asiatique avait découvert quelque temps avant (et lui faisant ainsi une bonne publicité pour sa découverte et sa théorie).
Au cours de sa présentation, Montagnier ne s’est pas dérangé pour faire siens quelques arguments présentés par Duesberg dans sa lettre qui lui avait été adressée, mais sans JAMAIS mentionner son auteur fort malhonnêtement.
La théorie du Mycoplasme était l’outil parfait pour Montagnier pour tergiverser indéfiniment entre les pro-« VIH » et les dissidents au gré de la reconnaissance par l’establishment du SIDA ou pas.
Chère nad,
EPE ne considère pas le « VIH » comme un innocent – passager – microbien à l’instar de Duesberg : c’est la grande et unique différence entre Duesberg et le Groupe de Perth qu’elle dirige : elle ne le considère pas comme un virus bénin exogène, pour elle : le « VIH » en tant que particule exogène et donc transmissible et qu’elle soit bénigne ou pas n’existe tout simplement pas. Elle démontre au contraire que ce qui est pris – à tort – pour du « VIH » n’est pas autre chose qu’une particule exprimée par la cellule malade elle-même (et donc de nature complètement et exclusivement endogène) fabriquée et excrétée à cause du stress oxydatif auquel est soumise la cellule. C’est donc le SIDA qui cause le « VIH » et pas le « VIH » qui cause le SIDA. Mais cette particule n’est pas transmissible, ne se réplique pas et n’est donc pas exogène (ou bien passagère selon Peter Duesberg) dans le sens où on peut en être contaminé. Sans oublier la contradiction dans les termes : si le « VIH » est parfaitement inoffensif, alors il ne peut pas être le virus de l’immunodéficience humaine…
Pour Peter Duesberg uniquement, c’est un virus bénin passager (pour lui le « VIH » existe en tant que virus mais il est totalement inoffensif), pour Eleni Papadopulos-Eleopulos au contraire, il n’existe même pas : ce sont juste des particules endogènes (d’ailleurs totalement différentes en terme de taille et de forme) exprimées par les cellules malades sous l’effet d’un stress oxydatif…
En 1994, la tentative unique et première de purification du « VIH » en provenance de la bande 1.6 dans les équipes américaine et franco-allemande s’est soldée par un échec patent et retentissant de l’aveu même de tous les protagonistes : ils ont trouvé uniquement des débris cellulaires sans l’ombre d’un commencement d’un début de « VIH » véritable et avec un « VIH » américain littéralement obèse par rapport aux particules trouvées dans l’échantillon allemand déjà exagérément, anormalement grandes…
D’abord merci à nad pour ses interventions très documentées et riches mais qui ne sont pas dans mon champ de compétence. Il y a un fait très surprenant dans toute cette controverse sur le sida et ses origines :
D’une part, au symposium de Londres, les 10-11 septembre 2000, toute la stratégie organisée contre Hooper et ses recherches était de montrer que le vaccin de Koprowski n’avait pas été produit sur chimpanzé.
D’autre part j’avais reçu par la poste la traduction (110 pages) de l’analyse que Peter Duesberg faisait du sida « La contraction du sida par toxicomanie et autres facteurs de risque non contagieux ». C’était le 10 juin 1996 soit 4 ans auparavant.
Bien sûr que les protagonistes du symposium, plus de 4 ans plus tard, étaient au courant des travaux de Duesberg. Pourquoi n’ont ils pas utilisé ses arguments pour montrer que même si le vaccin Koprowski avait été cultivé sur chimpanzé (ce qui est une certitude), il ne pouvait y avoir de lien avec le sida ? Au lieu de cela ils ont préféré maintenir la thèse de la contamination par un VIS mutant en VIH après être passé chez l’homme tout en se compromettant très gravement, ce dont ils ne pouvaient pas ne pas avoir conscience. Il y avait là une prise de risque et donc un comportement pour le moins étonnant mais qui correspond certainement à quelque chose de très important.
Si sida et VIH ne sont pas liés, ou que rarement, pourquoi agir ainsi ? Le vaccin de Koprowski pourrait avoir été à l’origine d’une épidémie de VIH mais pas pour autant du sida.
Et si c’était cette vaccination, par elle-même, qui avait provoqué cette immunodéficience mise en évidence par les tests Elisa ? Après avoir étudié l’importance des peroxynitrites dans l’apoptose par exemple, dans la destruction du glutathion également, dans les thromboses, on peut se demander raisonnablement si ce n’est pas leur excès, provoqué par la réaction inflammatoire liée au vaccin, et/ou à de nombreux composés chimiques qui en sont les promoteurs, qui a provoqué le sida, plutôt qu’un virus. Et que les anticorps qui apparaissent leur seraient directement liés.
Il est intéressant de voir par exemple que l’AZT comporte une structure oxydante pouvant fournir des peroxynitrites, alors que la lamivudine comporte une structure réductrice capable de les détruire. Or l’introduction de la lamivudine (ou de l’emtricitabine) en 1996 a pratiquement fait disparaître la forte mortalité qu’on voyait dans les années 90.
Oh! la belle piste!
Koprowski, en raison de ses origines polonaises avait réalisé une grande campagne de vaccination avec son vaccin expérimental produit sur macaques. Il n’a pas été observé de cas de sida.
De même, Sabin qui était d’origine russe, avait réalisé une campagne avec son vaccin sur 6 millions de soviétiques. Il n’avait pas non plus été observé de cas de sida.
Ces 2 points sont précisés dans le documentaire.
Je voudrais rappeler ce fait datant de 1957-58 mais qui est aujourd’hui d’une actualité brûlante : cette campagne de vaccination obligatoire sur plus d’un million de Congolais avec un vaccin expérimental contre la polio, vaccin produit sur place, il n’y a aucun doute à avoir sur ce point, sur rein de chimpanzé cultivé dans un extrait du sang de ces singes.
Il y a avis là un gros risque de transmettre à l’homme des virus du singe et cela est une certitude pour le vaccin polio de Sabin avec au moins le SV 40.
A l’époque, l’OMS avait très vigoureusement condamné ces expérimentations qu’elles jugeaient dangereuses comme l’atteste le document montré dans le documentaire réalisé par 5 télévisions dont France 2.
Malgré la réaction ponctuelle et honorable de l’OMS à l’époque, conduire de telles expérimentations sur des Africains n’a pas provoqué le tollé général qui aurait du être. Aujourd’hui, des expérimentations sont conduites avec le plein accord des autorités, non pas sur un 1 million d’Africains, mais sur des centaines de millions d’Occidentaux, en Amérique, en Europe, en Australie, en Israël …Et ce avec la complaisance des médias, la passivité des populations et la violence, au moins verbale mais lourde de menaces et ce au plus haut niveau de l’Etat, à l’encontre des résistants.
Au Congo belge, il y a 64 ans, ceux qui ne se présentaient pas pour recevoir le vaccin expérimental étaient signalés et le chef du village savait les retrouver selon le témoignage d’une Congolaise qui avait vécu cette époque.
Pourtant, il y a le vieux proverbe bien connu : « Qui fait une expérience médicale sur un Africain, expérimente sur le monde entier ! »
Ce pourrait être là la leçon principale à retenir de cette campagne avec le vaccin Koprowski. J’avais pris une précaution oratoire en précisant que je n’avais pas l’intention de discourir sur l’origine du sida car j’avais vu que l’affaire Koprowski contenait d’autres enseignements que cela, aussi important que cette question puisse être. J’avais aussi vu que cette fameuse question sur l’origine du sida était le meilleur moyen pour détourner l’attention des autres aspects très importants de cette affaire. Dans la rédaction de cet article j’avais tout fait, je pense, pour tenter d’éviter ce détournement d’attention. Le moins que l’on puisse dire est que j’ai complètement échoué !
Aucun échec cher Bernard, au contraire, toutes les facettes de cette histoires sont importantes, merci à toi de t’y être intéressé pour nous +++.
Dr Vincent Reliquet,
Pourquoi vous obstinez-vous à réclamer un article à chacun de mes commentaires alors que je n’ai pas vocation à discuter avec vous ?
Vous prétendez que le monde est prêt à revoir le SIDA sous un autre angle ?
C’est une plaisanterie douteuse qui ne vous honore pas.
Tout à déjà été dit et écrit sur le « VIH »/SIDA en quarante années d’endémie par tous les plus brillants dissidents de la théorie virale.
Il vous suffit sans moi de plonger dans la littérature pléthorique sur le sujet.
Malhuret, sénateur, ex-maire de Vichy, médecin à la botte de Big Pharma, ministre de la santé sous Macron
https://resistance71.wordpress.com/2022/04/22/malhuret-senateur-ex-maire-de-vichy-medecin-a-la-botte-de-big-pharma-ministre-de-la-sante-sous-macron/
On va regretter le précédent, garanti sur facture.
regretter un débile mental ?
compliqué
Haut les coeurs, Vincent ! Si ce n’est pas un « faux » c’est jouissif:
une nouvelle qui me réjouit :
https://vk.com/gjbretagne?w=wall-176246656_68726 : Marine en tête partout en Outre Mer
En Outre mer plus intelligents que nous …
C’est trop beau pour être vrai mais..; Malhuret le Mal Luné aux oubliettes, et le Véreux on tire la chasse…
C’est pas un faux Inox, des confrères DOM TOM nous renvoient des résultats identiques. A la Martinique le Préfet a interdit le placardage public des résultats
Tant qu’on vote encore en France métropolitaine, c’est normal que les résultats ne puissent être sur la place publique
Voici qui pourrait confirmer ce que j’écrivais juste au dessus, ce jour même, que l’essentiel de cette « affaire Koprowski » pourrait être qu’elle illustre qu’on ne devrait jamais se permettre d’expérimenter ainsi sur des populations humaines. C’est ce qui se déroule sous nos yeux depuis décembre 2020 avec l’acceptation passive des populations et la complaisance des médias.
Voilà un article de « réseau international » qui relate l’inquiétude de le questionnement des pompiers allemands, pas seulement pour eux-mêmes soumis qu’ils sont à l’obligation vaccinale contre la covid mais aussi parce qu’ils sont constamment appelés pour secourir des victimes d’accidents cardiaques. Ceux-ci sont si nombreux que l’accroissement leur parait plus que significatif – il serait qualifié d’insensé – sans qu’il soit nécessaire de se livrer à des tests statistiques que d’ailleurs l’épidémiologie ne sait pas utiliser : « on devrait interdire aux médecins d’utiliser la statistique, ils font n’importe quoi avec » me disait en l’an 2000 un collègue statisticien alors qu’un autre collègue me disait à propos des statistiques médicales « Y’a des gens sérieux qui s’en occupent ! »
https://reseauinternational.net/une-hausse-insensee-du-nombre-de-crises-cardiaques-et-daccidents-vasculaires-cerebraux-incite-les-services-durgence-allemands-a-demander-la-suspension-de-la-prescription-du-va/
Je voudrais revenir sur les virus qui n’existent pas avec en particulier ce lien qui avait été donné plus haut et l’interprétions qui y est donnée.
http://wissenschafftplus.de/uploads/article/wissenschafftplus-l-erreur-d-interpretation-virus-1.pdf
Comment comprendre l’éradication de la variole avec les théories de cet article ?
Force est de constater qu’il ne se produit plus de cas de variole, c’est un fait indiscutable. IL est affirmé de la façon la plus officielle que deux virus ont été éradiqués, celui d cela variole majeure et celui de la variole mineure encore nommée d’un mot portugais alastrim.
J’aimerais comprendre.
On ne peut logiquement déduire que la disparition de la variole implique que celle ci était due à un virus
La théorie virale pasteurienne stipule que tout maladie semblant contagieuse est due à un microbe ;quand une bactérie n’est pas retrouvée ,on accuse un virus, sans preuve ,sans chercher une autre cause , comme une exposition commune à un pathogène externe,tel par exemple des champs electromagnétiques
Les grandes épidémies correspondent à de nouvelles surexpositions brutalesà l’electricité:
-electrification des villes
-telegraphe
-ondes radio (1918)
-radards
–satellites
-portables
-tempetes solaires
L’intensité des champs magnétiques a été multipliée par 2 millions ,au moins
l’arc en ciel invisible ,de Arthur Firstenberg
–
Je citais l’exemple de l’electricité pour la grippe et non pour la variole
Une information sur la variole,suggérant que la maladie est non immunisante
Alfred Wallace describes a study by Dr. Adolf Vogt, professor of Hygiene and Sanitary Statistics at the University of Berne, Switzerland. Vogt compile data on those who had contracted smallpox and their subsequent susceptibility to further smallpox episodes. He found that those who had one episode of smallpox were actually 63 percent more likely to suffer from a second episode as compared with those who had never had a case of
smallpox. Vogt concluded: “All this justifies our maintaining that the theory of immunity by a previous attack of smallpox, whether the natural disease or the disease produced artificially, must be relegated to the realm of
fiction.
Thomas S. Cowan – The Contagion Myth- (2020)
p 144
IL est reconnu 2 virus de la variole humaine : celui de la variole majeure, la plus dangereuse avec une fièvre à 40°, un état de prostration et celui de la variole mineure ou alastrim qui était beaucoup moins grave qui permettait aux malades de continuer à circuler et que l’on pouvait confondre avec la varicelle.
Il est aussi admis que le premier virus n’immunise pas contre le second et vice versa. Ce qui implique que l’on puisse faire au moins 2 fois la variole.
Un exemple célèbre : Louis XV l’avait faite une première fois et il mourut à la seconde. Il est possible que ce ne fut pas le même virus.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier ce que j’appelle les effets Buchwald constatés de très nombreuses fois : quand la vaccination avec un vaccin « à virus vivant ayant conservé la capacité de se répliquer » est appliquée au voisinage temporel de la contamination sauvage, le vacciné pourra faire une variole même s’il avait pu l’éviter grâce à une vaccination antérieure ou une variole antérieure et ce avec une forme aggravée de la maladie.
Ce phénomène, démontré expérimentalement sur des singes en 2008 (Earl), a eu pour conséquences une amplification des épidémies avec accroissement de la mortalité. J’ai étudié cela dans 3 articles AIMSIB que vous trouverez dans les archives (déc. 2019 ; mai et sept. 2020).
Il avait été constaté dès 1870 mais il fut écrasé par les experts officiels, c’est à dire ceux qui conseillent les autorités . Ils insistèrent pour recommander la vaccination systématique des contacts en France. 100 ans plus tard, il en ira de même pour pratiquer systématiquement et de façon très contraignante la vaccination des contacts au cours de la campagne d’éradication. Ainsi, en Inde il y eut 12 300 cas notifiés en 1970 puis 88 000 en 1973 puis 188 003 en 1974 avec disparition de la maladie en juin 1975. Ce résultat fut obtenu, sans aucun doute, par la recherche active des malades, leur isolement, l’identification des contacts et leur isolement. La vaccination systématique de ces contacts ne fit que retarder l’éradication et accroître de façon considérable le nombre de cas.
C’est clair, aucune des causes que vous avancez pour expliquer les épidémies, y compris l’électrification des villes et le télégraphe ne peuvent expliquer les épidémies de variole qui existaient depuis des siècles et qui se produisaient en 1970 dans des villages isolés de l’Inde, du Bangladesh ou de Somalie, dépourvus de ces dispositifs dont ils étaient très éloignés.
De plus le vaccin « à virus vivant ayant conservé la capacité de se répliquer » provoquait une pustule qui n’apparait plus après que le virus vaccinal ait été cultivé plus de 500 fois (de mémoire) sur embryon de poulet. Cela a donné la souche dite MVA (souche Ankara modifiée). Comment expliquer cette pustule comme sa non apparition à la suite de cette culture en série s’il faut exclure tout agent pathogène ? Qu’est ce qui se transforme dans le vaccin ainsi traité pour qu’il produise des effets très différents ?
On pourrait de même citer le BCG qui résultat de BK bovins cultivés 230 fois sur pomme de terre cuite dans de la bile de boeuf et qui n’avait plus les mêmes propriétés que le bacille originel. Cela avait été établi par le vétérinaire Camille Guérin sur des bovins qui étaient testés avec des BK virulents, certains vaccinés, d’autres pas et qui étaient autopsiés avec examen des organes.,
Plus actuel : https://twitter.com/TheVeto3/status/1517951535636004871@TheVeto3
1/18 CQFD Enfin une étude qui permet d’incriminer la spike vaccinale des vaccins à ARNm dans les lésions d’un organe. Ici, pour la 1ère fois, mise en évidence de la spike vaccinale dans une hépatite post-Moderna!
Faut lire la suite des tweets.
Article original :
https://www.journal-of-hepatology.eu/article/S0168-8278(22)00236-7/fulltextLetter to the Editor|Severe de novo liver injury after Moderna vaccination – not always autoimmune hepatitis
Par ailleurs, très belle analyse sur Covide Factuel :
https://www.covid-factuel.fr/2022/04/23/omicron-bientot-le-ba13/
Les 2 premiers liens renvoient à des pages qui n’existent pas … ou qui n’existent plus ! ?
Les textes sont chez Elsevier : https://www.clinicalkey.com/#!/content/playContent/1-s2.0-S0168827822002367?returnurl=null&referrer=null.
Ils sont maintenant « propriété privée », avec contrôle d’accès.
Autre adresse, avec résumé consultable et les références de nombreux articles similaires :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34717185/
Merci à tous
Cher Bernard, il n’est pas question d’attribuer à l’électrification la cause unique des maladies, pas plus qu’aux virus divers. La terre se maintient dans un champ électromagnétique (nom que nous attribuons à des phénomènes d’origine non accessible pour nous) à peu près stable, mais sujet à des cycles et quelquefois des hiatus. Les phénomènes courants comme les orages, les tremblements de terre et même la formation des nuages et de la pluie, sont des phénomènes d’ionisation, variables selon ce qui nous arrive du fond de l’univers…
Donc : évitons l’erreur méthodique d’atrribuer à une cause unique (celle qui nous apparaît à un moment donné de nos réflexions) les désordres que nous constatons. Ce que je dis concerne bien entendu la variole, et les « pestes » diverses, dont celle d’athènes, dont parle si bien Thucydide.
Néanmoins, l’extension des ondes radio et satellites émetteurs récepteurs ne peut que perturber le champ de base dont nous sommes faits.
Merci à tous
Thucydide Minna? Fichtre! :-)))
Thucydide n’est là que pour associer les épidémies à des désordres plus généraux, comme la guerre, la famine et autres circonstances non identifiées et hors des préoccupations de l’époque. Si cela vous gêne, oubliez !
Merci à tous
Au contraire, je vais m’enquérir!
Quel merveilleux exemple, Vincent ! La curiosité scientifique par excellence.
Merci Minna pour cette importante remarque. Tant de variables entrent en compte, en effet. Nous sommes soumis à tant d’éléments.
Un exemple, celui de Jeanne Rousseau, qui effectuait des mesures bio-électroniques de l’eau, ou plutôt de différentes eaux, quotidiennement quasiment. Elle constatait les fluctuations en fonction des influences dites « cosmiques », de la lune, du soleil, de la terre (cycle circadien).
Sachant que nous sommes en majorité composés d’eau, comment ne pas faire le lien avec nos réactions physiologiques, « lunatiques » sans aucun doute.
Pour ceux que çà intéresse, j’avais réuni toutes les informations trouvées sur Jeanne Rousseau sur le site de l’ABEV : https://www.votre-sante-naturelle.fr/association/historique-de-la-bio-%C3%A9lectronique-vincent/jeanne-rousseau/
« évitons l’erreur méthodique d’attribuer à une cause unique (celle qui nous apparaît à un moment donné de nos réflexions) les désordres que nous constatons. »
C’est bien de cela dont il s’agit dans le cas du sida et son lien avec telle ou telle vaccination. Des causes diverses qui se cumulent peuvent donner lieu à la positivation du test élisa. Comme ce test est à limite, une seule cause (par exemple la vaccination) ne suffit pas pour le positiver. Mais plusieurs causes provoquant le même phénomène peuvent se cumuler et positiver ce test.
Vous me direz avec raison que ces causes doivent tout de même, au final, intervenir avec un même mécanisme.
Pour moi, le point commun de toutes ces causes, ce sont les peroxynitrites, indispensables au bon fonctionnement cellulaire, mais dont l’excès est néfaste.
Ici, les réactions inflammatoires en fabriquent beaucoup, et l’impact de la vaccination en fait apparaître un peu plus. Mais en Afrique, s’y rajoutent diverses sources de peroxynitrites que sont les par exemple les antibiotiques nitrés (chloramphénicol, métronidazole, nitrofurantoïne,…), dans les pays occidentaux, ce seront par exemple les poppers (nitrites d’alkyle), du sang contenant de grandes quantités d’oxydants de ce type,…
Et pour moi, Jengi, ce sont les réactions des microzymas aux changements de leur environnement.
Chacun sa chapelle. Nous ne sommes pas que chimie !
Je suis à nouveau plongée dans des livres de et sur Béchamp.
Certains parlent déjà d’une « conspiration du silence » autour de ses travaux dès le départ.
S’il s’agit de microzymas ou d’autre chose, ce qui m’intéresse ce sont les processus biochimiques qui les font fonctionner. Et ça, ça n’intéresse pas grand monde.
Par exemple, quand on parle de macrophages, on parle d’entités biologiques qui « mangent » d’autres entités biologiques. Mais ça se passe comment ? Avec des dents ? C’est du moins le narratif pour les nuls. En fait, ce sont les productions biochimiques d’oxydants (hypochlorite, peroxynitrite,…) qui permettent cela.
Ca n’est pas que ça n’intéresse personne, c’est que personne ne comprend vraiment comment ça marche l’oxydation, d’ailleurs n’aurait-on pas pu appeler cette réaction une « ionisation négative »?
Cher Jengi, tout en admirant éperdument ton niveau de connaissances, je voudrais glisser (imbibé de lectures d’articles relatifs à l’amiante dans le corps) quelques idées admiratives sur les MACROPHAGES.
Bien entendu, je ne suis sûr de rien mais attends que l’on m’apporte des arguments contradictoires convaincants. Me rallierai aussitôt (car ne suis pas un ponte) par respect pour la démarche scientifique.
Je ne sais pas si les macrophages ont des dents mais ils constituent des cellules (alors que les lysosomes aux actions sans doute peroxydantes ne sont que des organites cellulaires). Ils semblent en conséquence connaître leur boulot au moins face aux fibrilles ‘alvéolaires’ [pouvant (si elles ont réussi à échapper au tapis mucociliaire) entrer dans l’alvéole pulmonaire grâce à une longueur inférieure à 5 µm] d’amiante.
Le macrophage, constatant qu’il ne réussit pas à réduire l’ennemi (absolument inattaquable par quoi que ce soit, spécialité amiante), change de tactique :
a) il l’enrobe d’un dépôt adoucissant ses dangereuses aspérités (c’est ce que l’on peut constater sur le résultat des désagréables lavages brocho-alvéolaires) ;
b) il l’attrape par le bras, et, quittant l’alvéole avec lui, l’entraîne en direction du système lymphatique. Ce faisant, le tandem provoque des fibroses évolutives (ne régressant jamais) sur le trajet mais le boulot d’éboueur (pas applaudi), c’est le boulot.
Catastrophe supplémentaire possible au franchissement des 3 types de séreuses (tellement leurs très minces feuillets sont contournés : la défense c’est la défense) : des fibrilles, ne pouvant prendre certains tournants, y restent fichées, occasionnant, par la répétition des des continuels mouvements blessants (poumon, cœur, boyaux), les 3 mésothéliomes spécifiques de l’amiante (et sans doutes des laines de roche dont tout le bâtiment se fout ou des laines de céramiques dont tous les labos de recherche se foutent).
Ne dramatisons pas trop quelques échecs : sans macrophages, serions tous des morts de l’amiante. Cherchons au contraire à supprimer l’exposition toxique, ce qui est tout à fait faisable et très simple.
« Le virus n’est -rien, le terrain est tout » disait Claude Bernard. Un virus arrivant sur un terrain donné pourra se cultiver plus ou moins bien voire pas du tout selon ce que sera ce terrain. Que ce terrain puisse être influencé par de multiples actions, dont les champs électromagnétiques, je n’en doute pas une seconde. J’en ai d’ailleurs souvent parlé ici.
Mais c’est quand même un « objet biologique », identifié ou non, qui va construire par exemple les pustules varioliques dans le cas de la variole ou la pustule vaccinale associée à son vaccin.
Car certains en étaient ici à nier l’existence même d’un tel agent biologique et à nier la transmission de cet agent, ce qui est une autre orientation que celle du rapport entre le terrain et un pathogène biologique.
Je possède un document de 500 pages datant de 1952 et relatant des conférences de très haut niveau sur les vaccins disponibles à l’époque (Centre international de l’Enfance). On y montre une photo d’un bébé atteint d’une vaccine généralisée, tout le corps étant couvert de pustules. Le bébé n’avait pas été vacciné contre la variole mais c’était sa mère qui s’était faite vaccinée et qui avait transmis le virus de la vaccine à son enfant. Une vaccine généralisée était mortelle une fois sur deux.
La « vaccine » étant la maladie transmise par la vaccination si je comprends bien, c’est le vaccin qui fabrique une autre maladie ? C’est entre autres pour ça que je qualifie la vaccination de « fausse bonne idée » dans un de mes commentaires précédents.
Je m’interroge toujours sur la notion d’objet biologique « non identifié » comme cause d’une maladie. Il est identifié ou il ne l’est pas et dans ce cas, la cause peut être n’importe quoi d’autre, qu’on ne voit pas ou qu’on ne veut pas voir.
Eclairez-moi, s’il vous plaît !
Merci à tous.
J’ai employé l’expression « objet biologique » pour ne pas dire virus puisqu’ils n’existeraient pas … ou bactéries.
Le vaccin antivariolique provenait à l’origine d’une pustule d’une vache atteinte de la variole de la vache, la vaccine. D’où le mot vaccin qui vient de vaca la vache en latin.
Comme cette vaccination était pratiquée par scarification et non par injection, la pustule vaccinale externe permettait la transmission par contact du bras de la maman vers son enfant.
La transmission par pustules est reconnue. Elle pouvait se produire quand on utilisait des vêtements ou des couvertures utilisées par des malades. C’est ainsi qu’on explique l’épidémie de variole à Vannes en 1954-55 : un légionnaire était revenu d’Indochine avec un pyjama que lui avait offert un habitant. Il aurait été porté par un varioleux et aurait contenu au moins une pustule de ce malade, permettant au virus de se maintenir « vivant ».
Pour la transmission par couvertures elle a pu jouer pendant la guerre de 1870. Quand un soldat mourrait de la variole, un autre s’emparait aussitôt de sa couverture.
Cependant, pendant la campagne d’éradication ce mode de transmission fut considéré comme exceptionnel. La plupart du temps, selon les rapports publiés sur le site de l’OMS, la transmission se faisait par l’air et à faible distance (moins de 2 mètres). Dans les hôpitaux européens, des importations de variole ont pu se répandre aussi par les systèmes de ventilation qui n’existaient pas dans les régions du monde où la variole était endémique.
Des maladies comme la variole, la rougeole, la tuberculose se manifestent par des phénomènes biologiques comme les pustules, les boutons, les tubercules. De telles manifestations sont générées par « un objet biologique ». C’est moi qui utilise cette expression pour ne pas utiliser le terme virus ou bactérie ou mycobactérie comme dans la tuberculose. Mais cette entité biologique a besoin, pour être active, de conditions externes comme la température, l’acidité etc. Il ne faut pas mélanger les conditions pour que le pathogène puisse passer à l’action avec la pathogène lui-même.
Bien sûr, s’il faut qu’il fasse très froid pour que le pathogène puisse s’activer on pourra dire que c’est le froid qui est la cause de la maladie et non le pathogène. Mais cela ne change rien au fait que c’est le pathogène et non le froid qui a crée les modifications biologiques constatées (pustules etc).
L’orage arrive, la fenêtre est ouverte, la moquette est mouillée. Quelle en est la cause ? L’orage ou le fait d’avoir laissé la fenêtre ouverte ? L’orage et la fenêtre laissée ouverte ne sont pas de même nature. Chacun joue un rôle par rapport à l’autre pour produire un effet.
Elle l’allaitait ?
Oui, Bernard, je comprends ta réaction et ton interprétation.
Mais quand tu dis :
« Mais c’est quand même un « objet biologique », identifié ou non, qui va construire par exemple les pustules varioliques dans le cas de la variole ou la pustule vaccinale associée à son vaccin. »
Je te réponds que cet « objet » est vivant et propre à l’individu, c’est un microzyma qui réagit à son environnement.
Le livre que je viens de lire d’Hector Grasset (1913) explique la difficulté de faire connaître les travaux de Béchamp à cause de leur ampleur et de la nécessité d’y consacrer du temps en plus de cette « conspiration du silence » qui ferme la voie qu’il avait si bien tracée pourtant.
Le livre est téléchargeable sur mon site sur lequel je complète régulièrement la bibliographie de Béchamp : https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/les-microzymas/
Ce n’est pas dit dans la chanson qu’elle l’allaitait mais le plus vraisemblable est le contact par la peau.
Mais alors, qu’est ce qui a changé dans l’environnement pour que les microzymas ne puissent plus provoquer la variole ?
Qu’est-ce qui a changé ? C’est Louis Claude Vincent qui répond : nos organismes se sont oxydés (mesure du sang veineux).
Et ils se sont TROP oxydés, cela nous entraine vers les maladies dites de « dégénérescence », « virales », les névroses, thromboses, cancers, maladies auto-immunes….
Et la première étape de ce changement a été le traitement de l’eau par des techniques oxydantes, nous polluant d’une autre manière.
Il faut en premier lieu retrouver une eau pure et vivifiante.
Voir mon premier article publié par l’AIMSIB : https://aimsib.org/2018/03/01/fonctionnement-electromagnetique-vivant-introduction-aux-decouvertes-de-louis-claude-vincent/
ou dans cette conférence : https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/
Pour compléter les multi-facteurs intervenant dont parlait Minna plus haut, il y a l’eau mais aussi l’électrification et petit à petit la nourriture de plus en plus transformée, les pesticides, les médicaments …
Cher Bernard,
Ce qui me gêne, c’est la notion d’objet biologique non identifié : comment fait-on pour le combattre si on ne l’identifie pas ? On fabique un « objet » identifié voisin (la pustule sur les vaches) et on le transmet, par contact ou injection ?
Le résultat n’est pas fameux : la mère a développé la vaccine, n’a pas pris la variole, mais peut-être ne l’aurait-elle pas attrapée, on ne le saura pas, et son bébé est mort de la maladie fabriquée. C’est que j’appelle la « fausse bonne idée » dans toutes ses conséquences.
Il est d’ailleurs surprenant que ces idées d’utiliser des « objets » simlaires aient émergé à peu près en même temps, l’une pour les vaccins, l’autre chez Hahnemann, et pour des usages opposés sous certains aspects, notamment les doses. Mais ceci est une autre histoire.
Merci à tous.
Je propose une autre image, les graines et le terrain. Certaines graines peuvent pousser en Europe mais-as en Afrique et vice versa. Si on plante du sarrasin dans les sables du Sahara il ne poussera pas mais si on attend qu’il pousse dans les terres bretonnes alors qu’on n’a pas les graines, il ne poussera pas non plus.
Qu’est ce qui a fait qu’il n’y a plus de variole aujourd’hui ? Que la graine de la variole est comme le sarrasin dans le sable, elle ne peut plus pousser ou que la graine n’est plus présente même si elle pourrait encore déclencher des varioles si elle était là ?
La réponse ne laisse aucun doute : la graine de la variole ( vous noterez, j’évite de dire virus …) n’est plus présente. mais si elle réapparaissait ici ou là (bioterrorisme par exemple), elle se manifesterait à nouveau.
On doit faire un distinguo entre la graine et les conditions pour son développement qui sont la terre, la chaleur ou le froid, l’ensoleillement, la pluviométrie …Ce ne sont pas des éléments de même nature.
C’est la même « graine », le même élément vital, dans nos organismes. Ce sont nos propres microzymas provenant des gamètes de nos ascendants, qui se sont spécialisées dans le développement de l’embryon pour former nos structures, nos centres vitaux.
Ces microzymas ont leurs fonctions de construction et d’entretien de la vie de ces centres vitaux et pour cela le milieu dans lequel elles exercent ces fonctions est précis et maintenu par homéostasie (grâce aux cellules dont les parois ne laissent entrer ou sortir que ce qui maintient ce milieu, dans un organisme sain). Quand ce milieu ne peut plus être maintenu, les graines changent de fonction pour s’adapter au milieu qui leur est imposé.
Les mêmes microzymas sont facteurs de cellules ou de bactéries suivant que le milieu est sain ou intoxiqué, mais sans doute sont-ils facteurs de bien d’autres choses toujours en fonction du milieu.
C’est le polymorphisme !
https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/
Cère Brigitte Fau, avez-vous vu les études de Martin Pall sur l’ouverture des canaux calciques par certaines fréquences (micro-ondes) radio ?
Un article de M. Pall est disponible sur le site :
http://www.ondes.brussels
Merci à tous
Certains diraient qu’elle est déjà en nous. comme les graines de coquelicots lorsque vous semez un champ de blé. Mais qu’elle ne vient que s’il y a les conditions (le blé) sont adéquates et que si vous semez du maïs ou du colza, vous n’avez pas de coquelicots.
Mais dans le cas du coquelicot, cela veut dire que dans TOUTES les terres il y a des graines de coquelicots et que la graine de coquelicot fait parti intégrante de la structure de la terre. qu’elle existe avant même la floraison du premier coquelicot.
Cette notion de terrain est intéressante, mais elle n’explique pas le phénomène des épidémies. A un moment certains deviennent malades d’une même maladie et d’autre non. Le « terrain » ne peut pas avoir changé en même temps pour tout le monde. Même la notion médicale d’environnement est bancale. La grippe que l’on pensait venir avec le froid (influenza del frio) existe dans la région intertropicale à la période chaude. alors ce n’est pas le même terrain. Mais justement comment le même phénomène dû au terrain se produit sur des terrains différents ? chacun sa théorie.
Moi, je penche de plus en plus que ce pourrait être une question vibratoire si on tombe d’accord que les « virus » et autres choses n’existent pas. les « malades » enverraient des vibrations qui créeraient chez les autres les même symptômes.
On pourrait faire des expériences assez facile en fait. On prend une personne malade, on enregistre ses vibrations et ensuite on expose d’autres personnes à ces vibrations pour voir si elles tombent malades. mais on passerait pour des hurluberlus.
Transmission « virale » par une information vibratoire ? J’ai souvent parlé ici-même du rôle fondamental du vibratoire, ce n’est pas notre modérateur Vincent qui démentira mais je n’étais pas allé jusque là…
La polio est considérée comme transmissible par les selles d’humains contaminés par des virus polio, celles ci pouvant polluer l’eau qui sera consommée. L’information vibratoire pathologique pourrait-elle se transmettre aussi ainsi ?
Comme il était devenu quasi impossible d’écrire le mot virus sans provoquer d’intenses réactions verbales puisque les virus n’existeraient pas, j’ai crée cette expression « objets biologiques non identifiés », en abrégé « obni » si ça vous plait ! Mais il ne faut pas accorder trop d’importance à ce jeu verbale.
Chez un humain, un animal ou un végétal, la dégénérescence même simplement locale, d’un tissu biologique ou même de quelques cellules peut générer un pathogène redoutable. C’est le cas pour la tuberculose où, sous une action ou une autre, le réseau mitochondrial connexe comme l’a montré Tissot (et
non pas dissocié comme on l’enseigne toujours) peut dégénérer en filaments de bacilles de Koch aujourd’hui reconnu sous cette forme, d’où le nom de Mycobacterium Tuberculosis donné au BK.
Il n’est pas nécessaire d’être contaminé par un BK pour faire une tuberculose mais, une fois crée, cet agent pathogène peut s’échapper par la toux pour contaminer d’autres personnes et les rendre malades.
La tuberculose peut être autogène (non reconnu) mais peut aussi être transmise par contagion.
A propos de polio (revenons-y), comment interpréter ce que j’ai entendu : le « virus » actuel de la polio serait le « virus vaccinal » qui aurait pris la place du « virus sauvage » (sic).
Que le phénonmène soit vibratoire ou autre, il semblerait que le vaccin crée de nouveaux désordres (les « variants »).
Qu’en pensez-vous ?
Merci à tous
on sait que la vaccination n’est pas une solution intelligente. On peut peut être (qui sait) imaginer que c’est une solution « de secours » dans des cas extrêmes, mais il est illusoire et débile d’imaginer faire mieux que la nature et introduire directement à l’intérieur du corps, passant toutes les barrières de protection, un « truc » pour assurer une protection.
je ne vais pas sortir mon laïus antivax. MAIS si on inocule (si tu recules) un pathogène pas dangereux le corps ne fait rien. si on inocule (parce que j’avance) un pathogène dangereux le corps prend cher. Cela aurait du clouer le cercueil du concept, mais la médecine est comme le temps un maître qui tue ses enfants. Alors on a décidé d’injecter un truc qui ressemble à un truc dangereux en y ajoutant tout plein de saloperie pour forcer le corps à réagir à un truc auquel il ne réagirait pas. Et bien entendu aucune étude sur les saloperies qu’on injecte. On ne fait juste que les changer lorsque les scandales commencent à pointer. souvenez-vous que le thiomersal était sans aucun danger promis juré, puis il est devenu interdit. Je prédis un changement de l’aluminium (qui est sur à 100% promis juré) pour le graphène, car ils ont réussi à faire passer ceux qui s’interrogent pour des allumés qui pensent pouvoir être contrôlés par la 5G à cause d’une puce dans les « vaccins ».
Pour la polio. il y a un problème de fond. un vaccin à « virus » vivant qui protège pas mal mais diffuse la polio et un vaccin à « virus » « mort » mais qui protège pas des masses. (à la louche à soupe). MAIS comme tout le monde envisage d’éradiquer la polio en vaccinant (ça rapporte) plutôt qu’en fournissant des conditions de vies décente (ça coûte) on lance des campagnes de vaccination sans réfléchir, en massacrant les populations aux passages. business as usual
On dit pour résumer et atténuer le préjudice que c’est une épidémie de polio vaccinale, mais c’est un 1/10 de vérité. Ce que l’on voit chez les gens que l’on vaccine, ce n’est pas une « polio » mais une PFA (paralysie flasque aiguë) un truc autrement plus chiant que la polio. Je ne sais pas grand chose de ce truc, mais j’ai tendance à penser que c’est une nouvelle « maladie » due à la recombinaison d’un « virus » sauvage et un « virus » vaccinal plus toutes les saloperies d’usages qui créent une pathologie pire que le mal censé être adressé.il y avait un blog assez documenté sur le sujet, mais la doxa qui veut nous sauver de nous même l’a fait disparaître des radars. on a fait pire que bien. (c’est surtout en inde ou le bill gates est très recherché pour être traduit devant des tribunaux)
donc virus ou pas, la vaccination c’est de la merde : tous les vaccins.
Oui, tout à fait, la programme d’éradication de la polio par le vaccin oral à virus « vivant » aura eu pour effet, dans les régions où l’assainissement est insuffisant, de faire circuler less virus vaccinaux ou dérivés de souches vaccinales à la place des virus sauvages.
Je ne suis pas convaincu que le phénomène soit vibratoire … Il m’a été demandé de préparer un article sur l’éradication de la polio. On fera le point sur tout cela dans quelques temps.
Autre point de vue :
Pourquoi veut-on à tous prix qualifier de « virus » (= poison en latin) ? Les virus ne sont que des abstractions, donc purement spéculatives, pas comme le tréponème, que l’on voit avec les instruments adéquats. Si ça simplifie la pensée, ça complique diablement la pratique médicale. Rien de plus désastreux que se tromper de cible.
Pourquoi ne pas admettre que ces particules (Duesberg qualifie le VIH de « passant oisif ») sont là pour des raisons non élucidées qui pourraient bien être l’adaptation, la réparation des dommages et l’élimination des parties détruites au décours d’une maladie, réaction à un désordre. Ces particules sont adaptées à chaque situation, sinon nous ne serions plus là depuis longtemps…
> Il n’est pas nécessaire d’être contaminé par un BK pour faire une tuberculose
alors le BK n’est pas un agent qui permet la tuberculose. La question est : qu’est-ce qui est transmis pour contaminer. On arrive aux mêmes « problèmes » que pour le sida. le VIH n’est pas lié au sida. puisqu’il peut y avoir des sida sans VIH et des VIH sans sida.
Mais on peut penser aussi qu’on ne sait pas ce qui faut chercher et si on recherche ce que l’on veut trouver, on finit par le trouver, mais est-ce ce que l’on devrait chercher ? L’autre disait que lorsque l’on n’a qu’un marteau, tout ressemble à un clou.
Ainsi on se trouve face à quelques problèmes :
1. si il n’y a pas de « virus » (ou agent contaminant) donc il n’y a pas contagion, juste des organismes distincts qui dégénèrent sans lien de causalité entre elles face a des modifications internes du milieu peut être dû à des modifications/stimuli externes. et toutes les mesures sanitaires ne servent à rien, puisqu’il n’y a pas d’agents infectieux.
2. S’il y a des contagions, on ne peut pas expliquer que dans le monde entier, des milieux génétiques très différents, des stimuli extérieurs très différents, des changements de terrain très différents provoquent la même « maladie ». Les lois de probabilités excluent qu’avec une quantité énormes de paramètres, si on prend au hasard une poignée de paramètres on puisse arriver au même résultat en prenant dans un autre sac de paramétrés différents une autre quantité au hasard de paramètres.
3. Si on peut « suivre » une maladie, de patient zéro à patient n puis n+1, en les ordonnant dans une chaîne, alors il y a un « truc » qui passe de l’un à l’autre.
4. on peut envisager que dans un organisme qui se dégrade quelques chose se crée, qui devient contagieux et pathogène et puisse se transmettre. Mais là on en revient au « virus » ou n’importe le nom qu’on lui donne. À un moment, il y a un agent pathogène qui transmet une pathogénicité. Peut importe le nom qu’on lui donne. Et on à fait un tour de piste. retour à la case départ.
5. ce que l’on sait c’est que si on prend soin de son corps, peut importe ce que cela puisse recouvrir, on est moins « malade », peut importe ce que cela peut inclure.
6. ce que l’on sait c’est que nous sommes tous différents face aux accidents de la vie. les uns seront tout le temps « malades » et les autres jamais.
J’en suis arrive à la conclusion de mes 10 ans de pérégrinations dans le monde médical et des vaccins : On ne sait rien et on ne sait même pas qu’on ne sait rien. On a des observations, des théories qui changent au gré du temps, suivant la « mode » du moment et des outils que l’on a pour observer (le fameux marteau). Ainsi on croit comprendre des mécanismes que l’on plaque sur des modèles de pensée qui vont devenir main stream ou disruptifs suivant les temps.
En plus, peut être que nous sommes juste dans la matrice et que rien n’existe 🙂
Pour la tuberculose l’agent biologique constructeur de la maladie est dans les deux cas, le BK ou plutôt MT mycobacterium tuberculoses depuis qu’on a découvert que le fameux BK en bâtonnets se présentait en réalité en filaments et que c’étaient les méthodes de préparations pour observations microscopiques qui segmentaient les filaments.
Dans le cas de la tuberculose autogène le MT est crée par la dégénérescence du réseau connexe mitochondrial du cytoplasme de cellules pulmonaires qui génère alors ces filaments. C’est en fait le BK (MT) qui est autogène (non reconnu). Mais on ne peut pas dire que la tuberculose ce serait développée en l’absence du BK. Non !
Par contre les conditions qui vont provoquer cette dégénérescence peuvent être multiples : des poussières de silice avec la tuberculose du mineur ; un air très froid respiré pendant des décennies (tuberculose des Esquimaux) ; ou un air très chaud ; dans les 2 cas ça brûle ! Où encore des actions biologiques comme de fortes doses de tuberculine alors que la tuberculine, même issue d’une culture de BK, ne peut pas recréer le BK.
Oui, Hervé_02, on tourne en rond. « On ne sait rien ».
Je suis justement en train de lire des lettres de Béchamp réunies dans un livre « La théorie du microzyma et le système microbien et précisément voici l’extrait que je lis p.67 .
C’est Béchamp qui parle:
« Si l’on cherchait bien, disais-je, (dans une lettre précédente), au fond de toute erreur on trouverait une ignorance.
Je ne peux vous le dissimuler, plus je cherche à pénétrer le système de la microbie, pour mieux le connaître, afin de m’assurer que je ne m’égare pas en le poursuivant, plus aussi cette pensée m’obsède. Je ne veux donc pas la perdre de vue, car à mes yeux, elle sera l’excuse de ceux dont je combats les opinions erronées.
Il ressort de ma persévérante insistance, que l’on peut poser en fait incontestable que la microbie, c’est à dire le système des germes morbifiques préexistants, repose sur un préjugé – ce mot étant pris dans le sens de jugement précipité, – qui équivaut à une ignorance »
Et Antoine Béchamp sait de quoi il parle, parce qu’il est allé au bout de la démarche scientifique. Il est toujours allé au bout du questionnement et c’est pourquoi il a réussi par ses travaux à démontrer l’origine de l’organisation et de la vie à l’intérieur de tout organisme vivant et le polymorphisme microbien.
Sans cette connaissance on ne peut avancer qu’à tâtons et malheureusement sur des bases erronées basées sur des « préjugés ».
« J’en suis arrive à la conclusion de mes 10 ans de pérégrinations dans le monde médical et des vaccins : On ne sait rien et on ne sait même pas qu’on ne sait rien. On a des observations, des théories qui changent au gré du temps, suivant la « mode » du moment et des outils que l’on a pour observer (le fameux marteau). Ainsi on croit comprendre des mécanismes que l’on plaque sur des modèles de pensée qui vont devenir main stream ou disruptifs suivant les temps. »
Felicitations … vous venez de decouvrir ce qu’est la science. Mais vos perigrinations qui vous ont fait depasser une idee idealiste et statique de la science vous ont entrainees bcp trop loin du cote du doute.
Douter et remettre en cause des theories ne signifie en rien que les precedentes etaient totalement fausses. De toute facon, le concept de veracite d’une theorie (en medecine comme en biologie ou en physique) n’a pas grand chose a voir avec celui de la verite mathematique. Les theories des sciences experimentales ne sont que des modeles de la nature … elles « fonctionnent » mais on peut s’interroger si elles se rapprochent effectivement d’une hypothetique Realite avec un R majuscule.
pour le faire en mode TL;DR : lol
Vous venez de poser une limite arbitraire suivant le marteau que vous avez en main. à la louche : oui bon on sait pas grand chose, et on se contredit d’un siècle sur l’autre, mas ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain. Ce que l’on dit aujourd’hui est une « vérité » relative (et donc « scientifique ») mais c’est quand même une vérité. On ne sait rien, mais ce rien est quelque chose de plus que le rien-néant. J’ai été trop loin. c’est vrai il faut s’arrêter au « consensus » qui est la vérité « scientifique » (mais pas mathématique !! j’ai bien compris) du moment.
les théories « fonctionnent ». Par exemple le vaccin a sauvé des millions de vie (on ne sait pas si cela en a tué des millions parce qu’on SAIT que cela en a sauvé des millions). La théorie du vaccin fonctionne.
J’ai un autre exemple : le sida. la théorie qu’on a été infecté par le vih à cause d’un stewart qui a baisé une guenon (ou un singe) et a été infecté sexuellement puis a ensuite infecté à lui seul (par arbre généalogique inversé) la moitié de la terre (à tel point qu’on trouve ces marqueurs chez tout le monde) « fonctionne » aussi
je parle pas de la théorie des virus qui « fonctionne » aussi. un « truc » pas vivant mais capable de se faire inclure et dupliquer qui contamine d’une personne à l’autre, et en rend malade un sous-groupe, « fonctionne » parfaitement. On fait même des séquences géniques permettant de créer des « arbres » de filiation. ça fonctionne.
La théorie de déparasiter les population grande échelle en les aspergeant de DDT « fonctionnait » parfaitement, des études scientifique de « grandes » personnes avec des graphiques, des schémas, un vrai truc de « scientifique ». les mauvais coucheurs expliquaient à tord (parce que leur théorie ne fonctionnait pas – sinon elle aurait été accepté par le « consensus » « scientifique ») que l’épidémie de polio ressemblait quand même vachement à des effets secondaires des traitements « larga mano » (mais scientifiquement) avec du DDT.
Je ne dis pas que dans la somme de conneries que l’on a accepté comme « scientifique », tout, 100% est faux. statistiquement on tombe automatiquement sur des trucs qui se vérifient partiellement. Même une horloge cassée donne l’heure juste 2 fois par jour. si je fais un programme informatique qui écrit aléatoirement (avec certaines règles de cohérence) des études scientifiques. sur 10 000 études, je suis persuadé que l’on en trouverait quelques unes qui « fonctionnent ».
Mais elles fonctionnent pas parce qu’elle sont une « vérité » ‘sans V, mais parce que si on regarde les choses d’une certaine manière ça « fonctionne ». Je dirais même plus la « politique » au sens large (et parfois étroit d’ailleurs, cela nous rappelle quelques 24 mois pas si lointain – et l’on confond « science » et politique) mène la science.
Tant que la création de dieu était au centre du monde, la terre ne pouvait que tourner autour du soleil. tant que les « chirurgiens » du moyen age étaient plus des bouchers que des confesseurs, le remède était la saignée. Tant que le capitalisme était extensif, les enfants ne pouvait faire autre chose que de travailler jeune.. je pourrais citer des théories qui « fonctionnent » à profusion.
Et comme je ne veux pas mettre le feux au poudre, je ne parlerais pas de covid. Une théorie qui « fonctionne » tellement bien que « les » soignants ont laissé crever les malades et piquer ceux qui crevaient pas assez vite. Parce que même si verantaplan est… comme rantaplan en plus méchant, ce sont les soignants qui ont piqué les gens pour ne pas les soigner, sacs poubelles ou pas. Et ne dites pas qu’ils n’avaient jamais entendu parler de raoult.
je vais le présenter de manière iconoclaste : la « science » est trop sérieuse pour être laissée à des scientifiques. l’évolution « disruptive » par le savant isolé qui révolutionne est assez romantique, ce qui est dommage c’est que cette révolution va s’accompagner son paquet de nombre de morts. chaque génération peut pointer avec une certitude absolu la population de la génération précédente (ou 2 générations pour essayer de limiter les interférences politiques) qui a été sacrifié à la « théorie » du moment qui marchait.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas faire de théorie, cela veut dire que ces théories doivent être remises à leur juste place : une théorie qui ne vaut pas plus qu’une autre, pas moins non plus. Elle ne peut « s’imposer » à personne et elle ne peut en AUCUN CAS fonder des politiques qui décident pour les gens. Les gens se cultivent ou pas, se renseignent ou pas, adhèrent ou pas et font leur choix.
Ce n’est pas un illuminé en blouse blanche qui va me conseiller qui un dépistage colorectal, qui un dosage ps4, qui un test covid ou un vaccin de la grippe. Et CHAQUE scientifique qui propose quelque chose à quelqu’un est civilement et pénalement responsable de ces actes devant les tribunaux, sans circonstance atténuantes, sans « théories » qui fonctionnent, sans « consensus » « scientifique », sans « j’ai fait de mon mieux » ou « ce que je croyais bien ».
Sinon ce n’est pas de la science mais de l’amateurisme de garçon bouché.
Voila ou est la limite entre la « science » et la « foutaise ». Il y a une époque les « scientifiques » se prennaient eux même comme cobaye, maintenant ils falsifient les études pour prendre la population globale comme cobayes. Mais promis leur « théorie » « fonctionne » c’est juste une légère distorsion avec la « vérité » « relative » « scientifique » du moment. Celle qui sera modifié demaine, mais cela ne la rendra pas fausse, juste incomplète ou dépassable.
la corde quand même.
pff j’avais prévenu LD;DR
ps : alors je vous vois venir arriver la bouche en coeur oui méééé les médecins y voudront plus rien prescrire parce que la peur gnagnagnagna, le risque gnagnagna, 12 ans d’étude gnignignigni (oui pour changer).
Montesquieu disait que l’on ne devait toucher aux lois que d’une plume tremblante (un visionnaire qui imaginait déjà les législateurs du sénat à moitié alzheimer et parkinsonnien – nan j’rigole juste sénile parfois) pourtant ces modifications n’affectent qu’un cadre que les juges (des hommes) adaptent au cas par cas. Mais le médecins pas besoin d’une plume tremblante pour ajouter la 10 ième ligne à une prescription pour un vieux de 65 ans multi pathologique avec des médicaments dont il se souvient plus ou moins ce qu’il a appris dessus il y a 20 ans. « priceless » diraient les djeun’z
La différence entre maths et sciences expérimentales est les maths partent d’axiomes pour dérouler des raisonnements en s’appuyant sur eux.
En sciences expérimentales on observe des faits pour chercher des hypothèses qui permettraient d’expliquer les faits. Il peut exister plusieurs hypothèses expliquant les faits connus. Mais il y a d’autres difficultés : dans la description des faits eux-mêmes certains aspects ont pu échapper aux observateurs puis d’autres faits peuvent apparaitre qui ne pourront être expliqué par les hypothèses retenues.
Béchamp lui même disposait matériels d’observations limités avec les méthodes de préparation de l’époque. Il parait assez difficile, a priori, d’admettre qu’il aurait pu comprendre les fondements de la vie dès cette époque là. C’est très douteux. D’ailleurs Tissot s’était livré, 55 ans plus tard, à une critique de ses travaux.
Je pense que ce qui explique l’engouement pour Béchamp est qu’il était contemporain de Pasteur et qu’il en fut l’adversaire. Certes, s’il avait gagné son match avec Pasteur, la biologie et la médecine auraient pu évoluer d’une toute autre façon plus favorable à la recherche du Vrai et du Bien.
D’ailleurs Béchamp n’avait pas vu l’existence de ce réseau connexe, un peu comme un grillage, reliant le noyau à la membrane. Réseau dont la pierre élémentaire est l’organite haltère constitué d’une mitochondrie avec une boule à chaque extrémité, ces organites étant reliés entre eux par leurs boules. C’est une découverte magistrale obtenue par Tissot en modifiant complètement le protocole de préparation des cellules avant de les passer sous microscope.
Pourquoi une aussi prodigieuse découverte non encore reconnue aujourd’hui n’intéresse t’elle personne ? Pourquoi ? Je ne comprends pas.
http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2019/01/19/37029528.html
Non, Bernard, tu ne peux te permettre de dire çà de Béchamp sans avoir étudié ses travaux. C’est trop facile de se faire une opinion sur quelque chose qu’on ne connaît pas sur la foi de ce qu’on en a entendu.
Même Tissot a pu lire de manière superficielle les travaux de Béchamp, qui sont colossaux. Et oui, Tissot a pu découvrir d’autres choses grâce à des techniques plus évoluées. Mais ce n’est pas incompatible ou en contradiction.
Je me suis intéressée aux 2, les travaux de Tissot sont intéressants sans aucun doute et devraient être connus mais il n’a pas le recul et la capacité incroyable de Béchamp pour donner une vue globale, une vue d’ensemble sur la notion de vivant dans TOUS les organismes vivants. Et je pense qu’il y a un lien direct entre les découvertes de l’un et de l’autre, elles ne sont pas en contradiction.
N’as-tu pas eu le temps de t’y intéresser et de te faire ta propre opinion ? Cela n’en vaut pas la peine dans ton esprit ! C’est la raison générale qui entretient cette méconnaissance alors qu’aucun scientifique n’a su aller aussi loin dans l’analyse et la perspicacité.
Qui à notre époque, s’interroge sur la capacité des organismes à « s’organiser » ?
On admet que tout se structure, s’organise à partir des simples éléments chimiques de nos organismes, l’ADN n’est qu’une molécule après tout. Comment peut-on se contenter des seules réactions physico-chimiques pour expliquer le vivant ?
Il y a autre chose de vivant en nous, qui existe au tout début de l’embryon (transmis par les gamètes mâles et femelles). Cet élément est vital, il ne se passerait rien lui.
Et on le retrouve à la toute fin de chaque organisme vivant. Il est le reste de la putréfaction, la « poussière » résultante qui est toujours vivante après nous.
Il est le seul élément permanent de tout organisme. C’est le microzyma qui peut pourquoi pas former des « altères » de Tissot. Toute structure interne vient du microzyma.
Je rappelle cette publication de 2012 qui explique l’auto-assemblage de l’ADN dans le vitellus à partir des granules de « Béchamp » (microzymas).
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0968432813001017?via%3Dihub
« la recherche du Vrai et du Bien »
On sort deja la de la science. Un peu d’epistemologie ne ferait pas de mal … Ce genre de concept n ont rien a voir avec la science mais plutot avec le dogmatisme ou le religieux …
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » disait Rabelais. On le voit bien aujourd’hui. les vaccins ARN sont le fruit d’une science, il n’y a pas de doutes mais faut-il pour cela les injecter 4 fois, 10 fois à toutes les populations sans se poser d’autres questions ?
Si le produit vaccin est le fruit d’une science, la décision de l’utiliser ainsi n’est pas de nature scientifique. D’ailleurs le seul fait de parler de La Science est déjà plus que contestable. Agir sur la protéine spike du virus par sa protéodie (musique de protéine) en mode mineur afin d’endiguer son action serait le fruit d’une autre science. Laquelle utiliser ?
RAPPEL : il a été établi que chaque accrochage d’un acide aminé à une chaine d’acides aminés dans une protéine en formation s’accompagne d’une brève vibration à haute fréquence spécifique de l’acide aminé. Ainsi la construction d’une protéine s’accompagne d’une musique avec 20 notes inaudibles bien sûr (heureusement !!!). En abaissant ces fréquences tout en conservant leurs rapports, le physicien Joël Sternheimer a crée des musiques audibles associées à une protéine donnée. En jouant cette musique sur un mode majeur on peut favoriser la production de cette protéine ; sur le mode mineur on va au contraire l’endiguer.
Des maraichers utilisent cette méthode pour favoriser leur production et des viticulteurs l’utilisent pour lutter contre l’eska un champignon qui attaque les vignobles et contre lequel il n’existe aucun traitement.
https://www.youtube.com/watch?v=ZlpRtR8M1r8
Comme les trucs sur les vaccins du coup ?
J’aime, Bernard, cette petite musique que l’on n’entend pas mais qui témoigne de tant.
Le Pr Marc Henry la décrit si bien et l’apprécie à sa juste valeur quantique.