C’est dorénavant l’usage, les puissances financières et dogmatiques des fabricants de vaccins peuvent autoriser les pires catastrophes de santé publique sans que le grand public n’en soit jamais réellement avisé. On a l’habitude des adjuvants et conservateurs particulièrement toxiques (thiomersal, aluminium, possiblement graphène…), vient le tour ici des vaccins vivants et des virus indésirables embarqués comme passagers clandestins dans les préparations vaccinales. C’était au temps des journalistes qui enquêtaient et ne lâchaient rien pour faire triompher les vérités qui dérangent. Le monde d’avant. Merci à Bernard Guennebaud qui a repris la plume pour deux articles aussi dérangeants que passionnants. Si le lecteur souhaite, par la suite, faire aveuglément confiance au lobby des vaccins, libre à lui… Bonne lecture.
Sur la pancarte montrée par la photo ci-dessus on peut lire (1):
POLIO MISSION COURTOIS KOPROWSKI CENTRE D’EXPÉRIMENTATION
ENTRÉE INTERDITE
Introduction
Cette pancarte est très importante car elle mentionne deux noms, celui de Ghislain Courtois, le biologiste belge à gauche sur la photo. Dans les années 1956-1960 il dirigea à Stanleyville, au Congo belge, un laboratoire de recherche moderne et remarquablement bien équipé. Elle donne aussi celui de Hilary Koprowski, à droite sur la photo. Au Wistar Institut de Philadelphie il menait des recherches sur un vaccin contre la poliomyélite. Cette pancarte assure que des recherches sur la polio furent conduites en ce lieu inauguré par Koprowski en février 1957. La photo fut prise le jour de l’inauguration.
J’ai préparé deux articles sur les expérimentations qui furent conduites en ces lieux. Il ne s’agira pas, pour moi, de discourir sur les origines du sida mais de décrire et d’analyser l’immense polémique générée par ces recherches.
Cette polémique sera ponctuée par un symposium à Londres les 10-11 septembre 2000 avec la participation des deux principaux protagonistes, Hilary Koprowski auréolé par ses recherches médicales et Edward Hooper journaliste d’investigation qui publiera en 1999 une enquête de 1200 pages, « The River », allusion à un affluant du fleuve Congo, la rivière Lindi au milieu de laquelle, sur une presque-île, avait été installée une animalerie de chimpanzés avec, à l’entrée, la pancarte illustrant cet article.
L’origine du sida : entre recherches et passions
Dans les années 1990 le monde entier se passionne pour l’origine du sida. Dès 1992 un journaliste Tom Curtis publie un article sur cette origine dans la revue Rolling Stone :
L’affaire du SV 40, un virus du macaque inoculé à des millions de personnes par les vaccins de Salk et de Sabin, avait suggéré qu’il pourrait en être de même pour le virus du sida dont l’origine simiesque ne faisait déjà plus aucun doute.
L’affaire tourna court et la revue Rolling Stone s’excusa publiquement d’avoir publié un tel article. Il est vrai que Curtis avait commis l’erreur de mettre en cause le singe vert pour attaquer un monstre sacré, Hilary Koprowski mondialement connu pour ses travaux sur le cancer et le sida.
Deux années consécutives, la télévision publique proposera 24 heures d’émissions télévisées en continu sur le sida. Invité permanent, le célèbre professeur Luc Montagnier démentira catégoriquement l’hypothèse en vogue à l’époque : un virus élaboré en laboratoire et introduit volontairement ou expérimentalement en Afrique.
« Mais vous, Professeur, vous connaissez l’origine du sida » avance le présentateur. « Oui » sera sa seule réponse. Un oui ferme ne laissant place ni au doute ni à l’hypothèse. A l’époque donc, certains grands spécialistes du sida connaissaient – ou du moins pensaient connaître – l’origine du sida, origine que nous, le public, n’avions pas le droit de connaître…
Pendant ce temps, le journaliste Edward Hooper poursuivait ses investigations commencées dès 1983 au Congo, en Belgique et aux USA, rassemblant des milliers de documents et des centaines d’heures d’interview pour publier son enquête en 1999.
Fin 2002 est publié « La guerre contre les virus« , un ouvrage de Jean-François Saluzzo (chez Plon), scientifique de renommée mondiale : 14 ans à l’Institut Pasteur et dans les 2 plus grands centres américains de lutte contre les virus, le CDC d’Atlanta et l’USAMRIID, le laboratoire de l’armée américaine (le fameux Fort Detrick). En 1977, à l’Institut Pasteur de Bangui, il met en place un programme de recherches sur le virus Ebola et les fièvres hémorragiques et il sera à l’origine, en 1985, d’un laboratoire de haute sécurité à l’Institut Pasteur de Paris. Il est devenu expert auprès de l’OMS et il sera chargé de développer un vaccin contre le SRAS. Il publiera en mars 2004 un autre ouvrage « Des hommes et des germes« .
L’affaire selon Saluzzo
- » L’analyse phylogénique du virus VIH-1 révèle qu’il dérive probablement d’un virus simien retrouvé chez le chimpanzé et qui serait passé à l’homme. Comment ce passage s’est-il réalisé et où ? Sur ce dernier point, les scientifiques sont tous d’accord : l’épicentre de la pandémie de sida se trouve en Afrique Centrale. »
Deux possibilités s’opposent pour expliquer la transmission du singe à l’homme : « Une transmission naturelle lors de la chasse, en dépeçant l’animal capturé ou une transmission par un vaccin préparé sur des cellules de singes, et en particulier le virus polio oral préparé par Koprowski et largement testé au Congo. Les tissus de singe, le lieu, l’époque (1960), apportent des éléments crédibles. »
A propos de l’enquête menée par Hooper, Saluzzo reconnaît qu’il s’agit d’un ouvrage remarquablement bien documenté qui « suggère que Koprowski avait utilisé des cellules de rein de singe chimpanzé pour produire le vaccin testé en Afrique (la souche CHAT). »
Pour Saluzzo, l’espèce de singe est un élément essentiel car il est probable, dit-il, que le virus VIH-1 dérive du virus de l’immunodéficience du chimpanzé. Selon lui, il n’existe aucune preuve de l’emploi de cellules de chimpanzé :
- » Des échantillons de vaccin ont récemment été analysés à l’Institut Pasteur et trouvés négatifs pour ce qui est de l’éventuelle présence d’un virus SIV ou VIH. Ces éléments permettent de conclure le débat.«
Voilà qui paraît clair, mais il y a au moins une chose que J-F Saluzzo ne dit pas :
Que signifiait le sigle CHAT?
La revue La Recherche a publié plusieurs articles sur cette affaire. Le premier en juillet 2000, par Jean Donadieu, immunologiste à l’hôpital Trousseau à Paris qui analyse l’ouvrage de Hooper :
» La souche CHAT, dont tout laisse à penser que son sigle signifie Chimpanzee Attenuated, a été produite en grande quantité. En confrontant la localisation de ces campagnes vaccinales et celles des premiers cas d’infection VIH en Afrique Centrale, Hooper retrouve une concordance très forte : les localisations se superposent. Ce scénario, qui restera une hypothèse puisqu’un certain nombre d’éléments susceptibles de l’infirmer ou de le confirmer n’existent plus, est à ce jour le seul permettant d’expliquer l’ensemble des données disponibles aujourd’hui. Ce livre, fruit d’un travail colossal d’entretiens, d’enquêtes, est indispensable à la compréhension du sida. »
Six mois plus tard, nouvel article (janvier 2001) par Denise Nadiche, journaliste scientifique et avec la collaboration d’un ancien collaborateur de Hilary Koprowski devenu conseiller scientifique d’Aventis Pasteur, Stanley Plotkin (1).
L’analyse de l’ADN par la technique de la PCR (polymérisation en chaîne), a révélé » que l’ADN des préparations vaccinales provenaient bel et bien de macaques et non de chimpanzés; aucune trace d’ADN de VIH ou de VIS n’a été détectée. »
Plotkin fait de plus observer que s’il y eut 250 000 vaccinés au Congo par la souche CHAT, (on dit plus d’un million pour l’Afrique centrale) il y en eut 7 millions en Pologne sans observer de cas de sida. Objection qui paraît effectivement de taille. Mais il oublie de préciser trois points:
1- Ni lui ni Koprowski n’ont donné la signification du sigle CHAT que Hooper pense pouvoir interpréter par CHimpanzee ATtenuated. Il paraît étonnant que les protagonistes encore vivants de cette affaire (en l’an 2000), dont Koprowski, n’aient jamais répondu à cette question. Que penser alors de l’affirmation de la revue : « Plotkin, en reprenant point par point les arguments de Hooper, ôte tout caractère de plausibilité à sa théorie ».
2 – On a de plus la preuve que Koprowski avait déjà travaillé sur des chimpanzés, et c’est Saluzzo lui-même qui l’atteste ( p. 96) :
- » Il atténue le virus polio type 2 par passage sur cerveau de souris puis sur cerveau de rat. Il montre que le candidat est atténué chez le chimpanzé. En outre, il démontre que le virus est également atténué lorsqu’il est inoculé directement dans le cerveau du singe. » C’était en 1951.
Cela prouve que Koprowski qui travaillait à l’Institut Wistar de Philadelphie, avait une filière pour se procurer des chimpanzés. Mais Sabin va écraser la course en annonçant qu’il avait réussi à cultiver les trois types de virus polio sur rein de singe. C’est ce procédé qui va donner un avantage décisif à Sabin et au laboratoire qui le soutient.
Koprowski est donc en retard sur son concurrent. Il a des chimpanzés à disposition et cultive déjà le virus sur le cerveau de ces singes. Il paraît tout à fait vraisemblable qu’il ait décidé de poursuivre avec la même espèce pour créer la souche CHAT mais en imitant Sabin en cultivant sur les reins. Cela lui permettait de tenter sa chance avec une espèce qui pouvait s’avérer plus favorable que celles utilisée par Sabin.
La revue La Recherche confirme dans son article de janvier 2001 qu‘il y a bien eu, à l’époque, cinq ou six envois de reins de chimpanzés depuis le Congo jusqu’aux États-Unis. Or, les reins étaient utilisés pour cultiver un virus et non pour tester un vaccin, ce qui devait se faire sur un singe vivant.
On peut par ailleurs penser que si Koprowski avait choisi des cerveaux d’animaux pour cultiver les virus polio, c’était sans doute parce que Max Theiler venait d’obtenir le prix Nobel de médecine pour la découverte d’un vaccin contre la fièvre jaune qui était cultivé sur cerveau de rat. Le succès de Sabin a pu conduire Koprowski à opter pour les reins mais s’il voulait rester dans la course il devait se distinguer de lui en choisissant une autre espèce de singes. Il est donc très logique qu’il ait opté pour le chimpanzé.
3 – Plotkin ne dit pas ce que révèle Saluzzo, à savoir que les campagnes au Congo et en Pologne ne furent pas simultanées : après les 250 000 vaccinations menées au Congo en 1957 (selon Plotkin), Sabin et Koprowski se retrouvèrent à Washington pour présenter leurs résultats au premier congrès international sur le vaccin polio.
Koprowski dut y subir les attaques très sévères de Sabin et d’un spécialiste de l’Institut de la santé sur la qualité de ses souches. Si on ne change pas une équipe qui gagne, on change une équipe qui perd !
Aussi, il paraît invraisemblable qu’il ait alors engagé en Pologne (1958–1960) la vaccination expérimentale de 7 millions de personnes sans rien changer à ses souches car alors il partait perdant.
Sabin utilisait des macaques d’Asie. Pour tenter de le rattraper, Koprowski a pu décider de s’aligner sur lui. Il aurait pu ou dû changer le nom de sa souche, mais il s’agissait d’un nom officieux dont il n’a jamais donné la signification. De plus, il aurait ainsi signifié qu’il reconnaissait les critiques qu’il avait refusé au Congrès. Il paraît alors très logique (ou plutôt psycho-logique ) qu’il ait conservé le sigle CHAT.
Après les premiers essais au Congo, Koprowski va profiter de ses origines polonaises pour faire tester son vaccin en Pologne. On peut alors se demander si la même espèce de singe fut utilisée au Congo et en Pologne.
La première conclusion est que la souche utilisée en Europe, tout en portant le même nom que celle utilisée en Afrique Centrale, pouvait être différente. C’était matériellement possible et plusieurs éléments penchent très fortement en ce sens.
Après la publication de l’ouvrage de Hooper, la polémique sur l’origine du sida prendra un importance telle que les 10 et 11 septembre 2000 un symposium sera organisé à la Royal Society à Londres sur cette affaire. Hooper était invité et Koprowski y fera un exposé : « Je m’adresse au public, pas à Hooper » dira-t-il. Le ton était donné….
C’est seulement au soir du 11 septembre, au moment de la conférence de presse qu’un chercheur d’Aventis Pasteur révélera l’existence de la PCR établissant la culture sur macaque, ce qui permettra à Stanley Plotkin, un proche collaborateur de Koprowski, de conclure le symposium ainsi : « Tout ce qu’il y a de fumeux, ce sont les théories de monsieur Hooper »
La communauté dite scientifique et concernée par cette question s’emparera aussitôt de cette conclusion définitive en proclamant haut et fort : « Rejet de l’hypothèse d’une association entre le vaccin antipoliomyélitique et l’origine du VIH » [Relevé épidémiologique hebdomadaire du 8/12/2000 de l’OMS].
Ainsi l’affaire sera définitivement classée.
Pourtant, cette PCR ne prouvait, en toute rigueur scientifique, que pour le contenu du petit tube testé et non pour l’ensemble de toute la production. D’ailleurs Koprowski a affirmé qu’il utilisait deux espèces de singes, des macaques de l’Inde et une autre espèce dont il a oublié le nom et qui venait des Philippines. L’analyse par PCR ne donne pas cette seconde espèce, alors pourquoi pas une troisième ?
Pour pouvoir conclure sérieusement comme a prétendu le faire la communauté scientifique, il faudrait apporter la preuve que la fabrication du vaccin fut constante au cours du temps et uniforme sur les différents sites d’essais ou alors que les différents échantillons retrouvés, s’il y en a eu plusieurs, représentent toutes les variantes de la production expérimentale.
D’ailleurs, comme on va le voir, il existe des éléments très forts indiquant que le vaccin utilisé au Congo avait été produit sur place dans un laboratoire qui fut fermé quelques années après, au moment de l’indépendance du Congo. Dans ces conditions, il est très peu probable que l’on puisse retrouver un jour un échantillon de cette production. Seuls, des éléments d’enquêtes pourraient traiter un tel problème.
Les scientifiques concernés par cette affaire s’autorisent à dénigrer les arguments présentés par Hooper car ils ne sont pas de nature scientifique. Ce dernier point est exact. Si Koprowski reconnaissait que le vaccin utilisé au Congo était bien élaboré sur chimpanzé personne ne contesterait plus ce fait. Pourtant, la preuve résulterait d’un témoignage qui ne serait pas de nature scientifique. Des éléments essentiels de cette affaire ne peuvent être confirmés ou infirmés que par des enquêtes. Les scientifiques de haut niveau s’occupant de cette question sont certainement parfaitement capables de le comprendre, alors pourquoi s’entêtent-ils ainsi dans une attitude totalement dépourvue de la rigueur dont ils se réclament en affirmant partout que la preuve scientifique que ce vaccin ne fut pas cultivé sur chimpanzé avait été apportée ?
Hooper isolé, Hooper terrassé ? Non ! Hooper relancé !
A suivre …
Bernard Guennebaud
Avril 2022
Le film qu’il faut visionner absolument est là : ↓
Notes et sources
1) Documentaire de 1h30 diffusé le 23 avril 2004 sur France 2 au cours du sidaction (photo à 57mn) https://www.canal-u.tv/video/cerimes/les_origines_du_sida.13982
(2) http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/13655_1
(3) Pour se faire une idée du personnage, relire https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2020/10/12/quand-la-verite-depend-du-media-qui-la-porte/
Bravo Bernard G. Toujours aussi précis, ne seriez vous pas mathématicien ? lol
Bonjour ,
Il y a déjà qq années, après avoir visionné attentivement ce documentaire, j’ai acheté le bouquin The River en anglais et j’ai commencé à le lire.
Je tiens juste à ajouter qq précisions sur ce que Hooper a écrit :
On s’est rendu compte de la présence de virus simiens dans les vaccins polios ( à ce sujet , le documentaire est un peu confus sur le fait de savoir s’il s’agissait de vaccin PO ou de vaccin PI. ) vers la fin des années 60. Le virus baptisé » SV40″ inquiétait en raisons de capacités cancérigènes sur certains mammifères de laboratoires.
Mais en lisant The River j’ai appris que si le SV40 portait ce nom, c’est parce que c’était le 40 ieme virus simien retrouvé dans les vaccins polios , donc qu’il y en avait eu 39 découverts avant lui …mais il y en a eu au moins 30 de plus . ( en tout plus de 70 souches différentes donc )
Second point qui m’avait bcp surprise = avant que Koprovsky ne se décide à aller vacciner les populations autochtones dans diverses régions du Congo Belge, il avait déjà fait une tournée dans certaines régions et avaient fait des prélèvements sanguins chez les populations. À ce moment-là, personne n’avait jamais utilisé de vaccins polios et il avait constaté que chez les adultes , 95 à 98% d’entre eux étaient naturellement solidement immunisés contre la polio. Ce qui n’a pas empêché Koprovsky de vacciner absolument tout le monde dans ces mêmes populations quand il est revenu plus tard avec son fameux vaccin ….
Merci à Bernard pour souligner que le point essentiel de cette controverse fut de savoir s’il était exact que de chimpanzés ou non furent utilisés par Koprovsky au cours des années 50 .
Et les raisons pour lesquelles Koprovsky a cherché avec tant de virulence à décrédibiliser la thèse de Hooper .
Consternant!
Je rappelle que le virus n’existe pas
Il n’a jamais été isolé
Sans vouloir vous manquer de respect vous êtes quand même soûlant avec vos affirmations péremptoires sur le sujet.
Donc tous les scientifiques qui travaillent sur le sujet depuis maintenant des décennies courent après une chimère et sont des ânes….
Sans vouloir vous manquer de respect, Inoxydable, vous ne trouverez pas dans toute la littérature pléthorique sur le SIDA, une seule publication scientifique prouvant que le « VIH » est la cause du SIDA, en quarante ans d’endémie à ce jour.
L’unique argument – fondé – est la corrélation entre « VIH » et SIDA et rien de plus.
Problème : en science, association n’est pas causalité.
Autre problème : des patients, nombreux, certains malades, certains décédés du SIDA, ont testé et testent toujours désespérément séronégatifs.
Si nombreux que, ne pouvant plus masquer ce fait embarrassant, une nouvelle classification fut introduite en 1993 : « SIDA sans VIH » ou « ICL » (Idiopathic CD4+ Lymphocytopenia » afin d’exclure de la catégorie SIDA les personnes chez qui on ne décelait aucune trace de « VIH » mais qui présentaient « des symptômes qui les auraient normalement classées parmi les personnes atteintes par le syndrome du SIDA » (CDC 1993). Inversement et avec 4 décennies de recul, des millions de personnes présumées porteuses de votre « VIH » à travers le monde entier, sont en parfaite santé (l’intervalle officiel entre contamination et déclaration clinique s’allongeant d’une année sur l’autre depuis 1981 à aujourd’hui…) et avec assurance, ne développeront, très probablement donc, jamais le moindre SIDA de toute leur vie.
Je rappelle que le Pr Robert Gallo n’a pas retrouvé les anticorps chez l’immense majorité de ses patients ayant conduit à sa « découverte » de son « HTLVIII »…
Si l’absence de corrélation est aussi existante sinon davantage que la corrélation établie, cette dernière n’est fondée que parce qu’elle fait partie intrinsèque de la définition même du SIDA !
En effet, depuis 1985, exactement et rigoureusement : les mêmes maladies sont définies comme SIDA ou bien comme NON SIDA selon que les anticorps (et donc le « VIH ») sont présents ou absents !
En conclusion, tant que vous serez incapable de nous donner une définition du SIDA indépendante du « VIH », toute corrélation entre « VIH » et SIDA ne restera que pure TAUTOLOGIE.
Le Président de la Ligue anti-vaccinale n’est pas « soûlant » : il ne fait qu’incommoder vos certitudes et nous rappelle constamment et fort heureusement qui si nous sommes propriétaires de nos opinions, nous ne le sommes pas des faits…
PS : « Tous les scientifiques qui travaillent sur le sujet depuis maintenant des décennies courent après » – leurs artéfacts de laboratoire – » et sont des ânes… » grassement payés pour le faire !
merci pour cette affirmation sur la non-existence de certains virus.
Oui, fascinante capacité des scientifiques a refusé les débats et les remises en question
Bien sûr, difficile de renoncer au Nobel et autres gratifications
Combien de morts faut-il encore ?
MONTREZ-NOUS LES ETUDES !!!
Quitte à me faire plein d’ennemis, voici un article dont je me suis fendu en 2007 :
http://aras.ab.ca/articles/scientific/Umber-apoptosis.html
After having considered the last major mainstream publications on HIV and AIDS in 2006, I have concluded that the orthodoxy mistook the part for the whole.
The work of Benigno Rodriguez et al., published last September, shows that the viral load explains only about 5% of the decline of the CD4+ immune cells.
Another interesting study, that of the Huber et al, published in December, reminds me that the apoptotic immune cells themselves are the source of ‘infectious’ particles, independently of any infection. This is true for macrophages, but it is quite likely also true for lymphocytes.
Finally, I wonder if HIV is not simply a natural signal of cellular death, but so weak that it passes unnoticed in a healthy person.
In fact, while the mechanism of apoptosis has been well understood only within the last ten years, especially its biochemistry, which involves nitrogen oxides, peroxynitrites (Zhao et al), and proteins which control them (as well as the associated reducers – thiols), the research in the 1980s focused on something (HIV) which is associated with the fall of lymphocytes, but which is not the root cause.
The endogenous nature of the hiv can be verified by some facts:
Nobody, except a person consuming HAART (Highly Active Anti-Retroviral Therapy) has a zero viral load.
An example: The Frankfurt doctor Juliane Sacher performed a fascinating experiment: “I removed my own blood and put it in two tubes. One was sent under my name to the laboratory for an antibody test but the other was sent with the name of one of my HIV-positive patients to measure the viral load in the same laboratory”. She received the results some days later: “the blood tested under my own name was negative, but my blood which was sent under the name of my patient, had a viral load of 1800.”
Note that Frau Sacher was not HIV-positive. Why is this important? Well because seropositivity implies the detection of a quantity of antibodies above a limit (cut off). A normal person also presents these antibodies, but only in small quantities. It is normal if small quantities of these vesicles (called HIV) are present, as they are necessary to allow apoptosis.
There are many publications by Kion et al, Faulk, Labarrère et al and Panem et al.
But these microvesicles are not nevertheless HERVs (Human Endogenous Retro-Viruses). Where do they come from?
The mechanisms of the cellular apoptosis and thus that of the lymphocytes have been thoroughly studied, showing that the process involves a very large number of proteins or other molecules. It seems more and more certain that the essential factor is the normally endogenous forming of peroxynitrites (Zhao et al). Luc Montagnier insists that oxidative stress was responsible for this apoptosis. We can go further and realize that it is due to the action of peroxynitrites.
This natural process would thus be amplified in the AIDS. Why? Let us not forget that we still have to explain 95 % of the death of lymphocytes.
I think that the real causes of the AIDS, such as described by Professors Duesberg and Bialy, are practices such as drug abuse that unfortunately interfere with this natural process, because they are the source of massive quantities of peroxynitrites. These are formed by a very fast reaction of the nitrogen monoxide with a normal product of cellular respiration, the ion superoxide.
A lot of compounds consumed from the years 1960–1980 are donors of nitrogen monoxide. This includes recreational drugs: nitrites (known as poppers), tertiary amines such as cocaine and secondary amines such as crystal meth. Everybody knows that the pharmaceutical pill Viagra allows its users to maintain the quantity of nitrogen monoxide at a high level.
Finally and especially, we find donors of nitrogen monoxide in all the medicines which contain a bond between a nitrogen and an atom (Chlorine, Nitrogen, Oxygen) whose electronegativity is superior to that of carbon. Examples are: bactrim (isoxazole ring); chloramphenicol (now mostly used in developing countries), metronidazole, nitrofurantoin (nitrocompounds); isoniazide against tuberculosis (mainly in Africa) (a hydrazide) and AZT (azide : alkyl azides act as ionic azides).
But these donors of nitrogen monoxide have an anti-apoptotic action as long as the quantity of glutathione (and of glutathione peroxidase) is normal (glutathione transports NO in excess). Otherwise they have an apoptotic effect.
Luc Montagnier and others have noted that AIDS patients have an enormous deficit in glutathione. This is due to the donors of nitrogen monoxide described above, that are also oxidizers capable of slowly destroying the glutathione (thiols) to give compounds which cannot be metabolized (sulfates). A good example is the first approved AIDS drug: AZT.
The door is then opened to the massive synthesis of peroxynitrites which provoke the massive apoptosis of lymphocytes. During this apoptosis these lymphocytes release the famous microvesicles, which we call HIV, in large quantity (from which comes an increase in both the viral load and antibodies)
How to explain the initial beneficial action of AZT, measured during the first weeks of the trial of Fischl et al?
This is because AZT reacts easily with peroxynitrites to produce NO and an anti-apoptotic effect. But this effect does not last, and bit by bit the NO formed regains its apoptotic properties due to the depletion of glutathione.
The sulphurated ring of 3TC (aka Lamivudine), another nucleoside analog used to treat AIDS, is easily oxidized by peroxynitrites, (see Carey and Sundberg and the reactivity of sulphurated acetals with the nitrosyle ion NO+), and thus resulted in an important decrease in the apoptosis of CD4+ cells in medicated AIDS patients from 1996.
This hypothesis explains why the orthodoxy stuck with the model of the infectious virus, taking the part for the whole, why Peter Duesberg always defended the existence of the virus, but realizing that it did not explain AIDS.
This explanation would also allow one to understand the position of the Perth Group and of Etienne de Harven (oxidative stress).
References
Predictive value of plasma HIV RNA level on rate of CD4 T-cell decline in untreated HIV infection. Rodriguez B et al. JAMA. 2006 Sep 27;296(12):1498-506. ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=17003398&query_hl=1&itool=pubmed_docsum
The role of membrane lipids in the induction of macrophage apoptosis by microparticles. Huber LC et al. Apoptosis 2007 Feb;12(2):363-74. ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=17191114&query_hl=2&itool=pubmed_docsum
Functional studies of an HIV-1 encoded glutathione peroxidase. Zhao L et al. Biofactors. 2006;27(1-4):93-107. ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=17012767&query_hl=5&itool=pubmed_docsum
Saar Echo AIDS- Forschung – das große Roulette saar-echo.de/de/art.php?a=32564
Roberto Giraldo : EUROPEAN PARLIAMENT CONFERENCE ON AIDS IN AFRICA Brussels, December 8, 2003 robertogiraldo.com/brussels/montagnier.doc
Cocaine increases inducible nitric oxide synthase expression in rats: effects of acute and binge administration. Elliott JC et al. Int Immunopharmacol. 2003 Jul;3(7):1011-8. ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=12810358&query_hl=5&itool=pubmed_docsum
Methamphetamine-induced selective dopaminergic neurotoxicity is accompanied by an increase in striatal nitrate in the mouse. Anderson KL et al. ; Ann N Y Acad Sci. 2006 Aug;1074:225-33 ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=17105919&query_hl=9&itool=pubmed_docsum
Increased nitric oxide production by neutrophils from patients with chronic granulomatous disease on trimethoprim-sulfamethoxazole. Tsuji S et al. Nitric Oxide. 2002 Dec;7(4):283-8 ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=12446177&query_hl=19&itool=pubmed_docsum
Nitric oxide generated from isoniazid activation by KatG: source of nitric oxide and activity against Mycobacterium tuberculosis. Timmins GS et al. Antimicrob Agents Chemother. 2004 Aug;48(8):3006-9 aac.asm.org/cgi/reprint/48/8/3006.pdf
Nitric oxide as a bifunctional regulator of apoptosis. Young-Myeong K. et al. Circ. Res. 1999; 84; 243-256 http://circres.ahajournals.org/cgi/reprint/84/3/253.pdf
Sodium azide as indirect nitric oxide donor: researches on the rat aorta isolated segments. Iakovenko IN; Ukr Biokhim Zh. 2005 Jul-Aug;77(4):120-3 ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=16568613&query_hl=10&itool=pubmed_docsum
La partie pour le tout, Jean? Toi aussi alors, Bechamps et Tissot? il y a du monde à l’aimsib pour imaginer cette biologie-là…
Ah bon ?
Je rappelle le lien que j’ai posté dans un commentaire de l’article précédent, dans lequel Kary Mullis (oui, l’inventaire de la PCR) explique que personne n’a pu lui fournir la moindre publication prouvant que le VIH est la cause du Sida, pas même Luc Montagnier :
https://cv19.fr/2021/11/18/dr-kary-mullis-pourquoi-jai-commence-a-remettre-en-question-le-vih/
Et bien sûr les contagions des maladies par le microbes ou le virus n’existent pas … Le « varicelles parties » qu’organisent certains parents aux U.S et encore récemment en France pour leurs bambins « attrapent » la maladie et s’immunisent naturellement se leurrent complètement; Ce sont les « Microzimats » qui sont cause de tout….
La peste , transmise par la bactérie « Yersin » https://fr.wikipedia.org/wiki/Peste était ainsi selon vous dû à une déficience des « microzimats »
La « peste porcine Africaine » https://fr.wikipedia.org/wiki/Peste_porcine_africaine très contagieuse entre animaux de même groupe ne serait donc pas due à un Virus
voir pas exemple le paragraphe « Structure du virus et réplication »…et le dernier sur Vaccination.
Sincèrement je préférai votre article sur https://www.aimsib.org/2018/03/01/fonctionnement-electromagnetique-vivant-introduction-aux-decouvertes-de-louis-claude-vincent/
plus intéressant , garanti sans « Microzimats ».
Bonjour Dr Vincent Reliquet :
De nombreuses preuves existe concernant le rôle des Microzymas un de vos confrères en ma connaissance en a même rédigé une synthèse sous forme de cours :
https://www.neosante.eu/livre-pdf/COURS%20GLOBAL%20MICROZYMAS.pdf
De plus un documentaire très intéressant existe sur le rôle du terrain immunitaire et la santé mettant en avant le fameuse théorie de Béchamp !
https://odysee.com/@cv19:b/TerrainLeFilm:1
A vous maintenant de vous en faire une idée !
De grâce @ jengi, si vous ne mettiez que le lien en anglais et le texte en Français par Google translate autre. Ce serait plus engageant à lire. Merci de votre compréhension.
Je vais rechercher l’original en français (et là, je ne le retrouve pas, c’est un comble). Un de mes collègues agrégé d’anglais avait fait la traduction !
en Français traduit par deepl. traduction :
Après avoir examiné les dernières publications majeures sur le VIH et le SIDA en 2006, j’ai conclu que l’orthodoxie a confondu la partie avec le tout.
Les travaux de Benigno Rodriguez et al, publiés en septembre dernier, montrent que la charge virale n’explique qu’environ 5% du déclin des cellules immunitaires CD4+.
Une autre étude intéressante, celle de Huber et al, publiée en décembre, me rappelle que les cellules immunitaires apoptotiques sont elles-mêmes la source de particules « infectieuses », indépendamment de toute infection. C’est vrai pour les macrophages, mais c’est très probablement aussi vrai pour les lymphocytes.
Enfin, je me demande si le VIH n’est pas simplement un signal naturel de mort cellulaire, mais si faible qu’il passe inaperçu chez une personne saine.
En fait, alors que le mécanisme de l’apoptose n’est bien compris que depuis une dizaine d’années, en particulier sa biochimie, qui implique les oxydes d’azote, les peroxynitrites (Zhao et al), et les protéines qui les contrôlent (ainsi que les réducteurs associés – les thiols), les recherches des années 1980 se sont concentrées sur quelque chose (le VIH) qui est associé à la chute des lymphocytes, mais qui n’en est pas la cause première.
La nature endogène du vih peut être vérifiée par quelques faits :
Personne, à l’exception d’une personne consommant une HAART (Highly Active Anti-Retroviral Therapy) n’a une charge virale nulle.
Un exemple : Le médecin de Francfort Juliane Sacher a réalisé une expérience fascinante : « J’ai prélevé mon propre sang et l’ai mis dans deux tubes. L’un a été envoyé sous mon nom au laboratoire pour un test d’anticorps, mais l’autre a été envoyé sous le nom d’un de mes patients séropositifs pour mesurer la charge virale dans le même laboratoire ». Elle a reçu les résultats quelques jours plus tard : « le sang testé sous mon propre nom était négatif, mais le sang qui a été envoyé sous le nom de mon patient, avait une charge virale de 1800. »
Notez que Frau Sacher n’était pas séropositive. Pourquoi est-ce important ? Eh bien parce que la séropositivité implique la détection d’une quantité d’anticorps supérieure à une limite (cut off). Une personne normale présente également ces anticorps, mais seulement en petites quantités. Il est normal que de petites quantités de ces vésicules (appelées VIH) soient présentes, car elles sont nécessaires pour permettre l’apoptose.
Il existe de nombreuses publications de Kion et al, Faulk, Labarrère et al et Panem et al.
Mais ces microvésicules ne sont pourtant pas des HERVs (Human Endogenous Retro-Viruses). D’où viennent-elles ?
Les mécanismes de l’apoptose cellulaire et donc celle des lymphocytes ont été minutieusement étudiés, montrant que le processus implique un très grand nombre de protéines ou autres molécules. Il semble de plus en plus certain que le facteur essentiel est la formation normalement endogène de peroxynitrites (Zhao et al). Luc Montagnier insiste sur le fait que le stress oxydatif était responsable de cette apoptose. Nous pouvons aller plus loin et réaliser qu’elle est due à l’action des peroxynitrites.
Ce processus naturel serait donc amplifié dans le SIDA. Pourquoi ? N’oublions pas qu’il nous reste à expliquer 95 % de la mort des lymphocytes.
Je pense que les véritables causes du SIDA, telles que décrites par les professeurs Duesberg et Bialy, sont des pratiques telles que l’abus de drogues qui interfèrent malheureusement avec ce processus naturel, car elles sont la source de quantités massives de peroxynitrites. Ceux-ci sont formés par une réaction très rapide du monoxyde d’azote avec un produit normal de la respiration cellulaire, l’ion superoxyde.
De nombreux composés consommés dans les années 1960-1980 sont des donneurs de monoxyde d’azote. Cela inclut les drogues récréatives : les nitrites (connus sous le nom de poppers), les amines tertiaires comme la cocaïne et les amines secondaires comme le crystal meth. Tout le monde sait que la pilule pharmaceutique Viagra permet à ses utilisateurs de maintenir la quantité de monoxyde d’azote à un niveau élevé.
Enfin et surtout, on trouve des donneurs de monoxyde d’azote dans tous les médicaments qui contiennent une liaison entre un azote et un atome (chlore, azote, oxygène) dont l’électronégativité est supérieure à celle du carbone. Exemples : bactrim (cycle isoxazole) ; chloramphénicol (maintenant surtout utilisé dans les pays en voie de développement), métronidazole, nitrofurantoïne (composés nitrés) ; isoniazide contre la tuberculose (surtout en Afrique) (un hydrazide) et AZT (azide : les alkyl-azides agissent comme des azides ioniques).
Mais ces donneurs de monoxyde d’azote ont une action anti-apoptotique tant que la quantité de glutathion (et de glutathion peroxydase) est normale (le glutathion transporte le NO en excès). Dans le cas contraire, ils ont un effet apoptotique.
Luc Montagnier et d’autres ont remarqué que les malades du SIDA ont un énorme déficit en glutathion. Ceci est dû aux donneurs de monoxyde d’azote décrits ci-dessus, qui sont aussi des oxydants capables de détruire lentement le glutathion (thiols) pour donner des composés qui ne peuvent pas être métabolisés (sulfates). Un bon exemple est le premier médicament approuvé contre le SIDA : L’AZT.
La porte est alors ouverte à la synthèse massive de peroxynitrites qui provoquent l’apoptose massive des lymphocytes. Lors de cette apoptose, ces lymphocytes libèrent en grande quantité les fameuses microvésicules que l’on appelle VIH (d’où une augmentation de la charge virale et des anticorps).
Comment expliquer l’action bénéfique initiale de l’AZT, mesurée dès les premières semaines de l’essai de Fischl et al ?
C’est que l’AZT réagit facilement avec les peroxynitrites pour produire du NO et un effet anti-apoptotique. Mais cet effet ne dure pas, et peu à peu le NO formé retrouve ses propriétés apoptotiques du fait de la déplétion du glutathion.
L’anneau sulfuré du 3TC (alias Lamivudine), un autre analogue nucléosidique utilisé pour traiter le SIDA, est facilement oxydé par les peroxynitrites, (voir Carey et Sundberg et la réactivité des acétals sulfurés avec l’ion nitrosyle NO+), et a ainsi entraîné une diminution importante de l’apoptose des cellules CD4+ chez les patients sidéens médicamentés à partir de 1996.
Cette hypothèse explique pourquoi l’orthodoxie s’en est tenue au modèle du virus infectieux, prenant la partie pour le tout, pourquoi Peter Duesberg a toujours défendu l’existence du virus, mais en réalisant qu’il n’expliquait pas le SIDA.
Cette explication permettrait également de comprendre la position du Groupe de Perth et d’Etienne de Harven (stress oxydatif).
Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Bien sûr, la première tendance, attendue d’ailleurs, est de vouloir parler de l’origine du sida. Ce serait passer à côté du problème le plus révélateur mais qui n’est pas celui qui intéresse le plus dans un premier temps : le vaccin polio oral utilisé expérimentalement au Congo Belge entre 1956 et 1958 était-il produit sur chimpanzé ou sur une autre espèce de singes ?
Hilary Koprowski, le créateur de ce vaccin, affirmera catégoriquement que non alors que tous les faits rassemblés, que l’on peut retrouver dans le documentaire réalisé par 5 télévisions et que je décrirai dans le prochain article, démontrent que oui, catégoriquement oui ! Cette contradiction entre les déclarations et les faits est la question posée ici et non pas, comme je l’ai précisé au début de cet article, de discourir sur les origines du sida, ce qui fut dans le passé le plus sûr moyen qui fit passer à côté de ce qui aurait pu permettre d’avancer significativement.
D’ailleurs ce fut la stratégie utilisée par les adversaires (je n’ose dire ennemis …) de Hooper : présenter son enquête minutieuse comme une théorie, ce qui permettait d’escamoter les faits dont il avait révélé l’existence et qui furent mis en image par le magnifique travail de plusieurs télévisions de plusieurs pays.
On verra tout cela dans le prochain article. En attendant je vous suggère de visionner ce magnifique documentaire fruit d’un travail exemplaire et malheureusement exceptionnel. Nos journalistes actuels pourraient en prendre de la graine.
J’ajoute que l’enquête de Hooper mise en images par le documentaire illustre parfaitement la façon dont ils osent expérimenter sur les populations humaines. A l’époque, l’OMS avait protesté contre ces expérimentations mais aujourd’hui ? On voit combien ce documentaire est d’une brulante actualité.
Ceci pour suggérer aux commentateurs trop pressés qu’il y a d’autres thèmes à retenir que de se focaliser sur l’origine du sida qui est, par un conditionnement facile à identifier, la première chose à laquelle chacun pense mais qui réalise une sorte de détournement d’attention comme savent le faire les magiciens. L’origine du sida, on verra plus tard !
On ne peut rester dans les clous que tu nous fixes, Bernard.
Tout ce documentaire n’est basé que sur l’infection par virus.
Cela me rappelle « l’effet de cliquet » (voir l’article précédent sur l’ICS).
C’est un cliquet énorme à faire sauter et les résultats dramatiques des expérimentations passées et présentes montrent à quel point il est temps.
Le virus du sida n’a jamais été isolé (1), quant à celui de la polio sans doute pas plus que celui de la rougeole (2).
On a pu trouvé des gènes dits ‘viraux’ spécifiques à chaque maladie, c’est ce qu’il semble. Mais à aucun moment il n’a été envisagé que ces gènes soient produits par les organismes eux-mêmes suite à un déséquilibre interne qui peut avoir été provoqué par une intoxication en particulier.
La polio a disparu avec la fin de l’utilisation abusive du DDT.
Au Maroc, dans les années 50 les avions passaient régulièrement au dessus de nos têtes et larguaient du DDT, j’en sens encore l’odeur et cette sensation d’imprégnation qui persiste dans mon esprit.
Je me revois alors que le médecin enfonçait une aiguille dans mon pied sans que je ne sente quoique ce soit (je n’étais pas bien grande), je ne pouvais plus marcher. Etait-ce la polio ? Probablement. Je m’en suis remise en tout cas, le médecin connaissait-il les travaux du pr Delbet sur le chlorure de magnésium?
La version endogène du sida (et sans doute de la plupart des maladies) proposée par Jengi ci-dessus me semble bien plus fiable. Le perte de la réserve d’anti-oxydants de l’organisme (sous forme de glutathion) est de toute évidence à la perte d’immunité. La notion de terrain expliquée par Louis Claude Vincent explique que l’immunité correspond à un terrain sain, la perte d’immunité pouvant provoquer le développement de différentes maladies correspond à un déplacement du terrain en dehors des limites de santé (3).
Le déplacement du terrain a toute les « chances » d’être provoqué par un vaccin, qui en réalité intoxique l’organisme bien plus à cause des adjuvants que des cellules externes, je parlerais plutôt de microzymas étrangers qui eux ne se développent pas lorsqu’ils ne sont pas « chez eux ». Les vaccins peuvent être très oxydatifs, et l’organisme utilise alors sa réserve de glutathion. N’est-ce pas ce qui se produit en ce moment avec la perte d’immunité provoquée par les vaccins anti-covid ?
Vincent, il va falloir que tu retiennes l’orthographe du nom de Béchamp sans « s » parce que nous sommes plus que jamais au pays de « Béchamp ». Le cliquet va sauter !
(1) https://www.youtube.com/watch?v=LB2JyBnlE7w
(2) https://cv19.fr/2021/06/02/le-culte-de-la-virologie-documentaire/
(3) https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/la-bio%C3%A9lectronique-1/
ou https://www.aimsib.org/2018/03/01/fonctionnement-electromagnetique-vivant-introduction-aux-decouvertes-de-louis-claude-vincent/
Hmm ! Béchamp et Tissot, je n’ai pas vraiment fréquenté leurs écrits. Pour moi, l’important vient de Hahnemann, tel que l’enseigne Edouard Broussalian.
L’expérimentation et la pratique de cette méthode m’exonère de rechercher les petites bestioles qui rendent malade. Quelque part, on se moque de leur existence et de leur nature.
C’est pourquoi on a alors l’esprit libre pour envisager des mécanismes différents de ceux proposés par la doxa, et pour moi en particulier des mécanismes biochimiques faisant intervenir des réactions bien documentées depuis des décennies, voire même des interactions électromagnétiques qui respectent les grandes découvertes en la matière du XIXe et du XXe (Maxwell, Pauli, Heisenberg,…).
A l’appui de ce que tu dis, Jengi, et pour ceux qui veulent comprendre., Edouard Broussalian et d’autres médecins d’expérience expliquent dans cette vidéo intructive et passionnante :
https://www.youtube.com/watch?v=i1RNmmybJqM&t
Eh bien soit curieux, Jengi, c’est le moment où jamais et tu feras le lien avec lien avec ce que tu sais déjà.
Parce que tout se tient justement et c’est parce ce que cela devient limpide à l’opposé de toutes les contradictions et « consensus » de la « science imposée, que cela à toutes les chances d’être la réalité à creuser.
J’introduis çà sur mon site, de mon mieux :
https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/
Je crois que cette guerre entre les virus qui n’existent pas et les gens qui tombent malade pour des raisons inconnus du coup est une mauvaise guerre.
Tout ne peut être expliqué par le terrain. Il y a AUSSI des éléments extérieurs qu’on les appelle virus, vibrations, ondes, punitions divines… ne change pas le fait qu’il y a des facteurs externes.
Ces facteurs n’expliquent pas tout, mais les nier c’est se voiler la face. Il faudrait plutôt s’efforcer de « réunifier » les 2 théories dans une théories plus grande les englobants. Ce serait comme la relativité globale qui est aussi la relativité restreinte et aussi la gravité….
Cette tentative de réconciliation et de réunification ferait peut être émergé un nouveau savoir bénéfique pour la santé humaine.
Hervé le grand Pacificateur! Il ne reste plus qu’à la rédiger, la Grande Théorie Réunificatrice, tout le monde l’appelle de ses vœux! Bon courage!
La polio a disparu, là où elle a disparu, grâce à la maitrise de l’eau consommée par les populations, ce qui demande aussi la maitrise des eaux usées, les virus polio (s’il est encore permis d’écrire ces mots …) étant des entérovirus qui peuvent circuler par les excréments des humains (il n’y a pas de réservoir animal). Là où cette maitrise n’existe pas, les virus polio, sauvages puis d’origine vaccinale, continuent de circuler même sans DTT (plutôt que DDT mais c’est pas grave).
Je vais essayer de vous répondre Jengi. J’ai été passionné dans les années 70, il y a 50 ans, par la découverte de Tissot sur le réseau mitochondrial connexe, structuré un peu comme un grillage, reliant le noyau à la membrane. Il a pu obtenir cela après de multiples essais pour préparer les cellules avant de les passer sous microscope car l’essentiel est là : les procédés utilisés détruisent le réseau connexe pour le laisser en objets éparses auxquels il a été donné des noms (mitochondries, ribosomes, lysosomes, appareil de Golgi, vacuoles) et d’autres auxquels il n’a pas été donné de noms car on ne les retrouve pas systématiquement (formes en Y, en anneau, en bissac). Elles étaient considérées comme des anomalies inexpliquées.
Mais si le réseau photographié par Tissot de multiples fois (et j’ai les photos), vous le réalisez avec de la glace, que vous le jetez au sol et le laissez au soleil, vous verrez des bâtonnets dispersés (mitochondries), des Y etc…une partie étant fondue (lysée) par les produits utilisés pour la préparation.
Pour Tissot, tous ces objets n’existent pas dans une cellule saine. Ces destructions peuvent évidemment s’opérer aussi in vivo par l’action de médicaments et de toxiques divers. D’où tout l’intérêt qu’il y a à ne surtout pas retrouver la méthode de préparation de Tissot : vous expérimentez sur un médicament ayant une action destructrice de ce réseau puis, pour l’observer au microscope, vous traitez les cellules comme à l’ordinaire. Vous ne verrez pas que le médicament a détruit une structure connexe et harmonieuse puisque vous êtes dans l’ignorance de son existence… Vous déclarerez le médicament inoffensif pour la structure cellulaire cytoplasmique.
Tissot a clairement montré que la partie entre noyau et membrane était structurée par un réseau connexe et harmonieux d’organites haltères (des mitochondries avec une boule à chaque extrémité) et que ces haltères sont reliées entre elles par leurs boules.
L’homéopathie est une démarche passionnante et j’en fus le bénéficiaire. L’action du produit n’est possible que s’il y a résonance vibratoire entre le produit et la personne qui le reçoit. C’est la loi de similitude formulée autrement et qui permettrait une approche scientifique de l’homéopathie. Je teste sur moi-même des produits homéopathique par résonance pour savoir lesquels peuvent m’être utiles à un moment donné. Par exemple pour distinguer entre arnica 9CH et arnica 5CH.
Lectrice naïve, car ni médecin, ni spécialiste, je me réjouis de cette passionnante controverse dont l’issue est, comme le dit Brigitte Fau, la disparition d’un « verrou » idéologique : la théorie de la cause unique des maladies; comme dit mon homéopathe, « toutes les maladies sont multifactorielles.
La théorie du méchant agent infectieux qui vient attaquer un organisme sain naît avec la « rationalisation » de la conception du monde à la fin du XVIIIè siècle.
J’ajoute, naïve que je suis, que la rationalité consiste à simplifier les problèmes pour les rendre plus faciles à résoudre, ce qui marche pour fabriquer une table, mais pas pour intervenir sur des systèmes complexes comme le corps humain.
La discussion est ouverte…
Non, je ne suis pas un pacificateur mais plutôt un combattant acharné teigneux et pouvant être de fort mauvaise compagnie.
Dans le cas qui nous occupe, je suis attristé (comme quoi je peux aussi rester poli) de voir les rebelles à la mafia médicale qui prend toute la place dans la santé actuellement se pougner entre eux. Qui prenant l’autre pour un charlatant parce qu’il défend une thèse ou l’autre : homéopathie uniciste ou pas, chiro, énergie, vaccins, onco, virus ou pas, terrain ou pas.
Et pendant que les rebelles se pougnent entre eux, l’autre affreux annonce notre prochain vaccin obligatoire : un multivariant. Ce serait dans un film comique, ce ne serait même pas drôle.
Pour revenir à cette unification, le problème de fond n’est pas de l’écrire, parce qu’il y a des gens de bonne facture ici ou ailleurs, mais de commencer à la penser… mais personne ne le veut. Que le terrain soit partie prenante est une évidence. vouloir évacuer toutes causes externes me fait hoqueter. qu’on l’appelle virus, méteo, froid, chaud, punition divine, vouloir tout supprimer me semble un poil exagéré.
J’avais commis un commentaire sous une autre publication qui n’eut pas l’air d’être considérée. Mais en gros je rappelais ce que disait montagnier (luc pas gilbert) à propos du virus (?) du sida. On en trouvait la présence ET une vibration chez les gens positifs. On donnait un traitement et le virus (?) disparaissait (on ne pouvait le trouver) mais restait sa vibration. en stoppant le traitement, le virus (?) ré-apparaissait « comme par magie » (expression tout personnelle). Une de ses idées qui m’avaient semblée comprendre était qu’il était possible que la vibration « re-créait » le « virus ». Il se passe quelque chose que nous ne comprenons pour le moment pas.
Allez dire aux hémophile décédés de la gestion responsable mais non coupable de l’actuel président du conseil constitutionnel (là également même dans un film comique ce ne serait pas drôle) que c’est leur terrain qui les a terrassés du VIH-SIDA.
Ne vous fâchez pas Hervé_02,
Mais dans un monde où un corpuscule peut n’être qu’une onde, voire une simple expression d’énergie, force est d’admettre que les Sapiens Gentils puissent chercher quelque peu en désordre…
Tout cela me fait penser aux multiples tribus gauloises face aux légions de César. A Alésia un de ces chefs indépendants décida de contre attaquer plutôt que de tenir les lignes de défenses en attendant les renforts qui étaient en route. César n’aura plus qu’à envoyer ses légions dans la brèche et ce sera la fin …
Comme le décrit très bien Hervé_02 c’est les tribus gauloises face aux légions de Big Pharma. Les homéopathes disputent sur l’unicisme sans se demander si dans 10 ans ils pourront encore exercer ni si les pharmacies auront encore le droit de vendre des médicaments homéopathiques. Le virus de la rougeole n’existerait pas mais l’OMS veut l’éradiquer et n’y parvient pas. Peu importe, face aux légions de Big Pharma on a l’arme absolu, le microzyma.
César avait mis toutes les tribus gauloises d’accord. Oui, je sais, toutes sauf une car elle avait la potion magique préparée par le Druide…
Et pendant que l’on se bat, on n’a pas le temps de travailler à comment modifier notre terrain (et celui de nos enfants) pour qu’ils ne soient pas sensibles aux maladies, que les maladies infantiles les traversent pour les renforcer sans les abîmer et sans avoir besoin de « vaccins ».
Et surtout que ces travaux ne soient pas relégués au rang de délire de bitnick qui fabriquent des colliers de cailloux.
Pour que l’on ait une petite vision flash de ce qui se passe : Il y a quelques années, on a fait un scandale sanitaire nationale (menant aux 11 vaccins obligatoires) de 3 morts de la rougeole en 10 ANS en france. et aujourd’hui plus de 1000 morts _déclarés_ en 1 an, rien qu’en france, suite aux vaccins ne fait que préparer aux 3 doses suivantes d’un nouveau vaccin expérimental mal étudié.
Je ne sais pas comment vous arrivez à intégrer cette simple mise en lumière sans préparer l’échafaud pour cette armada de blouses blanches qui décident et exécutent.
Que le virus existe ou pas, de mon point de vue, je trouve que les pendre tous est la première action à mener, ensuite nous regarderons cette question ensemble.
Et, voilà pourquoi votre fille est muette !!!…..
La moindre des politesses aurait été de mentionner le destinataire de votre foucade.
Hâte de lire la suite, il est temps que les populations soient informées mêmes si elles ne sont pas encore prêtes à tout entendre, leur petit monde va s’écrouler et la suite sera sûrement très compliquée, mais ne devons-nous pas en passer par là ???
Heureuse de vous lire!
Jengi parle des travaux de Peter Duesberg sur l’origine du sida. j’avais reçu le 10 juin 1996 la traduction du papier de Duesberg « la contraction du sida par toxicomanie et autres facteurs de risque non contagieux ». Un texte de 110 pages que j’avais lu plusieurs fois à l’époque. Je n’avais pas et n’est toujours pas la compétence pour apprécier son argumentaire mais une chose me parait certaine, il doit pouvoir être contester ou du moins ne pas refléter toute la réalité, même si ses travaux en exprimaient une.
Cela me fait penser à la tuberculose, thème que je connais un peu mieux. Il ne fait aucun doute que le BK ou plutôt MT le mycobacterium tuberculoses est l’agent constructeur des tubercules de la maladie. Cela ne veut pas pour autant dire qu’il en serait LA cause même s’il est possible de provoquer la maladie sur l’animal en le contaminant avec un BK comme cela fut réalisé de très nombreuses fois et en particulier par le vétérinaire Camille Guérin expérimentant les effets du BCG sur des bovins à l’Institut Pasteur de Lille il y a 110.
Beaucoup de personnes ont été infectées par des BK sans pour autant faire la maladie et, je le disais ici il n’y a peu, on peut faire une tuberculose sans avoir été contaminé par un BK venu de l’extérieur comme Tissot en avait apporté la démonstration.
On pourrait alors envisager que le VIH, virus de l’immunodéficience humaine, puisse ne déclencher la maladie que si d’autres conditions sont aussi réalisées comme celles pointées par Duesberg. A ce sujet, Cecil Cole, que l’on voit dans le documentaire, explique que des chimpanzés massivement contaminés par des VIH (ou VIS je n’ai pas vérifié) supportent très bien l’infection et que de ce point de vue « les chimpanzés sont absolument fascinants ». Il pose alors la question « pourquoi l’homme ne peut pas en faire autant ? »
Peut-être justement en raison des accumulations toxiques qui ne frappent pas le chimpanzé ? Voilà en tout cas une information puisée dans le très riche documentaire et qui pourrait alimenter les réflexions plutôt que d’écarter d’un revers de main tout ce qui ne correspond pas aux idées préconçues auxquelles on a pu adhérer. Il est difficile pour chacun de se remettre en cause. Hooper a enquêté pendant 17 ans avant de tout rassembler dans un document de 1200 pages. La force et la précision de son argumentaire avaient contraint Koprowski à répondre et cela ira jusqu’à un symposium organisé à Londres en 2000 et où les deux hommes se retrouveront dans la même salle avec les plus grands médias pour assister et filmer la conférence de presse.
De plus, même si le sida n’avait rien à voir avec un virus, la science officielle le croit et en est convaincue. Il est alors très intéressant d’observer comment cette communauté de scientifiques a réagi par rapport à la possibilité que le virus de l’immunodéficience du singe aurait pu passer à l’homme et s’y adapter par le relai de vaccins produits sur des chimpanzés. C’est cette réaction pour le moins intense et violente, qu’a constaté Hooper, à ses dépens d’ailleurs, et que le documentaire relate fort bien.
Force est de constater que la tentative de Duesberg de faire passer l’idée que le sida avait une autre origine que virale et qui date d’au moins 25 ans, a échoué. Cela ne veut pas dire qu’il avait tort sur tout mais qu’une telle approche n’apporte plus rien actuellement. Il faut aussi avoir un peu de sens stratégique et comprendre qu’il faut essayer autrement.
Quel argument, Bernard ! « qui date d’au moins 25 ans », c’est archaïque donc obsolète, selon toi !
Tu sais pourtant, la censure qui sévit et la volonté de maintenir les scientifiques sur les rails de dogmes faux. Pour c’est une évidence parce que Béchamp c’était avant 1883 (date de son livre les microzymas) et pourtant…. mais Stefan Lanka est un contemporain et il a renoncé au titre de virologue en remettant en cause la notion de virus.
Tu n’as pas regardé les vidéos en référence (1) et (2) dans mon commentaire.
Tu devrais. J’ai introduit la (2) de cette manière sur mon blog :
https://www.bonnes-habitudes.fr/2022/01/26/science-avez-vous-dit/
Non Brigitte, en disant que cela datait d’au moins 25 ans je ne voulais pas dire que c’était archaïque et obsolète. C’était juste pour dater et de façon neutre sauf que cela montrait que dans l’espace « scientifique » cette concept ion avait échoué à s’imposer, ce qui ne veut pas dire qu’elle soit totalement fausse, d’ailleurs je l’avais mentionné dans mon texte.
La première fois que j’avais rencontré une fan de Béchamp, c’était en 1975. Elle était pharmacienne et ramenait tout à Béchamp et aux microzymas. Il y a là un phénomène humain étonnant et que je ne m’explique pas très bien mais dont on doit constater la réalité. Elle oubliait que Tissot lui même avait exposé dans son ouvrage de 1946 certaines erreurs d’observations commises par Béchamp.
Pour en revenir au formidable travail d’enquête réalisé par Hooper et mis en images par 5 télévisions de 5 pays dans le documentaire, constatons que les Koprowski, Plotkin et autres dont l’OMS ont plus que manifesté leur désir de faire de tout ce travail colossal, surtout pour un seul homme, un délire « fumeux » puisque ce fut le terme utilisé en conclusion du symposium de Londres sur le sujet. Cette conclusion serait donc partagée par ceux qui nient l’existence des virus, même ceux de la polio et de la rougeole et qu’il n’y a donc rien à tirer de cette recherche parfaitement fumeuse. Koprowski, s’il est encore vivant et ses complices dont le douteux Plotkin pourraient être surpris d’avoir de tels soutiens après avoir passé beaucoup de temps et d’énergie pour marteler leurs contre-vérités sur la question, la principale étant que le vaccin expérimental de Koprowski n’aurait pas été préparé sur des chimpanzés.
La question de l’utilisation de chimpanzés est en effet au centre de l’enquête de Hooper et de la seconde partie du documentaire (après 49mn). Elle est d’une autre nature que celle de la transmission virale et sera l’objet principal de la suite de cette article. L’obsession du sida et de son origine a pour effet pervers d’occulter cette question centrale, devenue centrale et incontournable en raison de la négation obstinée de Koprowski qui voulait faire croire qu’il faisait produire son vaccin au Congo sur des singes venus de l’Inde ou des Philippines alors qu’une chimpanzerie, propriété du laboratoire où était produit le vaccin et qu’il avait lui-même inaugurée, se trouvait à quelques kilomètres …
Merci à Inoxydable d’aller au charbon …Pour ma part je ne vois pas ce qu’on a à gagner en niant la contagion qui existe aussi même si des pathogènes peuvent se former sur des animaux et des humains par dégradation de ces organismes. Mais ils peuvent s’en échapper et poursuivre leur vie de façon indépendante de l’organisme créateur en contaminant d’autres organismes sur lesquels ils pourront se développer et générer des maladies.
C’est exactement ce qui peut se produire avec le bacille tuberculeux dont Tissot avait montré dès 1936, grâce à un mode original de préparation des tissus, qu’il se présentait en filaments et non en bâtonnets, fait qui sera redécouvert 40 ans plus tard et que ces filaments résultaient de la dégradation du réseau mitochondrial dont il avait photographié la structure connexe et non pas dissociée.
Merci Bernard pour avoir apprécié mon commentaire un peu ironique sur la contagion; Vous le savez, je suis loin d’être un scientifique mais je suis plutôt , disons, pragmatique et curieux; Je vais vous donner un exemple de contagion animale dans lequel le terrain (encore que …) tout soit possible) ni les Microzimas ‘ont rien à voir.
j’ai vécu dans ma petite jeunesse dans une petite ferme provençale d’un village au nom de Rocquevaire. Mon père ,ouvrier boucher charcutier de son état en usine de production charcutière (vrais jambons à l’ancienne non piqués à la saumure.;) , qui entretenait entretenait toute la propriété appartenant à sa soeur, améliorait l’ordinaire en élevant des cochons mis bas par une truie; Magnifique rendement qui a fonctionné quelque temps. Un jour, alors qu’une épidémie de peste porcine sévissait dans la région, il fait venir le vétérinaire qu’il connaissait pour contrôler son petit élevage qu’il bichonnait et nourrissait sainement aux issues de blé et des restes de légumes de notre propre production généreuse, tout allait bien ..; sauf que, quelques jours plus tard, la truie mise à l’écart de ses petits devenus plus grands, a donné des signes de maladie que mon, paternel, véritable connaisseur en matière d’animaux de ferme, à reconnu comme étant les signes de la peste que lui avait décrit le véto quelques jours auparavant.
Cela a signé la fin de l’élevage car il a immédiatement sacrifié les bêtes saines ce qui nous a valu de la viande pendant un bon moment, des charcutailles et du jambon pendant des mois, il en a distribué à la famille et amis, la truie malade est partie à l’ équarrissage.
Je pose la question : Comment peut-on dire qu’il n’y a pas eu contagion à travers un porteur étranger ( véto qui sans doute n’y pouvait rien) alors que toutes les bêtes étaient saine, bien traitées, propres et entretenues , quel rôle des supposés « Microzimas » là-dedans?
Je pense que notre amie Brigitte Fau, que je respecte cependant a elle même « l’effet cliquet » qui lui interdit de revenir ou de relativiser sa théorie sur sur les Microzimas qui gèreraient la vie et la santé depuis l’aube des temps.
Quelle horreur toutes ces sacrifices au nom du microbisme.
Mais oui, Bernard, Inoxydable, mes amis, tout va bien.
Merci à vous.
Nous partageons, nous échangeons, n’est-ce pas l’exemple à donner.
Il faut accepter que l’on puisse ne pas avoir le même point de vue.
Ceux qui suivent se feront (ou pas) leur opinion en fonction de leur approfondissement, et de leurs connaissances à condition de s’en méfier.
Il y a des moments où je fatique à tenter d’apporter des éléments qui se heurtent à l’incompréhension parce que remuant trop d’acquis à remettre en question.
J’ai eu cet effet de cliquet en 2018, ce n’est pas simple et j’avais l’impression d’avoir tellement été trompée, piégée.
Et, Inoxydable, bravo, tu résumes parfaitement ce que je pense,
sachant que cela s’appuie sur des faits dûment éprouvés par Béchamp.
« Ce sont les Microzymas qui gèreraient la vie et la santé depuis l’aube des temps. »
Tissot n’a pas eu la même approche que Béchamp, Bernard, et il utilisait un matériel plus évolué. Mais l’un et l’autre mettent en évidence la vie en nous.
Béchamp a apporté une approche globale de la notion d’organisme vivant végétaux et animaux, qui peut se décrire comme Inoxydable le fait.
C’est puissant et réaliste et surtout démontré par ses travaux rigoureux et quelques rares expériences récentes.
Duesberg était manifestement en porte à faux : Il prétendait que le sida n’avait rien à voir avec les particules appelées virus, alors que le lien était évident. Comme il était virologue, il ne pouvait pas intellectuellement dénier le caractère viral de ces particules. La seule solution pour lui eût été de renoncer à ce caractère viral. Montagnier a également évoqué le « stress oxydatif », mais sans oser aller plus loin.
Yes !!! Jengi. « Renoncer à ce caractère viral » tout juste ! C’est la notion à « décliquer » pour avancer enfin.
D’abord merci à Bernard G pour l’article, aux précédents rédacteurs de ce début d’année pour les leurs, puis aux commentateurs pour toutes leurs contributions… qui j’espère permettront de nous rapprocher un peu à la fois d’une perception « quantique »…
Toutes mes excuses au passage de ne pas avoir participé aux commentaires des derniers articles, faute de temps, mais que j’ai lus tout de même…
Moi même j’en étais resté, rivé, à la version de Duesberg que je ne me permettrais pas de prendre pour un imbécile… la théorie des poppers, de ces californiens drogués, déjantés,… et à raison de leurs systèmes immunitaires défaillants à différents degés, et peut-être d’une possible exploitation médiatique malveillante au bénéfice de l’Industrie pharmaceutique…
Cependant je me dis que ce l’on nomme « virus » ne serait peut-être qu’une réaction cellulaire de l’organisme face à un déséquilibre immunitaire – aux raisons variées – , ce qui expliquerait *** peut-être… *** l’impossibilité de les isoler en raison de leur existence aussi éphémère que singulière, pour au final vouloir seulement vérifier le basique postulat de Koch… auxquels l’un ou l’autre (sida, hépatite A, B, ou C, rougeole,…) ne répond pas.
Hypothèse qui ne me semble pas trop absurde (je suis ouvert aux contradictions) plutôt que de nier l’existence d’une manifestation organique (consécutive à une altération (momentanée ?), d’un équilibre « homéostatique » que l’on nommerait pour l’identifier « virus ».
Mettre un nom sur les choses, les êtres, et tout ce qui nous entoure nous fait remonter à la Genèse…
Nous pourrions être parfois, en fonction de bévue, de malvoyance, prisonnier de nos propres mots, maux, de nos grilles de lecture de l’univers, du vivant, la biologie, science molle par excellence comme la médecine, n’y échappe pas.
Si mon hypothèse pourrait réconcilier les chapelles qui prennent les virus pour des faits organiques certains, indépendants, à l’instar des bactéries, j’entends des sortes de monades oragniques mais sans qu’elles ne pourraient se passer d’être « parasites », hôtes cellulaires… (malgré que aucun n’ a jamais jusqu’à présent été isolé, ce qui est suspect…), ou arrondir les angles de postures contradictoires…
Ce qui me fait pencher vers cette approche, après des années de recherches personnelles, en revient à la thèse contradictoire du Dr Geerd Hamer sur les causes du cancer…, c’est un autre sujet (immense !) j’en conviens, mais il pourrait nous coûter de négliger des « analogies »… qui relèvent de l’observationnel (je suis d’accord) mais ne prenons pas l’Evidence Base Medecine comme outil unique de nos propres analyses.
Bien à vous tous, prenez soin de vous, tous les conseils de l’Aimsib vous accompagnent…
Genèse du Cancer, Dr Ryke Geerd Hamer
(Revue Le chant de la licorne. No 10. Été 1985)
« J’avais cherché le cancer dans la cellule et je l’ai trouvé dans une erreur de codage du cerveau » RG Hamer
Les textes qui suivent sont extraits d’un livre de plus de 500 pages paru en allemand au début des années 1980.
https://www.revue3emillenaire.com/blog/genese-cancer-dr-ryke-geerd-hamer/
Sur ce sujet, 3 cas de cancers extrêmement proches de moi, un du sein (ma mère, veuve…), un du canal biliaire (un ami très proche qui a subi un home-jacking en pleine nuit), un à la fois du cerveau et poumon (mon frère avocat acculé pour quelques dettes par des huissiers…)
Merci Njama pour ce rappel des travaux de Hamer.
Lui aussi en a bavé avec la pensée unique.
Jengi,
Luc Montagnier a pillé la théorie du stress oxydatif au brillant Groupe de Perth (Australie occidentale), les meilleurs dissidents du « VIH »/SIDA, en se gardant bien de les nommer au passage.
Cher Bernard,
La tentative de Peter Duesberg a échoué parce qu’il a contribué avec sa clique de fans « Rethinking AIDS » à torpiller le mouvement des dissidents avec une théorie du « VIH » inoffensif et passager (innocent et furtif en totale contradiction avec son acronyme) dont il savait très bien qu’elle était totalement fausse.
De son propre aveu, Duesberg continue de changer son histoire et d’en inventer de nouvelles.
Un coup, Montagnier a réussi à isoler le « VIH » en 1983.
Un coup, après avoir entendu le Groupe de Perth, Montagnier n’a pas prouvé son existence par l’isolement comme il le prétendait.
Puis, que ça n’a pas d’importance, l’existence du « VIH » ayant été confirmée à postériori par le génie génétique et la cristallographie !
Il avoue ensuite sans complexe qu’il n’admettra jamais avoir eu tort pour ne pas mettre en péril toute la rétrovirologie (donc toute la virologie par la même occasion) mais aussi toute la biologie moléculaire qu’il enseigne pour gagner sa vie en tant que professeur, affirmant au passage qu’il a beaucoup trop à perdre !
Enfin, il refusera absolument tout débat avec le Groupe de Perth arguant que celui-ci est beaucoup trop au fait de ses nouvelles histoires !
Contrairement à votre conclusion, une telle approche est plus que jamais d’actualité et n’a jamais cessé de l’être ! Mais en gardant bien à l’esprit que le seul obstacle à la résolution de l’énigme du SIDA est l’existence du « VIH » elle-même !
PS : Cette théorie dissidente date au moins de 25 ans dites-vous ? D’une part, elle a au moins 40 ans : des dissidents ayant contredit Montagnier dès sa première publication en 1983 même si on leur a interdit longtemps de publier à leur tour. D’autre part, dès l’apparition du SIDA pour la première fois au monde en 1981, les mêmes scientifiques proposaient des causes non virales au SIDA.
Voici un extrait, en français, de l’étude de Duesberg page 97 :`
« Le paradoxe apparent dans le fait que le même virus causerait au même moment deux épidémies du SIDA entièrement différentes, une en Afrique et l’autre en Amérique. et en Europe, est un artefact de la définition du SIDA.
En raison de la définition du SIDA basée sur VIH, une nouvelle épidémie de drogues en Amérique et en Europe et une épidémie d’anciennes pathologies spécifiques à l’Afrique ont été toutes deux appelées SIDA depuis que l’on a pu détecté VIH. Comme VIH est endémique chez plus de 10% des Centreafricains, plus de 10% des pathologies définissant le SIDA sont aujourd’hui appelées SIDA. »
Ce passage nous inciterait à repenser la définition même de ce qu’on appelle SIDA et pourrait expliquer pourquoi il y a des SIDA sans VIH ce qui peut conduire à nier le rôle du VIH dans l’apparition de la maladie. On aurait désigné du même nom deux maladies aux origines totalement différentes d’où une confusion totale. Le VIH pourrait être, avec d’autres conditions, un élément déclenchant d’une maladie décrite comme sida tout en y étant pour rien pour d’autres maladies également classées sida.
On peut ainsi trouver des personnes infectées VIH sans maladie et d’autres non infectées VIH et ayant une maladie classée sida. Le problème serait d’abord dans une classification inadéquate des maladies en question. Donc prudence avant de se lancer dans des affirmations péremptoires sur les germes.
Vous noterez aussi que Duesberg reconnait que plus de 10% des Centreafricains sont positifs au VIH dont il ne nie pas l’existence.
Quel Pacificateur de classe internationale tu fais… :-)))
Cette affirmation que tels virus n’ont jamais été isolés pourrait venir du fait qu’il n’est pas possible d’obtenir un virus « tout nu » mais qu’il aurait toujours besoin d’un support en quelque sorte. Mais même s’il en était ainsi, cela n’autorise pas à en déduire que le virus n’existerait pas ni qu’il ne pourrait pas être actif. Quelques exemples :
1- Le vaccin antivariolique était « à virus vivant ayant conservé la capacité de se répliquer ». D’où la fameuse pustule associée à cette vaccination et qui laissait une trace quasi indélébile. Je n’ai jamais vu de virus mais j’ai été vacciné contre la variole. Je ne me souviens pas de la pustule, j’étais trop jeune pour cela, mais j’ai pu observer sa trace circulaire pendant des décennies. Aujourd’hui elle n’est plus visible, du moins avec mes yeux. C’était le virus du vaccin qui provoquait cela.
Dans un cours du Centre international de l’Enfance (500 pages), professé en 1951, on y trouve une photo d’un bébé hospitalisé. Il est atteint d’une vaccine généralisée mortelle une fois sur deux. Pourtant il n’avait pas été vacciné contre la variole. C’était sa mère, fraichement vaccinée, qui l’avait contaminé.
2- Il est reconnu que le vaccin polio oral « à virus vivant » est capable de provoquer directement une polio chez le vacciné.
3- Le vaccin contre la rougeole est aussi affirmé « à virus vivant ». J’ai pu lire dans un bulletin de l’InVS décrivant une épidémie de rougeole, que les cas de rougeole post vaccinale, donc provoqués par le vaccin, avaient été exclus de l’étude.
Bonjour Bernard,
Oui tout ce que tu dis concernant les cultures de « virus » vivants est vrai mais ce qui est cultivé n’est autre que des débris de cellules et ces débris n’ont pas réellement de caractère « viral » prouvé, voir cette publication récente (1) dans laquelle les chercheurs s’interrogent sur la causalité du virome.
« the most critical challenge ahead is defining whether the virome plays a causal role in the associated diseases ».
je traduis :
« le défi le plus important à relever est de déterminer si le virome joue un rôle causal dans les maladies associées. »
Il est bigrement temps de s’interroger.
Sachant que lorsqu’on parle du « virome », il s’agit du matériel génétique trouvé dans nos organismes et qui est donc suspecté d’avoir ce caractère viral. Encore un consensus. Une suspection ne constitue pas une preuve.
Le fait de pourvoir cultiver ces dits « virus » n’est pas choquant, surtout qu’il est rajouté d’autres cellules de singe le plus souvent.
Stefan Lanka constate que la culture fonctionne tout autant sans les extraits dits « viraux », c’est le témoin, le contrôle qui devrait systématiquement être fait et qui prouve que ce n’est pas le caractère »viral » qui est démontré par la culture.
Les restes cellulaires se cultivent. Les cellules se décomposent en microzymas, ce sont les microzymas à l’origine de leur formation. Et bien les microzymas peuvent être cultivés dans un milieu approprié.
(1) https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1008318
Concernant les recrudescences post vaccination il faut approfondir en fonction de tout ce qui est introduit avec le vaccin.
Tenant compte du fait que lorsqu’on parle de contagion, il ne s’agit pas d’injecter, de forcer les barrières naturelles, et c’est en effet le cas du vaccin oral polio.
Que contient-il précisément ? Comment agit-il ?
Oui, il faut s’interroger, Bernard, mais en observant sous tous les angles pas sur un seul critère « cliquet » verrouillant tout autre analyse.
Tissot parle dans ce pamphlet de la recrudescence des maladies après vaccination en effet et comme tu disais, celles-ci ne sont pas prises en compte. Cela n’a pas changé. https://www.bonnes-habitudes.fr/obligation-1938/
LC Vincent expliquait que les adjuvants pouvaient déporter le terrain provoquant d’autres maladies souvent plus graves.
Béchamp expliquait que dans les cas des injections, ce sont les microzymas de l’hôte qui réagissent au mélange injecté, bien plus sûrement que ceux injectés qui ne sont pas chez eux.
les anticorps existent également vis-à-vis de substances chimiques bien caractérisées, par exemple vs la nitrotyrosine :
https://www.scbt.com/fr/p/nitrotyrosine-antibody-39b6
Oui, il y aussi de quoi s’interroger sur les « anticorps » sous un nouvel angle et cette fois encore Tissot pense que les différents leucocytes, dont les lymphocytes qui sont sensés sécréter les anticorps, sont en réalité des étapes de transformation, une sorte de polymorphisme cellulaire.
Dans l’étape, granulocyte, on distingue les microzymas à l’origine de la cellule.
Et ces lymphocytes sont générés pour nettoyer les éléments toxiques, chimiques en particulier et peut être même le plus souvent.
Plus l’organisme est intoxiqué plus il fabrique des leucocytes pour se défendre. Pour exemple, la leucocytose alimentaire, qui apparaît après un repas « toxique ». Alors qu’à l’inverse les leucocytes disparaissent après un jeûne long, témoignant de la désintoxication. Mais ces leucocytes réapparaissent dès que rompt le jeûne, à nouveau pour nettoyer les toxines de notre nourriture. Entre temps ils n’ont pas réellement disparus, ils sont redevenus microzymas.
Indépendamment de toutes ces considérations, chère Brigitte, il y a un combat imposé par un adversaire très puissant (ou plutôt un ennemi, la différence entre les deux étant qu’on ne peut envisager de serrer la main de l’ennemi après la bataille). Il joue au rugby et nous voudrions jouer au ping pong. Mais nous n’avons pas le pouvoir d’imposer le terrain de jeu. L’ennemi impose le rugby et la petite balle en celluloïd qu’il écrase avec le petit doigt le fait bien rire. C’est aussi un aspect de la réalité. Si nous ne comprenons pas cela nous perdrons toutes les batailles.
Sur quelle base a été validée la théorie virale,puis qu’aucun virus n’a jamais été isolé,purifié photographié et analysé biochimiquement dans un tissu humain ,animal ou végétal ?
Les images des soit disant virus sont des particules cellulaires,microzyma, exosomes, artéfacts,bulles protéinograisseuses ,microvillosités qui sont vues aussi bien sur un tissu malade qu’un tissu sain
Est il simplement crédible qu’une particule morte,sans métabolisme traverse les mucus,les menbranes;pénétre la cellule puis le noyau,
coupe l’ADN ,(avec sa paire de ciseaux) pour s’y inclure et proliférer pour détruire la cellule
Alors qu’on sait que le génome a des mécanismes de défense puissants contre tout matériel génétique étranger
Merci pour vos nombreuses réponses scientifiques!
Je n’ai pas de réponse à ces questions qui sont très très techniques.
Mais j’ai une réponse de bon sens.
S’il est impossible à déterminer et réellement comprendre les mécanismes biologiques du corps humain très complexes, il est de la même manière impossible à déterminer comme un truc non vivant pourrait faire réagir le corps humain. Ne pas imaginer comment cela peut se faire ne veut pas dire que cela ne se fait pas.
Tant que les « scientifiques » et les « vaccinalistes » n’arriveront pas à répondre à la simple double question :
« Comment des gens non protégés d’une maladie ne l’attrapent pas (et ne font même pas d’anticorps, comme si cette maladie ,n’avait pas de prises sur eux) et en même temps comment des gens soit disant protégés (taux d’anticorps considéré comme protecteur) la font pour de vraie. ? »
Tant que je n’aurais pas une réponse claire, logique et scientifique, je ne croirais pas ces charlatans, adeptes modernes de la saignées. Si 2 saignées ne fonctionnent pas, il faut un rappel avec une 3ème. Et si le malade meurt, c’est qu’on n’a pas assez saignée et qu’il fallait une 4ème dose.
Réponse de l’imbécile de référence (ou con étalon) à son cher hervé02 :
Parce que les anticorps (Ac) sont une invention crapoteuse juchée sur une autre (le virus, merci à ses incroyants ici) toutes deux destinées à distraire de l’efficience d’un système immunitaire (SI) et des décarençages maintenant bien connus (les 4 de Réinfocovid du 31.1.2021+ Mg + 20g/j de pluri-insaturés + sommeil) pour la rétablir [au grand dam des pharmas, politiciens (marche AR, droite et gauche) et merdias]. Elle, pas question de tenter de la chiffrer en vue de la surveiller et l’améliorer. On préfère s’étriper sur les os (les Ac) lancés par le maître-chien.
Le premier effet (et objectif : pour développer les ventes) de tout VACCIN (il ne relève d’ailleurs aucunement de la médecine à serment d’Hippocrate puisque, en plus, il vise un organisme sain) est d’AFAIBLIR (contrairement aux baratins fétides) ce SI. Démonstration très récente par ‘mes’ (elles font toujours un flop) 2 références (en ligne) sacrées :
• multiplication par DIX (Mogensen s.w. & al. & Aaby p. 2017) de la mortalité toutes causes des bébés en Guinée-Bissau par le vaccin DTCoq [moins ‘trivalent’ que TRITOXIQUE (toxicités multiplicatives, pas additives)] ;
• multiplication par 4,5 (6,5 pour les ex-prématurés, Mawson a.r. & al 2017) des maladies cérébrales chroniques (dont 1/3 d’autismes) par la soupe vaccinale US habituelle.
Moralité, la ‘multivalence’ est un camouflage encore plus démasqueur et les autres épidémiologues sont devenus de sacrés aveugles par concussion ;
Le sida a vu le jour à cause des effets secondaires de la drogue et autres merdes chimiques de Big Pharma
ce n’est pas un virus!
La véritable cause du sida, connue des responsables de la santé depuis le premier jour.
Comme les cinq premiers, il s’agissait de jeunes hommes homosexuels qui consommaient des drogues inhalées.
Le sida n’a pas pour cause un virus et n’est pas contagieux !
Gottlieb a noté que le patient zéro Sida « a admis avoir utilisé des ‘poppers' ». En 1978, juste avant la prétendue épidémie de sida, le Canadian Journal of Psychiatry a publié un article intitulé « Poppers, A New Recreational Drug Craze »
https://stateofthenation.co/?p=113164
tous les effets secondaires des médocs et drogues chimiques de la CIA sont attribués aux virus, pour vendre leurs faux vaccins
arnaque à milliards qui marche depuis longtemps
pourquoi l’OMS nous parle de virus, mais dit que la 5G, le glyphosate, la pollution radioactive sont inoffensives?
Le virus a été inventé pour déculpabiliser les multinationales polluantes et les drogues et big pharma
les pollutions dans le tiers monde des nappes phréatiques causés par les extractions minières, les famines, sont aussi attribués au sida
https://resistance71.files.wordpress.com/2022/04/robert-f-kennedy-jr-le-veritable-anthony-fauci.pdf
bref, pas besoin de chasser les multinationales polluantes, pas besoin de nourrir les gens avec du bio et des vitamines, le faux vax est là!