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Le SIDA a-t-il vu le jour à cause d’un vaccin anti-polio défectueux? Seconde partie

Pour qui doute encore (*) de l’intérêt de cette discorde d’apparence anodine -un vaccin vivant a-t-il été préparé sur chimpanzés africains ou sur macaques asiatiques-  il faut comprendre que seul le premier primate est porteur d’un bien curieux virus, le VIS, semblable au VIH humain à quelques mutations près. Alors, on nous explique que tous ces scientifiques s’étaient réunis dans l’ex-Congo belge pour travailler sur des fragments d’animaux venus d’Asie, confortablement installés à côté d’une énorme chimpanzerie comptant plusieurs centaines d’animaux et qu’on en sacrifiait tous les jours comme ça, pour rien… Bernard Guennebaud, comme tous nos vieux limiers de légende, ne sait pas abandonner. Il termine ici un passionnant, mais déplorable récit. Alors bonne lecture…    

(Le premier épisode de cet article se trouve ici: https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2022/04/10/le-sida-a-t-il-vu-le-jour-a-cause-dun-vaccin-anti-polio-defectueux-premiere-partie/ )

Guerre des singes et crispation médicale face aux témoignages des acteurs :

  • « Professeur Koprowski, avez-vous utilisé des chimpanzés pour préparer votre vaccin ? » (photo de Koprowski répondant à cette question, ci-dessus)
  • “Jamais de la vie ! “

Introduction

Dans le précédent article, nous avons vu les attitudes et gesticulations de personnalités de la science brandissant la rigueur scientifique à tout va, tout en étant incapables de répondre à une question simple comme « que signifiait le sigle CHAT ? » ou en attribuant à la fameuse analyse d’ADN présentée au symposium de Londres des conclusions qu’elle ne pouvait pas donner.

Tous ces scientifiques donc, réunis devant la presse mondiale pour en finir avec Hooper et son hypothèse, vont produire l’effet inverse. De toute évidence, pour agir ainsi « c’est qu’ils ont quelque chose à cacher ! » De plus, était-il si habile de s’en prendre à la méthode de travail des journalistes, l’enquête, en prenant à témoin d’autres journalistes ?

Chimpanzés ou pas

Pour Hooper, l’objectif ne sera plus de démontrer que le sida viendrait du vaccin utilisé au Congo mais d’établir seulement qu’il avait été préparé sur chimpanzé. Cinq télévisions, française, belge, canadienne, espagnole et suisse romande vont soutenir Hooper en envoyant des équipes de journalistes qui vont mener pendant plusieurs années une remarquable enquête diffusée le 23 avril 2004 sur France 2 à l’occasion du sidaction. Ce documentaire « Les origines du sida » réalisé par Peter Chappell et Catherine Peix est toujours visible [2] ainsi que les critiques dont il fut l’objet [3].

Moins de 4 ans après le symposium qui avait voulu classer l’affaire, cette diffusion va relancer la polémique grâce en particulier aux éléments suivants :

1 – Un film tourné à l’époque pour les actualités cinématographiques montrait l’animalerie de chimpanzés du Camp Lindi sur une île de la rivière du même nom. La zone était protégée par des pancartes mentionnant : « Polio Mission Courtois Koprowski Centre d’Expérimentation Entrée interdite ». Courtois était un Belge qui dirigeait le centre. Les journalistes ont retrouvé Bayello qui travaillait à la chimpanzerie et s’occupait de nourrir les animaux.

Selon lui, 600 chimpanzés séjournèrent dans le centre, pendant 3 ans, de 1957 à 1959. A quoi était destinés tous ces singes ?

Le film montre un singe vivant, debout dans sa cage. On lui enlève un organe, il grimace et soudain s’écroule…

2 – On a pu voir aussi les immenses bâtiments à l’abandon du laboratoire de Stanleyville (devenue Kisangani). Le film montre un document qui atteste que la fabrication de vaccins faisait partie de ses attributions.

3 – On peut voir Hilary Koprowski interrogé par Hooper À la question (34’42’’) :

  • « Avez-vous utilisé des chimpanzés ? » il répondra avec une totale assurance « Jamais de la vie ! ».

Deux Questions Fondamentales

Question 1 : que voulait dire le sigle CHAT ? Koprowski, le grand organisateur de cette affaire en connaissait certainement la signification. Pourquoi a-t-il constamment ignoré la question ?

Question 2 : le vaccin était-il produit sur place « en quantité », même s’il était élaboré, dans sa conception, à l’Institut Wistar de Philadelphie ? C’est une question très importante qui a été posée par Hooper car une réponse positive rendrait totalement invraisemblable l’utilisation de singes d’Asie pour la fabrication du vaccin utilisé au Congo : il aurait en effet fallu faire venir ces singes de l’Inde jusqu’au Congo alors qu’on entretenait une chimpanzerie à proximité avec des équipes de chasseurs qui en avaient capturé vivants plusieurs centaines !

Le relais de Koprowski au laboratoire de Stanleyville, Paul Osterrieth, a soutenu au symposium de Londres que ce laboratoire n’était pas équipé pour produire le vaccin, affirmant :

  • « Je n’aurais jamais risqué ma réputation et la vie d’êtres humains en faisant des choses aussi hasardeuses ».

D’un mensonge à un autre

Pourtant, il existe des éléments décisifs en faveur d’une réponse positive à cette question. D’abord, que faisait là-bas un biologiste de la qualité de Paul Osterrieth qui savait pratiquer les cultures cellulaires, ce qui était rare à l’époque ?

Il y avait d’ailleurs sur place toute une équipe de biologistes belges dont Mme Liégeois, Gaston Ninane et Pierre Doupagne qui affirma avoir appris les cultures cellulaires au Congo. Juste pour réceptionner des colis de vaccins congelés et les installer dans des congélateurs après les avoir testés ?

Par ailleurs, il n’aurait pas été très rationnel d’envoyer aux USA des centaines de singes vivants pour ensuite expédier vers le Congo de gros envois de vaccin devant rester impérativement congelé à -20°. D’ailleurs :

La revue La Recherche indique à ce sujet qu’une « trop lourde logistique a empêché la généralisation d’envois de reins de singe du Congo aux USA »[n°338, janvier 2001]. Raison de plus pour penser que la production se faisait sur place….

Il en alla ainsi pour le vaccin Sabin testé sur 40 millions de personnes en URSS : il était produit en quantité sur place et des macaques étaient expédiés en grand nombre pour assurer une production locale.

Les témoignages des assistants et infirmiers africains

Jacques Kanyama, l’assistant de Paul Osterrieth, témoigna que ce dernier préparait lui-même le vaccin, disant à son assistant : « Nettoie et stérilise les tubes pour qu’on mette le vaccin » alors que Philippe Elebe, l’assistant de Pierre Doupagne, mettait des étiquettes mentionnant « vaccin polio ».

– et surtout celui, encore plus décisif, de Joseph Limbaya l’infirmier. Il affirma prélever le sang des chimpanzés en le mettant dans un bocal « comme ceci » et aussi le foie et les reins pour les donner à celui qui fabriquait le vaccin, Paul Osterrieth.

Une photo de ces scènes montrait Joseph à l’œuvre. Il affirma tuer 2 ou 3 chimpanzés par jour, « si le docteur le demandait ».

Les témoignages des biologistes belges

Pierre Doupagne témoigna clairement qu’il préparait des cultures à base de chimpanzé et qu’il les remettait à Paul Osterrieth au laboratoire de Stanleyville. Combien de fois l’avait-il fait?

  • « Souvent…souvent…répondra-t-il. »

On entendra la voix de Gaston Ninane, décédé par la suite.

En 1992, il déclara à Hooper que le virus était bien cultivé sur cellules de reins de Chimpanzé et – les cellules de chimpanzé se multipliant facilement – que c’était un très bon substrat pour la culture du virus de la polio.

Des témoignages contestés

La valeur de ces témoignages fut mise en cause au cours d’une émission ( »Arrêt sur image’‘) qui eut lieu quelques jours plus tard sur France Cinq. Je n’ai pas vu cette émission, mais Simon Wain-Hobson, l’un des deux co-organisateurs du symposium de Londres, se livra aussi à une contestation dans le Concours Médical du 9 juin 2004. Il travaillait à l’Institut Pasteur de Paris et fut un acteur éminent de l’équipe de Luc Montagnier qui découvrit le virus du sida :

  • « Que penser des témoignages recueillis par ce journaliste ? La plupart des témoins oculaires qu’il a pu rencontrer sont aujourd’hui âgés, et, dans le script que j’ai pu lire, ils se contredisent eux-mêmes, ne se souviennent pas bien. Que penser de la rétention de leurs propres contradictions dans le document diffusé ? »

Ce fut effectivement, selon ce qui m’a été rapporté, l’une des critiques formulées contre ce documentaire : les personnes interviewées se seraient contredites et leurs contradictions auraient été censurées au montage.

Mais que penser d’une telle appréciation quand on sait que l’infirmier Joseph Limbaya, par exemple, dit avoir égorgé 2 à 3 chimpanzés certains jours, plusieurs centaines en tout, et que, quand on a vécu cela même 40 ans après, il me semble qu’on est plus qu’un simple témoin oculaire.

Un chimpanzé, ce n’est pas un être humain mais presque ! D’ailleurs pour Koprowski la même durée s’était écoulée depuis ces événements et il est nettement plus âgé. Pourtant, son témoignage n’est pas remis en cause. Hooper fait aussi remarquer que Osterrieth, qui n’était pas plus jeune que les infirmiers africains, se contredit lui-même en affirmant au symposium de Londres qu’il avait bien réalisé 6 envois de reins de singes chimpanzés pour l’Institut Wistar de Philadelphie alors qu’il avait signé le 28 février 2000 un document dactylographié complété par une note manuscrite affirmant le contraire comme le montre le documentaire.

Quant à Koprowski, s’il ne sait plus ce que voulait dire le sigle CHAT dont il est très certainement l’instigateur, alors c’est qu’il est très marqué par les effets de l’âge qui pourtant ne l’ont pas empêché de tenir sa place au symposium de Londres et d’y faire un long exposé …

Alors, vaccin sur chimpanzé ou sur macaque ?

La souche CHAT sur macaque a très certainement existé : celle utilisée en Pologne pour 7 millions de vaccinations. De plus, l’échantillon qui a été retrouvé provenait du congélateur d’un laboratoire de Stockholm qui l’avait reçu du laboratoire de Koprowski à Philadelphie.

Les chimpanzés étaient-ils captifs ou en liberté ?

Il a été découvert une très grosse différence entre les virus VIS des chimpanzés sauvages et en captivité : si l’analyse de la séquence de toutes les souches virales de chimpanzés captifs a apporté des éléments convaincants en faveur de l’hypothèse que le VIH-1 proviendrait du chimpanzé, des données récentes sur les chimpanzés dans leur habitat naturel apportèrent une double surprise :

– d’une part, très peu d’animaux sont contaminés par le VIS, 2% contre 80% pour les autres espèces de singes ;
– d’autre part, le virus infectant les chimpanzés sauvages est très différent du virus humain et aussi du VIS infectant les chimpanzés captifs et qui, par contre, est très proche du virus humain.

Ces faits suggèrent très fortement que ce serait des chimpanzés captifs qui auraient contaminé les humains, ce qui enlève beaucoup de crédibilité à l’hypothèse du chasseur qui est pourtant aujourd’hui l’hypothèse retenue par les scientifiques pour expliquer le passage à l’homme.

Des alliés scientifiques pour Hooper

Des recherches furent menées sur le terrain par un biologiste de renom, Bill Hamilton, considéré comme le plus grand biologiste de l’évolution depuis Darwin. La capture des chimpanzés étant devenue interdite, il avait mis au point un procédé permettant de dépister le VIS dans les excréments des animaux. Pour lui, l’hypothèse de Hooper, à qui il avait demandé de l’accompagner, avait 95% de chances d’être exacte. Il paiera ces recherches de sa vie car il mourra de la malaria en mars 2000 et, selon les organisateurs, c’est en son honneur que le symposium de Londres dont il avait demandé la tenue sera organisé.

Auparavant, Hamilton avait déclaré à CNN :

  • « Que l’idée que ce grand triomphe sur la polio ait pu s’accompagner d’un désastre aussi énorme que celui du sida avait de quoi vous faire vaciller de votre piédestal. Que l’hégémonie de l’industrie pharmaceutique était la plus grande entrave à l’indépendance de la recherche médicale et qu’il était du devoir des scientifiques de faire connaître les dangers éventuels de leurs recherches et découvertes pouvant affecter notre société et qu’à propos du sida ils devaient admettre que cela avait pu se produire, pire, que cela s’était effectivement produit. »

« Voulez-vous dire, lui demande CNN, que le monde scientifique refuse d’endosser la responsabilité morale à défaut d’une responsabilité légale pour ce qui s’est passé pour le virus du sida? »

  • « Je pense que c’est le cas. A chaque fois que je rencontre des représentants du monde médical, ils ne veulent pas entendre parler de cette théorie. Il s’agit d’une réaction quasi paranoïaque. C’est l’hypothèse la plus haïe du monde médical. Ils ne veulent tout simplement pas en entendre parler. Ce n’est pas seulement l’origine du sida mais c’est le comportement du monde scientifique qui est en cause ; c’est l’aspect le plus inquiétant de l’affaire. Il y a une grande résistance à publier quoi que ce soit sur la question, à vérifier les pièces disponibles qui pourraient être facilement testées.»

Dans son livre de janvier 2018, « La vérité sur les vaccins » Didier Raoult écrit, page 92 :

  • « La méfiance vis-à-vis des vaccins n’est pas forcément le symptôme d’une paranoïa, comme certains voudraient le croire. Je pense notamment à ces campagnes de vaccination réalisées en Afrique avec des aiguilles qui n’étaient pas à usage unique -c’était avant le sida – et qui ont diffusé dans les populations l’hépatite B, l’hépatite C, et sans doute favorisé l’infection par le VIH. Chape de plomb sur le sujet.»

Il s’agit très certainement des campagnes de vaccination contre la variole menées dans les années 1960-77 dans le cadre de l’éradication de la variole.

On utilisait alors l’aiguille bifurquée inventée par Benjamin Rubin [4]

Quand sa partie fourchue est trempée dans un flacon de vaccin antivariolique lyophilisé, c’est la juste quantité de vaccin qui se retrouve entre les deux dents. Cette aiguille permettra tout à la fois d’économiser le produit et de vacciner beaucoup plus rapidement.

Pour le pathologiste Cecil Fox qui fut directeur de l’Institut National américain des maladies infectieuses de 1982 à 1992, c’est aussi l’hypothèse que le sida proviendrait du vaccin sur chimpanzé de Koprowski est l’hypothèse la plus haïe du monde médical et à propos du symposium de Londres il dira :

  •  « La communauté scientifique a su s’unir et procéder à un lynchage publique. Ils ont proclamé qu’ils avaient mis à mort la théorie selon laquelle le sida aurait ce vaccin pour origine ; il y a toujours des trous béants dans leur argumentation. Je ne crois pas qu’ils aient fait là du meilleur travail qu’auparavant. »

Dès 1985, en tant que fonctionnaire de l’État américain, il demandera d’avoir accès à des échantillons de vaccins pour les analyser. On lui répondra qu’il n’y en avait pas, ou plutôt qu’il y en avait eu mais que quelque chose s’était produit qui faisait que maintenant il n’y en avait plus. D’autres lui dirent que des analyses avaient bien été faites et que la thèse avait été infirmée :

  • « Je devais les croire sur parole ».

Il affirma qu’on aurait dû arrêter d’utiliser des reins de singes dès 1960, mais que c’est l’industrie pharmaceutique qui a décidé, alors qu’on pourrait utiliser un vaccin de synthèse, mais que cela coûterait très cher de changer la production. Aussi, on produit « de la purée de singe et on vaccine les enfants avec » selon ses propres termes.

Les objections à la thèse du vaccin

Même en admettant, ce qui est plus que probable, que le vaccin utilisé au Congo était bien cultivé sur rein de chimpanzé et non de macaque, on ne peut pour autant en déduire que l’utilisation de ce vaccin serait à l’origine du sida. Il existe un certain nombre d’arguments qui ont été avancés pour démontrer que même en pareil cas – impliquant un énorme mensonge de la part de Koprowxki et collaborateurs – ce vaccin ne pouvait être à l’origine du sida.

1- Le vaccin oral : il fut avancé que ce n’était pas une bonne voie pour assurer la transmission du virus VIS du chimpanzé à l’homme. Cela peut convaincre même s’il est quasi certain que des vaccinés aient pu avoir des blessures à la langue ou à la bouche au moment de la vaccination. Pourtant, les plus rudes adversaires de Hooper soutiennent eux-mêmes la thèse de la contamination orale pour l’origine du sida , comme Wain-Hobson dans le Concours médical du 9 juin 2004 :

  • « L’hypothèse la plus probable, pour l’origine du sida, est celle d’une contamination par voie alimentaire (17% des prélèvements de viande de singe vendus sur les marchés camerounais sont positifs pour un virus simien)».

2- La congélation : pour Plotkin, le plus zélé collaborateur de Koprowski,

  • « Les scientifiques s’accordent pour dire que la congélation aurait détruit un virus aussi fragile que le VIS ou le VIH » [La Recherche janvier 2001].

Peut-être mais justement :

C’est par des prélèvements congelés effectués en 1971 sur un marin norvégien puis sur sa femme et sa fille, mais qui seront testés beaucoup plus tard, que le virus VIH-1 a été retrouvé… De même, aussi pour les 2000 prélèvements effectués au Congo par Van de Pitte en 1959. Ils seront testés 20 ans plus tard, un sera trouvé positif pour le VIH, confirmé par plusieurs laboratoires. Ce cas sera considéré comme le premier cas détecté de sida.

3- Le rein ne serait pas un organe favorable : toujours selon Plotkin, car contenant très peu de cellules nécessaires à la propagation du virus. C’est possible, mais le vaccin n’était pas uniquement constitué de virus saupoudrés à sec sur des reins émincés. Il faut une sauce, c’est-à-dire un milieu nutritif servant aussi de liant, comme en cuisine, et cela Stanley Plotkin le sait parfaitement. Pour les vaccins, on utilise souvent du sérum de veau, ce qui a donné lieu à la manifestation de nombreuses inquiétudes au moment de l’affaire de la vache folle. Mais ici, il s’agissait très vraisemblablement du sérum du singe. D’ailleurs l’infirmier africain Joseph a effectivement témoigné qu’il prélevait le sang des chimpanzés.

De plus, le chercheur allemand Fritz Deinhardt était à l’époque au laboratoire de Stanleyville pour y faire des recherches sur le virus de l’hépatite, ce qui démontre que ce laboratoire était très bien équipé, contrairement aux affirmations de Paul Osterrieth. Un document fut présenté dans le film.

Il décrivait la culture du virus de l’hépatite sur rein de chimpanzé finement émincé dans un milieu de culture élaboré à partir du sang de la même espèce de singe. Cela est mentionné en toutes lettres. Il est donc plus que vraisemblable qu’il en allait de même avec la préparation du vaccin polio.

Observons donc que la polémique a créé une focalisation exclusive sur les reins du singe, ce qui a pour effet d’occulter l’extrait de sang qui accompagnait obligatoirement la préparation du vaccin et que ce sang était un parfait véhicule pour le VIS. De cela, les défenseurs du vaccin de Koprowski ne parlent point…

4- Les premières contaminations seraient plus anciennes :
Au symposium de Londres, la date d’apparition du sida, 1959, fut remise en cause. Elle deviendra 1930 à la suite des calculs de l’équipe américaine de Bette Korber, publiés en 2000 :

  •  » Selon les calculs, tous les virus M ( souches du VIH1) se sont individualisés vers 1930, à partir d’un ancêtre commun. La propagation du sida au sein de l’espèce humaine daterait de cette époque, son explosion ultérieure découlant de l’intensification des échanges internationaux, des transfusions sanguines et de l’usage de drogues injectables. Le passage du chimpanzé à l’homme remonterait au moins au 17ème siècle. » [ La Recherche décembre 2003]

De toutes façons, une première transmission occasionnelle n’en empêcherait pas une autre par la suite.

Ce n’est pas parce qu’on aurait trouvé des cas d’infection VIH dès 1935 qu’il existerait une filiation entre ces cas et l’épidémie actuelle.

Mais cette remise en cause est elle-même remise en cause aujourd’hui : Wain-Hobson, par exemple, écrit dans le Concours médical du 9 juin 2004 :

  • « Il y a un consensus pour dire que le virus du sida est probablement apparu chez l’homme vers le milieu du XXe siècle, même si certains scientifiques le font remonter à 1930. Mais personne ne peut vraiment avancer une date précise »

5- Pas les bons chimpanzés : Les chimpanzés du camp Lindi ne seraient pas la bonne espèce de chimpanzés, celle sur laquelle on a trouvé le VIS le plus proche du VIH-1, objection formulée au cours de l’émission sur la Cinq mais que Koprowski n’avait pas exprimée. A quoi bon d’ailleurs puisqu’il n’utilisait pas de chimpanzés ! Bill Hamilton a risqué sa vie au point d’en mourir pour aller étudier les chimpanzés sur place, là où ils étaient chassés pour approvisionner le camp Lindi ;

La communauté scientifique concernée par cette affaire c’est mobilisée au plus haut niveau, organisant en particulier un symposium. Pourquoi tant d’activités si un argument aussi facile avait permis de trancher la question ? Et pourquoi vouloir que la transmission n’ait pu se faire qu’à partir du VIS le plus proche du VIH actuel alors que l’on sait que ces virus ont un important et constant pouvoir de mutation ?

De plus et pour cette raison, les virus étudiés à l’heure actuel peuvent différer sensiblement de ceux qui existaient en 1957. De tels arguments pourraient procéder du détournement d’attention, le principe fondamental utilisé par tous les magiciens. D’ailleurs, pour Plotkin :

  • « Les chimpanzés dont il est question provenaient de l’est du Congo, alors que le virus SIV proche du VIH provient des régions de l’ouest (Burundi, Ouganda) »

[La recherche janvier 2001]. Mais ces régions sont justement à l’EST du Congo comme le fera remarquer un lecteur dans le numéro suivant et comme chacun pourra le vérifier sur une carte !!!

 

Conclusion

S’il n’y a aucun doute à avoir sur le fait que le vaccin CHAT utilisé en Europe ne fut pas cultivé sur chimpanzé mais sur macaque.

Il n’y a maintenant plus guère de doute à avoir sur le fait que le vaccin CHAT utilisé au Congo belge fut bien cultivé sur rein de chimpanzé avec du sérum de ces mêmes singes comme milieu nutritif et que la production en quantité pour assurer l’ensemble des vaccinations locales fut réalisée sur place au laboratoire de Stanleyville.

La question qui se pose alors est de comprendre pourquoi Koprowski et ses collaborateurs ont nié ces faits avec autant d’insistance malgré les évidences contraires, avec le risque d’entretenir ainsi le soupçon et la méfiance à leur encontre. Pourquoi avoir pris un tel risque si des arguments simples et crédibles permettaient d’infirmer la thèse de Hooper tout en reconnaissant la préparation du vaccin sur chimpanzé ? Dès 1992, Koprowski avait choisi sa ligne de défense par rapport à l’article de Curtis. A l’époque, il lui fut aisé de se défendre en raison des erreurs techniques de Curtis mais en 1999, face à la monumentale et rigoureuse documentation de Hooper, c’était une autre affaire.

Au début de cette histoire, il pouvait paraître plus simple, sur un plan tactique, de nier la culture sur chimpanzés, ce qui réglait aussitôt le problème de façon définitive, plutôt que de reconnaître ce fait puis de devoir batailler indéfiniment pied à pied pour tenter de démontrer que, malgré cela, ce vaccin ne pouvait être à l’origine du sida. Mais une fois ce choix fait, il devenait difficile pour Koprowski de faire marche arrière malgré l’accumulation des preuves contraires à ses affirmations initiales. Mais Koprowski pouvait-il prévoir l’extraordinaire ténacité de Hooper ? Les organisateurs du symposium de Londres pouvaient-ils imaginer que, loin d’isoler Hooper et d’anéantir définitivement son travail d’enquête, ils allaient au contraire susciter la mobilisation des moyens de grandes télévisions ? Si c’était à refaire, Koprowski et ses collaborateurs choisiraient-ils la même stratégie ?

Il ne s’agit pas ici de chercher à apporter une réponse à la question sur l’origine du sida mais de s’interroger sur l’étrange attitude des scientifiques des grands laboratoires, tous soudés derrière les invraisemblables affirmations de Koprowski. Cependant, imaginons un instant que la question posée par Hooper sur l’origine du sida reçoive une réponse positive et publique.

Quelles en seraient les conséquences pour le prestige des programmes de vaccination ? Comment maintenir la possibilité de pratiquer des essais sur des êtres humains ? Les conséquences seraient énormes, trop sans doute, et chacun pourra les imaginer aisément.

Et si ceci expliquait cela… D’ailleurs Koprowski n’a-t-il pas dit qu’il ne s’adressait pas à Hooper mais au public, le seul qu’il leur importait vraiment de convaincre

Bernard Guennebaud
Avril 2022

 

(*) (Le premier épisode de cet article se trouve ici: https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2022/04/10/le-sida-a-t-il-vu-le-jour-a-cause-dun-vaccin-anti-polio-defectueux-premiere-partie/ )

Notes et sources:
[1] http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/13655_1
[2] https://www.canal-u.tv/video/cerimes/les_origines_du_sida.13982
[3] https://www.lemonde.fr/archives/article/2004/04/27/un-documentaire-sur-les-origines-du-sida-suscite-une-polemique_362726_1819218.html
[4] https://www.contrepoints.org/2020/08/30/379122-benjamin-rubin-laiguille-bifurquee-contre-la-variole-les-heros-du-progres-32

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Brigitte Fau
2 années il y a

Je poursuis dans cette réflexion d’Hervé-02,
« On ne sais rien »
A l’ignorance, source d’erreurs (selon Béchamp) qui s’enchaînent les unes aux autres, s’ajoutent les conclusions superficielles, « faciles », devenues habitudes, pas forcément de mauvaise foi, de mauvaise volonté ou de fainéantise, mais de bien pire : Je crois qu’il y a une réelle volonté de nous perdre, de nous imposer des « vérités » qui n’en sont pas au point que plus rien n’a de logique mais nous paraît malgré tout normal.
J’en reviens au lien imposé entre « virus » et maladie alors même que la maladie peut exister sans « le » virus … Çà ne tient pas, mais on s’y accroche.
Plus rien n’a de sens dans la science sinon à la déconstruire et repartir d’une base solide, de faits prouvés et éprouvés et « re-prouvés » et à la condition que nous sachions encore raisonner sur des bases saines, en faisant table rase de toute pensée polluante acquise par conviction, « normalité », et de toute technique trompeuse ou volontairement falsifiante.

herve_02
herve_02
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

> alors même que la maladie peut exister sans « le » virus …

Si on peut considérer que la « maladie » est un état dégradé de la « bonne santé » (concept flou mais important) que l’on « observe » (le mot est important) par un ensemble (mot important) de symptômes (id.) permettant de « classer » (id.) un état en pathologie nommée (super id.). L’état de la maladie est en fait un classement du « professionnel » suivant une liste de symptômes (entre 5 et 7 – limite de la mémoire de travail – c’est mon opinion).

Il y a 2 écueils,

* le premier, le plus important à mon sens, est le fondement du travail de Hahnemann : plusieurs choses différents et totalement disjointes peuvent donner les même symptômes (et comme il pensait que 2 trucs ayant les même symptômes ne pouvait pas cohabiter, il testait d’abord SUR LUI divers poisons à diverses doses pour classifier des symptômes et « combattre » les maladies identiques avec ces poisons dilués – et dynamisés-). Ainsi il y a probablement plusieurs désordres qui provoquent les même symptômes que l’on attribue donc à la même maladie, mais sans le « pathogène/déclencheur/truc-chose » puisque c’est pas la même maladie. (d’ailleurs c’est un peu la théorie dissidente du sida : maladie qui n’existe pas mais qui serait un regroupement de plusieurs maladies sous une même symptomatologie) C’est ce qui me semble le plus évident. On travaille avec des stats imparfaites. suivant le praticien que je vais consulter, je vais avoir en probabilité plus de chance d’avoir ce truc plutôt que celui là. Et le médecin avec un bon diag est celui qui se trompe le moins, ou plutôt celui qui a statistiquement la/les prescriptions qui ont arrêté les symptômes en un minimum de cycle essai-erreur (ou qui a de la chance que les symptômes se sont arrêtés tout seuls sans rapport avec ce qu’il faisait) . Ce qui ne veut pas dire qu’une « maladie » sous-jacente ne continue pas à dégrader notre état de santé.

* le deuxième est un peu une sous-catégorie du précédent. Mais qui met en avant la capacité à passer à coté des signaux faibles, tellement on a l’habitude de classer. J’ai un exemple parfait. une personne que je connais est en hypothyroïdie, pourtant les examens classiques montrent une hyperthyroïdie, en fait il faut des examens complémentaires plus poussés (que je n’ai pas retenu et de toute façon pas compris) pour s’en apercevoir (et c’est peut être vrai qui sait). Dans cet exemple là, par exemple le praticien qui examine va conclure qu’elle a une pathologie (l’hyper), sans avoir le « déclencheur », forcément c’est une hypo (dans le doute, la théorie qui fonctionne – clin d’oeil – est l’ablation puis levothyrox nouvelle formule directement, de toute façon c’est plus ou moins la même – théorie qui fonctionnait.). Dans le même style j’en connais une autre qui en décembre 2019 à fait un truc que le médecin à classé en « asthme » alors que c’est pas possible parce que l’asthme on n’en fait pas adulte si on n’en faisait pas enfant, donc perplexe le bougre. Même symptômes, mais covid en fait.

tout cela pour dire que décorréler un « agent pathogène » putatif d’une « maladie observée » parce qu’on peut trouver cette « maladie » sans l’agent, passe à coté du truc le plus évident : et si ce n’était pas la même maladies mais seulement les(des) même symptômes.

Exemple que je donne souvent.
« Docteur, j’ai souvent mal à la tête »… scanners, irm, doliprane, thérapie gnagnagna.. 3 mois de talonnements alors qu’une bonne paire de lunette suffit peut être.
C’est bien la preuve que le truc chose machin n’est pas responsable des maux de têtes puisque des personnes (ayant besoin de lunettes) ont les même symptômes sans truc chose machin.

je rappelle pour ne froisser personne que j’accepte toutes les théories, je n’en fais pas une religion.

Brigitte Fau
Répondre à  herve_02
2 années il y a

Il n’est question de froisser personne, Hervé_02, nous échangeons tous en toute intelligence et les remarques des uns et des autres sont toutes intéressantes et instructives d’éléments qui peuvent échapper à notre connaissance.
Quant à accepter toutes les théories, à priori il n’y a pas de raison de rejeter d’emblée une théorie, en effet, mais cela devient difficile lorsqu’on les met à l’épreuve de l’approfondissement.
A propos de Pasteur et Béchamp, il se trouve que le Pr Marc Henry parle de mon site dans cette chronique (je vous laisse découvrir en quels termes) en précisant :
« Qui dit synthèse, dit nécessairement prise de position claire et nette. Rien ne serait pire en effet que de rester à mi-chemin entre thèse et antithèse. »
https://marchenry.org/2020/05/23/17hygiene-intellectuelle/

herve_02
herve_02
Répondre à  herve_02
2 années il y a

Cela ne répond pas à la question de base.

On met un nom sur un ensemble de symptômes sans « preuve » que c’est le bon « nom », juste le « traitement » stoppant les symptômes (sans aucune preuve qu’une maladie ne continue à dégrader le corps à bas bruit) qui fait office, à rebours du bon « diagnostic ».

La présence ou l’absence d’un « truc » réputé pathogène ne construit pas une vérité mais un « modèle », juste ou pas, servant à articuler une pensée aboutissant à des préconisations. Avec le recul, j’en suis venu à douter d’énormément de choses, google scholar (quelle horreur !) ou pas. Je me demande si les « préconisations » globalement n’ont pas tué plus de gens qu’elles n’en ont réellement sauvé.

la « publication » est devenu une industrie, elle ne permet pas de prioriser l’un ou l’autre. C’est une forme de politique. Galilée aurait été refusé à toutes les publications, la chloroquine l’a été pendant un certain temps…

On peut etre séduit par une théorie ou une autre. On peut décider de se l’appliquer et aux siens s’ils le désirent, cela n’en fait pas une vérité plus qu’un autre théorie.

Peut être que les virus existent , peut être pas. Cela ne change pas mon opinion : les vaccins sont de la merde, et ils n’ont jamais sauvé des millions de vies.
cette gestion du covid a été criminelle, parce qu’ils ont tué sciemment des gens pour ne pas les soigner. TOUTES les publication internationales se sont vautrées dans l’ignominie et toutes ont perdu leur légitimité à être considérées comme de la « science ». TOUTES les instances internationales idem et TOUTES les instances et ordres nationaux idem. 80% des médecins et soignants et 99.99% des politiques et fonctionnaires.

je n’ai aucun hfactor, mais j’en sais plus que verantanplan. si les gens veulent suivre la « théorie » dominante qui marche, cela ne pose aucun soucis juste qu’ils ne me l’imposent pas.

😉

pour résumer, je ne suis pas convaincu par l’argument : les virus existent pas, parce que les même maladies se déclarent sans eux.
1. On ne sais pas si ce sont les même maladies, on CROIT que ce le sont.
2. le virus n’existe peut être pas, ou on ne sait pas le chercher, on ne sait peut être même pas ce qu’il faut chercher.
3. peut être que ce n’est pas ce que l’on appelle un virus aujourd’hui, c’est peut être une onde, une punition divine, un faisceau d’ondes des reptiliens illuminati ou simplement un bug dans la matrice.

😉

on ne sait presque rien, rien que des observations de tout petit bout de mécanisme que l’on croit comprendre. une sorte de mythe de la caverne appliquée à la biologie.

Président de la Ligue antivaccinale
Président de la Ligue antivaccinale
2 années il y a

Grippe et activité solaire magnétique,

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de
pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un
cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se
répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables
par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la
contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés
se révélèrent infructueuses.
Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude
expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.
Toutes les tentatives ont échouéResponsabilité de l’électricité dans la grippe de 1918

Extrait de L’arc en ciel invisible d’Arthur Firstenberg

….jusqu’à ce que les armées s’équipent de divers émetteurs
radio de haute puissance, vers la fin du premier conflit mondial, en 1918, provoquant
comme on l’a vu ci-dessus, la pandémie de grippe espagnole qui en réalité débuta aux
États-Unis, dans la Naval Radio School de Cambridge, Massachusetts avec 400 cas. Cette
épidémie se propagea rapidement à 1’127 militaires au Camp Funston (Kansas), où on
avait introduit les connexions sans fil. Ce qui intrigua les médecins fut que 15% de la
population civile était affectée de saignements de nez alors que 40% de la Navy en
souffraient. D’autres saignements apparurent également et un tiers des morts l’étaient
par hémorragie interne des poumons ou du cerveau. En fait, c’est la composition du sang
qui était modifiée, mesurée par le temps de coagulation plus que doublé. Ces indications
jurent avec les effets des virus respiratoires de la grippe, mais sont totalement cohérents
avec les effets néfastes de l’électricité. Une autre incohérence était que les victimes
étaient pour deux tiers des jeunes en bonne santé. Encore un symptôme atypique de la
grippe, le pouls descendait à des valeurs de 36 à 48, alors que ce genre de situation sont
courantes lorsqu’on est exposés aux champs électromagnétiques. Aussi, certains purent
être soignés par des administrations massives de calcium.
Le Dr. Militaire George A. Soper, témoigna que le virus se propageait plus vite que la
vitesse de déplacement des personnes. Différentes expériences furent menées pour
contaminer des sujets de proche en proche, par contact direct, ou inoculation de mucus
ou de sang, sans pouvoir démontrer la contamination.
On observe que chaque nouvelle pandémie de grippe correspond à une nouvelle
avancée technologie électrique, comme la grippe asiatique de 1957-58 subséquente à
l’installation d’un puissant système de surveillance par radars, la grippe de Hong-Kong
dès juillet 1968, subséquente à la mise en service de 28 satellites militaires de
surveillance spatiale à la hauteur des ceintures de Van Allen nous protégeant des rayonnements cosmique

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
2 années il y a

Il faut tout remettre à plat nous dit Brigitte. Oui j’en suis d’accord mais alors il faut aussi le faire pour l’oeuvre de Béchamp. Cela a été fait par Tissot professeur au Muséum d’histoire naturelle dans son ouvrage de 1946. Page 191 il aborde la théorie du microzyma en rappelant comment Béchamp l’expose dans son livre (p. 564) :
« La théorie du microzyma aboutit à une grande unité….Ce ne sont pas là de gratuites assertions mais des faits constatés »
Tissot répond : « Ce sont là au contraire, soit de gratuites assertions, soit des assertions fausses, résultant en partie d’erreurs d’observation fondamentales de Béchamp.
Puis il va commenter l’oeuvre de béchamel sur 7 pages. « Nous pouvons conclure que rien, dans les observations de Béchamp, ne l’autorisait à conclure que le microzyma construit les cellules et les tissus, et il n’a apporté aucun fait qui appuie une telle hypothèse…. Béchamp avait une singulière conception de la nature des microzymas. Béchamp a émis un grand nombre d’idées sur le microzyma et a prouvé de ce fait une imagination très fertile, mais beaucoup d’entre elles sont des erreurs. On ne doit en retenir que celles qui sont appuyées par des preuves matérielles exactes. »

Pour conclure :  » Il résulte des discussions qui viennent d’être exposées, que Béchamp a bien vu et démontré la fausseté des dogmes pastoriens ; mais des campagnes de dénigrement ne lui ont pas permis de faire prévaloir ses conclusions. C’est l’erreur qui a triomphé : les faux dogmes pastoriens ont dressé un mur infranchissable devant les progrès de la science.
En soutenant avec un courage indomptable une lutte dure et injuste pour défendre la vérité contre les dogmes faux et néfastes, Béchamp a mérité qu’on garde une vive admiration pour l’élévation de son caractère ; par la grande importance des progrès qu’il a fait réaliser à la science, il a laissé le souvenir d’une haute intelligence et d’une haute valeur scientifique qui le fait classer parmi les savants les plus éminents du XIXè siècle.
Le triomphe des faux dogmes pastoriens et l’oubli dans lequel sont tombés les grandes découvertes de Béchamp sur les microzymas, les fermentations et la putréfaction, sont la plus grande injustice du XIXè siècle et l’événement le plus néfaste pour les progrès de la science. »

Si tout n’était pas faux dans les travaux de Béchamp, tout n’était pas exact non plus, en résumé du travail de Tissot sur l’oeuvre de Béchamp.

Brigitte Fau
Répondre à  Bernard Guennebaud
2 années il y a

Il serait intéressant de savoir à quelle date, Tissot a fait cette déclaration. Aurait-il eu besoin de combattre Béchamp pour gagner en reconnaissance ? On sait comment l’institut Pasteur a tout fait pour empêcher la publication des travaux de l’un et de l’autre, alors même que des chercheurs de ce même institut sont venus en aide à Tissot.

Oui, il faut repartir de la base et s’inspirer des œuvres de Béchamp et Tissot pour un nouveau départ. Cela ne peut se faire sans un approfondissement de leurs travaux.
Je rappelle que l’opinion de Tissot reste une opinion, il ne démontre pas le contraire.
Au contraire il montre le polymorphisme et la transformation de bactéries en « hyphomycètes » (moisissures) en fonction du milieu, l’inverse étant possible également.
L’étape intermédiaire pourrait être les microzymas à l’origine des bactéries. Les a-t-il observés au passage ou pas, je n’ai pas assez approfondi ces travaux. Mais les microzymas étant à l’origine des bactéries et également à l’origine des moisissures selon les périences de Béchamp, on peut le penser.
On peut observer très récemment l’action d’une enzyme de « phage » (sans doute encore un microzyma) sur des bactéries. Je parle plutôt de dé-construction : il reste des petites granulations. Sont-ce des microzymas ? Il faudrait les faire fermenter selon les techniques de Béchamp (milieu adapté ajouté d’un peu d’acide phénique pour empêcher le nouveau développement des bactéries) pour le confirmer.
https://twitter.com/mICROBIOsh/status/1180480416580558849

Tissot montre le vivant au cœur de la cellule et le réseau qu’il nomme « bactérien » et qui, déformé, détruit, par la méthode de fixation en microscopie électronique fait apparaître ce qu’on a appelé des « mitochondries » qui n’en sont en réalité que des restes de ce réseau.
Encore une raison de mettre tout à plat.
Tu sais tout çà, je l’explique pour ceux qui nous suivent.

Il y a des interprétations sans doute de la part de Béchamp ; mais quand on constate que tout organisme vivant part du microzyma (avant toute apparition de cellules dans l’embryon) et aboutit en fin au microzyma ; l’interprétation découle d’elle-même, « limpide », il ne s’en est pas contentée, il l’a confortée par des expériences et faits qui doivent être confirmés sans aucun doute.
Il a découvert les enzymes produits par ces petites entités, petits ferments de vie, et faisait clairement la distinction entre l’enzyme, qu’il appelait zymase ou ferment soluble, produite par le ferment lui-même (le microzyma), insoluble parce qu’organisé. L’un n’existant pas sans l’autre, et leur spécificité étant liée au centre vital dont ils provenaient.

Béchamp observait (en plus d’analyser chimiquement) en live avec un microscope pouvant aller jusqu’à x700 amélioré d’une cellule à immersion. Tissot utilisait de préférence la microscopie électronique dont il a expliqué lui-même les failles.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

La publication où Tissot commente l’oeuvre de Béchamp date de 1946 dans son ouvrage « Constitutions des organismes animaux et végétaux  » Tissot était professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle de Paris.

A parcourir ce qu’il dit de l’oeuvre de Béchamp il n’y a nul doute à avoir qu’il l’avait étudié de très prés et qu’il avait la compétence pour le faire. Il est, à n’en pas douter pour moi, l’homme qui a le plus et de loin sans doute, travaillé l’oeuvre de Béchamp. Il ne dit pas que tout était faux dans son travail, bien au contraire puisqu’il insiste sur le fait qu’il avait montré que les dogmes pastoriens étaient faux. Mais sur certains points, selon Tissot et je n’ai pas la compétence pour en juger, il est allé trop vite.

Il est donc tout à fait possible de présenter des découvertes tout à fait valables de Béchamp. On ne peut pour autant en déduire que tout ce qu’il a affirmé serait exact.

Tissot a clairement démontré, par de multiples observations photographiées, et j’ai les photos, 70 planches contenant chacune de nombreuses photos, que dans une cellule saine les mitochondries isolées n’existent pas. Elles existent incorporées à un réseau connexe, un peu comme un grillage, où les maillons sont ce qu’il appelle des organites haltères avec une boule à chaque extrémité, le bâton étant la mitochondrie. Les objets épars habituellement observés dans le cytoplasme (ribosomes, vacuoles …) proviennent de la dislocation sous l’effet des méthodes préparatoires, du réseau connexe vu par Tissot et qu’il nous montre. Il utilisait une méthode de préparation originale qui, après de patients et multiples essais, lui avait permis d’obtenir cela.

Je rappelle aussi que grâce à cette méthode de préparation il a pu photographié la naissance du bacille tuberculeux par dégénérescence de ce réseau connexe d’organistes haltères. Il a ainsi montré que le bacille tuberculeux pouvait être autogène, autrement dit qu’il était possible de faire une tuberculose sans avoir été contaminé par un tel bacille venu de l’extérieur. Cette possibilité n’excluant pas que le bacille puisse aussi provenir d’une contagion.
La tuberculose peut se produire sans contagion mais pas sans la présence d’un bacille tuberculeux pour construire le tissu tuberculeux.

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Tissot avait raison en ce qui concerne le « réseau » qui maintient le noyau de la cellule, les technologies modernes le montre en live désormais :
https://www.youtube.com/watch?v=_sKXcJCK_gw
C’est fabuleux et tellement vivant.

Merci encore pour cet échange Bernard.
Préviens-moi quand tu auras enfin la curiosité de lire, au moins le condensé que j’ai fait des travaux de Béchamp.

J’ai tellement hâte que ce vivant au cœur de tout organisme soit enfin révélé et approfondi. Ces nouvelles technologies en live sont fabuleuses.

herve_02
herve_02
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Je sais que j’arrive comme un cheveux sur la soupe dans une discussion scientifique qui vole bien au dessus de ce que je peux appréhender, mais de la même manière qu’en physique quantique c’est l’observation qui fixe la réalité en provenance de l’univers probabiliste, ne peut-on penser que la « préparation » d’une cellule pour l’observer « fixe » une réalité. Et ce serait pour cela que chaque génération de nouveau matériel apporte une « nouvelle » vision de la réalité ?

Ainsi pour rebondir sur le troll précédent sur la vérité dite scientifique. Nous n’arriverons jamais à voir la réalité, car nous serons dépendant de l’outil (le marteau) qui fixera une réalité qui ne sera qu’un simple reflet, une simple observation statique d’une réalité bien plus dynamique ? On s’est aperçu que la « particule » de lumière parcourait, pendant la photosynthèse, plusieurs trajets en même temps.

Ainsi ne peut-on laisser les médecins pratiquer leur art en ne les farcissant pas de contre-vérités scientifiques ayant le seul objectif de bourrer le patient d’examens inutiles et de molécules toxiques. On a bien vu ce dont était capable la médecine pendant cette crise du covid : Faire pire qu’un enfant de 5 ans.

ce sont les soignants qui euthanasiaient, pas les labos.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

J’avais pourtant rapporté ce que disait Tissot sur Béchamp :

 » » Il résulte des discussions qui viennent d’être exposées, que Béchamp a bien vu et démontré la fausseté des dogmes pastoriens ; mais des campagnes de dénigrement ne lui ont pas permis de faire prévaloir ses conclusions. C’est l’erreur qui a triomphé : les faux dogmes pastoriens ont dressé un mur infranchissable devant les progrès de la science.
En soutenant avec un courage indomptable une lutte dure et injuste pour défendre la vérité contre les dogmes faux et néfastes, Béchamp a mérité qu’on garde une vive admiration pour l’élévation de son caractère ; par la grande importance des progrès qu’il a fait réaliser à la science, il a laissé le souvenir d’une haute intelligence et d’une haute valeur scientifique qui le fait classer parmi les savants les plus éminents du XIXè siècle. »

Je ne pense pas que l’on puisse traduire cela en disant que Tissot aurait eu besoin de combattre Béchamp pour gagner en reconnaissance ???
De plus, les explications données par Tissot sur les erreurs de Béchamp ne peuvent être qualifiées d’opinions. Je ne peux pas les rapporter ici car elles occupent 7 pages, pour le moins.

Désolé Brigitte mais …dispose-tu de l’ouvrage de Tissot ?

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Il y a un décalage dans nos échanges, Bernard.
Ok, ma remarque Tissot n’était pas adéquate, je te l’accorde. Mais il s’agit d’une opinion de sa part, qui a du vrai mais qui, de mon point de vue, me fait penser qu’il passe à côté de quelque chose d’important concernant la théorie de Béchamp et de ses expériences qui il est vrai sont limitées à des techniques simples.
Oui, j’ai les travaux de Tissot, je les ai obtenus par la BnF.
Je suis étonnée qu’il n’est pas tenté de reproduire les expériences de Béchamp.
Il a une approche différente, il a suivi son instinct.
Il a toutefois chercher la cause des maladies ailleurs et cela pourrait rejoindre la bioélectronique Vincent et la modification du terrain par l’alimentation.

Je me suis plus intéressée à faire le lien avec les découvertes de Béchamp.
En plus des travaux que j’ai déjà décrit plus haut, et le lien que j’en fait, J’ai vu son travail sur les globules blancs dont il pense, et je le crois aussi, que les différents types de leucocytes, lymphocytes, macrophages, granulocytes… sont des étapes de polymorphisme « cellulaire » et il note bien dans les granulocytes l’aspect granulaire qui pourrait être l’étape microzymale. Je dis çà de mémoire, rectifie moi si je me trompe.
Par contre je n’ai jamais réussi à obtenir les photos nombreuses qu’il avait prises.
La BnF ne pouvait pas les fournir et je ne les ai pas trouvées.

Brigitte Fau
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Et pour ne pas abandonner Hervé_02 dans ces échanges croisés.
Oui sans doute il sera difficile de connaître la vérité, non pas « jamais », j’espère même que cette crise bouleversera ce système corrompu.
Oui, ce serait tellement plus bénéfique pour tous que les médecins ne subissent pas ces influences néfastes.
Bravo d’ailleurs à ceux qui ont su observé et s’extraire petit à petit du bocal mais peuvent-ils encore exercer leur art librement, tout est fait pour les en empêcher. Ils sont devenus génants alors qu’ils sont sans doute les meilleurs de part leur recul. Je pense à eux si près de nous à l’AIMSIB.

herve_02
herve_02
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Je pense que l’on devrait laisser les médecins tranquille. qu’ils soignent comme ils peuvent et que l’intelligence collective, hors big pharma et politique, fasse le reste.

Je pense aussi qu’on devrait laisser la science dans son bocal, sans application médicale directe. Si la « science » apporte une réelle innovation tous les siècles, ce sera largement suffisant.

Je pense enfin que toute cette science médicale qui tue depuis des siècles devrait se déporter à travailler sur les multiples molécules qui profusent (oui je sais) dans les produits quotidiens. Cela devrait faire avancer la science, par sérendipité, bien plus que de chercher l’utilisation en médecine d’une nouvelle molécule qu’on arrive enfin à synthétiser.

Enfin, moi président (ah ah ah) je rendrais responsables les prescripteurs de produits encore sous brevets en cas d’effets secondaires graves. ET je mettrais sur un site facilement accessible par le grand public les effets secondaires graves et non grave des molécules à partir du nom commercial (le nom figurant sur la boite) ; ainsi qu’une application téléphone, permettant d’avoir une note A-E pour chacun des médicaments en vente, ordonnance ou pas.

J’allais oublier : je rendrais pénalement responsable le prescripteur qui refuse de déclarer un effet secondaire, même si cela n’a rien à voir. Même délit avec circonstances aggravantes pour celui qui la retire de la base en affirmant à tord et sans documentation parfaitement carrée que cela n’a rien à voir. Dans le doute, cela a à voir.

voila c’était mon 1/4 d’heure utopie du jour.

Et s’il reste des points karma à dépenser, je propose de réformer l’apprentissage de la médecine. 1 an de cours, puis 15 ans (au moins) de compagnonnage avec des praticiens en activité, partagés entre pratique en binôme, de plus en plus active , et réalisation d’exposés de littérature « médicale » publiée en open access. les 5 dernières années devant se faire avec un praticien proche de la retraite et libérée des dogmes.

hub37
hub37
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Oui Hervé02, c’est fondamental, c’est la question de base que vous posez \ le 3 à 21:47 \ 21:17 \ le 2 à 15:46 :

Dans quel sens mon instrument d’observation a-t-il modifié la situation, la réalité que je voulais cerner ? Ce doute court partout chez les chercheurs consciencieux (pas les Pasteur, par exemple, ou innombrables successeurs compulsifs).

Cela se superpose, du reste, à la question, plus subtile, de la déformation de la réalité par ma seule formulation ou pensée. Je l’ai vécu jadis au microscope optique. Le pouvoir séparateur de la lumière brouillait mes premiers vagissements en technologie micro-électronique.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  Bernard Guennebaud
2 années il y a

Je m’excuse pour Béchamp devenu béchamel par le jeu de la correction automatique certes très performante des nouveaux ordinateurs mais qui réserve parfois des surprises !

Minna
Minna
2 années il y a

Pour ceux que ça intéresse :
Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34778597/
Ainsi que Martin Pall :
Electromagnetic fields act via activation of voltage-gated
calcium channels to produce beneficial or adverse effects
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3780531/
Merci à tous

Président de la Ligue antivaccinale
Président de la Ligue antivaccinale
Répondre à  Minna
2 années il y a

« La Chine va officiellement lancer la 5G ce vendredi 1er novembre 2019

Ce vendredi 1er novembre, trois opérateurs chinois vont commercialiser des services 5G et officialiser le lancement de la technologie. »

Une hypothèse est que la fausse épidémie COVID a été déclenchée à Wuhan pour cacher les effets secondaires des rayons EM et les attribuer au soit disant virus

Saint-Marin, première nation au monde couverte par la 5G

La pandémie de Covid-19 à Saint-Marin démarre officiellement le 27 février 2020. À la date du 17 avril 2022, le bilan est de 114 morts.
Saint-Marin(33 607 habitants) est le micro-État le plus durement touché par la pandémie

Minna
Minna
2 années il y a

Pour un article plus détaillé
Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/
Merci encore

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  Minna
2 années il y a

Que des bactéries et virus puissent être sensibles à des ondes, c’est une certitude. Une certitude car les protéines se construisent « en musique » si je puis dire. Ce sont les « protéodies » « musique des protéines » selon le terme crée par le physicien Joël Sternheimer. J’ai ré-expliqué cela un peu plus haut dans les commentaires. Selon la façon dont la protéodie sera jouée la formation des protéines correspondantes sera favorisée ou endiguée. Dans le cas d’un virus bardé de la fameuse protéine spike à laquelle on peut associer une protéodie, vaut mieux pas se tromper !

Que des ondes électromagnétiques puissent favoriser la construction de la protéine spike associée au virus sras-2 c’est tout à fait possible a priori. Que les ondes 5 G soient capables d’avoir une telle action, et que cette action booster la protéine dans sa formation, c’est a priori possible.

Mais que l’on comprenne que cette action ne signifie pas que le virus et sa protéine spike n’existeraient pas ! Au contraire, ce serait l’existence de cette protéine spike, d’ailleurs produite par les vaccins ARN, qui permettrait justement à ces ondes d’avoir une action favorisante de la maladie en boostant cette protéine.

En jouant la protéodie (de façon audible ou pas) il se produit une résonance entre la protéine et sa propre musique.

J’ai acheté un décodeur pour entendre la musique des plantes. En effet, la différence de potentiel électrique entre les racines et les feuilles n’est pas constante, elle varie d’une façon harmonieuse et même mélodique. Mais c’est non audible. On peut rendre ces variations audibles en associant par exemple la fréquence 1000Hz à une différence de potentiel choisie. Puis si cette différence double, on lui associera la fréquence 2000Hz. On choisit alors un instrument de musique mis sous forme électronique, ce qui permettra d’avoir aussi des harmoniques.
On peut ainsi écouter la plante et surtout, la plante peut « s’écouter » elle-même. J’ai acheté une plante puis je lui fait écouter sa musique. Au début elle fut lente à réagir puis, elle réagit de plus en plus rapidement et sa musique s’est enrichie avec le temps. Il est très remarquable de constater que la plante peut faire évoluer sa propre musique en s’écoutant. Il y a résonance entre elle et la musique qu’elle perçoit même sans oreilles.

Il n’est donc pas surprenant qu’une protéine qui a une dimension « musicale » spécifique puisse réagir dans un sens ou dans l’autre à sa propre musique. Certaines musiques de grands compositeurs peuvent contenir sans qu’ils l’aient fait exprès, des séquences qui sont des protéides. Ainsi des musiques de Mozart sont capables de favoriser la lactation des vaches. Comme l’a montré Joël Sternheimer, la musique de la protéine du lait de vache, c’est du Mozart !

En multipliant les champs électromagnétiques dans la complète ignorance de ces questions, il est certain que l’on joue avec le feu.

Minna
Minna
Répondre à  Bernard Guennebaud
2 années il y a

Cher Bernard,
C’est donc bien l’organisme tout entier (végétal ou autre) qui est sensible aux ondes. Rien d’étonnant puisque nous en sommes faits depuis toujours !
Par contre, j’ignore de quand date l’observation de la protéine spike. Srait-il possible qu’il ne s’agisse que d’un artefact ?
Merci de m’éclairer

georges78
georges78
Répondre à  Minna
2 années il y a
Bernard Guenenbaud
2 années il y a

Je réponds ici à Herve-02 pour être plus au large. « ne peut-on penser, écrit-il, que la « préparation » d’une cellule pour l’observer « fixe » une réalité. Et ce serait pour cela que chaque génération de nouveau matériel apporte une « nouvelle » vision de la réalité ? »

Vous auriez tout à fait raison si … tout se passait normalement dans le monde dit scientifique, mais …
Quand Tissot découvrit un nouveau mode de préparation des cellules à observer, il fit au moins 3 découvertes :
1- Il obtenait un réseau connexe contenant entre autres les mitochondries et reliant le noyau au cytoplasme. Devant cela on pourrait se poser la question, qui me fut d’ailleurs posée : et si c’était la version habituelle qui était la plus proche de la réalité alors que la structure observée par Tissot aurait été artificiellement créée par sa méthode de préparation ?
A cela on peut poser un axiome ou principe : entre 2 structures, celle qui a le plus de chances d’être proche de la réalité est la plus structurée et la plus harmonieuse. Il est en effet douteux que des actions préparatrices a priori perturbatrices pour les cellules puissent rassembler des objets épars pour les reformer en une structure harmonieuse et régulière.

2- Après avoir préparé ainsi des tissus tuberculeux, il observe que le fameux BK se présente en filaments, les méthodes préparatoires classiques ayant pour effet de segmenter les filaments.
Là aussi on pourrait objecter « et si c’était l’inverse ? » L’inverse serait que la méthode Tissot aurait pour effet d’attacher à la queue leu leu des bâtonnets dispersés… Peu vraisemblable en effet !!!

3- Les observations 1 et 2 permettent de voir que le filament traverse la membrane de la cellule et donc que ce fut le réseau connexe , harmonieux, régulier et de développement limité qui avait dégénéré pour s’échapper en quelque sorte de la cellule.le BK que les observations antérieures montrait à l’intérieur comme à l’extérieur de la cellule mais en étant séparés faisait dire aux observateurs que le bacille venu de l’extérieur avait pénétré la cellule. Ses observations faisaient au contraire dire à Tissot que c’est le BK qui SORT de la cellule !!!

Tissot avait publié cela dans un ouvrage en 1936. Je ne le possède pas mais je l’ai eu entre les mains pendant quelques temps. Je regrette beaucoup de ne pas en disposer et il semble introuvable aujourd’hui.
40 plus tard ce qu’on appelle « la science » redécouvrira que le BK existe en réalité sous la forme de filaments et non de bâtonnets et que c’est sous cette forme qu’il est pathogène. Personne ne songera à en attribuer la paternité à Tissot, bien sûr ! Le fameux bacille deviendra alors Mycobacterium Tuberculosis (MT).
Par contre, les 2 autres découvertes (1 et 3) ne sont toujours pas reconnues par « la science » et ce sans avoir cherché à les étudier.

Sur cette affaire, qui pourrait être énorme car la tuberculose reste une grande maladie mondiale, nous constatons que « La Science » ne reconnait que ce qu’elle veut bien reconnaitre. Cette attitude ne date pas du Covid 19. Derrière cette expression très commune, « la science », se cache en fait une action d’autorité qui décide, élimine et tranche, attitude qui n’a rien de scientifique comme nous pouvons chaque jour le constater avec cette crise sanitaire.

L’Institut Pasteur et l’Académie de Médecine ont joué à l’époque, en 1936, un rôle très important et décisif, pour écarter trois découvertes des plus fondamentales et dont le rôle dans la santé du publique (que je distingue de la santé publique qui est un système s’affirmant au service de la santé du public) aurait certainement été considérable.

Si vous voulez voir des photos :

http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2019/01/19/37029528.html

Brigitte Fau
Répondre à  Bernard Guenenbaud
2 années il y a

Bernard, J’ai réuni sur cette page dans la partie 2, consacrée au polymorphisme selon Jules Tissot, l’ensemble des liens et fichiers pdf (téléchargeables) permettant de consulter les 3 volumes de son livre « Constitution des organismes animaux et végétaux… »
Malheureusement concernant le volume 3 qui te manque, je n’ai trouvé en pdf que les 23 premières pages que tu peux donc télécharger.
A noter que j’ai même mis dans cette partie tes petites vidéos sur les explications que tu donnes plus haut.
https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Non, c’est le volume 2 qui me manque. J’ai le 3 avec les photos et qui sont dans un fascicule à part ! Grand merci pour le texte du volume 2 qui est d’une richesse inouïe sur la tuberculose et le bacille tuberculeux mais sans les photos malheureusement. J’avais pu en trouver une que j’ai mise ici

http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2019/01/19/37029528.html

Minna
Minna
Répondre à  Bernard Guenenbaud
2 années il y a

Le point faible de la recherche scientifique, c’est le chercheur lui-même. En effet, malgré la fiabilité des appareils et l’exactitude de ses calculs, lui-même est et reste un être subjectif, qu’il le veuille ou non. Qui peut faire qu’il ne voie pas dans une image ambiguë… ce qu’il a envie d’y voir, ou ce que son directeur de recherche lui suggère, ou ce que lui dicte le consensus régnant, ou ce qui a été ordonné par un ministère ? Je ne parle pas des influenceurs appointés, bien sur.
Ceux qui ne voient pas ce que la confrérie a admis voient leurs recherches tomber dans un puits sans fond (Tissot, L-C Vincent, Kervran, etc.) ou se sont vus exclus de la confrérie (Duesberg : privé des financements dont il bénéficiait, le groupe de Perth, dont personne ne parle plus, et j’en passe), sans parler de ce qui a réémergé avec la CoVid19.
Non que je préconise le remplacement des chercheurs par des machines (au secours !) : les machines sont fabriquées par les humains, donc soumises aux mêmes modes, préjugés et engouements, ce qui revient à faire toujours plus de la même chose.
Merci à tous

Brigitte Fau
Répondre à  Minna
2 années il y a

C’est tout à fait vrai, Minna, « Le point faible de la recherche scientifique, c’est le chercheur lui-même »
et je ne peux en l’occurence que saisir une fois encore l’occasion de porter Antoine Béchamp que tu n’as pas cité dans ta parenthèse, parce que ce qui frappe en premier lieu à la lecture de son livre « Les Microzymas », c’est la rigueur de sa démarche. Il avance au fil des faits avec recul, circonspection et en approfondissant encore et toujours, en observant sous toutes les faces auxquelles la plupart des chercheurs n’auraient pas pensé d’emblée. Voilà pourquoi ceux qui ont lu ses travaux (ils sont trop rares) sont des défenseurs inconditionnels de sa théorie dûment expérimentée malgré les limites techniques de l’époque.
Je précise qu’il ne dit pas que la contagion n’existe pas, il constate que ce que l’on prend pour des parasites sont en réalité produits par des éléments vitaux de nos organismes, ou ces éléments eux-mêmes et précise que la contagion n’a pas été démontrée et c’est toujours le cas : voir ce qu’explique le Président de la Ligue antivaccinale plus haut, à savoir que les tentatives diverses de transmettre différentes maladies par contact, inhalation … ont été infructueuses.
Je ne cherchais pas par là à relancer la discussion sur ce sujet « dérangeant » à l’heure actuelle particulièrement.

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  Minna
2 années il y a

Deux exemples :

1- J’ai pris, il y a quelques mois, par téléphone des nouvelles d’un ancien collègue (et néanmoins ami comme disent certains …). Il m’apprend qu’un de ses neveux vient avait participé à un repas d’affaire où ils étaient tous vaccinés 2 doses, ce qui était la norme à l’époque. Le lendemain un des participants contacte les autres pour leur apprendre qu’il a la covid. Son neveu fera aussi la maladie peu de temps après. Je ne sais pas pour les autres mais je me vois mal aller expliquer au neveu que la contagion n’existe pas.

2- Tout récemment une veuve de 73 ans prend des cours d’espagnol à domicile car sa fille vit en Espagne. La prof, vaccinée, masquée arrive chez elle. Elle est fortement enrhumée, enlève son masque pour se moucher, le pose sur la table puis pose aussi le mouchoir sur la table. Cela se renouvèlera plusieurs fois au cours de la leçon. Le lendemain sa prof lui apprend qu’elle a la covid. Quelques jours plus tard son élève fera aussi la covid…
Je me vois mal aller lui expliquer que la contagion n’existe pas.

Brigitte Fau
Répondre à  Minna
2 années il y a

J’ai failli ne pas répondre, Bernard.
Sur 2 exemples observés sous une seule facette (admise) !
Tu fais la démonstration par excellence de ce que Minna appelait « mode », « préjugé », j’ajoute absence de recul malgré tous ces commentaires précédents qui ouvraient la porte à tant d’autres possibilités comme celle qu’évoque Tissot justement, qui mettait en garde dans ce pamphlet des risques de la vaccination qui augmente les cas (chez les vaccinés ?) comme par hasard.
https://www.bonnes-habitudes.fr/obligation-1938/
Mais cette dame aura entendu et cru Bill Gates déclarer que ce sont les non-vaccinés qui meurent, bien sûr. Alors forcément !
Je parlais de rigueur dans la démarche et la première des choses est de partir de bases prouvées, dûment. C’est ce dont il est question dans ces échanges, il me semble.

Bernard. Guennebaud
Bernard. Guennebaud
Répondre à  Minna
2 années il y a

Mais Brigitte, ce que je disais était que je me voyais mal en train de leur expliquer à eux que la contagion n’existe pas. Ils ne me croiront pas mais auront peut-être tort.
Ce qui est « prouvé » dans un tel domaine va d’abord s’appuyer sur des observations de terrain, donc de type épidémiologique avant d’aller chercher des concepts dont la sécurité scientifique n’est pas très assurée.

Même pour la tuberculose dont j’ai acquis la certitude qu’il n’est pas nécessaire d’avoir été contaminé par un bacille tuberculeux provenant d’une contagion, il y a tout autant la certitude que la contagion se produit aussi. Mais attention, cela ne veut pas dire que la tuberculose peut se développer en l’absence de bacille tuberculeux. NON ! Il est seulement crée à partir du réseau mitochondrial des cellules pulmonaires, réseau qui peut dégénérer sous de multiples influences comme les poussières de silice respirées par les mineurs ou l’air froid excessif respiré pendant des décennies où …

Brigitte Fau
Répondre à  Minna
2 années il y a

Et pourtant, Bernard. Il est vrai que tant que tout cela n’est pas remis en question, c’est difficile. Pourtant amener les gens à se questionner autrement n’est pas un mal à condition qu’ils aient une certaine ouverture.
Une anecdote : il y a quelques mois, un petit garçon avec qui je me refusais à évoquer ces sujets par respect pour ses parents et à qui je demandais juste s’il devait porter le masque dans la cour de l’école, m’a répondu qu’il baissait son masque dans la cour et que personne ne le lui reprochait (tant mieux, ai-je pensé). Mais il a ajouté : « si çà se trouve, le virus, il existe pas ». Je lui ai répondu « en effet, si çà se trouve ! ».
Je lui ai demandé le lendemain ce qui lui avait fait pensé çà, connaissant l’avis de ses parents plutôt contraire, il m’a répondu : « ben, comme çà, çà m’est venu ! ».
Sans doute, a-t-il fait ses propres constats du haut de ses quelques années et surtout, le ridicule et les incohérences n’échappent pas aux enfants, en tout cas pas à lui.
Cet enfant ne doit plus avoir une grande confiance dans les adultes ni dans le système. Comment va-t-il grandir ?

Merci à toi

herve_02
herve_02
Répondre à  Minna
2 années il y a

@bernard

je suis super perplexe, et je n’arrive pas à raccorder les morceaux dans un enchaînement logique.

Faisons une expérience de pensée. Le bacille est une dégénérescence « naturelle » de certaines cellules qui peut se transmettre à d’autre

1) s’il se transmet, il y a un agent infectieux peut importe le nom qu’on lui donne, virus ou padbol.

2) comment envisager que plusieurs personnes dans le monde, ayant un adn vraiment différent puisse avoir des cellules qui dégénèrent _de la même manière_ pour former le _même objet_ tout en vivant dans une environnement différent (et donc des changement de milieux différents) ? On sait que la pauvreté est LE facteur de risque de la tuberculose, de telle manière que la pauvreté de paris la remet au goût du jour alors qu’on n’en parlait plus tellement. Un vibration de l’argent qui « tue » les cellules qui voudraient dégénérer ?

Alors bien entendu on peut considérer que c’est un axiome et fonder une théorie dessus. Et cette théorie peut expliquer certains choses. Mais cela n’en fait qu’une théorie et demain nous trouverons une nouvelle « machine » qui permettra d’observer à un autre niveau (peut être sub-atomique) et nous trouverons d’autres causes possibles (l’histoire de marteau).

Mais cela ne voudra pas dire que ces causes sont une vérité, juste une observation. C’est comme le vaccin de la polio et du sida. J’avais vu il y a longtemps le documentaire en question. et il montre parfaitement la polémique : une théorie qui tombe parfaitement cadrée, avec des « preuves » indirectes et des témoignages concordants (le faisceau d’indices concordants en droit). et le « consensus » « scientifique » « admis » est celui qui est « affirmé » sans aucune preuve par des gens qui passent leur temps à mentir et tricher.

je pense qu’il faut prendre du recul, cultiver son jardin avec ce qui nous semble le plus judicieux (des phases de la lune à la numérologie, aux astuces des grands parents ou des « sauvages ») et peut être que notre « croyance » fera office de « placebo », que nous mettrons en œuvre la loi de l’attraction.

Moi, j’en suis arrivé à ne plus fréquenter de médecins car j’ai la ferme conviction qu’ils ne pourront faire que plus de mal que de bien.

herve_02
herve_02
Répondre à  Bernard Guenenbaud
2 années il y a

Alors, je n’ai pas forcément été assez clair.

Je ne dis pas que la structure que l’on voyait à la préhistoire étaient plus justes que celle que l’on voyait au 19ème.

je fais juste remarquer que l’on peut prendre comme hypothèse de travail que l’outil que l’on a va influer sur ce que l’on va voir ou trouver.

« entre 2 structures, celle qui a le plus de chances d’être proche de la réalité est la plus structurée et la plus harmonieuse. » C’est une théorie qui est séduisante, qui raccorde à la mode actuelle de la nature qui serait structurante et gnagnagna et gnagnagni.

je vais prendre un seul contre-exemple qui a le mérite de faire exploser l’idée de généralité, et vous pouvez faire l’expérience vous même. Prenez une poignée de limaille de fer et déposez là sur un plateau en verre. Observer vous verrez l’entropie. Prenez un aimant et glissez le sous le plateau en question et faites le bouger de 2 cm. Ensuite re-faite l’observation de la limaille, de l’entropie est née un certain « ordre ». Pourtant suivant la théorie ce qui est le plus proche de la réalité est le plus harmonieux. Ainsi l’aimant que nous posons n’est que la réalité et le désordre de la limaille que nous posons sur la table ne l’est que parce que notre corps est malade et envoie des ondes électromagnétiques déstructurantes. Non je blague vous n’êtes pas forcément malade. La nature c’est l’entropie.

Ce que je veux dire c’est qu’il est possible que nos observations ne soient que des moments T d’une réalité toujours en mouvement. que l’observation dépend ET d moment de celle ci, ET de l’angle choisi ET de l’outil utilisé.

Je ne sais pas sur le bacille BT à des haltères ou pas, s’il rentre ou sort de la cellule, s’il est une agression extérieur ou une dégénérescence de la cellule, s’il le fruit du hasard ou une punition divine ou même un attaque biologique d’une entité extra terrestre qui veut prendre toutes les ressources de la terre.

Je fais juste remarquer que la biologie d’un corps humain est très complexe, qu’elle est le fruit de l’évolution de plusieurs millions d’années, qu’on n’en comprendra probablement jamais vraiment la réalité et que nous gagnerons des prix nobel à isoler un mécanisme mal compris mais parfaitement décrit sans voir ni comprendre les implications positives et négatives avec son environnement ni ses interactions complètes. Parce que nous n’avons pas assez de puissance intellectuelle pour appréhender le schéma global et probablement qu’une partie de nos axiomes sont faux.

Ainsi on a fortement tendance à accepter ce qui nous conforte et combattre ce qui nous déplaît. Peut être que ces « réseaux » ne sont que le résultat d’une déstructuration en cours, ou une suicide de la cellule qui se détruit, ou une réaction à l’agression qu’elle subit, un changement d’état à cause du changement de milieux, une « fixation » d’un univers probabiliste… On ne le saura probablement jamais.

Même si on veut croire que la nature est « bonne » et « structure » une entropie…

moi je sais que je ne sais rien, et c’est déjà quelque chose. j’ai beaucoup de mal avec les gens qui veulent m’expliquer la « vie », parce que peut être que ce qu’ils pensent savoir est une théorie qui s’avérera fausse demain. et qu’entre temps elle tuera de bonne foi.

Minna
Minna
2 années il y a

Je pense qu’aucun des présents à cette discussion ne nie l’existence de ces particules (microzymas, exosomes, etc.) mais seulement leur culpabilité dans les maladies comme le SIDA, la rougeole, etc. Leur seule présence sur la scène du crime ne suffit pas à accréditer la thèse, il y faut des preuves supplémentaires qui manquent dans l’état actuel des recherches et le consensus à ce sujet ne fait pas preuve. Si ces particules étaient là pour contribuer à la réparation de l’organisme, les combattre serait comme tirer sur l’ambulance…

Malheureusement, viennent probablement se greffer là-dessus les modifications nécessaires aux observations et les artefacts technologiques, dont le nuisible recours aux banques de données informatiques.

De même, ne faisons pas des champs électro-magnétiques un épouvantail unique. Certaines fréquences (voir les machines de Ryfe) sont même bénéfiques.
Actualité : un éleveur vendéen vient de perdre 13 000 dindons de son élevage en 72 heures. Vaccinons, vaccinons, répondent les vétérinaires (Albert Bourla, avant de devenir un super-prédateur de la finance internationale, était vétérinaire…).

J’ai recherché l’implantation d’antennes-relais sur le site de l’Arcep : la région en est truffée. Cependant, les effets nocifs ou non de ces CEM dépendent de la fréquence, de l’intensité de l’émission et du volume du trafic qui varie énormément selon les heures.

Mais on ne trouve pas ce qu’on ne cherche pas…
Merci à tous

Brigitte Fau
Répondre à  Minna
2 années il y a

Pour faire pendant à cet éleveur vendéen qui suivait les consignes « sanitaires » pour ces volailles, voici un exemple contraire d’éleveur qui suit la nature au lieu des « préventions » préconisées et qui en constate les bienfaits sur ses volailles qui n’ont aucune maladie.
Je ne connais pas l’environnement électro-magnétique en ce qui le concerne dont il n’a pas forcément la maîtrise :
https://www.facebook.com/laminuteverteofficielle/videos/521146326308190

Minna
Minna
Répondre à  Brigitte Fau
2 années il y a

Les fréquences utilisées par les antennes-relais participent probablement à une perturbation des échanges ioniques « fonctionnels » dans les organismes vivants (voir l’article de Martin Pall que j’ai posté plus haut). C’est pourquoi les animaux élevés en batterie, qui sont peut-être aussi quasiment des clones, meurent tous en même temps de la même maladie, comme les végétaux de pépinière d’ailleurs.
En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas (pas encore ?) élevés en batterie, et nous devenons malades selon nos failles héritées ou acquises, ou notre résistance, et restons sains.
On pourrait appeler « contagion » cette perturbation des échanges ioniques partagée par une population donnée.
Lorsqu’il s’agit de parasites, on peut toujours essayer de leur rendre la vie plus difficile avec des plantes, des modificateurs de terrain (oligothérapie), etc. Je n’en sais pas plus que ce que je fais pouor moi-même…
Merci à tous

Minna
Minna
2 années il y a

Une potentielle bonne nouvelle pour tous ceux, dont votre association, qui ont lancé des procédures contre ces brigands :

 »Les récentes déclarations des PDG de Pfizer et de Moderna sont-elles de nature à rassurer ? Dans cette interview datée du 10 décembre 2021, où Stéphane Bancel (Moderna) explique comment il a enfreint la procédure d’agrément imposée par la Food & Drug Administration (FDA), il répond à demi-mot à cette question :
« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »Stéphane Bancel, 10 décembre 2021 »

Puis :
 »La confession (hypocrite) d’Albert Bourla (Pfizer) est quant à elle particulièrement troublante puisqu’il reconnaît aujourd’hui s’être lancé dans la confection de son vaccin COVID et dans l’aventure de l’ARN messager sans la moindre expérience de cette technologie, utilisée pour la première fois dans le cadre d’une vaccination et dont les scientifiques qui en ont fait la promotion n’ont eu de cesse de nous expliquer qu’elle était parfaitement maîtrisée :
« C’était contre-intuitif de choisir l’ARNm. »
« J’ai été surpris quand ILS m’ont suggéré que c’était la voie à suivre. »
« J’ai remis en question LEUR avis. »
« Mais ILS m’ont convaincu. »
« J’ai suivi mon instinct qui me disait qu’ILS savaient ce qu’ILS faisaient. »
A. Bourla, Pfizer CEO pic.twitter.com/O9xN91btsI
Collectif Sauver la Science (@GabinJean3) March 12, 2022 »

Et enfin :

Les directeurs financiers de Pfizer et de Moderna démissionnent. Qu’arrive-t-il à Big Pharma?
Maurizio Blondet 28 avril 2022 – Traduit de l’italien au français 1 Mai 2022, 16:41pm

Nous n’aurions pas aimé que vous manquiez ceci :
« David Meline, directeur financier de Moderna, et Frank D’Amelio, de Pfizer, quittent leurs fonctions. Les nouveaux directeurs financiers des sociétés ont tous deux été annoncés le 11 avril quelques heures plus tard : Jorge Gomez pour Moderna, et David Denton pour Pfizer. Tous deux prendront leurs nouvelles fonctions en mai; leurs prédécesseurs agiront à titre de conseillers pour la période de transition.
Non seulement BioNTech a dû souligner dans son rapport annuel les risques que son vaccin Covid comporte pour l’entreprise, mais Pfizer explique également que les nouvelles découvertes sur les questions de sécurité et la faible efficacité du vaccin Comirnaty peuvent entraîner d’énormes pertes financières.

Autrement dit : les rats quittent le navire ?
Merci à tous

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
2 années il y a

Voici un bref extrait de ce qu’écrivait Tissot en 1936 et qui montrera que ce à quoi nous assistons aujourd’hui n’est pas nouveau :
Mes découvertes « étaient en opposition avec de nombreuses connaissances admises. Je savais bien que de nombreuses objections me seraient faites, mais ce que je ne prévoyais pas, c’est que des sociétés savantes jugeraient, tel que cela se pratiquait il y a plusieurs siècles, que mes recherches désintéressées et qui, de toute évidence n’avaient en vue que le progrès de la science, méritaient d’être interdites, mises à l’index, et cela sans même qu’aucune raison valable m’ait été donnée pour justifier cette interdiction.
Des sociétés savantes ont en effet jugé qu’elles se compromettraient en acceptant la publication des résultats de mes recherches et cela à la requête de savants officiels.
Comment aurais-je pu prévoir que les faits établis avec autant de soins que j’en avais pris pour leur démonstration, seraient jugés avec tant de sévérité que personne, dans ces sociétés savantes, ne se trouva qui demanda, au moins, qu’un examen, même superficiel, fut décidé avant de conclure à l’interdiction de la publication.
Par ce fait, c’est la diffusion des principes nouveaux que je cherchais à introduire dans la science qui a été gênée et retardée par l’action des sociétés savantes que j’avais cru être crées, jusque-là, pour favoriser et même provoquer les progrès de la science. Heureusement que quelques esprits libres, clairs et élevés se sont trouvés qui ont cherché à réaliser cette diffusion, en dehors de moi-même et sans y avoir été sollicités.
Ces incidents, si regrettables qu’ils soient pour celui qui cherche, en ce sens qu’ils apportent une gêne à son œuvre, ne m’ont cependant pas empêché de continuer à étendre et à développer les résultats acquis. »

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
2 années il y a

Bonjour Herve-02, je tente de répondre à vos interrogations les plus récentes (9 mai) sur l’origine du bacille tuberculeux.
En fait, selon ce qu’à photographié Tissot, ce ne sont pas des cellules qui dégénèrent pour se transformer en bacille, c’est le réseau connexe dont l’élément de base est en forme d’haltère (nommé par Tissot organise haltère) qui dégénère. Dans une cellule saine ce réseau, un peu en forme de grillage, relie le noyau à l’intérieur duquel Tissot ne pouvait pas voir, à la membrane de la cellule. J’ai déjà donné un lien vers un article où je montre une photo de cela (la quatrième ) :

http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2019/01/19/37029528.html

Vous pourrez comparer avec la présentation disloquée et non connexe qu’en donne « la science » biologique encore aujourd’hui (le dessin qui suit et qui est issu d’une photo de cellule). L’échelle n’est pas la même. Sur la photo de Tissot, le bâton de l’haltère est une mitochondrie qui peut apparaitre avec une certaine épaisseur dans le dessin.

Normalement ce réseau se maintient en se limitant à un petit nombre de maillages successifs. Mais sous certaines influences, ce réseau va se désagréger et sa construction limitée et controlée va changer pour se développer de façon linéaire et non limitée dans l’espace. On va alors voir des filaments se former au lieu d’un maillage structuré : c’est ce que montre les 2 premières photos prises par Tissot et publiées en 1936. On voit que ces filaments sont liés à des cellules (amas en noir).

Ceci et d’autres observations du même type ont fait écrire à Tissot :

« « La formation des cellules géantes par les cellules embryonnaires qui en sont les noyaux périphériques et par les filaments d’haltères qu’elles émettent et qui sont des filaments de bacille de Koch, fait qui explique pourquoi ces cellules sont bourrées de ces derniers ; ce fait rend assez piquant l’opinion qu’on a pu émettre que ces filaments, qui seraient émis par les cellules lymphatiques, sont des prolongements destinés à venir phagocyter les bacilles de koch, alors qu’ils sont ce bacille lui-même. »

Les biologistes ont depuis longtemps constaté la ressemblance structurelle entre les mitochondries et les bactéries et ce à un point tel qu’ils soutiennent aujourd’hui que les mitochondries seraient apparues dans le cytoplasme des cellules après que des bactéries aient pénétré ces cellules qui auparavant en étaient dépourvues. Ils ont même réalisé une vidéo pour le montrer : on y voit, dans la pénombre de fonds océaniques, des cellules et des bactéries voisines qui se côtoient puis les bactéries qui franchissent la membrane pour s’installer définitivement dans le cytoplasme et donner ce qu’ils appellent les mitochondries.

La découverte de Tissot pourrait remettre les pendules à l’heure en ramenant ce conte de fée à un fantasme délirant. C’est plutôt l’inverse qui s’est produit : par sa désagrégation, le réseau d’organites haltères libère des mitochondries qui deviennent des bactéries où, dans le cas plus précis du bacille tuberculeux, des filaments de bacilles dont les segments sont le fameux BK obtenu par Robert Koch dont le mode préparatoire segmentait les filaments.

Les bacilles tuberculeux ne sont pas tous identiques. On reconnait depuis longtemps des bacilles tuberculeux bovins, équins, ovins, humains. En fait ils sont tous distincts selon l’espèce animale. De plus, au sein même des bacilles tuberculeux humains, on sait distinguer aujourd’hui des souches différentes. Il est fort probable que le bacille tuberculeux que pourrait générer chaque être humain se distinguera des autres. On sait aussi reconnaître la même souche parmi des tuberculeux groupés, ce qui peut attester d’une contagion entre eux.

D’une manière plus générale, on peut tout à fait envisager que les bactéries et virus pathogènes résulteraient tous de la désagrégation des organismes complexes comme les humains, les animaux et les végétaux.

Un médecin militaire américain qui avait soigné des Apaches de Cochise dans les années 1870 témoigna qu’il n’avait jamais vu de maladies respiratoires quand ils vivaient en Arizona à 2000 mètres d’altitude dans une région très sèche où les végétaux et les animaux morts ne pourrissent pas. D’ailleurs les Américains stockent dans cette région des milliers d’avions car ils ne rouillent pas. Pas de décompositions végétales ou animales, pas de microbes pathogènes. D’ailleurs les Apaches étaient connus pour leur incroyable endurance.

Tout changea pour eux quand, après l’épisode Géronimo, ceux ci furent transférer à basse altitude dans un camp militaire à Fort Sill où régnaient le froid et l’humidité. Ils furent décimés par la tuberculose et les maladies respiratoires qu’ils ne connaissaient pas auparavant. D’ailleurs le fils ainé de Cochise mourut d’une maladie respiratoire quand il se rendit à Washington en 1876 pour y discuter de l’avenir de son peuple après la mort de son père.

herve_02
herve_02
2 années il y a

Puisqu’on parlait de virus qui existent ou pas :

« Des dépliants réalisés sous la forme de faux billets de banque ont été infectés par l’agent causal de la tuberculose et distribués parmi les mineurs du village de Stepovoe », a déclaré M. Kirillov, ajoutant que les organisateurs de ce crime ont tenu compte du comportement des enfants, qui consiste notamment à « mettre des choses dans la bouche » et à manipuler des aliments sans se laver les mains.

on remarquera qu’on ne parle pas de virus 🙂

https://lesakerfrancophone.fr/la-russie-revele-les-resultats-de-son-enquete-sur-les-laboratoires-clandestins-en-ukraine

Bernard Guennebaud
Bernard Guennebaud
Répondre à  herve_02
2 années il y a

« l’agent causal » de la tuberculose est une mycobactérie nommée Mycobacterium Tuberculosis (MT) qui remplace le fameux BK (Bacille de Koch) depuis qu’il a été (re)-découvert vers 1975 que les BK étaient des fragments dissociés de filaments de MT. Re car Tissot l’avait découvert et oublié dès 1936 …

Sur votre lien on lit quand même  » Kiev avait tenté d’infecter les résidents du district de Slavyanoserbsk de la République populaire de Lougansk (RPL) avec une souche de tuberculose hautement pathogène, en 2020. » « Infecter … avec une souche … hautement pathogène ».

Un peu plus loin « les résultats des études bactériologiques ont confirmé la résistance des bactéries isolées  »

Et encore « « l’infection des billets de banque était très probablement artificielle, car le matériau contient des souches extrêmement dangereuses de l’agent pathogène dans une concentration qui peut assurer l’infection et le développement du processus de la tuberculose. »

Alors oui, on ne parle pas de virus, avec la tuberculose il n’y en a pas !

pascal
pascal
2 années il y a

La théorie de l’origine du « VIH » dans le vaccin empoisonné ou contaminé d’Hilary Koprowski est fausse même si elle a le mérite évident de mettre le doigt sur les risques toujours actuels hélas dans la création des vaccins. Nous l’avons anciennement vu à titre d’exemple avec la contamination de millions de gens à travers le monde entier par le fameux SV40 qui induit des cancers du cerveau (mais pas que) chez le hamster mais comme par hasard et très curieusement jamais chez l’homme dixit le narratif mensonger officiel de la médecine orthodoxe.
Le SIDA n’est pas une maladie virale. Le SIDA n’est pas une maladie sexuellement transmissible. Le SIDA n’est pas une maladie contagieuse ou infectieuse. Le « VIH » n’est pas la cause du SIDA. Et il n’y a pas de « VIH ».
Le SIDA vrai ou originel se guérit sans aucun problème et très vite dès que l’on extrait le patient de tous les facteurs de stress oxydant.
Les gens (des pays du Sud essentiellement) ne meurent pas du SIDA mais des maladies qui les déciment depuis toujours simplement rebaptisées SIDA au motif d’un test frauduleux positif non sensible, non spécifique, non reproductible et non standardisé et encore quand ils sont seulement testés dans leurs pays pauvres…
Quant au SIDA actuel dans nos pays occidentaux et riches : des populations ciblées sont invitées à se faire dépister – en l’absence TOTALE du moindre syndrome clinique du SIDA – par du démarchage dans la rue, par la publicité dans le métro ou les magazines gay…
Ensuite dans le cas d’un résultat positif au « VIH », ils sont à nouveau testés cette fois pour leurs 2 marqueurs biochimiques CD4 et charge virale. Si les résultats sont mauvais : en deçà d’un certain seuil pour les CD4 et au delà d’un certain taux de charge virale : ces patients sont – déclarés – malades du SIDA et toujours en l’absence TOTALE du syndrome CLINIQUE du SIDA (! ! !) : un sommet pour la médecine tout de même quand on y réfléchit un peu ! Et c’est à ce moment précis que leur est initiée à vie une TRI-T. Le comble c’est qu’ils tombent malades du SIDA – syndrome CLINIQUE cette fois – toujours après (!) le commencement de leur trithérapie…
Le pire arrive quand leurs marqueurs biochimiques se rétablissent enfin à la normale grâce à leur TRI-T : survient alors un trouble paradoxal baptisé avec une ironie dramatique : Syndrome de RES-TAU-RA-TION immunitaire ! La médecine impuissante assiste ensuite à leur décès…
Nous assistons au même égarement avec la crise COVID qu’avec celle du SIDA. Premièrement il n’y a pas de surmortalité COVID, deuxièmement, la COVID se guérit à la perfection avec les médicaments et protocoles idoines dans quasi 100 % des cas : Vitamines D3 et C, Zn, HQC, IVM associées à des antibiotiques et à des antihistaminiques, essentiellement. Elle n’a jamais été un problème. Et elle ne se traite pas avec des antiviraux. Tellement pas que l’on peut se poser la question de sa cause virale ?
Pour résumé en ce qui concerne la communauté gay : la médecine offre aux gay séropositifs une TRI-T à vie et aux gay séronégatifs une PrEP censée les protéger d’une contamination en cas de contact avec le « VIH » et avec peu ou prou les mêmes médicaments à peine moins dosés. Pourquoi ne pas proposer des médicaments pour tous, contaminés ou pas par le « VIH », dès le berceau en attendant un possible vaccin contre le « VIH » à ARNm dès l’âge de 6 mois ? Dès lors, avec leur PrEP, se croyant prémunis du « VIH », les gay sont peu enclins à se protéger lors des rapports sexuels, favorisant l’explosion des MST dans leur communauté !
Je voudrais savoir quand la médecine va arrêter de vendre son âme au Diable ?
Rappelons les faits concernant le « VIH » putatif :
– Le « VIH » n’a JAMAIS été purifié et par conséquent isolé. Il n’a dont AUCUNE existence scientifiquement prouvée.
– Des anticorps totalement non spécifiques car non encore identifiés qui réagissent à des antigènes eux-aussi totalement non spécifiques car eux-aussi encore non identifiés ont été simplement détectés : pourtant la conclusion sans aucune autre preuve en a été directement tirée que ces antigènes appartiennent à un rétrovirus et que les anticorps qui y réagissent sont spécifiquement induits par ces mêmes antigènes (? !) : ce qui représente un monument d’absurdité provenant de cerveaux mentalement dérangés : les anticorps prouvent que ce sont les antigènes qui prouvent que ce sont les anticorps qui etc…
– La preuve de l’existence du « VIH » repose uniquement sur la détection de phénomènes totalement non spécifiques aux rétrovirus : réaction d’anticorps, détection d’une activité de RT, photos de particules et rien d’autre.
– Il est parfaitement et strictement impossible de « produire » du « VIH » sur Lymphocytes en l’absence d’une foultitude de produits chimiques ajoutés aux milieux de culture et les « VIH » produits ne provoquent jamais la destruction des cellules qu’ils infectent.
Etc…
Si un jour la vérité sur la fausse pandémie Covid éclate enfin, la fausse pandémie SIDA mourra avec, Koprowski ou pas…

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