« Covid-off », le livre qui rafraîchit bien (les neurones)

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Puisque les congés approchent et que vous devrez vous choisir un livre de plage à la fois drôle et éclairant, nous avons ce qu’il vous faut : voici le dernier ouvrage de Martin Mazurkiewicz (ci- dessus), que les habitués de ce site connaissent bien car il a déjà publié deux excellents articles chez nous en 2022 (1)(2) et un en 2023 que nous recommandons particulièrement à votre lecture (3). Le voilà qui signe « Covid-off » (4), un ouvrage extraordinaire que vous n’oublierez pas de sitôt. Interview express de l’auteur… Bonne lecture.

 

covid of 1

 

Dr Vincent Reliquet : Mon cher Martin, Je ne vais pas me cacher derrière mon petit doigt pour te le dire, mais j’ai bien détesté ton livre. Pour être plus précis, j’ai adoré détester tout ce que tu y as décrit, et j’ai franchement été sidéré par la qualité tant littéraire que scientifique de ton ouvrage. Maudite période. Tu n’as pas simplement signé un journal personnel colligeant au jour le jour tes réflexions face à la vague proprement hallucinante d’informations, contre-informations, ordres, contre-ordres, études épidémiologiques honteuses et oukazes gouvernementaux consternants : ils ont abreuvé notre quotidien des années 2020-2021. Tu as en plus réussi à en produire des critiques exceptionnellement sensées, manifestement en temps réel et d’un niveau scientifique franchement excellent : donc un immense bravo à toi.

 

V.R. : Commençons en souplesse, rappelle-nous pourquoi on devrait tous se souvenir de John Magufuli… 

Martin Mazurkiewicz : Ah oui, elle est bonne, celle-là ! Quand la crise COVID a éclaté, John Magufuli était le président de la République en exercice de la Tanzanie. Une personne comme je les aime : ni pour, ni contre quoi que ce soit a priori. Le genre : « J’écoute, j’essaie de comprendre, j’attends de voir. » Peut-être est-ce dû à son parcours : fils d’éleveurs de chèvres, diplômé d’un doctorat en chimie. Notez au passage qu’il a été un président atypique : dès son arrivée au pouvoir en 2015, il s’est rebellé contre les institutions financières internationales qui étranglaient son pays, a fait voter une loi pour renégocier ou rompre les contrats miniers jugés frauduleux, il a lutté contre la corruption, diminué par quatre son salaire, … Tout n’était pas rose : il a fait preuve d’un certain autoritarisme aussi, mais parfois, comme on va le voir, avec un côté…surprenant.

En mai 2020, alors que le monde est en plein délire COVID et que, sous la recommandation de l’OMS, les tests prennent leur envol dans notre quotidien pour monitorer la crise, le président Magufuli a eu ce qu’on pourrait appeler une intuition. Il a missionné son service de sécurité et fait envoyer trois tests PCR aux autorités sanitaires de son pays.

Les trois (vrais) tests étaient étiquetés aux noms de trois personnes, d’âges différents et des deux sexes. Verdict des labos officiels : le premier test a déclaré positive une chèvre, le deuxième une papaye. Le troisième, un mouton, était négatif.

L’histoire ne dit pas s’ils étaient ou non symptomatiques (5) ….

 

V.R. : Tu nous parles abondamment des qualités intrinsèques du test RT-PCR pour nous expliquer qu’en fait il pouvait servir à gonfler ou diminuer les résultats positifs quasiment à la demande des gouvernants. Explique-nous ce prodige ! 

M.M. : Il y a fondamentalement deux problèmes avec les tests PCR : la manière dont ils fonctionnent, et la manière dont on les a utilisés. Rappelons le principe, tout d’abord. Le Sars-CoV-2 (virus du COVID), compte 15 gènes répartis sur une chaîne ARN de 29 903 nucléotides, censée être évidemment d’un seul tenant quand le virus est « vivant ». La procédure de test PCR créée par l’Allemand Christian Drosten dès janvier 2020, qui a été recommandée par l’OMS et a servi de mode d’emploi pour les tests RT-PCR « diagnostiquant » le COVID, identifiait « trois morceaux de séquence » caractéristiques du virus (qu’on n’était censé trouver que chez le Sars-CoV-2 et sur aucun autre coronavirus, ou virus connu, ou dans notre génome,…), situés sur trois gènes différents. Ces trois morceaux de séquences faisaient respectivement 91, 127 et 79 nucléotides. Soit 0,3%, 0,4% et 0,2% de la séquence totale. Moins de 1% au total…

Donc, le test consistait à fourrer dans votre nez un écouvillon bourré d’amorces, en fait, des séquences d’une vingtaine de nucléotides « inverses » qui « normalement », devaient s’accrocher à leur complément, c’est-à-dire les trois séquences visées.

Et c’est après, en laboratoire, que s’opérait ce qui est à proprement parler la PCR : chaque fragment était reproduit artificiellement « x » fois. Le fameux nombre de Ct. Dans chaque réplicat se greffe une molécule fluorescente. La soupe est régulièrement flashée au laser. Quand le signal lumineux atteint un certain seuil, boum ! L’échantillon est déclaré positif. Pour vous donnez une idée : un brin reproduit dix fois donne mille copies. Vingt fois, un million. Trente fois, plus d’un milliard ! Vous comprenez que la machine est vite malade à ce rythme-là !

Très rapidement, en Allemagne, on a considéré qu’au-delà de 20 cycles de réplication, on ne pouvait parler de virus actif. Mieux : en France, l’IHU de Marseille (eh oui !) a publié en septembre 2020 une étude portant sur 3790 échantillons de tests portés en culture.

À un Ct de 35, seuls 3% des échantillons positifs ont réussi à infecter des cellules en culture. Or, cette valeur de 35 Ct a été érigée en norme par nos autorités sanitaires pour déclarer un cas positif.

Une norme officieuse, devrais-je dire, car lorsqu’on déterre les documents officiels, c’est pire, voir hallucinant. On sait, par exemple, au détour d’une note de la HAS du 21 janvier 2021 (6), qu’on a pu déclarer des tests positifs jusqu’à 40 cycles ! Dans les faits ce qu’il s’est passé, c’est que la majorité des tests, qui visaient deux ou trois cibles, ne rendaient pas un résultat homogène. Dans le livre, je prends l’exemple d’un avis favorable émis par le Centre de Référence National de l’Institut Pasteur, pour un des nombreux tests qui ne visait que deux cibles (7). Problème : à Ct 35, seule une des deux cibles « flashait ». En l’occurrence, on ne retrouvait que 0,4% du virus, en multipliant par 34 milliards. Pas de problème, a conclu Pasteur : le test est validé.

Le comble de l’absurdité a sans doute été atteint avec un avis publié le 25 septembre 2020 par la Société Française de Microbiologie (8), qui a inventé les cas «positifs faibles », ce qui correspond à un test qui ne rend positif qu’une cible sur trois, avec un Ct égal ou supérieur à 37. Avec 0,1% de Sars-CoV-2 détecté, vous pouviez être déclaré COVID.

Avec toutes les joies afférentes de l’époque : isolement pour 10 jours, désignation des cas contacts, etc. En résumé, le résultat des tests PCR, tels qu’ils ont été pratiqués en France, pour ne parler que de notre pays mais c’était à peu près partout pareil, ne valait rien. En revanche, ils ont servi politiquement au gouvernement pour justifier toutes les mesures qu’on nous a imposées (confinement, passes sanitaires, couvre-feu, etc.). Et surtout, le pouvoir a su en faire parfaitement usage pour maintenir artificiellement la « pandémie » et prolonger jusqu’au 30 juillet 2022 le régime d’état d’urgence sanitaire.

 

V.R. : Tu n’as pas oublié de nous parler du petit frère, le test antigénique, au résultat quasi immédiat mais à la qualité totalement variable. On croit vraiment rêver, d’autant que tu nous expliques que ces fiabilités lamentables étaient parfaitement connues des Autorités… 

MM- C’est ça qui est formidable dans cette histoire : on ne touche jamais le fond… Le 13 novembre 2020, en plein second confinement, Olivier Véran, sinistre la Santé, annonce une « innovation formidable » : les tests antigéniques. Il affirme : « Si vous êtes positif, leur fiabilité est excellente. » Ni une, ni deux, je file sur le site Internet de la Haute Autorité de Santé qui a été chargée d’évaluer ces nouveaux tests. Tout de suite, j’apprends (il suffit de lire !) que parmi les dizaines de tests antigéniques qui existent alors, leur efficacité à prédire un cas positif varie de 17 à 97%, avec une « moyenne » de 70 %. (9) Oups, pas terrible ! Pas grave, la HAS décide qu’il faut certifier les tests qui garantissent au moins à 80% les résultats positifs. Notez que ça garantit mécaniquement par la même occasion 20% de faux positifs… Mais la vraie question est : quelle est leur méthode pour garantir qu’un test antigénique positif signale réellement un cas positif ? Eh bien, c’est simple : s’il est confirmé par un test PCR.

Or, si vous avez bien lu la réponse à la question précédente, vous comprenez le problème… Par ailleurs, la HAS n’a pas tenu compte de ce qu’on appelle la « valeur prédictive d’un test ». En gros, plus une grande proportion a déjà été contaminée dans une population, plus la fiabilité des tests baisse. On connaît la courbe. En l’occurrence, à ce moment, on estimait que 10% de la population française avait déjà eu la COVID, ce qui diminuait la fiabilité du test de 20%. D’après les propres données fournies par la HAS, les tests antigéniques qu’elle voulait garantir fiables à 80%, l’étaient, au mieux, à 64%. Autrement dit, au moins 36% de faux positifs. Voilà leur « fiabilité excellente », vantée éhontément par Véran.

Mais il y a pire, il y a toujours pire dans l’histoire de la gestion de la crise COVID… J’ai cliqué sur les 44 fiches des tests alors validés par la HAS. Toutes mentionnaient le même message : « Attention : les caractéristiques du test indiquées dans la notice sont celles du fabricant et relèvent de sa responsabilité. Concernant la conformité aux spécifications HAS, les performances indiquées demeurent sous la responsabilité des fabricants. » Vous avez bien compris : la HAS n’a rien vérifié du tout…

covid rapid

Pour conclure sur ce volet des tests, j’en suis venu assez rapidement à me livrer à cette réflexion un peu effrayante, quand on y pense. Et si les tests n’avaient pas existé ? Et si le virus n’avait pas été séquencé ? Se serait-on ne serait-ce qu’aperçu qu’un nouveau virus est apparu ? Probablement pas… Tout au plus aurait-on remarqué une grippe un peu particulière, qu’on aurait traitée comme n’importe quelle autre pneumopathie atypique, qui rappelons-le, représentent 50% des pneumopathies. C’est la caractéristique principale de cette « pandémie » : la COVID est définie par des tests, qui ont servi d’outils de gestion (catastrophique) de la crise. Ce changement de paradigme est on ne peut plus clairement revendiqué et acté par le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, le 11 mars 2020, lorsqu’il déclare officiellement la COVID-19 « pandémie » : « Nous n’avons jamais vu auparavant une pandémie qui a pu être contrôlée. (…) Innovez et apprenez. (…) Trouvez, isolez, testez et traitez chaque cas et tracez chaque contact. ». La suite, vous la connaissez…

 

V.R. : J’ai cru tomber de ma chaise en lisant ton message en date du 18/11/2020 à propos du titre d’un article posté ce jour-là sur le site d’Europe1 : « La Suède « se rend compte que sa stratégie ne fonctionne pas » et fait marche arrière » (10). Sacrés Suédois, plus malins que tout le monde alors? 

M..M : A ce moment, on était en plein second confinement. Et la Suède, dans le même temps, avait levé pratiquement toutes les restrictions. Ça faisait tache ! Il fallait montrer qu’ils avaient tort !

Or, quand on lit l’article, on se rend compte que la citation du titre (La Suède « se rend compte que sa stratégie de fonctionne pas ») est une citation arrachée on ne sait comment ni pourquoi par la journaliste auprès d’une habitante de Stockholm, croisée dans la rue…

Il y a une seule autre citation, « La situation est maintenant grave », qui émane d’une ado de 15 ans. Mais dans les faits, il ne se passait strictement rien. Les chiffres de l’Agence de Santé du pays montraient qu’il n’y avait aucune surcharge dans les hôpitaux, tout juste des « nouveaux cas », estampillés par des tests. Quant à la fameuse « marche arrière », il s’agissait d’une annonce du Premier ministre : pas de rassemblements de plus de huit personnes, à partir de 24 décembre et pour un mois, et uniquement pour les rassemblements sportifs et culturels. Dans les faits, tout était ouvert. Retour à la normale.

C’est ma sœur, Amélie, qui m’avait fait remarquer que souvent les titres des articles n’avaient rien à voir avec le contenu. J’ai pu constater que c’était vrai. J’ai été journaliste pendant 15 ans. Mon numéro de carte de presse était le 92 879. J’avoue avoir été sidéré par la faillite du journalisme pendant toute la période de la COVID. Qu’au début, les journalistes aient été un peu paumés et ne comprennent pas ce qu’il se passait, c’est normal. Mais très, très rapidement, il suffisait de faire ce que j’ai fait et que n’importe qui pouvait faire, à savoir considérer les données disponibles, pour se rendre compte que toute cette histoire était une folie, que rien ne tenait debout.

 

V.R. : Avançons jusqu’en juillet 2021. Tu nous rappelles une déclaration choc proférée par Olivier Véran sur son compte Tweeter, qui devrait faire cesser de rigoler les vaccino-sceptiques : « La vaccination sauve des vies et sera le moyen d’en finir avec le #covid19. En France, dans 30 gros hôpitaux, 100% des patients récemment admis en réanimation ne sont pas vaccinés et 93% de ceux admis en médecine ne sont pas vaccinés ». Bigre, on aurait mieux fait de se taire alors ?

M.M. : Ce qu’il m’a énervé, celui- là ! A chaque fois, je consultais ses tweets, tard le soir, après avoir bossé la journée sur ce livre. Et je tombais sur ces perles, toutes plus absurdes les unes que les autres. Je rallumais alors l’ordinateur pour le démonter…

Ici, ce qui m’a tout de suite frappé, c’est qu’il cite « 30 gros hôpitaux ». C’est quoi, un « grozopital » ? En France, on a environ 500 CH et plus de 30 CHR. Pourquoi ces trente-là ? En tout cas, ce que cette andouille a démontré dans son tweet, et sans s’en rendre compte, c’est qu’il avait accès à toutes les données brutes, y compris celles concernant le statut vaccinal des personnes hospitalisées. Or, le gouvernement a toujours nié avoir ce type de données, et en tout cas a toujours refusé de les communiquer, malgré de multiples demandes répétées.

Ce qu’il fait, en annonçant « 100% de non-vaccinés en réanimation », c’est de la sélection de données, qui ne reflète que la sélection des patients dans certains hôpitaux. Si vous décidez de mettre les non-vaccinés en réa, quel que soit leur état, et les vaccinés dans d’autres services, vous avez 100% de vaccinés en réa. Ce que j’ai pu mettre en évidence, c’est que le tableau n’était pas du tout le même en Grande-Bretagne, où les données brutes, là-bas, étaient disponibles !

Ainsi, du 1er février au 21 juin, les non-vaccinés représentaient 3,7% des admis en service de médecine et 0,1 % des morts en hôpital. Les vaccinés deux-doses représentaient eux 4% des admis (pareil) et 1% des morts (dix fois plus !)

Mais c’est sans doute parce qu’au Royaume-Uni, ils roulent à gauche…

 

V.R. : Tu cites l’incroyable étude Pfizer qui a cherché à légitimer la vaccination des 12-15 ans et qui est parue en juillet 2021 : elle a convaincu l’Agence Européenne du médicament, et pourtant… 

MM- Il y a quelque chose de formidable, lorsqu’on étudie la crise de la COVID : quel que soit le sujet que vous soulevez, c’est un scandale. Du grand n’importe quoi. S’agissant de la vaccination des 12-15, le plus simple est encore une fois simplement de lire l’avis des experts de l’AEM (11). Que disent-ils ?

  • Le COVID est une maladie bénigne chez les adolescents, sauf parfois chez ceux qui ont des conditions sous-jacentes importantes.
  • Les adolescents ayant ces conditions sous-jacentes n’ont pas été spécifiquement étudiés.
  • Le vaccin ne garantit en rien la non-transmission de la maladie.
  • La durée de protection des anticorps (vaccinaux) est inconnue.
  • Le nombre limité de sujets inclus dans l’étude ne permet pas de détecter des effets indésirables graves.

Conclusion des experts : avis favorable à la vaccination ! Pour une seule et unique raison : ils ont trouvé que les ados vaccinés avaient un nombre d’anticorps contre le Sars-CoV-2 plus élevé que les non-vaccinés. Soyons clairs : les non-vaccinés, lorsqu’ils étaient infectés par le virus, développaient aussi des anticorps, largement pour guérir…sans être malade.

Mais les vaccinés en avaient encore plus, donc c’est mieux. C’est l’unique argument qui, selon les experts de l’AEM, a fait pencher la balance bénéfices/risques en faveur de la vaccination.

 

covid 3

Mais ce qui était le plus choquant, dans cet avis, c’est que de nombreux tableaux de données étaient tout simplement… caviardés ! De gros panneaux noirs portant l’inscription « BLD » pour « blinded » étaient apposés par exemple sur les chiffres qui correspondaient à la ligne « vie mise en danger » (suite à la vaccination). Officiellement parce que l’étude était encore en cours. Mais alors, pourquoi donner un avis favorable alors que l’étude était encore en cours ? Toujours est-il que depuis les données caviardées ont été publiées. Et je vous le donne en mille :

Parmi les 1131 ados vaccinés dans l’essai, deux ont dû le quitter suite à des effets indésirables graves, et un autre a eu sa vie mise en danger.

Au vu de ces données, qui peut dire qu’il y avait un avantage à vacciner les ados ? Comment peut-on encore faire confiance à nos autorités sanitaires ?

 

V.R. : A présent c’est à l’anthropologue qui vit en toi que je m’adresse. Tu cites Gregory Bateson quand il décrit la position d’un homme que l’on met face à deux ordres différents : « Vous êtes damnés si vous le faites, vous êtes damnés si vous ne le faites pas. » Finalement, n’est-ce pas dans cette nasse dégueulasse que le Pouvoir a enfermé tous les soignants du monde ?

M.M. : C’est le fameux principe du « double bind », ou double contrainte, qui mène, explique Bateson, à la schizophrénie. Plus précisément, et selon sa théorie, ce type de situation intervient chez un individu quand deux types-logiques entrent en contradiction à un niveau d’abstraction supérieur. Dans le cas des médecins, on pourrait constater ceci.

D’un côté, le pouvoir leur a dit : « Vous ne pouvez pas soigner la COVID. » Le niveau d’abstraction supérieur étant quelque chose du genre : « C’est une maladie nouvelle, il n’y a pas de traitement efficace prouvé par des études randomisées, etc. ». Pour un médecin, c’est très culpabilisant de se dire : « je ne peux pas soigner ».

De l’autre côté, les autorités sanitaires ont postulé : « Pour ne pas être malade, il faut se faire vacciner. Si vous êtes contre les vaccins ou émettez des questionnements à son sujet, vous êtes un mauvais médecin », le niveau d’abstraction rattaché ici étant les innombrables études, avis, etc., dont on a vu ce qu’ils valaient… Ces deux positions ont été littéralement martelées pendant des mois, plus de deux années.

Alors que se passe-t-il dans ces cas selon la théorie Batesonienne ? Le risque est de se renfermer sur soi, de se mettre systématiquement sur la défensive et ne plus rien faire ou dire qui puisse nourrir ces injonctions paradoxales. Avec le temps, cela peut conduire à se couper totalement du monde extérieur, et n’être plus en mesure d’articuler des types-logiques.

Bref, à n’être plus capable de penser par soi-même. Je ne sais pas si c’est ce qu’il s’est passé pour les soignants. Chaque individu réagit différemment, notamment en fonction du contexte. À noter que l’humour est une bonne méthode pour remettre en ordre fonctionnel une hiérarchie de types-logiques.

Par exemple, il est bon de rappeler qu’en Tanzanie, une papaye a eu la COVID parce qu’elle a été testée positive. J’attends d’entendre publiquement Véran déclarer que ce n’aurait pas été le cas si elle avait été vaccinée… Tout redeviendrait soudainement plus clair !

 

V.R. : Merci Martin pour cette interview pleine d’enseignements. C’est le moment pour toi de conclure librement…

M.M. : Cinq ans après la crise de la COVID, aucun enseignement n’a été tiré. Comme si notre inconscient collectif, encore sidéré, était incapable d’intégrer ce qu’il nous est arrivé. Or, il est indispensable que ce travail soit fait.

L’idée que la COVID est derrière nous, qu’il est temps de passer à autre chose est non seulement fausse, mais surtout dangereuse. Des dérives préexistantes, qui concernent la médecine, la gouvernance politique, y ont incubé et se sont depuis accélérées, remettant en cause tout simplement ce que je n’ai pas de mal à appeler « notre dignité humaine ».

J’espère et je crois avoir, avec ce livre, posé un certain nombre de questions essentielles, et avoir apporté, non pas des réponses, mais des éléments de réponses ainsi que des grilles de lecture. J’ai fait le job.

Maintenant, et comme de tout temps, c’est à chacun de s’engager.

Martin Mazurkiewicz
Dr Vincent Reliquet
Juin 2025

 

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Notes et sources

(4) COVID-OFF, Éditions À l’Avant du Monde. 23,90 euros et 4 euros de frais de port (note corrigée) https://alavantdumondeeditions.bigcartel.com/ https://www.facebook.com/profile.php?id=61572729382657
(5) Le Président Magufuli est mort à l’âge de 61 ans le 17 mars 2021 dans des circonstances très troubles. D’aucuns ont prétendu que sa petite plaisanterie autour de la fiabilité des tests PCR n’avait pas réussi à faire rire tout le monde (NDLR)
(6) Avis HAS n° 2021.0005/AC/SEAP du 22 janvier 2021 https://www.has-sante.fr/jcms/p_3233975/fr/avis-n-2021-0005/ac/seap-du-22-janvier-2021-du-college-de-la-has-relatif-a-la-detection-du-genome-du-virus-sars-cov-2-par-technique-de-transcription-inverse-suivie-d-une-amplification-rt-pcr-sur-prelevement-salivaire
(7) https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/05/RESULTATS-CNR-Combo2Screen-SARS-CoV-2-ABL.pdf
(8) Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie. https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excre%CC%81tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf?fbclid=IwY2xjawLI2FdleHRuA2FlbQIxMABicmlkETB5Z1Q0aEhFeHpSbVpxSjNXAR6dZ-ZAN-M9tTSF7zNge1YAGXGV3dMFPgMEHHQLWETIp1IQUVDc8jwp1RG3Ow_aem_BjWVcMGIShWDgAkgsxPARQ
(9) Revue rapide sur les tests de détection antigénique du virus Sars-CoV-2. HAS, 8 octobre 2020 https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2020-10/synthese_tests_antigeniques_vd.pdf?fbclid=IwY2xjawLI2lZleHRuA2FlbQIxMABicmlkETB5Z1Q0aEhFeHpSbVpxSjNXAR6zi9lbONCekIQba3hkaa6vQ9ONvBFlGHByFK0t0LajpB58uWQpb4EQRWX1nw_aem_SttDABzLpF5_Letr-GOYDQ
(10) On rappelle que le pays refusait d’adopter toutes les mesures de distanciation sociale prônées par la majorité des autres États

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anthome
anthome
29 juin 2025 18h49

Il est dit dans l’article :
Ici, ce qui m’a tout de suite frappé, c’est qu’il cite « 30 gros hôpitaux ». C’est quoi, un « grozopital » ? En France, on a environ 500 CH et plus de 30 CHR. Pourquoi ces trente-là ?
La réponse est simple : c’est ce qui était prévu par les plans OSAN-REB (1 par région) [REB : risques épidémiques et biologiques].
Le directeur de la DGS demande à chaque ARS de déclencher le plan ORSAN REB et aux 38 établissements de santé habilités Covid-19 (établissements de santé de première ligne) de se mobiliser au niveau 1.
Source : https://francesst.com/juridique/covid-19-declenchement-du-plan-orsan-reb/
Nos zototorités sanitaires avaient décidé que seuls ces 38 établissements étaient autorisés à recevoir des malades de la covid-19, au détriment de tous les autres.
Ils ont donc délibérément organisé la surcharge de ces 38 hôpitaux.

Roger
Roger
29 juin 2025 18h52

Sur ce site on est (pratiquement) tous convaincus de la fraude covidienne, mais à l’extérieur la majorité est encore convaincue de la bonne gestion de la crise covidienne par les autorités. Combien de temps faudra-t-il pour qu’ils s’aperçoivent qu’ils ont été pris pour des imbéciles?

Patrice Pezet
Patrice Pezet
Répondre à  Roger
30 juin 2025 11h00

« Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance, mais le refus de savoir ».
Simone de Beauvoir.
Nous avions dénoncés les mensonges officiels durant les manifestations de mon association locale sur Saumur mais 90% des gens dans la ville ne voulaient rien savoir…voire , nous insultaient!

Monique F
Répondre à  Patrice Pezet
30 juin 2025 12h47

Et c’est toujours le cas …helas …malgré tous les drames qui fleurissent partout : maladies de Charcot, turbos cancers …
Les gens sont fous , au salon de thé où je prends mon café le matin, il y a une femme qui se plaignait de ne pas pouvoir se faire vacciner …Le médecin lui avait pourtant fait une ordonnance …mais la pharmacie n’avait plus de vaccin…

Arnould
Arnould
29 juin 2025 19h05

Je vais y regarder à deux fois avant de manger une papaye. 😂😂😂
Rire, malgré tout, c’est important pour notre santé mentale.

Isabelle
Isabelle
29 juin 2025 21h46

Merci pour ce super interview ainsi que les commentaires..livre à acheter, à lire et à mettre ds la boîte aux livres de mon patelin pour espérer un éveil ….

gamb
gamb
29 juin 2025 22h00

A différents échelons , le personnel médical semble avoir bonne conscience pour le COVID et ètre prèt pour une nouvelle plandémie .
Que l’on soit vieux BPCO et pas « vacciné » ( COVID , grippe , et autres nouveautés ) les dérange
Récemment Macron à annoncé une prochaine pandémie .

LABREZE
29 juin 2025 23h35

Limpide comme démonstration !! Bravo et merci.
C’est ce que j’ai souvent dit: Nous avons effectivement eu une épidémie….de tests positifs, dont 80% à 90% au moins étaient faussement positifs !
Et c’est ainsi que nous avons inventé un second concept: celui de malades asymptomatiques ! (Ben oui, malades puisque leur test était positif, MAIS sans virus et sans symptômes !!)…CQFD
Dr Labreze

gilbert
gilbert
Répondre à  LABREZE
1 juillet 2025 1h12

faux tests positifs, faux vaccin, et vrais morts du covid, mais pas du virus, du rivotril et du manque / interdiction de soins alors qu’ils existaient

Sylvie Buet
Sylvie Buet
30 juin 2025 0h17

L’humour reste notre sauvegarde , diminue la haine qu’il serait légitime de ressentir face à tant d’incohérences , de mauvaises foi , de sciences détournées, falsifiées . Le consensus scientifique qu’ils disaient pour faire accepter l’idée d’injecter jeunes , femmes enceintes et tutti quanti . Certains, 5 ans plus tard continuent de pérorer sur les plateaux télé continuant de dénoncer  » les complotistes  » alors qu’ils devraient raser les murs et ce , malgré les morts, les blessés , les vies explosées…
Très envie de lire ce livre . Merci à
ses auteurs pour le travail fourni .
Justice sera rendue !

gamb
gamb
Répondre à  Sylvie Buet
6 juillet 2025 18h04

« Diminuer la haine… légitime…  »
Pourquoi ?
Au contraire la conserver sinon justice ne sera pas rendue , ça sera comme d’hab :
Parodies de procès , avocats sans éthique ni limite à leurs baratins , simulacres de remords larmoyants des accusés , avoeux in extrèmis pour se faire (à moitié ) pardonner , remises de peines pour les « malchanceux » qui ne passeront pas au travers du filet …
Et ça repartira pire qu’ APRÈS 40.
Non ! c’est bon ! l’humanité à ASSEZ donné . Le procès est clos et n’a pas prit 2 ans comme Nuremberg . Voyez :
Le grand jury ; tribunal populaire de l’opinion publique .
Présidé par Reiner Fuellmich.
Sur Odysée.
Ça ne nous prive pas d’humour.

martin mazurkiewicz
martin mazurkiewicz
30 juin 2025 4h42

Note de l’auteur : le livre coûte 23,90 euros et non 29,90 euros comme mentionné par erreur en note. Les frais de port sont de 4 euros.

christian schaller
30 juin 2025 9h03

j’avais écrit VACCINS, UN GENOCIDE PLANETAIRE il y a 14 ans. A l’époque j’avais mis à la fin du titre un point d’interrogation. en 2020 je l’ai réédité en enlevant le ? et ne ajoutant TOUTES LES PREUVES SONT LA ! dans les blogs de tal sur http://www.santeglobale.world je mets régulièrement ces infos que les medias officiels censurent et qui montrent qu’il faut mettre fin à cet empire vaccinal qui n’ a aucune base scientifique…c’est l’EMPIRE DU MENSONGE car la santé dépend de notre mode de vie et ne vient jamais d’injections ou de médicaments chimiques!

Inoxydable
Inoxydable
Répondre à  christian schaller
30 juin 2025 10h23
  • par curiosité je suis allé voir sur le site que vous indiqués et à qui somme nous et ce qui vous proposez je tombe sur ça : »Communication avec les Esprits

Médiateur entre les mondes visible et invisible, nous ouvrons les portes vers la conscience universelle.

  • Conservation des traditions ancestrales

Nous proposons des stages et des formations pour transmettre nos connaissances et nos compétences chamaniques »
Rien qu’en lisant ça, vous perdez tout crédibilité en tout cas pour moi !

Monique F
Répondre à  Inoxydable
30 juin 2025 11h26

Le dr Schaller a fait beaucoup de bien à l’humanité..il avait créé les éditions Soleil qui éditait des livres et des cassettes très intéressants.

Monique F
30 juin 2025 10h26

Personnellement ,j’aime beaucoup l’humour et je regarde les sketchs de karine Dubernet et /ou Naim sur l’actualité…mais lire un nouveau livre sur ces affaires Covid ( & cie) ne me détendra pas…

J’ai souvent plutôt envie de pleurer quand je vois tant de dégâts autour de moi …et surtout des gens qui, envers et contre tout…N’ONT RIEN COMPRIS à ce qu’il s’est passé et continuent à porter le masque, voire à se faire vacciner …

Je connais l’anecdote des tests en Tanzanie et je sais également que son président est décédé d’une façon suspecte…Avec les moyens modernes,ILS ne reculent plus devant rien… tuer les gens ,provoquer des catastrophes « naturelles  » est devenu monnaie courante.

Je me console seulement en pensant qu’ils sont dans de vieux schémas et qu’ils ne pourront pas continuer longtemps sur la même trajectoire .
Un jour où l’autre, les êtes humains les plus éveillés vont provoquer des changements de paradigmes et vont refuser d’obéir…
Certains pensent qu’il s’agit de s’agenouiller et critiquent avec mépris ces idées…il ne s’agit pas uniquement de cela …la prière est très puissante quand elle est en connexion avec l’énergie absolue qu’on peut appeler Dieu ou l’Univers….
Quelle que soit la façon dont on la mettra en oeuvre …elle va effectivement renverser les montagnes si nous sortons de l’etat de victime et si nous décidons d’agir .

gamb
gamb
Répondre à  Monique F
5 juillet 2025 15h27

« un jour ou l’autre , les humains les plus éveillés… « . On dit aussi « le grand soir ». …
Y en a eu combien déja ? Euh… j’me rappelle plus 🤔. C’était…? euh . ? Ha oui… ! non ! bon !
Y a des gens qui prient tout pendant que d’autres prient son .. contraire. Ça s’annule .
Allez on se réécoute « mourir pour des idées » de Georges Brassens ?

Inoxydable
Inoxydable
30 juin 2025 10h30

Bien expliqué avec références sûres. A aire lire à tout les monde … mais comment faire avec la plupart de nos concitoyens qui ont des peaux de saucissons devant leurs yeux et à plus forte raison ceux qui disent « c’est derrière nous », ainsi que les jeunes qui n’ont d’yeux que pour leurs Smartphones et qui se fichent totalement de « radoteurs » comme nous.

Monique F
Répondre à  Inoxydable
1 juillet 2025 11h39

A mon avis ces jeunes que vous évoquez, plus préoccupés par leur smartphone que par l’avenir de notre pays … n’ont surtout pas de parents ou grand parents qui leur servent de guides .
J’en ai croisé un dans une gare ,il y a quelques jours .Il avait toute la panoplie :ecolo , croyant que le covid avait fait des millions de morts , croyant que Poutine avait délibérément attaqué ces pauvres ukrainiens dans un but expansionniste …etc ..Le train qui avait 15 mns de retard est malheureusement arrivé trop vite …avant que je ne puisse lui montrer mes copies d’écran favorites…
Bref , quand je lui ai parlé du travail considérable accompli par certaines personnes, parfois au détriment de leur carrière, voire de leur vie …il était intéressé et m’a promis d’aller voir .
Je pense que si nous leur montrons que nous ne sommes pas des « couch potatoes  » ….et que nous savons nous servir utilement d’un smartphone , nous pourrons avoir un terrain d’entente avec eux…

Benoît
Benoît
30 juin 2025 19h10

Pouvez-vous nous indiquer l’ISBN du livre ?
Merci d’avance

anthome
anthome
Répondre à  Benoît
30 juin 2025 21h02

ISBN : 978-2-9597392-0-0
Source : https://alavantdumondeeditions.bigcartel.com/
Je trouve le même ISBN quelle que soit la couleur de la couverture (bleue ou orange). 🤔

martin mazurkiewicz
martin mazurkiewicz
Répondre à  anthome
1 juillet 2025 0h12

Note de l’auteur. C’est le même livre. La graphiste qui a composé la couverture me l’a présentée en deux couleurs, avec d’infimes variations sur les motifs. Les deux versions me plaisaient, je les ai gardées. Mais le format, le papier, le contenu restent exactement les mêmes.

Anne Blanquin
Anne Blanquin
14 juillet 2025 18h48

Cher écrivain,

Je viens de terminer la lecture de « COVID OFF ».
Je vais vous exposer mon ressenti à chaud… sachant que je suis infirmière, pour être plus précise, libérale, au moment de la pandémie, raison pour laquelle je me devais lire ce livre qui est un très bon résumé de la TRISTE REALITE. 
Pour ma part cet ouvrage devrait être médiatisé, voir obligatoire pour les professionnels de santé.
Lancez-vous !!! Il est à la portée de tous, tout à fait abordable. Il est bien dosé bien écrit avec de petites touches d’humour bien placées.
« Pète un coup ça ira mieux »
Je le recommande vivement à mes collègues infirmières qui me jugent lorsque j’amorce le sujet sur la vaccination.
Arrêtez d’écouter passivement ce que l’on vous dit !!!
Faites comme l’auteur, allez à la recherche de l’information :
–             Analysez
–             Déchiffrez
–             Ayez un esprit critique !
N’ayez pas peur de désobéir…
On m’a souvent dit : « Anne, réfléchir c’est désobéir ».
L’auteur s’exprime avec facilité et surtout une grande qualité littéraire.
–             Maitrise du sujet
–             Ironie, pied de nez quant à l’absurdité des données fantaisistes et des mesures drastiques de nos hauts fonctionnaires (les pseudos maîtres suprêmes…) ou plutôt pour reprendre les termes de l’écrivain « les PIGNOUFS » (j’aime).
Scientifiquement rien n’est laissé au hasard par l’auteur.
–             Décryptage des données spécifiques, analyse sur les revues, informations, les sources infos et « INTOX » haute trahison
–             Montre du doigt le délire, les absurdités
–             Atteinte à la liberté d’autrui.
Eh bien OUI !!! Tout est prouvé !!!
–             Démontre preuve à l’appui qu’on nous a pris pour des CONS.
On « les Pignoufs » ne vous demandent plus d’obéir bêtement mais, nous impose
–             La vaccination
–             Les sorties
–             L’isolement
Quand on sait que réfléchir c’est désobéir… Sois Bête et tais-toi !!!

Ne faites pas de ce livre une simple lecture mais appropriez-vous le sujet !
Excellent travail de recherche, grande maitrise du sujet.
L’auteur a identifié et décortiqué l’ennemi « pas celui que vous pensiez » sous toutes ses formes rien n’est laissé au hasard.

Je le répète il reste accessible et à la portée de tous.

J’espère qu’il y aura d’autres aventures de « Mickey » ou de « Pignoufs &Cie ».

BRAVO Monsieur Mazurkiewicz , Martin pour les intime…

J’avais oublié : pour ma part je ne mange plus de papayes mais des pastèques.

Myriam Bastide
Myriam Bastide
25 septembre 2025 22h33

Je n’ai tjs pas oublié cette période,(j’en suis encore traumatisée) en août, 2021,ma mère et moi avons eu le covid. ma mère est dcd, car ni son médecin, ni l’équipe hospitalière n’a voulu la prendre en soin, car ns n’étions pas vaccinees. Honte à la médecine, Et tous ces gens qui ont fait le sermon d’Hipprocrate..

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