Les vieux comptes ordinaux ne se soldent jamais juste parce que le temps passe et que les vieilles querelles d’hier doivent tomber dans l’oubli. La preuve, le Dr Jean-Philippe Labrèze retourne se faire juger pour avoir appelé à utiliser la vitamine C à hautes doses comme tant de médecins l’ont fait avant lui depuis presque un siècle. Mais en 2020 il fallait l’interdire plus qu’à tout autre moment de notre histoire car la menace portée contre le développement des futurs vaccins anti-Covid était intolérable. En 2024 en France on poursuit encore les médecins qui démontrent que la vitamine C peut venir à bout de situations gravissimes sans le moindre risque, simplement par obéissance aux industriels en place… Bonne lecture.   

Soigner les patients Covid dès le début de l’épidémie Covid

Dès le 11 mars 2020, le Docteur Labrèze écrit au ministre de la Santé Olivier Véran [1] afin de porter à sa connaissance « l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale ».

L’un de ces protocoles de soins était d’ailleurs officiellement recommandé par le gouvernement de Shanghai. [2]

Il consiste à traiter les patients atteints de Covid 19 avec de fortes doses de vitamine C par voie intraveineuse, 50-100 mg par kilo de poids corporel et par jour.

La condamnation du Docteur Labrèze

Bonjour à toutes et tous.
J’espère que ce mail vous trouvera en super forme et avec une énergie débordante. J’en profite d’ailleurs pour vous souhaiter une année 2024 aussi prospère et sereine que possible.
J’ai été, comme beaucoup d’entre vous, condamné pour avoir fait ce que je devais faire : soigner et contribuer à diffuser la vérité. Trois ans de suspension dont deux avec sursis  (j’ai repris le 1er septembre dernier) pour avoir assisté et commencé à tirer d’affaire avec des perfusions de vitamine C, une vieille dame qui agonisait dans un service de soins palliatifs (3).
Puis 6 mois de condamnation pour avoir diffusé, dès mars 2020, auprès des ARS, des associations d’urgentistes et réanimateurs et de tous les CD, le protocole de la FLCCC (Front Line Covid 19 Critical Care, que vous connaissez certainement).
6% de mortalité avec ce protocole versus 22% (voire beaucoup plus) avec la prise en charge « standard ».

   Le soutien du Docteur Paul Marik

Le Docteur Paul E. Marik est chef du service pneumologie et soins critiques au sein du département de médecine interne à l’East Virginia Médical School. Il a participé à l’élaboration des protocoles de soins de la FLCCC, et écrit une lettre de soutien au Dr Labrèze [4].

En octobre 2020, il affirme que la mortalité Covid dans son hôpital est de 6,1 % alors que la mortalité au niveau national aux États-Unis et en Europe est d’environ 22 %.

La DREES a publié une étude confirmant cette donnée. Dans cette étude, sur 106 000 patients entrés en soins intensifs durant la période donnée, 80 000 en sont sortis. Cela fait donc 26 000 décès soit près de 25 % [5] !

Une revue systématique et méta-analyse de 157 publication portant sur plus de 948 000 patients retrouvait une mortalité globale moyenne de 25,9% chez les patients hospitalisés pour COVID et de 37,3 chez ceux admis en soins intensifs. (6)

Les résultats avec le protocole du Docteur Marik, même si l’on ne prend en compte que la mortalité globale, montrent une mortalité divisée par 4 avec le protocole de la FLCCC !

À nouveau jugé en appel le 20 février 2024

D’après le jugement de première instance, une nouvelle condamnation ferait sauter le sursis de la précédente (cf « dossier de la vieille dame »). Je ne suis pas avocat, mais ce point-là me semblait très surprenant. J’attends confirmation de mon avocate, mais ce ne serait pas possible. C’est intéressant : aveuglés par leur volonté de me nuire, ils en oublient  même le droit…..
Je passe donc en appel le 20 février prochain à 14h15 au siège du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4 rue Léon Jost, 75017 Paris.
Je diffuse l’info simplement, sans intention particulière. Je sais que vous tous avez déjà beaucoup fait et avez très certainement encore beaucoup de choses à faire. Si vous êtes sur Paris ce jour là, et avez un peu de temps, vous êtes bien entendu les bienvenus.
Si vous pouvez diffuser cette info, ce serait super. L’idée est de frapper les esprits autant que nous le pouvons. Je pense que c’est un levier nécessaire pour édifier et mettre en mouvement un nombre croissant de nos concitoyens.
Sanctionné pour avoir fait mon métier de médecin et pour avoir diffusé des informations qui auraient permis d’éviter 2/3 voire 3/4 des décès….
Pas mal non, comme injustice? Je sais que le parcours du site (ne serait-ce que la page d’accueil) « interpelle » beaucoup. Une pétition peut être signée ici (7) et  il y a un modèle de courrier pour le président du CN (à modifier légèrement car depuis le Conseil d’état a rejeté mon pourvoi, entérinant ainsi notamment la violation de l’article 40 du Code pénal par toutes les juridictions et violant lui-même cet article).

A travers moi, et à travers le dossier des médecins qui ont été injustement sanctionnés, ce sont deux libertés fondamentales qui sont en jeu : celle de pouvoir communiquer, essentielle dans une démocratie,  et la liberté thérapeutique, qui nous permet de déterminer les soins dont on va bénéficier, et qui nous donneront les meilleures chances de guérison et de survie.

Les temps changent…Nos efforts seront bientôt payants. C’est une certitude.
Je vous souhaite une excellente journée. Meilleurs sentiments.
Jean-Philippe LABRÈZE
Janvier 2024
Notes et sources :
(1) Lettre à Mr Véran, Ministre de la Santé
Objet : Épidémie liée au coronavirus.
Mise en œuvre urgente de traitements préventifs et curatifs validés.
Monsieur le ministre,
Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays.
Ces traitements représentent très vraisemblablement une chance de survie importante pour des patients qui sans cela seront condamnés.
Je vous remercie de trouver ci-joints différents documents qui établissent la nature de ces protocoles ainsi que leur efficacité. Le protocole à base d’injections de vitamine C à fortes doses est déjà largement utilisé avec succès par nos confrères chinois ou coréens et son efficacité est indiscutablement établie.
Le gouvernement de Shanghai a d’ailleurs officiellement recommandé que le COVID-19 soit traité avec des quantités élevées de vitamine C par voie intraveineuse. Les recommandations de dosage varient en fonction de la gravité de la maladie, de 50 à 200 mg/kg de poids corporel et par jour (cf. la publication ci-jointe, en date du 3 mars, émanant de Orthomolecular Medicine News Services) .
Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action de santé publique prioritaire, puisque qu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères des infections à coronavirus, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies.
Je pense qu’elles sont en outre de nature à rassurer nos concitoyens et à faire redescendre le niveau de stress dans notre pays lié à la crainte de contracter une maladie pour laquelle les médecins seraient dépourvus de traitements.
Cela pourrait également atténuer les conséquences désastreuses de cette peur sur notre économie, en rassurant à la fois nos concitoyens et les ressortissants d’autres pays amenés à séjourner en France, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles (tourisme essentiellement).
Enfin, je pense que la crise sanitaire à laquelle notre pays, et plus largement encore la communauté internationale sont confrontés, doit nous conduire à repenser certains aspects de notre politique de prévention, en mettant notamment l’accent sur des méthodes éprouvées susceptibles de renforcer considérablement les défenses immunitaires de nos concitoyens.
Je pense notamment à la large diffusion auprès de la communauté médicale du protocole de médecine orthomoléculaire associant vitamine C (3 à 4 g par jour), vitamine D (5 000 UI par jour pendant 2 semaines, pour les adultes, puis au moins 3 000 UI quotidiennes), 20 mg de zinc, 100 microgrammes de sélénium et 400 mg de magnésium (cf. référence ci-jointe) dont l’impact positif sur le système immunitaire est également largement démontré.
Je suis persuadé que le médecin que vous êtes saisira immédiatement la portée des informations que je mets aujourd’hui à sa disposition et, confiant dans votre volonté d’assurer aussi rapidement que possible la plus large diffusion de l’ensemble de ces informations auprès de l’ensemble du corps médical, je vous prie d’agréer, Monsieur le ministre, l’expression de mes très respectueuses salutations.
Docteur Jean-Philippe LABRÈZE
PJ :
Hydrocortisone, Vitamine C, and Thiamine for the treatment of Severe Sepsis and Septic Shock. A retrospective before and after study. Paul E Marik and al. CHEST 2017 ; 151 (6) : 1229 – 1238.
Publication of the Orthomolecular Medicine News Services. Coronavirus Patients in China to be Treated with High-Dose Vitamin C. by Andrew W. Saul. February 13, 2020
Publication of the Orthomolecular Medicine News Services. Le gouvernement de Shanghai recommande officiellement le traitement du COVID-19 avec des quantités élevées de vitamine C par voie intraveineuse by Andrew W.Saul, le 3 mars 2020
Publication of the Orthomolecular Medicine News Services. Vitamin C protects against coronavirus by Andrew W.Saul. January 26, 2020.
Publication of the Orthomolecular Medicine News Services. Hospital-based Intravenous Vitamin C Treatment for Coronavirus and Related Illnesses by Andrew W.Saul and Atsuo Yanagisawa, MD. PhD.
Publication of the Orthomolecular Medicine News Services. Early Large Dose Intraveinous Vitamin C is the treatment of Choice for 2019-nCov Pneumonia. Richard Z.Cheng and al. February 13, 2020
Shanghai Expert Group on Clinical Treatment of New Coronavirus Diseases. Expert Consensus on Comprehensive Treatment of Coronavirus Diseases in Shanghai in 2019 [J / OL]. Chinese Journal of Infectious Diseases, 2020,38 (2020-03-01) .
(4) Lettre du Dr P. Marik au Dr J.P. Labrèze
Le 7 novembre 2022
Objet : Protocole EVMS et MTHA+ FLCCC
Pour faire et valoir ce que de droit
Madame, Monsieur,
La présente lettre a pour objet de réfuter les accusations sans fondement formulées à l’encontre du Dr Labrèze. Mes collègues le Dr Pierre Kory, le Dr Joseph Varon, le Dr Umberto Meduri, le Dr Jose Iglesias et moi-même avons développé le premier protocole EVMS/ MATH+ FLCCC le 24 mars 2020. Je devrais ajouter que le Dr Meduri est considéré comme le meilleur expert mondial de l’utilisation des corticostéroïdes pour le SDRA, et que j’occupe la seconde place sur la liste des médecins de soins intensifs les plus publiés dans le monde, avec un H-Index de 105. Nous avons écrit cette ligne directrice de traitement pour combler le vide évident qui prévalait à cette époque. En effet, conformément aux recommandations et lignes directrices promues par l’OMS, le NIH, le CDC etc… le traitement de l’infection aiguë du COVID était constitué par les « soins de soutien ». Cela incluait les patients hospitalisés atteints de pneumonies induites par la COVID et ceux admis en soins intensifs. Le NIH mettait en avant à l’époque le récit suivant : « Mon docteur m’a dit qu’il n’y avait absolument rien qu’il pouvait me prescrire, et que si mes lèvres devenaient bleues ou si je ne pouvais plus respirer, je devais aller aux urgences ». De plus, selon les rapports venant de New York, le taux de mortalité des patients intubés atteints de pneumonies induites par la COVID était supérieur à 80%. Les médecins sont tenus par le serment d’Hippocrate de faire tout ce qu’ils peuvent pour empêcher le décès de leurs patients, c’est un principe de base de l’éthique médicale. Notre protocole était (et est toujours) basé sur les principes suivants :
• La compréhension de la physiopathologie de la COVID dans tout le spectre des spécialités médicales
• La compréhension de principes pharmacologiques
• L’étude des meilleurs articles scientifiques publiés dans la littérature
• Les observations cliniques directes auprès des patients et le retour de centaines de cliniciens du monde entier ayant une expérience cumulée du traitement de milliers de patients atteints de la COVID-19.
• Le consensus parmi les cliniciens experts du domaine.
Il doit être noté que notre protocole était basé sur l’utilisation du repositionnement de médicaments approuvés par la FDA. La FDA soutient et approuve l’emploi de médicaments repositionnés en précisant sur son site web : « Du point de vue de la FDA, une fois que la FDA a approuvé un médicament, les prestataires de santé peuvent prescrire le médicament
de manière générale pour une utilisation non-approuvée lorsqu’ils estiment qu’il est médicalement approprié pour le patient ». Il doit être noté que les tribunaux américains ont confirmé cette position et que 40% des médicaments prescrits dans les unités de soins intensifs sont prescrits « hors indication thérapeutique ». Il doit en outre être noté que presque toutes les interventions suggérées dans le protocole MATH+ ont été validées ultérieurement par des essais randomisés contrôlés (RCT) ainsi que par des études basées sur des observations de qualité supérieure. Le protocole MATH+ est l’un des protocoles les plus utilisés dans le monde pour le traitement des patients hospitalisés atteints de COVID- 19 ; en effet, ce protocole a été consulté sur notre site internet (flccc.net) plus de 2 millions de fois. De plus, les modifications de notre protocole ont servi de ligne directrice de traitement national dans un certain nombre de pays. Il doit cependant être reconnu que nos protocoles ont évolué significativement au fil du temps avec plus de 50 mises à jour. Ces mises à jour ont été basées sur les dernières données publiées et l’évolution de notre compréhension de cette maladie. Notre objectif a toujours été de fournir des recommandations basées sur les meilleures données scientifiques disponibles.
Salutations distinguées,
Signature: Dr. Paul E Marik, MD, MBBCh, FCP (SA), FRCP (C), M Med (Int Med), BSc Pharmacology (avec mention), DA (SA), DTMH, FACP, FCCP, FCCM.

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