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Vaccins pédiatriques obligatoires, best-of. En bonus, rigolons avec l’INSERM

Aujourd’hui notre Vigilant se sent de bonne humeur, il a donc décidé de manier l’ironie jusqu’à son paroxysme. Ces vaccins pédiatriques obligatoires, quel niveau de science a-t-il été nécessaire d’atteindre pour en décider l’extension à toute une génération d’enfant? Ironie, je vous dis! Bonne lecture, on aimerait tant que tout ceci ne soit qu’un cauchemar…

Rappel : les perles de l’Académie de médecine

On vous remet cette perle dans laquelle l’auteur nous explique tranquillement que les vaccins sont uniquement jugés sur leur capacité à générer des anticorps et que pour les résultats sur l’efficacité protectrice réelle – qui relève normalement des essais cliniques justement – on verra plus tard quand on aura expérimenté tout ça sur la population générale.

Quelle PharmacoVigilance pour les vaccins ? Bull. Acad. Natle Méd., 2016, 200, n 2, 241-250, séance du 2 février 2016

 

Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas. Nous allons maintenant avoir des applications très concrètes de ce principe.

Les délires de l’INSERM sur les 11 vaccins obligatoires

En décembre 2017, pour faire passer la pilule de l’obligation vaccinale étendue (soit disant temporaire, mais c’est du « temporaire » qui va rapidement devenir « définitif » soyons en certains), l’INSERM a décidé de nourrir un peu la propagande sur le sujet et a commis ceci (1) :

la couverture du document de propagande de l’INSERM

J’ai peur que ce qu’ils nous racontent là soit assez différent de ce que dit « la science » justement. Allons voir !

On rigole bien avec les notices Vidal

Priorix©

C’est quoi Priorix© ? C’est la superstar des vaccins ROR (Rougeole , Oreillons, Rubéole). Bizarrement dans la notice on peut lire ça :

Notice Priorix

On nous explique qu’il n’y a aucune donnée concernant l’efficacité protectrice de PRIORIX© – c’est dommage car c’est quand même pour ça qu’on achète le produit – mais qu’il ne faut pas qu’on s’inquiète car l’immunogénicité (capacité à générer des anticorps) est un marqueur de l’efficacité protectrice.

À la phrase d’après on nous dit que pour les oreillons ça marche pas. Pas de bol… Mais est-ce que pour les 2 autres valences ça marche ? ça on ne nous le dit pas ! Alors allons voir. Pour la rougeole on trouve en 1 minute de recherche bibliographique :

  • un article (2) mentionnant une « épidémie de rougeole » (de 8 personnes) parmi des professionnels de santé dont 6 étaient vaccinés à 2 doses – tous avaient des anti-corps anti rougeoleux – et dont 2 avaient des seuils supérieurs au seuil réputé protecteur
  • un édito à peine croyable publié dans Vaccine qui nous explique que même avec 2 doses de vaccin ce ne sont pas moins de 2 à 10% des sujets ne développent pas d’anticorps au delà du seuil réputé protecteur et que lors d’une « épidémie » au Canada en 2011 plus de 50% des malades étaient vaccinés à deux doses.

Cet édito de Vaccine mentionne le gros tabou sur le sujet du vaccin anti-rougeoleux : l’immunité ne tient pas à long terme et au bout de 7 ans ce sont quasiment 9% des vaccinés qui n’ont plus d’anticorps circulant même après la double dose.

À ce stade vous avez compris que pour « l’immunogénicité marqueur de l’efficacité protectrice » on repassera, surtout si les anti-corps disparaissent au bout de quelques années, votre « efficacité protectrice » il n’en restera plus rien.

Pour la rubéole c’est encore plus drôle, l’INSERM nous dit

les mensonges de l’INSERM

mais il y a une revue Cochrane sur le ROR datée de 2012 ! (3) Et eux ils n’ont trouvé aucune étude éligible concernant l’efficacité de la valence rubéole dans le ROR:

Revue Cochrane ROR

On vérifie un peu plus loin si on a bien lu parce que là ça parait énorme !

Cochrane, id.

En fait l’INSERM doit se baser sur des études concernant le vaccin monovalent, mais c’est pas de chance, il n’est plus commercialisé depuis longtemps, il ne reste que des trivalents, et là la science ne dit… rien.

Vous comprenez mieux désormais le sens du superbe bulletin de l’Académie de Médecine présenté ci-dessus : Les donnés évaluant l’efficacité tout comme « l’effectivité » seront tout naturellement obtenues plus tard lors de l’utilisation des vaccins en situation réelle.

MMR-Vax-Pro

Dans cette notice on nous explique clairement que la seconde dose n’est pas un rappel et ne sert à rien chez ceux qui ont répondu à la première.

RCP

On se demande donc bien ce qui justifie de piquouzer des cohortes de gamins 2 fois si la seconde dose ne sert à rien pour 95% d’entre eux.

 

Si vous vous demandez si ce « MMR-Vax-Pro » fabriqué par Merck est le même vaccin que le « MMR-II » commercialisé aux USA à propos duquel une instruction pour fraude est ouverte depuis 2012 suite aux révélations de 2 scientifiques de Merck ayant révélé que leur employeur leur a imposé de falsifier les données de l’essai clinique « Protocol 007 » à propos des oreillons, oui c’est bien le même produit.

L’innocuité du ROR

Puisqu’on est dans le sujet du ROR, restons-y avec la partie sécurité. La revue Cochrane mentionnée ci-dessus traite de la partie efficacité comme de la tolérance. Il n’est pas question de faire une revue complète des études intégrées car la conclusion se suffit à elle même :

Conclusion de la revue Cochrane sur le ROR

Les auteurs sont juste en train de vous expliquer que tout ce qu’ils ont trouvé – que ce soit dans les essais (pré-marketing) comme dans le suivi après vente – est « largement inadapté ». Si vous n’avez pas compris, c’est la manière diplomatique de vous dire que tout ce qu’ils ont lu est bon à jeter.

De toute manière on ne voit pas bien comment on pourrait trouver « adaptés » des essais de tolérance de 42 jours pour des produits biologiquement actifs pendant des années voire des décennies. Quant aux études post-commercialisation, si tout ce qu’on a à se mettre sous la dent ce sont 3 études de cohorte et 4 cas-témoins trouvés au fond d’un tiroir, ça ne va pas bien loin non plus.

Ils vous rappellent aussi que pour établir une balance bénéfice/risque, il faut connaître les risques, mais ce point n’a pas l’air d’avoir atteint les responsables de la santé publique en France (ni ailleurs).

On rigole encore une fois :-))

Merci pour ce moment !

Il faudra que l’INSERM songe à informer les fabricants parce qu’ils n’ont pas tous l’air au courant.

Infanrix© Hexa

Dans la notice de l’infanrix hexa page 38 on trouve cette perle

RCP Infanrix© Hexa

On ne comprend pas bien comment on peut savoir si « notre enfant a une maladie du cerveau non diagnostiquée » si elle n’est pas encore diagnostiquée (don de voyance ?). À ce stade la seule explication logique que j’ai trouvée est que ce vaccin a probablement cramé le cerveau d’un pauvre bébé qui n’avait rien demandé et que le gentil expert a prétexté une maladie pré-existante non diagnostiquée pour ne pas imputer les dommages au produit.

Cet « argument » a été « inventé » par les « experts » de la pharmacovigilance française lors de l’affaire du vaccin contre l’hépatite B afin de ne jamais imputer au produit d’effet indésirable. En fait les patients ayant reçu Engerix© avaient tous des scléroses en plaques mais il n’étaient pas encore au courant car ils n’avaient jamais souffert du moindre symptôme !

Vous trouvez que c’est du foutage de gueule ? Vous avez raison ! Ce qui est triste c’est que ce mensonge ayant parfaitement fonctionné une fois, il sera désormais réutilisé à toutes les sauces.

La valence coqueluche et l’Infanrix© Tetra

Je vais avouer que je ne peux pas m’empêcher de rire quand je vois ce niveau de « science »

Notice Infanrix© Tetra

Donc les « preuves d’efficacité » ce sont des études d’observations en milieu familial (on sent tout de suite la « science » de gros calibre là); je suppose que les investigateurs des essais cliniques étaient parti en congés et qu’ils n’étaient pas disponibles.

On suppose que le vaccin fonctionne (on est pas sûr) mais on ne connaît rien de son taux d’efficacité ni de la durée d’action.

Ha ! La « science » qu’on vous dit !

En bonus, le guide des vaccinations 2012 nous rappelle que les enfants non vaccinés ne sont pour rien dans les survenues d’épidémies de coqueluche puisque ce sont les adultes qui transmettent les germes; l’immunité du vaccin ne tenant pas dans le temps (ce qui confirme la mention hilarante de la notice présentée ci-dessus)

Guide des vaccinations 2012, extrait

Bientôt une vaccination obligatoire pour les adultes tous les ans ?

Les vaccins anti-Méningocoque C : Neisvac© / Menjugate©

Des essais cliniques d’efficacité avant commercialisation? Il n’y en a jamais eu.

Puisque le gentil pharmacologue ayant rédigé le bulletin de l’Académie de Médecine nous raconte que les données sont obtenues en post-commercialisation.

Menjugate© :

vos enfants sont des cobayes !

 

L’académicien a raison, et en plus il faudrait repasser à la piquouze tous les ans !

Neisvac© c’est pareil

Neisvac©, RCP

Est-ce à dire que les nourrissons de cette cohorte ont été utilisés comme cobayes pour calculer le taux d’efficacité du vaccin ? Les parents en ont-ils été informés ?

C’est quoi le problème ?

Outre le fait que l’Académie de Médecine nous informe que les vaccins injectés aux enfants sont expérimentaux lors de leurs commercialisations (ne croyez pas que l’ « expérience » se limite aux données d’efficacité, pour la tolérance c’est pareil), nous avons le compte rendu d’une table ronde ayant eu lieu en 2006 en présence des experts pharmacologue de la place (issus des ligues anti-vaccinales bien connues que peuvent être les services de pharmacologie des CHU Henri Mondor de Créteil et Pellegrin Carreire de Bordeaux; Sanofi-Pasteur; GSK, l’hôpital Cochin ainsi que l’Assaps). Et on nous explique ceci

Quelle pharmacovigilance pour les vaccins ? (4)

Les effets indésirables retardés sont très difficilement imputables (puisqu’ils sont retardés – typiquement auto-immuns) et il faut des études épidémiologiques de suivi, études qui ne sont normalement lancées qu’après avoir détecté un signal de notification. Mais comme le taux de notification ne doit pas dépasser 1/1000 en système de surveillance passif basé sur de la notification spontanée vous avez compris que les études épidémiologiques ne sont quasiment jamais lancées.

Quel médecin aurait l’idée saugrenue de faire une notification pour une leucémie déclarée chez un sujet plus d’un an après sa vaccination au Gardasil© 9 ? Que dire des déclarations pour des maladies diagnostiquées au bout de plusieurs années ?

À ce stade et après avoir lu les articles sur les vaccins H1N1 et hépatite B, je pense que vous avez compris que :

  • les études épidémiologiques ne sont quasiment jamais faites
  • quand elles sont faites, beaucoup (la plupart en fait…) sont de mauvaise qualité
Quelle pharmacovigilance pour les vaccins ?

Non seulement on nous explique qu’on ne peut pas imputer les événements retardés, mais en plus le critère de causalité le plus important – le re-challenge – n’est pas applicable dans le cas d’une imputation individuelle ! (5)

Même si ces études épidémiologiques étaient faites, il y a malheureusement d’énormes facteurs de confusions supplémentaires :

  • désormais comme tous les enfants étant vaccinés, il n’y a plus de groupe témoin,
  • comme les effets sont potentiellement retardés et que le cocktail vaccinal est administré sur un temps court (tous les vaccins ont été administrés au moins une fois sur un intervalle de 10 mois si on suit scrupuleusement le calendrier vaccinal); il n’est désormais plus possible d’identifier un vaccin particulier ou une valence particulière comme étant génératrice d’effets indésirables autres qu’immédiats.

Comme on ne peut plus imputer, c’est le meilleur moyen de s’assurer qu’il n’y ait jamais de problème.

Rappelons ces quelques extraits du Code de déontologie médicale :

  • ARTICLE 35 (ARTICLE R.4127-35 DU CSP) Le médecin doit à la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu’il lui propose.
  • ARTICLE 40 (ARTICLE R.4127-40 DU CSP) Le médecin doit s’interdire, dans les investigations et interventions qu’il pratique comme dans les thérapeutiques qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié.

À votre avis, combien de médecins informent leurs patients ou leurs parents du caractère totalement expérimental de certains produits injectés ? Pour l’information loyale, claire et approprié, je pense qu’on repassera.

La propagande de Santé Publique France

Document daté du 1er février 2019 :

Bonne semaine à tous!

 

Le Vigilant

Sources
(1) Mise au point de l’Inserm – Décembre 2017 – Que dit la science à propos des 11 vaccins qui seront obligatoires en France en 2018 pour tous les enfants ?
(2) Hahné SJ et al. J Infect Dis. 2016 Dec 15;214(12):1980-1986. Epub 2016 Oct 7. Measles Outbreak Among Previously Immunized Healthcare Workers, the Netherlands, 2014
(3) Demicheli V, Rivetti A, Debalini MG, Di Pietrantonj C. Vaccines for measles, mumps and rubella in children. Cochrane
Database of Systematic Reviews 2012, Issue 2. Art. No.: CD004407. DOI: 10.1002/14651858.CD004407.pub3
(4) Thérapie 2007 Mai-Juin; 62 (3): 241–244; DOI: 10.2515/therapie:2007048
(5) il existe de très rares cas pour lesquels le re-challenge est positif pour un vaccin car l’effet indésirable surgit très vite – quelques jours – après chaque injection et il réapparaît avec des symptômes exacerbés à chaque dose supplémentaire – typique d’un processus auto-immun re-stimulé à chaque représentation de l’antigène, mais en général, on vient vous expliquer que la maladie était forcément « pré-existante » (bien qu’on ait strictement aucune preuve de la « pré existence » de celle-ci. Falsification, quand tu nous tiens…

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38 Responses

  1. Il me semble que c’est aussi dans cette « mise au point » que l’INSERM affirme qu’il faudrait 80% de couverture vaccinale contre la polio pour obtenir une « immunité de troupeau », alors que le vaccin n’empêche la circulation de l’agent infectieux et ne peut donc crée la dite immunité…

    1. La polio a disparue en France et même en europe depuis de nombreuses année, les cas restant dans certain pays sont du au vaccin…

      1. Effectivement le RUDIVAX monovalent rubéole a été retiré du marché en 11/2012. Plus le choix c’est le ROR ou MMR. IMOVAX Oreillons mono retiré en 1997. ROUVAX mono rougeole retiré en 11/2017… Intéressant de savoir que les récentes analyses financées par le Corvelva indiquent pour Priorix tetra RORV, en plus des nombreux contaminants (ADN, rétrovirus, protéines animales et humaine, substances chimiques dont herbicides, mutants oreillons et varicelle…), l’absence de l’AG rubeoleux… Pour NEISVAC et MENJUGATE, nos récentes analyses montrent la présence de nanoparticules d’alu de taille moyenne respectivement de 10 nm et 12 nm… donc très petites, très pénétrantes, persistantes et neuro toxiques….

  2. Je comprends mieux pourquoi Bill Gates à racheté Cochrane en 2018, ce labo lui tirait dans les pattes!

    1. Si tu rajoutes à cela la méthode utilisée pour les rendre obligatoire.. par exemple, la commission sociale a écouté avec émotion le mea culpa de la députée Peyron Michèle qui indique qu’elle regrette de ne pas s’être fait vacciner car elle a perdu son bébé à cause de ça. Quand une journaliste lui a posé la question, elle regrettait de ne pas s’être faîte vacciner contre la…. Toxoplasmose..et la… Borréliose… No comment.. cette obligation est passée en cavalier législatif dans la loi de financement de la sécurité sociale.. En économie, on parle de population figée, qui est obligée de recevoir les 11 vacx.. Ainsi c’est jackpot annuel assuré pour les laboratoires..

  3. Cela ne m’étonne pas du tout en ce qui concerne la rougeole. Cette maladie n’est même pas immunisante pour tout le monde.Personnellement je l’ai eu enfant et mon fils me l’a refilée alors que j’avais plus de trente ans. C’est la seule fois durant ma vie professionnelle où j’ai du m’arrêter quinze jours (possible vérification cpam), j’ai été très malade….

    1. andré ,

      mais est-ce que votre cas de rougeole a été confirmée biologiquement, les deux fois ?
      normalement, la rougeole immunise à vie et ça, même les personnes très pro-vaccination le disent (et que le vaccin immunise moins bien aussi, c’est clairement montré) mais il y a des diagnostics qui peuvent être inexacts en l’absence de confirmation biologique

      mais vous faites peut-être partie des cas particuliers, rares, non immunisés par la maladie

      1. Soit le diagnostic initial n’était pas bon

        Soit l’immunité réputée à vie de l’infection sauvage ne fonctionne plus puisque la circulation du virus s’est raréfiée et elle était nécessaire sous forme de restimulation asymptomatique périodique

        Soit c’est le résultat d’une pression de sélection et l’immunité réputée à vie sur la primo infection ne fonctionne plus si la seconde infection est due à un génotype différent

      2. La rougeole immunisante à vie, cela n’a été constaté que sur des populations où la circulation du virus chez les enfants pouvait entretenir l’immunité des adultes. La vaccination généralisée des enfants a presque interrompu cette circulation, créant ainsi, au fil du temps, des lacunes immunitaires dans des classes d’âge de plus en plus nombreuses et âgées. D’où la vulnérabilité en cas d’importation.

    2. Je me bidonnerais aussi si mon bébé de 16 mois n’était pas directement concernée par cette obligation vaccinale abérante! On y a échappé jusqu’à maintenant, mais son entree en collectivité tres prochaine me fait craindre le pire. Comment a-t-on pu en arriver là, alors qu’il est écrit noir sur blanc que ni l’efficacité, ni l’innocuité ne sont avérés? Je ne peux pas supporter l’idée de participer à ces phénomènes de déplacements et de remplacements épidémiques engendrés par la vaccination, et de suivre comme un mouton ces directives liberticides potentiellement dangereuses pour mon bébé. Comment accepter que des professionnels compétents et reconnus qui alertent sur ce sujet depuis des années avec des arguments irréfutables ne soient pas entendus?
      Merci au Dr De Lorgeril pour ces livres sur le sujet. Tant que je parviendrai à éviter la vaccination pour mon bébé, je suis volontaire pour faire parti d’un groupe témoin d’enfants non vaccinés, malgré des resultats evidemment biaisés…mais un semblant de resultat quand meme. On n’est plus à ça près!
      Vive la science!

  4. enfin un cas de rougeole dans ma patientèle …… sauf que , patiente la cinquantaine, vaccinée 2 doses à l’adolescence ….je n’ai pas encore la valence exacte…. Bientôt on va obliger les adultes à se revacciner contre tout tous les ans…..

    1. isabelle ,

      est-ce que, vous médecin, qui recevez des cas de rougeole parmi vos patients, faites confirmer la rougeole par analyse biologique ?

      et est-ce que vous auriez la possibilité, pour chaque cas, de vérifier de quel sérotype il s’agit ? Ce serait une contribution utile pour mieux comprendre cette épidémie. Est-ce que cela coûtent cher, une analyse biologique et une analyse de sérotype ? Est-ce que l’analyse biologique pour confirmer un cas de rougeole inclut d’office celle du sérotype et est-ce que c’est une analyse séparée et différente?

      merci d’avance pour les réponses, si vous en avez

      1. pour la patiente en question, le diagnostic a été fait à l’hôpital. Moi je l »ai vue au stade fièvre, rhino.. Elle a eu une aggravation respiratoire qui l’a fait hospitalisée.. Normalement l’hopital a fait faire une analyse du sérotype.. mais je n’ai pas eu le résultat ( pas encore )
        aucune idée du prix de l’analyse..

  5. Mon fils a eu la rougeole en 2017, à 9 ans. Il n’était pas vacciné. Il a eu une analyse de sang pour confirmation. Pas de sérotype il me semble. Il y a les niveaux d’anticorps IgG et IgM et le réactif untilisé (CLIA Diasorin).

  6. Communiqué du ministère des Solidarités et de la Santé (Vaccination info service.fr et Santé Publique France (HAS)), clip officiel de 45 secondes pour faire la promo de la vaccination :

    https://www.youtube.com/watch?v=B6FPQauHiIo

    Conclusion évidente du message les vaccinés sont protégés. Corollaire de la démonstration médiatisée ils n’ont donc rien à craindre des non-vaccinés.
    On se doutait bien que les ubuesques histoires d’immunité de groupe n’étaient qu’arguments commerciaux, car quand bien même quelques tranches d’âge seront prochainement protégées à 95 % chez les enfants, la couverture vaccinale ramenée à l’échelle de la population de 66 millions de personnes en France dont certainement les 3/4 ne sont pas vaccinés, ou n’ayant reçu que le Dtp s’effondre sous 20 %. Comme le montre la vidéo dont nous supposerons que le script a été travaillé, les enfants sont les cibles commerciales.

  7. Je m’interroge sur le contenu du guide pratique « Conduite à tenir autour d’un ou plusieurs cas de rougeole » issu de la circulaire DGS/SP/SP1/2018/205 du 28 septembre 2018.

    p.5 : « Une éruption survenant dans les 10 jours suivant une vaccination par un vaccin trivalent contenant la valence rougeole et rubéole est à priori d’origine vaccinale. Dans un contexte épidémique (ou de contage), seul le génotype (kit salivaire pour RT-PCR) permettra la distinction entre rougeole post vaccinale et rougeole liée à un virus sauvage ».

    Il y aurait donc des rougeoles post vaccinales….???!!! Le virus pourrait être transmis par des vaccinés ?

    1. Oui, tout à fait ! le vaccin est à virus vivant et le vacciné est considéré comme potentiellement contagieux pendant, je ne sais plus, 2 semaines environ. D’autres préciseront !

      1. 4 semaines pour le ROR et 6 semaines pour le RORV. Bonjour Bernard.

      2. Bonjour Bernard. 4 semaines pour le ROR avec un max au 11e jour de la vaccination et 6 semaines pour le RORV.

  8. « On vous remet cette perle dans laquelle l’auteur nous explique tranquillement que les vaccins sont uniquement jugés sur leur capacité à générer des anticorps et que pour les résultats sur l’efficacité protectrice réelle – qui relève normalement des essais cliniques justement – on verra plus tard quand on aura expérimenté tout ça sur la population générale. »

    Effectivement, les essais randomisés en double-aveugle ne sont pas considérés « nécessaires » sur les vaccins. Le seul point que vous avez omis de mentionné, c’est qu’apparemment, de tels essais ne seraient pas éthique. C’est l’argument qu’on vous oppose le plus souvent à ce sujet.

    C’est effectivement un point avec lequel j »ai du mal. Je veux bien croire que l’éthique médicale telle qu’elle est conceptualisée actuellement interdit de tels essais randomisés en double-aveugle. J’ai par contre un certain contentieux avec cette conception de l’éthique médicale, personnellement, et j’aimerais savoir si vous pourriez faire un article pour discuter le plus précisément de la légitimité de ce point d’éthique médicale en ce qui concerne l’interdiction d’essais randomisés en double-aveugle sur les vaccins.

    1. Bonjour,
      effectivement, le caractère soi-disant « non éthique » des tests comparatifs en double aveugle me fait bien rire aussi…
      Certains tests sont réalisés, mais en mettant aussi de l’aluminium dans le « placébo », qui n’en est plus un, forcément….
      Mais la plus grosse difficulté en France, ça serait de trouver un vrai groupe témoin avec des personnes qui n’ont jamais reçu de vaccins. La taille de l’échantillon ne permettrait pas de faire une étude comparative sérieuse.
      Par contre, en Afrique, on peut faire ces études… Mais je comprends que les résultats dissuadent tous les industriels de faire ce genre de tests… Il est difficile de dire aux gens que certains vaccins augmentent la mortalité infantile dans ces pays… (cf étude du Pr Aaby https://www.aimsib.org/2019/05/12/vaccynisme-et-realite/)
      Alors, bien sûr, on préfère dire qu’il ne serait pas éthique de ne pas vacciner certains enfants afin de faire des tests comparatifs de population vaccinée/non vaccinée…car la vaccination permet tellement de sauver des vies…

      1. La question d’éthique est que ce genre d’études permettrait sciemment que le groupe témoin à qui aurait été administré le placebo contracte la maladie au cours de l’expérimentation, l’hypothèse étant que le vaccin « protège », ce qui reviendrait à l’exposer potentiellement et volontairement à son insu.
        L’efficacité des vaccins est donc seulement déduite de leur capacité à induire la production d’anticorps et de l’interprétation des statistiques sur l’incidence de la maladie après la vaccination de la population.
        Si toutefois l’incidence de la maladie augmente, (coqueluche, rougeole, …) on dira que c’est soit que le vaccin n’est pas administré assez souvent et qu’il faut une piqure de rappel dans le programme de vaccination, soit qu’il faut une dose supplémentaire, ou encore soit que le taux de couverture vaccinale n’est pas jugé suffisant et qu’il faut l’augmenter.
        L’efficacité du vaccin n’est jamais remise en question.
        Le moyen de contourner cette question éthique est simple, il suffirait de comparer une population de vaccinés avec une de non-vaccinés, en créant * sur la base du volontariat * deux cohortes (cobayes) de qualité égale (âge, sexe, santé,…) l’une vaccinée, et l’autre non, puis d’observer dans le temps l’évolution des incidences dans les deux groupes. (Je veux bien me porter volontaire pour être candidat de la seconde).

      2. Le type d’étude avancé ici ce sont « les souris de laboratoire » comme on dit, avec 2 groupes de 50 souris, l’un est vacciné, pas l’autre et on observe ce qui se produit en contaminant volontairement et de la même façon les 100 souris prises les plus semblables possibles, même âge, même nourriture, même environnement …
        Très difficile à réaliser en pratique sur une population humaine avec, qui plus est, une très longue durée d’observation.

        Voici un exemple où les conclusions paraissaient évidentes alors que la réalité était sans doute toute autre. Il s’agit d’évaluer sur le terrain l’efficacité de la vaccination antivariolique sur des contacts d’un cas de variole. Ici, la durée d’observation est courte, la durée d’incubation de la variole étant de 2 semaines. Etude de Rao :

        Primovaccination : 61 contacts dont 18 feront la variole (29,5%)

        Jamais vaccinés : 42 contacts dont 20 feront la variole (47,6%)

        Conclusion : cela prouvait, d’une façon qui fut jugée très convaincante, l’efficacité de la vaccination des contacts.

        Le problème était qu’il n’existait aucun moyen pour savoir si les contacts avaient été contaminés par le virus de la variole sauf s’ils avaient fait la maladie. Il n’existe donc aucune preuve que les 43 contacts vaccinés étaient de vrais contacts ou des faux contacts. Par contre, on peut pratiquement soutenir que les 22 contacts jamais vaccinés, et qui n’avaient pas non plus fait la variole auparavant, étaient des faux contacts non contaminés par le virus. Combien de faux contacts parmi les 43 vaccinés, nul ne le sait, ce qui enlève toute valeur à une telle conclusion.

        Supposons que la vaccination sur les contacts soient inefficace (ce qui est d’ailleurs la réalité et est aujourd’hui connu même si ce n’est pas reconnu). Sous cette hypothèse les 43 contacts vaccinés qui n’ont pas fait la variole seraient des faux contacts. Ils représentent 70,5% des 61 contacts vaccinés alors que les 22 faux contacts avérés parmi les 42 non vaccinés en représentent 52,4%. On constate alors que les faux contacts sont beaucoup plus nombreux parmi les vaccinés que les non vaccinés. C’est logique : cette vaccination sur les contacts étant affirmée efficace, les vaccinateurs sur le terrain auront tendance à classer comme contacts un maximum de personnes afin de les protéger. Ce n’aurait pas été « éthique » de ne pas les vacciner.

        Il faudra attendre 2005 pour que les experts prennent enfin conscience que cette vaccination des contacts était non efficace (, pour le moins). On aurait pu le réaliser beaucoup plus tôt, dès 1870 comme les documents de l’époque permettent de le montrer.

      3. « Le moyen de contourner cette question éthique est simple, il suffirait de comparer une population de vaccinés avec une de non-vaccinés, en créant * sur la base du volontariat * deux cohortes (cobayes) de qualité égale (âge, sexe, santé,…) l’une vaccinée, et l’autre non, puis d’observer dans le temps l’évolution des incidences dans les deux groupes. »

        Non. Si vous faites une étude sur la base du volontariat, on vous opposera toujours les biais de sélection.

        Il vous faut un argumentaire remettant en cause l’interdiction éthique. Vous n’y arriverez pas avec une étude sur la base du volontariat. (En tout cas, c’est effectivement ce que je perçois de la structure du discours scientifique à ce sujet.)

    2. Si faire une étude randomisée en double-aveugle avec un vrai placébo n’est pas éthique, que dire d’une étude avec un placébo aluminique ou un autre vaccin ?

      Vous avez 3 heures.

      1. et que dire de l’ « éthique » qui consiste à injecter en masse à des gens des produits non testés contre placebo, c’est à dire pour lesquels on a aucune idée du profil de tolérance huhuhu

      2. On pourrait aussi avoir un sujet « vaccins » en philo : « Vaccinations, obligation ou liberté individuelle ? » vous avez 3 heures. Et aussi en sciences de la vie avec des questions d’immunologie par exemple. Et aussi en histoire et pourquoi pas en littérature avec les incroyables odes écrites en l’honneur de la lymphe de Koch (la tuberculine qui tua nombre de tuberculeux à l’époque), Pasteur triomphant de la rage et les odes incroyables sur le BCG et aussi sur le vaccin contre la variole.

        De la haute littérature à n’en pas douter, inspirée par l’effroyable menace que représentaient ces maladies, il faut aussi le comprendre et la folle espérance que ces produits faisaient naître. Ils furent loin d’être à la hauteur de ces espérances mais ce qui est condamnable est que tout fut entrepris par la suite pour dissimuler la réalité plutôt que de la regarder en face. Résultat : l’histoire se répète avec les nouveaux vaccins faute d’avoir compris la leçon apportée par les échecs précédents :

        après l’échec cuisant des tentatives faites pour vaincre la variole par la vaccination, l’OMS affirmera que puisqu’il avait été possible de vaincre la variole par la vaccination, on allait faire de même avec la polio et qu’en 2003 nous pourrions abandonner la vaccination contre la polio. C’est pas pour tout de suite !!!

        Comme pour la variole, il y a un gros problème qui était visible mais fut ignoré au moment du lancement du programme en 1988, à savoir que les virus dérivés de souches vaccinales circulent comme les sauvages et peuvent acquérir le même potentiel de virulence. Pour la variole, ce fut la vaccination des contacts qui favorisait la variole et amplifiait les épidémies. On le savait depuis 1870…

      3. « Voilà un excellent sujet pour le bac ! ?
        Je vous propose de le soumettre au Ministère de l’éducation nationale…
        la question des vaccins est à la mode au bac…
        Toute occasion est sujet à formatage sur les bancs des écoles…
        https://www.freemaths.fr/annales-mathematiques/bac-s-mathematiques-france-metropolitaine-2018-obligatoire-corrige-exercice-2.pdf »

        Alors, autant, pour être parfaitement franc, je suis plutôt pour les vaccins, autant ce type d’instrumentalisation d’une cause pour en faire un sujet de maths me révolte profondément!

  9. Bonjour Le Vigilant !

    C’est une super idée de faire un article sur toutes les perles que l’on trouve en matière de vaccination sur les sites dits « sérieux » et qui sont sensés donner une information fiable aux patients…

    C’est moi aussi ce type d’information qui m’avait vraiment donné envie d’écrire l’article : « obligation vaccinale, l’enquête d’une maman biologiste » en 2016.
    Je dois dire que les informations du Vidal concernant le Priorix m’avaient laissée sans voix !! Non seulement on avoue ouvertement qu’on ne sait pas si le vaccin marche, mais on rajoute une couche en mentionnant que pour les oreillons c’est inefficace…

    Pour moi, le problème majeur en matière de vaccination, c’est que finalement tout le monde fait l’amalgame entre immunogénicité et efficacité de prévention…
    La plupart des personnes pensent qu’à partir du moment où un vaccin est capable de faire produire des anticorps chez quelqu’un, alors il est capable de prévenir la maladie….
    Et on fait croire à tout le monde que l’efficacité des vaccins, c’est l’immunogénicité… Merveilleux….

    Bref, retenons que ce que l’on demande à un vaccin, c’est d’être capable de nous protéger d’une maladie. Et cette compétence n’a JAMAIS été évaluée pour aucun des vaccins… Les études cliniques, ce sont les campagnes de vaccination… Et celle du ROR en Ukraine en 2017 me laisse à penser que le ROR est surtout capable de déclencher des épidémies d’origine vaccinale…

    Restons mouton… La science a besoin de cobayes dociles…

    1. Je serai assez d’accord avec vous sur le fait que, malheureusement, la critique vaccinale n’est pas toujours de la meilleure qualité. Cependant, cela émane souvent de non professionnels qui ont pu avoir des expériences malheureuses pour eux-mêmes ou leurs proches et qui tentent d’argumenter comme ils peuvent.

      Pour les « institutionnels » ce n’est pas du tout la même chose et d’abord en raison de l’immense responsabilité qu’ils ont vis à vis des populations, ce qui n’est quand même pas le cas des premiers. Voulez-vous un exemple ?

      Vous vous souvenez du signal statistique qui avait fait un bruit énorme à partir de fin septembre 2008 sur les enfants « observants au calendrier vaccinal » et qui seraient plus à risque de sclérose en plaques au delà des 3 premières années après leur vaccination par Engerix B.

      Je vais vous surprendre : en réalité ce signal statistique n’existe pas !!! Il est la résultante de 2 erreurs systémiques de l’expertise : d’une part en effectuant en cas-témoins un test sur des délais, donc en prenant des témoins comme référence alors qu’il faut prendre les délais eux-mêmes ; d’autre part en laissant traîner dans les calculs les cas et témoins non vaccinés Engerix et ce sont eux qui créent le signal. Leur utilisation dans les calculs reviendrait à utiliser des souris non fécondées pour étudier la durée de gestation (enfants non vaccinés Engerix pour étudier l’incubation entre cette vaccination qui n’existe pas et l’apparition de la maladie).

      Les experts et commentateurs institutionnels n’ont rien trouvé à redire car ils sont tous formés de la même façon. Comme ce signal ne leur plaisait pas, ils ont affirmé qu’il s’agissait d’un signal aléatoire, ce qu’on appelle le risque de première espèce affirmé ici très élevé en raison de la multiplicité des tests. Pourtant, il ne vaut que 5% car les tests multiples portent sur des données fixes et non pas renouvelées. Leur argument est aussi ridicule que de soutenir qu’après avoir compté le nombre de voix d’une liste dans une urne électorale, ce nombre pourrait être modifié par le seul fait de compter les voix des 33 autres listes dans la même urne !!!

      Si vous dites cela dimanche, vous allez mettre les bureaux de votes en ébullition !!! Pourtant, ce fut exactement ce que nos experts officiels ont dit, il y a moins de 11 ans sur cette affaire.

      De telles divagations de l’expertise officielle sont d’une toute autre dimension, vous en conviendrez.

  10. Bonjour à tous, je viens tout récemment d’adhérer a cette association suite à des lectures sur le site du Dr de lorgeril. Je suis jeune papa d’un enfant de 2 mois. Mon point de vue sur la vaccination manque encore de discernement (les 11 obligatoire). J’attends les livres du Dr de lorgeril sur la question. Cela dit aujourd’hui je penche plus pour ne pas vacciner mon enfant du tout. (À voir, cela peut évoluer). Je cherche donc des moyens de passez outre. Mon fils n’irat pas en collectivité avant ses 1 ans minimum. En revanche je cherche un docteur compréhensif de mon choix pour faire le suivi sans complications. Je vis près d’annecy dans le 74. Ensuite ma seconde question est : Qu’en est il d’acheter les vaccins, de ne pas piquer de coller les étiquettes et de faire une signature par moi même. Ou bien un médecin qui signe lui, si cela existe encore ? A savoir que ma compagne est infirmière ce qui pourrait justifier le fait que suite a une prescription de vaccins elle puisse elle même l’administrer.

    1. @Maxime Tanchoux
      Il y a très peu de chance qu’un médecin s’expose à vous faire un faux certificat, car cela pourrait lui coûter très cher :
      « En dehors de situations qui restent exceptionnelles (contre-indications reconnues), le fait de ne pas proposer les vaccinations obligatoires, ne pas avoir expliqué les conséquences du refus de vaccination et ne pas avoir assuré la traçabilité du refus des parents, entraîne la responsabilité du professionnel. Le professionnel peut être poursuivi devant les instances disciplinaires statutaires ou ordinales sur la base du non-respect des articles R. 4127-2, R. 4127-12, R. 4127-43 et R. 4127-49 du Code de la santé publique.
      Par ailleurs, la production d’un faux certificat médical constitue un délit sanctionné par une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison et 45000 euros d’amende (article 441-1 du Code pénal).
      https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Aspects-juridiques/Infractions-et-sanctions/Non-respect-des-obligations-vaccinales

      Si vous faites un faux en écriture c’est votre responsabilité qui est engagée, pas celle du médecin.
      Les infirmières ne sont pas agrées pour pratiquer ce type de vaccins.
      Pour les autres dispositions législatives, une très bonne synthèse sur le site de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations : http://www.infovaccin.fr/legislation_vaccinale.html
      Si vous ne comptez pas mettre votre enfant en collectivité avant 1 an, vous pouvez retarder le début des vaccinations de autant, mais la collectivité (crèche ou nourrice agréée) vous réclamera son carnet de vaccination.
      Les vaccinations ne sont pas obligatoires, mais elles le sont de façon réglementaire pour rentrer en collectivité. En pratique très peu de personnes ont la possibilité d’échapper à cette coercition.

  11. mon « chut » s’adressait à maxime Tanchoux,et non à Njama,désolée!
    Son commentaire s’est intercalé et explique mon « chut »,en fait…

    1. Veuillez m’excuser de mon message si il n’est pas approprié ici. Sachants que les commentaires sont modérés j’ai préféré parler directement.
      Cela dit, vous pouvez tout à fait supprimer mon commentaire si il est gênant.

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