Il m’avait été demandé initialement d’écrire un petit article sur mon ressenti à propos de la lecture du dernier ouvrage de Michel De Lorgeril sur les vaccins mais étant peu inspiré à l’écrit en général, je vais faire quelque chose de court et illustré. Tout d’abord je vais introduire mon propos en informant le lecteur que je ne suis pas médecin et qu’à ce titre c’est l’opinion du simple patient qui ne connaît pas grand chose aux vaccins (en dehors de la propagande des fabricants qu’on trouve jusque dans les manuels de SVT ou les communiqués de presse de l’ANSM) qui sera exprimée ici.
Ce second livre traite quasi exclusivement de la toxicité des vaccins et des mécanismes d’actions plus ou moins connus conduisant à l’expression de ces effets indésirables mais également de leurs aspects sociétaux et leur traitement par le corps médical (l’auteur parle de vaccinovigilance), en évoquant également les conflits d’intérêts majeurs liés à leur déclaration :
- Le médecin vaccinateur engageant sa responsabilité, il n’a aucun intérêt à déclarer le moindre effet secondaire
- Le fabricant qui reçoit la déclaration n’a aucun intérêt à mettre en cause son produit (on ne compte plus les cas de notifications étrangement égarées…)
- L’agence de santé ayant mis le produit sur le marché n’a également aucun intérêt à mettre en cause un produit manifestement défectueux qui aurait été donc mal évalué
Bien évidemment le livre rentre dans la technique vaccinale en abordant aussi bien les facteurs de toxicité propres à chaque produit ou constituant comme à la toxicité « communautaire » par phénomènes de déplacement / remplacement. La problématique des anti-corps facilitateurs est également longuement abordée tout comme les polémiques sur les adjuvants.
Chaque point développé dans le livre correspond à un scandale ou une polémique actuelle : la section sur les anticorps facilitateurs est développée à propos de l’affaire Dengvaxia aux Philipines, le passage sur l’inefficacité du BCG contre la tuberculose moderne désormais attestée par un gigantesque essai clinique mené sur presque 300 000 personnes…
Je ne tiens pas à trop en dévoiler mais le livre évoque également les anciens scandales vaccinaux (Pandemrix et narcolepsies) mais également (futur scandale ?) les vaccins anti-HPV et leur évaluation plus que douteuse. En prime vous pourrez lire une citation du Pr. Jean-François Bach (notre star nationale de l’immunologie – éminent membre de l’Académie des Sciences) qu’il aurait probablement envie de faire disparaître des registres…
Je ne vais pas tout dévoiler mais je terminerai cette brève présentation du livre par un extrait de son introduction qui résume finalement tout de l’état des connaissances actuelles sur le profil de tolérance des vaccins :
Et bonne lecture !
Le livre est disponible chez l’éditeur, à la Fnac, sur amazon ou chez votre libraire préféré !
17 Responses
@ Surya
Avec 4 heures de cours sur les vaccins qui tiennent sur 2 pages au programme de l’ensemble des années d’études de médecine, il n’est pas difficile d’en savoir rapidement autant si pas bien davantage.
Voilà donc publié un ouvrage bien utile pour connaître les risques possibles associés à la toxicité de composants des vaccins.
Par rapport au sujet exploré dans ce livre, n’ayant pas de connaissance en biochimie j’ai une question simple et générale, Michel de Lorgeril, Michel Georget, Serge Rader… pourraient peut-être y répondre.
Contrairement aux médicaments, pour des questions de miscibilité et de solubilité, de solution saturée, insaturée ou sursaturée, la composition des vaccins s’apparente à une « bouillabaisse » de composants chimiques dont seulement certains sont en solution (mélange homogène) ainsi que de « matériaux » cellulaires en suspension, autant d’éléments de densités différentes. Comment le fabricant peut-il dès lors garantir que les doses de vaccins (0,5 ml) qu’il produit sont parfaitement biochimiquement homogènes et conformes à la description du produit ? Entre la théorie sur le papier et la réalité, il se pourrait que les vaccinés ne reçoivent pas tous la même chose…
Cela expliquerait-il que CORVELVA citée dans un précédent article de l’AIMSIB* ne trouvait aucun des antigènes attendus dans Infanrix, et traces d’éléments inattendus … ?
Cela pourrait-il expliquer la pauvre efficacité des couvertures vaccinales, de même qu’un pourcentage d’accidents vaccinaux, si certains moins chanceux recevraient hélas des proportions excessives de tel ou tel composant, « le fond du pot »… ?
* https://www.aimsib.org/2018/12/31/vaccinations-obligatoires-2018-cest-bientot-fini/
Vaccinegate: Initial results on Infanrix Hexa chemical composition
https://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccingate-initial-results-on-infanrix-hexa-chemical-composition.html
Effectivement une bouillabaisse de produits biologiques et chimiques contaminés, avec de plus des nanos, tout cela non contrôle par les institutions sanitaires, et responsables d’innombrables effets collatéraux dont très peu sont recensés, peut-être 1% pour être optimistes…
Bravo à toute personne s’interrogeant sur les vaccins, étant hospitalière j’en ai eu plus qu’il n’en faut, ma fille autiste aussi ( 11) à l’époque j’étais copine avec plus à ce jour.Ma fille a vomi 9 jours à la suite d’un anti gastro ( à l’époque il aurait causé beaucoup d’invaginations intestinales) les mois passant elle n’a plus évolué positivement , oui je l’affirme elle est née sans handicap, on ne me fera jamais croire qu’on nait avec, en tout cas pas chez nous.Depuis elle est suivi par une équipe suisse, exit lait et gluten , progrès spectaculaires , elle a un stress oxydatif et une dysbiose on y travail, voir travaux de marion Leboyer, pr neunist, autisme axe lien microbiote intestinal.
Renseignez vous sur les canabinoides c’est miraculeux !!
Bonjour,
J’ai acheté et lu avec grand intérêt le livre du Dr Michel de Lorgeril que j’ai trouvé très clair (même pour une non scientifique comme moi), très bien documenté et argumenté. Je l’ai donné à ma fille qui se trouve confronté aujourd’hui au problème de la vaccination de son fils âgé de 4 ans. Elle ne veut pas infliger à mon petit-fils (pas plus qu’à son bébé de 3 mois) qui est en parfaite santé l’injection d’un cocktail des plus troubles, pensant à juste titre que les risques encourus sont bien plus importants et graves que les pseudo avantages. Mais elle va devoir batailler avec l’école, le médecin scolaire ….
Je recommande ce livre à tout un chacun.
Cordialement,
Bravo
Si vous admirez Pasteur et faites confiance aux vaccins il faut commencer par connaître la vérité historique sur le premier enfant « sauvé » d’une horrible mort par exemple telleue la raconte avec son charmant accent le militant écolo René Bickel
https://www.youtube.com/watch?v=hlt56cgV09M
A noter que si vous tapez « Joseph Meister », même Wikipédia et Vikidia pour les enfants se/vous trompent sur le lieu de sa naissance qui n’est pas Paris mais à Steige (dans le Bas-Rhin, près de Sélestat ) , alors que c’est dans le village d’à-côté Maisonsgoutte en français, Meissengott en allemand et Meisagott en alsacien, petit village du Bas-Rhin que l’enfant fut mordu comme d’autres personnes qui ne furent pas vacciné et ne moururent pas de la rage. Mais en fait sur la toile il y a plusieurs versions de ce fait « historique » .
Mais malheureusement, comme premier conditionnement au service des actionnaires de Bigpharma on nous a vendu ce triste sire humainement et sociétalement de Pasteur comme gloire nationale dès l’école primaire.
J’ai au moins lu, pour commencer, les 10 pages en ligne sur le site de l’éditeur. On a envie d’en savoir plus !
https://www.editions-dangles.fr//media/iverve/uploadpdf/1551347465_toxicite-vaccins-feuilletage.pdf
Pour la rage il y a ce fait scientifiquement établi que le virus de la rage chez l’animal est localisé sur le bulbe rachidien pour ne se trouver qu’occasionnellement dans la salive. Pour savoir si un animal a la rage il faut rechercher le virus dans le bulbe.
Une conséquence est qu’on peut être mordu par un chien enragé sans pour autant avoir été contaminé par le virus. On a beaucoup discuté pour savoir si le chien qui avait mordu Joseph Meister était enragé ou pas. Même enragé il n’a été apporté aucune preuve que l’enfant avait été contaminé par le virus.
A l’époque de Pasteur il y avait 30 cas de rage par an. Une statistique du ministère de l’agriculture relatait 350 personnes déclarées par des vétérinaires comme ayant été mordues par un chien enragé, soit 12 fois plus.
Pasteur à déclaré avoir sauvé 3.000 individus de la rage en 15 mois en 1886 alors qu’il avait moins de 30 cas/ an à l’époque…
En effet, surya, njama, ce livret qui apporte des éléments objectifs, comme le premier de cette excellente série, devrait être le complément indispensable aux formations médicales et paramédicales au minimum. A diffuser le plus largement possible sans aucun doute.
Si la toxicité de certaines substances ajoutées aux antigènes est reconnue, j’aimerais savoir si l’auteur M. de Lorgeril aborde la question des seuils acceptables de toxicité admis pour chacune.
Ainsi par exemple, dans le cas du Gardasil au sujet des sels de bore classés par la réglementation européenne comme (repro)toxiques, l’ASNM se veut rassurante, mais notons qu’elle fait office « d’agence d’évaluation des risques » et qu’elle est donc juge et partie sur cette question puisque c’est elle qui a défini le seuil acceptable en Juillet 2013 :
« 1. Concernant le risque reprotoxique
La valeur limite d’exposition assurant l’innocuité de l’acide borique et de ses dérivés, aussi bien au regard du risque tératogène que du risque sur la fertilité masculine et du risque d’atteinte testiculaire, a été déterminée par l’ANSM à 0,2 mg équivalent bore/kg/j… »
voir PDF de l’ANSM Mise-en-garde-25072013Acide-borique-preparations hospitalieres.pdf.
Or comme le signalait une récente tribune du Journal Le Monde du 26 mars 2012 signée Stéphane Foucart la toxicité de dizaines de substances serait sous-évaluée !
Une vaste étude conteste les fondements de la toxicologie en pointant les effets à faible dose de produits chimiques
Rarement débat scientifique aura été à la fois aussi peu médiatisé et aussi crucial pour la santé publique. Depuis plus d’une quinzaine d’années, un nombre croissant de biologistes suspectent des effets délétères de certains composés chimiques à des niveaux d’exposition très inférieurs aux doses considérées comme sûres.
Dans l’édition à paraître de la revue Endocrine Reviews, une douzaine de chercheurs américains issus du monde académique enfoncent le clou, en présentant le résultat d’un travail d’analyse considérable, le plus important réalisé à ce jour sur le sujet. Leurs conclusions mettent en évidence un ensemble d’éléments scientifiques plaidant pour un profond changement de méthodologie dans l’évaluation de la toxicité de nombreuses molécules mises sur le marché.
Les auteurs ont passé en revue plus de 800 études distinctes menées sur l’homme, sur l’animal ou sur des cultures cellulaires. « Nous avons voulu considérer cette littérature dans son ensemble, indique la biologiste Laura Vandenberg (Tufts University à Boston), premier auteur de cette analyse. Il ressort, en résumé, que les molécules qui imitent ou bloquent les hormones ont des effets négatifs à très faibles doses, c’est-à-dire à des doses généralement considérées comme sûres chez l’homme. »
Ces effets sont difficiles ou impossibles à mettre en évidence avec les données de la toxicologie classique – sur lesquelles s’appuient les agences d’évaluation des risques.
Pourquoi ? D’abord, les effets de ces perturbateurs endocriniens battent en brèche un principe central de la toxicologie. « Les études de toxicologie classique partent du principe que « la dose fait le poison », c’est-à-dire que plus on augmente la dose du produit que l’on veut tester, plus l’effet est important », explique Daniel Zalko, chercheur à l’unité de toxicologie alimentaire de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), à Toulouse. « Or, à plus faibles doses, et parfois à des doses inférieures à un niveau où la toxicité du produit semble avoir disparu, on retrouve des effets importants, d’une nature parfois différente », ajoute M. Zalko.
La suite est réservée aux abonnés.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/03/26/la-toxicite-de-dizaines-de-substances-sous-evaluee_1675700_3244.html
L’hormèse est un phénomène encore mal connu
« Un organisme soumis à une dose très faible d’un agent chimique peut manifester une réponse opposée à celle observée pour une forte dose. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Horm%C3%A8se
Pour les passionnés, sauf erreur l’étude dont la parution était annoncée dans le Journal Le Monde doit être celle-ci:
Endocrine Reviews Published 2012 Mar 14.
Hormones and Endocrine-Disrupting Chemicals: Low-Dose Effects and Nonmonotonic Dose Responses
Laura N. Vandenberg, Theo Colborn, Tyrone B. Hayes, Jerrold J. Heindel, David R. Jacobs, Jr., Duk-Hee Lee, Toshi Shioda, Ana M. Soto, Frederick S. vom Saal, Wade V. Welshons, R. Thomas Zoeller, and John Peterson Myers
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3365860/#
Oui Njama, « la dose fait le poison » est scientifiquement dépassée, en particulier pour les perturbateurs endocriniens. De plus ils n’étudiaient que les toxicités séparées de différentes substances mais si on les combinent, des effets toxiques apparaissent avec des doses très en dessous des seuils pour chacune des substances combinées.
Alors quand on constate qu’un vaccin est aussi une combinaison de plusieurs substances ayant chacune leur toxicité, qu’on combine différents vaccins entre-eux et même qu’on recommande simultanément l’hexavalent dans un bras et le prévenar dans l’autre et que certains auraient voulu qu’y soit ajouter le vaccin rotavirus dans la bouche …
Entendu aux journées de veille sanitaire de novembre 2008 :
« la vaccination étant orale il n’y aurait aucun problème pour vacciner les enfants, cela pouvant se faire en même temps que les autres vaccinations sans importuner les parents…qu’avec son prix plus modique cette vaccination pourrait satisfaire tout le monde, seule la Sécurité sociale ayant à payer davantage… »
Je pense que le degré de toxicité d’une substance et son incidence sur l’organisme dépendent pour beaucoup de la façon dont celle-ci est absorbée (ingérée, inoculée, respirée) et des possibilités relatives pour l’organisme suivant le cas de l’éliminer.
Bonjour M de Lorgeril,
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre premier livre sur la médecine des vaccins
(minuscule petite erreur de frappe p 47 vous parlez d’un numéro 13 qui est inscrit 12 dans le tableau p46) c’est juste pour dire que je l’ai lu minutieusement et je l’ai trouvé super!
Je suis vraiment heureuse de cette collection sur les vaccins, bien entendu je vais commencer le N°2
J’aimerais vous poser une question sur le MMR :
J’ai vu sur le site du CDC mise à jour au 2/12/2018
Vaccine information statement: MMR
Some people should not get this vaccine:
-Has a weakened immune system due to disease (such as cancer or HIV/AIDS) or medical treatments (such as radiation, immunotherapy, steroids, or chemotherapy).
-Has a parent, brother, or sister with a history of immune system problems.
donc élargissement des contre-indications?
les maladies auto-immune dans la famille contre indique le MMR chez le bébé ?
Pourquoi la fiche en France est-elle différente?
Déficit sévère de l’immunité humorale ou cellulaire (primaire ou acquise) par exemple déficit immunitaire combiné sévère, agammaglobulinémie et SIDA ou infection symptomatique due au VIH, ou avec un taux âge-dépendant de lymphocytes T CD4+ chez les enfants de moins de 12 mois : CD4+ < 25 % ; enfants de 12 à 35 mois : CD4+ < 20% ; enfants de 36 à 59 mois : CD4+ < 15% (rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi").
Antécédents familiaux d'immunodéficience congénitale ou héréditaire, à moins que l'immunocompétence du sujet à vacciner ne soit démontrée.
Les adultes et les adolescents ayant des antécédents allergiques sont des sujets potentiellement à risque de réactions anaphylactiques ou anaphylactoïdes. Il est recommandé de surveiller l'apparition précoce de signes évoquant de telles réactions chez toutes les personnes considérées à risque suivant la vaccination.
Pour un bébé dont la maman a une spondylarthrite ankylosante ( et polyarthrite rhumatoÏde dans sa famille) et est allergique ( ainsi que son frère avec oedeme de quincke) ainsi que le papa du bébé (choc anaphylactique suite a des allergies alimentaires) on peut considérer que c'est une contre indication acceptée ???
Entre le scandale du levothyrox et l'obligation vaccinale sur des mensonges puisque la concertation citoyenne a été falsifiée:
Aucun comité n’avait proposé à l’époque une extension des obligations vaccinales. Si l’idée avait pu être envisagée par nos personnalités scientifiques et citoyennes, à juste titre, l’extension de l’obligation vaccinale n’avait pas été retenue comme une alternative cohérente et adaptée à la situation.( bcp de temps et d'argent perdu…)
Il aurait été sain que Mme Buzin quitte son ministère …
Elle est pressentie pour un poste plus important aux européenne elle est capable de demander l'obligation vaccinale pour toute l'Europe ….
Que peut-on faire? C'est sûrement le moment pour bouger car nous ne sommes plus en démocratie…
de nouvelles loi coercitives commencent à pleuvoir…
Exiger le principe de précaution serait sage car comme vous dites " il n'y a aucun doute quant à la toxicité individuelle des vaccins"
et sur 800000 bébés qui naissent chaque année quelles seront les conséquences…….
Je vous remercie
Brigitte
le blog de Michel de Lorgeril est inaccessible : est-ce la censure qui agit à ce point là?
Je crois qu’ils terminent la migration vers leur nouvelle plateforme.