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La nouvelle danse (macabre) des canards

L’AIMSIB ne s’est encore jamais préoccupée de médecine vétérinaire, bien trop absorbée qu’elle était par les problématiques humaines actuelles. Mais quand une grande première sanitaire semble se dérouler en France au milieu du silence assourdissant des médias aux ordres, mon tempérament suspicieux (que d’autres imaginent complotiste, ils sont taquins) se réveille. Quand même pas un énorme problème avec cette nouvelle vaccination à l’échelle de toute notre basse-cour hexagonale ? Bonne lecture…   

Introduction

Certains d’entre vous, particulièrement ceux qui résident à la campagne en général et dans celle du Sud-Ouest en particulier, ont entendu parler de cette grande première mondiale française : Cette année on a vacciné de manière obligatoire (1) dès le 1er octobre tous nos canards métropolitains d’élevage, hors Corse, contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP). Car officiellement, c’est bon pour tous les intervenants de la filière. Bon.

Pourquoi que les canards ? Parce qu’on nous explique que cette espèce serait plus sensible à la grippe aviaire que le poulet. Soit. Le vaccin a probablement été testé avant utilisation puisqu’on nous donne un lien de connexion si l’on veut prendre connaissance de l’étude en cause, c’est théoriquement là (2). Le problème c’est qu’à l’heure où j‘écris ces lignes et depuis déjà un mois, date à laquelle j’ai commencé à écrire cet article , en fait d’étude on a la mire suivante, façon ORTF de notre enfance:

https://agriculture.gouv.fr/experimentation-de-vaccination-des-canards-mulards-en-elevage-contre-un-virus-iahp

Vaccin efficace, bien toléré, etc…

Donc pas d’étude disponible à ce jour.

Quand on creuse un peu le sujet, on apprend que la bataille a été rude en coulisse pour choisir le vaccin anti-IAHP. Les Français de Ceva Santé Animale proposaient bien le Duck H5-SRV vaccine®, un vaccin à ARN comme on aime bien, mais ils ont perdu contre les Allemands de Boehringer Ingelheim animal health (BI) qui présentaient le Volvac B.E.S.T. AI+ND®, un vaccin dit « bivalent adjuvé sous-unitaire » (H5 modifiée). Pour quelle raison mystère, d’ailleurs après ce choix Ceva avait déposé un recours devant le Tribunal Administratif de Paris… pour finalement le retirer quelques jours plus tard, pour quel arrangement financier, ça, mystère financier.

Faute d’étude, on se rabat sur la fiche ANSES et on nous annonce d’emblée que l’Agence ne peut retranscrire que les données du titulaire du produit. Donc, l’ANSES ne propose aucun ajout particulier ni commentaire aux données transmises par le constructeur.  Pourtant, à la lecture de ces quatre pages laconiques, c’est déjà l’effroi :

Le produit est dilué dans de l’huile minérale (donc dans des hydrocarbures) mais on ne sait pas laquelle, alors que certains de ces composés sont clairement cancérigènes et interdits dans l’alimentation humaine, depuis les vaccins anti-Covid on est bien en droit de tout redouter.

Ensuite, on nous dit que si le vétérinaire se pique le doigt avec le vaccinateur, « l’(auto-)injection accidentelle peut provoquer de fortes douleurs et un gonflement, notamment en cas d’(auto-)injection dans une articulation ou un doigt de la main, et, dans de rares cas, conduire à la perte de ce doigt si un examen médical n’est pas effectué rapidement ».

Le vaccin provoquerait donc un effet local si violent qu’il pourrait déboucher sur des nécroses tissulaires, pourtant les injecteurs ne sont calibrés qu’à 0,5ml par dose !

On s’intéresse ensuite à l’immunité conférée par le produit, c’est encore la stupeur : pour les canards Pékin et les canards de Barbarie la durée de l’immunité est… « Non établie ». Pour les mulards, chiffres officiels, 49 jours. Si on doit abattre ces volatiles à cette date, les foies gras tiendront dans une cuillère, donc plus probablement ces animaux vivront non vaccinés le reste de leur vie.

Les indications d’utilisation laissent pantois. D’abord, réduction de la mortalité et de l’excrétion virale : Qu’importe puisque quand un seul animal est touché par la grippe aviaire, tout le troupeau doit être sacrifié. La meilleure de l’année pour finir, réduction des signes cliniques, donc possibilité de fraude sur l’état de santé des animaux avant leur consommation humaine.

Le super-vétérinaire du mois

Le protocole vaccinal consisterait en 2 injections à environ 3 à 4 semaines d’intervalle et on commence au 10e jour de vie. On apprend dans La Dépêche qu’un vétérinaire, un certain Vincent Blondel se targue « d’avoir vacciné 20 000 canards hier et que pour l’instant, rien à signaler ». Sur une journée de 14 heures, ça nous fait du 1428,5 canards à l’heure ou si vous préférez du 23 palmipèdes à la minute, sans casse-croûte ni pause pipi.

Il me fait de la peine, Vincent Blondel, quelques lignes plus loin il écrit encore plus stupide : que le produit a déjà été testé au Mexique et qu’« aucun problème ou décès chez les consommateurs n’a été rapporté jusqu’ici ». (3)

Politique française et répercussion internationale

La sanction anti-française n’a pas traîné, dans un silence médiatique coupable mais habituel, on apprend quand même que le Canada, le Japon, Taïwan et Hong Kong ont déjà interrompu toute importation de nos volailles vaccinées aux hydrocarbures avec des signes cliniques réduits. (4)

Conclusion

Au final la comestibilité des animaux doit naturellement être mise en doute autant par les consommateurs français que par les autorités sanitaires étrangères, d’ailleurs certains marchés d’exportation se ferment de jour en jour. Les éleveurs s’endettent toujours plus pour devoir acheter ces vaccins obligatoires à l’efficacité par ailleurs totalement hypothétique, notice du produit en faisant foi car rien ne dit que les abattages en masse ne reprendront pas en cas d’apparition d’IHAP dans les élevages.

À moins que, pour sauver l’idée de la vaccination de masse salvatrice, on profite de la symptomatologie réduite chez les animaux malades pour les écouler quand même sur le marché de l’alimentation humaine, ce que manifestement les étrangers redoutent que nous fassions. Attention également à la mauvaise foi officielle à venir, qui ne manquera pas de claironner que cette vaccination a été phénoménalement efficace quand bien même aucune épidémie aviaire ne sera venue frapper la France cet hiver.

Encore une fois, louons nos élites et leur belle vision de notre avenir vaccino-alimentaire…

 

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2023

 

Notes et sources
(1) Vaccination obligatoire pour les exploitations comptant plus de 250 animaux https://www.anses.fr/fr/system/files/ANNEXE_90055_ATU_05.pdf
(2) https://agriculture.gouv.fr/experimentation-de-vaccination-des-canards-mulards-en-elevage-contre-un-virus-iahp
(3) https://www.ladepeche.fr/2023/10/05/vrai-ou-faux-canards-vaccines-contre-la-grippe-aviaire-le-serum-est-il-sans-danger-pour-les-amateurs-de-viande-et-de-foie-gras-11494770.php
(4) https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/grippe-aviaire-quatre-pays-sanctionnent-la-volaille-francaise-pour-vaccination-1976301

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54 Responses

    1. Qui sont les dindons de la farce ?
      N’oublions pas de vacciner d’abord von der Leyen et Macron…
      devant huissier !

  1. Tous mes remerciements pour cette intelligente démarche et ces remarquables interrogations tout comme votre analyse pertinente. Suspicieux je suis et je reste pour longtemps encore. Entre les farines d’insectes et les canards « protégés » par des injections cancérogènes, que faudra-t-il faire pour avoir une saine et naturelle nourriture. le bon sens m’autorise. Si je fais un rapprochement entre le lapsus de Mme Kamala Harris :
     » Le 14 juillet 2023, lors d’un discours sur le changement climatique à l’Université Coppin State de Baltimore, dans le Maryland, la vice-présidente des États-Unis a dit clairement vouloir « réduire la population », et ce que big pharma nous prépare, que restera-t-il des humains intoxiqués pour le moins. La lutte continue pour notre avenir et pour vite obtenir des claires et explicites informations sur les produits vendus.

  2. 23 palmipèdes à la minute ! Détail technique : Mon compagnon me raconte que son père vaccinait ses lapins au pistolet à injection. Un tube qui plonge dan le liquide vaccinal, et la même aiguille pour tous .. une injection toute le 2 à 2.5 secondes, facile ! Du coup la pose pipi devient possible. Il faut bien sûr de l’aide pour apporter le animaux et les tenir. La méthode n’est peut être pas stérile, mais ce sont des canards…

  3. Quoi qu’il en soit, excellent article.. et pas de canard pour moi cet année, et je surveille les autres filières. Le végétarisme bio devient une mesure sanitaire individuelle, vu les règlements toxiques, et jeûne dans le autres cas…

  4. « C’est la danse des canards …et pour que. tout l’monde se marre remuez du popotin »vous vous souvenez de ce qui fut un tube ?

    https://www.youtube.com/watch?v=17vFHKwq8B8

    Vous souvenez vous aussi de la « grippe aviaire » H5N1 de 2005 qui devait donner une pandémie humaine en 2006 ?

    Un vaccin existait à l’époque mais les vétérinaires, au p^lus haut niveau, l’OIE qui a son siège à Paris, disaient qu’il ne fallait pas vacciner car alors on perdrait une information capitale : savoir si le virus avait frappé un élevage donné. Car l’essentiel n’est pas d’immuniser les animaux mais de suivre le virus à la trace. C’est d’ailleurs ce qui a permis l’éradication de la variole.
    Dans la lutte contre les maladies dans les élevages, le principe fondamental est, ou plutôt était, de savoir où se trouve le virus. C’est d’ailleurs pourquoi la vaccination contre la fièvre aphteuse avait fini par être interdite : les animaux vaccinés pouvant transmettre le virus sans être malade ce qui, pour le contrôle d’une épidémie, est la pire des situations. Pour la vaccination H5N1 des canards, il avait été précisé à l’époque que si on devait vacciner, on laisserait dans chaque élevage des animaux non vaccinés afin de savoir si le virus était passé sur l’élevage. Même cette précaution épidémiologique ne semble plus être respectée.

    Pour les humains on applique le principe inverse mais comme on n’arrête pas le progrès, ce principe de la vaccination généralisée est désormais aussi appliqué dans les élevages. Indépendamment de la nocivité du procédé, cette stratégie a toute chance de se montrer contre productive pour lutter contre le fléau.

  5. Si je comprends bien, les médias font le « canard » muet sur ce sujet pourtant important pour notre alimentation. j’aime bien de temps en temps déguster un filet de canard mais là je vais bloquer ! Pourvu qu’on laisse les oies d’Alsace tranquille sinon je ne pourrai même plus me faire plaisir avec un foie gras le jour de l’an.
    Bon, je suppose que l’alimentation de nos chers (très chers) palmipèdes contiendra de la farine d’insectes ce qui, dans leurs cas sera normal vu qu’ils en mangent dans la nature lorsqu’il sont élevés en liberté!
    En tout cas, merci Docteur, pour ce nouveau cri d’alarme.

  6. C’est la raison pour laquelle je fais provision de rillettes avant les prochains abattages, chez un producteur du coin … digne de confiance, je pense, puisque producteur de céréales.
    Malheureusement l’obligation est pour lui comme pour les autres!

  7. la vaccination est obligatoire jusqu’à présent que dans les élevages de plus de 250 bêtes.
    Quant au « contenu » du vaccin, on ne sait toujours pas si il y a de l’ARN???j’ai encore posé la question à mon véto qui ne m’a toujours pas répondu. Les pharmaciens ne peuvent pas nonplus merenseigner car c’est un produit exclusivement vétéroinaire et ils n’ont pas accès au détail de la composition… je ne désespère pas d’obtenir la réponse… en attendant j’ai achété mes propres canards pour les élever

  8. le professeur Raoult, pendant le covid, avait évoqué à plusieurs reprises la catastrophe de la vaccination des poulets contre la grippe aviaire ! donc on continue

    1. En lisant l’annexe de l’anses, on comprend que c’est aussi toute la volaille des gros élevages qui est concernée ? Donc méfiance vis à vis de la viande de poulet en général ?

    1. Non mais pon pourrait en manger ! Il y a un élevage d’autruches pas trop loin de mon domicile. Là pas de risques de vaccination !

      Si l’autruche est souvent la tête dans le sable, ce n’est pas parce qu’elle aurait des problèmes psychiques mais parce qu’elle est constamment à la recherche de minéraux pour nourrir ses pattes très longues et très fragiles. L’éleveuse d’autruche à proximité avait d’abord acheté, fort cher, 6 autruches, contente qu’elle était de leur offrir de la bonne herbe. Deux mois plus tard, elles avaient toutes les pattes cassées et elles sont mortes. Elle a compris qu’il leur fallait aussi du sable … Maintenant elle a un élevage qui tourne bien avec de nombreux visiteurs.

      1. Elle a surtout un bec redoutable avec lequel elle peut tuer. C’est ce que dit l’éleveuse d’autruche. Elles n’ont pas toutes le même caractère. Avec certaines ou certains mâles, elle dit que si elle fait une erreur elle peut être tuée d’un coup de bec surplombant.

        Il y a aussi la danse nuptiale des mâles qui peuvent être polygames. Elle a pu en provoquer une au cours de la visite que j’avais faite. C’est assez extraordinaire.

        Quant à les vacciner … Bon courage aux expérimentateurs dans les labos ! Ils ne s’y risqueront pas !!! C’est un animal préhistorique.

      2. L’autruche donne des coups de patte qui peuvent être mortels. Pas facile à attraper et à vacciner. Cette année je me rabats sur du foie gras d’autruche qui peut être excellent.

  9. Merci, cher docteur, pour cet article très, très intéressant! Mon mari et moi, nous ne mangeons pas de foie gras, mais à la place d’un vaccin anti-grippe, nous prenons de l’oscillococcinum depuis des années (remède homéopathique à base de foie de canard de barbarie, fabriqué par Boiron). Malgré notre âge avancé, jamais eu de grippe, ni de rhume, ni… ! Nous nous posons aussi une question: « quel est le vrai but de cette vaccination généralisée »? La danse de Saint-Guy ???

  10. Le prosélytisme vaxxxino-religieux, toujours pour le bien de tous, y compris les animaux (canards en l’occurrence), et surtout pour le profit des mêmes, s’aggrave, s’étend inexorablement. Jusque dans nos assiettes servies de bon foie gras français « pesticidé » d’adjuvants et autres bizarreries inconnues, dont on peut bien se permettre d’en (re)douter!
    Cette folie, je dirais même cette hystérie vaXXXXinôlatre vertigineuse nous entraîne dans un tourbillon qui pourrait se transformer en tornade.
    A quand pour les prochains quadripèdes, palmipèdes et volatiles de nos basses cours et étables?
    C’est bien triste.

  11. vous reprendrez bien un peu de canard, avec votre toast à la farine d’insecte et la garniture de mais OGM. Bon appétit

  12. Il y a beaucoup d’exagération sur les décès par grippe, de l’ordre de 1 à 20 ! laquelle sert à alimenter la peur… pour pousser à la vaccination, ou pour les dividendes des actionnaires (?)

    Si l’on considère les chiffres donnés par le GEIG Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe, Bilan des saisons précédentes
    Épidémie de grippe saisonnière 2018-2019
    Au cours des 8 semaines d’épidémie, l’excès de mortalité attribuable à la grippe a été estimé à environ 12 000 décès tous âges confondus. Ces décès concernent principalement les personnes de 85 ans et plus, et dans une moindre mesure les 65-84 ans.
    Source : Bilan – Santé publique France / BEH Surveillance de la grippe en France, saison 2018-2019 – Santé publique France

    Épidémie de grippe saisonnière 2017-2018
    Au cours des 16 semaines d’épidémie, l’excès de mortalité attribuable à la grippe a été estimé à environ 13 000 décès tous âges confondus. Ces décès concernent pour 93% d’entre eux des personnes de 65 ans et plus.
    Source : Bilan – Santé publique France
    http://www.grippe-geig.com/bilans-saisons-precedentes.html

    Les médias sont légèrement plus modestes, ouest-france.fr nous 09/01/2023 dit 9 000 décès par an en moyenne
    https://www.ouest-france.fr/sante/grippe/comment-la-france-estime-la-mortalite-de-la-grippe-da5e3358-8ddc-11ed-8453-f833f2a73d4e

    Or, la moyenne des décès notifiés « grippe » sur actes de décès a été de 603 par an entre l’année 2000 et 2016. Dans ces chiffres on peine à trouver une pandémie H1N1 cru 2009 ! à se demander si elle n’a existé que dans l’imagination des épidémiologistes (?) Et donc les décès directement imputables à la grippe ne représenteraient qu’environ 1/1000 des décès toutes causes confondues. A se demander si c’est un réel problème de santé publique, ou une pathologie la plupart du temps très bénigne qui ne nécessiterait pas une telle gabegie de moyens !
    .
    Données du Cepidc_Inserm (Centre d’épidémiologie sur les causes médicales des décès) France entière Années : 2016 / 2015 / 2014 / 2013 / 2012 / 2011 / 2010 / 2009 / 2008 / 2007 / 2006 / 2005 / 2004 / 2003 / 2002 / 2001 / 2000

    Grippe : 960 / 1915 / 341 / 715 / 777 / 337 / 140 / 532 / 205 / 248 / 127 / 1009 / 159 / 475 / 555 / 173 / 1588 /

    Dans les décès liés aux maladies respiratoires, 565 701/an en moyenne sur la période 2000 > 2016 la grippe est vraiment la plus gentille… 1/1000 des décès
    voir chiffres que j’avais collectés en avril 2020 https://www.agoravox.fr/commentaire5724191

    Utilité de la vaccination contre la grippe ?????

  13. Je suis vétérinaire, et pour information, l’auto-injection accidentelle de n’importe quel vaccin dans le doigt du vétérinaire peut conduire à une forte réaction inflammatoire voire à la perte du doigt. Ça ne concerne pas que ce nouveau vaccin.

    1. Si je comprends bien, cela veut dire que que vaccin tel qu’il est est du poison puisque qu’en cas d’auto injection, vous pouvez perdre votre doigt!

      1. Ben non.
        Ca veut dire que certaines substances peuvent etre des poisons pour certaines especes et pas pour d’autre. On ne peut rien conclure de plus de cette observation.
        Gavez donc de chocolat un chien et vous verrez le resultat.

    2. Excellent article , il va donc falloir veiller au grain !
      Pour moi et ma famille plus de viande depuis des années….Chez nos gouvernants obsédés par les piquouzes tout azimut pour nous éliminer, je ne serais pas surprise si les légumes et les fruits y passent aussi quoiqu’ils sont déjà bien arrosés pour notre santé
      Bon ! attendons la suite de la « sitcom »

  14. « Le vaccin CEVA Respons AI H5 a pour l’instant été écarté, entre autre pour ses conditions de stockage plus contraignantes (vaccin congelé à -80°C). »

    « Le coût de l’ensemble du processus vaccinal (vaccin + application + surveillance) sera pris en charge à hauteur de 85 % par l’État, ce qui constitue un soulagement important pour la filière qui craignait un reste à charge beaucoup plus important. »

    https://frgtv-paysdeloire.fr/blog/la-vaccination-iahp-en-marche/
    Vaccins congelés, vaccins à ARNm ?
    C’est mieux remboursé que la sécu…

    1. Si j’en crois l’article de ladepeche.fr cité par Vincent Reliquet, et les dires de ce vétérinaire stakhanoviste Vincent Blondel qui vaccine plus vite que son ombre, « Environ 60 millions de canards doivent être vaccinés contre la grippe aviaire d’ici à cet été. »
      Un sacré jackpot pour le labo qui a décroché la timbale ! et à « 2 doses » du pain sur la planche pour les vétos !
      Comme une bonne partie de ces gallinacés partiront à l’export directement ou indirectement transformés en magrets, en confits…, au final une bonne partie de l’ardoise se retrouvera dans les impôts des français, et l’autre dans leurs assiettes, enfin pour ceux qui ne sont pas végétariens, végans,… sans que l’on ne nous ait rien demandé, sans que les députés n’aient été consultés pour une telle dépense faramineuse !
      Faut-il considérer ce détournement d’argent public comme une escroquerie en bandes organisées ?
      L’hygiènisme a bon dos…
      Il n’y a pas de preuve à ma connaissance (je peux me tromper) que ces épizooties aviaires se transformeraient en zoonoses, et se transmettraient à l’homme… comme dans le cas de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB).

      1. Peut-être hors sujet, mais l’industrie – dans le sens général- est en train de mettre la main sur la recherche déjà si peu indépendante , voici le derniere trouvaille du CNRS :
        CNRS – Centre national de la recherche scientifique
        En 2022, le CNRS a lancé un programme visant à accentuer la collaboration entre les chercheurs de ses laboratoires et le monde industriel. Une nouvelle fonction a ainsi été créée : l’ingénieur-transfert, véritable intermédiaire entre l’univers de la recherche académique et celui des entreprises.

        En un an, 50 ingénieurs-transfert ont rejoint le CNRS, afin d’augmenter le nombre de ponts entre la recherche et les entreprises. Une équipe en croissance composée de profils hybrides, mêlant expertise scientifique, compétence en développement commercial et connaissance de l’univers industriel.
        Faut donc pas s’étonner qu’on prenne « les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages … ou pas. Big pharma va s’enrichir encore plus. Fini l’indépendance des chercheurs.

      2. Cela doit être ce que l’on appelle partenariat public / privé, c’est politiquement très tendance, au final ça ruisselle à tous les étages… c’est gagnant-gagnant dans le jargon !
        Il y a certainement en parallèle une « cordée » de start-up comm, marketing, bureau d’études, finances, subventions publiques, médias… et les clampins de notre espèce se retrouvent devant le fait accompli… on en discute avec un ou deux trains de retard quand les industries tournent déjà pour nous faire des belles farines de mouches (asticots broyés) et autres grillons, et fait du prince obligation de vacciner les gallinacés avec des produits incertains sans prendre en compte les méthodes d’élevage

        Cette ferme du pays basque sera-t-elle touchée par l’obligation ? elle devrait être un modèle pour la filière !
        « Nous ne vaccinons pas nos canards et ne pratiquons pas de traitement antibiotique préventif. En effet, depuis près de 15 ans que nous fabriquons l’aliment à la ferme, nous constatons que nos animaux ne tombent plus malades. Ceci s’explique par le fait que l’alimentation est moins riche que celle que l’on trouve dans le commerce. Nous ne « poussons » pas les canards pour obtenir un résultat rapide : nous leur laissons le temps de finir leur croissance. Ils sont donc moins fragiles.

        Nous sommes également accompagnés dans des méthodes alternatives de soin aux canards. Si nécessaire, en préventif, nous préférons les vitamines ou les plantes aux produits antibiotiques. »
        https://www.ferme-uhartia.com/blog/production-carnard-ferme-uhartia

      3. Elle est bien drole cette ferme !
        Le bien etre animal quand on fabrique du fois gras, ca fait quand meme bien rigoler.
        Faire tomber volontairement des centaines de volailles malades pour satisfaire le palais, ca ne merite pas le qualificatif de bien etre animal !

      4. L’indépendance des chercheurs ? Le destin prend parfois des voies inattendues pour permettre l’indépendance de quelques uns comme Joël Sternheimer, alias Evariste en souvenir d’Evariste Galois mathématicien tué à 20 ans dans un duel au pistolet pour une classique histoire extra conjugale…

        Evariste fut un chanteur déjanté des années 70. Mais grâce à l’argent gagné par la vente de ses disques il put exercer son talent de chercheur en physique pour lequel il avait été formé sans pour autant dépendre d’un laboratoire. Il put ainsi découvrir les propriétés des musiques des protéines qu’il a nommées protéodies. Bien sûr leur utilisation plus généralisée est très fortement bridée par l’industrie agro-chimique et pharmaceutique et aussi par la pesanteur des idées préconçues mais il a fait cette découverte parce qu’il a pu être totalement indépendant.
        Enfermé dans un laboratoire de pointe, jamais il n’aurait pu faire cela, jamais. Or, cette découverte, qui date de plus de 30 ans, pourrait changer la vie sur terre si son application était généralisée.

      5. réponse @ Jacques 31 octobre 2023 à 15h58

        L’origine du foie gras remonte à l’Égypte antique il y a 4500 ans… pratique poursuivie dans la Grèce antique, dans l’empire romain…
        La tradition du foie gras s’est perpétuée après la chute de l’Empire romain en Europe centrale, dans les communautés juives. Les Juifs utilisaient fréquemment la graisse d’oie pour la cuisson, car le beurre avec la viande et le saindoux leur étaient interdits.

        Les juifs répandirent l’élevage des oies, de l’Alsace jusqu’à l’Oural, et apprirent à en maîtriser le gavage, surtout dans les régions où l’on cultive le maïs (qui fut introduit au XVIIe siècle) et après le développement de l’appertisation : l’Alsace (l’invention du pâté de foie gras à Strasbourg vers 1780 par Jean-Pierre Clause, cuisinier du maréchal de Contades, est peut-être une légende, mais la recette date de cette époque) et la Hongrie3. Il est mentionné dans un livre de cuisine de Francfort en 1581

        https://fr.wikipedia.org/wiki/Foie_gras#Histoire

        Alternatives au gavage forcé
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Foie_gras#Alternatives_au_gavage_forc%C3%A9

      6. @Njama :

        Et alors ? Qu’est ce que le caractere historique a a voir avec le fait que je trouve profondement immoral de rendre des animaux malades juste pour le plaisir des papilles d’etres humain.
        Et carrement hypocrite de parler de bien etre animal dans ce cas.

  15. @jacques
    L’homme de l’anthropocène était chasseur cueilleur avant que ne viennent l’élevage, l’agriculture. Oui, ces animaux bovins, ovins, caprins, gallinacés,… insectes maintenant iront à l’abattage, auront une durée de vie beaucoup plus courte que ce que la nature leur aurait donné.
    Les conditions d’élevage ont évidemment une incidence sur la santé des animaux qui seront consommés. Une incidence aussi sur leur capacité à ne pas contracter de maladies, comme pour nous bipèdes.
    Dans de bonnes conditions je veux bien croire qu’ils n’ont pas besoin de vaccins, d’antibiotiques.

    Dans les années 60 / 70 on pouvait acheter au marché des animaux « vivants », lapins, poulets, poules, canards, poussins, canetons… et même des chatons, des chiots, avant que des lois au nom de hygiénisme et du microbisme pasteurien ne viennent interdire ces pratiques « ancestrales »… qui ne tuaient personne, car ceux qui les élevaient n’auraient pas présenté aux chalands des animaux malades. Je sais de quoi je parle j’accompagnais ma grand-mère dans ses emplettes.

    Les conditions de cultures ont une incidence sur la qualité des produits, céréales, légumes, fruits… que l’on peut faire pousser sans pesticides, sans intrants chimiques.
    Le frère de mon beau-frère ingénieur agronome travaillait à une époque au Brésil dans l’agro-alimentaire, le but était de parvenir à faire du poulet en 41 jours… le marché à l’export est énorme, ce qui suppose de les « forcer » avec une alimentation particulière, riche en (?) dont le consommateur ne sait rien. Et ne verra rien s’ils sont transformés en nuggets, la fabrication consistant à les broyer à peu près intégralement, la chair, la peau, les os… pour, victoire ? un max de protéines (beurk!)
    Un poulet dit fermier, c’est dans les 80 jours d’élevage, avec du grain principalement, plus de 90 jours pour l’appellation Label Rouge.
    Dans le modèle que je citais en exemple, pioché au hasard sur la toile, la durée d’élevage est entre 112 et 126 jours.
    Si vous ne faites pas la différence entre un poulet de la PAC « Poulet d’Agriculture Contractuelle » (norme U€), et un poulet fermier, je ne peux rien pour vous.
    L’autre option est de devenir végétarien, ou végan, ce qui est du ressort de notre libre-arbitre de s’affranchir de nos habitudes culturelles en alimentation.

    Comment évolueront nos habitudes alimentaires, je n’en sais rien, je devine juste que peu d’entre nous sont prêts à se nourrir avec de la viande synthétique, des protéines d’insectes.

    1. Je ne parle pas de la consommation de la viande en general mais de cette horreur de foie gras qui consiste a rendre deliberement malade un animal pour le consommer ensuite. C’est tout simplement de la maltraitance animal.
      Qu’une ferme puisse se vanter de se preoccuper du bien etre animal quand elle maltraite les animaux, c’est delirant.

      1. Un article détaillé
        Gavage des oies et des canards
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Gavage_des_oies_et_des_canards

        Cette pratique d’avoir des foies gras est marginale dans la filière d’élevage à côté des confits, des magrets, des aiguillettes, des rillettes, des pâtés… heureusement c’est cher, coût de production plus élevé, marché plus limité
        Perso, il m’est arrivé d’en manger, j’suis pas fan du tout, ou pas gourmet (?)… j’préfère une bourriche d’huîtres

    2. @jacques
      Si hypocrisie au sujet du bien être animal elle est relative, il y a des recherches alternatives, de plus la notion de bien-être animal se discute, on ne peut faire la conversion d’une filière juste en claquant les mains, on peut l’améliorer.
      Par contre on peut se fier à une appréciation subjective, « observationnelle » sur les conditions d’élevage, sur la transparence des producteurs, sur les étiquetages, sur la filière, circuit court ou non… ce qui est le cas me semble-t-il dans l’exemple cité

      https://agriculture.gouv.fr/le-bien-etre-animal-quest-ce-que-cest

      Les pratiques traditionnelles d’abattages choquent les citadins qui vivent hors-sol du monde rural, comme ce petit parisien Louis, elles ne choquaient ni nos parents, ni nos grands parents
      (2’04) https://www.youtube.com/watch?v=_PRuf4naBWc

      Mais si vous avez des bonnes idées n’hésitez pas à les partager

      1. Retour de l’argument de « ca fait longtemps qu’on fait comme ca, donc c’est pas si pire ».
        Ca fait longtemps qu’on fait plein de choses absolument atroces. L’historicite d’une pratique n’a strictement rien a voir avec son caractere ethique ou moral, ni dans un sens, ni dans l’autre.
        J’ai une tres bonne idee : arreter de rendre des animaux volontairement malade pour les manger … ou a minima, arreter de pretendre se preoccuper du bien etre animal quand on le fait !

      2. @ Njama : Que ceux qui n’aiment pas le fie gras n’en dégoutent pas les autres . le bien-être animal a bon dos dans cette histoire, l’élevage intensif est l’ennemi du bien-être animal que ce soit celui des canards, des poulets, des cochons, de dindes ( j’ai vu récemment un documentaire sur l’élevage de ces pauvres bêtes : une horreur absolue) ou autres destinés à la consommation normale ( non luxueuse) des humains qui ne peuvent quand même pas se contenter de brouter de l’herbe n’en déplais aux écolos/bobos des villes.
        Et puis quoi, nourrir un chien ou un chat avec des croquettes à base de céréales en majorité est aussi de la maltraitance animale : a-t-on jamais vu un chien brouter de l’herbe ? (sauf pou se purger) Il leur faut de la viande ça leur évitera bien des cancers, leur système digestif est fait pour ça de même que les vacciner à tours de seringues qui démolissent leur immunité naturelle … comme celle des canards..

      3. @jacques
        « J’ai une tres bonne idee : arreter de rendre des animaux volontairement malade pour les manger … ou a minima, arreter de pretendre se preoccuper du bien etre animal quand on le fait ! »

        Pour en revenir à l’article est-ce que les bourrer d’antibiotiques mêles par « prévention » à leur alimentation pour peut-être ? qu’ils ne tomberaient pas malades dans des conditions déplorables d’élevage bien éloignées de la nature, et, de les vacciner contre un risque de contamination jamais vraiment bien établi scientifiquement, et d’occire indistinctement tout un élevage, des centaines ou milliers de gallinacés, pour quelques tests positifs dont nous savons qu’ils ne sont pas bien fiables, est-ce bien éthique ?
        Ou pour entretenir la peur du microbisme ?

        C’est aussi notre propre approche soi-disant « scientifique » qu’il faudrait peut-être remettre en question, non ?

  16. Bonjour.
    Je retrouve dans certain post sous cet article des sujets expliquant que la surmortalité liée à la grippe n’est pas évidente a démontrer. Il faut ajouter à cela une réflexion sur la notion de « surmortalité » utilisé.
    Je me permets de reposter une partie d’un message que j’avais posté dans les « grandes heures » du « virus «  au sujet des surmortalités « toutes causes confondus » constaté alors.
    Le commentaire visait le site « Euromomo » qui était utilisé pour argumenter parfois une hausse de mortalité //

    L’affichage se fait via des graphes exploitant une valeur appelé Z Score qui est censé indiquer si la mortalité au temps T est inférieure ou supérieure à ce qu’elle devrait être.
    Ce genre de graphes à été très utilisé depuis des mois pour relativiser (ou pas…) les annonces alarmistes que nous avons connus.
    Les calculs sont extrapolés via des courbes de Poisson, je n’ai pas vérifié, mais il est aussi possible que l’algorithme soit du type autocorrectif.
    Il est effectivement possible de consulter ce genre de donnée lors d’un pic de mortalité dont les bornes temporelles sont réduites à quelques mois.
    Ce sont ces valeurs qui sont présentées pour argumenter les épidémies de Grippes saisonnières.
    Mais pour des analyses sur une plus longue période il est impossible d’exploiter les données si l’on n’intègre pas la pyramide des ages du pays concerné en référence.
    Il y a eu chez nous déjà des tentatives d’explication de surmortalité versus l’année N-1, -2 ou -3…
    Il est nécessaire d’attirer l’attention sur ce risque de biais inhérent à ce genre de calcul basé sur une antériorité que l’on présume stable.

    Je retourne donc sur Wiki… Qui n’est pas l’absolue vérité, mais pour certains articles, la fraude est difficile.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Natalit%C3%A9_en_France

    Qui me donne ce lien au début du premier chapitre (Evolution):

    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89volution_d%C3%A9taill%C3%A9e_du_nombre_de_naissances_en_France_m%C3%A9tropolitaine

    Il faut regarder le pivot 1945/1946

    De 1935 à 1945 le chiffre s’établit autour de 600000 naissances par année.
    À partir de 1946 il ne passe jamais sous la barre des 800000 jusqu’à 1975.

    Il y a donc eu un palier de quasiment 25 pour-cent de naissances en plus il y à 75 ans.
    Il ne faudra donc pas s’étonner d’une augmentation des décès ces prochaines années dans une fourchette proche des 25 pour-cent.

    Ceci n’est bien sur vrai qu’en France Métropolitaine et possiblement dans d’autres pays ayant connus le « Baby boom » de 1946.

    Par contre, je pense que ce sont des opportunités de choix pour qui voudrait faire peur à une population que ce soit à des fins commerciales ou autres.

    Et la phrase disant qu’une guerre en prépare une autre est encore une fois de plus hélas vérifiée.

    Cordialement.
    Daniel Bardou.

  17. Un lien entre cet article et le précédent… on nous prépare un drôle de monde ! ça craint !
    à côté de ça, la question du gavage de quelques gallinacés palmipèdes et du bien-être animal n’est qu’un épiphénomène.

    Tyson construit une usine de protéines d’insectes; les critiques affirment qu’il s’agit d’une question d’argent, et non de santé ou d’environnement
    https://www.mondialisation.ca/tyson-construit-une-usine-de-proteines-dinsectes-les-critiques-affirment-quil-sagit-dune-question-dargent-et-non-de-sante-ou-denvironnement/5682853?doing_wp_cron=1699098790.4119040966033935546875

    Des scientifiques ont utilisé l’édition génétique CRISPR pour rendre les poulets résistants à la grippe aviaire – voici ce qui s’est passé
    Des chercheurs britanniques ont utilisé la technologie d’édition de gènes CRISPR pour modifier l’ADN de poulets afin de créer des oiseaux résistants aux virus mortels de la grippe aviaire tels que le H5N1. Mais l’étude a été un échec, selon un critique, car la technologie a également aidé le virus à se répliquer plus efficacement dans les cellules humaines.

    https://www.mondialisation.ca/des-scientifiques-ont-utilise-ledition-genetique-crispr-pour-rendre-les-poulets-resistants-a-la-grippe-aviaire-voici-ce-qui-sest-passe/5682850?doing_wp_cron=1699096312.4644999504089355468750

    Bon weekend

  18. Pour information, le collectif Sauve qui poule qui défend l’élevage plein air indique que les cas de grippe aviaire n’ont eu lieu que dans les élevages confinés (pas dans ceux qui ont enfreint la loi en laissant les volailles gambader dans les prés…)/.

  19. Imhotep (ou plutôt sa momie), qui aurait, selon la légende, inventé le foie gras, doit se retourner dans son tombeau !
    Pour moi et pour quelques-uns de mes proches, ce sera, pour Noël comme pour la Saint-Sylvestre et comme pour tous les autres jours de l’année : nourriture bio et vegan, limite végéquatique avec de temps à autre du poisson blanc et sauvage de l’océan type surgelé PICARD, nature, pur et non cuisiné.
    Cela va faire bien longtemps que nous ne consommons plus aucune chair animale d’élevage.
    Je vous invite à la lecture du roman de Pierre Montlaur « Imhotep, le Mage du Nil ».

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