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Et maintenant le Paxlovid. Mais qu’avons-nous fait au ciel ?

Paxlovid,Covid

Quittons quelques minutes la variole du singe, insuffisamment implantée, la sinusite de la grenouille et l’anorgasmie du phacochère, encore dans les cartons des pandémistes. Pendant que le petit peuple de l’hémisphère Nord s’apprête à vivre un magnifique été, tout content d’avoir survécu aux effets indésirables graves post-vaccinaux, aux interdictions de se traiter en cas de Covid déclaré ou encore de ne pas s’être fait prescrire un définitif Rivotril en cas d’apparence de maladie grave particulièrement s’il habite les régions parisiennes ou lyonnaises (1), en coulisse les financiers du monde entier rivent déjà leurs prévisions économiques pour la rentrée de septembre. Et nous faisons tous partie de leurs équations. En voici un fragment confondant, l’histoire naissante du Paxlovid, où comment laisser vendre des médicaments anti-covid par une firme qui a déjà multi-vacciné toute la planète avec un produit efficace, disait-elle, à 95%. Quelle place pour un médicament anti-covid alors ? Ce serait drôle si ce n’était pas aussi tragique, bonne lecture.

Pax-Love-Covid, ils osent tout

Il faut quand même être pourvu d’un cynisme sans limite pour oser mêler paix, amour et covid dans un nom de médicament qui sera utilisé dans le monde entier -avec racines étymologiques parfaitement comprise par tous – afin d’espérer en créer un produit désirable par tous ses consommateurs potentiels. Avant de l’ingurgiter; il faut le prescrire et j’ai presque envie de m’adresser aujourd’hui à mes confrères, plus qu’à nos patients, parce que plus que jamais cette histoire me fait penser aux enseignements de Coluche, notre grand maître à tous, qui déclara un jour dans un sketch célèbre : – « Quand on pense qu’il suffit que les gens ne l’achètent pas pour que ça ne se vende plus (2)» Magnifique de concision et de véracité, attachons-nous ici à en confirmer la justesse.

Composition du Paxlovid

Le paxlovid se définit par une association de deux molécules présentées séparément mais à ingérer ensemble, le nirmatrelvir et le ritonavir.

  • Le nirmatrelvir ou PF-07321332 agirait comme un inhibiteur de la protéase 3C-like des coronavirus (3), pouvant possiblement bloquer leurs multiplications dans l’organisme. Des doutes sérieux, bien que non démontrés à ce jour, laissent imaginer que cette molécule pourrait exercer un effet mutagène sur l’ADN humain exposé au produit.
  • Le ritonavir est une molécule beaucoup plus connue, elle aussi inhibiteur de la protéase, très utilisée dans le traitement des infections à VIH, fortement mutagène. Son utilisation dans le traitement des infections Covid est détournée de son objet initial, ce sont ici ses capacités à inhiber les enzymes susceptibles de détruire le nirmatrelvir qui sont visées, dans le but d’augmenter la biodisponibilité de celui-ci, cf infra.
Paxlovid,Covid
https://www.pfizer.ca/sites/default/files/202201/PAXLOVID_PM_F_259186_17Jan2022.pdf

Sécurité pré-clinique

De source sûre, puisqu’il s’agit des données publiées par Pfizer-Canada lui-même (9), les mineurs, les femmes enceintes et allaitantes ont été exclus des études et seuls 3% des participants étaient âgés de plus de 75 ans alors que cette tranche d’âge représente évidemment le cœur de la cible de prescription. L’étude principale ayant autorisé la mise sur le marché du Paxlovid n’a pas été poussée plus loin que jusqu’à une simple phase 2 (encore moins de recherche que pour les vaccins qui persistent tous à ce jour à poursuivre leurs phases 3) et encore, celle-ci a été publiée avant son terme (4) parce que, d’après Pfizer, « Paxlovid s’est avéré efficace pour réduire le risque d’hospitalisation ou de décès de 89 % par rapport au placebo chez les adultes à haut risque non hospitalisés atteints de Covid-19″ .

Faut-il encore une fois revenir sur la tromperie aggravée d’une présentation de résultats en citant des réductions relatives de risques et en taisant les réductions absolues bien moins flatteuses (5) ? Revenir sur la valeur nulle ou presque d’une étude interrompue en son milieu ? La recherche des effets secondaires ne s’est limitée qu’aux 34 jours ayant suivi l’instauration du traitement, bien pratique pour ne jamais assister à une complication post-mutation génétique pourtant si parfaitement objectivée avec le ritonavir.

Je ne résiste pas à publier ce monument d’euphémisme embrumé rédigé par les employés francophones du sponsor pour expliquer que, compte tenu de la faiblesse indigne de leur panel (6), ils n’ont aucune idée précise de la fréquence des effets secondaires rencontrés dans l’étude (On passe d’ailleurs de 8 à 8.2, 8.1 a dû « sauter » à la relecture).

Paxlovid,Covid
https://www.pfizer.ca/sites/default/files/202201/PAXLOVID_PM_F_259186_17Jan2022.pdf

A noter que, toujours dans ce même document, le taux d’abandon est déclaré à 2% dans le groupe Paxlovid et… à 4% dans le groupe placebo. Proprement incroyable mais à aucun moment il n’a été possible de savoir si le placebo était réel ou constitué par une molécule active. Malgré tout ceci, la FDA a accordé une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) au Paxlovid en décembre 2021 et servilement comme d’habitude l’EMA a suivi (7).

Contre-indications d’emploi

De ce fait, tous les médicaments dont la clairance dépend fortement de la disponibilité des cytochromes P450 3A et 2D6 (CYP3A et CYP2D6) (8) ne peuvent plus entrer en co-prescription avec Paxlovid pendant toute la durée du traitement au risque de surdosages éventuellement létaux, il y aurait lieu de les interrompre malgré leurs potentielles nécessités vitales de dispensation (9).

S’il peut sembler imaginable (voire très souhaitable) d’interrompre des traitements par statines, inducteurs de l’érection, somnifères, alpha-bloquants et autres molécules secondaires, il paraît totalement insensé de suspendre un traitement par anti-arythmiques, par anti-coagulants, voire anti-convulsivants. Qui oserait sérieusement décréter une balance bénéfice-risque favorable au Paxlovid dans ces conditions ?

A noter que Pfizer interdit expressément l’usage du Paxlovid en cas de forme grave de la Covid-19 ce qui constitue une grande première en matière de thérapie anti-infectieuse que de contre-indiquer l’emploi d’un traitement en cas de forme grave de la maladie qu’il prétend guérir.

Je renvoie volontairement les curieux à la liste officielle des contre-indications, longue comme un quinquennat qui débute, publiée ici (10).

Indications thérapeutiques

Depuis le 8 mai 2022, la France simplifie la modalité de prescription du médicament et les URPS (11) ont publié ceci à destination des médecins libéraux.

Paxlovid,Covid
https://us19.campaign-archive.com/?e=99f3757fac&u=f77e67fc4adc9c1abc8d02d4d&id=af0accdee6

La peur de manquer ?

La France n’a fait aucun mystère de ses commandes pharaoniques de Paxlovid, passées en début d’année, pour pas moins de… 500.000 doses. Pas mal pour un pays qui s’est targué dès 2021 d’avoir mis à l’abri toute sa population fragile grâce à l’emploi d’une vaccination, il est vrai un tantinet forcée.

Mais alors, si ce discours rassuriste tient vraiment dans l’esprit de nos élites, pourquoi acheter un demi-million de boites de Paxlovid ? Quand même pas parce que Pfizer aurait proposé un marché à la France « qu’elle n’aurait pas pu refuser » ?

Naturellement, puisque ce produit n’admet aucun rapport bénéfice/risque conséquent, qu’il se révèle à-peu-près non prescriptible et que la liste des contre-indications intimide même les prescripteurs les plus hardis, seules 3500 boites ont trouvé preneur à ce jour. (12)

Le prix inconnu du Paxlovid

Il est extrêmement difficile de connaître le prix d’une boite de Paxlovid, probablement variable selon les pays.

Celui-ci ne figure pas sur l’emballage, le médecin n’en est pas avisé dans la RCP qui lui est distribuée pour prescrire le produit et même le pharmacien, qui le vend, en fait ne le vend pas mais le dispense à partir de commandes d’Etat dont il ignore la valeur !

Dans un article de ladepeche.fr en date du 29 mars 2022, le journal se risque à une fourchette de tarif. La France aurait déboursé 250 millions d’euros pour ses 500.000 boites ce qui induirait un traitement complet (à supposer que le patient le suive jusqu’au bout) au tarif rondelet de 500€ l’unité.

Des effets incroyables mais non divulgués en Europe

Finissons en apothéose :

Il s’agit donc de traiter des patients multi-vaccinés et néanmoins malades du covid, à risques de complications, avec un traitement à 500€ qui demeure contre-indiqué chez les sujets présentant des formes graves de la maladie et qui de plus n’a pas été testé dans le cœur de cible du produit, à savoir les sujets âgés de plus de 75 ans.

Mais non, ce n’est pas tout, le plus incroyable est à venir maintenant. C’est ainsi qu’en se renseignant un tant soit peu outre-Atlantique, on apprend que l’assemblage entraine une sorte d’amnésie antérograde immunitaire, en clair :

Dans un nombre parfaitement indéfini de cas, un second Covid réapparait quelques jours après l’arrêt de Paxlovid. Tout se passe comme si le produit empêchait toute mémoire immunitaire de s’installer durablement à l’encontre du virus contracté (13).

Nous pourrions tous espérer que les futurs prescripteurs français soient tenus au courant de cet effet indésirable pour le moins très dérangeant, il ne faudra pas oublier de poser la question aux membres du syndicat MG France que leurs cadres ont souhaité inscrire (contre quelle rémunération de la part de Pfizer, on n’ose l’imaginer) à une séance de « formation médicale continue » sur la question le 18 mai 2022:

Suite à la publication de notre article, MG France s’en est défendu par courrier adressé à l’AIMSIB. Il nous est agréable de savoir que MG France lit nos articles et qu’il est désormais informé des effets indésirables du PAXLOVID, en espérant que cela fera l’objet d’une communication auprès de ses membres très prochainement ».

Paxlovid,Covid
https://t.newsletter.mg-france.fr/mrx/7ZAr4PYW2/131362/3662228704.html

Voilà qui pourrait signer l’arrêt de mort définitif du Paxlovid mais, dans ce monde corrompu jusqu’aux plus hautes sphères des agences de régulations, il n’en est rien (14). C’est ainsi que Mikael Dolsten, directeur scientifique de Pfizer, n’a pas craint de nier la responsabilité du médicament dans ce rebond de la maladie, incriminant la faute aux patients eux-mêmes et à leurs terrains immuno-déprimés. Quant à Albert Bourla, le PDG de Pfizer, il n’a pas craint d’arguer qu’il ne fallait pas monter cette affaire en épingle et qu’en cas d’apparition du phénomène il convenait de reproduire l’ordonnance une deuxième fois. (13)

Evidemment pour le double du prix et sans aucune étude clinique quant aux effets indésirables induits par une double dose de Paxlovid en peu de semaines, que personne n’a étudié, pas même 34 jours !

Conclusion

Plus la crise avance et plus le monde s’enfonce dans un abîme de malscience, de corruption et de recul de nos libertés. Les prévisions de croissance pour Pfizer repoussent toutes les limites de la logique et de la décence, 54 Md$ de vente de vaccin pour 2022, consolidé par 22 Md$ de Paxlovid. Paxlovid,Covid

– « Le cabinet Airfinity évalue à 19,5 milliards de dollars (17,2 milliards d’euros) le gain potentiel de Pfizer en 2022 avec les ventes de son produit. Plus d’une douzaine de contrats ont déjà été paraphés, pour un total de doses avoisinant les 27 millions « (15). Vous aviez déjà accueilli le bamlanivimab, le remdesivir, le molnupiravir, faites de la place pour Evusheld, l’anticorps monoclonal de chez AstraZeneca, et pour Xevudy, le traitement made in GSK. N’oubliez pas le Ronapreve non plus de chez Roche-Regeneron, déjà approuvé par la HAS mais… interdit pour traiter une infection à Omicron car son efficacité est absolument nulle. Mais en France nous sommes riches de  496.500 boites de Paxlovid d’avance à 500€ pièce, ça vous pose un pays en terme de puissance intellectuelle.

Pendant ce temps-là, les tribunaux disciplinaires ordinaux débordent de médecins en attente de condamnation parce qu’ils ont traités leurs patients de manière conforme à ce que la science indépendante leur dicte.

Un cauchemar, vous dites ?

Dr Vincent RELIQUET
Mai 2022

 

Notes et sources
(1) Chaillot P. « Scandale Rivotril » https://www.medias-presse.info/enquete-le-scandale-du-rivotril-ou-les-injections-fatales-sous-pretexte-sanitaire/155959/
(2) Coluche, « La publicité », https://www.youtube.com/watch?v=VEZw1Vmq97Y
(3) Dafydd R. Owen, Charlotte M. N. Allerton, Annaliesa S. Anderson, Lisa Aschenbrenner, Melissa Avery, Simon Berritt, Britton Boras, Rhonda D. Cardin, Anthony Carlo Yuao Zhu, « An oral SARS-CoV-2 Mpro inhibitor clinical candidate for the treatment of COVID-19 », Science, vol. 374, no 6575,‎ 24 décembre 2021, p. 1586-1593 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34726479/
(4) Sicard S.Covid-19 – Pfizer arrête l’étude sur sa pilule efficace à 89% et demande sa mise sur le marché en urgence. L’Indépendant. https://www.lindependant.fr/2021/11/05/covid-19-pfizer-arrete-letude-sur-sa-pilule-efficace-a-89-et-demande-sa-mise-sur-le-marche-en-urgence-9910488.php
(5) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2020/11/22/vaccins-anti-covid-en-2020-folie-sanitaire-politique-mediatique-financiere/
(6) L’analyse provisoire n’a plus concerné que 389 patients dans le groupe Paxlovid et 385 dans le groupe placebo, l’étude complète ne devant inclure que 1361 sujets à répartir dans les deux groupes sur les 2246 initiaux. Personne ne sait ce que les « 867 disparus » sont devenus, et pourquoi
(7) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2021/10/10/des-vaccins-ecoules-sans-aucune-ammc-valide-cest-possible/
(8) Prudence également, d’après Pfizer, à une induction accrue des CYP1A2, 2C9, 2C19 et 2B6 ainsi que de la glucuronyltransférase donc toute consommation concomitante d’alcool serait théoriquement à prohiber
(9) https://www.pfizer.ca/sites/default/files/202201/PAXLOVID_PM_F_259186_17Jan2022.pdf
(10) https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/paxlovid-epar-product-information_fr.pdf
(11) URPS ou Unions régionales des professionnels de santé, créées par la Loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires –dite Loi HPST.
(12) Covid-19 : 500 000 traitements achetés, seulement 3 500 écoulés… le Paxlovid est-il un échec en France ? https://www.ladepeche.fr/2022/03/28/covid-19-500-000-traitements-achetes-seulement-3-500-ecoules-le-paxlovid-est-il-un-echec-en-france-10200017.php
(13) https://www.msn.com/en-us/money/other/pfizer-says-patients-who-relapse-after-covid-pill-can-repeat/ar-AAWSWOt
(14) Kennedy R. « Fauci, Bill Gates, Big Pharma », ed. Résurgences, 2022
(15) https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/22/covid-19-des-millions-de-doses-de-paxlovid-deja-commandees-a-pfizer_6110554_3244.html
(16) https://www.ladepeche.fr/2022/02/21/covid-19-paxlovid-xevudy-ronapreve-on-vous-dit-tout-sur-les-traitements-contre-le-virus-autorises-en-france-10124871.php

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25 Responses

  1. On commencera à remonter du fond, voire à ne pas l’atteindre, quand des personnalités connues, y compris des ténors de l’anti-injections se seront enfin dépasteurisés en sortant de l’ « Église du Sacro-Saint Vaccin Miraculeux, Indispensable et Irremplaçable » dont ce très triste sire de Louis Pasteur est le Prophète, sinon le dieu

    Puisqu’il est maintenant question de variole, lisez donc ce qu’en écriv(ai)ent Michel Georget et Marc Menant, car à propos de l’efficacité de ce vaccin là aussi on nous a trompé et la majorité des médecins s’est montrée incultes

    Et effectivement dans son introduction Georget écrivait ce lamentable constat (page 12 de « Vaccinations. Les vérités indésirables ; S’informer, Choisir , Assumer » ) « La plupart des médecins ignorent tout ce qui va suivre concernant les dangers spécifiques des vaccinations »

  2. Décidément on n’en sortira pas, on nous foutra pas la Pax sinon par Lo Vide en nous anéantissant à petit feu si on succombe à la propagande de BigPharma et des « zotorités » gouvernementales.

    1. Oui, un cauchemar, long et effrayant comme un collier de quinquennats, heureusement, nous avons des « gardiens de l’humanité » la division et la peur n’opèrent pas, nous restons en liens conscients et courageux.

  3. Je suis allé lire le document wikipedia du nirmatrelvir, un des composants nouveaux du paxlovid. Même dans le paragraphe « développement », il y a une erreur manifeste, puisqu’on a beau chercher dans la structure développée, on ne trouve pas la fonction aldéhyde qui est sensée permettre l’accroche avec la cystéine du site catalytique. Le fonction nitrile, elle, ne permet pas cette accroche.
    On se demande d’ailleurs pourquoi les deux « médicaments » proposés pour le covid comprennent l’un et l’autre (la nirmatrelvir et le remdésivir) cette fonction nitrile, qui n’a pas nécessairement une bonne réputation chez les toxicologues.

  4. Bonjour
    Concernant les effets secondaires des vaccins, je me permet de vous faire part d mon expérience douloureuse.
    Mon petit fils a été vacciné à 9 mois avec le ROR. Alors qu’il était en pleine forme avant la vaccination, quelques jours après il était paralysé. Il a eu une myélite (maladie auto-immune qui détruit la gaine de myéline de la moelle épinière). Il a aujourd’hui 11 ans et reste fortement handicapé, marchant difficilement avec un déambulateur. Ce que je trouve anormal c’est que les médecins qui l’ont soigné à La Timone à Marseille nous ont affirmé qu’ils ne savaient pas ce qui avait déclenché cette maladie mais qu’ils étaient certains que ce n’était pas la vaccination. Aucun signalement n’a été fait aux autorités de santé. La notice du ROR indique maintenant la myélite comme effet secondaire, ce qui n’était pas le cas quand mon petit fils a été vacciné. Le National Institute of Health des états unis mentionne les vaccins comme cause possible de la myélite. Dans le procès en cours contre le laboratoire GSK leurs avocats disent en gros que la mention de myélite dans la liste des effets secondaires n’est nullement une preuve, qu’il s’agit de « cas rapportés » et que « rien n’est prouvé scientifiquement ». Ceci montre bien que de nombreux effets secondaires pourtant fortement suspects ne sont pas déclarés aux autorités de santé (surtout concernant les vaccins), que ceux qui sont déclarés ne sont souvent pas pris en compte (cf médiator). Même les vaccins « classiques » peuvent être dangereux, les vaccins COVID ne sont ni sûrs ni efficaces contre la transmission de la maladie, cette obligation vaccinale est un non-sens, c’est monstrueux de vacciner les jeunes.

    1. Cher Monsieur,

      Chacun doit s’y mettre.  Car le b-a ba doit être assimilé. 

      Vous, par exemple devez cesser de dire  »effets secondaires  » (expression menteuse de l’occupant) au profit d’  EFFETS HYPERTOXIQUES  [est hypertoxique un toxique cumulatif car liposoluble (soluble dans l’huile et donc moitié aussi soluble dans la dizaine de sortes de membranes — bilipidiques — de chacune de nos 100’000 milliards de cellules de 250 sortes, dont celles de la  MYÉLINE )].  

      À la différence des médecins, ayez ce courage pour faire avancer leur prise de conscience moyenne (extrêmement rétive).  C’est vous qui les payez, zut. Si vous n’avez pas cette moëlle, vous pouvez au moins dire  »effets toxiques ».  Inconvénient : vous permettez alors aux carabins expéditifs de continuer à ne pas s’arrêter sur le mécanisme exact du mal IATROGÈNE (dû au médecin) fait par leur toxique et donc de ne pas le combattre. De plus, il leur est alors encore moins inexcusable de continuer à le nier.

      De même, et pour les mêmes raisons, cessez d’écrire  »auto-immune » [expression menteuse que l’occupant affectionne pour incriminer implicitement l’organisme du patient (ce pelé, ce galeux) et dispenser d’aller y regarder de plus près] au profit de XÉNO-IMMUNE (un xénobiotique est, par définition une substance  ÉTRANGÈRE  à la vie) ou, mieux,  IMMUNOTOXIQUE  (là, la toxicité iatrogène est suggérée.  C’est préférable pour empêcher nos philanthropes de se rendormir, satisfaits de leur œuvre).

      Même chose, si le courage vous fait à ce point défaut, vous pouvez vous contenter de IMMUNE mais c’est du Pilate (se lavant les mains) car seules les circonstances (notamment les délais précis après injections) indiqueront que la maladie est iatrogène.

      Toute oppression comme toute libération commence par le vocabulaire.
      Optez, cher Monsieur.

      Non médecin, j’aurais quelques suggestions nutritionnelles argumentées (à bas les gourous) à vous faire contre la maladie que vous signalez mais j’attends que vous les sollicitiez afin de ne pas casser inutilement les pieds à ceux que cela tentera de me prendre (on défend son immobilisme comme on peut) pour un charlatan.

      Bien à vous.

      1. Alors. cette différentiation sémantique ne fait rien à l’affaire. ce que nous avons , c’est un enfant DE PLUS, abîmé par un vaccin inutile. que ce soit un effet secondaires, toxique, non attendu (ou pas) ne change rien : un enfant a été définitivement abîme et tout le monde s’en sort.

        le médecin qui fait l’injection et qui s’en contre-balance, le labos qui a encaissé l’argent, la cpam qui a remboursé (et donc payé le labo), les zotorités de santé, les sociétés savantes (lol).

        Seul l’individu laissé seul avec ses problèmes qu’il n’a pas demandé. La justice dans les main d’une autorité n’est pas une vérité immanente et indépassable. C’est un contrat social que nous acceptons _individuellement_ (le mot est important.) et nous pouvons reprendre notre assentiment à tout moments.

        Chez nous, pas de vaccins, ni 1, ni 2, ni 11, et cela nous va bien MAIS si d’une manière ou d’une autre la force d’oppression sanitaire arrive à vacciner de force, ceux qui sont sous notre ‘parapluie’ et qu’il se passe un effet non attendu, je peux vous assurez que le fonctionnaire vaccinateur (parce que le médecin ‘libéral’ n’est qu’un fonctionnaire qui obéit et est protégé par le pouvoir oppresseur) ne pourra plus jamais procédé à la moindre vaccination (ni consultations d’ailleurs).

        C’est comme cela que le monde marche : tant que les gens ne sont responsables de rien, ils font de la merde, c’est lorsque ils doivent payer dans leur chair ce qu’ils font, qu’ils sont bien plus attentifs aux conséquences.

        si la justice ne veut pas faire son travail, il faudra le faire à sa place : égalité devant la loi. présomption pour l’un vaut présomption pour l’autre. On a condamné des gilets jaunes sur de vagues présomptions, on doit pouvoir faire la même chose pour tous les cas. sinon il n’y a plus de justice et chacun peut faire la sienne.

      2. @ Hervé02. Et alors, éviterez-vous éternellement l’obstacle ? Ne pouvant vous ramener dessus, j’annule toutes mes louanges.  

        Comme un maître à penser français pourfendeur de montagnes en méprisant le b-a ba, vous comptez sur les autres sans le moindre effort personnel, ne serait-ce qu’en vocabulaire (à décrasser par égard pour la conscientisation).  Vous protégez les pièges ennemis.

  5. Bonjour à Tous.

    Je me croyais antimilitariste mais je dois reconnaitre à cette institution la franchise d’avouer qu’elle est là pour « défendre » la population (de son pays… en « réduisant » celle des autres..).

    La pharmacopée « mondiale » s’est visiblement chargée de la même mission mais ne veut toujours pas avouer ses desseins.

    Nous ne toucherons sans doute pas « le fond » comme le dit Brigitte Fau tant que les cinglés qui essayent d’aller vivre sur Mars pour « refaire de la terre un paradis » n’auront pas réussis à se barrer là haut pour utiliser (enfin…) l’atome qui est bien plus efficace que les guerres Napoléonienne question « nettoyage ».
    La reprise de biodiversité de la région de Tchernobyl les encourageant dans ce sens.

    Tout comme les morts d’un pays sauvaient peut être les vivants de l’autre au XIX ème siècle, de nos jours encore bien de nos gouvernants pensent visiblement toujours la même chose.

    Mais balayons aussi devant notre porte, si les traders sont aussi puissants dans la gestions de nos vies c’est que, telle la grenouille s’endormant dans sa casserole d’eau tiède nous les avons bien mis à ces places là.
    Tant que le seul dieu de ce monde sera l’actif financier il ne faudra pas s’étonner que nos prêtres soient des banquiers (même en blouses blanches….).

    Et que nos soignants se retrouvent condamnées à survivre dans un tonneau.

    Cordialement.

  6. Le syndicat des médecins est il aussi sponsorisé par Pfizer and co ? A l’en croire par son silence et son inaction auprès des médecins qui n’ont pas renié leur serment d’Hippocrate

    1. Bjr Brigitte
      Wiki peut bien effacer le paragraphe, l’essentiel étant que cette connaissance que l’on doit aux amérindiens (comme bien d’autres en phytothérapie) ne tombe pas dans l’oubli. Il ne manque pas de mémoire sur Internet…
      Ici une étude récente qui démontre l’activité antivirale in vitro de Sarracenia purpurea comme inhibiteur efficace de la réplication du poxvirus

      In Vitro Characterization of a Nineteenth-Century Therapy for Smallpox
      Mar 09 2012
      By Arndt, William ; Mitnik, Chandra ; Denzler, Karen L. ; …
      Source: PLoS One. 2012; 7(3).
      Introduction
      (traduction) À la fin des années 1800, les Indiens Micmacs de la Nouvelle-Écosse ont proclamé l’existence d’un remède à base de plantes contre la variole. Pendant ce temps, Herbert Miles, le chirurgien adjoint de l’Artillerie royale, a rapporté que lors d’une épidémie de variole  »une vieille squaw allant parmi eux, et traitant les cas avec (une infusion botanique)… réussissait si bien au point de guérir tous les cas ». Cette infusion botanique a ensuite été décrite comme étant dérivée de la plante carnivore Sarracenia
      purpura [1,2].
      En 1892, Charles Millspaugh a décrit que les Amérindiens de l’est de l’Amérique du Nord utilisaient S. purpurea comme cataplasme contre la variole et qu’il fournissait « le plus grand remède connu contre ce terrible fléau » [3]. C. G. Logie, chirurgien-major des Royal Horse Guards, a traité des hommes infectés par la variole dans son régiment et a constaté que S. purpurea  »semblait arrêter le développement des pustules, tuant, pour ainsi dire, le virus de l’intérieur, modifiant ainsi le caractère de la maladie et en supprimant la cause des piqûres » [4]. Cependant, les propriétés médicinales putatives de S. purpurea ont été largement oubliées.
      (…)
      https://stacks.cdc.gov/view/cdc/8161

      et document historique du British Medical Journal
      Voir dans le PDF « TREATMENT OF SMALL-POX BY SARRACENIA PURPUREA » Letter from Charles J.REXSHAW, M.D.

      Correspondence
      Treatment of Small-Pox by Sarracenia Purpurea
      Br Med J 1863; 1 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.1.109.127 (Published 31 January 1863)

      Sir, – As there is some difference of opinion with regard to the efficacy of sarracenia purpurea in small-pox, I think the accompanying cases may be worthy of publication.
      (Monsieur, – Comme il y a une certaine divergence d’opinion en ce qui concerne l’efficacité de sarracenia purpurea dans la variole, je pense que les cas ci-joints méritent d’être publiés.)

      https://www.bmj.com/content/1/109/127.1

      Ci-dessous un Rapport en réponse à « A communication, seemingly of great promise, from Chalmers Miles of the Royal Artillery,… on the use of sarracenia purpurea in small-pox. » qui ne conclut aucune vertu à sarracenia
      Notons qu’il émane d’un chirurgien d’un hôpital de Londres dédié à la variole et de la vaccination, à une époque où celle-ci faisait florès en Angleterre … :

      By J. F. MARSON, F.R.C.S., surgeon to the small-pox and vaccination hospital, London

      REPORT OF THE TRIAL OF SARRACENIA PURPUREA, OR PITCHER PLANT, IN SMALL-POX
      January 1863The Lancet 82(2079):6-7
      DOI:10.1016/S0140-6736(02)57147-6
      Lien vers le document en PDF >>
      https://www.researchgate.net/publication/246714887_REPORT_OF_THE_TRIAL_OF_SARRACENIA_PURPUREA_OR_PITCHER_PLANT_IN_SMALL-POX/fulltext/5a6aa2da0f7e9b1c12d18d9b/REPORT-OF-THE-TRIAL-OF-SARRACENIA-PURPUREA-OR-PITCHER-PLANT-IN-SMALL-POX.pdf

      1. Cher Vincent

        Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite…

        Tu m’épates aussi je dois dire, mais pas que toi sur ce site…

      2. Je reconnais là que je n’avais jamais approfondi le sujet de la vaccination elle-même contre la variole à ce point quand bien même j’étais remonté à ses sources « africaines », la première vaccination de masse par Zabdiel Boylston (1679-1766) date de 1721… bien avant Edward Jenner en 1796
        https://www.agoravox.fr/commentaire4148034

        Là je prends conscience que je brise… par inadvertance ou hasard, un tabou qu’il n’y aurait d’autre remède contre la variole (fut-elle du singe ou autrement on s’en fout…) que la sacro-sainte « VACCINATION » (fut-elle de troisième génération prétendument moins dangereuse que les précédentes, expérimentale !… mais cependant non-recommandée aux enfants et femmes enceintes ou allaitantes, ce qui en dit long sur son innocuité présumée.

        Ceci dit je n’y ai pas passé des lunes à « chercher »…, j’ai juste peut-être un peu de flair ou de chance de tomber sur ce qui paraît être de bonnes infos pour aller plus loin… dans prendre soin des autres.

  7. Oui, Pfizer a encore progressé dans le mensonge éhonté.

    Plutôt que de se lamenter, les MÉDECINS ne devraient-ils pas commencer à CONTRE-ATTAQUER en s’inspirant de la suggestion répétée du Pr Raoult [mis à part sur les vaccins : totalement inefficaces (2020/grippe) et désastreux (2017/DTCoq et 2017/soupe Us)] de réutiliser les plus vieilles molécules (parfaitement connues à la longue et dont le domaine d’emploi ne demande donc qu’à être développé) ?

    Par exemple, la molécule séculaire MgCl2•4,5 H2O (à 1,2 % en externe, Pr p. Delbet 1915, multipliant par 4 la phagocytose par les globules blancs) privilégiée depuis 1932 par le médecin-commandant A. Neveu (plaisantin sorti premier de sa fac à Bordeaux, membre de l’Académie romaine des sciences, traité de charlatan en 1954 dans la Tribune de Genève et dans la République du centre par l’institut Pasteur (comme son nom l’indique) pour avoir guéri en un tournemain (2 j à 1,4g, puis 2j à 1 puis 2 j à 0,75 au moyen de : 4 ; 3 ; 2 verres/j de chlorure à 2 %) moult diphtéries, mauvaises grippes (1935 sans un mort en Ehpad de l’époque à Rochefort), polios et autres maladies infectieuses + tétanos (25 ml de 20 % en NaCl 9‰ en IV de 30 minutes, Dr Fumeron, de la même clique, St-Jean d’Angely).

     »C’est une purge » vous a seriné la Fac (l’ai entendu plusieurs fois). Argument d’un poids si écrasant qu’il m’inciterait, moi, au contraire à me précipiter [les Congolais administrent une purge à n’importe quel enfant (même pas à soi) dont les pets sentent mauvais. C’est donc eux qui ont inventé le microbiote (reconnu par Réinfocovid). Moi, le mien, de microbiote, se contente de 20 mg/j de Mg)]. Qui en a effectué la vérification ? Si compliquée que cela ? Personne ? Moi, oui et c’est du pipeau.

    Il commence en effet à y avoir besoin d’ ACTES pour sauver la réputation (actuellement totalement en vrille pour des tas de raisons) de la médecine ordinaire.

    La même miracle se produit (par 11 g/j de VitC, en iv à la demande expresse de sa famille pour récupérer un vieille covidée déjà très amochée.  Mais c’était en Inde), de modalités plus difficiles à décrire, y compris en usage buccal, mais reposant tout autant, selon moi, sur le réapprovisionnement en globules blancs (tués en masse au combat, à la différence des 1’200’000 Français s’étant rendus le 7 juin 40, et dont 800’000 n’avaient jamais vu un Allemand auparavant) et à leur dotation en efficacité (toujours aucunement chiffrée pour la vitC nonagénaire). Bibliographie instantanément sabotée par les NIH mais pas une raison pour détourner le regard, au contraire. Exactement le même procès dissuasif que pour Mg, d’ailleurs. Forcément : coûts minables pour les deux médecines miracles.

    À votre bon cœur, Msieudames.

    1. Pourquoi pas un bel article sur les vertus (cachées, oubliées, dérangeantes) du chlorure de Mg? Avec posologies et références? On publierait immédiatement!

    2. Cher Docteur,

      Merci de m’avoir lu.

      Vous me demandez de me parer des plumes du paon (c’est vous qui m’avez ouvert la piste du MAGNÉSIUM par votre article du 27.11.2017). Un article sur le magnésium me surmènerait pendant un an (sans compter ma nullité en informatique), comme le firent vers 1990 les 2 que j’avais dû publier en marge de 10 ans d’action collective très mouvementée [licenciement, réintégration avec décision du Conseil d’État, pour mon  »rôle primordial dans le fonctionnement » de mon CHS-CT, collectif préventeur élu des cancers pros (le petit macro du médef s’est empressé de faire disparaître cette institution Auroux dès son élection)].

      Un article, en accepteriez-vous un sur ce qui, dans le civil (hors Entreprise), me préoccupe avant tout ? [et que je pratique depuis 30 ans, ainsi que ma moitié, au grand bénéfice de ma santé (de crevard marocain de 0,3 à 7 ans), une PRÉVENTION PREMIÈRE tout azimut, par la QUANTITÉ NÉCESSAIRE , 20 g/j (Kousmine 1980, 83 et 87), d’acides gras PLURI-INSATURÉS (« ESSENTIELS », les Burr, 1930) par huiles bios de première pression à froid, et ce à des proportions convenablement ajustées : RAPPORT i2 / i3, di-insaturé (linoléique) sur tri-insaturés (linoléniques) de 4 (1 si maladie), actuellement sournoisement contesté sur Pubmerde après avoir disparu des conseils dispensés, encore vers 2010, par les agences occidentales]

      L’ AMIRAL était sur la voie mais le succès d’estime de son régime méditerranéen le rend totalement sourd à la moindre question (les besogneux peuvent être précis, réfléchis ou imaginatifs). Résultat ni clair (simple, logique) ni convaincant (emberlificoté, chut ! « Hub, je ne comprends pas  » m’avait dit mon chef de corps à ma première note de service.  Tout refait). À 85 ans, j’apprécierais (avant d’avoir un petit jardin sur le ventre) un galop sur une plage visible des huniers.
      Ceci dit, nous sommes très reconnaissants à MdL de sa défense antistatines du cholestérol et de ses 7 livres critiques sur les VACCINS [bien qu’il y soit d’une modération toute hippocratique (ils sont TOUS À REJETER, leur immonde toxicité globale prouvée depuis 2017)]. Merci aussi à lui d’avoir combattu aluminium et mercure inoculés et d’être le seul à avoir remarqué des tétanos et rougeoles accompagnés de taux élevés de sacro-saints ANTICORPS (ces trompe-couillons).

      Cette prévention PLURI-I me paraît d’entrée trois fois plus efficace que chacune des 3 PRÉVENTIONS lancées par Réinfocovid le 31.1.2021 [chacune des posologies y augmentant (ce qui est inutile pour les pluri-i) le long de 5 degrés d’exposition au Covid-19) après avoir été dégagées et chiffrées par le Pr Raoult (vitC, VitD et Zn, à quoi j’ajoute, grâce à vous, Mg). Elles partent respectivement de (par jour) : 1g ; 3’000 UI ; 15 mg ; 20 mg ; chacune avec des « facteurs protecteurs » (inverses des facteurs de risque) de 2 à 3 [probablement multiplicatifs comme le sont les risques toxiques (2 binômes — de 2 toxiques — conformes rencontrés jadis malgré l’indolence mercenaire des toxicologues)]. Selon moi, les 5 PRÉVENTIONS marchent aussi (en galvanisant les systèmes immunitaires affaiblis par les carences correspondantes) contre les maladies infectieuses autres que le Covid-19 (actuelles et, à cause des élevages industriels, futures). Elles constituent donc la PREMIÈRE URGENCE ACTUELLE, qui ne préoccupe encore que Réinfocovid. Vive le Dr E.M. !

      Mes 2 articles scientifiques (interdits) si éprouvants furent : G Ital Med Lav 1988;10:183-6, 22 réfs (sur la prévention des cancers aux très faibles doses d’hydrogène ARSÉNIÉ, risque doublé dans notre Centre de recherche en micro-électronique, et décuplé par la concentration max réglementairement admissible…) et Indoor Environ 1992;1:251-5, 30 réfs, (sur l’ANÉMOPHORÈSE, organisation de veines d’air de garde à 80 cm/s, 4 km/h, pour protéger les opérateurs et ouvrières sur manips dangereuses)]. J’ai donc épuisé tous les plaisirs de ce genre d’exercice.

      Je rumine toujours longuement (suis très lent) mes références. Sur Mg, ce furent surtout des livres (aux éditeurs disparus, ce qui me ralentit encore énormément) dénichés par Beni ou Njama. Merci à eux.

      Cela renforce encore ma préférence personnelle pour les COMMENTAIRES Aimsib. Je tâche d’y saupoudrer (de la manière la plus plus digeste et concise possible) mes rares trouvailles. Par exemple, sur Mg, les faits que :

      # le Dr Raul Vergini, 1994 « Curarsi con il magnesio », éd. Red (disparu car, là-bas non plus, les pharmas ne sont pas inactifs), trad. Esp. & Fr., a considérablement étendu le domaine d’application de la «médecine» de Neveu [en en conservant exactement la posologie bien précise (en Italie, le chlorure est à • 6 H2O au lieu de • 9/2 — réponse mail récente incroyable du fabricant français Cooper — ce qui lui a fait passer silencieusement la solution de chlorure de 2 à 2,5 %] ;

      # L’idée géniale de Neveu avait été (selon moi) d’appliquer à nos 5 litres de sang la concentration dûment optimisée à 1,2 % par Delbet (C R Acad Sci 6.9.1915:263) en usage externe [sur laquelle je retombe au bout de 10 j de traitement en supposant une demi-vie (inconnue) de l’ordre du mois].

      Qu’attend-on d’ailleurs pour dégrossir semblablement la concentration en VITAMINE C pour une phagocytose maximale type Delbet ? On pourrait [doublant ces traînards d’ épidémiologues, tous à la trouille au cul verdâtre (pratiqué les 2 plus remuants vers 1990 à propos de l’arsenic cancérogène)] en déduire une posologie orale. Sacrés vieux toubibs des années 30, si attentifs, plus préoccupés des effets sur leur patient que de diffuser des indications précises : Klenner (contre 26 affections excluant d’ailleurs varicelle, rougeole, oreillons, polio et tétanos) ou Cathcart [idem, mais pouvant en prescrire jusqu’à 200 g/j (gramme par gramme) car la méthode est (un peu comme pour Mg) d’aller jalonner le début de la légère diarrhée signalant que les globules blancs levés en masse ont leur content de vivres]. Ce saboteur des bonnes affaires [vaccins au rendement-fric de 50, d’efficacité négative et d’hypertoxicité irréductible (facteur 10 sur la mortalité 2017 des bébés DTCoq de Guinée-Bissau) et 5 sur les maladies cérébrales chroniques (dont 1/3 d’autismes) des 6-12 ans US] fut donc viré de PubMed et wikimerdia (tous 2, otages caractérisés des pharmas).

      Les pharmas sont ennemis jurés (comme les autres industriels, mais eux par simple radinisme) de toute PRÉVENTION PREMIÈRE, ici, PAR DÉCARENÇAGE (percutant leur sacro-saint C.A.) ce qui explique, en la matière, le silence obstiné des merdias et médecins, et donc mon activisme (doutant volontiers des réputations ordinaires).

      Les 5 préventions susdites ne font, en effet, que supprimer une carence, elle-même due à des conjurés alliés des pharmas, autres saute-au-fric [le LOBBY DU GRAS colonialiste obsédé de remplacer nos pluri-i métropolitains par ses criminels saturés tropicaux [comme la graisse (l’ ‘’huile’’) de coco, 92 % de saturés, qui déferle sur les supérettes bios)] : surpoids, obésité, diabète, HTA (je sais de quoi je parle, la mienne fut longuement ‘’essentielle’’), cancer (frisé aux 9/10), etc, affections soigneusement imputées mensongèrement à l’indispensable CHOLESTÉROL ] et la FNSEA : appauvrissant méthodiquement les SOLS (en vitC, Zn, Mg, etc, avec son agriculture intensive (ravageant en outre obstinément tout ce qu’il y a de précieux sur terre en pleurnichant et débardant.

      Du coup, j’ai besoin de brailler (à travers les parois des salons) en faveur d’un peuple souffrant, le mien. Le bon ton (Poutine le 2.6) ne serait ici que LÂCHAGE  »de classe » comme disent les marxistes. À propos de classe, bourgeois socialement bourlingueur (syndiqué toute ma vie), je témoigne de ce que la « lutte des classes » n’est finalement le fait que de petit-bourgeois, arquerbi, je le jure.

      D’autant plus fidèlement, cher Docteur.

      1. Bon, alors on attend votre prose, Hub…
        Je me suis frotté à la rédaction d’un volumineux article sur la vit. C qui paraîtra en fin d’année dans mon mensuel « Du neuf pour la santé », où d’ailleurs je ne suis pas rémunéré au nombre d’abonnés. 12 pages de reconnaissance éperdue à la vitamine C et de mise en évidence ministérielle que seul la prévention du scorbut les préoccupe.

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