Signaler un EI post-dose Covid, c’est fini

Que dire… A part aller encore plus loin dans la dénonciation du contenu véritable de ces poisons mortels ?
Certains se font mettre au placard pour y avoir vu de leurs yeux ( au microscope ) une arme réelle dont je vais taire le nom..
Mais tout de même pour en dénoncer une, les particules luminescentes dans le sang des vax savez vous comment cela s’appelle ?
La luciférase …..mais je ne vous apprends rien…

En 40 ans d’exercice, je n’ai jamais déclaré un seul effet indésirable.
Non que je n’en aie pas vu, malgré un usage très précautionneux des médicaments, mais mes premières tentatives de signalement se sont heurtées à l’infinie complexité de la démarche, avec ce sentiment que cette complexité était destinée à décourager les meilleures volontés. J’ai juste banni les suspects de mes prescriptions, en tout premier lieu les vaccins (depuis 1989 et Bachelot le monstre).
Alors bravo à ceux qui vont au bout de ce parcours du combattant, ils méritent un coup de chapeau…
D’autant plus actuellement, où la démarche n’est pas sans risque (Umlil, Perronne, Raoult et bien d’autres).

Depuis juin 2023, l’ANSM ne publie plus les déclarations d’E.I. concernant le vaccins Covid. (le dernier chiffre était d’environ 194.000 dont 25% graves), alors que tout le monde avait accès à ces publications mensuelles. Donc la nouvelle situation ne m’étonne pas. A qui la faute ? A « eux » ? mais surtout à tous ceux qui savent et se taisent…
J.P.J. auteur de « Vaccins on nous aurait MENTI? »

Lu dans The Defender du 27 novembre 2024 :

« Des preuves de plus en plus nombreuses suggèrent que le CDC a caché des données sur les vaccins COVID et la myocardite
Le ministère israélien de la santé a identifié en mars 2021 une augmentation de près de 1 000 % du risque de myocardite associée à la deuxième dose du vaccin à ARNm contre la COVID-19, selon des documents obtenus via une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA).
Les documents , qui ont été partagés avec Children’s Health Defense (CHD) la semaine dernière, comprennent également des courriels entre de hauts responsables d’agences de santé publique américaines montrant que le ministère israélien de la Santé les a contactés au sujet d’une myocardite liée aux injections dès le 28 février 2021.
Le directeur adjoint du ministère de la Santé, Roee Singer, a informé les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) que le ministère de la Santé était préoccupé par « un grand nombre de cas de myocardite et de péricardite chez les jeunes individus » après l’injection de Pfizer et a cherché à discuter de ces préoccupations avec le CDC.
Une source qui a obtenu des documents du Département d’État américain a partagé les données d’Israël sur les taux de myocardite et la correspondance des agences de santé publique américaines avec CHD. Les documents comprennent une présentation de diapositives de la Division d’épidémiologie du ministère de la Santé d’Israël datée du 31 mars 2021.
Les diapositives ont montré qu’à la fin du mois de mars 2021, 5,2 millions d’Israéliens avaient reçu la première dose du vaccin et 4,8 millions la deuxième. L’incidence de la myocardite après la première dose était de 1,1 par million et de 11,7 par million après la deuxième dose, soit une augmentation de 964 % de l’incidence entre les deux.
Le CDC n’a pas admis publiquement le lien entre les vaccins COVID-19 et la myocardite avant le 27 mai 2021, même si le ministère israélien de la Santé l’avait contacté en février 2021 et que l’agence avait présenté la présentation peu de temps après.
La présentation de diapositives a été incluse dans un e-mail du 5 avril 2021 que le Dr Lauri Markowitz , co-responsable du groupe de travail technique sur la sécurité des vaccins du CDC , a envoyé à son personnel.
Karl Jablonowski, scientifique principal du CHD, qui, avec le directeur scientifique du CHD, Brian Hooker, a été parmi les premiers à détailler la tromperie autour de la myocardite , a déclaré au Defender que le document israélien équivaut à une étude de surveillance de sécurité portant sur 5 millions de personnes – et il signale la myocardite comme un « signal indéniablement fort ».
Jablonowski a ajouté :
« Il est inadmissible que le CDC, le NIH [National Institutes of Health] et la FDA-CBER [US Food and Drug Administration-Center for Biologics Evaluation and Research] aient eu possession de cette étude à un moment où plus d’un million de citoyens américains étaient vaccinés chaque jour, et pourtant ces agences n’ont pris aucune mesure observable.
« L’année 2021 a été celle de la « sécurité et de l’efficacité », mais les études de sécurité n’ont pas été réalisées. Si les produits de thérapie génique reconvertis en vaccins avaient été réellement sûrs, cela aurait été une coïncidence.
« Les citoyens américains ont été parmi les derniers à être informés de la myocardite induite par le vaccin, tandis que le gouvernement américain a été parmi les premiers à être informé. »
Le CHD a reçu les documents quelques jours seulement après que le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) a demandé aux agences de santé publique de fournir des documents complets et non expurgés sur le développement et la sécurité des vaccins COVID-19 , après avoir pris connaissance de nombreuses expurgations dans les documents publiés en réponse à plusieurs demandes FOIA.
Dans une lettre envoyée le 19 novembre au ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), à la FDA et au CDC, M. Johnson a déclaré que les suppressions rendaient les documents presque impossibles à comprendre. Il a également déclaré qu’elles obscurcissaient la compréhension du public sur des problèmes tels que la myocardite et la péricardite liées aux vaccins.

La réponse «embarrassante» du CDC
La réponse du CDC aux questions soulevées par le ministère israélien de la Santé, rédigée conjointement avec la FDA, consistait en une description des résultats d’une simple recherche dans la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System ( VAERS ) exécutée le 23 février 2021.
Il s’agit du même type de requête que n’importe quel membre du public peut effectuer dans la base de données : rechercher le nombre d’entrées dans VAERS pour la myocardite et le vaccin contre la COVID-19 et résumer les détails des rapports de cas.
« C’est une réponse embarrassante, car le ministère de la Santé aurait pu lancer sa propre requête sur la source de données accessible au public et trouver plus de détails et des informations plus à jour », a déclaré Jablonowski.
La réponse n’incluait aucune des analyses plus sophistiquées de la base de données VAERS que chaque agence était obligée d’effectuer dans le cadre de sa surveillance de routine VAERS.
Selon les procédures opérationnelles standard du VAERS pour la COVID-19 , coparrainées et datées du 29 janvier 2021, le CDC et la FDA coordonneraient la surveillance des « nouveaux problèmes de sécurité potentiels concernant les vaccins contre la COVID-19 ».
Selon le document, chaque agence utiliserait une approche standard différente pour l’exploration des données afin de détecter les signaux de sécurité potentiels. Le CDC exécuterait une exploration des données proportionnelle au ratio de déclaration chaque semaine ou selon les besoins.
La FDA procéderait à un examen manuel approfondi bimensuel des événements indésirables graves en utilisant l’exploration de données bayésiennes empiriques .
En utilisant ces différentes méthodes statistiques, les agences sont censées comparer les événements indésirables liés au vaccin COVID-19 avec ceux liés aux vaccins non COVID-19 afin d’identifier les signaux de sécurité.
Les agences n’ont pas rendu ces données publiques.
En janvier 2023, le CHD a déposé une plainte FOIA contre la FDA demandant des documents relatifs à la surveillance de la sécurité des vaccins COVID-19 par l’agence via le VAERS. En février 2023, le CHD a déposé une plainte FOIA similaire contre le CDC .
Un juge a donné à la FDA jusqu’en août 2026 pour commencer à traiter la demande du CHD . L’affaire du CDC est suspendue jusqu’en janvier 2025, date à laquelle une conférence de mise en état aura lieu entre les parties pour discuter de la prolongation ou de la levée de la suspension.

Peter Marks, de la FDA, se demande s’il faut informer le public du risque de myocardite
Plutôt que de fournir au public des informations sur les risques de myocardite associée au vaccin au fur et à mesure qu’ils en prenaient connaissance, les documents FOIA indiquent que les agences ont fait ce qu’elles pouvaient pour minimiser la perception publique du risque – et ont débattu de l’opportunité de rendre l’information publique.
En mai 2021, Rochelle Walensky, alors directrice du CDC, et d’autres responsables du CDC ont envisagé d’émettre un avertissement public sur le risque de myocardite lié à la vaccination. Ils ont rédigé une annonce du Health Alert Network, qui est la manière dont ils communiquent les « incidents de santé publique urgents » aux agents d’information du public, aux praticiens, aux cliniciens et aux responsables locaux de la santé publique.
L’agence n’a jamais émis l’alerte. Au lieu de cela, le CDC a publié des informations sur son site Web le 22 mai 2021, indiquant qu’il y avait « une augmentation des cas de myocardite et de péricardite » signalés, mais le CDC continue de recommander le vaccin à toutes les personnes âgées de 12 ans et plus.
Dans un courriel du 27 mai 2021 adressé par le directeur du CBER, Peter Marks , à Walensky, ce dernier semble se demander si la publication sur le site Web était nécessaire. Il a demandé à Walensky : « Pouvez-vous m’aider à comprendre pourquoi nous faisons cela alors que les pédiatres et d’autres membres de la communauté semblent déjà être au courant ? »
Jablonowski a déclaré :
« Lorsque nous avons enfin eu la preuve que les agences fédérales affirmaient la sécurité tout en sachant que cela nuisait, j’ai pensé que je ressentirais un soulagement. Un soulagement que les médecins ne suivront plus aussi aveuglément les diktats du CDC, que les élus ne priveront plus aussi hardiment les libertés individuelles, que les personnes blessées par les vaccins obtiendront justice et que ceux qui se sont exprimés pendant des périodes impossibles et ont payé un lourd tribut seront disculpés.
« Maintenant que nous avons la preuve, je suis triste. Si le CDC avait été honnête, nous aurions fait des choix différents. Notre perte de vie et notre perte de qualité de vie n’auraient pas été aussi importantes, et les fractures entre nos familles et nos amitiés n’auraient pas été aussi profondes.
« Ceux qui sont conscients des risques liés aux vaccins sont souvent accusés d’être contre le progrès. Nous vivons dans un monde à l’envers, où les citoyens qui posent les questions nécessaires à l’amélioration de la santé humaine sont qualifiés d’anti-progrès, tandis que ceux qui mettent imprudemment en danger la santé humaine sont considérés comme favorables au progrès. »

Parmi les effets indésirables non déclarés, et pour cause que l’omerta tranquillise les consciences désarçonnées qui ont failli (j’espère qu’elles s’en sont rendu compte après coup), il y eut dans toute la France et en pays étrangers de probables innombrables victimes de maltraitances hospitalières, ou dans des maisons médicalisées (Ephad et autres), ce qui revient au même.
Certes la violence sociale, médicale, de mesures sanitaires covid à hue et à dia fut d’origine étatique, et donc d’une responsabilité « institutionnalisée » (allant jusqu’à prescrire du Rivotril !) mais il semblerait qu’elle aurait étourdi le sens éthique et de l’esprit critique d’une grande partie des soignants au point d’en oublier le simple bon sens, le moindre souci d’humanité, qui, toujours ne peut s’exercer que dans la proximité, l’intimité humaine, et ne pourrait être piloté par un « conseil de défense » qui nous fut imposé pour faire taire toute controverse scientifique.

Toutes ces victimes d’un psittacisme assez hallucinant qui a transformé en « petits capos aux ordres » une bonne partie de la société, dont des « soignants », à l’instar de celles d’anciennes dictatures…, ne seront jamais reconnues, hors de leurs familles qui ne sont pas dupes de ces maltraitances évidentes.