Étonnement cette semaine à la lecture de la presse médicale électronique, le Dr Peter McCullough a posté une critique peu flatteuse [1] de la fameuse étude officielle française EPI-PHARE sur les données du SNDS [2] qui voulait rassurer sur la sécurité d’emploi des vaccins anti-Covid bivalents par rapport à l’injection monovalente : horreur, non seulement les statisticiens français ont oublié de comparer les vaccinés aux non vaccinés mais, en plus, ils n’ont pris en considération que quatre pathologies. Aux ordres de qui sont-ils ? Bonne lecture.
Voici le titre de sa critique : Des centaines de Français souffrent d’accidents cardiaques après des rappels bivalents. La fenêtre réglementaire d’observation de 30 jours englobe les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les caillots sanguins.
Il s’agit de la revue critique d’une lettre à l’éditeur du NEJM écrite par les responsables français de la pharmacovigilance des vaccins (groupe EPI-PHARE de l’ANSM) qui ont donc accès à toutes les données des autorités sanitaires. [3]
Il existe donc bien une possibilité de recouper les bases de données concernant le statut vaccinal et celles concernant les pathologies des vaccinés et ceci sans rompre l’anonymat puisque chaque personne est désignée par un numéro anonyme.
Il faut ajouter à la critique du Dr McCullough que cette étude compare des vaccinés avec le monovalent avec des vaccinés avec le bivalent, mais jamais il n’est question de non vaccinés : donc il est impossible d’en déduire quoi que ce soit sur la fréquence des effets cardiovasculaires du vaccin Covid et pourtant les auteurs concluent que leurs résultats prouvent l’innocuité du vaccin bivalent. En effet pour eux, il n’est pas pire que le monovalent !
Ils retrouvent en effet 1 effet grave pour 1 000 personnes injectées (en ne prenant en compte que les AVC, infarctus du myocarde et embolies pulmonaires, et en excluant les personnes décédées d’une autre pathologie « non liée au vaccin » dans les 21 jours suivant l’injection !)
Il faut noter que d’après le matériel supplémentaire fourni avec l’article sur 1 148 036 personnes vaccinées entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022, seules 470 962 ont été retenues pour cette étude. La majorité des participants ont reçu 3 doses de vaccins avant l’étude (et ils y ont survécu ceci excluant les personnes décédées avant de les avoir reçues).
Un tiers des participants ont une histoire d’infection Covid (temporalité non précisée) ce qui pose le problème de l’efficacité du vaccin.
L’avis de Peter A. McCullough, MD, MPH
« J’ai siégé ou présidé deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des données pour des essais randomisés de nouveaux médicaments ou dispositifs expérimentaux. Je peux vous dire de première main que pour les vaccins COVID-19, une fenêtre réglementaire de 30 jours après l’injection est correcte pour juger de l’attribution des événements de santé au produit lorsque les événements indésirables d’intérêt sont connus pour être causés par la protéine Wuhan Spike induite par l’ARNm.
Jabagi et al, NEJM, ont fait état d’événements cardiovasculaires survenus après des injections de rappel bivalents d’ARNm BA4/BA5, à partir du système national de données de santé français relié à la base de données nationale de vaccination COVID-19. Toutes les personnes âgées de 50 ans ou plus et ayant reçu une dose de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022 ont été incluses dans l’étude. Les évènements de type AVC ischémique/hémorragique, infarctus du myocarde ou pulmonaire sont survenus chez 335 malheureux.
Les auteurs commettent l’erreur de diviser le nombre de cas par le nombre total de personnes vaccinées et de comparer les taux d’effets indésirables entre récipiendaires du bivalent et du monovalent. Aucune de ces opérations n’est valable puisque la saisie des événements est incomplète et que la comparaison n’a pas été faite avec un placebo ou un groupe de contrôle.
Ces données suggèrent qu’un grand nombre d’événements de sécurité bien caractérisés, graves et potentiellement mortels se produisent dans les 21 jours suivant les injections de rappel d’ARNm bivalent. Tous ces événements doivent être considérés comme graves et directement attribuables à la vaccination par COVID-19 et, inversement, si les injections n’avaient pas été reçues, ces personnes seraient selon toute probabilité en vie et exemptes de ces complications aujourd’hui. »
La rédaction
Avril 2023
Notes et sources :
[1] https://petermcculloughmd.substack.com/p/hundreds-of-french-citizens-suffer
[2] SNDS: Système National des Données de Santé, https://www.snds.gouv.fr/SNDS/Accueil
[3] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMc2302134 Jabagi MJ, Bertrand M, Botton J, Le Vu S, Weill A, Dray-Spira R, Zureik M. Stroke, Myocardial Infarction, and Pulmonary Embolism after Bivalent Booster. N Engl J Med. 2023 Mar 29. doi: 10.1056/NEJMc2302134. Epub ahead of print. PMID: 36988584.
46 Responses
Encore un article qui me convainc ainsi que toute ma famille de ne pas nous avoir fait vacciner ! merci.
Il est ultra regrettable didactiquement d’utiliser le mot (et le mythe !!!!) « vacciné » au lieu d’ « injecté » puisqu’il s’est agi de divers « mixtures » donnant lieu à une injection génique expérimentale (IGE) qui n’a pas tué ou abîmé ceux qui ont reçu aussi la dangereuse mixture (avec ou sans graphène), mais périmée, ni ceux qui, probablement, ont reçu dans le muscle ou dans la veine « quelque chose » de relativement totalement inoffensif évidemment payé au prix fort et finalement augmenté.
Même dans notre camp, parmi nos « vedettes », il y a encore des esprits non » -dépasteurisés ignorant que le « Grand bienfaiteur de l’Humanité était, entre autres, un tricheur méprisable.
Pourtant des dizaines de livres sérieux sur la planète entière permettaient de le savoir depuis treize décennies . Et c’est d’autant plus inexcusable depuis que le corps médical et journalistique, pour le moins, a eu facilement accès à Internet
Un Français moyen anti-vaccin informé depuis 1972
https://www.qeios.com/read/WW4UEN.2
A propos de la réglementation des produits de thérapie genique et des vaccins ARNm
Govinda Tidball affirme que son équipe de chercheurs internationaux à analysé 3100 doses sans jamais trouver d’ARNm … Mais comment est-ce possible ?
Tout dépend de la définition que l’on donne au mot vaccin. Christian Perronne dit « ce ne sont pas des vaccins mais des thérapies géniques ». On pourrait aussi dire qu’un vaccin est un produit qui emprunte la route vaccinale car il existe une route vaccinale comme il existe la route des vins !
Depuis longtemps la route vaccinale a été constamment banalisée, élargie. On a pu constater que les douaniers chargés de surveiller le contenu des convois ne surveillent plus rien, ils se seraient plutôt convertis en policiers se chargeant de faciliter et d’accélérer leur circulation. Ainsi la route vaccinale est devenue une route directe allant des industriels vers les populations sans que les Etats ne s’interposent, bien au contraire. Les institutions chargées, en principe, de la surveillance (EMA, ANSM, CDC américains) sont devenues des accélérateurs de la circulation des convois. sont mis au service Parlementaires, cafetiers, restaurateurs, gendarmes et policiers sont mis au service de la consommation contrainte de ces produits (passe sanitaire) dont la composition reste inconnue des services des Etats.
La route vaccinale est une réalité banalisée par le mythe véhiculée par le mot « vaccin ». C’est un vaccin donc il a telles et telles propriétés purement mythique, personne ne se demandant si le produit contenu dans la seringue a bien les propriétés supposées. Ce n’est pas nouveau. Ce ne sont pas les « vaccins » covid qui ont crée cela mais tous les vaccins antérieurs, à commencer par le vaccin antivariolique qui fut le véritable créateur de la route vaccinale banalisée et mythifiée.
Cher Jean-Marie, une petite consolation : les « vaccinés » ou plutôt les « injectés » d’aujourd’hui seront les anti-vax de demain. S’ils y survivent…
Cette « méthode » consistant à ne pas comparer au sein même des vaccinés (monovalent et bivalent ici) est souvent utilisée, sciemment ou non. Par exemple, en comparant les enfants atteints de démyélinisation centrale avec des témoins, au sens du test dit « cas-témoins » tout en évitant soigneusement (et volontairement) de comparer les malades entre-eux comme d’une part ceux atteints d’une sclérose en plaques (143 dont 80 vaccinés HB soit 56%) avec ceux chez qui la première atteinte n’avait pas évolué en SEP au cours de la période d’observation (206 dont 74 vaccinés HB soit 36%). La différence de proportions de vaccinés HB est très significative ( une chance sur 10000). Un tel écart imposait de dissocier en étudiant séparément les SEP des non SEP. Aucune étude publiée portant sur ces 206 cas. Il fut imposé aux auteurs de ne pas le faire alors qu’ils le voulaient.
De même, parmi les 143 SEP, il y a 42 cas apparus (première atteinte) avant l’âge de 10 ans dont 10 vaccinés HB (23,81%) contre 101 cas d’au moins 10 ans dont 70 vaccinés HB (69,31%). L’écart très significatif (3 chances sur 10 millions par le seul hasard) imposait de dissocier, pour traiter séparément les deux groupes. Je ne sais pas si ce fut volontaire pour dissimuler un possible signal très défavorable au vaccin parmi les 101 cas. On pourrait vraisemblablement l’obtenir en comparant ces 101 SEP dont 70 vaccinées HB avec les « au moins 10 ans » parmi les 206 atteintes non SEP, données non communiquées mais connue des auteurs. Le signal aurait toutes chances d’être beaucoup plus fort encore que celui qu’on peut trouver sur les 143 et 206 puisqu’on remplace 56% de vaccinés par 69,31%.
Cette idée que les math peuvent apporter une réponse aux problèmes médicaux est une hérésie. comme rien n’a marché jusque maintenant, on se dit que c’est parce qu’on a pas fait assez bien.
Et si nous prenions l’hypothèse qu’on ne pourra JAMAIS faire assez bien ? que chaque tentative tue des gens. encore et encore. et les mathématiciens pas assez forts pour construire des ponts et des immeubles s’essaient à calculer dans des tableurs excel des moyennes, variances, co-variances, écart type sur la santé des gens. Ils décident (avec la vie des gens) qu’on écarte les 5% aux marges (tant pis pour vous si vous êtes dedans), que si sur 100 000 personnes il y a une petite différence, alors cette différence vaut le coup pour vous, même si cela vous tue. Mais comme vous êtes morts scientifiquement, alors cela va.
Et à chaque fois, à chaque p*tain de fois, 10 ans après on compte les morts.. les autres. Le milieu médical est parsemé de scandales sanitaires, les visibles et les invisibles. Pour savoir s’il est visible ou pas, c’est un rapport entre argent gagné et nombre de morts. Ça c’est un travail pour des matheux, trouver cette loi (droite de régression des moindres carrés) qui arrive à trouver suivant l’argent gagné combien il faut de morts pour en faire un scandale sanitaire.
Il n’y a que le médecins au pied de son malade qui peut savoir, avec sa pratique. alors le c*nnard qui explique que SON cas n’en fait pas une vérité je lui répondrait qu’au moins, lui le médecin ne tue pas les gens par paquet de 10 000.
ainsi je préfère largement manger chez le resto du coin, même si l’hygiène n’est pas parfaite qu’un produit industriel standardisé à l’hygiène parfaite et avec les additifs _parfaitement_ inoffensif, étude à l’appuie.
Cher herve_02 il apparait fort probable que vous n’avez pas aimé les maths quand vous étiez au collège et au lycée. Ce n’est pas une raison pour vous venger de vos difficultés dans cette discipline comme vous le faites ici et ailleurs puisque vous m’aviez déjà accroché ainsi sur un autre site.
Vous mettes en avant la médecine du médecin généraliste qui connait son patient. Mais je suis à fond pour que ce soit là la vraie médecine. D’ailleurs j’ai eu pendant 20 ans un médecin qui était incapable de faire des maths et qui était cependant un excellent médecin.
Le problème n’est pas là où vos émotions vous poussent à le placer. Les publications que je citais et dont vous avez voulu commenter ce que j’en disais comme vous venez de le faire ont été réalisées par des médecins hospitaliers. Le plus connu d’entre-eux est Marc Tardieu neurologue à l’hôpital Bicêtre à Paris ainsi que le correspondant de ces publications, Yann Mikaeloff, ainsi que Caridade et Rossier. Un autre auteur, le Dr Suissa était à la Division of Clinical Epidemiologie, McGill University and Royal Victoria Hospital, Montréal, Québec.
Tous sont des médecins et non des mathématiciens. Ils n’ont pas choisi de pratiquer la médecine dite de santé publique parce qu’ils n’étaient pas assez forts en maths pour construire des ponts. Vous êtes médecin et vous faites de la caricature.
Je n’y suis pour rien et la communauté mathématique n’y est pour rien non plus si des médecins ont crée ce qu’on appelle la santé publique et si, pour étudier l’impact d’une action dite de santé publique comme une campagne de vaccination, ils ont choisi d’utiliser la méthode statistique dont un collègue statisticien (je suis maths pures) me disait en l’an 2000 : « On devrait interdire aux médecins d’utiliser la statistique, ils font n’importe quoi avec ! » Certes !!!
Cela pourrait vous convenir : interdire aux médecins d’utiliser la statistique ! Mais trêve de caricatures et de manifestations émotionnelles non maitrisées.
Quel est le problème ? Avec l’exemple de la vaccination hépatite B et de la sclérose en plaques, le problème est que cette maladie existait avant cette vaccination et qu’elle pourrait avoir une longue durée d’incubation même si ce terme n’est sans doute pas très bien adapté ici. Disons qu’il peut s’écouler des mois et même des années avant qu’une impulsion vaccinale réelle se manifeste ainsi. L’outil statistique a donc été utilisé non pour démontrer la réalité du lien mais pour voir s’il est statistiquement possible afin de, par la suite, affiner par des arguments de nature biologique et médicale. Autrement dit, la question posée à l’outil statistique est : cela vaut-il la peine d’investir du temps et de l’argent dans des recherches dans cette direction ?
Encore faudrait-il que l’outil statistique soit convenablement utilisé, ce qui n’est pas du tout le cas pour l’exemple que je donnais. En fait, les auteurs avaient parfaitement vu le signal mais ils furent interdits d’en parler. Ils ont néanmoins publié les données qui permettent de le retrouver et noyé le poisson en faisant un test cas-témoins dans des conditions non valides. Les auteurs voulaient publier le signal. Ne pouvant le faire ils en ont cherché un autre, celui sur les « observants au calendrier vaccinal » où les 19 cas « observants » et vaccinés Engerix ayant fait une SEP au delà des 3 premières années après leur vaccination étaient significativement plus nombreux que les 11 cas apparus au cours des 3 premières années. Ce signal avait fait fin septembre octobre 2008 un bruit considérable.
En fait, il n’existe pas ! Ce signal a été obtenu en gardant dans les calculs les cas et témoins non vaccinés Engerix et pour lesquels le délai entre cette vaccination qui n’existe pas pour eux et l’apparition de la maladie n’est pas défini ! On peut ainsi lire dans le tableau 4 de la publication une énorme énormité :
Pour le délai avant 3 ans, il n’y a pas de différence significative entre 11 et 19.
Pour le délai au delà de 3 ans il y a une différence significative entre 11 et 19 !!!
Oui, oui, c’est écrit mais la publication doit encore être payante. Il devrait pourtant apparaitre comme une évidence logique élémentaire accessible à tout un chacun et pas seulement réservée à une élite mathématique que si 19 est statistiquement supérieur à 11 alors 11 est statistiquement inférieur à 19 !!!
Mais cette bourde monumentale que personne n’a vue n’est pas le fait des auteurs, elle est le fait des logiciels d’épidémiologie qui vont d’abord chercher les cas et témoins dits exposés, c’est à dire ici ceux qui sont dans le délai choisi pour tester. Ensuite, pour les logiciels, les cas et témoins non exposés ce sont TOUS les autres c’est à dire aussi bien ceux dont le délai entre vaccination Engerix et début de la maladie est défini mais qui ne sont pas dans le délai choisi pour tester et ceux pour lesquels ce délai n’existe pas car non vaccinés Engerix. L’erreur est à ce niveau là, aussi incroyable que cela puisse paraitre.
J’ose espérer qu’on a encore le droit de le dire sans provoquer des contre-attaques inappropriées mais qui révèlent aussi une immense carence culturelle ? Cela permet aussi de mieux comprendre comment des choses aussi invraisemblables puissent exister dans les publications dites scientifiques sans que personne ne s’en aperçoivent, aussi criardes qu’elles puissent être.
Si vous voulez plus de détails sur ce signal qui n’existait pas vous avez mon article Aimsib de novembre 2019 :
https://www.aimsib.org/2019/11/06/laffaire-des-effets-secondaires-post-vaccinaux-qui-nexistaient-meme-pas/
Cher bernard.
Comme tout mathématicien vous avez des certitudes (vos axiomes) qui vous poussent à des conclusions, en pensant, sincèrement, apporter la vérité et la certitude. Mais remettez en cause vos axiomes et tout s’effondre.
Les maths étaient ma matière préférée et ma meilleure matière en terme de réussite. J’ai eu la meilleur note de ma classe au bac, mon prof de math en prépa école de commerce m’avait dispensé de cours car je maîtrisais déjà le programme et j’ai eu également la meilleure note de ma prépa aux concours esc en math1 et math2. (en terminale, je travaillais avec les bouquins des prépas hec illustrés par mathieu, ahhh souvenirs). D’ailleurs (et je remercie dieu pour cela) la filière scientifique m’a été fermée parce que mon prof de physique de seconde m’aimait pas (en plus son cours était d’une chiantitude à toute épreuve) et qu’en plus j’étais une quiche en chimie. (Alors, avec le recul, je ne sais pas s’il était nul ou juste pas capable de faire un cours appétant, la clé pour avoir des bons élèves)
Ainsi je n’ai pas à me « venger » de difficultés dans cette discipline. je trouve par ailleurs votre commentaire parfaitement déplaisant et méprisant et il est dans la droite ligne des « universitaires » qui ne sentent plus pisser (je ne parle pas de vous en particulier) dès lors qu’ils ont pu tirer quelques marrons dans le « swamp » de l’université française. Nous en avons tous vu pendant cette plandémie, de ces universitaires. Ainsi essayer d’éviter de faire de la lecture de pensée sur mes émotions et mon manque de culture, cela simplifiera l’échange.
Vous faites une fixette sur l’étude tardieu. On en a rien à secouer de cette étude. Avant la vaxXxination hepB urbi et orbi de kouchner, la SEP pédiatrique n’existait pas après elle était « courante ». Pas la peine d’avoir 3 doctorats d’état en mathématiques pures pour faire un lien qu’un enfant de 5 ans peut faire. Ainsi signal ou pas signal : avant pas de SEP pédiatrique, après oui. alors je sais que les p*tes médecins disent (même à des parents) que de toute façon ils l’auraient attrapé. Ces gens mérite la pendaison. Et regardez chez les adultes l’explosion des SEP et autres « maladies » pas encore parfaitement « définie » comme les myofasciites machins.
Autre exemple : pas la peine de faire une étude avec des statistiques « parfaites » pour « VOIR » facilement que vaxXxiner pour le covid provoque des fausses couches, des morts in utéro et de la morti-naissance. c’est de la simple médecine accessible à un première année : avant 2 fausses couches par mois après 15. simple, pas besoin de math. les maths ne servent qu’à cacher des choses.
Pour revenir sur le « fond » vous pensez qu’améliorer les « méthodes » va permettre d’améliorer les résultats. Je ne le pense pas du tout. Même avec un truc parfait vous aurez en sortie de la « merde ». Parce que la santé publique n’est pas de la médecine. alors bien entendu vous pouvez brocarder ce genre d’étude merdique en projetant ce que serait une « belle et bonne » étude. Mais vous avez le risque d’arriver alors sur la position du vendeur d’huile d’olive anti statine qui a préféré laisser crever les gens pendant le covid parce que l’étude raoult était pas en double aveugle avec groupe contrôle. en gros que raoult était un charlot alors que lui était un grand éditeur de livres sur les vaxXxin ce qui montre, quand même, sa supériorité.
Je vais prendre un autre exemple. j’ai fais, dans ma jeunesse, un stage dans la filiale crédit revolving du crédit agricole (unibanque – ça ne nous rajeunit pas) ou était déterminé (informatiquement) un « score » à chaque demande pour autoriser, ou pas, le crédit et en déterminer le taux. Pour ce faire, il y avait des critères « simples » (par exemple CI ou passeport ou permis de conduire, chèque annulé ou rib, locataire propriétaire… pas la fiche de paie !) et avec ces critères était déterminé votre score et votre taux de crédit si vous y aviez droit, par minitel, le summum de la modernité, (en clair un taux en rapport du niveau de risque supposé de vos futurs impayés). C’est _peut être_ (sur les grands nombres) une indication pour la banque mais cela ne veut strictement rien dire au niveau individuel. Et nous sommes des individus. Même, c’est une étude faites sur le passé (analyse des impayés passés) et ne présage en rien du futur (la décision projetais sur les remboursement futurs). donc en clair les taux devaient être révisés régulièrement pour naviguer de moins faux possible en moins faux possible: En clair c’était tout le temps faux et les nouveaux taux servaient en parti à combler les « trous » des taux précédents.
De la même manière, comme vous le montriez sur votre article sur les calculs rénaux (je crois me souvenir, mais je l’ai lu il y a longtemps) entre gros calculs et petits calculs avec 2 produits dont 1 qui marchaient que sur les gros (ou les petits) et suivant la répartition de la population dans les groupes le produit « marchait ou pas ». MÊME avec un méthodologie parfaite. je le redis lentement même avec une méthodologie parfaite le résultat dépend de la répartition de la population dans les groupes. ET (le plus important) que VOTRE cas individuels soit du groupe ou le produit marche. Parce que répartir au hasard ne préjuge pas du tout que votre cas fasse parti du « bon » groupe.
Les facteurs de confusion sont pléthores, nous avons tous une biologie qui fonctionne différemment de celle de notre voisin. La médecine en maîtrise que peu. ensuite après cette « étude » parfaitement réalisée, ce sont les médecins qui verront in vivo ce qui se passe, et le produit sera arrêté après un nombre de mort qui satisfait la fonction » (nbr de mort/CA – frais variables) < coef de régression ", ce coef étant calculé dans mon commentaire précédent. Nous connaissons déjà suffisamment de molécules pour les quelques prochains siècles, laissons les médecins faire et les matheux à la construction de ponts. Les morts subites des nourrissons arrivent significativement plus souvent dans les 2 jours suivant une vaxXxination que dans les 15 jours suivant, mais les études essspliquent qu'il n'y a pas de lien et ne parlez pas de cela à votre pédiatre si vous ne voulez pas un signalement.
Pour une petite incise sur les maths qui serait LA matière reine de développement des cerveaux des têtes blondes car abstraction, patin couffin toussa. je disconviens respectueusement. Les math sont UNE matière qui correspond à certains cerveaux ayant un certain mode de pensée et à tendance à "détruire" certains autres cerveaux avec d'autres modes différents. J'ai une carrière un peu longue dans le domaine de formation, j'ai été prof, je fais instruction en famille, je donne des cours, on fait des conférence sur le sujet… donc j'ai quelques notions _concrètes_ et multiples dans le secteur des apprentissages. Vous remarquerez que les profs de philo expliquent que le développement du cerveau est mieux par la philo… Les meilleurs médecins étaient ceux qui venaient des humanités. Je ne dis ça je dis rien. Les math comme matière de sélection ne vient pas du tout intrinsèquement de ses qualités, mais du choix de fabriquer des ingénieurs pour reconstruire après WWII. Et puis comme on a toujours fait comme ça. D'ailleurs je connais un prof de math pour qui l'apprentissage des tables de multiplication est l'ouverture à la mathématique (alors que c'est avant tout, soyons honnête, un exercice de mémoire). On a bien vu le monde scientifique pendant cette plandémie : honnêtement, y'a pas de quoi être fier d'être scientifique aujourd'hui.
Ainsi, pour résumer, je n'ai rien contre "vous" personnellement, même si parler d'une étude inutile, non parce que la méthode n'est pas bonne, mais parce que le résultat se voit en simplement regardant, c'est être à coté du sujet : Les médecin refusent de le voir parce que les "zétudes" esspliquent que ce n'est pas vrai. ainsi mon idée pour éviter que les médecins tuent leurs patients de bonne foi est d’arrêter ce genre d'étude et … construire des ponts. Laissez les médecins observer ce qui se passe dans la vraie vie. c’est vrai que c'est moins bon pour le PIB. ceci esssspliquant peut être cela.
Mais il est vrai que si nous n'avons qu'un marteau, tout ressemble à un clou.
Vous avez tout à fait raison quand vous dites que l’irruption importante et nouvelle des SEP pédiatriques avec la vaccination HB des enfants atteints ne nécessitait pas une étude épidémiologique car ça se voyait à l’oeil nu. D’autres l’avaient dit avant.
Le problème n’est pas là, le problème est de contraindre les autorités en la matière à le reconnaitre, ce qui n’est pas du tout la même chose ! Ces autorités veulent s’appuyer sur des études épidémiologiques. Si on veut avoir une chance de les contraindre à reconnaitre quelque chose il faut jouer au même jeu qu’elles. Les experts officiels (ceux qui conseillent les gouvernants et la justice et conduisent les parlementaires à voter des lois contraignantes) jouent au rugby. Si vous préférez jouer au ping pong, c’est votre droit mais ce n’est pas ainsi que vous pourrez contraindre ces experts à reconnaitre ce qu’ils ont passé leur temps à cacher.
Les méthodes utilisées et validées par l’épidémiologie, la bios-tatistique médicale et implantées dans les logiciels d’épidémiologie sont du charabia mathématique que l’on prend, par incompétence, pour de la pure science mathématique. Avec les mots de la langue française on peut écrire de sublimes poèmes comme du charabia. Il en va de même avec les objets mathématiques, on peut en faire du galimatia comme diraient les servantes de Molière et c’est le cas ici. Alors il faut bien sûr le dire et non pas considérer ces publications sur les SEP chez les enfants et les commentaires « autorisés » qui ont été fait dessus comme sans intérêt et donc à mettre à la poubelle alors qu’elles recèlent un trésor stratégique dans le combat à mener. C’est ce que vous ne comprenez pas. Vous croyez que du moment que vous avez compris, c’est bon ! Ce n’est pas tout à fait aussi simple…
Les auteurs avaient trouvé un signal énorme, ils voulaient le publier, ils en furent interdits. Fort mécontents et forts du fait que les auteurs sont en principe indépendants (indépendance de l’expertise dont le principe avait été bafoué) ils recherchèrent alors un autre signal, celui portant sur les observants au calendrier vaccinal. Cette fois ci ils vont le garder secret jusqu’à publication prévue pour décembre 2008. Mais la revue qui devait le publier à cette date va faire un communiqué fin septembre en annonçant qu’elle avait avancé de 2 mois la publication en raison d’un résultat important pour la France. Les auteurs sont alors convoqués un mercredi soir de fin septembre au ministère pour s’expliquer. Ils diront sans doute qu’ils n’avaient pas transgressé l’interdiction mais qu’il s’agissait d’un autre signal mettant en cause le calendrier vaccinal…
Le lendemain matin, jeudi à 9h45 Le Monde publie un court article où il annonce le résultat sur les « observants au calendrier ». « Nous nous sommes procuré l’étude » sera-t’il écrit … Apportée par qui en provenance directe du ministère ? A 11 heures, Daniel Floret intervient « La presse s’est déjà emparée du problème, je fais une conférence de presse cette après-midi… » Il y annoncera le résultat significatif le plus faible, tout comme pour le journal Le Monde et annoncera convoquer le CTV pour dimanche ! Oui pour dimanche !!!
C’est l’URGENCE ABSOLUE, pire que s’il s’agissait d’une attaque à la variole !!! La Commission nationale de pharmacovigilance se réunira le lundi pour publier son compte-rendu le lendemain alors que le délai habituel est 8 jours… Le 8 octobre, jour de la publication de l’étude, Marc Tardieu avait annoncé une conférence de presse. Il sera interdit de la tenir par le ministère, une heure avant l’heure annoncée aux médias. Motif : il ne pouvait parler le jour de la publication de l’avis du HCSP-CTV sur la question … Fin octobre, Le Monde s’étonnera que la conférence de presse n’ait toujours pas eu lieu. Le 4 mars 2009 j’assiste à un colloque sur les vaccinations organisé à la Maison de la Chimie à Paris par un petit groupe de parlementaires. Le sénateur Paul Blanc dira « Marc Tardieu devait venir, il n’est pas venu. »
Mais pourquoi toute cette agitation à propos de ces publications qui seraient dépourvues d’intérêts selon vous ? L’intérêt de ces publications et des commentaires qui les ont accompagnés est d’un immense intérêt stratégique. J’espère réussir enfin à le faire comprendre.
Comme je dis, lorsque l’on n’a qu’un marteau, tout ressemble à un clou.
On ne combat pas l’ennemi avec ses armes : il les fabrique lui même, décide comment elle marche, choisit les revendeurs et peut décider qui a le droit de les utiliser et comment. Et lui seul à les moyens de les utiliser. tenter de faire une étude qui montre la toxicité d’une molécule… bon courage de trouver les financement. Il n’est que voir ce qui s’est passé pendant cette « plandémie », même le lancet a laissé passer une « sombre merde » qui à impulsé une politique mondiale. qu’ensuite elle soit rétractée ne change rien : le mal était fait. Vous n’arrivez JAMAIS à faire faire des études qui seront défavorables, jamais. Et si par un curieux hasard hasardeux une étude arrive à passer, il y aura toujours quelqu’un pour en sortir 1000 autres qui diront le contraire. Et comme disaient les sénateurs à raoult : vous dites ça, l’autre dit ça.. pourquoi on écouterait vous plus que lui (c’est le connard jommier) c’est une impasse. elle ne convainc que ceux qui sont convaincus.
L’exemple type est en train de se passer : depuis 2 ans, on sort études sur études pour montrer que les vaxXxins covid tuent (ce qu’on savait avant même qu’ils soient commercialisés) et tout le monde s’en branle. d’ailleurs le vaxXxin gripe sera un bi-valanet arnm. Et l’arnm sera la prochaine plate-forme vaxXxinale
Ainsi votre utopie d’utiliser les zétudes contre les politiques est, de mon point de vue, une hérésie. Les statistiques sont LA science du camouflage. on l’a vu dans le cas du ror et de l’autisme. les « zotorisés » par les « zotorités » bidouillent pour arriver à ce qui doit être trouvé. il suffit de changer les bornes de découpage de la population pour noyer le signal, il suffit de supprimer une partie de la population suivant un critère choisi (par exemple avoir un carnet de santé) pour faire disparaître un signal. Ce qui vous plaît dans les mathématiques (cette abstraction) est _aussi_ ce qui permet d’en faire ce que l’on veut. Pareil pour la compta, dès qu’il y a du chiffre, on peut les manipuler. On ne peut même plus envisager d’avoir accès à la totalité des données brutes (avant manipulation) à cause de la loi secret des affaires.
Dans le cas de pfisser, il suffit de sortir des gens de l’étude pour diverses raisons…
ainsi votre moulin à vent est de dire travaillons pour de meilleures zétudes. Vous y croyez vraiment ? AUCUNE étude n’a jamais retiré un produit tueur. Seuls les morts qui se voyaient trop l’on fait.
Moi je dirais apportons la réalité dans le jeu. Je serais plus pour une approche « radicale » OBLIGEONS l’injection des fabricants du produit (TOUS ceux qui sont concernés de près ou de loin, des directeurs aux scientifiques et laborantins, jusqu’au pdg) et décideurs (politiques, scientifiques, journalistes…) et leurs familles avec des fioles tirés au hasard sous contrôle d’un huissier désigné par la population. Faisons rentrer la réalité dans leurs vie.
Lorsque 3 bébés de politiques va faire une mort subite, que 4 scientifiques dans la création-fabrication auront attrapé une SEP ou un Creutzfeldt-Jakob foudroyant, je peux vous assurer qu’en moins de 6 mois le problème est réglé.
Et comme je suis magnanime, nous ne ferions cela que pour les produits qui ont au moins une obligation dans une partie de la population.
Vous révélez clairement Herve_02 que vous n’avez strictement rien compris à ce que je fais car justement je ne m’occupe absolument pas des données, qu’elles aient été bien ou mal collectées mais UNIQUEMENT de la façon dont elles sont traitées. Je n’ai en particulier jamais dit ni pensé ce que vous m’attribuez comme qu’en travaillant mieux on pourrait avoir de bonnes études pour arriver à des conclusions assurées. Ce n’est en AUCUNE façon mon objectif.
J’en parle rapidement dans mon dernier commentaire en réponse à Muriel comme :
1- appliquer la règle de trois à des choux qui ne sont pas tous au même prix.
2- Utiliser des souris non fécondées pour rechercher une durée de gestation sous la forme utiliser des malades non vaccinés pour rechercher l’existence et la durée de l’incubation entre une vaccination qui n’existe pas et l’apparition de la maladie
3- Comme encore, ayant obtenu 3 piles en 10 jets d’une pièce, on dit que si on poursuivait jusqu’à 100, la valeur ponctuelle la plus probable serait …30 !!!!! En fait, avec une pièce équilibrée, c’est 45 pour les 90 jets restants et donc 48 avec les 3 déjà obtenus.
3bis – Ayant un intervalle de confiance [1. 6] autour de 3, ce sera [10. 60] autour de 30 !!! La loi des grands nombres est renvoyée aux oubliettes.
Et tout cela réalisé par des professeurs de biostatistique en CHU, validé par les relecteurs de la revue ayant publié l’étude, validé encore par tous ceux qui en reprennent les résultats à leur compte.
Incroyable mais vrai. J’ai trouvé cela dans une publication française sur l’estimation du nombre de décès en raison d’un médicament, le 5-FU utilisé contre le cancer. Avec le président de l’association des victimes du 5-FU nous avons préparé un texte qui sortira sous forme de lettre ouverte le 23 avril prochain dans la revue The European journal of cancer.
Notre lettre ouverte ne vise en rien à proposer une contre évaluation du nombre de décès. Elle montre seulement les erreurs méthodologiques qui sont d’incroyables énormités.
MERCI en tout cas à vous Herve_02 car vous m’offrez sur un plateau l’opportunité pour tenter d’expliquer des choses qu’autrement je ne chercherais pas à préciser. J’ai de très bons retours par mails sur cet échange avec vous. Alors, continuez !
Alors si vous avez de très bon retour par mail, vous confortant dans votre position de sachant « universitaire ».. nous sommes en train de boucler la boucle de mon précédent commentaire.
Je crois que arc-bouté sur vos marottes vous ne comprenez pas non plus ce que je dis.
TOUT votre travail, TOUT votre combat n’a sauvé aucune vie qui aurait pu l’être, même si on remonte à votre présentation power point au congrès machin chose du siècle dernier. OUI les bio statisticiens sont des mauvais. OUI ils font de la merde car ils présupposent que le produit est « bien » et donc qu’il faut montrer qu’il est bien. Et OUI l’industrie se sert de ces tristes bougres pour vendre des produits qui tuent, engranger des bénéfices monstrueux et, parfois, en rendre une partie comme catharsis afin de contenter la populace et remettre les compteurs à zéros. alors, il y en a certains, qui, en plus, sont de mauvaise foi (par exemple la castrigrillona)..
Vous me faites penser à francis lalanne qui lui aussi à un combat, qu’il peut parfaitement expliquer, qui est sincère, ou il énonce aussi des vérités. Mais la seule chose qu’il change est de faire entendre une autre voix mais sans ouvrir une autre voie.
Moi je pense que le combat doit se situer à un autre niveau, c’est obtenir que :
1. les études doivent être observationnelles
2. elles ne doivent regarder que les morts toutes causes
3. AUCUN sujet ne doit sortir de l’étude dès qu’il est « entré » il reste
4. aucune annulation informatique de saisie
5. aucun accès à la base de données et toute manipulation est considérée comme un crime passible de la cour d’assise et non jugée entre copains.
6. TOUTES les données doivent être en open data dès J+1
J’ajouterais qu’il faudrait que TOUTES les données de la CPAM soient en open data anonymisées afin que toute personne puisse faire tourner des moulinettes dessus. alors pour éviter de pouvoir lever l’anonymat on ne peut sortir les données qu’en donnant 2 ou 3 critères (par exemple un nombre de jour entre la mort et le dernier vaxXxin avec le nom du produit) et pas d’identifiant. il serait alors impossible de regrouper les données avec plusieurs sorties en appairant les lignes.
Montrer que la médecine tue c’est enfoncer une porte ouverte. montrer que 99% des médecins sont justes bons à suivre une fiche protocole et envoyer son patient vers la psychiatrie, dès qu’il sort de la fiche c’est ouvrir la porte déjà ouverte. et tout le monde le sait depuis la crise du covid.
Les 20% dans la population qui ne sont pas lobotomisés savent déjà l’état lamentable de la médecin (mais dans chaque sous groupes de non lobotomisés, il y a une « doxa » propre qui entre en conflit avec d’autres doxas d’autres sous groupes). D’ailleurs ce n’est pas un zazard si les médecines dites alternatives explosent. alors c’est un exercice culturel très intéressant de voir comment ils sont nuls. Mais comme je le dis, même avec une méthodologie parfaite, la « technique » bio statistique ne peut pas être efficiente… car les choux ne sont pas aux même prix. Dès lors les relevés de prix moyens sur les marchés ne permettra jamais à une personne de savoir combien elle va payer son choux et si cela peut être utile pour l’insee (santé publique) c’est inutile pour le client (la médecine). Former les médecins à regarder leurs patients plutôt que les fiches de la cpam sauverait largement plus de vie. les fiches de la cpam servent juste à faire des économies sur les patients et des bénéfice pour l’industrie.
alors la question qui reste en suspens est :
1. est-ce qu’avec une meilleur technique statistique on va réduire la marge d’erreur dans la vraie vie ? c’est une question dont la réponse n’est pas évidente.
2. Est-ce qu’ajouter de la malfaçon à un produit non fonctionnel augmente les morts ou nous restions dans le même delta ? là encore la réponse n’est pas évidente.
Ce qui fait que la question primordiale est :
est-ce que les bio-stats (même en « améliorant » la technique) sauvent des vies ou permettent d’en tuer plus ? (puisque ‘on ne maîtrise pas les inclusions et que seul le vendeur du médicament peut les faire, j’ai ma réponse.)
ps : ne vous méprenez pas sur l’effet silos. Les gens vous défendent « contre moi » parce que vous faites partie du « groupe », vous vous intégrez parfaitement dans la « doxa ambiante » – ce que je dis sans aucune animosité ni haine ni rage. les poils à gratter n’ont jamais été les héros, et ce n’est pas mon but. J’aime aime le poil à gratter. D’ailleurs je trouve dommage que vous ayez « laissé » votre blog en « déshérence », votre « catharsis » se trouvant assouvie ici. Car petit à petit, vous changez, sans le vouloir, pour coller à l’ambiance. C’est le mal de cet internet 2.0 : lisser les individualités.
Ainsi, par exemple, dans chacune de vos réponses vous ne faites que de la « pédagogie » sur votre « pratique ». Vous ne tenez aucun compte de mes remarque, vous ne les adressez jamais. En fait, vous me faites un « cours » sur comment vous avez trop raison et moi qui ne comprends pas. en ressortant tout le temps les mêmes exemple que je commence à connaître par cœur. 😉
Enseigner c’est répéter… mais répéter ce n’est pas discuter.
Je pense que c’est réciproque, je ne lis pas ce que vous écrivez et vous ne lisez pas ce que j’écris ! Nous avons au moins ce point commun !
Dans le cas qui nous occupe, le risque d ‘exposition des enfants à la tuberculose en France, il n’est pas nécessaire de connaitre la valeur de ce risque pour les uns et pour les autres pour savoir que ce risque est très différent selon leur statut social et en particulier pour ceux issus d’une immigration récente. On sait donc d’emblée qu’il faudra dissocier en formant au moins 2 groupes pour évaluer le nombre de cas de tuberculose évités par le BCG généralisé comme avait voulu le faire un expert de l’InVS sans cette dissociation assez fondamentale. Je prépare un article à ce sujet, vous aurez ainsi tout loisir de commenter en connaissance de cause.
Je peux être en accord avec vous sur certains points comme :
1. les études doivent être observationnelles en nuançant quand même pour dire que les études observationnelles peuvent avoir autant de valeur ou plus, que les études randomisées. Tout dépend des conditions de mise en oeuvre. En 2020, alors que la bataille faisait rage sur les études Raoult et l’hydroxychloroquine, y compris ici-même, j’ai défendu la méthode Raoult dans son principe et j’ai été attaqué pour cela. J’ai l’intention de proposer aussi un article sur ce thème.
« 6. TOUTES les données doivent être en open data dès J+1
J’ajouterais qu’il faudrait que TOUTES les données de la CPAM soient en open data anonymisées afin que toute personne puisse faire tourner des moulinettes dessus. »
Je réclame cela depuis longtemps car ce serait la vraie première étape de la démocratie sanitaire avec laquelle on nous mène en bateau. Mais sans être aussi catégorique que vous. Qu’au moins toutes les personnes en faisant la demande puisse accéder aux données anonymisées.
Par exemple pour la publication Mikaeloff-Tardieu d’octobre 2008 ils annoncent 151 cas de SEP sans donner le nombre de vaccinés HB alors que c’est l’objet de l’étude. On savait qu’il y en avait 80 parmi les 143 SEP acquises au 30 juin 2006. Comme la durée de suivi était plus longue il y en a eu 8 de plus. Les auteurs connaissent leur statut vaccinal par rapport à la vaccination HB (sinon c’était un motif d’exclusion). J’ai écrit à l’auteur correspondant pour le demander. Je n’ai pas eu de réponse … Derrière la non publication de ce nombre il y a une très grosse affaire. Les auteurs ne pouvaient pas le publier et ne pouvaient donc pas non plus me le communiquer … Je sais aujourd’hui pourquoi.
Mon blog est devenu une réserve de données. Il était très discret. Ici il y a une autre audience.
Mon objectif n’est pas du tout le vôtre. Je ne cherche nullement à me substituer à la médecine dans les évaluations de paramètres comme « le nombre de cas de tuberculose évités par le BCG généralisé » ou « le nombre de décès par 5-FU ». Constatant que l’expertise fait n’importe quoi, j’essaie de la ridiculiser pour la contraindre à adopter un autre profil que son arrogance coutumière. C’est un préalable à toute discussion ou échange avec elle car elle se considère comme très au dessus du commun des mortels alors qu’elle est capable de faire n’importe quoi. Si je répète souvent les mêmes exemples c’est d’abord parce que il y a une résistance à leur compréhension comme vous l’illustrez parfaitement. Ces exemples en fait vont très loin car ils révèlent une méthodologie plus que défaillante et utilisée constamment. Pour moi l’important n’est pas de varier les exemples mais de voir ce qu’ils révèlent de la méthodologie.
Par exemple je reviens souvent sur le signal qui n’existait pas et qui avait été obtenu en gardant dans les calculs les cas et témoins pour lesquels le délai entre vaccination et maladie n’est pas défini. C’est particulièrement spectaculaire, surtout qu’il y a eu à son sujet une très grosse affaire publique.
MAIS, TOUS les tests sur des délais, c’est à dire presque tous sauf 2, ont le même défaut : ils prétendent tester sur des délais en cas-témoins avec des souris non fécondées pour étudier la durée de gestation. Ils sont tous aussi ridicules les uns que les autres mais ils ne sont pas aussi spectaculaires.
De même, la publication américaine Langer_Gould rapporte 72 tests cas-témoins tous sur des délais et tous en faisant cette même erreur car implantée
dans les logiciels. Aucun n’est un test statistique. TOUS sont du charabia mathématique et, bien sûr, on pourrait trouver des dizaines d’autres publications véhiculant les mêmes erreurs. Pour moi cela n’a aucun intérêt de les rechercher pour multiplier les illustrations de ce problème. J’ai identifié le problème, aux utilisateurs de faire le nécessaire pour changer ce qui doit être changé. Je n’ai pas le pouvoir de changer les logiciels d’épidémiologie ni les enseignements qui sont professé à l’école des Hautes études en santé publique de Rennes. Un jour j’ai pu faire parvenir une analyse de ces problèmes à un comité d’épidémiologistes chargé de réviser le petit livre du parfait épidémiologiste. J’ai eu un accusé de réception mais Je ne sais pas ce qu’ils en ont fait.
Pour en revenir à notre échange je ne sais pas si quelque chose de positif pourra en sortir. Dans la formulation de vos 6 objectifs vous vous montrez hyper catégorique., dogmatique même voire violent (5. aucun accès à la base de données et toute manipulation est considérée comme un crime passible de la cour d’assise ). Je ne pourrais pas souscrire à de telles exigences qui n’auraient d’ailleurs aucune chance d’aboutir. Ecrivez aux instances concernées pour leur soumettre.
Que ce soit clair entre nous, vos objectifs et vos méthodes (en tout cas telles qu’elles semblent apparaitre ici) ne sont pas du tout les miennes, pas du tout. Poursuivez vos objectifs mais laissez moi poursuivre les miens et les vaches seront bien gardées.
Amicalement
Bernard
Bon ! Au moins ils auront fait avancer la science du genocide sanitaire? Et si on passait aux enfants ? Juste pour VOIR… avec les 15 vaxx obligatoires chez les tout petits ,on va enfin pouvoir fourguer les millions de doses périmées….non pédiatrique On dira aux parents que l automne arrive et que la pluie a le C19 ça fait bien 3 ans que ces esclaves obéissent hein?
En attendant, tous les voyous, tricheurs, meurtriers, sont libres, tranquilles et continuent comme si de rien n’était !
Bonjour, je trouve cet article je dirais avec humour tout dépenaillé ! Je n’ai rien compris, bivalents, monovalent, je ne sais pas ce que c’est. De plus,
Je pense que le traducteur n’était pas de la maison 😂.
Comment voulez vous que les gens comprennent ? Il faut que je précise que j’apprécie au plus haut point les vidéos de ce professeur courageux et bien plus, même quand la traduction est écrite en simultané
Mon commentaire est en attente de modération ? Là encore ça veut dire quoi ?
qu’il est en attente de modération ?
Ce sont des bâtards !!!
Je ne suis pas scientifique (mais j’apprends la démarche scientifique en écoutant récemment une mathématicienne : Urmie Ray )
Je ne suis pas scientifique mais je me pose des questions :
L’attitude consistant à se faire injecter un produit dans le corps sans savoir de quoi est composé ce produit est-elle « scientifique » ou repose t-elle sur une vague croyance que tout produit dénommé « vaccin » est quelque soit sa composition définitivement bon à prendre ?
Une attitude scientifique consiste -t-elle à accepter d’emblée qu’un produit médical soit classifié comme étant un produit tombant sous le régime d' »un secret commercial » ?
Parce qu’il semblerait que le corps médical dans son ensemble ait accepter cette aberration !
Donc commençons par le début , revenons à la science : pour le moment , il semblerait qu’il y ait débat sur les analyses des compositions de ces produits puisqu’il faut parler de « produits commerciaux »
La science avance du débat n’est ce pas ?
Discuter des effets d’un produit (dont la composition est secrète) … ? Est ce un jeu ?
Ah tiens « le produit » semble provoquer telle ou telle chose … çà doit être du a tel ou tel composant …
Un grand jeu à énigme digne de la téléréalité ! A vos marques ! Prêts ! Partez ! à vos microscopes !
Premier indice : « le produit » doit être stocké à des températures très basses …
On s’amuse , on étudie , on analyse on émet une hypothèse , certaines hypothèses reçoivent large écho d’autres semblent interdites .
Quelle expérience ! Ce jeu ! so fun !
La Science du secret commercial est une nouvelle discipline … »parce qu’il faut vivre avec son temps » vous comprenez.
On peut se demander qui exactement participent aux essais cliniques, dans les études ils (elles) ne deviennent que des chiffres sériés par tranches d’âge, par sexe, rien n’est communiqué sur leur état de santé avant qu’ils ne rentrent dans l’expérimentation.
Ni ce qui les poussent à y participer (l’argent ? faire avancer la science ?… ). Autant on peut comprendre qu’un adulte fasse le libre choix d’y participer, d’être un cobaye à ses risques et périls, autant il m’est impossible de comprendre que des parents « prêtent » leurs enfants, des bébés parfois, dans ce genre d’expériences qui risqueraient d’altérer leur santé, leur vie.
C’en est à se demander si un certain nombre d’études produites par les laboratoires ne sont pas bidonnées, créées de toutes pièces, ou en parties.
Il y a des teubés partout.
Il y a bien des parents qui « prêtent » leurs enfants à des pédophiles alors une injection d’un produit qui va sauver le monde. Et de toute façon le gamin en a déjà 11 dans le corps… un de plus ou de moins. (et aux Us c’est plus dans les 20-30)
Muriel, vos remarques et interrogations sont intéressantes. D’bord « tout produit nommé vaccin serait bon à prendre. » Je pense y avoir répondu dans les premiers commentaires de cet article sur la route vaccinale.
Une personne ne peut pas être scientifique, la seule chose qui peut l’être c’est la démarche. Aucun « scientifique » ne pratique la démarche scientifique 24h sur 24.
La science est une expression que l’on ne devrait jamais utiliser car pour qu’une connaissance, vraie ou fausse, soit incorporée dans La Science, il y faut l’accord d’une autorité et rien n’est plus opposé à la démarche scientifique que la démarche autoritaire.
Ce qu’on appelle La Science affirme des choses fausses comme étant démontrées tout en écartant des résultats démontrées. Ce qu’on appelle La Science est en réalité au service d’un pouvoir.
Les « scientifiques » de La Science n’hésitent pas à utiliser la règle de 3 quand les choux ne sont pas tous au même prix comme je pourrais le montrer dans l’évaluation du nombre de cas de tuberculose évités par le BCG chez les enfants. Les choux ne sont pas tous au même prix, c’est à dire ici les enfants n’ont pas tous un même risque d’être contaminés. J’envisage d’en proposer un article.
Autre plaisanterie validée par La Science : utiliser des souris non fécondées pour étudier une durée de gestation !!! Oui, oui, c’est vrai ! Pas avec cette formulation bien sûr mais pour étudier s’il y a une concentration de malades apparaissant dans un certain délai après une vaccination par exemple et qui pourrait être la durée d’incubation depuis la vaccination. Ils utilisent des malades non vaccinés pour lesquels le délai entre cette vaccination qui n’existe pas et l’apparition de la maladie n’est pas défini ! Ce n’est pas seulement le fait d’auteurs maladroits, c’est implanté dans les logiciels d’épidémiologie. C’est La Science !!! Cela conduit, j’en parlais il y a peu ci-dessus dans mon commentaire du 11 avril 15h59, à écrire sur une ligne que 19 est significativement supérieur à 11 après avoir écrit sur la ligne juste au dessus qu’il n’y a pas de différence significative entre ces mêmes 11 et 19 …. C’est La Science !!! Fin septembre 2008 le CTV avait été convoqué en urgence un dimanche pour voir comment il serait possible de casser ce signal … C’était une réunion de scientifiques…Mais Chut !!! Il ne faut pas en parler !
> Les choux ne sont pas tous au même prix, c’est à dire ici les enfants n’ont pas tous un même risque d’être contaminés.
et donc il n’y a AUCUN moyen de faire entrer des maths dans la boucle de manière intellectuellement satisfaisante. Nous n’aurons que des approximation en priant très fort que les approximations ne soient pas trop fausses… et cela tue des gens.
Ah bon ?!!!? Les petites grands mères qui venaient vendre leurs choux au marché savaient parfaitement le faire : elles prenaient un bout de papier et un crayon, elles écrivaient 3 choux à 1 franc puis en dessous 2 choux à 1,50 francs puis elles faisaient leur addition.
Il suffit donc de faire des partitions judicieuses qu’aujourd’hui les experts en santé publique à bac + 30, 40 ou 50 ne savent plus faire. C’est plus que navrant mais c’est ainsi et vous confirmez.
Non, je confirme rien du tout et vous ne comprenez pas ce que je dis.
Lorsque vous avez une addition avec des choux à 3 euros et d’autres à 1 euros 50. même si vous faites une moyenne « pondérée ».
Vous ne pouvez en aucun cas prédire le prix d’un choux que vous ne connaissez pas. Parfois j’ai l’impression que vous ne lisez pas ce que j’écris.
Merci Mr Guennebaud pour votre réponse , j’entends bien que la démarche scientifique est visiblement modulable en fonction des besoins des narratifs politiques ce qui par conséquent amènerait également à une utilisation très fantaisiste des mathématiques… des copier/coller…Tout ceci nous amène à des trous béants …gravement manquant.
J’attends avec impatience votre évaluation votre évaluation du nombre de cas de tuberculose évité par le BCG chez les enfants.
« la Science affirme des choses fausses comme étant démontrées ! Non !?????
tout en écartant des résultats démontrés !!! ??? Non , là vous exagérez n’est-ce pas ?
Non, Muriel, je n’exagère pas ! Sinon je n’aurais pas oser écrire cela.
Je n’ai pas l’intention d’évaluer le nombre de cas évités par le BCG chez les enfants. Cette évaluation avait été faite en 2005 pour être reprise reprise à l’audition publique sur la levée de l’obligation du BCG pour les enfants. Je montrerai seulement qu’elle était très fantaisiste et largement surévaluée mais que malgré cela elle a joué un rôle déterminant dans l’évolution de la politique de vaccination BCG en conduisant à recommander très fortement la vaccination systématique à la naissance des enfants naissant en Île de France ou en Guyane. Ce fut une très grosse affaire. Il me faudra un peu de temps pour en faire un article. Patience !
Bon,
Mais alors on risque de te lire quand, par exemple si on se rapporte aux JO de Paris (26 juillet au 11 août 2024, où d’ailleurs il y a pléthore d’épreuve de vélo): avant ou après? :-))))
Sous quinzaine, Vincent !
Pour les JO de Paris 2024, je serais plutôt dans la catégorie des vétérans-paralympique qui n’existe pas !!!
je me doute bien que vous n’exagérer pas , c’était un peu ironique …
Et, au final moi ce qui me fait tomber de ma chaise :
c’est quand j’apprends que Mr le Dr McCullough selon les données officielles publiées sur les médecins USA a touché
2 millions de dollard de big pharma entre 2014 et 2020.
Là on ne parle plus de « route vaccinale » mais d’autoroute XXL …
Exemple quand Macron dit « si nous ne faisons rien il y aura 400 000 morts » tout le monde est épouvanté mais personne ne réfléchit !
Santé publique France évaluait la mortalité C19 entre 0,3 et 0,5% même en prenant 0,5 une simple règle de 3 niveau CM1 (et je ne suis pas matheux j’ai fait mes humanités latin/grec)
0,5% et 400000 ça fait 80 millions de malades en France !!
Qui a dit impossible n’est pas français !!
Ce fut d’abord l’épidémiologiste anglais Ferguson qui était arrivé à 500 000 morts en France si on ne faisait rien. D’où le confinement aussitôt décidé en extrême urgence par Macron pour le mardi 17 mars à 12 heures.
Plus tard, la mathématicien Vincent Pavan étudiera le travail de Ferguson. Il y découvrira en particulier qu’il avait utilisé une équation où les unités n’étaient pas du tout les mêmes pour les 2 membres. C’est comme si, disait-il, vous aviez des vitesses d’un côté et des kilomètres de l’autre. ! »
Là encore, une utilisation fantaisiste des mathématiques va conduire à justifier des décisions très lourdes et aux conséquences incalculables.
Le coin du bon sens
« Sans protection extérieure prouvée, l’obligation de vaccination, même dans le secteur de la santé, n’est pas défendable,
ni d’un point de vue scientifique
ni d’un point de vue juridique. »
Citation d’une journaliste allemande du média MDR Fernsehen
Vous pouvez l’envoyer à vos députés, eux qui viennent de voter contre « l’abrogation » de la loi du 5 août 2021, vos sénateurs, vos élus locaux…
si vous êtes sur les réseaux sociaux ne vous gênez pas pour les harceler (gentiment), car parfois il faut se répéter pour que ça rentre, pour éveiller et faire bouger les lignes.
Bonjour, grand Merci a toustes,
Vous seriez de grands amours si vous alliez fouiller sérieux dans les dossiers sur l’optogénétique et faisiez le lien avec ce qu’il y a dans les inoculations.
Et il est fort probable que vous aussi, tombiez de vos chaises. Désolée!
Il y a une dizaine d’années, des neuro-scientifiques ont cherché à utiliser des protéines sensibles à la lumière pour les introduire dans les neurones de rongeurs, afin de contrôler l’activité électrique des neurones par impulsions lumineuses : l’optogénétique était née. Par cette approche, on peut désormais activer et inhiber à volonté des neurones spécifiques, en observer les conséquences sur le fonctionnement cérébral, et sur le comportement des individus.
http://cervenad.blogspot.com/2017/08/loptogenetique-la-nouvelle-revolution.html
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https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/pantin-ces-lumieres-qui-posent-question-26-10-2018-7929183.php
https://www.madmoizelle.com/les-villes-deurope-seclairent-a-la-lumiere-bleue-et-ce-nest-pas-une-bonne-nouvelle-1441597
Bisous gros, m’en va faire des câlins aux poules, 🙂
Merci Violette,
Dans un avenir très proche, je le pense et je l’espère, chacun de nous tombera de sa chaise … il faudra du temps pour s’en remettre.
N’oublions pas que nous basculons dans une autre ère
Merci a vous, Raymonde,
C’est rieux! Ah, bon? Vous avez encore des chaises chez vous? 🙂
Sérieux. Oui, nous ne sommes pas au bout de nos peines. Sachons rester unis et solidaires. Ce n’est pas nous contre nous, mais nous contre eux.
Meilleures pensées,
Nous sommes dans un passage obligé, Violette …
Comme le Phoenix : renaître de ses cendres.
Gardons la foi. Un monde nouveau nous attend. Patience.
vidéo : Pourquoi les gens sont stressés et irrités ?
https://youtu.be/P_X2C3mIDRM
Avis de recherche,
Quels examens autopsiques réclamer dans le cas où
le vaccin anti-Covid-19 serait suspect d’avoir causé le décès
Pardon si le sujet que nous avons retenu cette semaine, particulièrement aride, peut heurter la sensibilité de certains mais des demandes d’aide clairement formulées nous ont été adressées de la part de juristes professionnels concernant la liste exacte des éléments à rechercher pendant une autopsie quand le vaccin anti-Covid à ARNm est suspecté de représenter la cause du décès.
Hélène Banoun réalise ici un travail de synthèse, clairement dirigé à l’intention des magistrats et avocats que cette difficile quête de vérité scientifique oblige, et à leurs demandes.
Si les investigations diagnostiques se révèlent évidemment fragmentaires chez les survivants du vaccin, sachons au moins utiliser au mieux les données autopsiques réalisables afin que ce massacre cesse au plus vite.
Lire l’article,
?
J’espère de tout coeur que tout va bien,
Ce dossier a immédiatement fait l’objet de nombreuses remarques de magistrats, avocats, anatomo-pathologistes, légistes et réanimateurs: On nous a réclamé d’y ajouter quelques précisions, ce texte sera rendu à son public dans sa forme définitive sous quelques jours.
Merci Doc Vicente,
https://www.youtube.com/watch?v=BjcrpBawlKU&ab_channel=Passe-moilesjumelles
Bien a vous,
Merci de ces précisions Vincent. je ne comprenais plus, article disparu…