Alors que, de source officielle, l’autisme pourrait toucher un nouveau-né sur cent en France (*) et que ce chiffre pourrait grimper à un sur quarante-quatre aux USA, les spécialistes de la question affectent toujours de ne se quereller que sur la définition exacte de la maladie. Il faudrait pourtant accepter de crever l’abcès du doute entourant la responsabilité des vaccins aluminiques dans la genèse de ces troubles incurables. Il faudrait admettre également que la frénésie vaccinale anticoquelucheuse chez les femmes enceintes est mortifère. Voici la démonstration d’Hypatie A, implacable, sourcée, terrible. Les adjuvants aluminiques induisent des complications catastrophiques et les défenseurs de ces vaccins doivent comprendre qu’il ne leur reste plus grand chose pour s’opposer à l’évidence. Des vaccins obligatoires qui donneraient l’autisme voire des lésions cérébrales de type « bébé secoué », des vaccins pour femmes enceintes qui induiraient des coqueluches post-natales, mais dans quel monde on vit ?  Bonne lecture.

Résumé :
– Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce qu’on croit.
– Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
– Une très solide littérature démontre qu’activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
– L’intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
– La vaccination a pour but d’activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle présente un danger réel pour le développement nerveux du nourrisson (en particulier chez les garçons).
– Les adjuvants aluminiques sont un facteur supplémentaire de danger, en activant de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire (de façon immédiate ou retardée, l’aluminium étant neurotoxique).

Introduction

Les sites dédiés à l’autisme me laissent toujours perplexe : officiellement, on ne sait pas clairement ce qui cause l’autisme. Si tout le monde s’accorde pour considérer qu’il s’agit d’un trouble précoce du neurodéveloppement, probablement multifactoriel, personne ne semble lire la littérature scientifique sur le sujet.

Un exemple, l’article de l’INSERM dédié à l’autisme date toujours de 2018 ! Autant dire qu’on cultive l’obsolescence sur un sujet pourtant d’actualité.

Pour l’institution, l’origine est « largement génétique » [1] (ah bon ?) et bien sûr, il est impossible « de soigner l’autisme ». C’est quand même bizarre. Il y a des troubles, comme ça, qui impactent des millions d’enfants de façon dramatique [2] – la prévalence mondiale se situe officiellement entre 1 et 2% – et pourtant, on serait incapable d’en déterminer la cause… Sauf si on a l’idée saugrenue de lire la littérature scientifique. Car la recherche avance, malgré tout : elle a même fait d’énormes découvertes ces vingt dernières années. L’équipe du Dr Crépeaux nous offre aujourd’hui une revue [3] complète de la littérature.

On peut réellement affirmer qu’on sait quels sont les mécanismes en jeu dans l’apparition des troubles du neurodéveloppement. Et pourtant, l’information ne parvient pas au grand public.

Mais est-ce étonnant quand on comprend les implications cataclysmiques de ces découvertes ?

La clé de l’énigme : le système immunitaire

1 – Un système encore très mal connu

À en croire l’intégralité des articles grand public sur le sujet, le système immunitaire (SI) ne serait qu’un ensemble de « gentils policiers » chargés de poursuivre « les vilains pathogènes ». Il n’est question que de contrôle, de défense, d’attaque et d’entraînement.

Une « machine de guerre » dont chaque rouage n’aurait plus aucun secret à dévoiler… Il n’en est rien. Le système immunitaire est une galaxie inexplorée dont on aperçoit à peine quelques étoiles [4].

C’est ainsi, par exemple, qu’on se garde bien de communiquer sur le fait que le système immunitaire joue un rôle crucial dans le développement et le bon fonctionnement du système nerveux ou du système cardiaque [5]. Et donc, du SI dépend le meilleur… comme le pire, pour le développement de l’organisme [6].

Quelle importance, me direz-vous ? Eh bien, ça change tout ! Absolument tout, et on va voir ça en détail concernant le SI du cerveau.

2 – On devrait parler de système Neuro-Immun

Le SI est présent dans tout l’organisme, dans un état de vigilance non active. Lors d’un stimulus immunitaire (blessure, choc, infection, agression chimique, dysfonctionnement de cellules, vaccination…) ce système va réagir : on parle d’activation immunitaire. Cette activation se traduit notamment par la libération de cytokines, des molécules produites par les cellules du SI qui communiquent, amplifient ou inhibent la réponse immunitaire. Jusqu’ici, on est d’accord.

Mais il y a un hic.

Ce que personne ne nous dit, probablement par manque de connaissance sur le sujet, c’est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau [7]. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation.

En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux [8].

Contrairement à la croyance officielle, le système immunitaire et le système nerveux (et donc le cerveau) ne sont pas séparés. Ils sont même carrément interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun [9]. Activer le système immunitaire n’est pas du tout anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu’on le croit.

Voyons ce qu’il en est pour le cerveau en développement.

Activations immunitaires cérébrales précoces

On sait depuis longtemps que le développement du cerveau peut être perturbé par une activation immunitaire précoce [10], et plus précisément par les cytokines générées en cas d’inflammation, qui semblent jouer un rôle clé dans l’apparition des troubles autistiques [11]. Ce mécanisme a fait l’objet de nombreuses études depuis près de vingt ans, à la fois chez la souris, le singe et l’humain [12].

Les cytokines, même produites à distance du cerveau [13], peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui protège le cerveau (rappelons que la BHE du nourrisson est immature, plus poreuse que celle de l’adulte) et activer le système immunitaire cérébral : la microglie, les macrophages du système nerveux central. Or, ces cellules microgliales jouent un rôle fondamental dans la construction du cerveau [14] : la concentration en cytokines est critique pour un développement optimal. Une perturbation à ce niveau et c’est la microglie qui s’emballe, causant des troubles dans le développement du cerveau [15].

Plus l’activation immunitaire dure longtemps (voire de façon chronique), plus elle est forte, plus elle est répétée dans le temps… plus le risque d’autisme est grand [16].

Le timing de l’inflammation du cerveau, en fonction du stade de développement, joue un rôle fondamental [17].

Activation Immunitaire Maternelle (MIA)

Un modèle animal a été mis en place depuis 2006 pour étudier l’apparition des troubles du neurodéveloppement. L’idée est d’activer le système immunitaire de la femelle gestante par des injections de produits réactifs non-infectieux [18]. On peut citer les travaux essentiels de l’équipe du Pr Patterson de la prestigieuse Caltech aux USA, qui a mis en évidence ce mécanisme et qui a étudié les répercussions neurologiques de ces injections sur la progéniture [19]. Les résultats étaient si impressionnants que, dès 2006, le Pr Patterson tirait le signal d’alarme au sujet de la vaccination des femmes enceintes :

  • « Et que fait un vaccin ? Il active le système immunitaire. C’est le BUT de la vaccination. (…) Je pense que la vaccination universelle des femmes enceintes pourrait nous causer toute une série de problèmes » [20].

Leurs recherches, confirmées par d’autres équipes depuis, ont démontré un lien de causalité entre les cytokines pro-inflammatoires IL-6 et IL-17 et l’apparition de troubles autistiques chez la souris, mais aussi chez le singe [21], ainsi que de nombreux troubles associés à l’autisme (dysbiose intestinale, dysfonctionnement des mitochondries, inflammation cérébrale chronique, auto-immunité…) [22]. Chez l’homme, on retrouve des taux élevés de ces cytokines inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien de patients autistes, ainsi qu’une inflammation cérébrale chronique [23] (activation immunitaire permanente du cerveau).

Le « Multiple Hit »

Si une simple activation immunitaire, comme une grippe en cours de grossesse, suffisait à rendre un nourrisson autiste, il est évident que l’histoire de l’humanité aurait été bien différente… Des études récentes ont permis d’approfondir la compréhension du mécanisme en jeu : on observe que l’activation de la microglie, par les cytokines, se fait de façon progressive. La microglie peut en quelque sorte encaisser un certain nombre de stimuli immunitaires, jusqu’à un certain point [24]. Elle s’amorce progressivement avant de s’activer pleinement : on parle d’un modèle de « multiple hit » [25].

Une exposition à des toxiques environnementaux, une inflammation chronique ou une vaccination pendant la grossesse peuvent servir de « premier hit », capable d’amorcer la microglie, la plaçant dans un état de vigilance accrue : on parle d’amorçage. [26] Notons qu’il existe évidemment des susceptibilités génétiques, le fait que l’enfant soit un garçon étant la plus évidente – car les femelles seraient « moins inflammatoires » que les mâles [27].

Avec un deuxième voire troisième stimulus immunitaire, la microglie va s’activer pleinement. Une fois activée, elle va à son tour sécréter des cytokines pro-inflammatoires dont IL-17 et IL-6 [28] considérée comme nécessaire et suffisante pour causer l’autisme [29]. C’est un cercle vicieux : l’activation immunitaire devient chronique et délétère pour le système nerveux central (comme dans les maladies auto-immunes…) [30].

  • « … tous les facteurs qui modifient le nombre ou l’état d’activation de la microglie, soit in utero ou pendant la période post-natale précoce, peuvent affecter profondément le développement neuronal, entraînant ainsi des troubles neurodéveloppementaux dont l’autisme » [31].

Concrètement, un nourrisson mâle dont la maman aurait un trouble chronique, serait vaccinée et/ou en contact avec des polluants persistants, peut avoir une microglie amorcée in utero, et donc prête à s’activer au prochain stimulus immunitaire y compris après la naissance…

Activation Immunitaire Post-natale

Mais le plus intéressant, si je puis dire, c’est que les recherches récentes mettent en évidence que cet « amorçage », qui peut se faire in utero via « l’Activation Immunitaire Maternelle », peut également se produire après la naissance. Une étude de la Harvard Medical School [32] a testé toutes ces possibilités par des injections non-infectieuses pré et post-natales. Voici sa conclusion :

  • « Dans la plupart des cas, les effets les plus dramatiques ont été obtenus avec le « double hit » (activation immunitaire de la mère et activation immunitaire post-natale) »
    et
  • « L’activation immunitaire post-natale semble être suffisante pour produire les trois caractéristiques principales de l’autisme ».

Déjà en 2018, l’équipe tentait de tirer le signal d’alarme [33], soulignant dans le résumé d’introduction : « L’activation du système immunitaire pendant le développement pré-natal et post-natal précoce peut contribuer au développement de l’autisme ».

Notez bien, car c’est d’une importance cruciale : toutes ces études ont été réalisées par injection de substances réactives en l’absence d’infection, autrement dit, la présence d’un virus ou d’une bactérie n’est pas nécessaire pour activer le système immunitaire. L’activation immunitaire est bien plus durable (plusieurs mois) en cas de toxiques persistants, comme un adjuvant vaccinal, dont le rôle est précisément d’activer le système immunitaire durablement.

Le rôle de la vaccination dans les troubles du neurodéveloppement

Les vaccinations ont lieu pendant les années cruciales du développement cérébral. La formation des neurones, des cellules gliales, des synapses ou des gaines de myéline commence pendant la grossesse et se poursuit pendant des années après la naissance. Toutes ces étapes peuvent être impactées par une surproduction de la cytokine IL-6 [34] (en particulier la formation des synapses, zones de contact fonctionnel entre les neurones).

Il est donc théoriquement possible qu’un vaccin puisse impacter le développement cérébral. Voyons en pratique.

Les vaccinations ont lieu pendant des phases cruciales du développement cérébral [35]
(calendrier vaccinal états-unien, proche du français)

L’histoire emblématique du vaccin DTCoq

Le lien entre vaccination et inflammation du cerveau (et donc perturbation de son développement) ne date pas d’hier… Le premier signal d’alarme sur le sujet remonte aux années 70, exactement au moment où les vaccins à l’aluminium ont remplacé leurs versions non-adjuvées [36].

Le fameux DTCoq (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche contenant de l’aluminium) est devenu en quelques années le vaccin du scandale, accusé de provoquer des dommages cérébraux [37] et la mort subite de nourrissons [38].

Or, la formule du DTCoq a été modifiée au début des années 70, pour permettre une production à plus grande échelle : l’ajout de l’adjuvant aluminique a permis de produire beaucoup plus de vaccins à partir de la même quantité d’antigènes. Comme d’habitude, le choix des industriels est imposé de force au grand public. Mais devant le nombre de plaintes déposées, les grands laboratoires voient fondre leurs précieux bénéfices : la situation n’est pas tenable.

Les industriels prennent le problème en main :

– Ils envoient ces vaccins « impopulaires », mais très rentables, en Afrique (où ils font encore des ravages [39]).
– Ils modifient la formule du DTCoq (qu’ils recombinent dans les penta et hexavalents) pour dire que tout va beaucoup mieux maintenant, sans avoir à le démontrer…
– Car ils obtiennent l’immunité légale via l’obligation vaccinale [40], afin de ne plus être ennuyés par les réclamations intempestives du public : c’est la collectivité qui paiera les « très très rares » accidents vaccinaux désormais…
Du coup, les systèmes de pharmacovigilance publics ne sont pas très motivés pour surveiller les signaux d’alarme, ils restent donc passifs, complexes et obsolètes, histoire de ne rien détecter de gênant [41].

Parallèlement à tout cela, on a vu la multiplication du nombre d’injections, mais aussi la dégradation de notre environnement, progressivement envahi par la chimie synthétique [42] et les métaux toxiques. On a surtout pu observer l’explosion exponentielle des cas d’autisme dans la population.

Environnement toxique et vaccins : un cocktail explosif

Il est certain que les systèmes immunitaires des femmes enceintes sont aujourd’hui sollicités en permanence pour gérer la pollution, un stress ou une maladie chronique. Une majorité d’enfants naissent probablement avec une microglie au moins en partie amorcée.

Dans ce contexte délétère, augmenter le nombre de stimulations immunitaires (le nombre de vaccinations obligatoires ou recommandées), ne peut que conduire à une explosion des troubles du neurodéveloppement.

Alors qu’il y a encore quelques années, le corps de la femme enceinte était considéré à juste titre comme intouchable, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de plus en plus de vaccins (certains contenant de l’aluminium, dont on sait qu’il peut traverser le placenta [43]).

Aucune étude portant sur la vaccination de la femme enceinte ne s’intéresse à l’impact de la vaccination sur le développement neurologique de l’enfant (on imagine bien pourquoi).

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir vingt années de recherche disponibles sur un neurotoxique avéré…

Adjuvants aluminiques : une arme de destruction neurologique

On le sait bien aujourd’hui, les particules d’aluminium injectées dans le muscle sont phagocytées par les macrophages du système immunitaire et peuvent migrer dans tout l’organisme (y compris le cerveau) [44]. Ces particules peuvent nuire au développement neurologique de plein de façons différentes !

Neurotoxique et très persistant

L’aluminium, en plus d’être neurotoxique, est aussi très biopersistant, provoquant une stimulation immunitaire de longue durée… ce qui est un danger pour le développement du système nerveux central du nourrisson [45].

Pro-inflammatoire même à distance !

On sait qu’une vaccination adjuvée à l’aluminium peut provoquer la sécrétion de la cytokine IL-6 dans le cerveau de rats nouveau-nés [46]. Et on l’a vu, IL-6 est « nécessaire et suffisante » pour causer des troubles du neurodéveloppement [47].

Une étude de UC Davis [48] a observé qu’une simple injection d’adjuvant aluminique (seul ou dans un vaccin) chez le jeune rat causait une augmentation d’IL-6 dans le cerveau.

En clair, l’aluminium n’a même pas besoin d’entrer dans le cerveau : en déclenchant une inflammation dans le muscle, au site d’injection périphérique, il peut activer durablement la microglie cérébrale, via la sécrétion de cytokines (en particulier IL-6) [49].

Mais ce n’est pas tout…

Cette toxicité à court terme est renforcée par une toxicité retardée, due à la pénétration cérébrale des adjuvants aluminiques, qui peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) en cas d’inflammation ou chez le nourrisson dont la BHE est immature. Certains produits contenus dans les vaccins pédiatriques, comme le polysorbate 80, permettent d’améliorer la porosité de la BHE… afin de faciliter l’accès au cerveau ? [50]

Le fait que la vaccination puisse provoquer une inflammation cérébrale, donc une augmentation du niveau de cytokines pro-inflammatoires, est aujourd’hui bien documenté, une revue sur ce sujet précis existe. [51]

Un dernier pour la route ?

L’autre facteur représentant un danger pour le développement neurologique est finalement la fréquence des injections : plus le système immunitaire est stimulé en intensité, en durée, mais aussi de façon répétée, plus la microglie a de chance de s’activer pleinement.

En clair, tout, absolument tout est fait pour activer au maximum la microglie des nourrissons et provoquer des troubles du neurodéveloppement : un environnement pollué, des activations immunitaires précoces et fréquentes, des croyances médicales obsolètes, des connaissances scientifiques totalement ignorées… voire censurées [52].

On voudrait causer ces troubles, on ne s’y prendrait pas autrement.

Vaccination de la femme enceinte

Pour finir, faisons un petit point sur la vaccination chez la femme enceinte. Je passe sur le « vaccin » anti-covid qui a déjà fait couler beaucoup d’encre [53].

Depuis avril 2022, la HAS recommande la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche à chaque grossesse (même si la femme a été vaccinée peu de temps avant la grossesse) afin de protéger les nouveau-nés et les nourrissons de moins de six mois [54]. Les vaccins recommandés sont généralement des tétravalents (Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio) à l’aluminium.

Que sait-on de la sécurité de cette vaccination ? Sans grande surprise, pas grand-chose. Les études financées par les grands labos [55] sont bien évidemment rassurantes puisque tous les effets indésirables sont considérés comme non relatifs à la vaccination. Les bébés, eux, n’ont été observés que pendant un mois… et bien sûr, la question de leur développement neurologique n’a effleuré personne… Rappelons que l’âge moyen du diagnostic d’autisme est de 50 mois [56].

Mais alors, que sait-on de l’efficacité de ce procédé : vacciner la mère pour protéger l’enfant ? C’est là que ça se complique. Les labos nous disent qu’un transfert des anticorps anticoquelucheux maternels s’opère chez le nouveau-né. Peut-on réellement en conclure que l’enfant est mieux protégé contre la maladie ? Rien n’est moins sûr : de façon générale, la vaccination contre la coqueluche a été décriée dans la communauté scientifique ces dernières années, accusée d’être trop peu efficace [57]. Une étude de 2017 [58] conclut même que les enfants vaccinés seront plus sensibles à la maladie, tout au long de leur vie.

Mais le plus perturbant, c’est que les chercheurs (en lien avec l’industrie) semblent avoir décelé une potentielle interférence entre les anticorps de la mère et ceux de l’enfant vacciné, comme en témoigne cet échange entre la Pr Helen Petousis-Harris, vaccinologue membre du GAVSC de l’OMS, et Stanley Plotkin, surnommé le « parrain des vaccins », probablement l’une des plus grandes sommités dans le domaine.

Dans ce mail datant du 17 juillet 2019, Helen explique que, dans deux études de cohorte qu’ils viennent de réaliser, les enfants nés de mères vaccinées pendant la grossesse sont plus sensibles à la coqueluche, une fois vaccinés à six semaines.

On dirait bien un exemple de « facilitation de l’infection par les vaccins », comme on l’a vu pour le vaccin contre la dengue… ou le covid [59]. La vaccination des mères semble donc nuire à l’enfant, y compris en termes de protection contre la coqueluche : une forte concentration d’anticorps ne signifie pas que l’enfant est protégé. Peut-être même le contraire.

Mais ce qui est très étrange, c’est que le jour même, Mme Petousis-Harris envoyait pour publication cette étude de cohorte [60] dont elle parle… et qui ne mentionne absolument rien concernant ce « petit » problème de facilitation de l’infection…

Le grand public n’a de toute évidence pas besoin de savoir.

Conclusion

Je ne peux pas m’empêcher d’y penser… Si un vaccin peut causer une activation microgliale et que celle-ci devient hors de contrôle… cette inflammation cérébrale ne pourrait-elle pas conduire aux signes cliniques observés chez les enfants victimes du « syndrome du bébé secoué » sans qu’il y ait le moindre choc [61] ? Que penser alors de tous ces cas d’assistantes maternelles [62], bien évidemment formées au danger de secouer un bébé, et autres parents accusés d’avoir maltraité leurs enfants… alors qu’une vaccination pourrait être responsable de ces lésions cérébrales ? [63]

À la lecture de la revue du Dr Crépeaux et de son équipe (réalisée notamment grâce aux dons du public, je le souligne) et de la littérature dans son ensemble, une chose me paraît évidente : tous les ingrédients sont réunis pour nuire au bon développement neurologique d’un maximum d’enfants. Il me semble que la médecine est passée du côté obscur de la force, depuis très longtemps : en maintenant des croyances non fondées scientifiquement, au prétexte que la vaccination serait aussi incritiquable qu’un dogme religieux, on condamne une partie grandissante de l’humanité à vivre coupée d’elle-même, avec des cerveaux qui ne sont pas ceux qu’ils auraient dû avoir, avec des troubles chroniques qui ne permettent pas l’accès au bien-être physique et mental, pour la majorité des autistes… et leurs proches [64].

Nous sommes au milieu d’une guerre de l’information : chaque personne qui comprend les enjeux et a accès à ces données doit agir pour la diffusion de ce savoir, en particulier auprès des médecins. Nous avons absolument tous un rôle à jouer dans cette histoire.

– Les chercheurs qui, contre vents et marées, produisent la connaissance, sans savoir s’ils auront encore des financements l’année prochaine. N’hésitez pas à les soutenir : ce sont eux qui nous permettent de comprendre ce qui se passe réellement : https://www.helloasso.com/associations/association-e3m/formulaires/3
– Les médias alternatifs, les associations de patients et les citoyens qui lisent cette science et tentent de la transmettre au public le plus large possible.
– Les activistes qui déterrent des informations dissimulées au public
– Les soignants capables de remettre en question leurs croyances… et qui en paient le prix fort.
– Les parents qui luttent pour protéger leurs enfants de cette barbarie… ou pour les soigner (car oui, c’est possible).

C’est exactement ce que nous montrent les événements de ces deux dernières années. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette histoire. C’est notre histoire. Et personne d’autre que nous n’a le droit de l’écrire à notre place. Alors n’hésitez pas à faire passer le message à tous les médecins, infirmiers, pédiatres, pharmaciens que vous croiserez :

 

« Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités,
peuvent vous faire commettre des atrocités. »

Anonyme

 

Hypatie A
Octobre 2022

Notes et sources :

[1] https://www.inserm.fr/dossier/autisme/
[2] https://michel.delorgeril.info/autisme/une-tragedie-neurologique-chez-les-enfants-aux-usa-les-troubles-autistiques/
[3] Angrand 2022 Inflammation and Autophagy: A Convergent Point between Autism Spectrum Disorder (ASD)-Related Genetic and Environmental Factors: Focus on Aluminum Adjuvants – PubMed (nih.gov)
(Version Française : https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2022/09/2022.08-Angrand-et-al-in-Toxics-Inflammation-autophagie-TSA-et-Al.pdf )
[4] Sattler 2017 The Role of the Immune System Beyond the Fight Against Infection – PubMed (nih.gov)
[5] Shamim Rahman 2017 https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-3-319-57613-8_7
Swirski 2018 https://www.nature.com/articles/s41577-018-0065-8
[6] Steffens 2022 Immune cells in cardiac homeostasis and disease: emerging insights from novel technologies – PubMed (nih.gov)
[7] Deverman et Patterson 2009 Cytokines and CNS development – PubMed (nih.gov)
Mousa 2013 Role of cytokine signaling during nervous system development – PubMed (nih.gov)
[8] Bilbo 2018 Beyond infection – Maternal immune activation by environmental factors, microglial development, and relevance for autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
[9] Lukens 2022 An introduction to neuroimmunology – PubMed (nih.gov)
[10] Ciaranello et al., 1995 https://www.annualreviews.org/doi/10.1146/annurev.ne.18.030195.000533
[11] Meyer 2009 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19442688/
Deverman et Patterson 2009 Cytokines and CNS development – PubMed (nih.gov)
Estes et McAllister, 2016 Maternal immune activation: Implications for neuropsychiatric disorders – PubMed (nih.gov)
Knuesel 2014, Maternal immune activation and abnormal brain development across CNS disorders – PubMed (nih.gov)
Careaga 2017 Maternal Immune Activation and Autism Spectrum Disorder: From Rodents to Nonhuman and Human Primates – PubMed (nih.gov)
Meyer 2014 Prenatal poly(i:C) exposure and other developmental immune activation models in rodent systems – PubMed (nih.gov)
[12] Estes et McAllister, 2016 Maternal immune activation: Implications for neuropsychiatric disorders – PubMed (nih.gov)
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Weir 2015 Preliminary evidence of neuropathology in nonhuman primates prenatally exposed to maternal immune activation – PubMed (nih.gov)
Estes 2015 Immune mediators in the brain and peripheral tissues in autism spectrum disorder – PubMed (nih.gov)
Goines et al, 2012 Cytokine dysregulation in autism spectrum disorders (ASD): possible role of the environment – PubMed (nih.gov)
Gottfried 2015 Frontiers | The Impact of Neuroimmune Alterations in Autism Spectrum Disorder (frontiersin.org)
Magdalon 2020 Complement System in Brain Architecture and Neurodevelopmental Disorders – PubMed (nih.gov)
Westacott 2022 Complement Dependent Synaptic Reorganisation During Critical Periods of Brain Development and Risk for Psychiatric Disorder – PubMed (nih.gov)
[13]  Wendeln 2018 Innate immune memory in the brain shapes neurological disease hallmarks | Nature
Li 2015 Neonatal vaccination with bacillus Calmette-Guérin and hepatitis B vaccines modulates hippocampal synaptic plasticity in rats – PubMed (nih.gov)
On sait depuis quelques années qu’il suffit d’une activation immunitaire n’importe où  dans l’organisme pour activer la microglie du cerveau de façon durable (au moins 6 mois… c’est beaucoup pour une souris ! avec un impact. Pour en savoir plus : Hep-B and BCG Vaccines Affect Brain Development By Immune Activation vaccinepapers.org
[14] Thion 2020 Microglial ontogeny, diversity and neurodevelopmental functions – PubMed (nih.gov) /
[15] Bilbo 2018 Beyond infection – Maternal immune activation by environmental factors, microglial development, and relevance for autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
Perry 2002 Atypical inflammation in the central nervous system in prion… : Current Opinion in Neurology (lww.com)
Komada 2022 Epigenetics and Neuroinflammation Associated With Neurodevelopmental Disorders: A Microglial Perspective – PubMed (nih.gov)
[16] Jones 2017 Autism with intellectual disability is associated with increased levels of maternal cytokines and chemokines during gestation – PubMed (nih.gov)
Zerbo 2014 Neonatal cytokines and chemokines and risk of Autism Spectrum Disorder: the Early Markers for Autism (EMA) study: a case-control study – PubMed (nih.gov)
[17] Meyer 2006 The time of prenatal immune challenge determines the specificity of inflammation-mediated brain and behavioral pathology – PubMed (nih.gov)
[18] Poly-IC et LPS (lipopolysaccharide), activateurs non-infectieux du système immunitaire, utilisés en recherche pour « activer » le système immunitaire. Les papiers Wendeln 2018, Li 2015 ou Bruce 2019 utilisent de vrais vaccins, avec les mêmes résultats (activation immunitaire cérébrale).
[19] Malkova 2012 Maternal immune activation yields offspring displaying mouse versions of the three core symptoms of autism – PubMed (nih.gov) Et bien d’autres…
[20] http://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Pregnancy-Immunity-Schizophrenia-and-Autism-Patterson.pdf
[21] Voir note XI
[22] Labouesse 2015, Long-term pathological consequences of prenatal infection: beyond brain disorders – PubMed (nih.gov)
Zager 2015 Maternal immune activation in late gestation increases neuroinflammation and aggravates experimental autoimmune encephalomyelitis in the offspring – PubMed (nih.gov)
Shi, Patterson et al, 2009, Activation of the maternal immune system alters cerebellar development in the offspring – PubMed (nih.gov)
Giulivi et al, 2013, Gestational exposure to a viral mimetic poly(i:C) results in long-lasting changes in mitochondrial function by leucocytes in the adult offspring – PubMed (nih.gov)
Garay et al, 2012 Maternal immune activation causes age- and region-specific changes in brain cytokines in offspring throughout development – PubMed (nih.gov)
Hsaio et al, 2013, Microbiota modulate behavioral and physiological abnormalities associated with neurodevelopmental disorders – PubMed (nih.gov)
[23] Etude clé : Vargas 2005, (citée 711 fois sur pubmed… c’est énorme) Neuroglial activation and neuroinflammation in the brain of patients with autism – PubMed (nih.gov)
[24] Carlezon 2019 Maternal and early postnatal immune activation produce sex-specific effects on autism-like behaviors and neuroimmune function in mice – PubMed (nih.gov)
[25] Grova 2019 Epigenetic and Neurological Impairments Associated with Early Life Exposure to Persistent Organic Pollutants – PubMed (nih.gov)
Daskalakis 2013 The three-hit concept of vulnerability and resilience: toward understanding adaptation to early-life adversity outcome – PubMed (nih.gov)
[26] Bilbo 2018 Beyond infection – Maternal immune activation by environmental factors, microglial development, and relevance for autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
[27] « Nos découvertes suggèrent que l’activation du système immunitaire durant des périodes critiques du développement est suffisante pour produire des altérations permanentes dans le comportement et la biologie du cerveau – même en l’absence de vulnérabilité génétique ou de lésion – et que les femelles peuvent mettre en place des réponses anti-inflammatoires qui peuvent expliquer la sévérité réduite de ce phénotype chez les souris de ce sexe »
Carlezon 2019 Maternal and early postnatal immune activation produce sex-specific effects on autism-like behaviors and neuroimmune function in mice – PubMed (nih.gov)
Est-ce que cette différente gestion de l’inflammation expliquerait la différence de longévité entre les hommes et les femmes ?
[28] Wei 2013 Brain IL-6 and autism – PubMed (nih.gov)
Takano 2015 Role of Microglia in Autism: Recent Advances – PubMed (nih.gov)
Akintunde 2015 Increased production of IL-17 in children with autism spectrum disorders and co-morbid asthma – PubMed (nih.gov)
Al-Ayadhi 2012 Elevated serum levels of interleukin-17A in children with autism – PubMed (nih.gov)
Suzuki 2011 Plasma cytokine profiles in subjects with high-functioning autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
Pour en savoir plus : New Kid On The Block: IL-17a vaccinepapers.org
[29] Pineda 2013 Maternal immune activation promotes hippocampal kindling epileptogenesis in mice. – Abstract – Europe PMC – voir figure 6
Smith 2007  Maternal immune activation alters fetal brain development through interleukin-6 – PubMed (nih.gov) : en bloquant IL-6, la MIA ne provoque pas de troubles chez le nourrisson.
[30] Voir références 53-60 de Angrand 2022 Inflammation and Autophagy: A Convergent Point between Autism Spectrum Disorder (ASD)-Related Genetic and Environmental Factors: Focus on Aluminum Adjuvants – PubMed (nih.gov)
[31] Takano 2015 Role of Microglia in Autism: Recent Advances – PubMed (nih.gov)
[32] Carlezon 2019 Maternal and early postnatal immune activation produce sex-specific effects on autism-like behaviors and neuroimmune function in mice – PubMed (nih.gov)
[33] Li 2018 Maternal and Early Postnatal Immune Activation Produce Dissociable Effects on Neurotransmission in mPFC-Amygdala Circuits – PubMed (nih.gov)
[34] Wei 2011 IL-6 is increased in the cerebellum of autistic brain and alters neural cell adhesion, migration and synaptic formation – PubMed (nih.gov)
[35]Semple 2013 Brain development in rodents and humans: Identifying benchmarks of maturation and vulnerability to injury across species – PubMed (nih.gov)
[36] Pour en savoir plus : https://alutotal.org/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
[37] Stewart 1977 Vaccination against whooping-cough. Efficacy versus risks – PubMed (nih.gov)
[38] Hoffman 1987 Diphtheria-tetanus-pertussis immunization and sudden infant death: results of the National Institute of Child Health and Human Development Cooperative Epidemiological Study of Sudden Infant Death Syndrome risk factors – PubMed (nih.gov)
[39] Travaux du Pr Peter Aaby : Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine to Children Aged 6-35 Months in Guinea-Bissau: A Time for Reflection? – PubMed (nih.gov)
qu’il expose en vidéo : https://www.scientificfreedom.dk/lectures/
[40] https://en.wikipedia.org/wiki/National_Childhood_Vaccine_Injury_Act
[41] https://www.aimsib.org/2021/10/30/vaccination-de-masse-et-logique-sacrificielle/
[42] Un exemple parmi d’autres : impact de la fluorisation de l’eau sur le développement neurologique https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2748634
[43] Références 236 à 239 de Angrand 2022
[44] Revue complète par l’équipe du Dr Crépeaux : Masson 2022 Clearance, biodistribution, and neuromodulatory effects of aluminum-based adjuvants. Systematic review and meta-analysis: what do we learn from animal studies? – PubMed (nih.gov)
[45] Références 123, 145 à 147 de Angrand 2022
[46] Li 2015 Neonatal vaccination with bacillus Calmette-Guérin and hepatitis B vaccines modulates hippocampal synaptic plasticity in rats – PubMed (nih.gov)
[47] IL-6 affecte la migration et l’adhésion des neurones, ainsi que la synaptogénèse (Wei 2011 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21595886/ ). Elle produit plus de synapses excitatrices, et moins de synapses inhibitrices (Wei 2012a https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22326556/ ) ce qui explique l’extrême sensibilité sensorielle de certains autistes.
[48] Bruce 2019 Acute peripheral immune activation alters cytokine expression and glial activation in the early postnatal rat brain – PubMed (nih.gov)
Et Li 2015 (injection de l’hépatite B qui contient de l’aluminium) Neonatal vaccination with bacillus Calmette-Guérin and hepatitis B vaccines modulates hippocampal synaptic plasticity in rats – PubMed (nih.gov)
[49] Même l’aluminium soluble peut déclencher IL-6 dans des organes distants, voir références 189, 192 à 198 de Angrand 2022
[50] https://www.theses.fr/2015AIXM5076.pdf
[51] https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/Giannotta-2018-Vaccines-and-neuroinflammation-.pdf
[52] https://www.aimsib.org/2021/03/07/autopsie-assassinat-scientifique/
[53] https://www.aimsib.org/2022/05/08/vacciner-les-femmes-enceintes-est-une-folie-absolue/
[54] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/qr_professionnels_coqueluche_28062022.pdf
[55] Perret 2020 Immunogenicity, transplacental transfer of pertussis antibodies and safety following pertussis immunization during pregnancy: Evidence from a randomized, placebo-controlled trial – PubMed (nih.gov)
[56] Analysis of the 2000 to 2018 autism and developmental disabilities monitoring network surveillance reports: Implications for primary care clinicians – PubMed (nih.gov)
[57] The 112-Year Odyssey of Pertussis and Pertussis Vaccines-Mistakes Made and Implications for the Future – PubMed (nih.gov)
[58] https://www.bu.edu/sph/news/articles/2017/resurgence-of-whooping-cough-may-owe-to-vaccines-inability-to-prevent-infections
[59] https://www.aimsib.org/2022/10/02/explications-biologiques-du-mecanisme-des-effets-indesirables-des-vaccins-anti-covid-19/
[60] Petousis-Harris 2019 A Retrospective Cohort Study of Safety Outcomes in New Zealand Infants Exposed to Tdap Vaccine in Utero – PubMed (nih.gov)
[61] Edlmann 2017 Pathophysiology of chronic subdural haematoma: inflammation, angiogenesis and implications for pharmacotherapy – PubMed (nih.gov)
[62] https://www.ouest-france.fr/normandie/val-au-perche-61260/val-au-perche-syndrome-du-bebe-secoue-la-nounou-devant-la-justice-a1feebd6-34e2-11ed-919d-c96701fa2e2f
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/09/22/proces-de-la-nounou-le-syndrome-du-bebe-secoue-conteste-par-la-defense
https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2022/09/14/bebe-secoue-une-assistante-maternelle-condamnee-a-six-ans-de-prison
et bien d’autres… voir l’association Adikia
[63] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Bebe-secoue—vaccins-_Sylvie-Simon_.pdf
[64] Je n’englobe par les diagnostics Asperger qui ont la chance de vivre à peu près normalement, mais qui représentent une très faible proportion des autistes. Mon filleul, ex autiste sévère, est aujourd’hui « seulement » Asperger : il est considéré comme guéri.

 

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