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Des vaccins induisent l’autisme, on le sait parfaitement, on le cache et on continue

Le combat de la médecine contre l’industrie ne sera pas perdu tant que, régulièrement, des voix indépendantes se feront entendre pour venir la défendre. Bravo au courageux Xavier Bazin, journaliste scientifique, fondateur d’une revue francophone de santé à fort tirage (*) et auteur aussi généreux que remarqué (**). Le couple Covidocrise et vaccination l’ayant désagréablement marqué, imperturbablement il remonte dans le temps afin de comprendre à partir de quand la vaccination s’est écartée de la mission vertueuse qu’on lui attribuerait volontiers tous. Il décrit une situation hallucinante à partir de la fin du XXe siècle, toujours parfaitement en vigueur à ce jour car on ne se débarrasse pas comme ça du poids sacro-saint du mensonge développé autour de certains vaccins défectueux et qui pèsent si lourd sur la santé des hommes… Bonne lecture.

Peut-on faire confiance aux AUTORITÉS DE SANTÉ sur les vaccins ? NON, et voici pourquoi.

Cher(e) ami(e) de la Santé,
L’Agence du médicament américaine (FDA) vient de faire une chose assez inouïe. Il y a plus d’un an, la FDA a accordé une « autorisation d’urgence » au vaccin Pfizer anti-covid. Sur la base de quoi ? De l’essai clinique et des informations fournies par le fabricant, Pfizer. Mais jusqu’à présent, la plupart de ces données n’ont pas été rendues publiques. Alors qu’elles ont conduit à vacciner des dizaines de millions d’Américains, avec un produit expérimental. Dans un monde normal, ces informations devraient être accessibles à tout le monde… surtout que l’efficacité annoncée de 95 % n’a jamais été observée dans la réalité.

Mais étrangement, la FDA a essayé de faire de la rétention de ces données. Tenez-vous bien : elle a promis de les livrer en intégralité en l’an 2097… c’est à dire dans 75 ans ! Qu’a-t-elle à cacher ?
Il a fallu qu’une association porte plainte pour que la FDA soit contrainte par la Justice à livrer toutes les données de Pfizer d’ici la fin de l’année 2022 ! C’est une bonne nouvelle, mais attendez la suite.

La FDA a alors demandé publiquement l’aide de Pfizer pour caviarder le rapport (c’est-à-dire « masquer » certains passages), sous couvert de protéger des secrets industriels.

Résultat : nous risquons fort de recevoir un rapport contenant de nombreux passages « masqués », ce qui pourrait ressembler à ceci :

 

« Tout va bien, faites confiance aux autorités » image humoristique illustrant le risque de publication d’un rapport totalement « caviardé » par la FDA. Cette affaire serait amusante si cela ne révélait pas un énorme problème avec nos autorités de santé. Les agences du médicament devraient être totalement transparentes à l’égard des citoyens. Alors que se passe-t-il ? L’argent et la corruption organisée par Big Pharma jouent un rôle énorme, évidemment. Mais cela n’explique pas tout. Tout le monde n’est pas corrompu. Dans ma dernière lettre (11), j’ai commencé à expliquer pourquoi la majorité des médecins et experts se trompent sur la vaccination : par ignorance ou pour protéger leur réputation.

Mais il faut parler maintenant du problème spécifique des « autorités de santé ». Ce sont elles qui définissent le « consensus scientifique », aux yeux des médecins et des médias. C’est sur leurs avis que les responsables politiques prennent leurs décisions. Et pourtant vous allez voir pourquoi on ne peut pas leur faire confiance sur la vaccination. En commençant par le scandale incroyable du mercure dans les vaccins.

Mercure vaccinal et autisme : les autorités ont CAMOUFLÉ le lien !

L’affaire se passe aux États-Unis en 1999 (1). Depuis une dizaine d’années, les cas d’autisme et de troubles neurologiques sont en explosion – sans que personne ne sache pourquoi.

Il se trouve qu’en 1989, le calendrier vaccinal des nouveau-nés a été fortement alourdi, avec notamment le vaccin contre l’hépatite B, injecté dès le premier mois. Or ce vaccin contenait un « agent conservateur » appelé thiomersal – qui n’est rien d’autre que du mercure, un violent poison.

Il peut paraître étrange de placer du mercure dans une seringue destinée à des nouveau-nés, mais pour l’industrie pharmaceutique, le thiomersal avait l’avantage d’être bon marché et d’éliminer les microbes pouvant contaminer le vaccin.

Finalement, la principale autorité américaine sur les maladies infectieuses – le CDC – décide d’enquêter sur les effets de ce mercure vaccinal.

Un épidémiologiste qui travaille au CDC, Thomas Verstraeten, découvre alors que le mercure du vaccin hépatite B est associé à une augmentation dramatique du risque d’autisme.  Les enfants qui avaient reçu les doses les plus importantes de mercure vaccinal avaient un risque d’autisme multiplié par 7 par rapport aux enfants qui n’avaient rien reçu – ainsi qu’un risque beaucoup plus élevé de troubles de l’attention et du sommeil.

Catastrophée, la hiérarchie de Thomas Verstraeten lui demande de vérifier ses chiffres (2). Mais il a beau refaire ses calculs dans tous les sens, il trouve toujours une augmentation de l’autisme liée au mercure vaccinal. Il va même jusqu’à écrire à sa hiérarchie que cette corrélation « ne veut juste pas partir »it just won’t go away ») (3).

Dans son rapport final, il va même jusqu’à trouver une multiplication par 11 (et non pas seulement par 7) du risque d’autisme lié aux plus fortes expositions au mercure vaccinal à l’âge d’un mois.
Même lorsque l’injection du mercure avait lieu un peu plus tard, à l’âge de trois mois, il trouvait encore une multiplication par deux du risque d’autisme.

C’est alors le branle-bas de combat au CDC. L’Agence convoque un séminaire secret de deux jours avec :
– 52 représentants des plus gros acteurs de l’industrie pharmaceutique ;
– Les plus grands chercheurs et experts des vaccins ;
– Et toutes les autorités de santé concernées : la FDA, le NIH, l’OMS et même des agences européennes.

Par chance, le grand avocat et défenseur de l’environnement, Robert Kennedy, a réussi à mettre la main sur la retranscription de ce qui s’y est dit (4)… et ce n’est pas beau à voir.

Figurez-vous que ces « spécialistes » se sont rendu compte qu’ils avaient totalement négligé la dose cumulative de mercure injectée aux enfants. Les autorités ont donné leur feu vert à quantité de nouveaux vaccins infantiles… sans réaliser que les doses de mercure injectées avaient dépassé toutes les normes de sécurité !

Voici comment a réagi, horrifiée, le Dr Patriarca, alors directrice de la recherche sur les vaccins à la FDA :
– « Calculer la dose de mercure relève de l’algèbre de collégien. Pourquoi la FDA a mis si longtemps à le faire ? »

Face à cette terrible découverte, il n’y avait qu’un seul choix honnête possible : tout avouer au public, et faire amende honorable – c’est ce qu’a proposé la Dr Ruth Etzel, de l’Agence de l’environnement (EPA). Mais ils ont décidé de faire le contraire. Le Dr Patriarca a exprimé ses craintes que cette affaire n’endommage durablement la crédibilité des autorités de santé, qui seront accusées de s’être « endormies au volant » et d’avoir laissé passer un problème énorme.

Le Dr Bob Chen, chef de la sécurité des vaccins au CDC, a ainsi exprimé son soulagement que, « vu le caractère sensible de ces informations, elles ne soient pas tombées dans des mains, disons, moins responsables » (sous-entendu, les méchants anti-vax qui auraient pu s’en servir).

Le Dr John Clements, conseiller sur les vaccins à l’Organisation mondiale de la santé, a sans doute exprimé le sentiment général en disant « peut-être que cette étude n’aurait pas dû être faite ». Finalement, tous ces technocrates et représentants de Big Pharma ont fini par se convaincre qu’il était dans l’intérêt de tout le monde d’étouffer le scandale. Alors, le CDC a supprimé le rapport de Verstraeten, et fait comme s’il n’avait jamais existé.

Verstraeten, lui, a été engagé par le géant pharma GSK.

Puis, pour éviter que d’autres chercheurs ne puissent retrouver ses résultats, le CDC a confié la base de données à une agence privée, non accessible aux chercheurs. Enfin, le CDC a payé l’Institut de médecine pour qu’il refasse les calculs en s’assurant que le lien entre autisme et mercure disparaisse totalement des résultats (« le CDC veut que l’on conclut que les vaccins sont sans danger », avait déclaré la Dr. Marie McCormick).

Quand on connaît un peu les statistiques, on sait qu’il n’est pas difficile de trafiquer les chiffres pour atteindre le résultat désiré. Et c’est ainsi qu’en 2004, le rapport officiel de l’Institut de médecine conclut qu’il n’y a pas de lien apparent entre thiomersal et autisme.

Et pour couronner le tout, il recommande de ne plus mener la moindre recherche sur cette question.

Vous comprenez, maintenant, comment ça se passe ?

Pour les autorités de santé : protéger leur crédibilité à tout prix.

Il faut bien comprendre que le problème est structurel. Les autorités de santé détestent reconnaître leur tort… en partie pour de « bonnes raisons » ! Les autorités craignent par-dessus tout qu’on leur dise :

  • « Si vous avez eu tort sur ce point, pourquoi est-ce qu’on vous croirait sur le reste ? ».

Voilà pourquoi vous n’entendrez jamais les autorités de santé confesser qu’elles ont eu radicalement tort… Au contraire, elles feront tout pour modifier leurs conseils discrètement, petit à petit, en espérant que leur bévue ne sera pas repérée.

Second exemple atterrant, le BCG

Prenez l’exemple du vaccin BCG, obligatoire jusqu’en 2007 en France. Quand une étude scientifique de grande ampleur a montré en 1999 que ce vaccin BCG n’avait aucune efficacité sur la tuberculose (5), qu’ont fait les autorités de santé ? Croyez-vous qu’elles ont immédiatement arrêté les frais, et demandé pardon de l’avoir imposé à tous les bébés pendant plus de 50 ans ? Pas du tout !

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10573656/

D’abord, elles n’ont pas réagi. (6)

Puis, en 2005, Sanofi Pasteur a arrêté de produire son fameux vaccin BCG à « bagues multipoints » – celui qui causait la fameuse cicatrice sur les épaules ou chevilles de millions d’enfants. Il ne restait alors plus qu’un seul vaccin BCG disponible, un vaccin injectable (intradermique) et connu pour provoquer davantage d’effets indésirables (8).

Résultats : certains médecins Français ne voulaient plus donner le BCG aux enfants avec ce nouveau vaccin injectable, et le nombre de certificats de complaisance commençait à exploser. Voilà pourquoi les autorités ont été obligées d’abandonner l’obligation vaccinale en 2007.

Pour ne pas perdre la face, elles ont prétendu qu’il n’y avait plus beaucoup de tuberculose en France, ce qui était déjà le cas 10 ou 20 ans avant !

L’argument est d’autant plus fallacieux que ces autorités n’ont jamais demandé d’arrêter le vaccin DTP, alors que le tétanos ne cause presque plus de morts, et que le nombre de cas de polio ou de diphtérie est égal à zéro depuis des années.

Mais pour les autorités de santé, il fallait défendre leur réputation : elles devaient arrêter la vaccination du BCG… sans reconnaître qu’elles avaient eu tort de l’imposer pendant 50 ans.

Le problème, c’est que cela conduit à faire perdurer des mythes et des mensonges. Si vous en doutez, regardez cet article à peine croyable de France Inter datant de 2021, qui prétend que le vaccin BCG, pourtant démontré comme inefficace, a sauvé 1 milliard de vies !

https://www.franceinter.fr/societe/le-vaccin-bcg-le-plus-administre-au-monde-a-100-ans

Un article aussi mensonger aurait été impossible si les autorités françaises avaient été honnêtes, au début des années 2000, sur l’efficacité réelle du BCG et les raisons d’arrêter ce vaccin.

Mais il est très difficile pour les autorités gouvernementales de dire la vérité. De leur point de vue, tout paraît justifié, y compris des gros mensonges, pour éviter que les citoyens cessent de leur faire confiance.

Même quand les preuves de leur erreur sont évidentes, comme dans le cas de l’amiante, il leur a fallu des décennies pour le reconnaître publiquement et changer leurs recommandations.

Il n’y a que lorsque le scandale est manifeste et médiatiquement « chaud » (comme dans le cas du Médiator) que les autorités sont obligées d’admettre publiquement qu’elles se sont trompées. Quand on y réfléchit bien, c’est assez logique. Le problème est structurel : que peut-on attendre de la part des autorités qui ont approuvé un médicament comme le Médiator… ou qui n’ont rien dit de leurs effets indésirables pendant des années ?

Ces autorités-là seront toujours les dernières à reconnaître qu’elles ont fait une grosse erreur qui a coûté des milliers de morts ! Et c’est l’une des raisons qui expliquent que tout est fait pour masquer les effets indésirables des vaccins.

 Au tour de l’aluminium particulaire

Le Pr Romain Gherardi, qui a, en France, découvert la toxicité de l’aluminium des vaccins, en a fait les frais de manière éclatante (9).

En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) a officiellement recommandé de stopper les recherches sur le lien de causalité entre l’aluminium et la myofasciite à macrophages (une maladie neurologique grave).

C’était le meilleur moyen d’éviter que la vérité n’éclate sur la dangerosité de l’aluminium vaccinal. Pourquoi l’Afssaps a fait cela ? Parce que les « experts » impliqués avaient des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique, bien sûr.

Mais aussi parce qu’il est dans la logique des organisations qu’une institution comme l’Afssaps, qui a autorisé l’injection d’aluminium à des millions d’enfants, soit très réticente à reconnaître après coup que cela peut causer de graves dégâts !

Force est de constater que ce qu’a découvert le pauvre Pr Gherardi était terriblement banal :
– « L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique ».

Le Pr Gherardi ajoute que l’Afssaps, « financée à 80 % par l’industrie, est prioritairement un outil à son service. » Mais l’influence de Big Pharma n’explique pas tout : il est toujours calamiteux que les mêmes personnes ou structures soient « juges et parties » !

Ceux qui autorisent les médicaments ne peuvent pas être les mêmes qui en surveillent les effets indésirables, cela devrait être évident pour tout le monde !

Un énorme scandale vaccinal … pour demain matin

Pour les vaccins Covid, c’était la même chose : il était clair qu’il aurait fallu donner à une autorité indépendante le soin d’examiner leurs effets indésirables. Si vous donnez ce pouvoir à l’Agence du Médicament, qui a officiellement autorisé ces vaccins, elle fera tout pour minimiser les dégâts qu’ils provoquent, parce qu’elle en est en partie responsable !

Et voilà comment la désinformation sur l’intérêt réel de la vaccination en général est nourrie et entretenue par les autorités de santé :

  • Sur la base d’un mythe et d’un « pieux mensonge » : il faudrait cacher certaines vérités, car si la population commençait à se méfier des vaccins, ce serait une catastrophe de santé publique, ce qui est faux, voir ma lettre n°1 (10) ;
  • Sur la base d’un biais psychologique des médecins et experts en maladies infectieuses, dont la réputation et le prestige sont fortement liées au mythe du « Dieu vaccin », sauveur de l’humanité, voir ma lettre n°3 (11)
  • Sur la base d’une logique administrative (cette lettre-ci !) : comme toute organisation, les autorités de santé cherchent toujours à protéger leur réputation et leur crédibilité – le problème est qu’elles sont aussi en position d’étouffer les preuves montrant qu’elles ont pu se tromper.
    Dans la crise du Covid, on a vu que ce dernier problème, structurel, ne concerne pas que les vaccins :
  • Sur les confinements : on sait maintenant que les mêmes autorités qui ont recommandé les confinements se sont arrangées pour diaboliser les médecins et scientifiques qui s’y opposaient (12);
  • Sur l’origine du coronavirus : on sait désormais que les mêmes autorités qui ont financé des expérimentations dangereuses au laboratoire de Wuhan ont tout fait pour faire croire à l’origine naturelle du virus (13).

Et voilà comment, sous couvert de leur position « d’autorité », des organismes publics contribuent à la désinformation sanitaire.
Bonne santé,

Xavier Bazin
Mars 2022

 

 

 

Notes et sources:
(*) Santé-Corps-Esprit, https://www.sante-corps-esprit.com/
(**) Xavier Bazin, « Big pharma démasqué ! de la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé« , Ed. Guy Trédaniel, 2021, les droits d’auteurs sont intégralement versés à la fondation Hypocrate, voir ici: https://fondation-hippocrate.org/
(1) [1] https://childrenshealthdefense.org/news/deadly-immunity-government-cover-mercuryautism-scandal/
(2) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2019/11/11/thiomersal-science-officielle-et-science-officieuse/
(3) https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/safeminds-generation-zero.pdf
(4) https://childrenshealthdefense.org/news/deadly-immunity-government-cover-mercuryautism-scandal/
(5) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10573656/
(7) Relire impérativement la saga du BCG en trois épisodes, publiée par l’Aimsib sous la plume de Bernard Guennebaud (2018):
https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2018/12/10/bcg-episode-1-comment-cette-affaire-eclaire-lactualite-vaccinale/
https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2018/12/18/bcg-episode-2-guerir-la-tuberculose-avec-de-la-tuberculine/
https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2019/01/13/bcg-episode-3-la-marche-lente-vers-sa-suspension-dobligation/
(8) vaccin BCG AJVaccines, distribué en France par le laboratoire Centre Spécialités Pharmaceutiques
(9)  https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/2019/08/23/professeur-romain-gherardi-et-laluminium-vaccinal-quand-la-science-avance-a-pas-de-geants/
(10) https://www.xavier-bazin.fr/ce-que-je-pense-vraiment-des-vaccins/
(11) https://www.xavier-bazin.fr/pourquoi-la-plupart-des-medecins-et-scientifiques-se-trompent-sur-la-vaccination/
(12) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10573656/
(13) https://www.xavier-bazin.fr/pourquoi-la-plupart-des-medecins-et-scientifiques-se-trompent-sur-la-vaccination/

 

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32 Responses

  1. Merci pour ce rappel indispensable.
    Les vaccins sont une énormité, basée sur des dogmes non démontrés (1).
    « Les microbes rencontrés dans nos maladies ne sont pas leur cause mais sont produits par le terrain déséquilibré du malade » Pr André Fougerousse.
    Ils sont propres à chaque individu. Il n’y a pas de contagion (2).
    Quand on approfondit les travaux d’Antoine Béchamp(3), on comprend même que les microbes ne se développent pas dans un organisme étranger.
    Au bilan les mensonges sont énormes et entretenus par une manipulation qui remonte au moins au temps de Pasteur mais sans doute plus.
    La notion même de virus ne tient pas la route, mais qui s’en inquiète ? (4)
    (1) https://www.aimsib.org/2019/03/10/et-si-notre-organisme-netait-pas-du-tout-sterile-un-siecle-derreurs-scientifiques/
    (2) https://www.bonnes-habitudes.fr/2021/12/26/le-mythe-de-la-contagion/
    (3) https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/
    (4) https://www.bonnes-habitudes.fr/2022/01/26/science-avez-vous-dit/

    1. très bel article.
      à Brigitte Fau : comment pouvez vous continuer à nier l’existence des virus et de leur impact alors qu’ils existent depuis des millairds d’années, ils même l’un des fondements de la vie.
      Virus non isolés , je ne vous donne qu’un lien pour ne pas alourdir mon propos :
      https://actu.orange.fr/societe/videos/un-virus-geant-prehistorique-identifie-CNT0000019nVxj.html
      Vous n’allez quand même pas nous dire que le Pr Claverie, un des plus grands virologues du monde est un fantaisiste !
      Même chose pour les microbes, la contagion ça existe seul le « terrain » de certaines personnes leur permet d’y échapper.

      1. Bonjour Inoxydable,
        Tout est dans le vocabulaire. La notion de « virus » est synonyme d’invasion suivie d’une prolifération.
        Cette notion est déduite des dogmes de Pasteur. J’explique :
        Lorsqu’on a trouvé des minuscules entités vivantes dans nos organismes, ou des gènes proliférant, compte tenu de la « stérilité » décrétée par Pasteur (dont les expériences prouvent le contraire), il a fallu trouvé une explication à cette « invasion étrangère » ; l’imagination a fait le reste et la notion de virus (fort alambiquée) est née ainsi de consensus. À aucun moment il n’est venu à l’esprit des chercheurs enfermés dans leurs dogmes faux que ces petites entités ou ce microbiome interne pouvaient être propres à l’individu.

        Mais, oui, de petites entités sont présentes dans nos organismes, tout simplement parce que non seulement ils ne sont pas stériles mais sont constitués de ces petites entités vivantes (appelées microzymas par Antoine Béchamp) et bien sûr ces microzymas (que l’on prend à tord pour des parasites) existent depuis la nuit des temps, parce qu’ils sont à l’origine de tout organisme vivant végétal ou animal. Et ceux qui pullulent dans l’air sont les restes des organismes vivants et ils sont inoffensifs.

        Non, il n’y a pas de contagion. Jamais les scientifiques n’ont démontré l’introduction de « virus » dans un organisme au travers des barrières naturelles. Ils partent d’un fait admis.
        Les expériences de tentative de contagion sur la grippe espagnole, n’ont jamais abouti quelque soit la mise en contact entre personne dite « infectée » (tout simplement malade) et personne saine.
        C’est très bien expliqué dans la vidéo que j’introduis (4) ou dans le livre dont je propose la traduction (2), à lire vraiment.

        Et l’observation durant ces 2 dernières années et en particulier une analyse faite à l’IHU de Marseille le confirme; Je cite Didier Raoult dans une interview à La Provence (mars 2020):
        « A Marseille, nous avons diagnostiqué 120 cas positifs, il y avait 2 morts de 87 ans. Ils mourraient aussi l’année dernière. Sur 100 prélèvements de gens qui ont une infection respiratoire, ce sont plutôt des cas graves, quand on teste 20 virus et 8 bactéries, il y en a 50% dont on ne sait pas ce qu’ils ont, c’est notre grande ignorance. Pour tous les autres, il y a 19 virus saisonniers qui tuent aussi. Les coronavirus endémiques tuent plus ici que le chinois…. »
        https://www.laprovence.com/article/papier/5940125/pr-didier-raoult-je-ne-suis-pas-un-outsider-je-suis-en-avance.html?fbclid=IwAR3erJsx0ICMBqnn-2FT2MLQsn-kFzu68VbqKNX_M3RrUfbMv95b0AJTtlE

        C’est un « virologue », il interprète selon la vision en vigueur et pourtant les faits sont là et ils les constatent et les relèvent en bon scientifique. Remet-il pour autant en cause les bases de sa science ? Il ne s’en vanterait pas dans le contexte discriminatoire présent.

      2. Il est prouvé scientitifiquement que les virus n’existent pas
        La théorie virale a été réfutée,principalement par le virologiste Stefan Lanka
        Aucun virus n’a jamais été isolé de manière scientifique par les virologues
        ISOLATION SCIENTIFIQUE D’UN VIRUS
        La méthode de référence est celle d’une conférence de consensus de l’institut Pasteur de 1973
        Elle consiste à réaliser sur un prélévement, une ultra centrifugation en gradient de densité sur saccharose
        -prélever la bande de densité virale ,qui est ainsi purifiée
        -l’analyse en microscopie électronique doit montrer des particules virales , nombreuses ,toutes de même taille
        -le génome complet est décodé et les protéines caractérisées
        Il s’agit d’une procédure simple et facilement reproductible
        Elle est couramment réalisée ,avec succés,pour les bactériophages ,découverts en 1954 et devenus le modéle des virus
        Malheureusement ,pour la virologie :
        -le bactériophage n’est pas un virus;il s’agit d’une microspore produite par une bactérie
        mourrant en culture ,en milieu défavorable
        -aucun « autre virus » n’a jamais été isolé par cette méthode ,depuis 1954
        LA PSEUDOISOLATION DES VIRUS PAR LA VIROLOGIE
        Devant l’echec d’une isolation scientifique,la virologie utilise une méthode de substitution,
        la culture cellulaire, de 2 façons:
        1.Sur un surnageant d’échantillon infectieux,obtenu après centrifugation , qui contient des « virus » , des débris cellulaires , des microbes, des exosomes etc..
        2.Sur une culture cellulaire ,souvent de rein de singe(le singe a 98% de génome identique à l’homme)
        On laisse mourir la culture,en arrêtant de la nourrir au serum fetal(indispensble à la survie des cellules) et en introduisant des antibiotiques(cytotoxiques)
        On en déduit que le virus a détruit les cellules,alors que sans matériel infectieux on obtient le même résultat!!
        Les virus est ensuite créé par ordinateur:
        -Séquençage (caractérisation)des millions de fragments d’ADN ou ARN
        -Assemblage ou alignement des fragments ,par de multiples logiciels, pour reconstituer le génome viral selon un modéle préétabli dans l’ordinateur ,en gros , reconstituer le puzzle d’ADN
        La fraude est grossière ,les ADN provenant de sources multiples et aucun controle (sans matériel infectieux ) n’est effectué
        Selon cette méthode en 70 ans ,jamais une expérience controle n’a été faite,
        « ALORS QUE CELLE CI EST UNE REGLE D’OR ELEMENTAIRE EN SCIENCE »
        -Le Dr Lanka a réalisé la même expérience avec du génome humain et a retrouvé 100% du genome du corona virus!
        -2 expériences avec culture cellulaire du virus de la rougeole et controle(sans virus) ont donné le même résultat
        AUTRES PREUVES
        -PROCES DE L’ISOLATION DU VIRUS DE LA ROUGEOLE
        Le Dr S.Lanka a promis 100 000 euros,en 2014, à qui montrerait l’existence d’une étude prouvant l’isolation du virus
        6 études ont été présentées et invalidées
        La haute cours de justice de Stuttgart, en 2016 a reconnu la non isolation du virus de la rougeole,ce qui constitue une jurisprudence pour la rougeole et tous les autres virus isolés par le même protocole
        -L’étude princeps de mise en évidence du Corona de Zhu de Fev 2020 ne montre ni isolation virale, ni controle!!
        -87 institutions sanitaires scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit(Christine Massey)
        -le CDC chinois ,en 2021 reconnnait la non isolation du corona
        -des demandes de preuves d’isolation ,au CDC et à l’institut Robert Koch, pour tous les principaux virus ,n’ont reçu aucune réponse positive
        -1 million de dollars est promis à qui isolerait le Corona virus

      3. Mais oui, Inoxydable, j’ai regardé, mais ce que je vois c’est un microzyma.
        Les microzymas que l’on retrouve dans les minéraux ou dans l’air sont des restes d’organismes vivants.
        Un virologue aussi bon soit-il voit un virus parce qu’il a appris à observer sous l’angle infectieux et pourtant jamais il n’a été démontré une quelconque pénétration de virus externe dans un organisme vivant en tant que cause d’une maladie. Hors la définition même de virus est basée sur cette invasion supposée.
        Dans cette publication récente, les scientifiques confirment cette absence de preuve et s’interrogent sur le rôle du virus et particulièrement sur cette causalité admise.
        https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1008318

        Et vous, prenez-vous le temps de lire les liens que j’envoie, et avez-vous pris le temps de lire le condensé des travaux de Béchamp que je mets à disposition ; c’est une véritable leçon de science. Cette lecture est incontournable pour les scientifiques qui s’interrogent sur leur science.
        https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/les-microzymas/

        Didier Raoult postait sur twitter un article sur la découverte d’un virus géant sans gène (normalement incompatible avec la définition d’un virus !).
        https://www.science.org/content/article/our-favorite-science-news-stories-2020-non-covid-19-edition
        De nouveau, il s’agit d’un microzyma probablement, qu’il soit sans gène n’est pas choquant, parce que les microzymas sont sans doute à l’origine des gènes dans nos organismes. Une publication de 2012 montre l’auto-assemblage de l’ADN à partir de granules (microzymas de Béchamp) du vitellus.
        C’est plein d’espoir parce qu’on découvre ainsi que l’ADN qui n’est qu’une simple molécule, finalement, n’est pas le « centre » de l’identité, c’est juste une carte mémoire pour la cellule mais qui peut être remise à jour (espérons-le) par les microzymas de l’individu à l’origine de ses cellules.
        D’autant plus que les tentatives de thérapie génique pourrait ainsi être contrecarrer par la nature. Le sujet est d’actualité !

    1. ça part en vrille par ici. Il suffit de relever les dérives du monde médical et la corruption qui pourri le système pour que des charlatans se pressent à la porte. Il faut arrêter avec ces délires.

  2. Pour le BCG cet article fait référence à une étude d’efficacité conduite en Inde et qui a conclu à une absence d’efficacité. Le lien renvoie à une publication datant de 1999. Or une étude avait effectivement été conduite en Inde entre 1968 et 1971 avec un premier suivi de 7 années avant de dépouiller les données. Elle fut réalisée sous l’égide de l’OMS et du CDC d’Atlanta. Les résultats donnèrent lieu à une publication en 1979 dans le bulletin n°57 de l’OMS :
    « L’effet protecteur de la vaccination par le BCG est actuellement évalué dans le cadre d’un essai contrôlé. Après exécution d’épreuves à la tuberculine ainsi que d’examens radiologiques et bactériologiques, des vaccins BCG et des placebos ont été répartis au hasard entre environ 260 000 personnes dont 115 000 étaient certainement tuberculino-négatifs lors de la vaccination. L’incidence de la maladie est élevée dans la population soumise à l’enquête.
    La répartition des cas nouveaux de tuberculose n’apporte en aucune façon la preuve de l’effet protecteur des vaccins BCG. »

    Pour expliquer cet échec les experts de l’OMS avancent que « les individus vaccinés couraient un risque plus élevé de développer la maladie s’ils se trouvaient infectés au cours des trois semaines suivant la vaccination. Ceci toutefois est peu vraisemblable et le bien-fondé de cette hypothèse n’a pas été établi. »

    Sauf qu’elle avait été établie par Calmette et Guérin par des expérimentations sur des bovins conduites à l’Institut Pasteur de Lille par Guérin qui était vétérinaire et que, par exemple, aux USA, en 1946, Levine et Sacket qui avaient vacciné des populations noires à New York concluaient :
    « A la condition expresse de séparer témoins et vaccinés du milieu contaminé pendant les 3 mois qui précèdent et les 3 mois qui suivent la vaccination, le BCG donne un certain degré de protection. Quand on ne peut s’y soumettre, dans les milieux infectés, la mortalité reste la même chez les témoins et chez les vaccinés. »
    Dans son expertise collective de 2005 sur le BCG, l’INSERM affirme que cette hypothèse que le BCG favoriserait la maladie, quand la vaccination était pratiquée au voisinage temporel de la contamination, avait été DEMONTREE fausse !!!
    Elle a surtout été affirmée fausse car cela compliquerait singulièrement la mise en oeuvre de la vaccination…

  3. Le Dr Michel de Lorgeril a publié en 2021 une série très complète sur les différents vaccins, notamment ceux que l’on injecte aux nourrissons et ceux du covid. Il analyse et explique très bien, scientifiquement mais de façon très accessible, leur efficacité/inefficacité, leur toxicité et effets indésirables etc. Je m’étonne qu’il ne soit pas cité. Collection à lire pour eux qui s’intéressent à cette question.

  4. Oui, 1.  Lorgeril m. de (2020) 1-Médecine des vaccins, 2-Toxicité des vaccins ; 3- à 6 -Vaccins du nourrisson ; 7- vaccins contre la grippe,
         éd. Chariot d’or (142-190 pages 13×19 cm, 12-14 €).

  5. De même, pas un mot de  Mawson a.r., Ray b.d., Bhuiyan ar, Jacob b. (2017), Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old U.S. children, J Transl Sci, 3 (3) : 1-12; qui démontre irréfutablement un quintuplement (6,5 pour les ex-prématurés) des maladies cérébrales chroniques (dont 1/3 d’autismes)  chez les 6-12 ans US suite à la soupe vaccinale US de rigueur.

  6. @inoxydable@Brigitte Fau

    Bonjour, je m’interroge toujours sur la contagion, malgré vos explications.
    Oui j’ai lu avec beaucoup d’intérêt les théories de Béchamp et Tissot, et cela est très séduisant.

    Néanmoins, voici un exemple : j’ai 3 petits enfants en bas âge : le premier a eu la varicelle, et les 2 autres ont suivi….ne peut-on parler ici de contagion ? mais de contagion de quoi alors ??
    Y a-t-il un agent responsable, ou alors , avaient-ils tous un terrain fragile en même temps ?
    Quid aussi des gastro qui se transmettent en famille ??
    Merci de me répondre.

    1. Je vais vous donner un élément de réponse sans prétendre que ce serait toute la réponse.

      Puisque vous avez lu Tissot professeur au Muséum d’histoire naturelle, vous connaissez sans doute sa découverte sur l’origine du bacille de Koch. En utilisant une méthode originale de préparation des cellules avant de les passer sous le microscope, méthode qu’il a mise au point après de très nombreux essais et qu’il décrit dans son ouvrage de 1946, il a pu photographier et publier de nombreuses planches contenant elles-mêmes plusieurs photos de cellules végétales. Toutes montrent un cytoplasme contenant un réseau connexe dont l’élément de base est en forme d’haltère et qu’il a nommé organise haltère.

      Il montre de multiples photos qui pour moi sont convaincantes que la méthode utilisée à l’époque par les biologistes pour préparer les tissus avant observation détruisaient ce réseau connexe pour ne laisser que des éléments épars et dispersés auxquels les biologistes ont donné des noms comme mitochondries (la barre de l’haltère), les lysosomes, ribosomes, vacuoles et appareil de Golgi. Pour Tissot tous ces objets n’existent pas dans une cellule saine. Ils sont la conséquence du processus de destruction qui fait aussi fondre une partie du réseau d’organistes haltères.

      D’ailleurs un biologiste de Tours que j’avais contacté en 1990 écrivait dans son livre de cytologie qu’on pouvait aussi trouver des haltères, des formes en bissac, en anneau dont la signification n’est pas connue. Si on réalisait la structure photographiée par Tissot avec de la glace et qu’on l’exposait au soleil après l’avoir jetée à terre, c’est exactement ce que l’on verrait.

      Cette découverte de Tissot n’est en aucune façon une hypothèse résultant de spéculation. Elle a été photographiée maintes fois.
      Il a appliqué ce mode de préparation des cellules à observer à des tissus tuberculeux humains. Il a alors constaté que le réseau connexe d’organistes haltères avait dégénérer pour émettre de longs filaments sortant des cellules et qui étaient des filaments de bacilles de Koch. Il avait publié cela en 1936 avec photos.

      Ce sera seulement 40 plus tard que la « science » (ce qu’on appelle ainsi) redécouvrira que le bacille de Koch se présentait en réalité sous la forme de filaments et non pas de bâtonnets comme on l’avait cru jusqu’alors. Cette forme filamenteuse sera alors classée mycobactérie. On découvrira d’autres mycobactéries comme pour la lèpre par exemple.
      Tissot avait donc découvert les mycobactéries dès 1936 et montré que la tuberculose était la manifestation de cette dégénérescence du réseau des organites haltères présentes dans le cytoplasme.
      Cela signifie qu’il n’est pas nécessaire d’avoir été contaminé par la mycobactérie tuberculeuse (MT) pour faire une tuberculose. Cependant cela n’exclut pas la transmission de la maladie par la contagion. En effet, cette mycobactérie ayant été ainsi crée dans un organisme humain ou animal, elle peut être expectorée, projetée par la toux et venir contaminer une autre personnes. L’origine autogène du BK (ou MT) n’implique pas que la maladie tuberculeuse soit toujours autogène. Inversement, l’existence de tuberculoses par contagions n’implique pas que les tuberculoses se produisent toujours par contagion.

      D’ailleurs avant que Robert Koch ne vienne présenter sa découverte du BK en bâtonnets vers 1850 (de mémoire) les pathologistes de l’époque étaient convaincus par de multiples observations de terrain que la tuberculose était une maladie dégénérative. Koch changea la donne en accréditant l’idée qu’elle était une maladie microbienne. Les premiers étaient loin d’avoir complètement tort.

      http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2019/01/19/37029528.html

      1. Bernard, tu l’expliques très bien dans cette vidéo (à partir de 3mn) : https://www.youtube.com/watch?v=XIbC2aW_yic

        Et Tissot avait raison : La cytologie doit se remettre en cause, on retrouve bien un réseau dit « mitochondrial » désormais grâce à de nouvelles technologies. Ce réseau dit « bactérien » par Jules Tissot est vivant en effet et ne cesse de se reconstruire, est-ce naturel ou du au fait de l’agression subie par l’échantillon ?
        Observez la vie d’une cellule dans cette vidéo :
        Au centre le noyau, autour le réseau qui semble maintenir le noyau au centre de la cellule :
        https://www.youtube.com/watch?v=_sKXcJCK_gw
        Comment peut-on croire encore que nous ne sommes que chimie ?

    2. Il y a de quoi s’interroger en effet.
      Le tord des scientifiques est de rester enfermés dans une phobie des microbes générée depuis Pasteur.
      Les microbes (au sens large) sont nous, sont la VIE qui nous entoure et ne peuvent pas être la cause de la maladie.
      La maladie est l’expression d’un déséquilibre, l’expression d’une évolution, d’une maturation dans le cas des maladies infantiles. Le psychisme a une part essentielle.
      Il peut y avoir un mimétisme psychologique, des informations quantiques, sous forme d’ondes. La maladie infantile se développe chez l’enfant dont l’organisme et le psychisme ont besoin d’une pause, d’assimilation.
      Les gastro se produisent en même temps dans des familles alors qu’ils ont le même régime, subissent les mêmes stress, le coup de froid sur le foie surchargé. C’est le cas des maladies saisonnières qui se produisent en même temps. Le foie fonctionne à une température de 40°C, il est sensible au froid.
      Pierre Chaillot analyse les statistiques des mortalités des « épidémies » saisonnières dans cette vidéo et observe sous un nouvel angle au vu des constats statistiques : il y a simultanéité, pas de propagation !
      https://www.youtube.com/watch?v=cFdHxzlwOBo&t=3s

      Et en effet, Il faut que les scientifiques observent autrement et cessent de prendre les microbes pour des boucs émissaires oubliant toute la toxicité de nos habitudes de société et des mauvais soins aggravant.
      Par ailleurs, il ne faut pas oublier l’importance de la maladie. Sans ses symptômes nous ne saurions penser à corriger nos abus, sans son mécanisme de réparation nous nous dégraderions.
      Des médecins en parlent d’expérience dans cette vidéo pleine de bon sens :
      https://www.bonnes-habitudes.fr/2022/01/30/les-maladies-ont-elles-un-sens/

    3. Puisque l’on fait de la « science ». j’ai une « théorie » qui pourrait allier plusieurs champs de recherche qui ont des points de rencontre.

      1. il est admis que le corps humain produit de l’électricité (sinon les électro* seraient du charlatanisme)

      2. on peut supposer qu’il produit donc des « vibrations » (ce qui serait un champ de recherche intéressant et qui pourrait expliquer les phénomènes de coup de cœur – par ex. des vibrations qui s’accordent).

      3. les expériences de bénvéniste et montagnier montrent que les « vibrations » ont des effets sur l’organisme – homéopathie, physique quantique : espace entre les atomes d’une molécules ne sont pas « vide ». Un « chercheur » dont le nom m’échappe disait qu’avec les « vibrations » d’une prise de sang d’un individu il était capable de trouver sa maladie. Une amie a assisté à une conférence d’un autre (?? ou le même je ne sais pas) sur le thème des vibrations et qui pour clôturer la séance à donné soif à toute l’assemblé en jouant une simple note ou accord.

      * Partant de ces 3 postulats, ne peut-on penser que la « contamination » peut se faire par la « vibration » qui entrerait en résonance, ou pas, avec l’organisme « cible » ? ce qui pourrait expliquer par exemple pourquoi certains n’attrapent jamais la maladie et d’autres oui, même si considérés comme protégés ?

      * cela pourrait également être relié avec la découverte de montagnier qui explique qu’avec les traitements le « virus » du sida n’était plus détectable (mais que sa vibration oui) mais que si on arrête le traitement le virus « revient » (dont on ne sait où). il avait émis l’hypothèse que sa vibration résiduelle, d’une manière ou d’une autre, le recréait..

      Si j’avais 40 ans de moins, ce serait ma voie de vie de chercher à le découvrir.

  7. Merci B Guennebaud et B Fau pour vos réponses qui m’aident à avancer, (je n’ai pas fini les vidéos).
    On dit aussi qu’un couple ou une famille finisse par avoir le même microbiote…
    Un argument de plus pour expliquer la contamination sans doute…

    1. @Mathilde
      On cite souvent le baillement, mais c’est vraiment caractéristique d’une « contagiosité » sans microbes.
      La personne qui baille est fatiguée, celles qui l’entourent se sentant fatiguées aussi se relâchent à leu tour. C’est inconscient.

      1. C’est vraiment n’importe quoi . le Lion baille car c’est un gros fainéant et le baillement est un réflexe pour rester vigilant, c’est bien connu en science neurologique en outre les lionnes, grandes chasseresses, toujours en éveil, ne baillent pas pendant ce temps.
        vous devriez regarder quelque documents animaliers;
        Tout cela n’a rien à voir avec des « ondes » qui se transmettent et chez les humains c’est le mimétisme qui fait ça.
        Ceux qui font de la route le savent, le baillement est un signal destiné à se « réveiller » et ceux qui le négligent en paient les conséquences.
        Vous avez partiellement raison sur le terrain qui est tout, mais sans les microbes, le maladie ne serait pas. Article veto intéressant :https://www2.sngtv.org/article-bulletin/le-microbe-nest-rien-le-terrain-est-tout/

      2. Déclarer qu’une chose est vraiment n’importe qui on ne proposant qu’une autre théorie. Cela me laisse perplexe.

        il y a quelques siècle, l’héliocentrisme était vraiment n’importe quoi, bien avant c’était la terre ronde qui était n’importe quoi. Il y a 2 ans le covid allait tous nous tuer si on ne s’enfermait pas dans nos caves puis le vaccin allait nous sauver et n’avait aucun effets secondaires. tout cela pour illustrer que le vraiment n’importe quoi est une chose assez relative.

        Toute théorie peut se concevoir, et en se concevant elle permet d’ouvrir des champs de réflexion qui parfois amènent à des découvertes qui renversent la table.

        Petite incise hors sujet : le lion un « gros fainéant ». Cette vision manichéenne de la nature explique que des gens trouvent que les chômeurs sont de gros fégnants. Il n’existe aucune étude qui montre que le lion est un gros faignant. C’est juste UNE vision qui n’est peut être pas juste. De même qu’on disait qu’un nouveau nlion dominant TUAIT les petits pour propager ses gènes.. Et bien en regardant bien ce n’est pas le cas… encore un vraiment n’importe quoi qui émerge d’une vérité acceptée.

        donc on baille pour se réveiller ou parce qu’un autre baille, par mimétisme : tu bailles, je baille, tu es fatigué, je suis fatigué. tu as envie d’aller au toilette j’ai envie d’aller au toilette, tu peux pas saquer le voisin du coup moi non plus. Merde du coup le mimétisme c’est comme la correlation et la causalité c’est un peu quand ça arrange.

        tout cela pour dire que la chose chose qui est vraiment n’importe quoi c’est que les vaccins ont sauvé des milliards de vie 😉

      3. Bien sûr que la maladie ne serait rien sans les microbes : ils sont NOUS et ils sont notre santé aussi, ils sont la VIE, ils nous organisent, nous construisent (à l’état de microzymas), ils nous animent.
        Mais ce ne sont pas en aucun cas des microbes étrangers qui se sont introduits et ont provoqué la maladie. Parce qu’ils ne se développent pas dans un organisme étranger vivant ! Ils ne sont pas chez eux.
        C’est tout ce que les travaux de Béchamp démontrent.
        C’est le milieu intérieur qui est intoxiqué, qui est déséquilibré qui provoque la maladie. NOS « microbes » s’expriment alors plus probablement pour le réparer. Les microzymas (pris à tord pour des virus) s’associent parfois alors pour former des bactéries.
        Tout est une question de MILIEU au sens large (physico-chimique, électro-magnétique, quantique).

      4. Quand le terrain se dégrade, des constituants de ce terrain peuvent se modifier et développer une maladie. On peut dire que c’est la pathogène qui en est la cause comme le bacille tuberculeux est la cause de la formation d’un tubercule. Mais, comme l’avait démontré Tissot, je dis bien démontré, la bacille tuberculeux peut avoir été formé par la dégénérescence locale du réseau d’organites haltères de cellules pulmonaires. Il n’est pas nécessaire d’avoir été contaminé par un bacille tuberculeux venu de l’extérieur pour développer une tuberculose.
        MAIS, je dis bien MAIS, le bacille tuberculeux crée chez un individu donné par dégénérescence d’un morceau de son tissus pulmonaire, quelqu’en soit la cause, peut s’évader de l’organisme qui l’a crée pour contaminer d’autres personnes et développer chez elles la maladie tuberculeuse.

        Il faudrait sortir enfin de cette logique d’exclusion où, sous prétexte qu’on a pu observer des contagions, en déduire que la tuberculose ne saurait se développer que par contagion. Ou encore, sous prétexte qu’on peut montrer que la tuberculose peut être autogène, en déduire que toutes les tuberculoses seraient. autogènes.

      5. Oui Bernard, envisager le 2 aspects est une étape essentielle dans la démarche scientifique. Malheureusement cela n’effleure même pas la plupart des scientifiques confiants dans leur science et enfermés dans leurs dogmes.
        Mais la démonstration en a été faite par Antoine Béchamp (s’appuyant sur les expériences de Chauveau) qui conclut :
        « L’opposition entre le système parasitaire et la théorie du microzyma est si absolue, que celui-là croyant la cause de nos maladies hors de nous, celle-ci affirme qu’elle est en nous, et primitivement seulement en nous… »
        Mais il faut nuancer, s’il s’agit bien d’un changement interne provoquant la maladie celui-ci peut avoir été provoqué par une cause externe. Exemple : le froid, le stress, un aliment toxique, un déséquilibre alimentaire…, sans compter les injections qui forcent les barrières naturelles provoquant un changement de milieu immédiat et particulièrement agressif par les adjuvants en particulier.
        Et bien heureusement, parce que les expériences de dissémination de matériel infectieux par des biolabs tels que ceux qui auraient été détruits par Poutine en Ukraine seraient catastrophiques et de telles expérimentations auraient déjà décimé la population mondiale.
        On voit bien la tentative manquée de pandémie au point qu’ils ont dû prendre des mesures drastiques et imposer l’absence de soins ou des protocoles de soins odieux pour y faire croire.
        Il ne leur reste que les injections forcées pour nous rendre malade.

      6. Ce « la maladie est en nous » mérite d’être précisé. J’ai mis moi-même du temps à bien en saisir le sens. C’est la notion de vie, de vivant qui est au cœur. C’est ce qui vit « en nous » qui est malade.
        Ce sont nos propres microzymas qui sont affectés, « morbides », par un déséquilibre. Ce sont EUX qui évoluent en réaction, et qui peuvent alors prendre des formes « vivantes » très diverses en fonction du nouveau milieu. Ces différents formes sont prises pour des parasites parce que la VIE en nous est niée par les scientifiques qui n’y voient que chimie.
        Toute forme vivante est formée par des microzymas, mais, je le répète, les microzymas « étrangers » n’évoluent pas, ne se multiplient pas en nous dans les parties anciennement dites stériles (cela est sans doute différent pour la « flore » intestinale qui se développe à partir de nos microzymas salivaux, de microzymas du tube digestif et des microzymas encore vivants de notre nourriture probablement).
        J’avais suggéré de faire un arbre phylogénique des microbes trouvés dans un même organisme vivant, pensant que les gènes microbiens portent peut être la marque de leur identité d’origine. Mais la génétique, le permet-elle ? Il semble que les évidences qui nous sont présentées sont loin de l’être. Les techniques d’analyse retrouvent des fragments de gènes qui sont reconstitués ensuite par une « logique » informatique. Logique de l’informaticien qui est donc celle des dogmes en vigueur.
        Que faut-il garder alors de la science « déduite » de consensus ? Pas grand chose, sans doute.
        Sûr, Inoxydable, qu’il est très difficile de se défaire de nombreuses « vérités » ancrées alors que la confiance en la « science » ne fait que s’ébranler.

  8. Le professeur Marc Henry, qui s’est déjà exprimé dans ces pages, pourrait bien, grâce à ses avancées sur l’eau cellulaire, être à l’origine d’une autre explication de cette contagiosité du bâillement, mais aussi de tout le reste.

    En effet, son hypothèse de la cohérence des molécules d’eau dans la cellule vivante conduit à une structure voisine de l’état métallique, avec un très grand nombre de niveaux d’énergie (grâce au recouvrement des orbitales) permettant des transitions énergétiques nombreuses et variées donnant lieu à des émissions et à des absorptions d’ondes électromagnétiques. Les cellules vivantes émettraient et absorberaient en permanence, avec des phénomènes de résonance comme c’est le cas avec les ondes radio.

    Une perturbation de cette cohérence (lors du bâillement par exemple) modifierait imperceptiblement certaines fréquences (comme les défauts le font dans les métaux), ce qui, par résonance, fera apparaître un phénomène semblable chez une personne à proximité.

    Nous restons bien sûr dans le domaine de l’hypothèse.

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