Une très belle signature du web rejoint officiellement les rangs des rédacteurs AIMSIB, il s’agit du Docteur Pascal Sacré [*], brillant médecin intensiviste Belge (on dit anesthésiste-réanimateur en France). Naturellement sa liberté d’expression et de ton est tout-à-fait désapprouvée en haut lieu et vous comprendrez immédiatement pourquoi: Que penser de la PCR nasale alors? Vous vous apprêtez à prendre connaissance de notions désagréables mais passionnantes, alors bonne lecture…

Introduction

Les tests doivent rester au service de la médecine clinique. Nous assistons à une technification croissante de la médecine, en lien avec le besoin de rentabilité qui a contaminé toutes les sphères de la société, la santé comprise, depuis des années. Les tests prennent l’ascendant sur l’évaluation clinique. Celle-ci passe avant tout par la qualité de la relation entre le médecin et son patient. Cette médecine hypertechnologique est-elle compatible avec une médecine humaine ?

Médecine hypertechnologique, médecine humaine ?, Revue Médicale Suisse (RMS) 2017, volume 13, 573-575.

La crise de la COVID-19 nous montre combien la focalisation sur un test, la RT-PCR, peut induire tout un pan de l’humanité en erreur.

Observer la réalité ou des modèles mathématiques ?

N’y a-t-il pas un large fossé entre la réalité médicale (la maladie) et l’évaluation de son danger au travers de tests ?
La COVID-19 est une maladie infectieuse virale attribuée au coronavirus SRAS-CoV-2. Elle a révélé un grand écart entre le test et la réalité qu’il est censé refléter et ce décalage n’est pas nouveau ni propre à la COVID-19. Pour certains, la confiance dans les tests s’apparente à un genre de foi (religieuse) or cette confiance dans le pouvoir de la technologie peut être excessive et engendrer de graves erreurs. C’est pour cela que nous (médecins) apprenons à confronter le résultat d’un test à la présentation clinique (l’état réel de la personne).

Dans la conclusion de cet excellent article des Drs. Katia Jaton et Gilbert Greub, paru en 2007 dans la Revue Médicale Suisse (RMS) [1] et justement consacré aux intérêts et limites de la PCR en microbiologie, les auteurs insistent à juste titre :
– « Pour interpréter le résultat d’une PCR, il est essentiel que les cliniciens et les microbiologistes partagent leurs expériences, afin que les niveaux analytiques et cliniques d’interprétation puissent être combinés. »

Un médecin spécialiste, aussi compétent et renommé soit-il dans son domaine, même indépendant, ne peut rien faire seul car la médecine ne peut se résumer à une seule spécialité. L’élément clinique est primordial. Il doit être au centre des préoccupations, au-dessus du test. Dans la prise en charge de la COVID-19, il a manqué (et manque encore) cette vision globale, multiple et donc plus proche de la réalité clinique.

Les conseils de sécurité nationaux et internationaux sont composés de personnes réputées compétentes dans leur domaine spécifique, la microbiologie, la virologie et l’épidémiologie, mais ils sont mono-disciplinaires et privilégient une vision statistique des choses à une évaluation clinique de l’être humain. Il manque à ces conseillers ce partage d’expériences avec des cliniciens tel que préconisé par les docteurs Jaton et Greub. Il manque à ces conseillers cette confrontation à la clinique, ce qui leur permettrait de relativiser fortement leurs prévisions alarmistes et d’assouplir leurs recommandations rigides et excessives, plutôt que de les durcir.

La PCR pour les non-microbiologistes

« Augmentation du nombre de cas PCR positifs. »
« Augmentation du nombre de contaminés. »

Ces expressions médiatiques font croire aux gens que la maladie COVID-19 continue de sévir, que le virus est toujours là, aussi virulent qu’en mars et en avril. Test PCR et maladie COVID-19 sont amalgamés. Un grand nombre de gens testés PCR positifs se révèlent asymptomatiques. Ils vont très bien. Ils n’ont pas la COVID-19.

Cet amalgame PCR-COVID 19 perpétue la peur déjà profondément installée dans la société et justifie la suspension de nos libertés fondamentales et le maintien, voire l’élargissement de mesures contraignantes et dangereuses pour la santé (Les masques faciaux présentent de sérieux risques pour la santé).

Le terme PCR est trop peu expliqué. En médecine, c’est un test utilisé pour la détection de virus [2] ou de bactéries. Cette technique de biologie moléculaire est basée sur l’amplification de l’élément recherché. Dans la COVID-19, cet élément est le virus SRAS-CoV-2 et la PCR est faite à partir d’un prélèvement de cellules dans les voies respiratoires. Après le prélèvement, l’ARN viral (car le SRAS-CoV-2 est un virus ARN) est converti en ADN grâce à une enzyme, la transcriptase inverse d’où le nom complet de la technique : RT-PCR (réaction de polymérisation en chaîne par transcription inverse – Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction).

Ensuite il faut amplifier cet ADN produit pour détecter un cas positif. La machine amplifie, réplique, à la manière d’une photocopieuse agrandisseuse. La PCR peut ainsi détecter de l’ARN viral présent en quantités infimes dans le prélèvement.

– Plus la charge virale est élevée (plus il y a d’ARN viral dans le prélèvement), moins il faudra de cycles d’amplification pour le détecter.
– Plus la charge virale est basse (moins il y a d’ARN viral dans le prélèvement), plus il faudra de cycles d’amplification pour le détecter.
– Au-delà d’un nombre déterminé (seuil) de cycles d’amplification, la détection de l’élément ne peut plus être assimilée à un cas testé positif.

Peu de gens savent tout cela. La PCR permet donc de détecter l’ARN viral du SRAS-CoV-2 présent en quantités infimes dans les voies respiratoires mais c’est grâce à ce subterfuge technique comportant de nombreuses étapes, depuis le prélèvement jusqu’à la positivité éventuelle du test. À chacune de ces étapes, des erreurs sont possibles.

Ct (Cycle threshold) ou comment augmenter le nombre de testés positifs

Le seuil de cycles d’amplification à partir duquel le test PCR est considéré comme positif ou négatif est important à définir ! Ce seuil de cycles est appelé Ct pour Cycle threshold.

Exemple, si le seuil de cycles Ct est de 35, cela signifie qu’à partir de 36 cycles d’amplification pour détecter l’ARN viral, le test PCR est considéré comme négatif.

L’hypothèse est la suivante : en théorie, le nombre de cycles d’amplification grâce auquel l’ARN viral est détectable nous indique la quantité relative d’ARN viral de départ. On peut s’attendre à ce que des personnes plus malades hébergent plus de virus et donc qu’elles présentent un nombre moins élevé de cycles d’amplification (seuil Ct plus bas) lors du testing PCR. S’il ne faut que 20 cycles d’amplification, cela veut dire que l’ARN viral est présent en grande quantité dans le prélèvement respiratoire, cela traduit une charge virale élevée. Au-delà de 40, le test PCR sera considéré comme négatif, traduisant une charge virale basse, voire nulle.

Mais le chiffre qui définit Ct est arbitraire d’un hôpital, d’un laboratoire à l’autre !

Pourtant, c’est ce seuil de cycles (Ct) qui va faire basculer le test PCR du côté négatif ou positif avec toutes les conséquences que vous pouvez imaginer pour la personne testée : peur d’être contaminant, peur d’être hospitalisé, peur d’être mis en quarantaine, traçage des contacts, impossibilité de voyager…

Vous voyez combien il est crucial de confronter les résultats de ce test PCR à la clinique, à l’état réel de la personne testée pour confirmer l’intérêt du test, même s’il est positif.

Chaque laboratoire aurait-il son propre seuil de positivité (Ct) ?

C’est une question importante : « Quel est le seuil standard de positivité (Ct) à utiliser ? » Les journalistes devraient investiguer cela et le préciser lorsqu’ils parlent de cas contaminés alors qu’en réalité, ils parlent juste de cas PCR testés positifs. Ainsi, à l’hôpital allemand Charité à Berlin, le Ct est de 45 cycles d’amplifications [2].
– Ct ≤ 45 : test PCR positif traduit en « contamination ».
– Ct > 45 : test PCR négatif.
– En France, le seuil Ct est fixé à 35, équivalent au seuil fixé par les CDC européens.
– Ct ≤ 35 : test PCR positif.
– Ct > 35 : test PCR négatif.

Si on relève le seuil Ct à 40 ou à 50, comme cela se ferait par endroits, forcément, on aura plus de cas PCR testés positifs et donc, si on ne fait pas la distinction entre cas testés positifs et vrais malades, on fera passer le message tronqué qu’il y a plus de « contaminés » alors que paradoxalement, il y a de moins en moins de malades.

Cette question est primordiale.

Positif ou négatif, ce qui est trouvé est-il infectant ?

Ce problème de seuil de détection (Ct) concerne tous les virus à ARN comme les autres coronavirus SRAS-CoV-1 (2003) ou le MERS (2009), mais aussi les virus Influenza (grippe), Ebola et Zika. En plus, quel que soit le seuil de détection (Ct) utilisé, la PCR ne permet pas de dire de façon formelle si cet ARN détecté correspond encore à un virus vivant, qui plus est infectant. Vous ne verrez aucun média vous mentionner cet élément, pourtant ne le sous-estimez pas ! Il est capital de savoir si ces résultats PCR positifs traduisent ou non un caractère infectant car c’est celui-ci qui doit alarmer sur une recrudescence de la maladie (COVID-19), et non le test PCR positif seul.

Autrement dit, si vous avez un résultat PCR positif, êtes-vous pour autant infecté et/ou infectant (contagieux) [3] ? C’est une autre question très importante ! L’ARN viral peut être détecté par le test PCR longtemps après la disparition du virus infectieux correspondant !

– « Le système immunitaire [humain] s’efforce de neutraliser les virus et de prévenir toute nouvelle infection. Alors qu’une phase infectieuse peut durer environ une semaine, l’ARN inactivé se dégradant lentement au fil du temps, il peut encore être détecté plusieurs semaines après la disparition de tout caractère infectieux. » [3]

Donc, aujourd’hui, être testé PCR positif peut vouloir simplement dire que la personne testée a encore des restes d’ARN viral dans ses voies respiratoires, alors que le virus, l’agent pathogène qui donne la COVID-19, a disparu !

Toutes ces données nous éclairent sur les limites du test PCR dans les affections virales. Cela relativise énormément son importance ! L’accent politique, médiatique et scientifique devrait être mis sur la clinique et sur ces critères de gravité plus importants :
– 1. Nombre d’hospitalisations,
– 2. Nombre d’admissions en soins intensifs,
– 3. Nombre de décès.

Bonne nouvelle !

Ces trois critères évoluent dans le bon sens dans tous les pays européens, et cela depuis le mois de Mai, donc bien avant l’instauration des mesures extrêmes que sont la distanciation sociale, la limitation des transports et des groupes, le port du masque généralisé…

Are Face Masks Effective ? The Evidence (Les masques faciaux sont-ils efficaces ? L’évidence). Dans cet article en anglais, nous voyons l’effet quasi nul du port obligatoire des masques sur le nombre de cas testés positifs pour le SRAS-CoV-2 (en Allemagne).

Malheureusement, les pouvoirs politiques en place et certains scientifiques autorisent les médias à ne considérer que le nombre de testés PCR positifs comme critère de gravité, sans préciser le seuil d’amplification Ct utilisé, sans confronter ce test PCR positif à la clinique et surtout au nombre d’hospitalisations, d’admissions en soins intensifs et de décès, et enfin sans tenir compte des nombreuses limites de cet examen (mise en évidence d’ARN viral et non de virus infectant).

Pourquoi nous laissons-nous priver de nos libertés fondamentales aussi facilement ?

Ces libertés ont été chèrement acquises et nous protègent de toute dérive totalitaire. Libertés d’expression, de manifestation, de voyager, de se réunir, d’accepter ou non un traitement…Certains médias et scientifiques résument l’opposition citoyenne à quelques individus étiquetés complotistes adeptes des fakes news, ou à des personnalités contestées comme le Professeur Didier Raoult. Certains milieux ont tout fait pour dresser un portrait peu flatteur de l’infectiologue de Marseille, pourtant l’un des plus réputés au monde. Cette présentation biaisée de l’opposition est trompeuse et malhonnête envers les citoyens.

Le Professeur Jean-François Toussaint est médecin, professeur de physiologie à l’Université Paris-Descartes, directeur de l’IRMES, Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport à l’INSEP, et ancien membre du Haut Conseil de la santé publique [4]. Il explique calmement dans ces vidéos sur RMC [5] ou sur CNews [6] que les critères importants à considérer aujourd’hui sont l’évolution du nombre d’hospitalisations, d’admissions en soins intensifs et de décès rapportés au COVID-19, et non le taux de testés PCR positifs assimilés à tort à des cas de contamination (à des malades).

Le Professeur de Médecine Christian Perronne est médecin, Professeur des Université, Praticien Hospitalier Français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, chef de son service à l’hôpital de Garches et ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique. Il dénonce une corruption mondiale [7]. Vous pouvez l’écouter sur YouTube [8].

Pour le Dr Martine Womer, députée Ecologie-Démocratie-Solidarité et Psychiatre, il n’y a pas d’augmentation des hospitalisations, que du contraire et invitée le 25 Août 2020 dans l’émission Sud Radio Midi, elle a estimé qu’il fallait arrêter “d’entretenir cette peur” et « qu’il fallait que les citoyens se posent les bonnes questions” [9].

L’utilisation de l’hydroxychloroquine dans la prise en charge précoce des malades du COVID-19 n’est pas défendue que par Didier Raoult ou par Donald Trump, comme c’est sous-entendu de manière moqueuse par certains journalistes. Elle l’est également par le Professeur Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à la célèbre université de Yale (Yale School of Public Health) aux USA [10].

Les professeurs Toussaint, Perronne, Risch, la députée Martine Womer ne sont qu’un échantillon représentatif d’un collectif beaucoup plus vaste de médecins de tous pays, tous horizons, toutes spécialités qui élargissent les points de vue sur la maladie COVID-19 et critiquent sa prise en charge par les gouvernements et leurs conseils d’experts.

Les avis de ces médecins, professeurs, experts et chercheurs sérieux ne peuvent être balayés, méprisés comme ils le sont aujourd’hui, encore moins assimilés à du complotisme.
Avez-vous vu, sur les plateaux de télévision, ces journalistes arrogants couper la parole ou contredire des spécialistes ou des médecins de terrain ?

Regardez les statistiques officielles actuelles

Sur base des statistiques officielles actuelles sur le site de l’Organisation Mondiale de la Santé [11], nous voyons bien la réduction drastique du nombre de décès attribuables au COVID-19 et ce depuis des semaines (mai 2020).

En Belgique

statistiques Sciensano

En France

(site Worldometers.info) :

Comprendre les graphiques de mortalité:

Source : Sciensano, Belgique

 

Sur ces graphes, il est intéressant de voir comme on peut présenter des statistiques de mortalité de façon biaisée, notamment en manipulant l’échelle choisie.

Sur le graphique 2, en haut à droite, la mortalité liée au COVID-19 a tellement baissé à partir du 23 juin 2020 que l’échelle du nombre de décès va de 0 à 15 morts alors que pour la période de mars-avril (phase aigüe épidémique-graphique 1 en haut à gauche), l’échelle va de 0 à 400 morts.

En utilisant la même échelle, 0 à 400, on voit encore mieux (graphique 3 en bas à droite-23 juin au 10 août 2020) combien la mortalité due au COVID-19 est devenue infime entre juin et août 2020.

Les hospitalisations pour COVID-19 sont elles aussi devenues anecdotiques, de même que les admissions en soins intensifs, comme le confirment beaucoup de médecins de terrain. Les politiciens et leurs conseillers « COVID » maintiennent des mesures extrêmes :
• Port continu du masque, même en extérieur, pour tous,
• Rassemblements fortement limités (bulles),
• Couvre-feux,
• Paralysie de secteurs entiers de l’économie,
• Distanciation physique même pour les enfants,
• Troubles hygiéniques (lavages des mains) obsessionnels compulsifs (THOC),

Alors que tous les indices de gravité diminuent et ce depuis le mois de mai, avant le durcissement incompréhensible de ces mesures.Serait-ce l’une des raisons qui pousse une partie de plus en plus large de la population à demander des comptes à leurs gouvernements et à ces conseillers ? [12]

Conclusions

La narrative officielle, si elle était justifiée en mars-avril, ne l’est plus du tout aujourd’hui. Pourtant, elle est maintenue, engendrant peur, colère, incompréhension, stress et dépressions.

Les écoles rouvrent avec des restrictions excessives. C’est de la maltraitance organisée, autorisée pour tous ces enfants obligés de se masquer et de rester isolés, avec la menace permanente qu’on leur enlève à tout moment un de leurs droits fondamentaux, le droit à une éducation de qualité. Trop de secteurs économiques vitaux sont encore paralysés, laissant présager toujours plus de faillites, toujours plus de paupérisation et de misère humaine.

Les masques ne devraient plus être portés partout, en continu et par tout le monde. Les critères de gravité baissaient déjà bien avant que ces mesures soient devenues permanentes et obligatoires.

Les médias ne devraient plus parler de « nouveaux cas confirmés », ce qui sème peur et confusion, mais de « nouveaux cas testés positifs » et insister plutôt sur la baisse continuelle du nombre d’hospitalisations, d’admissions en soins intensifs et de décès, seuls indices cliniques valables de gravité. Testé PCR positif ne signifie pas être malade de la COVID-19.

Un test PCR positif ne signifie plus aujourd’hui que l’on est infecté ou infectant et les seuils de cycles d’amplification (Ct) ne doivent pas être dissimulés ni manipulés, mais connus et standardisés.

La clinique (état de la personne) doit primer sur les résultats des tests. Les médias, s’ils veulent garder la confiance de la population, doivent donner la parole aux nombreux médecins qui sont avant tout cliniciens et ont une vision plus globale, plus juste de la réalité et qui s’exprimeront, d’une façon ou d’une autre.

De même, les politiciens doivent accepter que les conseils de sécurité COVID soient remaniés et composés de médecins compétents en clinique et indépendants de l’industrie productrice de médicaments.

Il en va de leur crédibilité, de la crédibilité des sociétés démocratiques pour lesquelles nos parents et nos grands-parents se sont durement battus. Les pouvoirs en place ont failli et les citoyens devront décider de leurs sorts. Ils doivent partir. Le virus SRAS-CoV-2 ne doit plus leur servir d’alibi pour ce désastre organisé.

 

Dr Pascal Sacré,
Août 2020

 

Notes et sources :
[*] https://www.mondialisation.ca/author/pascal-sacre
[1] PCR en microbiologie : de l’amplification de l’ADN à l’interprétation du résultat Rev Med Suisse 2007, Volume 3. 32181.  Drs K Gaton et G. Greub
[2] COVID-19 la grande illusion du test PCR, un dossier de David Crowe, Néosanté n°101, pages 4-11, juin 2020
[3] Are you infectious if you have a positive PCR test result for COVID-19 ? 5 août 2020, Tom Jefferson.
[4] Jean-François Toussaint, Wikipédia
[5] Le Grand Oral de Pr Jean-François Toussaint, sur RMC le 14 mai 2020
[6] Jean-François Toussaint, professeur de physiologie de l’Université Paris-Descartes et directeur de l’IRMES, Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport1 à l’INSEP. Il s’exprime le 18 août 2020 sur le plateau de C News sur l’évolution de la maladie COVID-19.
[7] Le professeur Christian Perronne dénonce une corruption mondiale, 3 août 2020.
[8] « Il faut foutre un coup de pied dans la fourmilière. » sur YouTube, 24 juillet 2020
[9] Martine Womer interviewée
[10] La clé pour vaincre la COVID-19 existe déjà. Nous devons commencer à l’utiliser, FranceSoir, le 24 juillet 2020
[11] WHO Coronavirus Disease (COVID-19) Dashboard
[12] Une pétition lancée pour “Virer du conseil scientifique les membres sponsorisés par des labos”

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