L’AIMSIB s’enorgueillit ici de l’arrivée de Jean-Pierre Auffret, ingénieur en retraite de très grand talent, passionné de longue date par les intrications douteuses que l’industrie a pu un jour nouer solidement avec la médecine. Il a donc trouvé depuis longtemps dans la vaccinologie matière à… intérêt. Jean-Pierre lit tout ce qui paraît sur le sujet, note tout, trie tout et informe quotidiennement son public admiratif des articles-perles tous frais du jour, que ceux-ci paraissent en français, en anglais ou en Italien. Quand la cardiologie vous ramène au vaccin et inversement, c’est possible? Bonne lecture.
« La vaccination est l’une des avancées les plus remarquables de l’histoire de la médecine. Aucun propos « sérieux » touchant aux vaccinations, voire à la médecine, ne saurait être énoncé sans cette incantation rituelle, ce mantra, ce signe de croix liminaire…
Exemples, ministre en tête, dans les interventions lors du colloque du 22 mai 2018 [1] touchant à l’aluminium dans les vaccins et à l’anti-hépatite B. Variante conjurant un quasi-sacrilège : « Loin de moi l’idée de remettre en cause l’intérêt des vaccinations... ». Même un Romain Gherardi, venant mettre en garde contre l’origine vaccinale d’inquiétantes accumulations d’aluminium dans les muscles ou le cerveau, renouvelle son allégeance à Pasteur…
Autre variante de dernier recours, psalmodiée fidèlement, lorsqu’il faut admettre qu’il pourrait y avoir des accidents, des coïncidences fâcheuses : « Aucune étude ne met en évidence de lien entre le vaccin et la sclérose en plaques (par exemple), et, même si c’était le cas, le vaccin a sauvé des milliers de personnes du VHB (par exemple). Le rapport bénéfices-risques est toujours largement en faveur du vaccin! »
Et le credo protecteur, le mantra salvateur ressort par automatisme, excluant toute critique alors même que, comme on va le voir, celui qui s’exprime expose un cas analogue qu’il s’interdit de transposer. Un éminent professeur de chirurgie cardio-vasculaire m’expliquait la décadence de l’Empire romain par l’importance du plomb dans la vaisselle de l’aristocratie et la préparation du vin notamment, et donc par le saturnisme et les troubles mentaux qu’il générait notamment chez les empereurs… S’ensuit un petit échange sur l’importance réelle du plomb parmi les causes de cette décadence, sur l’origine de celui-ci dans l’alimentation des Romains, sur la balance bénéfices-risques, l’adduction d’eau par des canalisations en plomb ayant quand même largement participé au développement des villes et à l’essor économique.
La transition me semblant facile, je demande alors : « Mais n’y aurait-il à se préoccuper davantage des métaux injectés directement dans le sang, par exemple l’aluminium à l’occasion des vaccinations ? » L’incantation protectrice fuse instantanément : « La vaccination est l’une des avancées les plus remarquables de l’histoire de la médecine. » Peut-être pour camoufler une certaine méconnaissance du sujet autant que par paresse à s’y aventurer. Puis pour faire montre d’un esprit critique en éveil, mon interlocuteur se réfugie dans sa spécialité et me parle des stents : ces petits dispositifs servent à maintenir une section (lumière) suffisante pour les vaisseaux ou d’autres orifices ; leur emploi est courant et salutaire pour une nombreuse population, en général âgée. Et les stents en acier inox contiennent (contenaient ?) en général du nickel (Iekin, nitinol)[2]. Alors que mon interlocuteur en posait lui-même fréquemment, sans inquiétude, un confrère canadien attira son attention sur les inconvénients du nickel et les traces que les stents diffusent dans l’organisme au fil du temps.
Le nickel, également utilisé pour des prothèses et d’autres implants, est un métal familier, presque sympathique : il interviendrait dans le métabolisme des glucides ou le cycle du fer, etc. Mais les avantages métallurgiques… n’excluent pas quelques risques : les allergies cutanées (eczéma de contact, parfois urticaire) sont bien connues et concernent quelques % de la population, et le rôle physiologique du nickel est encore mal connu.
Surtout les dérivés inorganiques sont classés « cancérigènes certains » (CAT 1) par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), et le nickel métallique est quant à lui classé « possiblement cancérigène » (CAT 28).
Et le confrère canadien d’affirmer de réels risques cancérigènes avec le nickel des stents. Mon interlocuteur le fait répéter et obtient son accord pour citer son nom avec cette hypothèse, dans une communication professionnelle. Dès la publication de celle-ci, un important producteur de stents (au nickel) téléphone à mon interlocuteur et lui reproche vigoureusement de mettre en péril patients, praticiens et… producteurs… L’échange cesse à l’évocation du chiffre d’affaires en cause.
La pratique n’en est pas moins répandue : elle concerne une certaine population de patients, généralement âgés, à qui elle peut néanmoins apporter un avantage réel. Mon interlocuteur n’hésitait donc pas à déplorer la toxicité d’une ingestion ou d’une implantation. Mais concernant l’injection par la vaccination de substances suspectes, dans une immense population saine face à une maladie hypothétique et malgré des effets indésirables au moins aussi patents, le réflexe conditionné s’avérait le plus fort :
« La vaccination est l’une des avancées les plus remarquables de l’histoire de la médecine. »
Quand la vigilance scientifique abdique devant le dogme…
Sources:
[1] http://videos.assemblee-nationale.fr/video.5464
[2] D’autres alliages sont utilisés (cobalt-chrome ou platine-chrome) : le chrome III est réputé dépourvu de toxicité, mais le chrome VI, les sels de chrome IV… sont toxiques.
Remettre en cause des dogmes, soit.
Nier la réalité avec des croyances jamais démontrées en mettant en danger la population, non !
Mickey, Quelle réalité? quelles croyances?
D’une stupidité sabs nom et basé sur… rien!
Effectivement un commentaire ne disant rien et ne reposant sur aucun argumentaire … vous avez parlé de stupidité ?
Votre commentaire est tellement laconique qu’il en perd tout sens (vous êtes tellement pressé que vous ne prenez même pas le temps de vous relire). Qu’est ce qui est stupidité ? la vaccination ou l’article ?
Si vous parlez de la vaccination (excusez-moi si je suppose à tord), je me permets de penser que vous n’êtes pas victime des méfaits dus aux métaux lourds ; moi si… je ne suis pas médecin, mais il semble que je sais malheureusement mieux que vous de ce dont on parle ici. Alors l’aluminium est un problème ! et je vous engage à lire (ou relire) l’article sur la rougeole en France et aux US. C’est très intéressant.
PS : il n’y a pas d’études dites « sérieuses » car l’état a délaissé une partie de cette responsabilité aux laboratoires,… qui produisent eux-mêmes toutes ces substances. Vous le savez bien. Le pot-aux-roses est éventé ; Il y a longtemps que l’argument n’est plus recevable…
Combien de temps le métal du stent reste-t-il en contact avec le flux sanguin ou les cellules avoisinantes ? Et pourquoi pas accuser nos cuillères et fourchettes d’être cancérigènes ? La suspicion a des limites, surtout quand elle ne se base sur aucune étude épidémiologique…
Bonjour,
Je rebondis sur votre propos : « pourquoi ne pas accuser nos petites cuillères » ; ça vous paraît le comble de la fantaisie ? vous savez pourtant certainement que d’autres avant nous, et pas des moindres, ont subi la maladie à cause de carafes (ou du vin) qui contenaient du plomb !
Sachez qu’il existe des témoignages allant dans ce sens : par simple bon sens un membre de ma famille a résolu une situation d’allergie (peau irritée, yeux qui pleurent, plaques rouges) en éliminant tous les couverts (passoires, etc…) qui contenaient de l’aluminium. Saturation au fil des années ? Le résultat a été immédiat…
Cet exemple ne se veut pas être une preuve, bien entendu ; il resterait à déterminer si cette personne est un extra terrestre ou si la toxicité est avérée pour tous – avec une tolérance différente pour chacun (principe de l’empoisonnement).
Demandons donc à l’industrie de l’aluminium ou à l’industrie pharmaceutique de faire une étude, on est sûr d’avoir une réponse scientifique, si vous voyez ce que je veux dire…
Cordialement,
« La vaccination est l’une des avancées les plus remarquables de l’histoire de la médecine. »
On attend toujours la démonstration…
L’efficacité des vaccins est seulement déduite de leur capacité à induire la production d’anticorps et de l’interprétation des statistiques sur l’incidence de la maladie après la vaccination de la population puisqu’il est impossible de savoir quelle proportion de la population aurait été infectée.
La plupart des maladies infectieuses avaient régressé très fortement avant l’introduction des vaccins [ https://childhealthsafety.wordpress.com/graphs/ ] mais le mérite en fut abusivement attribué à la vaccination sans prendre en compte la très nette amélioration des conditions d’hygiène et de vie entre les deux guerres.
Su ce, il est bien incertain que la vaccination aurait sauvé des millions de vie !
Aujourd’hui encore le gouvernement voudrait introduire le vaccin Gardasil alors que l’incidence du cancer du col baisse en France sans vaccination et qu’elle augmente dans tous les pays qui la pratiquent à plus grande échelle.
Pour juger de l’efficacité de vaccins il faudrait pouvoir comparer des populations de « vaccinés » avec des populations de « non-vaccinés » (volontaires). Les autorités sanitaires accepteraient-elle ce défi expérimental… quand « le dogme » de l’immunité de groupe (herd immunity) s’y oppose.
Rappelons que l’expérience avait été faite sur des souris de laboratoire en 1923, et que le concept a accompagné les premières campagnes de vaccinations contre la rougeole au début des années 1960 aux États-Unis.
HISTORY The first published use of the term « herd immunity » appears to have been in a paper published in 1923 by Topley and Wilson titled « The spread of bacterial infection : the problem of herd immunity » (38). This was one of a classic series of studies by these authors on epidemics of various infections in closely monitored populations of laboratory mice(39).
38. Topley WWC, Wilson GS. The spread of bacterial infection. The problem of herd immunity. J Hyg 1923;21:243-9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2167341/
39. Greenwood M, Hill AB, Topley WWC, et al.Experimental epidemiology. Medical Research Council special report, series no. 209. London, England: His Majesty’s Stationary Office, 1936.
source : Herd Immunity: History, Theory, Practice http://www.assis.it/wp-content/uploads/2016/01/crude-herd-immunity.pdf
Du laboratoire à l’homme, le concept d’immunité de groupe est-il vraiment transposable ? devrait-il être reconsidéré ? c’est ce que suggère cet article :
Herd immunity and measles. 1983 May-Jun;5(3):463-6. Fox JP.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/6879000
Vos affirmations sur les métaux qui composent les stents me paraissent incertaines ; faudrait s’assurer de la composition des alliages , avant de crier au loup .
Le premier que l’on m’a posé en 1997 était en titane ( peut-être un alliage ? ) .
Pour le second , en 2016 , voilà ce que je trouve dans le dossier de la H.A.S.
» .Le stent RESOLUTE ONYX comprend quatre éléments : la plate-forme, ou stent nu métallique constituée d’un alliage de cobalt-chrome ; la matrice polymérique BioLinx associant 3 co-polymères, deux polymères non érodables hydrophiles et un polymère hydrophobe recouvrant la plate-forme en totalité et permettant la libération progressive du principe actif ; le principe actif le zotarolimus ; le système de pose composé du cathéter d’insertion du stent et du ballon de dilatation. »
Cela contredit les affirmations de M. AUFFRET .
pour avoir une idée, il suffit de taper les mots « stent » et « nickel » dans google ; première réponse dans la liste :
Les stents coronaires utilisés dès 1997 sont composés d’acier inoxydable, d’alliage cobalt-chrome ou platine-chrome. Tous contiennent du nickel à des taux variables, entre 10 et 35 %
https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/cardiologie/stents-une-etude-rassurante-en-cas-dallergie-au-metal
Dans cette étude, une hypersensibilité au nickel était rapportée chez 26 des 29 participants, et celle au chrome chez 9 parmi les 29. Un test cutané s’était révélé positif chez les 11 sujets ayant fait l’examen. Pour les autres participants, l’allergie était présumée d’après les antécédents.
« Nous ne faisons pas de test d’allergie au nickel en routine, souligne, le Dr Rajiv Gulati, l’un des auteurs. (…)
N.Ferrand
600000nouveaux cas de handicap intelectuel causés par le plomb chaque année ds le monde d’après l’OMS croyances ou realités??
La clinique Pasteur à Toulouse est la championne des la pose des stents et autres valves artificielles et clips made in « Medtronic »
Ca rapporte! Alors la santé des patients ………
C’est à la clinique Pasteur de Toulouse que fut posé mon premier stent en 1997 , je suis toujours là , mon intellect ne semble pas en avoir trop souffert ( Vince fait » si si si » de la tête , bon …) .
Si un jour vous subissez un infarctus , refusez donc la pose d’un stent ; on en reparlera chez Lucifer .
J’ai été victime d’un infarctus en 1997.
J’ai refusé la pose d’un stent et … 22 ans après je suis toujours là et en bonne santé!
J’ai 78ans et je suis toujours en activité professionnelle
Et vous ?
Vous avez refusé lapose d’un stent, mais alors quelles alternatives vous ont été proposées ? et qu’avez vous faits ?
Merci
L’industrie pharmaceutique n’a jamais apporté la preuve scientifique de l’efficacité
d’un vaccin, depuis Jenner soit depuis plus de 2 siècles!
Elle ne le peut pas et ne le pourra jamais. Il faudrait pour cela qu’elle fasse une étude en double aveugle, sur deux échantillons tirés au sort au sein d’une même population, dont l’un subirait la vaccination contre une maladie X et l’autre ne serait pas vacciné. Après quoi, le virus de la maladie X serait inoculé aux deux groupes et
l’on comparerait les résultats!
On voit bien que ce processus scientifique à la Mengelé ne peut être mis en oeuvre de nos jours.
Dommage (ou heureusement!) pour Big Pharma.
La première inoculation de masse (si on peut dire) a été pratiquée à Boston (Massachusetts) par Zabdiel Boylston en 1721. Il en avait publié la méthode et les résultats en Angleterre dans un livre :
« An historical account of the small-pox inoculated in New-England, upon all sorts of persons, whites, blacks, and of all ages and constitutions : with some account of the nature of the infection in the natural and inoculated way, and their different effects on human bodies ; with some short directions to the unexperienced in this method of practice ; humbly dedicated to Her Royal Highness the Princess of Wales (1726) »
https://archive.org/details/2544007R.nlm.nih.gov
ou le lien PDF direct : https://ia601700.us.archive.org/16/items/2544007R.nlm.nih.gov/2544007R.pdf
Dans cette ancienne publication, probablement la première du genre, page 34 de son livre, (= page 52/72 du PDF) on apprend dans un tableau statistique que sur les 286 personnes de tous âges inoculées, 281 développent la variole (small-pox), 1 une variole « imparfaite », 6 personnes sur lesquelles elle n’a pas d’effets, et 6 sont suspectées d’être décédées de l’inoculation !
Zabdiel Boylston (1679-1766) was a physician in the Boston area https://en.wikipedia.org/wiki/Zabdiel_Boylston
Edward Jenner avait probablement connaissance de cette insolite publication anglaise et qu’il s’en est inspiré. Le chimiste Louis Pasteur ne fera qu’auréoler d’un peu de science la méthode … d’origine africaine » An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather, the influential New England Puritan minister. »
https://en.wikipedia.org/wiki/Onesimus_(Boston_slave)
La médecine a hérité de cette pratique empirique… qu’on appelle aujourd’hui vaccination.
Quand bien même une vaccination pratiquée dans certaines conditions se montrerait efficace que ce ne serait pas une raison suffisante pour l’utiliser, à plus forte raison la généraliser et ce indépendamment des effets indésirables qu’elle pourrait provoquer.
Il faut aussi comparer avec d’autres moyens de lutte. Ainsi la variole, qui pourrait être un formidable exemple d’école, a été en définitive vaincue par la recherche active des malades, des contacts et leur isolement qui était d’ailleurs souvent une mise en quarantaine, c’est à dire que le malade restait dans l’habitation avec les personnes qui s’y trouvaient au moment de la découverte du cas.
Les contacts furent de plus en plus systématiquement vaccinés en pensant que cette vaccination, pratiquée dans ces conditions, serait efficace. Ils (les experts) savent aujourd’hui que c’était faux mais cela ne se crie pas sur les toits !
Par exemple, doc InVS 2001 « …le virus de la variole comme arme biologique » page 18 :
http://opac.invs.sante.fr/doc_num.php?explnum_id=5912
“La transmissibilité limitée permettait, à condition d’agir vite, d’interrompre les chaînes de transmission grâce à l’isolement des cas, la recherche active de leurs contacts, leur vaccination et leur suivi pour vérifier qu’ils ne développent pas la maladie.
Il est indubitable que c’est la mise en oeuvre de ces stratégies de contrôle qui a permis, au moins dans les régions de forte densité, d’atteindre l’élimination, … »
Même en admettant que la vaccination des contacts était efficace, son seul effet aurait été alors de réduire le nombre de cas sans pour autant agir sur la transmission, les contacts étant isolés.
je suppose que même parce que tu aurais un vaccin efficace à 100% et très bien toléré, pour savoir si c’est « utile » il faut au moins connaître les caractéristiques épidémiologiques de la maladie concernée.
Tout simplement ici, dans le cas de la variole, parce qu’elle a été vaincue, quoiqu’on en dise, par la recherche active des malades et de leurs contacts suivie de leur isolement. Cela cassait la transmission. C’est parfaitement authentifié et dans les conditions les plus difficiles.
De fait, oui, au moins pour la variole, la vaccination, même efficace dans certaines conditions (il y a toujours des conditions), n’était pas indispensable ni souhaitable en raison des très graves et très fréquents effets secondaires qu’elle provoquait.
La seule vaccination qui pouvait être utile était celle des équipes sur le terrain car elles pouvaient se trouver en contact avec des varioleux à une époque où on n’utilisait pas de protections, ce qui ne serait plus le cas aujourd’hui.
Plus généralement, avant d’utiliser un vaccin on devrait s’interroger sur les autres moyens de lutte. On peut aussi, pour des microbes à souches multiples, provoquer des déplacements de souches avec des vaccin efficaces contre certaines. C’est le cas par exemple pour les pneumocoques et sera sans doute aussi le cas pour les papilloma virus et les méningocoques. On devrait donc aussi s’interroger sur cette problématique pourtant bien connue.
Le stent est palliatif, quand sa pose est possible il solutionne immédiatement l’occlusion (partielle ou non) de l’artère, le stent n’est pas curatif, il n’arrête pas le phénomène d’athérosclérose, assez très mal connu semble-t-il. Les resténoses sont fréquentes.
La question du métal et de sa possible (micro ou nano) toxicité devient dès lors assez (effet) secondaire.
Peut-être trouvera-t-on un jour des (nano-)matériaux mécaniquement équivalents complétement inertes et bio-compatibles, un peu comme les résines remplacent les plombages dentaires. En attendant, l’usage de prothèses métalliques concernent aussi les prothèses de hanche, de genou, broches, vis et implants divers…
D’abord une pensée à la mémoire de Michel Georget que je connaissais depuis plus de 40 ans. Il a accompli un travail colossal sans jamais se lasser.
Pour les métaux dans le corps il faudra prendre conscience que leur nocivité dépend pour une part non négligeable de l’environnement électromagnétique. Ainsi, les couronnes dentaires deviendront plus nocives sous la wifi qu’auparavant. Certaines personnes se plaignent d’importantes et permanentes crispations dans la mâchoire avec l’arrivée des nouveaux champs électromagnétiques liés aux communications. Si la personne porte des valves cardiaques métalliques alors … Je connais une personne dans ce cas
Qu’est ce que je disais ? Ce jour même :
« C’est une première. Treize plaignants de Haute-Garonne ont obtenu d’un magistrat toulousain de pouvoir refuser la pose du compteur Linky. Une mesure qui ne s’applique qu’aux personnes électro-hypersensibles, « mais qui confirme, selon leur avocat, que le compteur nouvelle génération n’est pas neutre d’un point de vue sanitaire ». Enédis a fait appel.
Il s’agit de personnes électro-hypersensibles dont la pathologie a été validée par un certificat médical », a précisé Me Christophe Léguevaques, à « La Dépêche du Midi ».
L’avocat toulousain qui défend les intérêts de quelque 5500 personnes dans toute la France dans le cadre d’actions collectives, enregistre à cette occasion sa première victoire. Il indique qu’à l’interdiction faite à Enédis de poser un compteur Linky chez ses clients électro-hypersensibles, s’ajoute une mesure sanitaire supplémentaire : « si ces personnes habitent dans un immeuble et que leurs voisins sont déjà équipés d’un Linky, il appartiendra au distributeur de délivrer à proximité du logement des malades une électricité exempte de tout courant porteur en ligne, notamment dans les fréquences comprises entre 35 khz et 95 khz ».
L’hyper sensibilité aux ondes est en particulier très dépendante des métaux dont la personne est porteuse et de leurs localisations dans le corps.
Il n’est pas possible d’étudier valablement la nocivité d’un métal dans le corps indépendamment de son environnement électromagnétique qui est très évolutif et changeant. C’est pourquoi il est sans valeur de s’appuyer sur le fait qu’on n’aurait pas constater d’effets nocifs de l’aluminium dans les vaccins il y a 80 ans pour en déduire qu’aujourd’hui il en irait de même alors que nous pouvons passer 6 heures par jour avec la tête à 40 cm d’un écran quand on sait que Exley a retrouvé de grosses quantités d’aluminium dans le cerveau d’enfants autistes décédés et que, sans aller jusqu’à cette extrémité, beaucoup de multi-vaccinés pourraient avoir de l’aluminium dans le cerveau.
Je connais une personne ayant 2 valves cardiaques métalliques qui supporte très mal de faire plus de 50 km dans une voiture équipée du bluetooth et autres modernités forts commodes certes pour trouver son chemin. Mais il faut aussi avoir conscience que tous ces équipements sont plus qu’insupportables pour certaines personnes.
Si vous avez à la fois du métal dans le coeur pour remplacer des valves, du métal dans la bouche pour remplacer des dents et du métal dans le cerveau ou ailleurs à cause des vaccins ou de fractures après un accident de voiture, votre vie pourra tout simplement devenir invivable dans l’environnement électromagnétique déjà en place dans de nombreux endroits et qui va se généraliser et s’amplifier encore avec la 5G pour démultiplier le recours à la téléphonie mobile qui pourrait avoir à terme des conséquences qu’on ne veut pas soupçonner tant cela nous parait commode et aller dans le sens du progrès.
Ceux qui ne semblent pas perturbés par ces nouvelles ondes électromagnétiques ne peuvent pas croire que d’autres puissent en être très fortement affectés. Et pourtant …
Je ne veux pas éloigner le débat du sujet des métaux, mais Il faut rappeler que le tribunal a rendu un verdict sur la base d’un principe de précaution ; en aucun cas parce qu’un effet nocif du compteur linky aurait été démontré ; il n’existe « à priori » (je veux dire « sauf mensonge dans les documents remis par Enedis au tribunal ») pas d’émetteur d’ondes (style 3G ou 4G ou autre) dans un compteur Linky ; il utilise le 220V pour faire transiter ses informations à raison de 4 secondes chaque heure !!!
Il faut rappeler que Free propose la même technologie pour relier ses deux boîtiers Freebox (je ne parle pas ici du wifi) et aucune association n’a été créée pour se mobiliser contre ses effets nocifs.
Il existe aussi des tas d’autres appareils qui utilisent les courants coupleurs sans que le public en ait forcément conscience (systèmes d’alarme, systèmes d’écoute sans fil, etc…) ;
PS : Ceci dit il existerait de vraies raisons de refuser le compteur, qui ne seraient plutôt liées à la confidentialité.
http://initiativecitoyenne.be/2019/03/deces-de-michel-georget-un-biologiste-qui-avait-tout-compris-sur-les-vaccins.html?fbclid=IwAR0zNpnebN-iYRDPgBl3dzURe-gMJLcUPGwBbrEAbyGsuOjQYfEa1yeTGF4
Il est toujours dans mon esprit l’idée d’une sorte de forum ou l’on peut exprimer instantanément un message de demandes, réponses… ou comme aujourd’hui rendre hommage à Michel Georget qui vient de disparaître, cet agrégé de biologie faisant partie du comité de l’Aimsib et qui a si bien œuvré sur le thème de la vaccination.
Bonjour Hermine,
La mort de Michel Georget nous a tous bouleversé, l’aimsib lui doit beaucoup. Nous prévoyons de sortir un billet spécial cette nuit en sa mémoire.
Avant de nous quitter, Michel Georget n’aura pu que constater que son combat historique pour informer la population sur les risques des vaccins, n’a pu empêcher l’élargissement des obligations vaccinales qu’il pressentait dès 2014 dans « l’apport des vaccination à la santé publique ».
Malgré tout, il n’a jamais laissé tomber puisque son livre « vaccination les vérités indésirables » a été réédité fin 2017. J’ai d’ailleurs ce livre dédicacé de sa main …
Michel Georget est quelqu’un qui a énormément travaillé son sujet, il était l’inverse d’un opportuniste médiatique prêt à envahir l’espace public pour faire croire qu’il était important…
Il était important tout simplement et ses livres ont été repris et cités de nombreuses fois.
Je cite sans cesse Marc Girard, il n’empêche que Michel Georget est l’autre auteur que je respecte profondément et je me dis que sa disparition tombe vraiment au pire moment pour la liberté vaccinale.
Peut-être pas Emilio !
On parle de sa disparition !
On va parler de sa disparition, merci Vincent !
On va peut-être le découvrir, s’intéresser à ses écrits, ses conférences c’est hélas parfois dans ce contexte que la rançon du succès s’obtient !
Tout à fait Hermine ! Il a laissé une oeuvre riche qui reste à découvrir et à assimiler pour mieux la mettre en action et la faire vivre car ce sont moins les livres qui comptent que la vitalité qu’on donne à ce qui qui s’y trouve et ce qu’on y aura trouvé. Le premier enseignement qu’il aura donné aura été qu’il a œuvré pratiquement jusqu’au bout malgré les limitations de la maladie.
Un article datant de 2012 : https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2012/04/18/stents-une-etude-rassurante-en-cas-dallergie-au-metal_620137
qui se veut rassurant, mais … je me méfie de tout ce qui est rassurant, ça cache bien des choses, conf. les vaccins et la litanie Buzynessienne.
Il y a donc du Nickel dans les stents. Allergie au Nikel ? Ca existe et c’est parfois très grave n’en déplaise au « mécanos » de l’humain. Mon épouse à travaillé durant plusieurs années dans deux cliniques en service comptabilité et a vu passer bon nombre d’incidents gravissimes dus aux composant Nickel de prothèse ( hanche etc…) lorsqu’elles n’était aussi mal dimensionnée ce qui donnait de rudes combats entre les chirurgiens et le fournisseur.
Le plus difficile pour les patients opérés était de faire admettre cette allergie et se la faire retirer cette prothèse ce qui durait parfois longtemps jusqu’à la menace de procès.
Pour ce qui est des stents , n’en déplaise à Riboulours ( tant mieux si son stent est toujours vaillant) j’ai eu connaissance ces jours ci d’un voisin victime d’un infarctus et 2 stents sur 4 se sont resténosés en peu de temps.
Par ailleurs, à titre anecdotique, une mienne cousine qui vivait depuis 40 ans à Nouméa, venait tous les deux ans en cure à la Roche Posay se soigner pour un urticaire monstrueux dont personne ne trouvait l’origine ( Docteurs de chèvres sur l’Île peut-être ?) , c’est en insistant ces dernières années sur mes conseils ( avisés) qui lui disait que son Île adorée était un véritable gisement de Nickel et que toutes les plantes en était nourries, que ça pouvait être à l’origine de son allergie, elle a fait faire des examens plus poussés dont les résultats sur ont confirmé qu’elle était bien allergique au Nickel ;Résultat, elle est revenue en métropole depuis cinq ans, ( à la Roche Posay dont elle aimait la région) et n’a PLUS d’urticaire du tout.
Donc comme on dit, tout n’est pas Nickel-Chrome pour les stents….
@ Inox
La re-sténose d’un stent n’a rien à voir avec sa composition métallique .
Les stents actifs ont été crées pour diminuer ce risque .
Désamalgamons ce qui peut l’ être !
@ Riboulours. Vous avez raison sur le principe. Mais chez cet homme les stents étaient récents donc actifs; Mais ins ont lamentablement échoué dans leur protection. Puisque vous parlez d’ amalgame, va savoir duquel ils étaient composés … Peut-être, y a t’il autre chose qui provoque ces sténoses. Me semble qu’en l’espèce il y a négligence du mode de vie ou de l’alimentation, en tous cas , les conseils du Dr MdL n’ont pas l’air d’avoir été suivis contrairement à vous. Santé méditerranéenne.
Le rôle d’un stent n’est pas d’éviter une sténose , mais de consolider l’artère endommagée .
Sur l’origine de la formation des plaques , il n’y a pas consensus .
Dernier article de Marc Girard publié ce 9 janvier 2020 : « Quand la justice française condamne encore à mort… »
http://www.rolandsimion.org/spip.php?article459
L’article récapitule un désastre judiciaire survenu à la suite d’une intervention chirurgicale (pose d’un stent) ayant mal tournée, avec la section de l’aorte du patient au moment de l’ouverture du sternum à la scie électrique.
L’histoire décrite montre comment les juges peuvent se laisser manipuler par les experts et les avocats, incapables de se réapproprier les éléments évidents de l’instruction pour indemniser la demanderesse.
Les « critères intrinsèques de crédibilité » de l’expertise permettent au profane de se réapproprier un sujet complexe, de détecter les menteurs et les manipulateurs sans se ridiculiser par son incompétence en se déclarant « contre-expert ».
Ils sont évoqués dans les nombreux articles de Marc dénonçant l’incompétence des juges comme un moyen les amenant à prendre une décision allant dans le sens des puissants et sont une nouvelle fois au coeur de l’histoire…
Cet article était attendu depuis longtemps…