Deuxième et dernière partie de l’excellent article rédigé par le Dr Paul Bousquet s’agissant de l’éveil confraternel qu’il souhaiterait voir susciter auprès de tous les médecins de notre pays. S’agissant des vaccins, donc tout serait dit ?
« La vaccination, ça ne se discute pas »
Cette phrase de Marisol Touraine, ex ministre de la santé, en réaction à la pétition lancée par le Pr Joyeux demandant le retour du vaccin DTPolio sans aluminium, place autoritairement les vaccins en dehors du champ de la science.
Si la vaccinologie n’est pas de la science, alors qu’est-ce ? Une religion ? Un dogme ? Cela fait les affaires des tenants de la généralisation des vaccins à tous les âges de la vie et contre tout et n’importe quoi.
Les firmes exploitent à fond le faux débat idéologique, largement relayé par les médias, entre les « pour » (les vaccins ne peuvent être que bons) et les « contre » (les vaccins sont tous mauvais) pour éluder la question scientifique du rapport bénéfices/risques et de la réelle utilité des vaccins mis sur le marché.
Il n’y a pas de science sans polémique, critique, confrontation, et tout est fait pour éviter de mettre de la science dans cette matière.
Qu’avons-nous appris sur les vaccins pendant nos études ? Tout au plus quelques heures d’enseignement, ou plutôt d’endoctrinement sur l’efficacité totale des vaccins et l’absence d’effets indésirables. S’informer sur les vaccins demande un investissement personnel intense, et d’apprendre à décoder les nombreux mensonges qui depuis Pasteur encombrent les traités de biologie et d’histoire. C’est un exercice dangereux : au pays de Pasteur, on ne touche pas impunément aux dogmes de la religion vaccinale.
Replaçons les vaccins dans leur contexte : ce sont les mêmes industries pharmaceutiques qui falsifient les études, qui fraudent allègrement lors de la mise sur le marché de médicaments, qui font disparaître des effets indésirables de leurs bases de données, qui magouillent pour obtenir des prix de remboursement indécents au vu des faibles services rendus, à qui il faudrait accorder notre confiance à propos des vaccins ?
Les vaccins sur le marché répondent-ils à de véritables besoins de santé publique ?
Il est curieux de constater que dès qu’un vaccin est mis au point par un industriel, il se retrouve automatiquement sur le marché, sans avoir besoin de prouver son efficacité. En effet, on n’exige aucune étude d’efficacité pour les vaccins, pas plus que d’étude de pharmacocinétique. On se contente de ce qu’on nomme « critère intermédiaire », en l’occurrence l’apparition d’anticorps dirigés contre le germe en question, alors que cela ne suffit pas pour prouver la protection immunitaire. Les médicaments qui faisaient baisser le cholestérol, ou la glycémie chez les diabétiques et qui ont été retirés du marché en raison de l’augmentation de la mortalité des patients traités devraient pourtant nous inviter à la prudence.
Pas en matière de vaccins où les expérimentations à grande échelle sont autorisées.
« Plus importants sont les intérêts financiers et les préjugés dans un domaine scientifique, moins il est probable que les découvertes y seront vraies ». (Ioannidis J.P.A., Why Most Published Reasearch Findings Are False. Plos Med 2005 – 2) (8).
Les vaccins ont une rentabilité bien supérieure aux médicaments. Et plus les intérêts en jeu sont énormes, plus la corruption et les magouilles sont intensives. Au classement du Fortune 500, les 10 premières entreprises possèdent plus que les 490 autres. Qui sont-elles ? Des entreprises pharmaceutiques !
Citation de Peter Götzsche, « Remèdes mortels et crime organisé« .
Il n’y a qu’à voir le prix exorbitant de remboursement des vaccins à papillomavirus, ou celui des vaccins à pneumocoque, aucun d’entre eux n’ayant prouvé son efficacité. Pire, le vaccin à pneumocoques à 7 valences, ayant précédé celui à 13, a entraîné en 10 ans une augmentation globale des méningites à pneumocoques (malgré une baisse avant l’âge de 2 ans) ; il n’a pas été retiré du marché pour autant. L’industrie, avec ses collabos infiltrés à tous les échelons de décision, choisit toujours la course en avant. Cette augmentation de l’incidence des méningites à pneumocoques, par un phénomène prévisible de remplacement par des souches non vaccinales, est clairement décrite dans l’avis du 11-12 -2009 du HCSP[1].
Pour les vaccins à papillomavirus, les CDC d’Atlanta et certaines revues internationales indépendantes en ont fait une analyse très critique, mais la plupart des médecins ont été informés sur ces vaccins par un « torchon » gratuit écrit par des corrompus à la solde de l’industrie, qui se disent indépendants, qui n’indiquent aucun de leurs pourtant nombreux « conflits d’intérêt » et qui n’argumentent ni ne référencent aucune de leurs affirmations. http://docteurdu16.blogspot.fr/2012/05
Les quelques exemples qui suivent nous montrent s’il en était besoin que notre confiance dans les industriels fabricants des vaccins est bien mal placée.
Le vaccin polio Sabin, vaccin vivant administré par voie orale, entraînait plus de complications dans les pays occidentaux qu’il n’évitait de poliomyélites, (éradiquées d’Europe de l’Ouest depuis plus de 25 ans) rebaptisées pour la circonstance paralysies flasques aiguës ou méningo-encéphalites ou polynévrites. Ce vaccin délétère est encore utilisé massivement en Afrique, avec le soutien de la fondation Bill et Melinda Gates. L’Afrique nous sert donc de dépotoir tout comme pour nos médicaments périmés ou matériels polluants. Sans prévenir la population, les labos testent des médicaments et vaccins dans ces pays pauvres, voire aux USA où le labo GlaxoSmithKline, déjà cité pour sa probité, a testé la toxicité de médicaments anti SIDA sur des enfants orphelins noirs et hispaniques[2].
En juin 2008, le vaccin DTPolio sans adjuvants disparait brutalement du marché, après 35 ans de commercialisation. Le précédent était adjuvanté au phosphate de calcium. Les prescriptions se sont reportées sur un vaccin 50 % plus cher : Revaxis®, ou sur les vaccins tétra, quinta ou hexa-valents (6 fois plus chers), avec comme adjuvant de l’hydroxyde ou du phosphate d’aluminium dont on connaît la toxicité sur le système nerveux et le rôle dans le déclenchement de troubles auto-immuns sévères.
Pourquoi ce vaccin DTPolio à 6 € a-t-il disparu ?
Pour des raisons commerciales simplement. Il ne rapportait pas assez par rapport aux vaccins tétra, quinta ou hexavalents (>40 €) et le labo Sanofi a fait croire à des ruptures de stock en 2007. Sous diverses pressions, Sanofi a remis le DTPolio sur le marché en janvier 2008. En mai, surprise, il déclarait 23 effets indésirables graves (10/100 000 doses), alors qu’on nous disait que ce vaccin était sûr depuis plus de 35 ans. L’AFSSAPS[3] analyse ces cas et s’aperçoit que la plupart sont inventés ou reportés de l’année précédente, donc fraude. Elle n’en retrouve que 8 à 10 d’authentiques pour 7 attendus, et concernant un seul lot sur les 6 utilisés début 2008. Mais elle approuve la disparition d’un vaccin utile, puisque le seul permettant de répondre à l’obligation vaccinale. 900 000 doses de ce vaccin étaient administrées chaque année.
Cette même agence maintient pourtant sur le marché les vaccins à papillomavirus avec au moins 25 effets indésirables graves pour 100 000 doses administrées, alors que ces vaccins n’ont pas prouvé leur efficacité sur la prévention du cancer du col de l’utérus et ont fait l’objet de scandaleuses actions de propagande, donc mensongères, envers les médecins et les patients.
Fin 2014, c’est au tour des vaccins tétravalents : Infanrix tétra® et Tétravac® et quintavalents : Infanrix quinta® et Quintavac® de disparaître. Le prétexte ? Une forte demande sur la valence coqueluche qui ne permettrait plus de fabriquer ces vaccins, alors qu’il n’y a aucun problème pour fabriquer le vaccin hexavalent Infanrix hexa®. À 40 € la boite il est vrai, au lieu de 15 pour l’Infanrix tétra. Serait-ce une simple question de rentabilité ? Sont-ce les actionnaires qui décident à présent des politiques de santé publique, leur bon vouloir étant relayé auprès des professionnels et du bon peuple par des politiques à leur botte ? Et l’on apprend au même moment, entente entre industriels oblige (ces ententes faussant le jeu de la concurrence sont normalement punies par la loi) que le vaccin Hexavac, retiré pour les raisons analysées plus loin, revient sur le marché européen en 2015 sous le nom d’Hexyon®. Tiens, tiens…
La propagande à propos des vaccins à papillomavirus a amené certains d’entre nous à utiliser les leviers de la peur et de la culpabilité pour imposer ce vaccin : « Vous vous rendez compte Madame, si votre fille fait un jour un cancer du col, ce sera de votre faute ! »
Est-ce là une information objective et respectueuse de la personne qui va l’aider à se décider en toute connaissance du rapport bénéfices/risques du vaccin en question ? Les 10 stratégies de manipulation de masse de Noam Chomsky peuvent nous aider à arrêter de manipuler par l’émotionnel pour faire appel à la réflexion de la personne et recueillir son consentement éclairé.
L’histoire du retrait d’un vaccin hexavalent
« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite, légère ou grave ». (Dr Harris Coulter, Vaccination, Social Violence and Criminality).
En 2005, la presse médicale nous a informés du retrait du marché du vaccin Hexavac® en raison d’une mauvaise immunisation par la valence hépatite B. Un prétexte mensonger, puisque la capacité à générer des anticorps est évaluée bien avant la commercialisation lors des premières phases de développement. Ce mensonge est destiné à cacher le fait que si ce vaccin a été retiré, c’est en raison de l’alerte de médecins légistes allemands qui ont vu affluer des morts subites de nourrissons dans les jours suivants cette vaccination. Tous présentaient des encéphalites d’apparence auto-immune. Des pressions ont été exercées sur ces médecins légistes pour qu’ils se taisent et ne communiquent pas auprès du public. Tous les mensonges sont permis, pourvu que l’image d’un secteur aussi rentable ne soit pas altérée.
)Zinka B, Rauch E, Buettner A, Rueff F, Penning R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2005 May 18)
L’étude de Goldman et Miller[4] a été mise en ligne en avril 2012. Les auteurs, qui ont analysé 20 ans de déclarations, malgré une sous-déclaration notoire, d’effets indésirables liés aux vaccins aux États-Unis, ont établi une corrélation entre le nombre de vaccins administrés et les hospitalisations ou la mort. Plus un nourrisson reçoit de vaccins, plus il les reçoit jeune, et plus il risque d’être hospitalisé et d’en mourir. Les auteurs s’étonnent que les effets indésirables des associations de vaccins multiples n’aient jamais été évalués et invitent les autorités sanitaires à réaliser des études sans tarder.
C’est ainsi que le laboratoire Pfizer, fabricant du Prévenar©, a été sollicité par la FDA pour rapporter les effets indésirables de son vaccin, qu’il gardait bien cachés. Parmi les effets indésirables graves de ce vaccin, et selon qu’il était administré seul, avec un autre vaccin non hexavalent, ou avec un vaccin hexavalent, le taux de complications neurologiques, particulièrement préoccupantes par leurs séquelles ou parce qu’elles engagent le pronostic vital, passait de 9 % (Prévenar seul) à 15 % (associé à un vaccin tri, tétra ou quintavalent) et jusqu’à 34 % en cas d’administration concomitante avec un vaccin hexavalent (Hexyon ou Infanrix hexa).
Malgré ce, les « experts » du CTV[5], dont la plupart sont pourris de « conflits d’intérêt », recommandent sans aucun état d’âme l’injection d’un vaccin hexavalent dans la cuisse de nourrissons de 2 mois, et 13 variétés de pneumocoques dans l’autre cuisse. Et l’on remet çà deux mois après. Pourquoi à 2 et 4 mois ? Serait-ce parce que c’est à 2 mois que se produit le pic de fréquence de la mort inexpliquée des nourrissons et qu’il est alors plus facile d’attribuer la faute à « pas de chance » ?
Les « experts » du CTV nous demandent de faire totalement confiance à tous les vaccins, sans aucune discrimination, sans se poser la question de leur intérêt sanitaire ni de leur rapport bénéfices/risques. Pour que ce rapport soit justement évalué, encore faudrait-il que nous signalions les effets indésirables survenant dans les suites d’une vaccination, sans se préoccuper de leur éventuelle imputabilité. Ce n’est pas à nous de la décider. Mais nous ne déclarons tout au plus que 1% de ces effets, car c’est un véritable parcours du combattant. Pire que pour la déclaration d’effets indésirables de médicaments. Ce rapport est toujours faussé, à tel point qu’il est devenu impossible de l’évaluer pour chaque vaccin.
Comment détermine-t-on ce rapport bénéfices/risques ? Impossible de le savoir. Il n’a aucune définition scientifique, ce qui est un comble. C’est une boite noire dont les membres de ces comités auraient seuls la clef et qu’ils n’ouvrent qu’entre eux. Où est la science dans tout çà ?
Quelques extraits d’un article du Dr Tomljenovic, de l’Université de Colombie Britannique : The vaccination policy and the Code of Practice of the Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI): are they at odds?
Extraits de l’introduction : « Le JCVI a déployé des efforts continus pour cacher des données critiques sur les réactions indésirables graves et les contre-indications à la vaccination aux parents et aux professionnels de la santé afin d’atteindre les taux de vaccination généraux qu’il jugeait être nécessaires pour « l’immunisation de troupeau », concept qui… ne repose sur aucune preuve scientifique solide ». En 30 ans, j’ai vu alléguer que ce phénomène de troupeau fonctionnait à partir de 70 % de personnes vaccinées, puis qu’il en fallait 80 %, puis 90 %, pour s’apercevoir que même avec 97 % de personnes vaccinées, les maladies continuent à circuler. Bien sûr, et entre autres, parce que l’immunité vaccinale dure bien moins longtemps que l’immunité acquise après la maladie naturelle.
« Les documents officiels obtenus par le ministère britannique de la Santé et le JCVI révèlent que les autorités sanitaires britanniques se sont engagées dans cette pratique depuis 30 ans, apparemment dans le seul but de protéger le programme national de vaccination ». Il est à craindre que ce qu’on peut reprocher au JCVI britannique ne soit entièrement extrapolable au CTV français. Qui décide de ce programme national de vaccination, très variable selon les pays ce qui fait douter de son fondement scientifique, et sur quelles bases est-il élaboré ?
Ainsi, l’OMS avait prévenu des risques de vacciner une grande partie de la population avec le vaccin contre la Rougeole. Si le virus sauvage ne circulait plus, l’immunité générale risquait d’être moins bonne, et la maladie repoussée en deçà et au-delà de l’enfance, pendant laquelle cette maladie est le plus souvent bénigne. Avant 1 an, le risque de complication est multiplié par 4, et après 25 ans par 8.
Avec la rougeole naturelle, les mères transmettaient leurs anticorps au bébé pendant la grossesse et l’allaitement et les enfants n’attrapaient pas la rougeole avant deux ou trois ans, âges auxquels elle évolue le plus souvent sans problème.
L’immunité des mères vaccinées étant peu durable, leurs nourrissons ne sont plus protégés et sont plus à risque de complications s’ils sont en contact avec le virus. On ne peut les vacciner avant 12 mois, le vaccin étant peu efficace avant, et seulement à 85% à un an. De même, les vaccinés dans l’enfance ne sont plus protégés une fois adultes, et aux USA surviennent des épidémies bien plus graves qu’avant la vaccination. Bien sûr, le discours mensonger dit que c’est parce qu’il reste encore trop de non vaccinés, alors que c’est la vaccination qui est à l’origine du problème. Mais une firme pharmaceutique gagne plus si 100 % de la population est vaccinée.
Lors de l’épidémie de rougeole française de fin 2008 à début 2012, 10 morts ont été à déplorer, dont 7 déficients immunitaires sévères qui ne peuvent être vaccinés, le virus vaccinal étant vivant et dangereux pour eux. On conseille de les protéger en vaccinant leur entourage et au moins 98 % de la population pour que le virus arrête de circuler. On oublie de dire qu’une personne vaccinée peut être porteuse du virus naturel ou vaccinal et contaminante, sans présenter de symptômes. Le virus continue donc de circuler à bas bruit et contamine ceux qui ont perdu leur immunité après vaccination ou n’en ont jamais développé, ou qui présentent un déficit immunitaire. Un malade de la rougeole n’ira jamais visiter un déficient immunitaire sévère, un vacciné porteur du virus oui, car il ne sait pas qu’il en est porteur. La gravité des épidémies nord-américaines des 10 dernières années dans des populations très vaccinées est due à une vaccination intensive et à la croyance que la rougeole peut être éradiquée. Elle ne peut pas l’être, il est mensonger de nous le faire croire.
Une dernière anecdote sur les pratiques criminelles des industriels pharmaceutiques. D’après des virologistes du laboratoire, Merck a falsifié les résultats de ses essais pour fabriquer un taux d’efficacité artificiel de 95 % en ajoutant des anticorps d’origine animale dans des échantillons de sang, pour à terme éliminer la concurrence. Alors que son vaccin ourlien est peu efficace, exposant des enfants que l’on croit protégés des oreillons, le Tribunal reproche à Merck des contrefaçons qui durent depuis plus de 10 ans, et de continuer à alléguer une efficacité de 95 %, ce qui expliquerait que des épidémies sévères d’oreillons continuent de sévir aux USA (2006 dans le Midwest, 2009 ailleurs). Le tribunal note aussi que Merck a détruit les preuves des falsifications et menti à un enquêteur de la FDA.
www.naturalnews.com/gallery/documents/Chatom-Lawsuit-Merck-Mumps.pdf et CourthouseNews.com.
J’arrête là ces quelques exemples. Les ouvrages et articles ne manquent pas sur la corruption dans le monde de la santé, notre bien le plus précieux, que d’aucuns croient naïvement encore épargné par la rapacité des investisseurs. Que chacun prenne ses responsabilités, et surtout reprenne en main la gestion de sa santé, seule alternative quand on ne peut plus faire confiance à ceux parmi les professionnels qui suivent aveuglément les recommandations, aux agences sanitaires et à l’État.
Quand les intérêts privés dominent et contrôlent la puissance publique aux dépens de l’intérêt général, c’est la définition même du fascisme. Et dans un régime fasciste et de plus en plus totalitaire, il n’y a que deux alternatives : obéir en devenant collabo, activement ou passivement, ou résister.
Références
- http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/conflits d interets/
- Stéphane Foucart, (journaliste scientifique au Monde), La fabrique du mensonge. OGM, tabac, Bisphénol A, amiante, les méthodes utilisées par les grandes entreprises pour manipuler la science à leur avantage.
- http://www.has-sante.fr/portail/jcms/fc_1249588/fr/accueil-2012
- http://www.formindep.org/
- Sur la « brutalisation du corps féminin » et les scandales de la vaccination hépatite B et de la soi-disant pandémie de grippe porcine : http://www.rolandsimion.org/
- Sur la corruption d’un comité technique de vaccinations (GB) http://www.ecomed.org.uk/wp-content/uploads/2011/09/3-tomljenovic.pdf
Sur les techniques de manipulation mentale
- Serge Tchakhotine, Le viol des foules par la propagande politique
- Paolo Cioni et Marco Della Luna, Neuro-esclaves
- Beauvois et Joule, Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens.
- Robert Cialdini, Influence et manipulation.
- Normand Baillargeon, Petit cours d’autodéfense intellectuelle.
- Naomi Klein, La stratégie du choc.
Sur les vaccinations
- Michel Georget, Vaccinations, les vérités indésirables. Plus accessible mais très bien référencé aussi, L’apport des vaccinations à la santé publique.
- Serge Rader, Vaccins, oui ou non ?
- Virginie Belle, Faut-il faire vacciner son enfant ?
- Pierre-Jean Arduin, Pourquoi vacciner ?
[1] Haut Conseil de la Santé Publique, dont fait partie le CTV : Comité Technique des Vaccinations.
[2] Site de la BBC News, Monday, 29 november 2004, Guinea Pig Kids.
[3] Ancienne agence de sécurité sanitaire des médicaments et produits de santé, devenue ANSM après l’affaire Médiator
[4] Relative trends in hospitalizations and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 1990–2010 GS Goldman and NZ Miller Human and Experimental Toxicology 31(10) 1012–1021
[5] Comité Technique des Vaccinations
Suite à la vaccination de mon dernier fils je me suis posée des questions puis je n ai fait que ce qu’ il y avait d obligatoire à l époque puis ma fille à subit une première vaccination ou elle fut victime de cri persistant pendant plusieurs heures et qui ne dormait plus que 6 h dans sur une journée. J ai donc cherché et beaucoup de maman témoignent mais personne ne les écoutent sauf sur le lien que je vous soumet ou il y a plus de 8 pages de nom de parents qui ont été confrontés à des effets indésirables voir à des handicaps et des morts… pour certains accusés d avoir secours leur bébé.
http://www.epvl.eu/dossier-conseil-constitutionnel/
Il semble effectivement exister un certain nombre d’observation de Syndrome de Bébé Secoué (SBS) léthaux que l’enquête étiologique complète a requalifié d’origine post-vaccinale, l’aimsib a entamé une recherche approfondie sur ce point.
@Dr Reliquet : Vous allez donc aidé des parents maltraitants à justifier les violences infligées à leur enfant… belle éthique
J’attends les conclusion de l’AISMIB avec impatience
Ces cris sont considérés comme une atteinte du système neurologique de l enfant. C est écrit noir sur blanc sur les effets secondaires des vaccins.
Si des parents sont maltraitants, l’enquête étiologique permettra d’exclure la cause vaccinale. Pour que des parents puissent utiliser cet argument, encore faut-il trouver une vaccination récente. Pensez-vous qu’il soit éthique de condamner des parents innocents déjà anéantis par le décès de leur enfant?Il me semble juste de chercher les causes exactes avant de porter de si graves accusations. mais bien sûr, tout médecin qui suspecte un effet adverse des vaccins devient un médecin suspect. Les parents doivent aussi être avertis des risques, mais qui lit les notices des vaccins?
Bonjour Loulette,
Des cris persistants, une somnolence ou une torpeur inhabituelles, des troubles du comportement, signent une inflammation du cerveau, plus souvent due aux valences Coqueluche ou Hépatite B qu’aux autres. C’est une contre-indication à injecter à nouveau ce vaccin à l’enfant. Consulter et faire constater par un professionnel de santé me parait important. Et s’il ne veut pas signaler le cas à la pharmacovigilance, vous pouvez le faire directement sur le site de l’ANSM ou à partir de ce lien : http://ansm.sante.fr/Declarer-un-effet-indesirable/Votre-declaration-concerne-un-medicament/Votre-declaration-concerne-un-medicament/Votre-declaration-concerne-un-medicament-Vous-etes-un-patient-ou-une-association-de-patients
Personne n’a envie d’écouter les victimes des vaccins. C’est à peine mieux pour les médicaments.
Les médecins sont endoctrinés à la parfaite efficacité et tolérance de tous les vaccins. Ils ont du mal à accepter les effets indésirables et les rapportent à des coincidences. Mais si une maladie auto-immune est 3 fois plus fréquente après tel vaccin, elle a 3 fois plus de chances d’être due à ce vaccin qu’au hasard. Il ne faut pas hésiter à mettre la pression à votre médecin pour qu’il déclare. Car si seulement 10 ou 20% des effets indésirables des vaccins étaient déclarés, le rapport bénéfices/risques de la plupart serait probablement non favorable. C’est ce dont ne veulent ni les industriels ni les « autorités » de santé à leur botte, mais c’est ce qui est souhaitable pour la population : que les produits qu’on nous propose ou impose soient efficaces, testés et sûrs, c’est loin d’être le cas.
Les « autorités » de santé sont sous la coupe des industriels. Tout ce qui pourrait jeter le doute sur l’efficacité ou la tolérance d’un vaccin sera nié, déconsidéré, ou fera l’objet du plus profond mépris. Quand on est victime d’un vaccin, on n’a plus que ses yeux pour pleurer.
Le fait que la responsabilité du fabricant soit dégagée et que ce soit l’ONIAM (office national d’indemnisation des accidents médicamenteux), donc nos impôts, qui, dans des conditions très restrictives, permette en partie l’indemnisation des victimes est déjà un scandale. La privatisation des bénéfices et la mutualisation des pertes est devenu un mode de gestion des industriels depuis que les banquiers ont montré le chemin après la crise de 2008.
Si un enfant meurt de la diphtérie en Allemagne ou de la rougeole en Espagne, toute la presse va en parler pendant des semaines. La ministre de la santé dira, des sanglots dans la voix, qu’il est inacceptable qu’un seul enfant meure de maladies évitables par un vaccin (fabriqués par les labos pour lesquels elle a travaillé des années).
Si les vaccins font 2000 victimes ou malades chroniques ou handicapés par an dans un pays, personne n’en parlera. Ces victimes doivent surtout rester invisibles.
Paul
J’aimerais beaucoup avoir les références bibliographiques qui dit qu' »une maladie auto-immune est 3 fois plus fréquente après tel vaccin, elle a 3 fois plus de chances d’être due à ce vaccin qu’au hasard »
Merci
Bonjour Loulette,
Les cris persistants, la prostration, les insomnies ou les comportements inhabituels sont le signe de l’inflammation du cerveau induite dans les 48h après un vaccin, mais particulièrement par les valences Coqueluche et Hépatite B. Ce n’est pas pour rien que pendant des années, les Japonais ont repoussé les vaccins contenant la Coqueluche au-delà de 2 ans et on vu chuter de 90% les morts inexpliquées de nourrissons.
Le problème que vous soulevez est d’importance.
Si un enfant meurt en Allemagne de Diphtérie, ou en Espagne de Rougeole, la presse s’en fera l’écho pendant plusieurs semaines. La ministre de la santé, des sanglots dans la voix, dira une fois de plus qu’il est inadmissible qu’un seul enfant meure de maladies évitables par un vaccin.
Mais si, en France ou dans n’importe quel pays, des centaines d’enfants meurent en un an dans les suites d’une vaccination, ou ont des séquelles neurologiques, ou développent une maladie auto-immune pour le restant de leurs jours, ils resteront invisibles. Au mieux, la presse régionale en dira deux mots.
Tout ce qui peut altérer la confiance dans « la vaccination » (au sens mythique et non scientifique du terme) quelle qu’en soit l’importance, sera nié ou dénigré. C’est grâce à ce type de manipulation qu’on maintient dans l’opinion de tous, y compris des professionnels de santé, que les vaccins sont inoffensifs et totalement efficaces, et qu’il est criminel de ne pas les faire.
Informez-vous, lisez, n’acceptez pas qu’un professionnel de santé vous manipule par la peur ou la culpabilité sans vous donner d’informations. Et bien que les lois soient contradictoires, décidez quand vous vous sentez suffisamment éclairée.
Les cris persistants ont été décrits pour les vaccins anti coqueluche entiers.
Avez vous la référence bibliographique quoi parle des cris persistant après vaccination anti hépatite B
Effarant et effrayant !
Bravo et merci de votre courage pour dénoncer aussi clairement comment on accepte de se laisser manipuler aussi froidement.
Puisse que d’autres et d’autres et encore d’autres confrères vous lisent et comprennent eux aussi…
Les avis de 2 rédacteurs en chef de grandes revues médicales :
– Le rédacteur en chef du Lancet, Richard Horton, a écrit :
« Nombre de publications scientifiques, peut-être bien la moitié, pourraient être fausses »
http://www.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS0140-6736(15)60696-1.pdf
– De la même façon, la rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, le Dr Marcia Angell, a écrit :
« Il n’est tout simplement plus possible de croire à nombre d’études cliniques publiées, ou de compter sur le jugement de médecins respectés ou de procédures médicales établies. Je ne prends pas de plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et avec réticence au cours de mes vingt ans en tant que rédactrice du New England Journal of Medicine. »
http://www.nybooks.com/articles/2009/01/15/drug-companies-doctorsa-story-of-corruption/
Cher Jacques
Je vois que nous avons des références communes.
On pourrait y ajouter Richard Smith, ancien rédacteur en chef du British Medical Journal, qui a préfacé l’ouvrage de Peter Gozsche cité dans la 1° partie de mon article, ouvrage qui cite aussi Marcia Angell.
Vous écrivez: » Cette augmentation de l’incidence des méningites à pneumocoques, par un phénomène prévisible de remplacement par des souches non vaccinales, est clairement décrite dans l’avis du 11-12 -2009 du HCSP[1]. »
Cet avis concerne le passage du vaccin 7-valent au 13-valent.
Je suis allé lire cet avis dans lequel le HCSP dit que le phénomène de remplacement est inférieur aux effets du vaccin qui serait globalement positif malgré tout.
Je ne veux être manipulé par personne. Quelle est votre réponse sur l’aspect malgré tout positif du vaccin? Est-ce que les chiffres cités dans l’avis sont faux?
Bonjour Tardy, vous ne voulez pas être manipulé, alors je vous propose de vous intéresser aux travaux d’Antoine Béchamp (publiés et dûment démontrés). Vous verrez vite que la science et la médecine passe à côté de l’essentiel. Pour en faciliter l’approche, je fais des condensés (extraits sans retouche, de son livre de 1000 pages des conférences faites aux étudiants en médecine de l’époque) : https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/
Vous en déduirez très vite comment voir les vaccins.
Cher Monsieur
Je viens de relire le rapport du 11 décembre 2009 du HCSP dont j’extrais ces éléments.
En 2006, ce vaccin au départ recommandé pour certains enfants à risque, a vu ses indications étendues à tous les enfants de 2 à 24 mois, sans aucune justification épidémiologique.
C’est pour le moins non scientifique.
En 2007, la baisse d’incidence des infections à sérotypes vaccinaux était de 83% avant 2 ans et de 43% après 2 ans.
L’augmentation de l’incidence des infections à sérotypes non vaccinaux était de +86% avant 2 ans, et de +65 à 70% après 2 ans.
Avant 2 ans, l’effet direct était supérieur à l’effet de remplacement.
Après 2 ans, l’effet de remplacement était supérieur à l’effet direct.
« Tous âges confondus, l’incidence [des infections invasives à Pneumocoques] est, en 2007, légèrement supérieure à son niveau pré-vaccinal », avec une couverture >80% avant 2 ans.
Certes, l’introduction des nouvelles souches émergentes dans le Prévenar 13 a probablement permis de faire baisser transitoirement les infections à sérotypes contenus dans ce nouveau vaccin. Mais dès 2011, un conférencier que je ne nommerai pas (représentant de commerce de l’industrie), cité par Anne Gourvès dans l’un de ses articles sur les vaccins, se gaussait de l’augmentation (prévisible) de ces méningites, disant qu’on avait réuni la théorie et la pratique à la façon dont Einstein les définissait : rien ne fonctionne et on ne sait pas pourquoi. On sait très bien pourquoi. Mais il n’y a bien que lui que faisait rire cette augmentation liée à la pression de sélection exercée par ce vaccin ; les enfants atteints de méningites à Pneumocoques et leurs parents apprécieront dans quelle estime on les tient.
Pour ma part je m’en tiens à cet article paru ces jours ci :
http://www.europe1.fr/societe/exclusif-e1-comment-un-laboratoire-danalyses-a-favorise-lactalis-3578375
Croyez vous que ces « autorités » come le HCSP ne subissent pas les même pressions et n’y cèdent pas ?
EXCLUSIF E1 – Comment un laboratoire d … – europe1.fr
EXCLUSIF E1 – Comment un laboratoire d’analyses a favorisé Lactalis
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Et bien cher Paul, cette 2ème partie me plaît tout autant que la 1ère !
Voilà un document de plus à imprimer et à remettre dans toutes les PMI, crèches, établissements scolaires etc… Chacun se fera ses propres conclusions… Car la vaccination se discute !
Amicalement,
Anne Gourvès
Merci encore Anne pour ton amical commentaire.
Distribuer des infos écrites du même acabit sur les vaccins, lors de mes consultations de PMI (je perdais beaucoup de temps à répéter la même chose), m’a valu un courrier RAR du Conseil de l’Ordre…et quelques frayeurs lors d’un reportage télé, mais nous en parlerons ailleurs.
Qui dit résistants, dit collabos et délateurs !
Amicalement
Paul
@ Tardy :
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2011/10/10/12851-meningite-pneumocoques-gagne-terrain-france
Merci Isa pour cet article de 2011.
Malgré la louable intention du Pr Guillemot, chercheur intervenant au congrès de Chicago, de réfléchir à l’intérêt du Prévenar 13, il n’y avait aucune chance qu’on arrête tout (comme pour la Variole en 1977) et qu’on réfléchisse. La course en avant a continué, à 54€ la boite (çà a été un blockbuster d’emblée), les actionnaires n’ont toujours pas lâché le gâteau, fût-il empoisonné.
Nous sommes déjà en 2018, et si l’incidence des infections invasives à Pneumocoques semble avoir baissé entre 2011 et 2014, elles remontent depuis dans plusieurs tranches d’âge.
Vous êtes non seulement un médecin intègre et courageux, mais aussi un excellent pédagogue. En deux articles , vous résumez parfaitement et avec beaucoup de clarté l’ampleur du scandale.
L’augmentation du nombres de patients atteints de démences ne peut s’expliquer par la seule augmentation de l’espérance de vie qui tend d’ailleurs à s’infléchir, mais bien comme vous le mentionnez à cause de facteurs environnementaux. Au lieu de tenter de désintoxiquer nos séniors atteints de démences, on va s’assurer qu’ils continuent à prendre leurs médicaments et on va corriger les troubles du comportements à l’aide de neuroleptiques qui ne vont qu’accélérer leur chute et leur perte d’autonomie. Pour le Zyprexa on peut lire que ce médicament est déconseillé aux personnes âgées atteints de démence en raison d’une augmentation du risque d’effets secondaires graves: 3x plus d’AVC et 2x plus de problèmes cardiaques. Il existe également des troubles alimentaires avec prise de poids importante. Face à une situation de crise, je peux comprendre qu’on ait recours à une camisole chimique, mais donner systématiquement ce médicament destiné à traiter des troubles psychiatriques et non neurologiques est pour moi assimilable à de la maltraitance. Qui lit les notices? L’affaire Dépakine illustre malheureusement cette aberration Nous pouvons prendre en main notre santé et celle de ceux qui dépendent de nous, mais nous ne sommes pas médecins et que peuvent faire les parents face à l’injonction de vacciner leurs enfants? Ils cherchent des médecins bienveillants, mais ceux qui délivrent des contre-indications deviennent vite suspects et risquent fort de perdre leur droit d’exercer. Merci toutefois de nous redonner de l’espoir et l’envie de résister. Nous ne pourrons le faire qu’en associant nos forces.
« a very bad human error » :
http://www.sciencemag.org/news/2014/09/least-15-children-syria-die-measles-immunization-campaign