Chimiste pur et dur certes, mais pas seulement (1). Un formidable humaniste à la carrière complète, Doyen Honoraire, ancien Maire, Conseiller Régional, Vice-Président de Communauté urbaine mais surtout, affreusement vigilant quant aux dérives intellectuelles en cours. Un vaccin mérite réflexion. Alors onze vaccins ? Cent fois plus ! Son éclairage du jour sera capital ; Une maladie infectieuse n’est souvent infectieuse que parce que le terrain est déficient, régalez-vous de cet article empreint d’une grande sérénité et témoin d’une formidable connaissance du vivant. Mon conseil, allez quand même vous régaler de sa lettre ouverte (2) à Emmanuel Macron… Tout ira mieux ensuite.
Le débat informel qui agite notre pays au sujet des onze obligations vaccinales insupportables, voulues par des responsables politiques redevables, met en relief la conspiration du silence qui sévit depuis très longtemps en France, qui étrangle la liberté d’opinion et l’intérêt général de la science.
Cette conspiration est née avec l’avènement du mythe du ‘’savant Pasteur ‘’, époque où naissait également l’industrie pharmaceutique (1850 – 1870). Les interprétations simplistes de Pasteur étaient une bénédiction : chaque maladie est due à un microbe de forme invariable, venant de l’extérieur, dont l’obsession est d’attaquer et de tuer l’être humain. L’industrie s’est mobilisée pour produire des poisons capables d’exterminer ces bactéries et virus. Elle s’est aussi immédiatement lancée dans les vaccinations, à la suite d’expérimentations truquées du chimiste Pasteur.
J’ai été fonctionnaire, c’est-à-dire chargé d’une fonction par l’État, recruté pour être enseignant, chercheur et gestionnaire à l’université. J’ai appris de mes maîtres la rigueur et les contraintes qui honorent la recherche universitaire. J’exige que les décideurs politiques, afin de garantir le sérieux des débats et des décisions parlementaires, s’astreignent aux exigences qu’ils nous assignent.
La liberté d’opinion, garantie par la Déclaration des droits de l’Homme, permet que l’on puisse prendre en compte les travaux scientifiques publiés qui contestent les dogmes officiellement affirmés, et qui pourraient faire avancer la science.
Avec des collègues et amis nous avons créé, fin 2011, l’association BEVINKER (1) qui a pour objectif de faire connaître les travaux du Professeur Antoine BECHAMP (Faculté de Médecine de Montpellier, contemporain de Louis PASTEUR), du Docteur Jules TISSOT (Professeur au Museum d’Histoire Naturelle – publication majeure en 1946), de Louis Claude VINCENT (ingénieur de l’Ecole Supérieure des Travaux Publics en 1936) et de Corentin Louis KERVRAN (directeur de conférences en Physique biologique à l’université de Paris en 1965).
Antoine BECHAMP, qui a eu une expérience hospitalière (que n’a jamais eue le chimiste PASTEUR), a contesté les dogmes pastoriens. Tout tissu vivant renferme des particules vivantes, qu’il a appelées microzymas, capables de produire des fermentations, d’organiser des bactéries, des virus ou des mycéliums, en fonction des caractéristiques du terrain. Et ces formes sont interchangeables (poly- ou pléomorphisme). Par conséquent ce sont les terrains déséquilibrés qui provoquent les maladies, et tenter d’exterminer les ‘’méchants’’ microbes et virus n’a pas de sens, et entraine de lourdes conséquences à long terme.
Jules TISSOT est allé plus loin que BECHAMP. Il a identifié les microzymas aux colibacilles, et montré que les microbes sont d’origine interne, issus d’une involution des constituants de la matière vivante provoquée par la modification du terrain. Dans son ouvrage de 1946 il a bien montré que les bactéries et virus sont les conséquences des maladies, d’où l’inefficacité des vaccinations. Il cite souvent l’ ‘’aliment-virus ‘’ provenant d’aliments frelatés, comme sources de maladies.
Louis Claude VINCENT a proposé une représentation du terrain. Le graphique proposé est un diagramme potentiel / pH, utilisé par les chimistes pour définir les domaines de stabilité des dérivés d’une même famille (diagrammes de POURBAIX). Il a eu l’excellente idée d’utiliser une unité de potentiel, le rH2, unité corrigée pour être indépendante du pH. En mesurant rH2, pH et résistivité (teneur en sels minéraux) sur les liquides biologiques, il a déterminé les domaines de développement distincts des bactéries, des mycéliums et des virus. La mesure du rH2 permet aussi d’estimer très facilement le niveau de la menace du stress oxydant sur les organismes vivants.
Corentin Louis KERVRAN a mis en évidence la capacité des microbes (présents sur ce globe depuis trois milliards d’années ; ils ont eu tout le temps d’expérimenter) à mettre en œuvre des réactions de transmutations biologiques, ce qui fait hurler les scientifiques classiques, peu curieux. Il a publié un ouvrage traitant « Des exemples de travaux pratiques pour laboratoires »(1970). Nous serons surpris lorsque nous découvrirons les implications de ces réactions dans le fonctionnement de nos microbiotes, sauf si, une fois encore, la conspiration du silence sévit…
Tous ces travaux convergent vers l’observation du fait que les microbes qui peuplent l’humus sain et nos systèmes digestifs sont en communication permanente, et sont capables, en les respectant, de nous faire profiter d’étonnantes transformations, ce qui signe la solidarité bienveillante qui nous lie aux microbes.
(1) http://www.andrefougerousse-recherche.fr/
(2) http://www.andrefougerousse-recherche.fr/435764009
Comment résister à de telles lettres ouvertes ? Ils ne veulent pas débattre ? Àlors elles ne doivent pas rester lettres mortes, elles doivent être diffusées partout pour le grand public !
Ils n’ont vraiment peur de rien ! C’est d’une violence inouïe cette obligation vaccinale !
Merci infiniment Pr Fougerousse !
Merci Hermine. Je ne peux pas rester silencieux devant de telles aberrations, qui n’apportent aucun bénéfice, en termes de santé publique, mais qui laisseront de nombreuses victimes…
Salut André,
Les choses commencent à bouger. L’AIMSTB, ENFIN une association qui OSE se dissocier de l’establishment et dire LA vérité scientifique. Bravo et merci à elle d’exister. Cela fait un bail que nous l’attendions tous avec impatience.
Ah !, toi aussi André t’en fait partie de cette excellente association que je découvre ??
Bien, bien. Je reconnais bien là mon ami contestataire des théories fumeuses et boiteuses officielles.
Bien à toi.
Richard.
Chère « Liberté » affichée sur chaque mairie…
Chère France qui se veut une démocratie…
Il s’agit véritablement d’une maltraitance de la part de politiciens qui ont une attitude méprisante devant le bon sens scientifique !
c’est l’histoire de Galilée et de l’Héliocentrisme devant le tribunal de l’inquisition…
les dogmes sont à remettre en question si l’on veut évoluer !!!
Oui « le virus n’ est rien, le terrain est tout » disait Mr A Béchamp.
Oui Merci Mr Fougerousse !!
Merci Hélène. J’ai reçu une réponse du chef de cabinet de l’Elysée. Les termes sont dictés par Big Pharma. On ne répond à aucune de mes objections. Une belle illustration du macrocynisme…
Bonjour,
oui, ce cher Professeur André Fougerousse est un grand personnage. J’ai eu le plaisir de rencontrer grâce à la BioElectronique de Vincent, cette magnifique science du vivant, avec laquelle nous pouvons tant apprendre.
Merci à vous André pour cet engagement sans cesse renouvelé !
Louis-Claude Vincent disait, il y a environ 50 ans: « Quand nous connaitrons tout des conséquences de la vaccination, ce sera le plus grand des scandales ».
Quelle bonne nouvelle, je suis ravie d’un tel soutien pour l’association.
Bienvenue Professeur.
Merci Brigitte. Continuez à apporter votre contribution très appréciée.
Bonjour,
Je ne suis pas aussi diplômé que mon collègue André Fougerousse. Après le concours de l’ENS St Cloud (aujourd’hui Lyon), j’ai réussi l’agrégation de chimie, passé un DEA d’écotoxicologie et enseigné la chimie organique au niveau universitaire pendant 34 ans. Les naissances de mes nombreux enfants m’ont définitivement barré le chemin du doctorat.
Je suis un réfractaire assez déterminé à la chimie appliquée à tort et à travers dans la médecine (cela fait 45 ans que je n’ai pas touché à de telles substances).
Je me pose pas mal de questions quant aux mécanismes qui essayent de décrire l’action de tel ou tel médicament, et je trouve que l’on ne cherche pas très souvent la solution dans des considérations très simples de chimie. Par exemple, il est bien connu depuis une vingtaine d’années que l’ion peroxynitrite intervient de manière décisive dans les processus inflammatoires, à tel point qu’on sait maintenant en doser la quantité grâce à l’analyse de nitrotyrosine formée. Mais aucun biologiste ne se pose alors la question de savoir si les AINS ne réagiraient pas également avec ce peroxynitrite. Pourquoi? Parce que ceux-ci sont des cycles aromatiques activés vis-à-vis de la nitration par ce peroxynitrite (phénols semblables à la tyrosine : paracétamol, acide salicylique,.. ou encore alkylbenzènes (ibuprofène),…).
C’est d’autant plus intriguant que McMurry et Begley explicitent, dans leur ouvrage « The Organic Chemistry of Biological Pathways », seconde édition du 11 janvier 2016, (W. H. Freeman) que la synthèse de la cyclo-oxygénase est initiée (p. 366) par l’ion Peroxynitrite.
Pourquoi un explication purement chimique faisant intervenir des mécanismes classiques connus depuis 150 ans ne serait-elle pas meilleure qu’une explication qui ne ferait appel qu’à une « présence » de la substance ? Je pense que le danger de l’approche chimique réside dans le fait qu’elle admet que le médicament modifie profondément la chimie cellulaire et donc peut autoriser une suspicion plus grande quant à sa dangerosité. En effet, si l’on admet que le paracétamol (ou un autre AINS) consomme du peroxynitrite, qui intervient dans le processus de l’immunité non spécifique, on explique alors la chute de cette immunité et la dégradation globale de la santé qui s’ensuit.
Ceci n’est qu’un exemple de la réflexion globale qu’il faudrait mener pour mieux comprendre ce qui ne va pas en médecine. Évidemment, s’il ne s’agit que d’obtenir le maximum d’émoluments, cette démarche est totalement toxique.
Je ne soupçonnais pas jusqu’à il y a peu, l’ampleur des travaux d’Antoine Béchamp, ni la qualité exceptionnelle de sa démarche scientifique. En l’ignorant (semble t’il volontairement), la science passe sans aucun doute à côté de l’essentiel. Soyez curieux, cela vaut la peine, le livre d’A. Béchamp sur les microzymas est accessible par ce lien :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65140517/f9.image.r=.langFR
Et comme il est particulièrement volumineux (plus de 1000 pages), pour ceux qui veulent se faire une idée, j’ai fait un condensé de l’avant-propos sous forme de diaporama-video :
https://www.youtube.com/watch?v=zA3I-cBaIwU
Bien à vous
Fichtre! Mais alors les anti-pasteuriens (auxquels je ne comprend pas grand-chose mais je mets les bouchées doubles pour comprendre) auraient un autre modèle de compréhension de la vie?
Un micro-organisme crée une maladie, Pasteur. Un terrain déficient fait le lit de nombreuses maladies portées par un germe ou un autre, Béchamp.
Alors j’ai bien compris? mais alors du coup on entrevoit plein de choses! La diphtérie, le tétanos et la polio vaincus par la même supplementation alimentaire, un sel de magnésium!
Vive l’intelligence, encore!
C’est vrai que de devoir tout reconsidérer demande un peu de recul.
Les dogmes de Pasteur sont encrés dans la société. C’est un sacré tour de force ; il faut lui reconnaître ce talent d’avoir su les défendre sans les démontrer.
Pourtant on sait désormais qu’il a surtout revendiqué les découvertes des autres (2).
Il ne s’agit pas d’être anti-Pasteur, il s’agit de regarder les faits scientifiques et là, on découvre que les expériences de Pasteur prouvent le contraire de ce qu’il affirme (2). Alors que l’exemplarité de la démarche scientifique d’Antoine Béchamp ne laisse place à aucun doute. Est-ce la raison pour laquelle on a tenté d’ignorer, de cacher ses travaux (absent de l’encyclopédie universalis), ceux-ci ne peuvent être contredits.
(1) https://www.youtube.com/watch?v=kwFKQyeRuz0&t=196s
Même wikipedia donne des explications sur les mensonges de Pasteur
(2) https://youtu.be/aOrQRzOoFn8
J’estime qu’il faut exiger sans relâche que les vaccinations soient abordées selon une démarche scientifique sérieuse, indiscutable. Pourquoi Big Pharma ne s’y soumet-elle pas, en profitant de l’occasion pour démontrer qu’ils sont les seuls à avoir raison ?
Bonjour,
Je lis les CV des nouveaux arrivants et j’en profite pour donner (redonner ?) juste 2 points de vue en restant bref. Je suis chimiste, j’ai travaillé 41 ans dans l’industrie pharmaceutique, en labo de recherche puis en responsabilité Environnement d’un grand groupe français sur un grand site multiactivités pharma de la région parisienne.
Je confirme que le cholestérol est bénéfique à la santé et au cerveau, y compris jusque 4 ou 5 g/l et qu’il est totalement innocent dans l’athérosclérose. Je confirme que les statines sont des poisons et que 6 millions de français en prennent pour rien mais, pour beaucoup d’entre eux, subissent des effets secondaires graves: musculaires, articulaires, tendineux (c’est mon cas) digestifs, cognitifs, sexuels, … Il est même publié que diminuer le cholestérol favoriserait la maladie d’Alzheimer ou maladies apparentés et le diabète.
Autre confirmation de chimiste, adressée aux physiciens : l’effet de serre c’est 80 % de vapeur d’eau et du CO2 mais 99% naturel avec aussi du méthane et quelques gaz à fort effets. Le réchauffement est naturel et impossible à modifier (paramètres de Milankovitch, activité solaire) Le CO2 augmente dans l’atmosphère concernée par l’effet de serre car plus l’eau des mers et océans se réchauffent (naturellement) et plus le CO2 naturel s’évapore. Ce n’est pas l’inverse ! Aucun rapport du GIEC ni Jean Zougel ne prouvent que le CO2 anthropique est responsable mais cela est passé dans les esprits ! Comme la théorie du cholestérol dans les années 50 ! SUPERCHERIE !
Bonjour,
Est-il encore possible aujourd’hui d’accéder au site de BEVINKER?
Le site semble introuvable
Merci
David
Bonjour
Merci pour votre commentaire qui nous indique que les liens (1) et (2) en bas de l’article sont devenus invalides, morts(?)…
En principe on pourrait les retrouver dans les archives internet
Sélectionnez l’année entre 2017 et début 2024, mettons début 2018 juste après la parution de l’article. En sélectionnant une date (surlignée en bleu, ou vert) dans une année, la Page de l’époque telle qu’elle était (devrait) s’affiche(r), ce qui n’est pas le cas ici !???
http://web.archive.org/web/20240000000000*/http://www.andrefougerousse-recherche.fr/
Le site semble avoir été plus que caviardé… !!! un site, enfin des hypothèses… qui dérangent ? la bio-électronique, BEVINKER, les infos vaccins…
J’ai néanmoins retrouvé ceci, un PDF de l’Association BEVINKER, Association de Recherche et d’Application des travaux méconnus de BECHAMP, VINCENT et KERVRAN
https://web.archive.org/web/20230128134936/http://andrefougerousse-recherche.fr/files/ZPrsentation20BEVINKER2001.20131.pdf
Je transmets cette singulière anomalie (censure ?) aux membres de la Rédaction de l’Aimsib dont certainement certains doivent avoir des contacts avec André Fougerousse…
@ David
Pour l’instant pas d’explications sur la pauvreté des Archives Internet…
André Fougerousse est Professeur honoraire, je ne saurais dire si c’était lui qui gérait le site BEVINKER (?)…
Envoyez-lui un mail…
Cependant sur une autre Page Web j’ai retrouvé la » Lettre ouverte (2) à Emmanuel Macron… » évoquée dans le Chapeau de l’article.
Elle est très percutante, ciselée de main de Maître, et plus que jamais d’actualités !
Je la reproduis pour qu’elle ne se perde pas ou plus dans les limbes numériques, le brouillard de la Toile « »Une lettre qui a le poids de la compétence » :
Dr André FOUGEROUSSE, Docteur d’État ès sciences 1973.
Professeur de Chimie honoraire de l’Université de Strasbourg.
Doyen honoraire de la Faculté de Chimie.
Site personnel http://www.andrefougerousse-recherche.fr
Courriel : andre.fougerousse@orange.fr
Le 2 octobre 2017
Monsieur le Président de la République,
Votre projet de budget pour l’année 2018 me range dans la catégorie des fonctionnaires retraités nantis et me demande de contribuer au soutien des Français moins favorisés. J’accepte volontiers ce geste de solidarité, mais, pour rester cohérent avec mon statut de fonctionnaire, je me permets d’émettre quelques exigences. Être fonctionnaire, c’est être chargé d’une fonction par l’État, fonction que l’on s’engage à remplir avec sérieux et dignité et à en rendre compte.
Après avoir passé sept certificats, un DES, un DEA, soutenu une thèse d’État en chimie (en 1973), qui m’a permis de découvrir les contraintes et les exigences de la recherche scientifique, fait un stage d’un an à l’Université de Montréal, j’accédais à la carrière universitaire, dont je gravissais tous les échelons. J’ai même été nommé Directeur du DEUG Sciences (1985 – 1990), pour répondre aux défis de la première massification des études supérieures, et élu Doyen de la Faculté de Chimie (1999 – 2004).
Se superpose un parcours d’une quinzaine d’années en tant qu’élu de la République, trois mandats de maire (à partir de 1977, à l’âge de 33 ans, pour administrer une ville de dix mille habitants, réélu avec des scores croissants), un mandat de conseiller régional d’Alsace, de vice-président de la Communauté Urbaine de Strasbourg (malheureusement écourté, comme mon 3e mandat de maire), qui a contribué à parfaire ma formation et à me faire découvrir les méandres de la nature humaine, les contraintes d’un parti, mais aussi les vertus de l’écoute et de la concertation.
Ce parcours a aussi été remarqué. J’ai été nommé Chevalier de l’Ordre du Mérite Agricole, décoré par M. Rocard en 1987, et Chevalier de l’Ordre National du Mérite par un décret de 1989 du Président F. Mitterrand, suite à la demande du Préfet.
Ce curriculum étant rapidement brossé, j’en arrive à expliciter mes exigences : c’est votre projet d’imposer onze vaccinations obligatoires à de très jeunes enfants qui me révolte, parce qu’il ne répond pas aux exigences auxquelles m’ont soumises mes responsabilités de chargé de fonction publique à l’université, comme enseignant, chercheur et gestionnaire.
Je m’explique :
L’obligation vaccinale ne pourrait se justifier que s’il était démontré de façon incontestable, en respectant des démarches scientifiques rigoureuses, dont les procédures et les résultats seraient publiés dans des revues d’audience internationale :
– que les vaccins protègent parfaitement tous les vaccinés (ceux-ci étant infectés artificiellement, ils risquent d’être contagieux et des transferts de virulence sont possibles) ;
– que les non-vaccinés représentent un danger pour la santé publique ;
– qu’il faut un minimum de 85 % de vaccinés pour lever tout risque d’épidémie ;
– que les vaccins proposés sont sans danger ;
– qu’il est justifié d’inoculer la même dose à tous les bébés, quelles que soient leurs aptitudes.
Je demande que Madame la Ministre me et vous fournisse les références des publications scientifiques sur lesquelles elle se fonde pour soutenir les affirmations ci-dessus. C’est la moindre des choses pour une telle entreprise d’agression physique aux effets incertains, que l’on veut imposer de force à tous les bébés.
Mon fils ayant fait un accident après BCG en 1973, à l’âge de quatre ans, j’ai lu énormément de choses sur les vaccins et j’accuse vos services du Ministère de la Santé d’être incapables de prouver scientifiquement les assertions ci-dessus exposées, qui leur servent de justifications, indiscutables, selon eux…, mais pas prouvées.
Dès lors, on ne peut pas fonder une politique vaccinale obligatoire sur la base d’observations partielles, imaginées, manipulées, interprétées, affirmées avec aplomb par des pontifes, mais malheureusement marquées par des quantités d’incertitudes et de faits contradictoires qui ne répondent pas aux dogmes officiels.
J’ai enseigné et fait ma recherche en chimie organique, la chimie du vivant. Le fonctionnement d’un organisme humain est d’une extrême complexité et personne, pas même les grands professeurs de médecine (omni compétents par définition), ne sont capables de comprendre et de prévoir toutes les interactions qui seront provoquées par l’injection directe de microorganismes étrangers (boostés par des substances dangereuses et parfois bricolés génétiquement) ni d’imaginer les conséquences à long terme sur des organismes affaiblis. Évaluer l’efficacité d’un vaccin en se fondant exclusivement sur le taux d’anticorps n’est absolument pas fiable.
Vous trouverez ci-joint la lettre ouverte que je destine à Madame Buzyn. Je cite certains travaux scientifiques publiés, qui mettent en doute l’utilité des vaccins. Je propose qu’ils soient calmement réexaminés, en toute transparence.
LA LIBERTÉ.
Vous abordez souvent, dans vos discours, l’importance des libertés, vertus défendues de façon exemplaire, semble-t-il, dans notre pays. Et pourquoi pas dans le domaine des vaccinations, domaine incertain s’il en est ???
J’affirme que les non-vaccinés ne représentent aucun danger (ce sont les vaccinés que l’on infecte artificiellement) et qu’il est outrancier et diffamatoire de les accuser d’incivisme.
J’estime que vous n’avez pas le droit d’imposer un acte aussi agressif, sans être assurée de son efficacité et de son innocuité à court et long terme, assurance qui n’existe pas à ce jour, sauf à ce que vous me le démontriez rigoureusement ? Et forcer la soumission des parents à l’acte vaccinal, si contestable, en le subordonnant à l’obligation scolaire est d’une incroyable violence, un abus de pouvoir injustifié, contraire au Droit. C’est un acte digne d’une dictature, dont l’Ordre des Médecins serait le bras armé, cette étonnante survivance de la sinistre police médicale créée sous le régime de Vichy…
Je souhaiterais, Monsieur le Président de la République, que vous laissiez un autre souvenir que cette lourde intervention obligatoire hasardeuse, parce qu’il y aura forcément d’innombrables ratés, des accidents, des scandales, du contentieux et des drames humains… pour rien. Les maladies infectieuses constituent seulement 1 % de toutes les causes de décès dans le monde industriel. Agiter le chiffon rouge en brandissant un décès par rougeole est pathétique.
En vous remerciant pour l’attention que vous voudrez bien accorder à cet acte, dont vous porterez la responsabilité pleine et entière, je vous prie d’accepter, Monsieur le Président de la République, l’expression de mes sentiments respectueux.
Dr André FOUGEROUSSE
Chargé d’une fonction de l’État pendant quarante ans.
Copies transmises à Madame Buzyn et à la presse peut-être intéressée, d’abord dévouée aux puissants…
Source : Association française des malades de la thyroïde
https://www.afmthyroide.fr/2019/01/03/11-vaccins-obligatoires-reactions-dandre-fougerousse-et-de-michel-dogna/