Dès que le bouillon à ARNm / pseudo-uridine / ADN plasmidique / PEG / SV40 a été mis sur le marché (obligatoire) fin 2020*, on a vu fleurir une rhétorique sanitaire mondiale expliquant que pour sauver l’Humanité, il convenait que chacun se l’inocule pour protéger tout le monde. Ce qui fut presque fait, ce qui a misérablement et totalement échoué, et ce qui a poussé les exégètes de la méthode vers une hallucinante fuite en avant pseudo-scientifique comme ici au Canada, où pour convaincre on essaye d’oublier l’incertaine durée de la protection conférée par le produit sus-décrit. C’est Bernard Guennebaud qui se réveille le premier de ses libations de fin d’année pour nous raconter pourquoi et comment il faut parfois mentir pour rester vivant surtout dans l’Ontario, bonne année à tous, les premiers dérapages scientifiques 2024 commencent ici. Bonne lecture.
L’étude frauduleuse de David FISMAN
Une publication de David Fisman (25 avril 2022) se proposait d’étudier l’implication que pouvaient avoir les rencontres entre populations vaccinées et non vaccinées sur la transmission du SRAS-COV-2 [1].
Voici un extrait du résumé avec le titre de la publication :
« Impact du mélange de population entre sous-populations vaccinées et non vaccinées sur la dynamique des maladies infectieuses : implications pour la transmission du SRAS-CoV-2 ». Et cette introduction,
« Les opposants au vaccin formulent souvent leur opposition en termes de droits des non vaccinés. Nous avons cherché à explorer l’impact du mélange de populations vaccinées et non vaccinées sur le risque d’infection par le SRAS-CoV-2 parmi les personnes vaccinées.
Méthodes : Nous avons construit un modèle compartimental simple sensible-infectieux- récupéré d’une maladie respiratoire infectieuse avec 2 sous-populations connectées : les personnes vaccinées et celles non vaccinées. Nous avons simulé un spectre de modèles de mélange entre des groupes vaccinés et non vaccinés allant du mélange aléatoire au mélange complet (assortiment complet), dans lequel les personnes ont des contacts exclusivement avec d’autres personnes ayant le même statut vaccinal. Nous avons évalué la dynamique d’une épidémie au sein de chaque sous-groupe et dans la population dans son ensemble.
Résultats : Nous avons constaté que le risque d’infection était nettement plus élevé parmi les personnes non vaccinées que parmi les personnes vaccinées, quelles que soient les hypothèses de mélange. La contribution des personnes non vaccinées au risque d’infection, ajustée en fonction des contacts, était disproportionnée, les personnes non vaccinées contribuant aux infections parmi celles qui ont été vaccinées à un taux plus élevé que ce à quoi on aurait pu s’attendre sur la base du seul nombre de contacts. Nous avons constaté qu’à mesure que le mélange de personnes semblables augmentait, les taux d’attaque parmi les personnes vaccinées diminuaient de 15 % à 10 % (et augmentaient de 62 % à 79 % chez les personnes non vaccinées), mais la contribution au risque ajustée en fonction du contact chez les personnes vaccinées dérivait du contact avec des personnes non vaccinées a augmenté. »
Les auteurs poursuivent ainsi :
« La non-vaccination devrait entraîner une amplification de la transmission de la maladie dans les sous-populations non vaccinées, mais la nature transmissible des maladies infectieuses signifie que cela augmente également le risque pour les populations vaccinées, lorsque les vaccins confèrent une immunité imparfaite. Bien que le mélange assorti (à l’identique) soit caractéristique de nombreux systèmes de maladies transmissibles et qu’on puisse s’attendre à ce qu’il limite dans une certaine mesure l’interaction entre les sous-populations vaccinées et non vaccinées, le fonctionnement normal de la société signifie qu’un mélange complet à l’identique n’est pas observable dans la réalité. En outre, la propagation aérienne du SRAS-CoV-2 signifie qu’un mélange physique à proximité de personnes issues de groupes vaccinés et non vaccinés n’est pas nécessaire pour la transmission de la maladie entre les groupes.
Par exemple, un vaccin efficace à 80 % permettrait à 80 % des personnes vaccinées de devenir immunisées, les 20 % restants étant sensibles à l’infection. »
Les auteurs vont alors révéler une énormité :
« Nous n’avons pas modélisé le déclin de l’immunité. »
Oui, c’est énorme car chacun a pu constater que la durée de cette immunité, qu’elle soit associée à la maladie ou à la vaccination n’était que de quelques mois, les faits ont maintes fois démontré que des vaccinés pouvaient faire la maladie quelques jours après leur vaccination ou quelque temps après avoir déjà fait la maladie. Les exigences des autorités sur les délais pour renouveler les vaccinations n’ont fait qu’apporter une confirmation à cela.
Il était donc essentiel d’en tenir compte dans la modélisation. Que les auteurs reconnaissent eux-mêmes qu’ils n’en ont pas tenu compte devrait interpeler.
Deux mois plus tard, la première critique
Cette carence va être reprise dès le 20 juin 2022 par des auteurs qui n’ont pas ménagé, à juste titre très certainement, leurs pertinentes critiques à ce propos [2].
« Fisman et ses collègues présentent une simplification excessive d’une question épidémiologique, sociale et bioéthique complexe. Les auteurs formulent de fortes affirmations éthiques et politiques fondées sur leurs conclusions, qui alimentent la polarisation sociale existante.
Les auteurs utilisent un modèle compartimenté sensible, infectieux ou récupéré (SIR) pour calculer le fardeau de l’infection dans les sous-groupes de population vaccinés et non vaccinés et évaluer la contribution du groupe non vacciné au taux cumulé d’infection parmi les vaccinés. La principale conclusion de l’étude – selon laquelle le mélange avec des personnes non vaccinées augmente le risque d’infection parmi les vaccinés – est prédéterminée par le choix du modèle et des paramètres choisis par les auteurs.
En ignorant le déclin de l’immunité (due à la vaccination ou à une infection antérieure), les auteurs ont construit un modèle dans lequel l’immunité collective se produit toujours, laissant une certaine proportion résiduelle de la population qui restera indéfiniment non infectée. »
Cela veut sans doute dire qu’une fois l’immunité collective acquise, l’épidémie s’arrêtant, ceux qui n’avaient pas été contaminés à ce moment là ne pourront plus l’être par la suite.
« Dans ce scénario hypothétique, il va de soi que si un groupe ayant une immunité de base élevée est mélangé à un autre groupe ayant une immunité de base plus faible, alors une plus grande proportion du groupe à immunité élevée sera infectée avant que l’immunité collective ne soit atteinte, par rapport à si ils ne s’étaient pas mélangés.
Le modèle contient deux paramètres cruciaux : « l’efficacité du vaccin » et « l’immunité de base chez les non vaccinés ». Si ceux-ci sont définis dans une combinaison où ce dernier est plus élevé, alors les résultats sont inversés ; les vaccinés augmentent le risque pour les non vaccinés.
De toute évidence, les deux conclusions sont tout aussi erronées. Dans le contexte du déclin observé de l’efficacité du vaccin contre l’infection, même les auteurs reconnaissent qu’« il est peu probable que le SRAS-CoV-2 soit éliminé ».
« Le risque que ce travail favorise la division sociale, ainsi que la colère et le blâme déplacés est en contradiction avec l’éthique de la santé publique. »
Pourtant, D.Fisman et co. poursuivent ainsi :
« Les personnes vaccinées présentaient, comme prévu, un risque nettement plus faible d’infection par le SRAS-CoV-2 pendant l’épidémie ; cependant, lorsque des mélanges aléatoires avec des personnes non vaccinées se produisaient, ils diminuaient les taux d’attaque chez les personnes non vaccinées, en servant de tampon à la transmission. À mesure que les populations devenaient plus séparées et que les mélanges de personnes semblables augmentaient progressivement, la taille finale de l’épidémie a diminué chez les personnes vaccinées, mais a augmenté chez les personnes non vaccinées en raison de la perte de tampon due à l’interaction avec les personnes vaccinées. De nombreux opposants aux vaccins obligatoires ont présenté l’adoption des vaccins comme une question de choix individuel. Cependant, nous avons constaté que les choix faits par les personnes qui renoncent à la vaccination contribuent de manière disproportionnée à accroître le risque parmi celles qui se font vacciner. »
Voilà qui demande certainement quelques explications ! D’abord la rédaction des auteurs laisse supposer qu’il s’agirait de faits observés (“comme prévu“) alors qu’il s’agit d’une modélisation construite à partir d’hypothèses qui attribuent une certaine efficacité à la vaccination (80% d’immunisés définitifs). Aussi, le “comme prévu“ signe une orientation très partisane des auteurs.
Comment expliquer que la rencontre aléatoire entre vaccinés et non vaccinés puisse réduire les taux d’attaque chez les non vaccinés ? Chaque personne infectée est supposée contaminer 6 personnes. Un non vacciné malade rencontrant des vaccinés, le modèle va supposer qu’il n’y aura pas que des non vaccinés parmi les 6. De façon plus explicite, si parmi les 6 il y a 2 vaccinés, il n’y aura que 4 non vaccinés au lieu de 6. Ces rencontres auront donc pour effet, selon le modèle, de réduire le nombre de malades chez les non vaccinés.
Par contre, en réduisant ou même en supprimant presque totalement les échanges entre les 2 groupes, les vaccinés se contaminant presque exclusivement entre eux et de même pour les non vaccinés, le modèle montrera évidemment, puisque c’est dans les hypothèses, qu’il y aura beaucoup moins de malades chez les vaccinés et davantage chez les non vaccinés.
Cependant, écrivent les auteurs, “nous avons constaté “ : constaté sur le modèle, qu’en raison des rencontres, même réduites, de non vaccinés avec des vaccinés, les premiers “contribuent à accroitre le risque chez les vaccinés“. Chez les vaccinés il y a, selon le modèle, 20% de non immunisés qui tomberaient donc malades s’ils étaient contaminés. Les auteurs affirment que, selon leur modèle, les non vaccinés vont amplifier de façon excessive ce risque par rapport à ce qui se produirait si des vaccinés ne rencontraient que des vaccinés.
Une certaine séparation entre ces 2 groupes telle que nous l’avons connue (interdiction pour les non vaccinés de fréquenter les bars, les cinémas, les restaurants …) a eu pour effet de créer chez les non vaccinés un isolement social plus prononcé. En conséquence, un malade non vacciné ne contaminera pas autant de personnes qu’il aurait pu le faire sans ces mesures. Les auteurs avaient choisi d’établir leur modèle avec des malades qui contaminent 6 personnes distinctes. Ils n’ont pas modifié ce nombre pour les non vaccinés pourtant exclus d’une partie importante de la vie sociale très favorable aux contaminations. C’est évidemment une anomalie flagrante. Par exemple, les infirmières interdites de travailler car non vaccinées pouvaient en fait courir nettement moins de risques que les vaccinées qui travaillaient à l’hôpital.
Une anecdote : en avril 2021 je téléphone à un ancien collègue pour avoir de ses nouvelles. Il me dit envisager de se faire vacciner, ce qu’il fera car il tient à conserver une vie sociale et en particulier à pouvoir continuer de fréquenter les restaurants. Il me dit aussi qu’un neveu, dûment vacciné, vient d’avoir la covid. Attrapée où ? Au restaurant ! C’était à un repas d’affaires entre vaccinés exclusivement. L’un d’entre eux contactera les autres convives le lendemain pour leur apprendre la bonne nouvelle : il a la covid ! Bien que vacciné dans les règles et, dans le restaurant , uniquement en contact avec des vaccinés, il transmettra …
En réalité, les mesures imposées ont certainement eu surtout pour effet de protéger les non vaccinés plutôt que les vaccinés !
Mais D.Fisman a décidé d’enfoncer son clou avec une insistance particulièrement révélatrice :
« Le mélange accru entre les groupes vaccinés et non vaccinés a augmenté la taille finale de l’épidémie parmi les personnes vaccinées ; à l’inverse, un mélange plus homogène a réduit la taille finale de l’épidémie parmi les personnes vaccinées, mais a entraîné une augmentation du degré selon lequel le risque parmi les personnes vaccinées pouvait être attribué aux personnes non vaccinées. Le fait que cette contribution excessive au risque ne puisse pas être atténuée par un mélange élevé de produits similaires sape l’affirmation selon laquelle il est préférable de laisser le choix du vaccin à l’individu et soutient des actions publiques fortes visant à améliorer la vaccination et à limiter l’accès aux espaces publics pour les personnes non vaccinées, parce que le risque ne peut pas être considéré comme “personnel“.
Il existe de nombreux précédents en matière de réglementation de la santé publique qui protège la communauté au sens large contre l’acquisition de maladies transmissibles, même si cette protection se fait au détriment de la liberté individuelle. Nous notons également que l’utilisation d’outils juridiques et réglementaires pour la prévention des comportements et des pratiques qui créent un risque pour le grand public s’étend également au-delà des maladies infectieuses transmissibles, comme les lois qui limitent le tabagisme à l’intérieur. »
Tabagisme et non vaccination même combat !!! Les fumeurs qui répandent leurs fumées nocives en les imposant aux autres et les non vaccinés qui répandent des pathogènes, c’est du pareil au même ! On est vraiment dans l’analogie simpliste.
Cela me rappelle l’analogie, jugée très démonstrative par certains, entre le port de la ceinture de sécurité et la vaccination. J’ai souvent entendu cela. Je mets ma ceinture puis je l’enlève, comme avec le vaccin que je pose le soir sur la table de nuit pour le reprendre le matin avant de monter dans le métro ? Si la ceinture peut parfois s’avérer dangereuse en cas d’accident, le vaccin ne se montre pas éventuellement nocif que s’il y a rencontre avec le pathogène ciblé. Imaginez que l’on puisse faire un choc anaphylactique simplement après avoir attaché sa ceinture, pour ne parler que de cela. Comme on n’est jamais aussi bien servi que par soi même, les auteurs ne vont éprouver aucune pudeur pour louer leur travail :
« Limites
La simplicité de notre modèle est à la fois une force (il est transparent et facilement modifiable pour explorer l’impact de l’incertitude) et une faiblesse, car il ne simule pas avec précision un processus pandémique réel dans toute sa complexité. Par exemple, nous avons modélisé l’efficacité du vaccin contre l’infection, mais pas les avantages supplémentaires de la vaccination pour prévenir les maladies graves. »
Ils se congratulent en estimant avoir modélisé de façon fiable “l’efficacité du vaccin contre l’infection !“ Ils en rajoutent complaisamment en soulignant que “Si nous n’avons pas tout modélisé, ce sont d’autres avantages de la vaccination que nous n’avons pas cherché à expliciter.“ Dans la conclusion qui suit ils affirment sans faiblir la pertinence future de leurs résultats :
« Conclusion
À l’aide d’une modélisation mathématique simple, nous avons montré que, même si le risque associé au fait d’éviter la vaccination lors d’une pandémie virulente concerne principalement les personnes non vaccinées, le choix de certaines personnes de refuser la vaccination est susceptible d’affecter la santé et la sécurité des personnes vaccinées est disproportionné par rapport à la fraction de personnes non vaccinées dans la population.
Les considérations d’équité et de justice pour les personnes qui choisissent de se faire vacciner, ainsi que pour celles qui choisissent de ne pas le faire, doivent être prises en compte dans la formulation de la politique de vaccination.
Il est peu probable que le SRAS-CoV-2 soit éliminé, et nos résultats seront probablement pertinents pour les futures épidémies saisonnières de SRAS-CoV-2 ou face aux variantes émergentes. »
La publication fait état des conflits d’intérêts des auteurs :
« Conflits d’intérêts : David Fisman a siégé à des conseils consultatifs liés aux vaccins contre la grippe et le SRAS-CoV-2 pour les vaccins Seqirus, Pfizer, AstraZeneca et Sanofi-Pasteur, et a été expert juridique sur les questions liées à l’épidémiologie du COVID-19 pour l’école primaire. Fédération des enseignantes et des enseignants de l’Ontario et Association des infirmières et infirmiers autorisés de l’Ontario. Il a également été scientifique bénévole au sein de la Table consultative scientifique de l’Ontario sur la COVID-19. Ashleigh Tuite était employée de l’Agence de la santé publique du Canada lorsque la recherche a été menée. Cet ouvrage ne représente pas le point de vue de l’Agence de la santé publique du Canada. Aucun autre conflit d’intérêt n’a été déclaré ».
Les résultats obtenus par D. Fisman ainsi que les opinions exprimées vont se répandre partout comme une trainée de poudre. Par exemple ici [3] :
« Des épidémiologistes de l’Université de Toronto ont modélisé la variabilité des taux d’infection entre deux groupes : ceux qui s’auto-ségrégent selon leur statut vaccinal et ceux qui se mélangent. Ces résultats ne présagent rien de bon pour ceux qui continuent de promouvoir la vaccination ou son absence comme question de liberté personnelle . Non seulement nous savons que les personnes non vaccinées courent le plus grand risque d’infection et de décès dû au COVID-19, mais le Dr David Fisman et ses collègues ont montré qu’un nombre disproportionné d’infections proviennent de personnes non vaccinées.
En d’autres termes, le simple fait d’être à proximité de personnes non vaccinées augmente le risque que la personne vaccinée contracte une infection – bien plus que si elle se trouvait dans un espace réservé aux vaccinés. » Il faut avoir conscience que Fisman n’a pas montré cela dans le monde réel mais qu’il a construit un modèle qui produit cela, ce n’est pas du tout la même chose et on doit s’interroger : que vaut le modèle ?
Un ouvrage consacré à cette contestation !
J’ai déjà montré l’existence d’une critique majeure : la courte, très courte durée de l’immunité conférée par la maladie et la vaccination n’a pas été prise en compte par les auteurs ! Et ils l’ont eux-mêmes reconnu dans leur publication. Comme pour tenter d’en atténuer la critique en la devançant ? D’autres auteurs vont aussi contester cette publication : une Canadienne, Regina Watteel, va aussi intervenir 18 mois plus tard pour contester la publication de D.Fisman en allant jusqu’à en publier un livre :
« Les mensonges doivent être affrontés de front » écrira Regina Watteel à propos de David Fisman et de la politique qui a dicté la science. Présentation de l’ouvrage sur Amazon, 7 novembre 2023 [4], “Fisman’s Fraud“, « CECI EST UN GUIDE DE RÉFÉRENCE SUPPLÉMENTAIRE SUR LA FRAUDE DE FISMAN, LA MONTÉE DES SCIENCES DE LA HAINE AU CANADA » :
« Les instituts de recherche profitent des fruits de l’ignorance délibérée. Alors qu’au printemps 2022, nous étions en proie à la pandémie de COVID-19, trois des plus grandes institutions scientifiques canadiennes ont été mises à l’épreuve. Sous leur surveillance, des preuves ont fait surface selon lesquelles ils avaient soutenu des recherches frauduleuses, concoctées pour renforcer la vaccination et faire d’une partie de la population le bouc émissaire de l’échec vaccinal. Au cours de cette période, la politique dominait le discours « suivre la science » et d’importantes incitations financières étaient liées à l’adoption réussie des nouveaux vaccins génétiques.
Comment ces institutions ont-elles réagi ? Comment ont-ils géré leurs conflits d’intérêts ? Les intérêts financiers ont-ils pris le pas sur les préoccupations éthiques lorsque les deux étaient en contradiction ? Soyez-en juge. Ce guide supplémentaire fournit les correspondances par courrier et par courrier électronique informant trois établissements d’un acte grave de mauvaise conduite en recherche, ainsi que leurs faibles réponses. L’importance de ce cas particulier de fraude scientifique, qui touche au cœur de la réponse du gouvernement à la pandémie, est discutée dans Fisman’s Fraud: The Rise of Canadian Hate Science. » Regina Watteel a été interviewée (11 novembre 2023) par Alexandre Brunalexander Brown [5]:
« Dans la foulée de la sortie du livre de Regina Watteel, Fisman’s Fraud: The Rise of Canadian Hate Science Fisman’s Fraud, j’ai eu la chance de discuter avec l’auteur. Le livre traite de la réponse du Canada, mais est centré sur l’Ontario parce que c’est là que se trouvent toutes les principales entités impliquées. Fisman a exercé une grande influence dans la gestion de la pandémie au Canada – il a interagi avec les gouvernements, instituts et associations municipaux, provinciaux et fédéraux.
Pourquoi David Fisman comme personnage principal de votre ouvrage ? Qu’y avait-il de si faux dans ces études ?
« La fausse science de Fisman a été utilisée pour soutenir les passeports vaccinaux, les mandats et les restrictions. Lorsque des données réelles ont montré l’échec catastrophique des vaccins contre le COVID-19 dans la réduction de la transmission, Fisman et ses collègues ont concocté une fausse simulation pour écraser la réalité et maintenir en vie le faux récit en faisant des non vaccinés des boucs émissaires » .
Bien qu’il s’agisse d’un cas classique de fraude scientifique, l’étude a été soutenue par l’establishment, relayée au Parlement et diffusée dans le monde entier. Il y a une raison pour laquelle les instituts refusent de retirer l’étude et de remettre les pendules à l’heure : une réduction de la transmission est cruciale pour justifier les mesures vaccinales sévères. La politique a dicté la science. Les voix raisonnées étaient soit étouffées, soit censurées. Les voix de ceux qui prônaient le récit politique ont été renforcées pour donner l’apparence d’un « consensus scientifique », mais il s’agissait en réalité d’une pensée de groupe absurde qui était souvent en contradiction avec les principes fondamentaux de la science. »
Qu’espérez-vous que les lecteurs retiennent ?
« Une compréhension des enjeux élevés qui sont en jeu, ainsi qu’un sentiment de validation et d’autonomisation. Il sera très difficile pour de nombreuses personnes de faire à nouveau confiance à la santé publique. Mais surtout, il faut affronter les mensonges de front. Les débats scientifiques qui ont été interrompus doivent avoir lieu MAINTENANT. Des protections doivent être mises en place pour garantir le choix médical à l’avenir »
À suivre la semaine prochaine… Avec d’autres contestations de la publication de D.Fisman.
Bernard GUENNEBAUD
Janvier 2024
Références
(*) on rappelle que les robots du web font la chasse aux mots clés tels que « vaccin », alors la terminologie » pseudo-uridylé /ADN plasmidique/ PEG / graphène / SV40″ a toutes les chances de passer inaperçue de l’Inquisition : à moins bien sûr que tous ces mots soient eux aussi inclus dans la liste des signes interdits…
[1] David N. Fisman , Afia Amoako et Ashleigh R. Tuite 25 avril 2022 https://www.cmaj.ca/content/194/16/E573
[2] James C. Doidge , Alex de Figueiredo , Trudo Lemmens et Kevin Bardosh 20 juin 2022 https://www.cmaj.ca/content/194/24/E847
[3] https://www.salon.com/2022/04/27/unvaccinated-risk/
[4] https://www.amazon.com/Fismans-Fraud-Accomplices-Supplementary-Reference/dp/1988363268
[5] https://www.acceptableviews.co/p/the-lies-must-be-confronted-head
36 Responses
Le poulet pondu par l’animal Fisman est du même tonneau que la fameuse « étude » signée Pasteur dont Macron s’est servi pour imposer le « vaccin ARN » : tout modèle convenablement bourré crache le résultat souhaité !
https://basta-covid.fr/symphonie-pasteurale/
Bonjour à tous et toutes,
Ceci n’est que le début de la contre-offensive des pro-doxa pour faire coller les « preuves » scientifiques avec l’idéologie médiatique.
En voici une autre :
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X?ref=pdf_download&fr=RR-2&rr=841608c8ff8c0192
soit « Décès induits par l’utilisation compassionnelle de l’hydroxychloroquine au cours de la première vague COVID-19 : une estimation »
Cet article honteux est le fruit d’une équipe Lyonnaise.
A réfuter de toute urgence
Cordialement
Marie
Bonjour,
Merci pour cet article. En avril 2022 faire une simulation alors que l’on a les résultats de la vaccination en vie réelle révèle une perversion de la science.
En vie réelle on dispose de multitude d’études comme celle de la Cleveland’s Clinic (https://www-medrxiv-org.translate.goog/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1.full?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp) qui met en évidence que plus on a de doses plus souvent on est contaminé (figure 2).
Plutôt que de parler de durée d’immunité réduite on peut se demander si les vaccins covid ont généré une quelconque immunité.
Tout à fait Roger, on peut s’interroger. Mais si on veut contester de façon efficace une publication il faut le faire dans la logique du système qui a affirmé que les vaccinations ARNm avaient une certaine efficacité mais qu’elle ne durait que quelques mois, d’où la nécessité de multiplier les revaccinations comme les autorités n’arrêtent pas de le répéter. Ainsi, ils deviennent prisonniers de leurs propres arguments.
Ce « Fisman » est vraiment un grand « pêcheur » devant l’Eternel . Avec ses apôtres, il a pris nombre de « gogos » et de crédules dans ses filets.
Heureusement qu’un « Saint Bernard » est là pour réformer la religion « Vaccinolâtre ».
Merci Bernard de ta clairvoyance.
Tout ça, sans compter les personnes officiellement vaccinées mais qui ont fait des faux pour pouvoir continuer à travailler, vivre ou voyager…
Je vois mal comment on peut avoir une idée précise de qui est ou non vacciné, qq soit les configurations….
Merci Bernard pour cet article qui est tout de même compliqué à lire, parce qu’au fil des lignes on se perd un peu avec le groupe vacciné et le sous-groupe non vacciné. Il est évident qu’un bio statisticien malhonnête cupide ou sous contrat avantageux ou même soudoyé est capable de prouver mathématiquement à un béotien, n’importe quoi. La rhétorique est l’art de convaincre l’autre, mais pas celle de dire la Vérité. La rhétorique mathématique est une machinerie, à l’apparence logique, terrifiante, quand elle l’utilise les chiffres aux mains de criminels cupides. « Les chiffres sont des êtres fragiles qui peuvent dire n’importe quoi, lorsqu’on les torture. » J’ai lu le livre de Christine Cotton, 15 ans de biostatistiques pour les laboratoires, qui nous explique que l’efficacité vaccinale anti-covid en valeur relative est calculée à 95 %… ! Et en valeur absolue…. 0,84 % ! C’est bien évidemment la valeur absolue qui compte, mais celle qui rapporte les dollars aux laboratoires, c’est la valeur relative sur laquelle, ils communiquent tous. Tous les médecins n’ont pas une formation de statistique…. très poussée (euphémisme !) Ils adhèrent forcément innocemment à la tromperie machiavélique. La preuve mathématique apportée sur un plateau est même plus forte que leur empirisme observationnelle sur 20 ou 30 ans d’exercice quotidien (STATINES , BIPHOSPHONATES …)
Bernard pouvez-vous nous raconter votre expérience que vous avez faite à des étudiants de fin d’études en statistiques en les partageant en deux groupes et en leur donnant la mission de prouver avec des tableaux de chiffres et des données statistiques des conclusions contraires d’une manière mathématique imparable… et redites nous ce que vous leur dîtes à la fin de l’expérience.
Bernard merci de votre honnêteté.
Merci, merci mais dans cette première partie j’ai surtout rapporté l’essentiel des écrits de Fisman ainsi que ceux de 2 contestations. Dans la seconde partie j’interviendrai davantage avec mes propres recherches sur les modélisations dites mathématiques mais qui sont incohérentes et donc ne sont pas mathématiques. Vous verrez que les modélisations par équations différentielles type modèle SIR ne sont pas cohérents en eux mêmes.
Les modélisations de propagation de maladies contagieuses ne font pas partie de la statistique.
@Poinsignon : vous devez confondre avec un autre car je ne me souviens pas avoir fait une telle expérience ou alors je perds la mémoire 😀
Il ne faut pas confondre mathématiques et calculs. Les mathématiques commencent quand on accorde de l’importance aux conditions de validité des calculs. C’est cette confusion entre les deux qui permet de qualifier de mathématiques des calculs dépourvus de toute valeur. J’en ai quelques exemples gratinés dont justement les modèles dits SIR :
« Les épidémies de grippe peuvent -elles être modélisées ? »
Ma présentation poster au congrès SFSP de Lille 4-6 novembre 2011.
https://p3.storage.canalblog.com/33/58/310209/69807519.pdf
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2010/11/30/19748527.html
Mieux vaut tard que jamais, mais pourquoi cela sort-il maintenant seulement?
voila ce que j’avais écrit mi 2022 à propos de ce scandale inouï ;j’avais essayé avec d’autres collectifs d’exiger un droit de réponse aux médias qui avaient largement diffusé cette étude foireuse, en pure perte, faute de soutien juridique
j’en rage de ne pas avoir pu trouver d’avocat acceptant de mettre à nu cette escroquerie, qui avait joui d’une couverture médiatique considérable; les médias n’avaient fait que citer la conclusion de l’étude sans rien expliquer au passage, car bien sûr, le petit peuple n’est pas de taille à lire ce genre de prose trop « scientifique »
j’avais même rencontré Pavan à l’époque pour lui en parler, il ne connaissait pas mais il n’a pas donné suite ( il faut dire que lui a été le seul à porter plainte contre la modélisation de Pasteur en 2021)
en lisant mon article, à mon avis, moins touffu que celui publié ici, vous verrez à quel niveau la fraude est énorme et aussi comment en modifiant juste UN paramètre de base à une modélisation on aboutit au contraire du résultat annoncé au départ
Fisman avait été inondé de critiques à l’époque
Pour ça, pas besoin d’être expert en statistique, modélisation, et mathématique; le drame c’est qu’aujourd’hui tout ce qui a une teinte de “maths”, les gens démissionnent, et ne semblent plus capable d’en lire une ligne; la règle de trois semble aussi être hors de portée de nombre de gens, y compris ceux qui se prétendent “cultivés”
J’ajoute, pour ceux qui n’iront pas lire l’article dont le lien est ci-dessous, que le Dr Fisman
qui avait fait l’objet de nombre d’interview à l’époque, suite à son étude fracassante avait été jusqu’à dire:
“un non vacciné aujourd’hui est assimilable à un chauffard roulant à 200km/h en centre ville”; au fond sa modélisation est parfaitement en ligne avec cette énormité
il y a dans l’article, les sources permettant d’explorer les failles du modèles, pour ceux que ça intéresse
https://enquetes.blog/2022/06/13/oyez-oyez-les-non-vaccines-sont-une-menace-pour-la-societe/
» Chez les vaccinés il y a, selon le modèle, 20% de non immunisés qui tomberaient donc malades s’ils étaient contaminés. Les auteurs affirment que, selon leur modèle, les non vaccinés vont amplifier de façon excessive ce risque par rapport à ce qui se produirait si des vaccinés ne rencontraient que des vaccinés. »
C’est à mon avis, et je ne suis pas le seul à le penser, l’aspect le plus flagrant de la fraude; car non seulement ce chiffre est arbitraire, fondé sur aucune étude, mais notoirement en contradiction avec d’autres chiffres, eux sourcés ;or en modifiant juste ce seul paramètre dans le modèle, on obtient une conclusion radicalement opposée; toutes les autres gesticulations composant ce modèles sont nulles et non avenues et servent à faire » sérieux »;
ensuite, oui, l’efficacité retenue, relative en plus, fausse aussi les choses
Plus récemment Rancourt a reparlé à Bucarest de cette étude, qu’il avait lourdement critiquée dès sa sortie au Canada, et c’est peut-être suite à cette sortie que vous avez été motivé pour écrire à ce sujet?
Dans mon article, sur le blog, j’ai donné des sources indiquant plusieurs critiques dont celle de Rancourt,mais Bridle, et Jessica Rose ont été les plus virulentes
J’ignorais par contre la sortie d’un ouvrage au Canada consacré à cette affaire, merci pour cette info
mais pour conclure, cette affaire, à l’époque m’avait mis à la fois très en colère et un sentiment d’impuissance rageuse m’avait envahi ; pourquoi le milieu scientifique est si lâche ;pourquoi les avocats ne se donnent pas la peine d’aller au front? on a beaucoup tapé, à juste titre sur le milieu médical mais les juristes, les mathématiciens, les gens « cultivés »? quel naufrage quand même!
un dernier trait sur Fisman, quand même quand on ose dire » les non vaccinés sont des chauffards roulant à 200 km/h en centre ville , on voit bien qu’on n’a pas affaire à un scientifique, mais à un vulgaire escroc au service d’une propagande d’état
Avec cette étude diffusée en France au printemps 2022, il y avait une occasion extraordinaire de poursuivre les médias pour diffusion de fausses informations à partir de fraude scientifique; il aurait suffit d’un ou deux avocats, une poignée de scientifiques , il y aurait eu des centaines de plaignants qui se seraient joints dans une plainte collective ; est-il trop tard pour le faire maintenant?
Très intéressant tout ceci merci Azibane, n’hésitez surtout pas à nous proposer la publication de vos articles si vous le souhaitez un jour, à bientôt
« on a beaucoup tapé, à juste titre sur le milieu médical mais les juristes, les mathématiciens, les gens « cultivés »? quel naufrage quand même! »
Vous avez tout à fait raison de dire cela. Savez vous que l’académie des sciences est présidée par un secrétaire dit perpétuel Jean François Bach qui connait bien la musique puisqu’il est immunologiste ultra pro vaccins et qu’il s’est déjà exprimé au nom de cette académie à propos des 11 vaccins obligatoires pour les enfants et que déjà auparavant, en 2008, il l’avait fait aussi pour attaquer avec des arguments stupides le (pseudo) signal sur les « observants » au calendrier vaccinal qui seraient plus à risque de SEP au delà de 3 ans après une vaccination par Engerix B.
Avec l’entrée de la biostatistique comme science dans cette académie et de l’épidémiologie représentée par Dominique Costagliola pas vraiment contre les vaccins non plus, l’académie des sciences est devenue une académie de médecine bis. On pourrait en effet s’interroger sur le fait que son secrétaire perpétuel ne soit pas un physicien, un chimiste, un astronome, un mathématicien ou même un biologiste mais un immunologiste très provaccins.
« Jean François Bach qui connait bien la musique puisqu’il est immunologiste »
L’immunologie n’a pas grand chose à voir avec les biostatistiques…
http://offre-de-formations.univ-lyon1.fr/ue-16671-317%2Fimmunologie-fondamentale.html
Quant aux formations en épidémiologie, c’est assez léger comme programme, trois cours d’une semaine…
https://www.pasteur.fr/fr/enseignement/programmes-cours/cours-pasteur/epidemiologie-sante-publique
On se souviendra aussi du Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur : « On ne sait pas comment marchent les vaccins » !
Si le Directeur de Production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS chez Sanofi Pasteur mais également consultant pour l’OMS… ne sait pas, qui sait ?
https://www.agoravox.fr/commentaire4955302
Pourquoi changer une équipe qui gagne $$$$$$
Puisque vous reparlez de Jean François Bach, j’en profite pour donner la teneur de son intervention à l’époque, en octobre 2008 avec la publication du signal « Tardieu » sur les « observants au calendrier vaccinal » qui seraient plus à risque de SEP quand ils étaient par la suite vaccinés Engerix B contre l’hépatite B. Communiqué :
« le professeur Jean-François Bach, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences, souligne » l’énorme erreur statistique » commise par ce professeur et son équipe, affirmant » qu’on ne peut pas analyser des sous-groupes comme des groupes entiers et que le dossier est vide ». »
Ce qui est stupide est de distinguer entre le groupe entier et les sous groupes. Le groupe dit entier pourrait devenir un sous groupe en y ajoutant les données d’autres pays. Ce signal est plus que contestable car les auteurs ont conservé dans les calculs les cas et témoins non vaccinés Engerix, ce qui est tout aussi stupide mais trompés en cela par les logiciels d’épidémiologie.
Par contre on ne peut exclure que le cumul des vaccinations puisse favoriser la sclérose en plaques même si ce ne peut être avec ce pseudo signal qu’on pourrait le montrer.
Marc Tardieu était neurologue, pas grand chose non plus à voir avec l’épidémiologie. Mais les épidémiologistes et les biostatisticiens valident n’importe quoi comme d’utiliser des non vaccinés pour étudier l’éventuelle incubation d’une maladie à partir d’une vaccination qui n’existe pas, ce qui reviendrait à utiliser des souris non fécondées pour étudier la durée de la gestation.
Au congrès Adelf-Sfsp d’Amiens en octobre 2017 je présentais une communication orale sur l’utilisation inadaptée des tests statistiques. Avant le début des présentations, un modérateur me demandra si je serais d’accord pour former des médecins en une demi-heure !!! Si on me posait à nouveau la question, je répondrai qu’en une demi-heure on ne forme pas des médecins mais des assassins. Cette épidémiologiste s’imaginait sans doute qu’on pouvait apprendre cela entre 2 portes ou entre la poire et le fromage. C’est plus compliqué qu’ils ne se l’imaginent.
Exellent X du Dr Mqrtin ZIZI dans le droit fil ce cet article :
https://twitter.com/MartinZ_uncut/status/1744204109966868788
On aimerait bien que soit frauduleux les dires d’un proche de Bill Gates, le spécialiste des vaccins du cofondateur de Microsoft. Car Geert Vanden Bossche ne va-t-il pas jusqu’à penser que dans les pays fortement vaccinés la population pourrait chuter jusqu’à 30-40 % ? : « Plus d’un tiers des personnes mourront des suites directes de l’injection d’ARNm anti covid. »
Barry Young, administrateur de base de données pour le département de la santé du gouvernement néo-zélandais, Te Whatu Ora, a rendu public des données secrètes révélant le nombre de citoyens décédés après avoir reçu des injections d’ARNm de Covid. Selon l’ensemble des données exposées par Young, 20 pour cent de la population vaccinée du pays est désormais décédée ! Il a sans surprise été accusé d’avoir accédé à un système informatique à des « fins malhonnêtes ». Le lanceur d’alerte risque désormais jusqu’à sept ans de prison pour avoir rendu publiques les données anonymisées.
https://slaynews.com/news/leaked-new-zealand-vax-data-exposes-10-million-worldwide-deaths/
De son côté, Martin Armstrong, de Armstrong Economics, affirme que son propre modèle informatique prévoit une « forte baisse de la population » à partir de 2032.
Bill Gates semble suivre les desirata de son défunt père, qui était membre du conseil d’administration de Planned Parenthood, une organisation fondée dans le but précis de réduire la population. « Il cherchait à convaincre les femmes qu’elles avaient le droit de tuer leurs bébés… Même le juge Ginsberg a déclaré que l’arrêt Roe v. Wade visait à réduire la population, et non à défendre les droits des femmes. » précise Armstrong.
Par contre l’étude Kirsch, sur les communautés amish américaines non vaccinées,
https://slaynews.com/news/unvaxxed-amish-death-rates-90-times-lower-rest-america/
révèle que leur taux de mortalité était 90 fois inférieurs à ceux du reste de l’Amérique. Pourtant à 90%, elles n’ont pas été épargnées par le virus, n’ont pas suivi une seule des directives des CDC, ne se sont pas enfermées, n’ont pas été masquées et n’ont pas pris de distance sociale.
Le problème, ces virus fabriqués en laboratoire mutent à cause des vaccins à ARNm.
https://www.n-tv.de/wissen/Corona-Variante-JN-1-loest-ungewoehnliche-Symptome-aus-article24646700.html
Attention à ce que vous écrivez; il n’y a pas 20% de vaccinés décédés en NZ; surtout que plus de 90% de la population a été vaccinée.
Si cela était vrai, ça se verrait, non?
En fait-il s’agit de certains lots qui ont donné des taux de décès énorme, et c’est en soi particulièrement remarquable;Il y a effectivement un lot qui a donné plus de 20% de décès, dans un délai assez court suite à l’injection;
de façon plus précise on a 10 lots les plus mortels qui vont de 4,5% à 21,38%; 5 lots à plus de 10% ;pour un total de 39000 vaccinés sur ces lots; dont 29000 pour les deux lots à 4,5%
c’est important de ne pas donner des informations grossièrement fausses en lisant trop vite, la crédibilité des sites de résistance et réinformation est en jeu.
la réalité est déjà assez effrayante
je trouve aussi qu’il est malvenu de citer des prédictions de mortalité quantifiées comme cela circule de temps en temps, car on ne sait rigoureusement rien sur les effets à moyen et long vermeil semble que nous soyons embarqués vers une spirale inquiétante, c’est un fait, mais parler de 30 à 40% c’est absurde, ou alors qu’on me donne une base tangible pour justifier de ça.
De même pour un « modèle informatique » sur la baisse de population à partir de 2032; ces modèles sont une vraie plaie scientiste, comme ceux concernants le « changement climatique ».
Effectivement azibane les chiffres sont toujours sujets à caution. Mais on peut dire « à la louche » que les pays les plus vaccinés sont ceux qui ont été les plus touchés par le virus et qui ont eu le plus de morts subites. En même temps on a assisté à une chasse aux sorcières contre les médecins qui appliquaient le protocole « Raoult ». Le chirurgien belge Colignon par exemple fut pour cette raison suspendu 2 ans après avoir sauvé ainsi ses malades. On a assisté aussi à de nombreux certificats frauduleux car il était plus rentable de soigner un malade du covid. On peut ajouter que l’utilisation d’un ventilateur non seulement tuait mais rapportait aux USA 39 000 $. N’est-il pas surprenant de voir que ce qui secoue le monde est toujours annoncé d’avance par le biais de films ou autres artifices médiatiques ? Même Disney s’est mis à lancer un dessin animé sur l’antechrist ! Certains feront le lien entre lui et la marque de la « Bête » sans quoi on ne pourra rien vendre ni acheter. Notre futur prochain sans aucun doute.
https://odysee.com/@bengarneau:4/Les-films-du-jour—2022-09-17:f
Vous avez raison de préciser tout cela azibane car tous les lots n’étaient pas identiques. Aucune raison de s’en offusquer puisque tout le monde savait ou pouvait savoir que c’était un produit expérimental. En pareil cas il est aussi normal qu’habituel d’utiliser des placébos ainsi que des vaccins avec différents dosages de tel ou tel composant.
En cas d’effets dits secondaires la déclaration demandait impérativement de mentionner le n° du lot. De retour à l’industriel celui-ci pouvait classer les effets déclarés selon les lots.
Ne faisons pas non plus trop de prédictions trop rapidement extrapolées. L’anxiété est aussi un terrible poison pour le corps.
Que penser du nouveau 1er ministre Gabriel Attal quand il dit « Qui emmerdent la vie de qui aujourd’hui? Qui gâchent la vie des restaurateurs, des soignants, des personnes âgées… Ce sont ceux qui refusent le vaccin »:
https://twitter.com/myriampalomba/status/1744690977711829325
si ce que vous soulignez Conrad s’avère vrai comme déjà le prévoyait Deagel, une organisation de renseignement pour le gouvernement américain avec derrière elle la Central Intelligence Agency (CIA), le département américain de la Défense (DoD) et la Fondation Rockefeller ?
https://expose-news.com/2023/07/23/deagel-cia-dod-rockefeller-depopulation/
https://expose-news.com/2023/08/06/cia-deagel-2025-depopulation-on-target/
https://expose-news.com/2023/09/05/pfizer-documents-deagel-2025-depopulation/
Pour rappel, Deagel s’attendait à une dépopulation mondiale massive de 50 à 80% d’ici 2025…
https://profidecatholica.com/2021/06/23/lorganisme-deagel-prevoit-la-depopulation-mondiale-massive-de-50-a-80-dici-2025-video/
Deagel fournit ainsi des informations qui sont ensuite utilisées par les communautés de renseignement mondiales et les gouvernements. Liste partielle des partenaires et clients connus de Deagel, selon leur propre site Web : le National Security Agency, l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), l’Agence russe d’approvisionnement en matière de défense, Stratfor, la Banque mondiale et les Nations Unies :
https://www.deagel.com/
L’intérêt de ces prévisions, c’est que le site de Deagel peut difficilement être soupçonné de conflit d’intérêts. Le site analyse quels budgets seront alloués à quels marchés pour acheter par exemple des avions militaires. C’est tout ce qui leur importe vraiment. Ces prévisions s’appuient sur le rapprochement de différents rapports, accessibles au public, d’institutions telles que la CIA, le FMI et l’ONU. Si les prévisions de croissance ou de déclin de la population, les dépenses militaires et la parité de pouvoir d’achat dans tous les pays du monde ont quelque peu fluctué, depuis 2015, une prédiction n’a pas changé : la Chine sera la plus importante économie de la planète en 2025.
Effectivement azibane, Biontech par exemple a produit son vaccin en collaboration avec Pfizer de au moins deux manières différentes : une pour un groupe sélectionné de personnes et une pour le grand public.
https://transition-news.org/regierung-wusste-von-beginn-an-dass-biontech-pfizer-einen-covid-impfstoff-fur
Comme toujours un plaisir de vous lire
« Nous n’avons pas modélisé le déclin de l’immunité. »
En fait l’immunité collective n’a jamais été modélisée, ou que d’une manière si peu fiable dans une seule étude en 1923* sur une centaine de souris, c’est bien trop léger pour en tirer des conclusions scientifiques, et ce que pourrait représenter cette immunité collective dans la réalité de l’humanité, d’âge, de sexe, de complexion, et de conditions de vie si différentes…
et cela ne choque pas toutes ces têtes bien remplies semble-t-il de « vaticiner » sans fin sur cette notion d’immunité collective qui à force de répétitions passe pour acquise, pour être vraie, et de bâtir des modélisations statistiques sur du sable, toutes aussi peu fiables les unes que les autres.
*The Spread of Bacterial Infection. The Problem of Herd-Immunity
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2167341/?page=1
Un p’tit coup d’oeil dans le rétro de l’Aimsib, retour vers le passé en mai 2020
L’immunité de groupe
(ou immunité collective ou immunité communautaire)
L’idée moderne d’immunité de groupe est née au début du siècle dernier.
Elle est énoncée en relation avec les maladies infectieuses et la théorie est décrite dans son aspect original par Topley et Wilson en 1923 [1]. En 1933 le Docteur Hedrich, inspecteur de santé dans les écoles de Chicago, publie ses observations. Dans la période 1900-1930, les épidémies de rougeole à Boston s’estompent quand 68% des enfants ont subi la maladie [2]. De façon similaire à Baltimore les épidémies s’estompent quand 55% des enfants ont eu la maladie [3]. Ces trois publications de l’ère moderne ont apporté les premières observations détaillées sur l’immunité de groupe, mais dans ces cas l’immunité est acquise naturellement. Des années plus tard Anderson et May créent le premier modèle mathématique qui décrit une théorie de façon globale (Anderson and May, 1985).
Cette notion d’immunité de groupe est vague : elle comporterait même plusieurs sens : [4]
Certains auteurs l’utilisent pour décrire la proportion d’individus immunisés au sein d’une population.
D’autres l’utilisent en référence à une proportion particulière du seuil d’individus immunisés qui devrait entraîner une diminution de l’incidence de l’infection.
D’autres encore l’utilisent pour faire référence à un modèle d’immunité qui devrait protéger une population contre l’apparition d’une nouvelle infection.
Une implication courante de ce terme est que le risque d’infection, parmi les individus sensibles d’une population, est réduit par la présence et la proximité d’individus immunisés.
On ne peut qu’être d’accord avec la conclusion de cette revue sur l’immunité de groupe : « Il est important de reconnaître que les modèles ne sont que des tautologies de leurs hypothèses, et une épidémiologie de terrain solide est essentielle pour fournir des données appropriées sur lesquelles fonder ces hypothèses. »
…
Source : Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c’est non… et encore non
par Hélène Banoun | 3 Mai 2020
https://www.aimsib.org/2020/05/03/vaccin-anti-covid-19-et-immunite-de-groupe-cest-non-et-encore-non/
« Il est important de reconnaître que les modèles ne sont que des tautologies de leurs hypothèses, et une épidémiologie de terrain solide est essentielle pour fournir des données appropriées sur lesquelles fonder ces hypothèses. »
Il y a deux choses très différentes dans cette affirmation. D’une part un modèle bien construit du point de vue interne doit être cohérent. C’est. à dire que le modèle développé doit exprimer les hypothèses choisies et pas autre chose. C’est la première condition d’un modèle pour pouvoir être qualifié de mathématique. Dans la seconde partie de cet article je montrerai que les modèles par équations différentielles comme le modèle SIR utilisé par Fisman ne sont pas cohérents, du moins dès que la durée de la contagiosité d’un malade est différente de la durée d’incubation de la maladie. Une telle incohérence condamne, devrait condamner définitivement, ce type de modèles.
D’autre part, on souhaite évidemment traduire la réalité du terrain, faire en quelque sorte de la météo avec des prévisions sur le devenir d’une épidémie. C’est évidemment très difficile. Même si cela ne peut être réalisé on peut au moins tenter d’étudier sur des modèles mathématiquement cohérents l’impact d’une action sur tel ou tel paramètre. Si par exemple on réduit de tant le nombre de contaminés par un malade, quelle en sera l’impact sur l’évolution de l’épidémie avec le modèle choisi même s’il ne colle pas parfaitement avec la réalité. Ou si on réduit la durée de la contagiosité d’un malade.
On peut ainsi étudier l’importance que peuvent avoir tel ou tel paramètres même si on ne peut faire une météo fiable.
« Les épidémies de grippe peuvent -elles être modélisées ? »
Ma présentation poster au congrès SFSP de Lille 4-6 novembre 2011.
https://p3.storage.canalblog.com/33/58/310209/69807519.pdf
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2010/11/30/19748527.html
Voici un « raisonnement frauduleux » proposé par The Defender de Robert Kennedy :
« dans une étude hypothétique comparant 10 buveurs de café à 100 abstinents, cinq buveurs et 10 abstinents ont déclaré se sentir nerveux. Certains vont dire que 67 % des personnes se sentant nerveuses étaient abstinentes et seulement 33 % buvaient du café. Cela « prouve » que ne pas boire de café double (67 % contre 33 %) le risque de nervosité.
La bonne façon d’analyser ces données est que 10 abstinents sur 100, soit 10 %, se sentaient nerveux, mais 5 buveurs de café sur 10 (50 %) se sentaient nerveux, et que boire du café multiplie par cinq le risque de nervosité (50 % contre 10 %). »
@Reynard
je pense que cette histoire de Deagel est une fumisterie de premier ordre, conflits d’intérêts? je ne sais pas, mais un peu de sérieux quand même 50% à 80% de morts d’ici l’an prochain,je veux bien tout admettre, même le pire, mais quand on sort des chiffres pareils, il faut donner une base précise. on ne sait rien sur les effets à long terme, même à moyen terme; l’immunité de chaque personne est différente…. c’est d’ailleurs pour ça que modéliser sur la santé est pour moi une aberration, il n’y a aucune loi pour mathématiser la transmission d’un virus, même si certains sont tentés de ‘y appliquer des équations de la mécanique des fluides
Deagel avait même carrément donné des chiffres pour plusieurs pays dont le notre sur les décès à prévoir à l’horizon 2025 et on était bien lotis.. aux alentours de 30 millions de morts si je me souviens bien… il va falloir que ça s’accélère sérieusement s’ils veulent tenir leur pari !
D’autres attribuent à Schwab du « great reset » une population mondiale ramenée à 500 million d’habitants d’ici 2050 ( peut-être avant même) en citant même la page du livre, et évidemment, elle n’existe pas cette page
qu’il y ait un désir de dépopulation chez les maîtres actuels du monde est entendu, mais planifier une dépopulation de plus de 90%,j’appelle ça de la surenchère gratuite; et même si c’était leur vrai plan, ils n’auraient pas la stupidité de le dire
« il n’y a aucune loi pour mathématiser la transmission d’un virus, même si certains sont tentés de ‘y appliquer des équations de la mécanique des fluides »
Oui, la mise en équations de la propagation d’une maladie contagieuse par des équations différentielles ne peut pas fonctionner, c’est impossible car de tels modèles sont mathématiquement incohérents, au moins dès que la durée de la contagiosité d’un malade est différente de la durée d’incubation de la maladie. Je le montrerai dans la seconde partie de cette article et c’est très simple.
Il n’y a pas cohérence entre les hypothèses et le modèle développé, comme si on plantait une graine de peuplier et qu’on voyait pousser un baobab. Malheureusement, personne se semble avoir cherché à vérifier si le modèle développé exprimait bien les hypothèses.
Une chose est sûre aujourd’hui, , le nombre de décès surnuméraires chez les jeunes Américains a atteint un niveau sans précédent en 2023. Au cours des neuf premiers mois de 2023, 158 000 décès supplémentaires « inattendus » ont été enregistrés chez eux par rapport à l’année 2019 avant la « pandémie ».
https://tkp.at/2024/01/11/neue-daten-zeigen-starke-uebersterblichkeit-fuer-das-jahr-2023-in-den-usa/
Depuis un peu plus de 2 ans les jeunes sont bien plus victimes de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux. C’était très rare avant les « vaccins ».
https://t.me/HocineLeDZ/10487
Ici Andy Delort, un joueur international Algérien qui s’est effondré sur le terrain :
https://www.lesoir.be/559626/article/2024-01-06/lattaquant-andy-delort-seffondre-en-plein-match-et-est-pris-de-convulsions-video
Heureusement il s’en est sorti mais pour combien de temps ?
En France, difficiles d’obtenir des statistiques. Mais par contre les services d’urgences des CHU craquent. Ici à Nantes :
https://www.europe1.fr/societe/on-narrive-plus-a-trouver-de-lits-au-chu-de-nantes-une-patiente-meurt-sur-un-brancard-4224460
Pfizer ne va plus savoir donner de la tête avec les nombreux turbo cancers. Mais le hasard fait bien les choses ! N’est-il pas leader en oncologie ?
https://t.me/TontonFrancky/2890
Et pour cacher ces décès surnuméraires dans les pays très vaccinés rien de mieux que de mettre en avant la grippe hivernale comme en Espagne où le ministre de la Santé prévoit de rendre à nouveau obligatoire le port du masque :
https://www.lesoir.be/560020/article/2024-01-09/espagne-le-port-du-masque-redevient-obligatoire-dans-les-hopitaux#:~:text=Le%20port%20du%20masque%20obligatoire%20n%27a%20ainsi%20%C3%A9t%C3%A9%20lev%C3%A9,retraite%20ou%20encore%20les%20pharmacies
Autre méthode, faire affirmer par de soi-disant experts qu’une nouvelle souche de COVID provoquera une « pandémie mondiale d’insuffisance cardiaque » :
https://www.zerohedge.com/covid-19/experts-say-new-covid-strain-will-cause-global-heart-failure-pandemic
Espérons que les réponses données par Fauci devant le Congrès les 8 et 9 janvier nous éclaireront sur son financement des recherches risquées entreprises en Chine !
https://vigilantnews.com/post/fauci-appearing-before-congress-to-answer-questions-on-mask-mandates-covid-19-origins/
Vous dites Colin « Pfizer ne va plus savoir donner de la tête avec les nombreux turbo cancers. »
Le prof Raoult et son équipe ont examiné le vaccin covid. Ils ont confirmé qu’il contenait « une quantité considérable d’ADN » A partir d’1h59 ici :
https://www.youtube.com/watch?v=Al9LMEoBPRk
Pas besoin d’ajouter que c’est un facteur de cancer. Donc à long terme, s’attendre à bien plus de morts.
Lundi prochain, il sera question à Davos de la nouvelle maladie en préparation (appelée pour l’instant X) et du vaccin qui va avec en élaboration en Grande Bretagne !
https://tkp.at/2023/08/08/geheim-labor-im-uk-produziert-covid-varianten-und-impfstoff-gegen-krankheit-x/
Sans doute la dépopulation souhaitée n’est pas suffisante ! Et pour la réduire encore plus, en Ecosse, on a décidé de mettre en prison les parents qui empêchent leurs enfants de changer de genre.
https://derstatus.at/politik/schottland-gefangnis-fur-eltern-die-ihren-kindern-den-geschlechtswechsel-verbieten-1948.html
Tout à fait Hugo, vous faites bien de le dire : « Sans doute la dépopulation souhaitée n’est pas suffisante ! »
On n’aide pas encore assez les avortements. On en est à 73 millions, ce qui en fait tout de même la première cause de décès selon worldometer. En 2022, on estime que
10 millions de personnes dans le monde sont mortes du cancer,
6,2 millions de maladies liées au tabac,
2 millions du VIH/sida
17 millions d’autres maladies.
Des milliers de personnes sont mortes du paludisme et de l’alcool.
Le nombre total de décès s’élève à 140 millions de personnes :
73 millions dus à des avortements provoqués
67 millions à d’autres causes.
https://www.worldometers.info/abortions/
En France, on vient de supprimer le ministère des Solidarités et des Familles. Il est vrai que ce n’est pas le premier souci de Macron ni de son 1er ministre pacsé en 2017 avec le nouveau ministre des Affaires Étrangères !
Reste encore à faire passer des lois sur l’euthanasie, le transgenre…. Et à moderniser un dispositif de réquisition des Français et de leurs biens en cas de guerre (souhaitée ? Texte déposé à l’Assemblée nationale le 4 avril 2023 par le ministre des Armées Sébastien Lecornu). Mais le problème des guerres, s’il dépeuple, il détruit aussi les infrastructures ! Difficile d’avoir en même temps le beurre et l’argent du beurre.
Vous êtes une pessimiste Amanda. Ne vous en faites pas, on va s’approcher des chiffres Deagel ! Peut-être pas en 2025 mais quelques années plus tard.
« La chose la plus miséricordieuse qu’une famille puisse faire à l’un de ses enfant en bas âge est de le tuer. » n’hésitait pas à clamer la fondatrice du Planning Familial Américain (PFA) Margaret Sanger ! Pas étonnant que la candidate démocrate à l’élection présidentielle Hillary Clinton ait obtenu le prix « Margaret Sanger » en 2009 ! Celle-ci a décrit les ventes de pré-commandes de parties de fœtus avortés du planning familial comme une «bonne chose» et son directeur de campagne, Warren Buffet, a été reconnu comme le plus gros donateur de cette entreprise à but non-lucratif, appelée Société Eugénique Américaine avant de s’appeler Planning Familial Américain.
https://qactus.fr/2022/06/26/satanistes-enquete-sur-le-trafic-davortements-et-de-foetus-humains/
Evidemment, le décret de Donald Trump interdisant le financement américain d’organisations internationales qui pratiquent l’avortement, a obligé à d’autres de réunir 181 millions d’euros. L’initiative « She decides » lancée par Lilianne Ploumen, ministre néerlandais du Commerce international, de la Coopération pour le Développement, pour défendre au niveau mondial les « droits sexuels et reproductifs » s’en est occupée. « C’est le plus beau jour de ma vie », a déclaré la Danoise Ulla Tørnæs, ministre de la Coopération pour le développement, ce 2 mars 2017, à l’ouverture de la conférence, organisée par le gouvernement belge à Bruxelles et à laquelle ont participé « les représentants de 50 pays et une multitude d’organisations et ONG ». La Finlande et la Suède ont promis 20 millions d’euros pour tuer les enfants dans le tiers monde ; les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et la Norvège en ont promis 10. La représentante de la Commission européenne était très frustrée de ne pouvoir rien donner que ses encouragements, l’avortement n’étant pas de sa compétence. Mais cela n’a pas empêché ces gens de parler de l’avenir des enfants, de l’égalité des chances, du droit à la « reproduction » ! On ne pouvait pas être plus orwellien. Selon l’ Euobserver, on aboutit à 181 millions en ajoutant les… 50 millions d’un « donateur américain anonyme », le concours du Canada, et « of course » de la… Fondation Bill et Melinda Gates.
https://euobserver.com/foreign/137091
Lui, après avoir subventionné les vaccins covid, a envoyé 7 milliards de dollars en Afrique pour promouvoir l’avortement en tant que contrôle de la population :
https://www.lifenews.com/2022/12/06/bill-gates-sends-7-billion-to-africa-that-will-promote-abortion-as-population-control/
Il y a des chances qu’il continue dans sa lancée humanitaire.
Mais ce qu’il faut avant tout, contrôler les medias et internet. Autrement n’importe qui peut par exemple entendre les dires fâcheux de l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon. Pour lui il n’y a pas eu de pandémie et les vaccins ont été conçus intentionnellement pour causer des blessures, la mort et altérer la fertilité des survivants.
https://www.drrobertyoung.com/post/dr-michael-yeadon-i-didn-t-know-until-after-the-fake-pandemic-that-virology-was-lies
N’est-il pas préférable de faire croire aux gens que s’il y a une quantité considérable d’ADN dans les vaccins c’était involontaire ? On peut remercier l’Express d’avoir calmé le jeu grâce à un collectif d’une cinquantaine de cancérologues cités dans l’article :
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/liens-entre-vaccins-anti-covid-et-cancer-nous-cancerologues-refutons-cette-theorie-ZQYVN7RDFZGOTCAEVDL7F3447M/
On ne va tout de même pas leur ôter leur gagne-pain alors qu’ils sont habitués à une rémunération mensuelle à 5 chiffres.
L’avantage Amanda, c’est que le nouveau ministre français des Affaires Étrangères, alors qu’on prépare la guerre contre la Russie, pourra mieux s’entendre avec le commandant en chef des forces armées suédoises, Micael Bydén ! Ici Micael Bydén, à la gay pride de Stockholm, à la tête de ses troupes… :
https://www.youtube.com/watch?v=WRFXo6wqVqA
Autre alerte, celle de Stella Kyriakidou, « commissaire européen à la Santé et à la Politique des consommateurs ». Elle rappelle « la nécessité » de l’injection au vétérinaire Bourla : « La vaccination reste un bouclier essentiel contre la Covid-19, en particulier pour les personnes les plus vulnérables de nos sociétés. J’ai insisté sur ce point dans une lettre envoyée à tous les ministres de la Santé en septembre sur la nécessité de vacciner contre la Covid-19 et la grippe saisonnière. »
Cela expliquerait qu’en Espagne, le ministre de la Santé a prévu de rendre à nouveau obligatoire le port du masque comme l’explique Colin. Reste que certains comme Euractiv » estiment que l’introduction de mesures restrictives avant les élections européennes pourrait être risquée, car elle pourrait être exploitée politiquement par l’extrême droite. » On ne parle pas là bien sûre ni de l’extrême droite israélienne (Netanyahou) ni des néo-nazis ukrainiens.
Cela ne donne-t-il pas un moment de répit avant que la maladie X en discussion à Davos arrive ? On annonce déjà qu’elle pourrait causer 20 fois plus de décès que la soi-disant pandémie de coronavirus :
https://www.weforum.org/events/world-economic-forum-annual-meeting-2024/sessions/preparing-for-a-disease-x/
L’idéal c’est qu’elle advienne quand l’Europe sera sans numéraire. Il suffira que le réseau électrique tombe en panne pour que le chaos qui s’en suivra augmente le nombre de morts. Quand on pense qu’en Chine, dans les écoles, même l’eau est achetée à l’aide d’un système de reconnaissance faciale lié aux portefeuilles numériques des élèves !
https://t.me/boriskarpovblog/18410
En France, après la tempête Ciaran, des villages furent sans électricité plusieurs jours. De quoi ne plus rien acheter pour se nourrir. Elle est géniale l’idée de supprimer les espèces !
Avec cette maladie X, attendons-nous à revoir Karine Lacombe nous sortir à nouveau« Faut savoir que le vaccin ARN messager n’a pas d’adjuvants et que l’ARN messager disparaît en quelques heures… Il ne persiste pas dans le corps humain. Il n’y a donc aucun risque d’effets secondaires tardif au bout de plusieurs mois ou plusieurs années. »
https://t.me/Ni_Oubli_Ni_Pardon/324
Comment de nos jours peut-on encore faire confiance à ces menteurs ?
@azibane
Cette histoire de Deagel est une fumisterie… c’est bien possible, comme elle pourrait être une « psyops », un peu comme les Georgia Guidestones le furent je crois (?) pour in fine instiller « la peur » de l’avenir, d’une promiscuité surnuméraire, du partage des ressources, des aléas du climat, des fantaisies des virus qui pourraient nous anéantir… une inquiétude permanente, du moins dans une partie de la population, comme incitation contraceptive aux effets délétères.
Sur ces inquiétudes émotionnelles à géométrie variable s’est façonné un ersatz de « messianisme » pour sauver la planète, des vies (avec des vaccins, c.a.d. de la technologie…), l’humanité entière, pour corriger le climat, faire la guerre aux virus, à la maladie, à la mort … un messianisme qui prend la forme d’une nouvelle religion « citoyenne », pourtant vide de dimension métaphysique, d’histoire anthropologique, le scientisme faisant office de gouvernail dans ce brouillard incertain, cette tempête annoncée par quelques pythies sous couvert de projections statistiques…
La question de la surpopulation mondiale n’est pas du tout nouvelle, les théories eugénistes s’affichaient sans vergogne depuis la fin du XIX°, quand la population n’atteignait pas même un milliard d’hommes sur la Terre.
Lord Balfour Premier ministre du Royaume-Uni du 11 juillet 1902 – 5 décembre 1905, mais bien plus connu pour la Déclaration qu’il concéda à… pour l’établissement d’un foyer pour les Juifs en Palestine, assura le Discours d’ouverture du Ier congrès international d’eugénisme qui se tint à Londres en 1912 (Wikipedia).
Depuis la population s’est démultipliée plus ou moins de façon linéaire, avec les aléas des guerres, de quelques épidémies, des progrès de l’hygiène, mais le % de « possédants » qui n’étaient pas étrangers à ces nouveaux paramètres n’a que très peu varié, depuis les siècles précédents, où la noblesse, puis après l’aristocratie – en résumé les possédants – s’inquiétaient déjà des humeurs de la plèbe, des gueux, des sans-dents, qui auraient pu renverser leurs privilèges, leurs prébendes…
Entre Lord Balfour et aujourd’hui que s’est-il passé… la deuxième guerre mondiale et l’émergence de l’agronomie (science de la vie ?), de l’industrie alimentaire, de la mécanisation, de la gestion de production, ont provoqué un exode rural massif… où les gens s’entassent depuis dans des métropoles de centaines de milliers et de millions d’habitants…
Par analogie, on pourrait considérer que la vie rurale d’antan (veaux, vaches, cochons, poulets du temps de Perrette et de son pot au lait) de centaines de milliers de petites exploitations s’est convertie en des élevages intensifs de poulets, cochons,… entassés par centaines dans des espaces restreints, en dehors de la nature, de la lumière naturelle, alimentés en fast food bourré d’antibiotiques, de probiotiques pour une croissance accélérée !
Nous n’y avons pas échappé, nos grandes métropoles de dizaines, centaines de milliers, voire de millions d’habitants en sont le reflet. Nous avons créé à l’insu de notre plein gré, un monde qui finit par ressembler aux idées en vogue issues de fantasmes hors-sol de technocrates.
Surpopulation vraiment ?
Je n’y crois pas sauf en quelques rares pays, comme la Hollande (Pays-Bas 429 hab./km2), ou l’Inde (428 hab./km2)
Elle serait plutôt mal répartie dans le monde :
la Chine c’est presque 10 millions de km2, 1 419 936 142 hab. 148 hab /km2,
le continent africain 30 millions de km2 (3 fois plus vaste), pour 1,216 milliard hab.(2016), 44 hab/km2,
la France 107 hab /km2,
le Canada, aussi grand que la Chine, 4,1 hab.km2,
les États-Unis, aussi grands que la Chine, 34 hab /km2.
Notre Planète Terre, trop petite ?
L’autonomie alimentaire pour un couple avec 12m² de potager ? c’est possible, voici comment
https://www.youtube.com/watch?v=40QUHm_YNTw
https://www.editions-ulmer.fr/editions-ulmer/le-guide-pratique-du-potager-en-carres-nvelle-ed-tout-pour-planifier-et-cultiver-909-cl.htm
Bonjour,
Merci d’avoir réfuté ce Fisman. Il est connu ds la météo que la modélisation n’offre qu’une probabilité et que dans la réalité on n’arrive pas au-delà de quelques jours…… N’en est-il pas de même au niveau contamination ?
Je voudrais juste que dans la réalité ce qu’on observe c’est qu’il y a une multiplication des contaminations de virus et divers et variés……. car malheureusement les injections ont provoqué une baisse immunitaire chez les vaccinés. Ceci crée d’autres problèmes comme les problèmes circulatoires et surtout les cancers et turbos-cancers. Le résultat est que plus un pays a vacciné plus la mortalité toutes causes confondues a augmenté (+ de 20 %). Voir le livre de Pierre Chaillot. Ouvrons les yeux c’est l’hécatombe.
Courage et prenons soin de notre santé et renforçons notre immunité.
« Il est connu ds la météo que la modélisation n’offre qu’une probabilité et que dans la réalité on n’arrive pas au-delà de quelques jours…… N’en est-il pas de même au niveau contamination ? »
Si l’objectif des modélisations des épidémies est de faire de la ,météo, c’est perdu d’avance ! Mais on peut avoir d’autres objectifs. L’un pouvant être de contraindre à préciser les hypothèses. Qu’elles soient réalistes ou pas cette contrainte intellectuelle pourrait être bénéfique pour la compréhension des processus généraux de propagation.
L’autre pouvant être d’apprécier l’effet sur l’épidémie d’un changement dans la valeur d’un paramètre.
Avec Fisman et d’autres on est dans une exploitation politique éhontée des modélisations dites mathématiques et qui tentent d’usurper à leur profit la réputation de rigueur attribuée à la discipline. Je le répète, indépendamment des fraudes de Fisman, son modèle n’est pas, de façon structurelle, un modèle mathématique.
Merci Mr Bernard, merci à tous, bien à vous,
Voudriez-vous, si vous avez le temps, lire l’article sur le Gardasil et ses composants douteux ? Grand Merci.
Tout comme dans les injections C19, des échantillons d’ADN génétiquement modifié inexpliqués ont été trouvés dans les injections HPV.
https://anamihalceamdphd.substack.com/p/giardasil-vaccine-microscopy-by-dr?utm_source=profile&utm_medium=reader2
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https://anamihalceamdphd.substack.com/p/septocaine-dental-anesthetic-mixed
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Ana Mihalcea – Les nanotechnologies dans l’agenda 2030
https://odysee.com/@justicecomingsoon204:c/anamariamilhaceaPartie1:6?src=embed
https://odysee.com/$/embed/@justicecomingsoon204:c/anamariamilhaceaPartie2:e
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Le Neurologue James Giordano de la DARPA US avertit sur le Contrôle Mental.
https://crowdbunker.com/v/nMpTF3rjhd
James Giordano, PhD, MPhil, est chef du programme d’études en neuroéthique, chercheur en résidence, dirige le sous-programme d’éthique médicale militaire et codirecteur du programme O’Neill-Pellegrino en science du cerveau et droit de la santé mondiale. et politique au Centre Pellegrino de bioéthique clinique ; et est professeur aux départements de neurologie et de biochimie du centre médical de l’université de Georgetown, Washington, DC, États-Unis. Il est également professeur invité émérite de sciences du cerveau, de promotion de la santé et d’éthique à l’Université des sciences appliquées de Coburg, à Coburg, en Allemagne, et était auparavant 2011-2012 Professeur invité de la Fondation JW Fulbright de neurosciences et de neuroéthique à l’Université Ludwig-Maximilians de Munich, Allemagne.
Le professeur Giordano est actuellement président du programme de neuroéthique du projet IEEE Brain et membre nommé du comité consultatif sur la neuroéthique, les questions juridiques et sociales (NELSI) de la Defense Advanced Research Projects’ Agency (DARPA). Il a auparavant été chercheur et chef de projet du sous-projet EU Human Brain Project sur la science du cerveau à double usage ; membre nommé du Conseil consultatif du secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis sur la protection des recherches sur les êtres humains (SACHRP) ; et en tant que conseiller scientifique principal de la branche d’évaluation stratégique multicouche de l’état-major interarmées du Pentagone.
Auteur de plus de 290 publications en neurosciences et neuroéthique, de 7 livres et de 15 livres blancs gouvernementaux sur la neurotechnologie, l’éthique et la biosécurité, il est rédacteur en chef de la revue internationale Philosophy, Ethics and Humanities in Medicine ; rédacteur adjoint du Cambridge Quarterly of Health Care Ethics ; et rédacteur en chef de Frontiers in Human Neuroscience.
Ses recherches en cours portent sur les bases neurobiologiques des troubles du spectre neuropsychiatrique ; et les questions neuroéthiques découlant du développement, de l’utilisation et de la mauvaise utilisation des techniques neuroscientifiques et des neurotechnologies dans la médecine, la vie publique, la santé mondiale et les applications militaires.
En reconnaissance de son travail, il a été élu membre de l’Académie européenne des sciences et des arts ; nommé Overseas Fellow de la Royal Society of Medicine (Royaume-Uni); a reçu le prix d’ancien élève exceptionnel de la City University de New York ; Il a reçu la médaille d’or de l’Université de Coburg pour ses réalisations remarquables et a reçu le prix allemand Klaus Reichert en médecine et en philosophie.
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Techniques hybrides d’apprentissage profond pour sécuriser les interfaces bioluminescentes dans l’Internet des objets bio-nano.
https://www.mdpi.com/1424-8220/23/21/8972
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Voilà ! Ce ne sont que quelques liens. Il y en aurait d’autres, mais trop d’infos tue l’info.
Un Vœu. Que les sceptiques prennent leur téléphone et contactent tous ceux qui observent autre chose dans les soupes mortelles. Parler, voir, en débattre ! C’est pourtant simple !
Certains égos se perdront !