L’AIMSIB remercie ici Réinfo-Covid de lui avoir prêté gratuitement pour la semaine son Dr Thomas Miramont, médecin expert-évaluateur auprès de la Commission Européenne, comme nous très intéressé par le sujet des vaccins anti-Covid-19. Emma Kahn et Vincent Reliquet se sont joints à lui afin d’évaluer la technologie vaccinale commune à ces deux vaccins, leurs avenirs respectifs et leurs dangers potentiels: le constat est lucide, donc sombre. Ce texte a été validé et approuvé par la Coordination Santé Libre, l’AIMSIB et Réinfo-Covid. En bonus un court article de leur cru soulignant un énorme mensonge de l’INSERM français, on n’est plus à ça près… Bonne lecture.   

Introduction

Ces deux produits innovants ont en commun d’avoir bénéficié parmi d’autres d’un développement industriel accéléré suite à la probable redéfinition des critères de pandémie réclamée par Bill Gates en Mars 2020 auprès de l’OMS et entérinés par elle les jours suivants s’agissant de la Covid-19 (1).

Une autorisation de mise sur le marché leur a été attribuée de manière conditionnelle compte tenu de l’absence alléguée de thérapeutique curative connue de la Covid-19, autorisant par là-même leurs développements commerciaux alors que leurs plans d’analyse de phase III ne sont toujours pas finalisés (2) .

De nombreux effets indésirables graves post vaccinaux (EIG) ayant surgi dans les suites immédiates de la mise sur le marché du ChAdOx1nCoV-19™ présenté par la firme AstraZeneca™, aujourd’hui rebaptisé Vaxzevria™, il semble nécessaire d’en comprendre certains des mécanismes, ainsi que les éventuelles analogies en termes d’effets indésirables post vaccinaux graves (EIG) qui pourrait frapper également la préparation Janssen™, dans la mesure où celle-ci partage les mêmes choix bio-technologiques innovants comparés aux vaccins classiques.

Particularité des vaccins à vecteur adénoviral

Ces deux produits admettent une similarité évidente en ce sens qu’ils sont tous les deux développés sur des bases d’adénovirus dits à « réplication incompétente », par le fait que leurs fabricants pensent avoir systématiquement ôté de leurs génomes la partie codant pour leurs virulences : ces virus seraient incapables de propager une infection chez le vacciné mais encore capables d’intégrer par transfection leurs matériels génétiques dans la cellule. Le gène d’une protéine Spike de SARS-CoV-2 a été intégré dans le génome de ces vecteurs viraux, ils sont donc capables d’exprimer cette protéine dans les cellules du vacciné (3).

Il ne fait donc aucun doute que ces présentations virales présentent absolument toutes les caractéristiques de fabrication propres à les inclure dans la liste des organismes dits génétiquement modifiés (OGM), ceci est d’ailleurs noté sur le RCP EMA du « nouveau » Vaxzevria™ et les référencements officiels de la Commission Européenne (4).

Ces vaccins ont néanmoins reçu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché européen bien que les études de biosécurité relatives à leur utilisation de masse chez l’Humain n’aient pas été finalisées, malgré les alertes et les plaintes de nombreuses associations européennes, médicales ou de simples patients ayant finalement mené à la suspension temporaire du vaccin Astra Zeneca dans de nombreux pays (5).

Vaxzevria™, anciennement dénommé ChAdOx1nCoV-19™, a été développé sur la base d’un adénovirus de chimpanzé, le vaccin anti-Covid-19 de Janssen™ à partir d’un analogue adénovirus humain également non répliquant (6).

Effets spontanés des adénovirus sur la lignée plaquettaire et la coagulation

Si les thrombopénies post-injection de vecteurs adénoviraux sont connues et répertoriées de longue date, leurs mécanismes physiopathologiques demeurent encore à ce jour largement inexpliqués.

Il a néanmoins été démontré depuis 2006 que la présence de ces virus peut spontanément induire une activation plaquettaire brutale et la formation d’agrégats de leucocytes et de plaquettes possiblement thrombosants et obstructifs dans la lumière de tous les vaisseaux, veineux comme artériels, de quelque calibre que soit (7).

Maladies thromboemboliques et thrombopénies post-vaccinales

On doit d’ailleurs se demander si l’action de fabriquer de la protéine Spike in situ ne serait pas directement responsable de la production de ces phénomènes thrombotiques (8), généralisés ou à distance (9), ce qui du coup pourrait intéresser l’ensemble des autres technologies vaccinales en présence.

Une seconde hypothèse reposerait sur une activation anormale du maillage neutrophile ou NET (Neutrophil Extracellular Traps), directement sous le contrôle de l’immunité cellulaire innée et susceptible d’entraîner un certain nombre de thromboses disséminées (10).

Il faut citer les conclusions du Pr. P.A. Holme, Médecin-chef à l’Hôpital de Riks, après qu’il ait procédé à l’autopsie des trois soignantes Norvégiennes décédées dans les suites d’une vaccination AstraZeneca™ :
« Nous proposons une théorie selon laquelle il s’agit d’une forte réponse immunitaire qui survient probablement après le vaccin. En collaboration avec des experts en la matière de l’hôpital universitaire de North Norway HF, nous avons trouvé des anticorps spécifiques contre les plaquettes sanguines qui peuvent provoquer ces réactions, et que nous connaissons par ailleurs en médecine : ces anticorps ont été associés à la prise d’autres médicaments. » (11)

De manière récente le collectif « Du côté de la Science » a publié un certain nombre de données relatives aux complications hématologiques directes pouvant être induites par une injection intraveineuse des 50 milliards d’adénovirus contenus dans une préparation AstraZeneca™, et propose une explication physiopathologique crédible à l’apparition de ces complications vasculaires. Le groupe conclut que « la survenue de thromboses graves pourrait être due à une injection intraveineuse accidentelle qui, en présence de facteurs non intégralement identifiés, engendrerait une réaction immunitaire discordante avec activation des plaquettes, potentiellement associée à un effet NET ou à une diminution du taux d’ACE2 à la surface des cellules endothéliales, conduisant à un sur-risque thrombotique ». (12)

Il est vrai que de manière tout-à-fait inexplicable la vérification du positionnement strictement intramusculaire de l’extrémité de l’aiguille vaccinale est interdite au vaccinateur bien que les préconisations présentées en première page stipulent également que ces injections ne doivent pas être effectuées par voie intra-vasculaire : (13)

 

Figure 1. Notice d’information du vaccin AstraZeneca™

Il est étonnant que la firme AstraZeneca™, préalablement à la commercialisation de ses produits, n’ait pas relevé cette anomalie flagrante d’administration.

On peut dès lors se demander également pour quelles raisons ces complications vasculaires parfois dramatiques n’ont pas été repérées lors des phases pré-commerciales du produit, on peut suspecter un effet dit « de changement d’échelle ». Il serait alors moins surprenant que ce phénomène soit largement observé après diffusion très large de ce produit auprès de la population européenne, la présence renforcée de femmes jeunes parmi les victimes pouvant s’expliquer également par un recours régulier aux contraceptions oestroprogestatives parmi cette classe de population, ou bien tout simplement parce que les soignants sont en majorité des femmes jeunes.

S’agissant du vaccin Covid-19 Janssen™, alors que son autorisation conditionnelle de mise sur le marché européen vient d’intervenir (14), le rapport de la FDA américaine (équivalent de l’agence du médicament européenne, EMA) ne fait aucun mystère de l’existence d’un sur-risque d’embolies et de thromboses chez les vaccinés.

C’est si vrai que cet organisme appelle dès à présent à une vigilance accrue de tous les organismes de surveillance autour de ces phénomènes au moment de la diffusion du produit auprès du grand public (15).

Un certain nombre d’anomalies majeures dans le plan d’analyse Johnson&Johnson™, dévoilé par la FDA, tend à laisser imaginer en plus que le tirage au sort des groupes vaccin/placebo a été largement biaisé. Il y a plus d’exclusion pour cause de décès dans le groupe placebo que dans le groupe vacciné : dans le groupe placebo 11 décès contre 1 chez les vaccinés soit 11 fois plus : il devrait y en avoir autant dans chaque groupe, si ces décès sont indépendants de la Covid. De plus, d’après la FDA, les données manquent pour 210 sujets et n’ont été corrigées que pour 44 autres.

On peut donc supposer que les effets indésirables post-vaccinaux graves du vaccin Covid-19 Janssen™ pourraient se compter en proportion bien supérieure à celle présentée par l’industriel dans le plan d’analyse pré-commercial présenté aux régulateurs. La FDA recommande déjà de surveiller les thromboses en phase de commercialisation ainsi que les convulsions et les désordres vestibulaires (pour ces trois effets indésirables (EI), la balance est déséquilibrée en défaveur de la sécurité du vaccin). Des radiculites brachiales sont reliées au vaccin selon ce même document officiel de la FDA et possiblement des Guillain Barré et des péricardites.

Retrait fugace de ChAdOx1nCoV-19™ du marché européen

On rappelle que courant Mars 2021 l’Autriche puis l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, le Danemark, l’Italie, la Norvège, l’Islande, l’Allemagne et la France ont signalé séparément un certain nombre d’EI gravissimes de type thromboemboliques et/ou thrombopéniques dans les suites des vaccinations par ce produit. La thèse du « bruit de fond épidémiologique » n’ayant pas convaincu toutes les autorités de santé souveraines, l’Agence Médicale Européenne a suspendu toute utilisation du produit le 16 Mars 2021 pour l’autoriser à nouveau à destination des sujets âgés de plus de 55 ans quelques jours plus tard, arguant du fait que « la balance bénéfice sur risque de cette vaccination demeurait toujours en faveur de la poursuite de la campagne vaccinale  » (16).

La base de données officielles européennes ADRreport.eu (Adverse Events Reports) rassemblant les effets indésirables des différents vaccins met en exergue de façon claire les thromboses ainsi qu’un nombre inexpliqué de morts soudaines tout à fait troublantes, quasiment absentes notamment du vaccin contre la grippe classique (17). Les effets indésirables graves notifiés pour AstraZeneca™.représentent près de 62% du total des EIG (18).

On notera enfin un seul cas de thrombose rapporté dans toute l’Union Européenne en 2020 pour le vaccin contre la grippe (Split Virion) contre déjà 515 pour AstraZeneca™ en 3 mois, dont la grande majorité chez des patients entre 18 et 64 ans (Tableau 1), ce niveau d’alerte légitimant les actions de retraits de certains pays du vaccin AstraZeneca™.

 

Tableau 1. Comparaison vaccin Covid-19 AstraZenecaTM et vaccin grippe classique issue de la base ADRreports.eu

Il s’agit donc bien d’une reconnaissance pleine et entière de la responsabilité du produit dans la survenue de ces pathologies, que l’Agence évalue comme des dommages collatéraux inévitables.

L’EMA, sans surprise, a rendu à nouveau ce vaccin à son destin industriel, arguant du peu de dégâts majeurs pour la santé des populations car l’Agence a souhaité s’arrêter aux seuls rares décès imputables dûment répertoriés.

On rappelle que l’EMA est dirigée depuis Novembre 2020 par Madame Emer Cooke, Irlandaise, auparavant cadre dans l’Association Européenne des groupes pharmaceutiques auprès de l’Union Européenne à Bruxelles, poste extraordinairement dépendant des industriels du médicament (19).

Toxicité réelle de ChAdOx1nCoV-19™, l’exemple anglais

L’argument de l’absence de pathologie de ce type au Royaume-Uni, malgré le nombre très élevé de vaccins effectués, ne tient pas une seconde face à l’analyse objective des résultats officiels pourtant en libre accès pour le grand public. Dans un document officiel baptisé « COVID-19© vaccine AstraZeneca analysis print » en date du 21/03/2021, sur près de 80 pages, il est pourtant déjà décompté, en 3 mois : (20)

  • 4.566 troubles oculaires, dont 59 cécités (p.10),
  • 3.768 troubles cardiaques de tous types (p.4),
  • 81.702 désordres neurologiques et auditifs (p.54),
  • 10.643 anomalies respiratoires (p.70)
  • 20.370 troubles cutanés (p.74), …/…

… Pour un total arrêté au 21 Mars 2021 de 377.487 EIG et 421 décès.

On rappelle que le MHRA anglais fonctionne comme toutes les agences européennes de pharmacovigilance, sur le mode le plus désuet et inopérant qui soit consistant à recueillir les signalements des EIG de manière passive, en colligeant seulement les informations volontairement signalées par les acteurs de terrain. Selon M. Georget de telles collectes de données sous-évaluent l’ensemble des EIG de 90 à 99% (21), fait pleinement corroboré par D. Floret en 2010 (22).

Recueil des EIG post-vaccinaux, stratégie passive ou active

Il faut se souvenir qu’une campagne de collecte active d’EIG a eu lieu dans les Pouilles suite à une vaccination infantile RORV (rougeole-oreillons-rubéole-varicelle) et que celle-ci n’a pas démontré une sous-notification de 99%, mais de près de 400% : (23)

Tableau 2. Données de surveillance proactive et passive sur la vaccination infantile RORV dans les Pouilles (Italie)

La réflexion autour de la gravité des EIG signalés et pris en compte par les autorités Européennes ne peut être éludée, il s’agit bien d’une volonté concertée de tous les États  de ne pas vouloir prendre en compte la réalité objective des dégâts réels subis par la population du fait de ces produits vaccinaux parce que les industriels en cause ont pris la main sur l’ensemble des administrations sanitaires, leur communication, leurs médias et tous les réseaux sociaux disponibles en Europe de l’Ouest.

Il est par exemple absolument consternant qu’en France la Présidente du Réseau Français des Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV), le Dr A.P. Jonville-Béra, réclame que « l’on ne déclare pas tous les effets indésirables constatés lors de ces vaccinations » (24), la déclaration des EI suspectés étant pourtant obligatoire en France.

Quelles indications thérapeutiques pour AstraZeneca ™ et COVID-19 Janssen™ ?

Selon l’EMA et compte tenu des dispositions arrêtées par elle par suite du processus de réévaluation de la sécurité du produit commercialisé par la firme AstraZeneca™, Vaxzevria™ se voit cantonné désormais à la vaccination des européens de plus de 55 ans ou 60 ans selon les pays, quels que soient le sexe et les antécédents thromboemboliques éventuels, ce qui constitue un non-sens absolu en termes de sécurité d’utilisation mais qui abandonne encore un secteur commercial confortable à l’industriel.

On se souvient évidemment de ce qu’écrivait Vidal.fr en date du 15/12/2020 : (25)

Ainsi selon le dossier d’autorisation conditionnelle de l’EMA, pour Vaxzevria™ :
L’efficacité n’est pas démontrée chez les plus de 55 ans.
L’efficacité contre les formes de Covid sévères et les hospitalisations ne sont pas démontrée.
La durée de la protection est inconnue,
– L’efficacité contre les infections asymptomatiques et chez les sujets séropositifs n’est pas démontrée.
– Les données de phase clinique III actuellement en cours ne permettent pas de conclure chez les patients avec comorbidités, ni chez ceux atteints de maladies auto-immunes.
– Enfin, l’efficacité sur les variants circulants et à venir demeure absolument inconnue.

Perspectives vaccinales européennes anti-Covid à la fin du printemps 2021 :

L’Europe se retrouvera donc bientôt à la tête de millions de doses de vaccins anti-Covid-19 à vecteur adénoviral qui n’ont pas été testés correctement chez les sujets de plus de 55 ans et qui ne devraient plus être utilisés chez les moins de 50 ans.

On doit s’attendre hélas à un effet d’aubaine au moment de l’apparition du vaccin Covid-19 Janssen™ et du coup à sa distribution à travers toutes les catégories de population, jeunes ou plus âgées. Dans la mesure où la biotechnologie employée est identique et où en plus, dès sa phase préindustrielle, des processus thromboemboliques et thrombopéniques sévères ont déjà été abondamment enregistrés avec ce produit, à l’inverse de ce que son concurrent n’avait pas signalé, nul doute que de très nombreux EIG analogues verront le jour dans tous les pays en même temps dans les semaines qui suivront sa mise sur le marché, probablement de manière accrue chez les femmes jeunes, fumeuses et consommatrices de préparations oestroprogestatives.

Conclusion

Sans même aborder le caractère encore sanitairement licite d’une utilisation en 2021 de vaccins élaborés sur des bases arrêtées en 2019, donc déjà obsolètes dans certains pays en fonction de la diffusion des variants résistants, il semble que la technologie employée ici, à vecteur adénoviral OGM, comporte un risque majeur d’EIG parfaitement incontrôlé qu’il n’est pas judicieux d’évaluer à l’aune des seuls décès imputés tant leurs signalements sont évidemment non fiables.

De même, faire l’impasse sur la profusion d’accidents thromboemboliques non létaux (embolies pulmonaires, cécité, surdité, etc…) ne peut autoriser une pérennisation de tels produits sur le marché compte tenu de la minceur insigne du service médical rendu auprès des populations encore ciblées par le produit.

Compte tenu de ce qui précède et de l’effet de classe thérapeutique liant ces deux vaccins, il semble nécessaire d’interdire également la vaccin anti-Covid-19 Janssen™ chez les moins de 50 ans et de revoir drastiquement les modes d’injection préconisés par les autorités administratives actuelles. Il faut noter aussi que ces deux vaccins sont industriellement si proches qu’ils sont fabriqués aux USA dans la même usine et que 15 millions de doses ont dû être mises en quarantaine suite au mélange accidentel des ingrédients de ces deux vaccins (27).

Il persiste à ce jour de nombreux pays (Suisse, Afrique du Sud, USA…) qui n’ont pas choisi de prendre le pari de commercialiser les vaccins AstraZeneca™sur leurs sols.

Les principes fondamentaux de la pharmacovigilance induisant la plus grande prudence vis-à-vis de nouvelles technologies, ici des vaccins OGM, les décisions des autorités compétentes (ANSM en France) devraient se trouver en corrélation directe avec la gravité et l’occurrence élevées des effets indésirables graves, malheureusement déjà constatés.

Emma Kahn
Dr Thomas Miramont
Dr Vincent Reliquet
Avril 2021

Addenda du 13/04/2021, il semble que l’on ait pas eu beaucoup à attendre pour que nos prévisions concernant le potentiel  pathogène du vaccin JJ se confirme, ici :

Breaking: U.S. Pauses Johnson & Johnson Vaccine, Citing ‘Rare’ Blood Clots

 

 

Bonus

Consultez l’article en version PDF

 

Notes et sources:
(1) https://youtu.be/BrHVeHGgg2Y
(2) https://reinfocovid.fr/science/vaccin-covid-astra-zeneca-chadox1-s/
(3) Pinschewer, Daniel D. « Virally vectored vaccine delivery: medical needs, mechanisms, advantages and challenges. » Swiss medical weekly 147, no. 3132 (2017).
(4) https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/covid-19-vaccine-astrazeneca-product-information-approved-chmp-29-january-2021-pending-endorsement_en.pdf
(5) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/carte-covid-19-quels-pays-deurope-ont-suspendu-le-vaccin-d-astrazeneca_4335303.html
(6) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/666-janssen-covid-19-vaccine
(7) https://ashpublications.org/blood/article/106/11/222/137661/Adenovirus-Induced-Thrombocytopenia-The-Role-of-P
(8) Lettre ouverte urgente de médecins et de scientifiques à l’Agence européenne des médicaments concernant les problèmes de sécurité du vaccin COVID-19, https://doctors4covidethics.medium.com/urgent-open-letter-from-doctors-and-scientists-to-the-european-medicines-agency-regarding-covid-19-f6e17c311595
(9) SARS-CoV-2 Spike Protein Elicits Cell Signaling in Human Host Cells: Implications for Possible Consequences of COVID-19 Vaccines, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7827936/
(10) McGonagle D, O’Donnell JS, Sharif K, Emery P, Bridgewood C. Immune mechanisms of pulmonary intravascular coagulopathy in COVID-19 pneumonia. Lancet Rheumatol 2020;2:e437–45. https://doi.org/10.1016/S2665-9913(20)30121-1.
(11) https://www.vg.no/nyheter/innenriks/i/QmwR1V/professor-om-mistenkte-vaksinebivirkninger-aarsaken-er-funnet
(12) Eric Billy E, Franck Clarot F, Corinne Depagne C, Stéphane Korsia-Meffre S, Michaël Rochoy M, Florian Zores F, « Évènements thrombotiques après le vaccin AstraZeneca : et si c’était lié a une réponse immunitaire discordante ? » https://ducotedelascience.org/evenements-thrombotiques-apres-le-vaccin-astrazeneca-et-si-cetait-lie-a-une-reponse-immunitaire-discordante/
(13) « Covid-19 vaccine AstraZeneca©, préparation et modalité d’injection du vaccin » https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_a3_-_astrazeneca.pdf
(14) https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/covid-19-vaccine-janssen-epar-product-information_fr.pdf
(15) https://www.fda.gov/media/146217/download
(16) European Medicines Agency. COVID-19 Vaccine AstraZeneca: benefits still outweigh the risks despite possible link to rare blood clots with low platelets. Eur Med Agency 2021. https://www.ema.europa.eu/en/news/covid-19-vaccine-astrazeneca-benefits-still-outweigh-risks-despite-possible-link-rare-blood-clots
(17) http://www.adrreports.eu/fr/
(18) https://dap.ema.europa.eu/analytics/saw.dll?PortalPages
(19) … « C’est comme si on donnait la direction de la police à Al Capone, Le ministère des droits de l’Homme à Pol Pot ou la protection de l’enfance à Marc Dutroux ». Dr. Olivier Soulier, https://www.lessymboles.com/?wysija-page=1&controller=email&action=view&email_id=389&wysijap=subscriptions&user_id=16334
(20) https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/975786/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print.pdf
(21) Georget M.,  » Vaccinations, les vérités indésirables », Dangles éd.
(22) Daniel Floret, ancien président du Comité Technique des Vaccinations, https://www.aimsib.org/2019/05/12/vaccynisme-et-realite/
(23) https://www.comilva.org/sites/default/files/2020-07/Sorveglianza%20degli%20eventi%20avversi%20a%20vaccino%20in%20Puglia%20Report%202013-2017.pdf
(24) https://www.larevuedupraticien.fr/article/vaccins-covid-il-ne-faut-pas-declarer-tous-les-effets-indesirables?utm_medium=gms_RDP&utm_source=email&utm_campaign=Actus+01%2F04%2F2120210401&emst=Zi3Z30DdI3_3_3582910_3#xtor=EREC-1-[NL_Actu]-20210401
(25) https://www.aimsib.org/2021/02/07/vaccination-anti-covid-19-etat-des-lieux/
(26) https://www.vidal.fr/actualites/26364-va 
(27) https://www.nytimes.com/2021/03/31/world/johnson-and-johnson-vaccine-mixup.html 

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