Bonjour
Une lettre d’infos à la mise en forme assez sommaire (faute de temps!)
Bonne pioche!

MÉDIAS
Faux groupes facebook
Faux groupes facebook À SIGNALER!
FAUX groupe « officiel de soutien à Louis Fouché »
https://www.facebook.com/groups/390993735671216
FAUX Reinfocovid
https://www.facebook.com/ReinfoCOVID19

https://youtu.be/v45LrNN9J84
Pr Raoult, IHU Marseille
Ce n’est pas toujours facile d’avoir raison !

6 juillet 2021
Protection du vaccin avant le variant indien était de 80% contre l’infection mais ne protégeait pas des formes graves
Maintenant, avec le variant indien, le vaccin protège moins (la vague en Angleterre est dus au variant anglais).
À l’IHU la moitié des cas dus au variant indien se trouvés chez chez les vaccinés
Les femmes de moins de 50 ans ne doivent pas être vaccinées avec Astra Zeneca : risque de caillots
Beaucoup de troubles du rythme avec le Remdesivir et pas avec Hydroxychloroquine
Risque de myocardite avec Pfizer chez les jeunes, troubles du rythme également avec ce vaccin
Personnes de plus de 65 ans et/ou avec comorbidités devraient être vaccinées ainsi que personnel de soin exposé (même si ça ne diminue le risque que de 50 à 60%).
Il faut soigner tout d’abord, le vaccin vient en complément.
Pr Raoult pense que le vaccin anti-rougeole est en passe d’éradiquer la maladie!

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/100721/ces-menaces-environnementales-que-la-panique-du-covid-nous-masque
Ces menaces environnementales que la panique du Covid nous masque 10 juil. 2021
Pr Jean-François Toussaint
Alors que les épidémiologistes proches du pouvoir politique continuent d’effrayer, de culpabiliser la population et de sacrifier la jeunesse, l’épidémie installe son rythme saisonnier. Notre incapacité à nous adapter à la nature de cette épidémie masque par ailleurs des risques environnementaux majeurs qui se rapprochent toujours plus, en raison de notre dramatique inaction.

https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/12/le-top-des-vaccins-contre-le-sars-cov-2-est-sorti-precipitez-vous/
Le top des vaccins contre le Sars-Cov-2 est sorti. Enfin ! Il s’agit d’un vaccin à base de virus atténué, qui a toutes les qualités, plus que les vaccins actuellement proposés.
C’est le variant delta qui donne un simple rhume et confère une immunité naturelle !

https://www.facebook.com/Vecumedia/videos/212738487283407
Rencontre et réunion avec Reinfocovid 13

Mardi 13 juillet 2021

Hélène Banoun

MALADIE COVID
Presque 5 fois plus de Covid non diagnostiqués que de cas diagnostiqués. Cette étude s’arrête en juillet 2020, depuis un an ce % a certainement beaucoup augmenté!
Ce taux est plus important chez les jeunes et les femmes plus susceptibles de faire des formes asymptomatiques
https://stm.sciencemag.org/content/13/601/eabh3826
Undiagnosed SARS-CoV-2 seropositivity during the first 6 months of the COVID-19 pandemic in the United States
These data indicate that there were 4.8 undiagnosed SARS-CoV-2 infections for every diagnosed case of COVID-19, and an estimated 16.8 million infections were undiagnosed by mid-July 2020 in the United States.

Obésité en france
On sait que l’obésité est un des principaux facteurs de risque de la Covid-19
Il faudrait en parler !
https://liguecontrelobesite.org/actualite/forte-progression-de-lobesite-en-france-en-2020/
En 2021, 17% de la population française est atteinte d’obésité et 2 % présente une obésité massive (IMC supérieur ou égale à 35). Si les femmes sont toujours plus touchées que les hommes c’est auprès de ces derniers que les progressions sont les plus marquées notamment concernant l’obésité massive : 1,8 % vs 0,6 % en 2012).
On notera que c’est chez les plus jeunes que la part de personnes en situation d’obésité a le plus progressé depuis 2012 (+ 3,6 points depuis 2012)

Les enfants bénéficient d’une meilleure protection au niveau de la barrière mucosale
https://doi.org/10.1172/jci.insight.148694.
Natural mucosal barriers and COVID-19 in children
Les résultats cliniques, les copies virales du SRAS-CoV-2 et l’expression des gènes cellulaires ont été comparés dans les écouvillons nasopharyngés obtenus au moment de la présentation au service des urgences de 12 enfants et 27 adultes à l’aide du séquençage de l’ARN en vrac et de la PCR quantitative par transcription inverse. Les protéines totales, les cytokines et les IgG et IgA anti-SARS-CoV-2 ont été quantifiées dans les sécrétions nasales.
RÉSULTATS. Les copies du SRAS-CoV-2, l’expression des gènes de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 et du TMPRSS2 étaient similaires chez les enfants et les adultes, mais les enfants présentaient une expression plus élevée des gènes associés à la signalisation IFN, au NLRP3 de l’ammasome et à d’autres voies innées. Des niveaux plus élevés de protéines IFN-α2, IFN-γ, IP-10, IL-8 et IL-1β ont été détectés dans les sécrétions nasales des enfants par rapport aux adultes. Les enfants ont également exprimé des niveaux plus élevés de gènes associés aux cellules immunitaires, alors que l’expression de ceux associés aux cellules épithéliales n’a pas divergé chez les enfants par rapport aux adultes. Les IgA et IgG anti-SARS-CoV-2 ont été détectées à des niveaux similaires dans les sécrétions nasales des deux groupes. Aucun des enfants n’a eu besoin d’oxygène supplémentaire, alors que c’était le cas de 7 adultes (P = 0,03) ; 4 adultes sont décédés.
CONCLUSION. Ces résultats fournissent des preuves directes d’une réponse immunitaire muqueuse précoce plus vigoureuse chez les enfants que chez les adultes et suggèrent que cela contribue à des résultats cliniques favorables.

PCR et tests antigéniques
https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-lab-testing-2021.1-eng
Recommandations pour les stratégies nationales de dépistage du SRAS-CoV-2 et les capacités de diagnostic

Des tests de diagnostic rapides et précis sont un outil essentiel pour prévenir et contrôler la propagation du COVID-19. Le présent document décrit les recommandations relatives aux stratégies nationales de dépistage et à l’utilisation de la PCR et des tests antigéniques rapides dans différents scénarios de transmission de l’épidémie de COVID-19, y compris la manière dont le dépistage pourrait être rationalisé dans les milieux à faibles ressources. Tous les tests doivent être suivis d’une réponse de santé publique forte, comprenant l’isolement des personnes dont le test est positif et la fourniture de soins, la recherche des contacts et la mise en quarantaine des contacts.

Le dépistage généralisé des personnes asymptomatiques n’est pas une stratégie actuellement recommandée en raison des coûts importants qui y sont associés et du manque de données sur son efficacité opérationnelle.

Toutes les personnes répondant à la définition de cas suspect pour COVID-19 doivent être testées pour le SRAS-CoV-2, quel que soit leur statut vaccinal ou leurs antécédents de maladie.

Le dépistage des personnes asymptomatiques au moyen du TAAN ou de l’Ag-RDT n’est actuellement recommandé que pour des groupes spécifiques, notamment les contacts des cas confirmés ou probables de COVID-19 et les groupes fréquemment exposés, comme les travailleurs de la santé et les travailleurs des établissements de soins de longue durée.

On dispose actuellement de peu de données sur la mesure dans laquelle les personnes partiellement ou totalement vaccinées ou les personnes précédemment infectées peuvent contribuer à la transmission. En outre, il existe un risque permanent d’échappement au vaccin et de réinfection dû à des variantes du SRAS-CoV-2 dont les propriétés immunogènes sont modifiées.

VIRUS

EVOLUTION DU VIRUS-VARIANTS
Apparition des variants
https://www.gov.uk/government/publications/sage-93-minutes-coronavirus-covid-19-response-7-july-2021/sage-93-minutes-coronavirus-covid-19-response-7-july-2021
Comité SAGE du gouvernement Britannique
Il existe quatre risques majeurs associés à un nombre élevé d’infections. Il s’agit de l’augmentation du nombre d’hospitalisations et de décès, de l’augmentation du nombre de « Long-COVID », de l’absence de personnel (y compris dans le NHS) et du risque accru d’émergence de nouveaux variants. La combinaison d’une prévalence élevée et de niveaux élevés de vaccination crée les conditions dans lesquelles un variant d’échappement immunitaire a le plus de chances d’émerger.
La probabilité que cela se produise est inconnue, mais un tel variant présenterait un risque important tant au Royaume-Uni qu’au niveau international.

Diffusion du virus par les lignes de métro à New York en mars 2020
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.03.21259973v1
The combined evidence points to the initial citywide dissemination of SARS-CoV-2 via a subway-based network, followed by percolation of new infections within local hotspots

Congrès de virologie et développement vaccinal
https://youtu.be/HL6TwTm9nYk
2021 Global webinar on Virology and Vaccine Development (Covid-19), June 22-23, 2021
Banoun Hélène
Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system Litterature review Litterature review
https://www.researchgate.net/publication/352788610_2021_Global_webinar_on_Virologye_and_Vaccine_Development_Covid-19_June_22-23_2021_Evolution_of_SARS-CoV-2_review_of_mutations_role_of_the_host_immune_system_Litterature_review_Litterature_review

Eradication impossible : enfin un peu de raison dans les propos officiels !
https://www.jim.fr/medecin/jimplus/tribune/e-docs/leradication_du_sars_cov_2_est_impossiblecomme_pour_toutes_les_zoonoses_infectieuses_188299/document_edito.phtml
L’éradication du SARS-CoV-2 est impossible…comme pour toutes les zoonoses infectieuses
Une maladie dont le réservoir est animal avec une possibilité de transmission à l’homme est donc définie comme une « zoonose infectieuse »: elle ne peut être éradiquée, même si l’on dispose de moyens de lutte très efficace pour traiter et/ou protéger les humains.
Zoonoses infectieuses.
La chauve-souris est le réservoir naturel de nombreux virus comme par exemple des coronavirus, des souches du virus de la grippe A, du virus Ebola, du virus West Nile, des virus Nipah et Hendra, du virus de Marburg. Les chauves-souris s’échangent le virus entre elles et, par leurs déjections, contaminent l’environnement. Des « hôtes intermédiaires » (singes, antilopes, rongeurs dans le cas du virus Ebola) peuvent être infectés et transmettre le virus à l’Homme.
Dans le cas des coronavirus, différents « hôtes intermédiaires» ont été incriminés. Dans la Covid 19 (Severe Acute Respiratory Syndrome CoronaVirus 2), le pangolin puis le vison ont été suspectés ; dans le cas du SRAS-CoV-1 (syndrome respiratoire aigu sévère), c’est la civette palmiste qui fait le relais entre la chauve-souris et l’Homme ; pour le MERS-CoV (Middle East respiratory syndrome CoronaVirus), c’est le dromadaire (camélidés).
Dans la borréliose de Lyme (maladie de Lyme), répandue en France, le réservoir est constitué par de très nombreux animaux dont des rongeurs et cervidés. Le relais entre l’homme et l’animal se fait par l’intermédiaire d’une tique (Ixodes ricinus) qui demande des biotopes humides et frais (forêts)
Nous possédons en particulier avec les vaccins ARN messagers d’une arme très efficace. Malgré ceci, en supposant que « le monde entier » soit vacciné, le virus continuerait à circuler dans son réservoir animal et pourrait donc réémerger en cas de relâchement ou d’inefficacité (variant) de la vaccination.
L’éradication est donc impossible. Par contre la stratégie de vaccination telle qu’elle est mise en œuvre aujourd’hui permet de diminuer la circulation du virus à un niveau « acceptable » pour minimiser le nombre de cas de maladies et le nombre de décès et éviter une surcharge des services médicaux et hospitaliers ; c’est la stratégie qui est déjà utilisée dans la grippe saisonnière, en ciblant les personnes à risque (personnes âgées, comorbidités).

Evolution virus
Un preprint vient de sortir sur les délétions dans le génome des variants récents du SARS-Cov-2, les auteurs proposent que la réduction de taille du génome procure un avantage réplicatif au virus.
Ceci venant s’ajouter à l’avantage sélectif propre à chaque combinaison de délétions et mutations ponctuelles : augmentation de la transmissibilité et évasion immune
https://www.researchgate.net/publication/353019042_Increased_frequency_of_recurrent_in-frame_deletions_in_new_expanding_lineages_of_SARS_CoV-2_reflects_immune_selective_pressure

La fréquence accrue des délétions récurrentes in-frame dans les nouvelles lignées en expansion du CoV-2 du SRAS reflète la pression sélective immunitaire

Cela suggère que différentes combinaisons d’IFD dans les RDR NSP6 et spike- pourraient jouer un rôle dans la transmissibilité plus élevée, l’infection prolongée et l’échappement immunitaire dans les COV récents

remarque personnelle sur évolution virus
À mon avis on ne peut pas comparer la pathogénicité de 2 variants qui n’apparaissent pas à la même saison
Les variants de l’été sont peut-être moins pathogènes à cause du shift du système immunitaire qui est moins pro-inflammatoire en été.
Ce shift doit avoir un rapport (encore difficile à expliquer pour moi) avec l’émergence – et surtout la diffusion- de ces variants bénins entre mai et octobre

Rapport UK sur le variant delta 9juillet 2021
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1001009/Variants_of_Concern_VOC_Technical_Briefing_18.pdf
Les données confirment celles du précédent rapport du 25 juin
Variant delta = 99% des isolats, prédomine depuis la mi-mai
Les nouveaux variants sont de moins en moins dangereux (avec la restriction qu’on ne compare pas des saisons équivalentes, voir remarque ci-dessus)
CFR variant alpha : 1,9%, delta : 0,2%
La vaccination protège mal des formes graves : 50% des porteurs du variant delta > 50 ans décédés sont vaccinés à 2 doses.
5,6% des non vaccinés porteurs du variant sont décédés
1,6% de vaccinés porteurs du variant sont décédés
2,21% des vaccinés 2 doses porteurs du variant sont décédés : 2 doses protègent moins qu’une dose ?
Réduction relative du risque de décès avec vaccin = 4%

delta, cas totaux : 123620 dont 12404 >50ans dont 1267 non vaccinés et 9885 vaccinés (1 ou 2 doses)
dont <50 ans : 111008, dont 40 344 vaccinés : 36% des contaminés au variant delta sont vaccinés
Décès avec variant delta : 257 total
dont 26 <50 ans (dont 21 non vaccinés et 5 vaccinés à 1 ou 2 doses) 231 >50ans dont 68% sont vaccinés (158) (1 dose ou 2 doses) dont 116 sont vaccinés avec 2 doses = 50% des décès

Politique vaccinale
Forum Economique Mondial

3 tactiques pour surmonter les hésitations concernant le vaccin COVID-19

Se servir des prédicateurs, des médecins, corrompre les ONG, jouer sur les sentiments plutôt que la réflexion, proposer des compensations financières
https://www.weforum.org/agenda/2021/06/3-tactics-to-overcome-covid-19-vaccine-hesitancy/
Selon les experts en marketing, les responsables de la santé publique pourraient utiliser la théorie de la publicité pour obtenir une immunité de groupe contre le COVID-19.
Les efforts déployés jusqu’à présent pour encourager les vaccinations se sont concentrés sur la distribution, mais en s’attaquant à la façon dont les gens pensent et ressentent le vaccin, on pourrait convaincre les sceptiques de se faire vacciner.
Les dirigeants communautaires et les agents de santé locaux peuvent jouer un rôle clé dans la lutte contre la peur et la désinformation liées à la vaccination, tandis que les incitations des États, des villes et des employeurs pourraient aider les sceptiques à franchir la porte des centres de vaccination locaux.
On estime que 60 à 70 % de la population mondiale doit être vaccinée contre le COVID-19 pour obtenir une immunité collective. Cela fait de la lutte contre l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 le plus grand défi de communication marketing de notre vie.

Les Etats-Unis sont en train de passer « d’un problème d’offre à un problème de demande », comme l’a fait remarquer plus tôt cette année le Dr David Kessler, responsable scientifique du groupe de travail du gouvernement américain sur la réponse au COVID-19. Les recherches indiquent que d’autres pays, dont l’Australie, la France, la Russie, l’Afrique du Sud, le Japon et l’Allemagne, seront confrontés à des problèmes de demande similaires une fois que leurs problèmes de production et de distribution de vaccins auront été résolus.

Il n’y a tout simplement pas assez de solutions centrées sur le patient pour répondre à l’hésitation, à la procrastination et au rejet des vaccins. Notre recherche se concentre sur la création et la mise en œuvre de telles solutions pour informer, persuader et convaincre les segments de clientèle d’agir, et nous pensons que ce type d’approche pourrait également stimuler les efforts de communication du vaccin COVID-19.

Des solutions centrées sur le patient pour lutter contre l’hésitation à se faire vacciner

Le processus de décision des clients – ou dans ce cas des patients – est souvent compris à l’aide du cadre de la hiérarchie des effets. Il suggère que les clients pensent d’abord, puis ressentent et enfin agissent. En ce qui concerne le vaccin COVID-19, cela implique que les patients doivent d’abord « y penser », c’est-à-dire prendre conscience de l’existence du vaccin et en être informés. Ensuite, les patients doivent avoir un « sentiment » positif à son sujet, c’est-à-dire développer la conviction de se faire vacciner. Enfin, les patients doivent « passer à l’acte », c’est-à-dire se faire vacciner.

La plupart des décideurs ont mis l’accent sur l’étape « faire » en se concentrant sur la distribution et la commodité via une combinaison de sites de vaccination de masse, d’hôpitaux, de médecins et de pharmacies. Cette approche est logique pour la population désireuse de se faire vacciner. En revanche, pour les populations qui remettent à plus tard, hésitent ou rejettent le vaccin, nous devons nous concentrer sur les étapes de la prise de décision que sont la réflexion et le ressenti. Sans ces étapes, les patients ont peu de chances de passer à l’étape de l’action.

Une approche différente de la communication avec les sceptiques des vaccins vise à réduire la procrastination et le rejet.

À l’aide d’exemples tirés des États-Unis – un pays actuellement confronté à un problème de demande de vaccins plus important que l’offre – nous avons élaboré trois recommandations sur la meilleure façon d’utiliser cette théorie pour éradiquer l’hésitation à se faire vacciner.

1. Améliorer les connaissances et vaincre la désinformation

Tout d’abord, nous devons nous concentrer sur la phase de « réflexion » en nous demandant pourquoi les gens hésitent, tergiversent et rejettent le vaccin. Les recherches montrent qu’une raison majeure est que ces patients sont susceptibles de croire que le processus d’invention et d’approbation du vaccin a été précipité, avec des effets secondaires sous-déclarés. Pour remédier à ce problème, les responsables locaux peuvent prendre l’initiative de sensibiliser les sceptiques par le biais de médias tels que les appels téléphoniques, le courrier direct, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques.

Une paroisse rurale de l’État américain de Louisiane, par exemple, a demandé à des prédicateurs afro-américains et à des dirigeants locaux de téléphoner directement aux membres de leur communauté. Cela a conduit à une augmentation de 9 % du taux de vaccination de la paroisse en une semaine.

Dans ses publicités pour les vaccins, l’État de l’Iowa met en scène une membre actuelle du Congrès qui est également un médecin expérimenté. Cette approche séduit souvent les préférences pour entendre des leaders de leur propre parti politique ayant une expertise médicale, tout en leur permettant de prendre des décisions personnelles sans pression.

Surmonter l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 est le plus grand défi de communication marketing de notre vie.

Des approches plus affirmées sont également nécessaires pour vaincre la désinformation sur les vaccins, en particulier sur les médias sociaux. Des recherches antérieures montrent que le fait que des sources médicales réfutent directement des affirmations inexactes en ligne est particulièrement efficace. Des formations et des financements sont nécessaires pour aider les organisations médicales, de santé publique et à but non lucratif à répondre activement à la désinformation par des preuves scientifiques.

2. Agir sur les sentiments

La population qui hésite à se faire vacciner a développé des sentiments forts à l’encontre du vaccin, de sorte que l’utilisation de sources d’information auxquelles ces personnes font confiance pourrait améliorer leurs sentiments à l’égard du vaccin. Les recherches indiquent que les personnes hésitantes font confiance aux prestataires de soins médicaux, aux dirigeants politiques et religieux pour leur fournir des connaissances fondées sur la « réflexion » concernant les décisions médicales, mais qu’elles sont plus susceptibles de compter sur leur communauté pour leur fournir des convictions fondées sur le « sentiment » ou l’émotion.

Une infirmière de Louisiane a déployé une tactique particulièrement efficace. Elle a appelé ses patients hésitants à se faire vacciner pour leur raconter comment elle avait été sceptique à l’égard des vaccins, mais avait changé d’avis après le décès de son mari dû au COVID-19.

Dans l’État américain de l’Oregon, les tribus amérindiennes ont enregistré des taux de vaccination relativement élevés. Parmi les initiatives lancées par ces communautés pour encourager les vaccinations, les Tribus confédérées des Indiens Siletz ont eu recours à des appels téléphoniques directs, à des discussions et à des applications de médias sociaux pour inciter leurs familles et leurs amis à se faire vacciner.

Une autre façon d’améliorer les sentiments des sceptiques de la vaccination est de jouer sur la peur de manquer (FOMO), tant sur le plan social qu’économique.

3. Faciliter l’action

Les sites de vaccination de masse sont essentiels pour faciliter le passage à l’acte des patients qui souhaitent se faire vacciner. Cependant, pour atteindre les personnes qui hésitent à se faire vacciner, il faut des tactiques proactives.

Tout d’abord, les incitations peuvent être efficaces. Plusieurs États et villes des États-Unis offrent des primes en espèces et des transports gratuits, ou organisent des loteries et de grandes fêtes de quartier pour inciter à la vaccination. Les entreprises devraient également être encouragées à contribuer en offrant des congés payés, des produits gratuits et des lots de loterie.

Une autre tactique utile consiste à rendre la vaccination plus pratique. Dans le monde des affaires, on appelle cela « aller vers son marché » ou, dans le cas présent, « amener le vaccin aux patients ». Par exemple, le Primary Health Network en Pennsylvanie, aux États-Unis, a créé une unité de santé mobile pour proposer des cliniques pop-up dans les zones rurales et mal desservies où les populations hésitant à se faire vacciner sont plus nombreuses. Le Southwest Health System, dans le Colorado, a créé des « équipes d’intervention pour la vaccination » afin d’atteindre les établissements de soins de longue durée et les résidents confinés à domicile qui ont des difficultés à se rendre sur les sites de vaccination de masse. Ces approches permettent de créer des sites de micro-vaccination proactifs adaptés aux personnes qui hésitent à se faire vacciner, à celles qui remettent à plus tard et à celles qui refusent de se faire vacciner, contrairement aux sites de vaccination de masse destinés aux personnes désireuses de se faire vacciner.

Nous pensons que l’application de l’approche « penser – ressentir – faire » centrée sur le patient au problème de communication du vaccin COVID-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale. Garantir une réouverture et une reprise économique sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourrait dépendre de telles tactiques.

Devant le refus des potentiels visiteurs de présenter un pass sanitaire, celui-ci n’est plus obligatoire à la Foire de Tours
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/enieme-revirement-a-la-foire-de-tours-plus-de-pass-sanitaire-apres-la-fronde-des-exposants-1625245105
Enième revirement à la Foire de Tours : plus de pass sanitaire après la fronde des exposants

https://healthpolicy-watch.news/who-lambasts-pfizer-moderna-rich-countries-for-planning-covid-vaccine-boosters-while-billion-wait-for-first-jab/
L’OMS dénonce la cupidité des fabricants de vaccins qui veulent imposer une 3ème dose dans les pays riches : pas de preuve scientifique de son utilité, malgré déclin immunité vaccinale avec le temps (comme pour d’autres vaccins).
Pays beaucoup vaccinés connaissent augmentation des cas , de cas graves et des décès (Seychelles, Mongolie, Indonésie)
Sinovac., dans une étude sur quelque dix millions de personnes au Chili ayant reçu le vaccin, a été montré très efficace contre la maladie grave et le décès – bien que moins efficace (66 %) contre l’infection symptomatique. Efficace à 87 % contre l’hospitalisation, à 90 % contre les maladies graves et à 86,3 % contre les décès.

L’OMS reproche à Pfizer, Moderna et aux pays riches de prévoir des  » rappels  » du vaccin COVID, alors que des milliards de personnes attendent le premier direct.
Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a critiqué les plans de Pfizer et Moderna, ainsi que d’une poignée de pays riches, qui prévoient de commencer à offrir des vaccins COVID de rappel à certains groupes de personnes. Il a déclaré que le monde a évolué vers un système de vaccination « dangereux » à deux vitesses, motivé par la cupidité plutôt que par un intérêt personnel éclairé.

Déclarant que « le monde entier a été pris en otage par le virus », il a affirmé que ces politiques à courte vue « prolongent le drame des otages ».

« L’intérêt personnel éclairé » devrait amener les pays à conclure qu’il serait plus prudent de veiller à ce que les groupes à haut risque dans le monde soient vaccinés le plus rapidement possible, a-t-il ajouté. « Mais je suis désolé de dire que si la solidarité ne fonctionne pas [comme motivation], alors il n’y a qu’un seul mot qui puisse l’expliquer, et c’est la cupidité. »

Ann Lindstrand, de l’OMS, qui dirige le Programme essentiel de vaccination (PEV) de l’Agence, a déclaré aux journalistes qu’à ce jour, « nous n’avons pas de preuves systématiques qui pourraient nous indiquer la nécessité de doses de rappel. »

Tout en reconnaissant qu’il y a un déclin de l’immunité stimulée par le vaccin au fil du temps « comme c’est le cas avec de nombreux vaccins différents », elle a déclaré qu’un cycle complet de tout vaccin approuvé par l’OMS offre une bonne protection :

Dans ces trois pays, la décision politique a été en partie motivée par la crainte que ces vaccins ne soient pas suffisamment puissants pour écarter les nouvelles variantes, et notamment la puissante variante Delta, détectée pour la première fois en Inde. Les vaccins chinois, en particulier, basés sur des technologies plus anciennes qui utilisent des coronavirus inactivés pour stimuler l’immunité, ont fait l’objet d’une attention accrue récemment après une vague de cas graves et même de décès dans certains pays comme les Seychelles, l’Indonésie et la Mongolie qui comptaient beaucoup sur ces vaccins.

Israël, qui est confronté à une nouvelle vague d’infections par le COVID malgré une couverture vaccinale de 60 %, a déjà décidé d’administrer des rappels aux personnes immunodéprimées qui n’ont peut-être pas été suffisamment protégées par les deux premières séries de vaccins Pfizer ou Moderna – avant même que la FDA américaine ne prenne une décision sur le rappel proposé par Pfizer.

Pour réfuter les affirmations de Pfizer, Mme Swaminathan a reconnu que si « nous avons constaté dans certains pays une augmentation des infections », il n’y a eu jusqu’à présent « aucune augmentation significative des hospitalisations ou des décès ».

L’OMS, a-t-elle ajouté, « fera des recommandations sur les rappels lorsque nous penserons qu’ils sont nécessaires. Et cela doit être fondé sur la science et les données, et non sur des entreprises individuelles déclarant que leurs vaccins doivent être administrés en tant que dose de rappel. »

Comme preuve d’efficacité, elle a cité une étude récente publiée dans le New England Journal of Medicine sur l’administration massive du vaccin Sinovac. L’étude, qui a suivi quelque dix millions de personnes au Chili ayant reçu le vaccin, a montré que le vaccin était très efficace contre la maladie grave et le décès – bien que moins efficace (66 %) contre l’infection symptomatique.

« L’étude a été réalisée avec un très bon modèle statistique et des données qui ont montré que le Sinovac était efficace à 87 % contre l’hospitalisation, à 90 % contre les maladies graves et à 86,3 % contre les décès. L’efficacité est donc très élevée, en particulier contre les formes graves de la maladie… elle est donc conforme à ce que nous attendions », a déclaré le scientifique en chef de l’OMS.

VACCINS
https://www.statnews.com/2021/07/12/covid-19-decline-preceded-vaccines-still-need-jabs-finish-the-job/
Le déclin du Covid-19 a précédé les vaccins. Mais nous avons besoin de vaccins pour finir le travail
Pour la tuberculose, scarlatine, influenzae, pneumonie, diphtérie, coqueluche, rougeole, variole, typhoïde et polio, la nouvelle thérapie ou le nouveau vaccin qui a permis de vaincre la maladie a été introduit bien après le déclin de la maladie.
Alors que les infections à coronavirus diminuent aux États-Unis, il semble approprié de célébrer le triomphe des vaccins sur les virus. Mais quelle part du mérite revient aux vaccins ? Moins que ce à quoi on pourrait s’attendre.
Ne vous méprenez pas : je crois aux vaccins. Je me suis fait vacciner dès que j’ai pu le faire et je soutiens à 100% l’objectif de faire vacciner tous les habitants de la planète. Cependant, d’autres facteurs entrent en jeu dans la lutte contre une pandémie.
Suivant les modèles des pandémies précédentes, la chute précipitée des nouveaux cas de Covid-19 a commencé bien avant qu’un nombre significatif de personnes aient été vaccinées.
Il y a près de 50 ans, les sociologues médicaux John et Sonja McKinlay ont examiné les taux de mortalité liés à 10 maladies graves : tuberculose, scarlatine, influenzae, pneumonie, diphtérie, coqueluche, rougeole, variole, typhoïde et polio. Dans chaque cas, la nouvelle thérapie ou le nouveau vaccin qui a permis de vaincre la maladie a été introduit bien après le déclin de la maladie. Plus récemment, l’historien Thomas McKeown a noté que les décès dus à la bronchite, à la pneumonie et à la grippe avaient commencé à diminuer rapidement 35 ans avant l’introduction des nouveaux médicaments qui étaient censés les vaincre.
Ces analyses historiques sont pertinentes pour la pandémie actuelle.
Les nouveaux cas de Covid-19 ont atteint un pic au début du mois de janvier 2021. Depuis, les cas ont reculé, passant de plus de 300 000 par jour le 8 janvier à environ 55 000 le 21 février. Les vaccins ont reçu une première autorisation d’utilisation d’urgence vers la fin du mois de décembre 2020. Le 21 février, seuls 5,9 % des Américains avaient reçu deux vaccins, mais le nombre de nouveaux cas avait diminué de 82 %.
Certes, les vaccins contre le coronavirus constituent un accomplissement remarquable. Mais même un vaccin efficace à 95 % ne peut s’attribuer tous les mérites s’il est introduit alors que l’épidémie recule naturellement. Le choix du moment est essentiel.
Il existe deux façons de développer une immunité : l’infection naturelle et la vaccination. La meilleure explication de la baisse des taux de Covid-19 semble être les infections antérieures, qui varient considérablement d’un État à l’autre.
Les personnes ayant reçu un diagnostic confirmé de Covid-19 ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Bien que les estimations varient, l’étude la plus récente des National Institutes of Health suggère qu’environ cinq personnes ont été infectées par le SRAS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19, pour chaque personne ayant un cas confirmé. En multipliant les cas connus par cinq, on obtient une estimation approximative du nombre de personnes qui ont pu être infectées. J’ai effectué un calcul simple de ce que j’appelle le taux d’immunité naturelle en divisant mon estimation du nombre de personnes naturellement infectées par le SRAS-CoV-2 par la population de l’État.
À la mi-février 2021, on estime que 150 millions de personnes aux États-Unis (30 millions fois cinq) pourraient avoir été infectées par le SRAS-CoV-2. En avril, j’ai estimé que le taux d’immunité naturelle était supérieur à 55 % dans 10 États : Arizona, Iowa, Nebraska, Dakota du Nord, Oklahoma, Rhode Island, Dakota du Sud, Tennessee, Utah et Wisconsin. À l’autre extrémité du continuum, j’ai estimé que le taux d’immunité naturelle était inférieur à 35 % dans le district de Columbia, à Hawaï, dans le Maine, au Maryland, au New Hampshire, dans l’Oregon, à Porto Rico, au Vermont, en Virginie et à Washington.

Défaut dans les essais cliniques
Conception et analyse des études d’excrétion pour les produits de thérapie génique et oncolytiques à base de virus ou de bactéries : ces recommandations n’ont pas été respectées pour les vaccins OGN anti-Covid
Voici le lien mentionné ci-dessous concernant la conception et l’analyse des études d’excrétion pour les produits de thérapie génique et oncolytiques à base de virus ou de bactéries. Design and Analysis of Shedding Studies for Virus or Bacteria-Based Gene Therapy and Oncolytic Products | FDA.
Ce guide de l’industrie de 2015 « contient des recommandations non contraignantes » pour l’industrie concernant le développement de produits de thérapie génique et de produits oncolytiques (virus traitant le cancer) à base de virus ou de bactéries.
Le guide 2015 de la FDA stipule à la page 3 : « Des études d’excrétion doivent être menées pour chaque VBGT [thérapie génique à base de virus ou de bactéries] ou produit oncolytique afin de fournir des informations sur la probabilité de transmission à des individus non traités, car les données historiques seules peuvent ne pas être prédictives du profil d’excrétion. Les données sur l’excrétion peuvent être utilisées pour évaluer les mesures de prévention de la transmission. Les données sur l’excrétion recueillies au cours du développement du produit doivent fournir une compréhension claire et complète du profil d’excrétion des VBGT ou des produits oncolytiques dans la ou les populations de patients cibles. Notez qu’il peut être approprié de décrire ces données dans la notice d’accompagnement d’une demande de licence biologique (BLA) approuvée. Afin d’éclairer la conception des études d’excrétion chez l’humain, des données sur l’excrétion peuvent être recueillies chez les animaux après l’administration du VBGT ou du produit oncolytique. Ces données peuvent aider à estimer la probabilité et le profil d’excrétion potentiel chez l’homme, en particulier lorsqu’on craint une transmission à des personnes non traitées. Cependant, ces données ne peuvent pas remplacer les études d’excrétion chez l’homme pour plusieurs raisons. Par exemple, un VBGT ou un produit oncolytique peut être dérivé d’une souche spécifique à l’homme ; par conséquent, les animaux peuvent ne pas prédire de manière adéquate le profil d’excrétion chez l’homme…. »
Cette étude de 2015 met en lumière les orientations possibles de la collecte de données relatives à l’excrétion, à partir d’études animales et humaines.

Essai clinique CoronaVac : vaccin à virus inactivé chinois
Efficacy and safety of an inactivated whole-virion SARS-CoV-2 vaccine (CoronaVac): interim results of a double-blind, randomised, placebo-controlled, phase 3 trial in Turkey
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)01429-X/fulltext
8 juillet 2021
essai peu fiable : peu de participants (6646 vaccinés), réalisé en Turquie.
Vaccin à virus entier inactivé adjuvanté en aluminium (0,45mg/ml ; dose de 0,5ml), cultivé sur cellules Vero, inactivé par beta-propriolactone,. On lit aussi : excipient est 0,3 à 0,6 mg/ml d’aluminium hydroxyde(?!)
Testé contre placebo contenant l’adjuvant aluminium : ce n’est pas un vrai placebo.
Les participants du groupe placebo sont vaccinés dès que sont atteints les 40 cas de Covid dans l’essai : pas de groupe placebo à moyen terme.
Avant administration de la seconde dose, 0,9% des participants du groupe vaccinés ont été infectés et 1,2% du groupe placebo : pas d’ADE si les chiffres sont fiables ?
14j après dose 2 : 12 Covids chez vacc contre 38 chez placebo
Les investigateurs ont eu du mal à recruter les participants (principalement ce sont des HCW)
Il y a eu changement de protocole en cours d’essai : démasquage dès 41 cas, les gpes placebo et vaccinés ne sont pas équivalents en nombre
Moyenne d’âge = 45 ans, seulement 15% d’obèses, les comorbidités ne sont pas connues pour tous les participants
Le taux d’attaque global de la Covid symptomatique est de 1,5%, il n’y a eu aucun décès et très peu d’hospitalisations : impossible connaître la protection due au vaccin sur formes graves et décès.
Réduction risque absolu d’attraper la Covid j après la dose 2 : 0,9% (placebo) -0,14% (vaccinés) = 0,76%

4 groupe vacciné exclus pour EI après dose 1 et 2 exclus pour EI grave : 6 au total contre 1 groupe placebo ; ne sont donc pas comptabilisés au final.
Il y a plus d’EI dans gpe vacc que placebo
6 EI grave chez vacc dont 2 reliés au vaccin (réaction allergique systémique et convulsions 43 j après vaccin , pour cet EI on découvre ensuite un gliome infiltrant et on exclus le vaccin de la responsabilité!) et 5 chez placebo
Dans l’appendice supplémentaire on lit page 13
1 réaction allergique systémique, 1 encéphalite, 1 convulsion, 1 kyste ovarien dans le gpe vaccin.

Immunogénicité : 89,7% seulement des vaccinés montent des anticorps anti-RBD et 4,4% des groupe placebo ! Pourquoi ?? Les sérologies effectuées ne sont pas quantitatives !

Efficacité sur Covid symptomatiques confirmés par PCR : pas connue sur la transmission
Essai en période de variant alpha (B.1.1.7, « anglais »), on ne connaît pas l’efficacité sur les autres variants. Des études montrent baisse efficacité sur les nouveaux variants .
https://scitechdaily.com/coronavac-covid-19-vaccine-is-less-effective-against-the-p-1-brazil-variant/
CoronaVac is one of the main vaccines in Brazil’s national immunization program
A new study presented at this year’s European Congress of Clinical Microbiology & Infectious Diseases (ECCMID) and published in The Lancet Microbe, shows that antibodies generated by CoronaVac, an inactivated COVID-19 vaccine, work less well against the P.1 Brazil (Gamma) variant

https://youtu.be/IbIsH7N1KkU
Bénéfices et risques de la vaccination Covid, 30 juin 2021
Carole Cassagne, IHU Marseille

Pas de corrélation entre vaccination et évolution de l’épidémie
Dans certains pays la courbe des décès suit la courbe des vaccinations
Le modèle épidémiologique SIR est invalide pour modéliser les épidémies
Variant delta pas plus dangereux mais même moins sévère

Etude sur bénéfice risques fait par auteurs ayant lien intérêts avec industrie
Basée sur registre néerlandais le + fiable : car disparité déclaration EI dans base européenne selon les pays d’un facteur 47 !!
4 décès dus au vaccin et 16 EI graves pour 100 000 vaccinations : on doit les accepter pour sauver la vie de 2 à 11 personnes pour 100 000 vaccination
il faut entre 9 000 et 50 000 personnes vaccinées pour éviter un décès dû à Covid

Effets indésirables
http://impfnebenwirkungen.net/report.pdf
Rapport allemand du 2 juillet 2021
Même sans parler allemand c’est intéressant
Classement par vaccin, par âge, par type d’EI, par sévérité, mention des décès, groupes par âge et type d’EI, comparaison du report des EI entre bases nationales et EMA. Fait bien ressortir l’excès d’EI dans la classe d’âge 18-64 ans

Efficacité

Apparition d’une infection par le SRAS-CoV-2 dans un établissement de soins de longue durée après la vaccination par l’ARNm COVID-19 BNT162b2
Martin Martinot, Stéphane Carnein, Christian Kempf, Pierre Gantner, Floriane Gallais, Samira Fafi-Kremer
https://www.researchgate.net/publication/353085752_Outbreak_of_SARS-CoV-2_infection_in_a_long-term_care_facility_after_COVID-19_BNT162b2_mRNA_vaccination

Notre étude confirme l’effet protecteur du vaccin mais souligne que les personnes âgées, bien que vaccinées et présentant un taux élevé d’anticorps anti-spike sont plus à risque d’infection par le SRAS-CoV-2. Dans notre cohorte, l’efficacité du vaccin (68 %) semble inférieure au taux de 95 %. précédemment rapportée par Polack
L’effet protecteur du vaccin est mis en évidence par le fait qu’aucun des résidents vaccinés n’a développé de COVID-19 sévère alors que c’était le cas pour trois résidents non- entièrement vaccinés. Mais 1 décès chez non vacciné et 1 décès (mort subite) chez vacciné.

https://www.timesofisrael.com/ministry-data-said-to-show-pfizer-shot-blocks-majority-of-serious-delta-cases/
Israël cas graves
Les données du ministère montreraient que le vaccin Pfizer bloque la majorité des cas graves de Delta
Si la plupart des personnes susceptibles de faire des Covid graves sont vaccinées comment savoir si c’est le vaccin qui les protège ou si c’st le variant qui est moins sévère ?
Les chiffres indiqueraient que le vaccin est moins efficace contre la contagion de la variante, mais que le nombre d’hospitalisations reste faible ; les responsables ont déclaré qu’ils pondéraient l’utilisation de Moderna pour la deuxième dose pour les plus de 18 ans.
Le vaccin COVID de Pfizer-BioNTech semble largement prévenir les hospitalisations et les cas graves, mais il est nettement moins efficace pour empêcher la propagation de la variante Delta du coronavirus.https://doi.org/10.1016/j.cmi.2021.06.038
De nouveaux chiffres du ministère de la Santé, rapportés par le site d’information Ynet, indiquent qu’au cours du mois dernier, le vaccin, qui a été utilisé pour la quasi-totalité des Israéliens vaccinés, n’a été efficace qu’à 64 % pour prévenir l’infection par le coronavirus. Les données indiqueraient qu’en mai, lorsque la souche était moins répandue, le vaccin était efficace à 94,3 %.

Israël : transmission par les vaccinés
https://www.morgenpost.de/vermischtes/article232700219/corona-israel-impfung-delta-party-ansteckung.html
Des dizaines d’étudiants ont été infectés par la Corona lors d’une fête à Tel Aviv. La chaîne d’infection inquiète beaucoup les autorités.
Berlin.
Malgré un taux de vaccination élevé, des dizaines de personnes ont été infectées par le virus Corona en Israël – à cause d’un étudiant.
La chaîne d’infection inquiète les autorités, car plusieurs personnes vaccinées ont été impliquées dans la transmission simultanée de la maladie.
Avec 2 455 cas actifs d’infection, le nombre de cas en Israël était dimanche le plus élevé depuis début avril.
Une épidémie de Corona chez des écoliers après une fête à Tel Aviv inquiète les autorités sanitaires en Israël. La chaîne de télévision Channel 12 rapporte qu’au moins 83 jeunes ont attrapé le virus lors de la fête – tous par le même camarade de classe. Ce qui est le plus troublant dans cette affaire, c’est la chaîne d’infection qui a conduit à l’épidémie.
Selon le Times of Israel, le jeune homme qui a propagé le virus lors de la fête avait été vacciné. Il l’avait à son tour contracté auprès d’un parent qui avait également été vacciné, et ce parent l’avait contracté auprès d’une personne qui avait également été vaccinée et qui se trouvait récemment à Londres. On ignore quelle variante du coronavirus est en cause. Plus récemment, la variante Delta a accéléré l’incidence de l’infection en Israël.

Politique vaccinale

Indemnisation impossible aux USA ?
https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-vaccine-injury-no-compensation-program/
Les données les plus récentes du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention ont fait état d’un total de 387 087 rapports d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 6 113 décès et 31 240 blessures graves entre le 14 décembre 2020 et le 18 juin 2021.
Altom Maglio affirme que son cabinet d’avocats, Maglio Christopher & Toale, a traité plus de plaintes pour blessures liées aux vaccins au cours des cinq dernières années que tout autre cabinet d’avocats aux États-Unis.

Maglio a déclaré à Reuters que son cabinet basé en Floride a été contacté par au moins quelques centaines de personnes au sujet de blessures suspectées liées aux vaccins COVID, notamment des caillots sanguins et des inflammations cardiaques.
Selon une tribune de Jenna Greene dans Reuters, ce n’est pas que le cabinet de Maglio ne veuille pas aider. Représenter des personnes qui ont eu des réactions indésirables graves à des vaccins contre le tétanos, la rougeole, l’hépatite, la grippe et une douzaine d’autres vaccins est son « pain et son beurre ».

Mais le système actuel de traitement des réclamations liées au COVID est différent de celui des autres vaccins – et pas de manière positive. Si vous avez subi un préjudice lié aux vaccins Pfizer, Moderna ou Johnson & Johnson (J&J), vous n’avez pas de chance.

Il n’y a que deux programmes aux États-Unis qui aident les personnes ayant des réactions aux vaccins, mais un seul d’entre eux accepte les demandes liées aux vaccins COVID – le Countermeasures Injury Compensation Program (CICP) – et il n’accorde presque jamais d’argent, indique le site Web de Maglio.

Renée Gentry, directrice de la Vaccine Injury Litigation Clinic de la George Washington University Law School, a déclaré que les demandeurs de vaccins COVID ont deux droits : « Vous avez le droit de déposer une plainte », a-t-elle dit. « Et vous avez le droit de perdre ».

Un rappel pour les immunodéprimés?
https://www.cnbc.com/2021/06/23/covid-vaccine-cdc-group-says-there-isnt-enough-data-yet-to-recommend-booster-shots.html
Le comité consultatif des CDC a déclaré qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour recommander des injections de rappel, alors que Pfizer rassure les investisseurs en leur disant que les rappels seront nécessaires longtemps après la fin de la pandémie, dans le but de sécuriser son flux de revenus de plusieurs milliards de dollars.

Les experts du CDC ne recommandent pas d’injection de rappel (troisième dose) en population générale mais ils la recommandent chez les résidents d’établissements de soins de longue durée, les personnes âgées, le personnel soignant et les personnes immunodéprimées pourraient avoir besoin d’une injection de rappel plus tôt.
Ils se fondent sur une étude récente menée par des chercheurs de l’université Johns Hopkins et publiée dans les Annals of Internal Medicine a montré que les injections de rappel peuvent être bénéfiques pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli.
https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/L21-0282
(Innocuité et immunogénicité d’une troisième dose de vaccin contre le SRAS-CoV-2 chez les receveurs de greffes d’organes solides : Une série de cas
Mais cette injection de rappel a été associée à un rejet de greffe chez l’une des patientes : « Une transplantée cardiaque a subi un rejet médié par les anticorps, prouvé par biopsie, 7 jours après sa troisième dose de vaccin, dans le cadre d’une surcharge volumique aiguë »)
Des chercheurs français ont réagi à cette étude : ils ont eux mêmes mesuré l’impact d’une injection de rappel chez des immuno-déprimés séronégatifs après 2 doses.
Ils ont observé un faible taux de séroconversion de 31,1 %, une médiane de 32 jours après la troisième dose.
Au total, 26,5% des patients ont signalé des effets secondaires légers à modérés.
Leurs données renforcent l’inquiétude quant à l’immunogénicité du vaccin ARNm dans cette population et suggèrent que le transplanté pourrait rester à haut risque de maladie COVID-19 même après trois doses de BNT162b2.

https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/lettre-ouverte-vaccins-contre-la-covid.html
LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 et agressions des personnes « non-vaccinées ». Réponse au Ministre des solidarités et de la santé : proposition d’un face-à-face télévisé en direct
Par Amine Umlil, pharmacien hospitalier
Les personnes « vaccinées » n’ont pas besoin des personnes « non-vaccinées » pour se contaminer entre elles.
À quoi sert donc un vaccin qui ne procure pas une protection individuelle suffisante et durable ; et qui n’empêche pas la transmission virale notamment ?

Variants et Vaccins

Publié juillet 2021
Rapport UK 25 juin le vaccin ne protège pas du décès associé au variant delta de la Covid
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/997418/Variants_of_Concern_VOC_Technical_Briefing_17.pdf
Variant Delta entre 1 février et 21 juin 2021
Visites aux urgences
92 029 cas de variant, dont 82 458 <50ans, 9571>50ans : touche les jeunes
non vacc : 52846 <50 ans, 976 > 50 ans
vacc 2 doses : 3689<50 ans ; 3546>50 ans
90% des personnes de plus de 50 ans infectées par le variant delta sont vaccinées !
Décès : <50 ans = 8 dont 6 non vacc et 2 >21j après dose 1
> 50 ans = 109 dont 38 non vaccinés, 50 vacc 2 doses, 2 >21j après dose 1, 3 non liés : 109-38 = reste 71 vaccinés (65% des décédés du variant Delta > 50 ans sont vaccinés)

Le variant delta est logiquement plus contagieux et induit des charges virales plus importantes que les précédents variants. Il représente 95% des virus séquencé entre le 7 et 21 juin 2021 au RU
La contamination se fait principalement au sein des foyers domestiques
Il est moins sévère (0,1% de CFR contre 1,9% pour le variant alpha)
Réinfection par le virus : depuis avril 2021 35 HCW ont été réinfectés au RU (sur 44 546 au RU), 80% avaient reçu leur 2de dose depuis plus de 14j)
Depuis avril 21, il y a eu 10 réinfections en Angleterre dont 9 chez des vaccinés à + 14j après 2de dose (90%)
Le vaccin ne protège pas des réinfections et les favorise

Je compte comme vaccinés ceux qui ont reçu une ou deux doses car c’est bien ça qui compte en période épidémique; si on ne considère que les vaccinés à 2 doses on dit alors que les décès des vaccinés 1 dose sont à compter en « pertes et profits »!

Parmi les personnes chez qui on a trouvé du variant delta ( au total 92 029 dont 82 458 de <50 ans et 9571 de > 50 ans):
Total vaccinés (1 ou 2 doses) = 27 192 (30% des porteurs du delta sont vaccinés)
Vacc <50 ans = 19 693 (24% des porteurs delta de < 50 ans sont vaccinés) Vacc > 50 ans = 7499 (78% des porteurs de > 50 ans du variant delta sont vaccinés)

Décès chez porteurs du variant Delta et vaccinés (à 1 ou 2 doses)
114 décès au total (vacc et non vacc)
70 décès chez vaccinés et 44 chez non vaccinés

Décès chez moins de 50 ans
2 chez <50 ans vacc = 0,0024% des porteurs vaccinés sont décédés,
6 chez non vaccinés < 50 ans = 0,0073% des porteurs non vaccinés sont décédés Les chiffres sont très petits : y a-t-il vraiment un risque plus élevé pour les moins de 50 ans non vaccinés de décéder du variant (au avec le variant) delta ? Décès chez plus de 50 ans 68 chez vaccinés > 50 ans = 0,71% des >50 ans porteurs du delta et vaccinés sont décédés
38 chez > 50 ans non vaccinés = 0,40% des > 50 ans porteurs du variant delta sont non vaccinés
Le risque de décès chez les vaccinés (1 ou 2 doses) est donc supérieurs chez les porteurs du variant delta vaccinés de plus de 50 ans

CDC breakthrough (échecs vaccinaux)
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7021e3.htm
A total of 10,262 SARS-CoV-2 vaccine breakthrough infections had been reported from 46 U.S. states and territories as of April 30, 2021
As of April 30, 2021, approximately 101 million persons in the United States had been fully vaccinated against COVID-19
donc 0,01% de covid post vaccinaux

À partir du 1er mai 2021, seuls les covid post vaccinaux hospitalisés ou décédés sont comptabilisés
Le CDC comptabilise le % de personnes asymptomatiques parmi ces breakthrough, contrairement au comptage des personnes non vaccinées !
https://www.cdc.gov/vaccines/covid-19/health-departments/breakthrough-cases.html
As of June 21, 2021, more than 150 million people in the United States had been fully vaccinated against COVID-19.
During the same time, CDC received reports from 47 U.S. states and territories of 4,115 patients with COVID-19 vaccine breakthrough infection who were hospitalized or died.

Female
2,001
(49%)
People aged ≥65 years
3,124
(76%)
Asymptomatic infections
750
(18%)
Hospitalizations*
3,907
(95%)
Deaths†
750
(18%)
*1,004 (26%) of 3,907 hospitalizations reported as asymptomatic or not related to COVID-19.
†142 (19%) of 750 fatal cases reported as asymptomatic or not related to COVID-19.

EFFETS INDÉSIRABLES
https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-07-12/vaccin-johnson-johnson/risque-accru-de-developper-le-syndrome-de-guillain-barre-selon-la-fda.php
(Washington) L’Agence américaine du médicament a mis en garde lundi contre un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain-Barré, une rare atteinte neurologique, associé avec le vaccin contre la COVID-19 de Johnson & Johnson.
Les autorités sanitaires américaines ont identifié 100 cas rapportés de personnes ayant développé le syndrome de Guillain-Barré, sur près de 12,5 millions de doses administrées de ce vaccin.
Sur ces 100 cas, 95 étaient graves et ont requis une hospitalisation. Une personne est morte.
« Les chances que cela se produise sont très basses et le taux de cas rapportés ne dépasse le taux de base dans la population générale que d’une faible marge », a néanmoins affirmé lundi soir l’entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson dans un communiqué.
Le syndrome de Guillain-Barré est une atteinte des nerfs périphériques caractérisée par une faiblesse voire une paralysie progressive, débutant le plus souvent au niveau des jambes et remontant parfois jusqu’à atteindre les muscles de la respiration puis les nerfs de la tête et du cou.
Cette maladie affecte entre 3000 et 6000 personnes chaque année aux États-Unis.
Dans son avertissement, l’Agence américaine du médicament (FDA) indique que chez la plupart des individus, les symptômes débutent dans les 42 jours suivant l’administration du vaccin.
Les personnes ayant reçu ce sérum (sic!) doivent consulter d’urgence un médecin en cas de difficultés à marcher, avaler ou mâcher ainsi qu’en cas de problèmes d’élocution, vision double, incapacité à bouger les yeux notamment.

https://www.reinfosante.ch/wp-content/uploads/2021/07/Effets-secondaires-Vaccins-Covid-19-Reinfo.pdf
Réinfo Santé Suisse International
www.reinfosante.ch
LES EFFETS INDÉSIRABLES DE LA VACCINATION COVID-19
Une synthèse basée sur les données de pharmacovigilance mondiales
ADRreports Yellowcard scheme Swissmedic
30 JUIN 2021

Myocardites
https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2781601

Le ministère de la Défense confirme que l’inflammation cardiaque est liée aux vaccins COVID dans une étude portant sur des militaires américains
Dans une étude publiée le 29 juin dans JAMA Cardiology, les chercheurs ont décrit 23 cas de myocardite chez des militaires en bonne santé qui ont développé l’affection dans les quatre jours suivant l’administration des vaccins COVID de Pfizer ou Moderna.

Une nouvelle étude sur les membres des services américains a révélé des taux d’inflammation cardiaque plus élevés que prévu après l’administration du vaccin COVID. Selon les chercheurs du ministère de la Défense, cette découverte devrait attirer l’attention sur cette affection, connue sous le nom de myocardite, en tant qu’effet secondaire potentiel des vaccinations.

Dans une étude publiée le 29 juin dans JAMA Cardiology, des médecins militaires américains ont décrit 23 cas de myocardite chez des hommes auparavant en bonne santé qui ont développé cette affection dans les quatre jours suivant la réception d’un vaccin COVID.

Au total, 23 patients de sexe masculin (22 actuellement en service dans l’armée et 1 retraité), dont la fourchette d’âge médiane était de 25 ans, ont été évalués entre janvier et avril 2021 pour des douleurs thoraciques aiguës survenues après la vaccination avec un vaccin COVID à ARNm.

Tous les militaires étaient auparavant en bonne santé et avaient une bonne condition physique. Ils étaient en bonne forme physique selon les normes militaires et n’avaient pas d’antécédents connus de maladie cardiaque, de facteurs de risque cardiaque importants ou d’exposition à des agents cardiotoxiques.

Sept militaires ont reçu le vaccin COVID de Pfizer et 16 ont reçu le vaccin Moderna. Chaque patient a reçu un diagnostic final de myocardite sans étiologie infectieuse, ischémique ou auto-immune identifiée. Les diagnostics ont été examinés et répondaient aux critères de définition de cas des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) pour une myocardite probable.

Tous les patients ont présenté des douleurs thoraciques aiguës et des taux de troponine cardiaque significativement élevés (de 10 à 400 fois supérieurs aux limites supérieures de leurs plages de référence respectives), les symptômes étant apparus dans les 12 à 96 heures suivant la vaccination par COVID.

Selon l’étude, les médecins s’attendaient à trouver huit cas de myocardite ou moins parmi les 436 000 militaires masculins ayant reçu deux doses d’ARNm. Mais 20 militaires ont développé une inflammation après leur deuxième dose, dont 14 après l’injection de Moderna et six après celle de Pfizer. Trois ont développé une myocardite après leur premier vaccin.

Les symptômes cardiaques se sont résorbés dans la semaine suivant leur apparition chez 16 patients, mais sept d’entre eux souffraient toujours de douleurs thoraciques au moment de la publication.

Les chercheurs ont déclaré que, bien que l’incidence réelle de la myocardite soit inconnue à ce jour, le mode de présentation et l’évolution clinique suggèrent une association avec une réponse inflammatoire à la vaccination.

L’équipe a conclu qu’une attention accrue à la myocardite en tant qu’événement indésirable potentiel après une vaccination est justifiée.

Une autre étude, publiée dans JAMA Cardiology le 29 juin, a examiné sept cas de myocardite aiguë. Quatre cas sont survenus dans les cinq jours suivant la vaccination par COVID entre le 1er février et le 30 avril.
https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2781602

Les quatre patients avaient reçu la deuxième dose d’un vaccin à ARNm et ont présenté des douleurs thoraciques sévères, des biomarqueurs indiquant une lésion myocardique, ont été hospitalisés et ont obtenu des résultats d’analyses compatibles avec une myocardite.

« Il est possible que ces quatre cas de myocardite aiguë représentent un événement indésirable rare et potentiel lié à la vaccination par ARNm COVID-19 », ont écrit les chercheurs. « Les résultats du présent rapport soulèvent la possibilité d’une association entre la vaccination par l’ARNm COVID-19 et la myocardite aiguë. »

TRAITEMENT
(https://www.jim.fr/medecin/actualites/medicale/21_biologie/e-docs/covid_19_avec_auto_anticorps_anti_ifn_de_type_i_essai_avec_les_echanges_plasmatiques_188212/document_actu_med.phtml )
Le Jim reconnaît que des essais de traitements administrés trop tardivement peuvent être négatifs justement à cause du retard : dans une infection virale il faut traiter au début !
Ici il s’agit de l’interféron (https://link.springer.com/article/10.1007/s10875-021-00994-9), en effet il a été retrouvé des auto-anticorps anti-interféron chez des patients atteints de Covid sévères.
Un essai clinique de l’ivermectine est lancé par l’université d’Oxford (https://www.ox.ac.uk/news/2021-06-23-ivermectin-be-investigated-possible-treatment-covid-19-oxford-s-principle-trial). Pourquoi l’IVM ne sera-t-telle administrée que « dans les premiers 14 jours après apparition des symptômes ou test PCR positif) et seulement pendant 3 jours ? On ne sait pas quelle dose sera administrée d’après le site officiel.
Pourquoi ne pas traiter DÈS L’APPARITION DES SYMPTÔMES  OU DE LA PCR+ ?

https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/03/covid-anguille-sous-roche-ou-science-fiction/
Covid : anguille sous roche ou science-fiction ? Dr G Maudrux
Du jamais vu depuis que l’humanité existe. Incompréhensible : face à une maladie infectieuse (ce n’est pas la première, il y en a eu beaucoup), on a immédiatement interdit de traiter.
Nous avons des problèmes avec le variant indien, les Indiens eux s’en sont débarrassés très rapidement en cinq semaines, mais il ne faut pas que cela se sache.

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