Après avoir passé en revue un exemple tout-à-fait réussi de corruption active réalisée par une firme pharmaceutique en collusion avec des décideurs européens du médicament (1) nous divulguons aujourd’hui une énorme fraude aux résultats orchestrée par un autre laboratoire de sinistre réputation dont le but consistait à faire passer la piètre efficacité d’un vaccin pour ce qu’il n’est absolument pas. Donc au final il est clair qu’on peut injecter certains produits à des enfants dont ils ne pourront seulement retirer que… les effets secondaires. Qu’importe puisque ces firmes disposent des meilleurs avocats d’Amérique et que les politiciens en place partout dans le monde regardent ailleurs. Bonne lecture.

 

La science officielle

L’INSERM nous dit que les vaccins c’est bien !

les vaccins c’est bien

 

surtout celui contre les oreillons

La science officieuse : Ces données sont falsifiées!

Le laboratoire Merck est accusé de fraude pour avoir prétendument falsifié les données des essais cliniques de la valence Oreillons du MMR-II (commercialisé sous le nom de M-M-RVaxPro en Europe).

Ceci a été rapporté par d’infâmes médias notoirement anti-vaccinalistes tels que Reuters, le Wall Street Journal ou encore Forbes. Le problème touche également le ProQuad tétravalent contenant la valence varicelle en sus.

Le dépôt de plainte est téléchargeable ici. Nous vous en offrons pour la première un résumé ici et mettons les références des alinéas concernés entre crochets [ ]. Deux anciens chercheurs de Merck – Stephen A. Krahling et Joan A. Wlochowski – affirment que :

  • Merck a utilisé de nombreuses techniques (essais méthodologiquement inadéquats et falsification de données) pour cacher que l’efficacité du vaccin est très inférieure à 95% contrairement à ce qui est affirmé [3]

  • Pour de nombreuses raisons, Merck a décidé de changer la composition du vaccin. Des essais ont été planifiés à la fin des années 90, l’objectif étant de démontrer la non infériorité du nouveau produit à tout prix, quitte à utiliser des techniques non adéquates et à falsifier des données [6]

  • Merck a décidé de tester l’efficacité du vaccin contre une souche virale atténuée moins virulente que le virus sauvage, ceci permettant d’augmenter artificiellement l’efficacité du vaccin testé. N’obtenant pas les résultats espérés, les données ont été cachées [7]

  • N’obtenant pas les taux de séroconversion attendus, ils ont utilisés des anticorps d’origine animale pour améliorer artificiellement les résultats, mais là encore ils ont échoué. Ils ont donc falsifié les données qui ont été transmises à la FDA et l’EMA [8]

  • Merck a détruit les preuves, donné des consignes pour mentir aux superviseurs de la FDA et tenté d’acheter le silence des personnes chargées de la surveillance du processus d’évaluation (en distribuant à gogo des primes). Des menaces personnelles ont été adressées à Stephen Krahling en cas de dénonciation auprès de la FDA [9]

Nous recommandons à nos lecteurs anglophones la lecture attentive sur ce qui s’est passé dans l’essai « Protocol007 » à partir de l’alinéa 39 page 12. À l’alinéa 80, vous découvrez comment suite à l’alerte de Stephen Krahling, celui-ci a été placardisé.

Bonne lecture ! Et rendez-vous en 2056 pour le jugement…

3.

Specifically, Merck fraudulently represented and continues to falsely represent in its labeling and elsewhere that its Mumps Vaccine has an efficacy rate of 95 percent or higher.In reality, Merck knows and has taken affirmative steps to conceal — by using improper testing techniques and falsifying test data — that its Mumps Vaccine is, and has been since at least 1999, far less than 95 percent effective.

6.

For a variety of reasons, including Merck’s development and quest for approval of a new combination vaccine that contained its Mumps Vaccine, Merck initiated new efficacy testing of its Mumps Vaccine in the late 1990s. As demonstrated below, the goal of this new efficacy testing was to support its original efficacy findings at all costs, including the use of scientifically flawed methodology and falsified test results.

7.

First, Merck designed a testing methodology that evaluated its vaccine against a less virulent strain of the mumps virus. After the results failed to yield Merck’s desired efficacy, Merck abandoned the methodology and concealed the study’s findings.

8.

Second, Merck designed an even more scientifically flawed methodology, this time incorporating the use of animal antibodies to artificially inflate the results, but it too failed to achieve Merck’s fabricated efficacy rate. Confronted with two failed methodologies, Merck then falsified the test data to guarantee the results it desired. Having reached the desired, albeit falsified, efficacy threshold, Merck submitted these fraudulent results to the Food & Drug Administration (« FDA ») and European Medicines Agency (« EMA »).

9.
Third, Merck took steps to cover up the tracks of its fraudulent testing by destroying evidence of the falsified data and then lying to an FDA investigator that questioned Merck about its ongoing testing. Merck also attempted to buy the silence and cooperation of its staff by offering them financial incentives to follow the direction of the Merck personnel overseeing the fraudulent testing process. Merck also threatened a relator in the Qui Tarn Action, Stephen Krahling, a virologist in Merck’s vaccine division from 1999 to 2001, with jail if he reported the fraud to the FDA.

En France et en Europe, nous sommes concernés…

90

In 2006, Merck obtained a license from the EMA to sell the M-M-RBII analogue (called M-M-RVaxproB) through the joint venture Sanofi Pasteur MSD. Merck used the falsified results of the « enhanced » PRN test to obtain this approval. The EMA actually cited Protocol 007 as a « pivotal clinical study » in support of its decision to grant the approval. Since then, Merck has been manufacturing M-M-RVaxproB at its West Point facility for Sanofi Pasteur MSD to sell in Europe.
91

Around the same time, Merck also obtained a license from the EMA for Sanofi Pasteur MSD to sell Merck’s ProQuadB in Europe. As with M-M-RVaxproO, Merck’s joint venture submitted the falsified results of Protocol 007 to the EMA as supportive clinical information in its vaccine application. Relying on this information, the EMA found « no major concern » about the efficacy of the mumps component of the vaccine.

[pdf-embedder url= »https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2019/07/chatom-v-merck.pdf »]

Conclusion

Cette affaire de vaccin inefficace ne constitue absolument pas une première, on rappelle les résultats d’analyses franchement alarmantes mises en ligne par l’Association Corvelva en Italie (2)(3) depuis plus d’une année, que les industriels incriminés n’ont pas jugé opportun de discuter et que tous les gouvernements n’ont évidemment pas souhaité prendre en compte. Pauvres bébés…

 

Sources:
(1) https://www.aimsib.org/2019/10/06/vaccin-anti-hbv-rapport-dexpertise-judiciaire-du-dr-marc-girard-suite-et-fin/
(2) https://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccinegate-final-technical-report-molecular-profile-analysis-of-vaccines.html
(3) https://www.aimsib.org/2018/12/31/vaccinations-obligatoires-2018-cest-bientot-fini/

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