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Le coup d’État de l’OMS a provisoirement échoué

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Alors que la demande d’approbation du Traité Pandémies et de révision du Règlement Sanitaire International (RSI) de l’OMS vient de capoter dans le plus grand silence médiatique, il nous a paru nécessaire de revenir sur les enjeux capitaux que cette décision aurait imposé aux peuples qui avaient auparavant librement désigné leurs représentants. Qui se cache derrière l’OMS, qui veut gouverner le monde en lieu et place des  instances déjà en place dans chaque pays ? Le Syndicat Liberté Santé avait rappelé les enjeux  à sa Ministre de tutelle dans une lettre ouverte d’une grande clarté, la voici, on rappelle que la France s’était engagée comme un seul homme à voter cette résolution. Ne croyez pas une seconde que tout danger est écarté bien au contraire (*). Bonne lecture.

 

capture d’écran 2024 05 30 à 14.02.10

 

 

Lettre ouverte LRAR

Madame Catherine VAUTRIN
Ministre du travail, de la Santé et des Solidarités
Hôtel du Châtelet – 127 rue de Grenelle – 75700 PARIS

Saint Jean de Losne, le 22 mai 2024

Copie à :

Mr Frédéric VALLETOUX, Ministre de la Santé et de la Prévention
Dr Grégory EMERY, DGS et membre du Comité exécutif de l’OMS
Dr Jérôme SALOMON, sous-directeur général à l’OMS
Mr Jérôme BONNAFONT, ambassadeur représentant permanent de la France à l’OMS

Madame VAUTRIN, Ministre du travail, de la Santé et des Solidarités

Le 27 mai prochain, une délégation représentant la France participera à la 77ème Assemblée Mondiale de la Santé (AMS) au cours de laquelle l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a décidé de soumettre au vote des états le Règlement Sanitaire International (RSI) révisé ainsi qu’un nouvel accord mondial sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies (accord pandémies). (Ann 1 à 7)

Tandis que plusieurs États ont d’ores et déjà déclaré s’opposer à la signature de ces deux textes, voire refusent d’accorder toute compétence à l’OMS, à l’ONU mais aussi au Forum Économique Mondial, vous avez quant à vous annoncé le 15 avril 2024, à l’occasion de la visite de Mr Tedros Adhanom GHEBREYESUS, que nous étions « déterminés à conclure un accord de lutte contre les pandémies dans les prochaines semaines ». (Ann 8)

Votre déclaration nous surprend à bien des égards.

En effet, les versions en cours de négociation en date du 15 avril 2024 requéraient que le Directeur Général de l’OMS soit en capacité de décider seul de déclarer une urgence de portée internationale ou régionale ainsi que toutes les mesures afférentes (temporaires ou permanentes) telles que pass, confinement, port du masque, obligation vaccinale, etc, voire de le faire sur simple présomption de risque, sans nécessité de devoir recueillir l’aval d’aucune instance ni exigence d’apporter la preuve du risque réellement encouru ou du bien-fondé des mesures (affranchies du devoir de respecter la dignité humaine, les droits humains et les libertés fondamentales) ; parce que ces dispositions s’imposent aux états qui se retrouvent de facto placés sous la tutelle de l’OMS en cas « d’urgence », cet accord a été défini par la Docteure MATSOSO (Afrique du Sud) comme étant un « pacte juridiquement contraignant ». (Ann 9)

Outre le fait qu’à l’heure actuelle nous ignorons encore quelles clauses comportent ces textes, votre enthousiasme est d’autant plus préoccupant que les délais légaux de réflexion dont DOIVENT bénéficier les états, bien que prévus dans la législation même de l’OMS, ne sont pas respectés.

Pour rappel, l’article 55.2 du Règlement Sanitaire International stipule que « le texte de tout amendement proposé est communiqué à tous les États Parties par le Directeur général au moins quatre mois avant l’Assemblée de la Santé à laquelle cet amendement est soumis pour examen ». Pour être soumis à l’examen et au vote des États Parties à la 77ème AMS prévue le 27 mai 2024, le texte définitif des amendements au RSI aurait dû leur être communiqué au plus tard le 27 janvier 2024. Or la dernière version publique du projet date du 17 avril 2024, ce texte ayant été retravaillé officiellement jusqu’au 17 mai 2024. (Ann 6)

De même, l’article 14 du Règlement Intérieur de l’Assemblée stipule quant à lui que toute pièce mise à l’ordre du jour d’une AMS doit être présentée aux états au moins 6 semaines avant le vote. La version finale de « l’accord pandémies » aurait donc dû être adressée aux États au maximum le 14 avril 2024. Or la dernière version publique du projet date du 22 avril 2024, ce texte ayant été retravaillé officiellement jusqu’au 10 mai 2024. (Ann 10)

Aussi, quoi que comporteront ces textes le 27 mai 2024, les exigences réglementaires pour les soumettre au vote des états ne sont pas remplies.

Comment l’État français pourrait-il valider en si peu de temps des textes aussi longs et techniques, comportant de tels enjeux juridique, politique, financier, médical et éthique sans exiger que lui soit accordé préalablement un temps raisonnable pour étudier leur congruence et leur conformité à notre constitution et à nos lois ainsi qu’à tous les textes qui leur sont supérieurs ?

De tels engagements ne peuvent être pris à la légère, ni sans un droit de regard de la population et de ses représentants élus.

Le contribuable français est-il d’accord pour financer un plan pandémie évalué à 41 milliards par an soit plus de 10 fois le budget annuel actuel de l’OMS, sachant que le risque de pandémie que l’on nous expose est amplement surfait, que les maladies infectieuses ne représentent que 14% des affections, et que ce programme repose notamment sur l’achat de stocks de vaccins « en prévision de » qui seront jetés à péremption ? (Ann 11 et 12)

Les Français ne préfèrent-ils pas, pour contrer la surcharge des soins de première et de deuxième ligne, que notre argent public soit investi dans la réhabilitation de nos hôpitaux, pour réembaucher du personnel soignant et rouvrir les 100 000 lits qui ont été supprimés ces 20 dernières années par vos prédécesseurs (alors que la population s’accroît) ?

Plutôt que de miser sur des risques hypothétiques et surfaits de pandémie, la vraie URGENCE ne consiste-t-elle pas à répondre aux besoins en santé immédiats de la population en sauvant notre système de soins en plein naufrage ??

Les Français sont-ils d’accord pour transférer la souveraineté de la France en matière de santé publique humaine, animale et environnementale à un organisme supranational, non élu, qui plus est dirigé par des individus, laboratoires et organismes privés alors que nous rémunérons déjà de hauts fonctionnaires et qu’il n’a pas encore été démontré que l’OMS a correctement géré la crise dite du Covid ?

Les patients français consentent-ils à confier leur santé à des intérêts privés et à leur transmettre leurs données médicales et génétiques ? Sont-ils d’accord pour que Mr Tedros GHEBREYESUS et Mr Bill GATES (principal contributeur à objectif ciblé de l’OMS = sponsor) leur soient imposés comme médecins référents ?

Les Français sont-ils d’accord pour confier la déclaration ET la gestion de pandémies à des acteurs privés qui encouragent la recherche sur les gains de fonction et le partage d’agents pathogènes entre les États… et qui multiplient par 10 leur mise en cas de déclaration de pandémie ?

Les contribuables sont-ils d’accord avec le fait que les laboratoires engrangent les bénéfices tandis que les risques sont mutualisés par les États ?

Les Français sont-ils d’accord pour confier leur souveraineté individuelle et nationale ainsi que la responsabilité de leur santé à un organisme qui ne relève d’aucun tribunal car ses membres bénéficient d’une immunité diplomatique sans limites ? (Ann 13)

Les Français sont-ils d’accord pour se faire inoculer des vaccins développés en un mois seulement (contre 10 ans normalement), sans en connaitre la composition ni les effets à court, moyen et long terme ? NB : le VIDAL recommande aujourd’hui d’informer le candidat à l’injection Comirnaty (Pfizer) ET son entourage du risque de pathologies cardiaques pouvant survenir suite à l’injection. Depuis le début des campagnes vaccinales, combien se sont fait inoculer ces produits sans être informés ? Les Français consentent-ils à prendre de tels risques de façon réitérée ?

En voulant régenter l’information (seules les informations délivrées par l’OMS devront être considérées comme vraies et valables) et censurer les propos divergents taxés d’infodémie, ainsi qu’en voulant imposer pass et mesures invasives aux voyageurs en cas de pandémie, l’OMS, au travers des dernières versions publiées du RSI et de l’accord pandémies, porte gravement atteinte à la liberté d’expression et à la liberté de se déplacer des individus. Les Français donnent-ils leur accord à l’OMS d’enfreindre les libertés fondamentales protégées par notre Constitution ?

Enfin, les patients français sont-ils favorables à une médecine hygiéniste, codifiée, standardisée, protocolaire et numérique, focalisée sur la MALADIE, la vaccination et l’innovation médicamenteuse, telle que mise en œuvre par l’OMS ? Ou veulent-ils au contraire avoir accès à une médecine plurielle et sur mesure, axée sur la SANTÉ, dispensée par des humains, protégée par le secret médical dans le respect de leur consentement libre et éclairé ?

Beaucoup de questions (liste non exhaustive) soulevées par la réforme du RSI et la tentative d’accord mondial sur les pandémies, mais peu d’occasions en réalité d’en débattre tant les choses sont précipitées, et ce dans la plus grande discrétion !

Toujours est-il que les délais pour présenter ces textes à chacun des États pour une étude approfondie sont largement outrepassés et que vous n’avez pas le droit de renoncer à un seul principe fondateur de notre Constitution.

C’est pourquoi nous demandons expressément à la délégation OMS française d’exiger de l’OMS qu’elle reporte le vote de ces deux textes à une date ultérieure respectant les impératifs de délai.

Et dans le cas où l’OMS persisterait à maintenir illégalement le vote de ces textes lors de la 77ème ASM, nous sommons la délégation française à l’OMS, rétribuée pour servir les intérêts de la nation et pour respecter la volonté des citoyens, de voter NON à chacun des amendements du RSI et de voter NON à « l’accord pandémies ».

Le Syndicat Liberté Santé, soutenu par un grand nombre de citoyens français soucieux de ces questions, suivra le déroulé de cette 77ème assemblée et la position de la France avec vigilance.

Nous vous prions de recevoir, Madame la Ministre, l’expression de nos respectueuses salutations.

Le Bureau du Syndicat Liberté Santé :

Lison BRUGNON
Présidente du Syndicat SLS

Line CABOT
Secrétaire Générale du Syndicat SLS

ANNEXES :

(*) https://www.who.int/fr/news/item/28-05-2024-who-member-states-agree-way-forward-to-conclude-pandemic-agreement

dans une lettre ouverte

1 – Ordre du jour provisoire de la 77ème AMS, du 2 janvier 2024
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/EB154/B154_39-fr.pdf

2 – Communiqué de presse de l’OMS, du 27 avril 2024
https://www.who.int/fr/news/item/27-04-2024-governments-near-agreement-on-package-of-amendments-to-the-international-health-regulations-(2005)

3 – Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS à la réunion organisée à l’intention de l’Organisation internationale de la Francophonie avant l’AMS, le 16 mai 2024
https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-pre-wha-meeting-for-the-organisation-internationale-de-la-francophonie—16-may-2024

4 – Crises sanitaires : premier pas à l’OMS pour réviser les règles internationales
https://www.leprogres.fr/sante/2024/05/18/crises-sanitaires-premier-pas-a-l-oms-pour-reviser-les-regles-internationales

5 – Le spécialiste, le 19 mai 2024 :
https://www.lespecialiste.be/fr/actualites/premier-pas-en-vue-d-une-revision-du-reglement-sanitaire-international-oms.html

6 – Règlement Sanitaire International (2005) :
https://www.who.int/fr/publications/i/item/9789241580496

Projet de révision du RSI, du 17 avril 2024 :
https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr8/WGIHR8_Proposed_Bureau_text-en.pdf

Projet de Révision du RSI, du 6 février 2023 :
https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr2/A_WGIHR2_5-fr.pdf

Projet RSI de 2022 :
http://tinyurl.com/254am5e6

7 – Projet du « traité » pandémie OMS du 22 avril 2024 :
https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb9/A_inb9_3Rev1-fr.pdf

Projet du « traité » pandémie OMS du 13 mars 2024 :
https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb9/A_inb9_3-en.pdf

Projet du traité pandémie OMS, février 2023 :
https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb4/A_INB4_3-fr.pdf

8 – Tweet de Madame Catherine VAUTRIN, du 15 avril 2024 :
« nous sommes déterminés à conclure un accord de lutte contre les pandémies dans les prochaines semaines » :
https://x.com/CaVautrin/status/1779830815796432968

9 – https://www.who.int/fr/news/item/10-05-2024-governments-agree-to-continue-their-steady-progress-on-proposed-pandemic-agreement-ahead-of-the-world-health-assembly

10 – Règlement intérieur :
https://apps.who.int/gb/gov/assets/reglement-wha-2015-web-fr.pdf

11 – Senta DEPUYDT :
https://sentadepuydt.substack.com/p/futures-pandemies-les-arguments-scientifiques
Analyse critique des rapports scientifiques établis par la société privée de données Metabiota et la société de conseil McKinsey & Company mettant en évidence que les hypothèses de risque accru de pandémie, invoquées pour justifier d’ÉNORMES investissements tant dans la préparation à ces pandémies qu’à une réorganisation substantielle de la santé publique internationale, ne reposent pas sur des sources scientifiquement robustes :
• les grandes épidémies sont beaucoup moins mortelles que la tuberculose, la grippe saisonnière ou la malaria ;
• durant la période 2000-2020, les rapports critiqués ne recensent en réalité que des épidémies localisées, de petite taille, éclipsées par les maladies (non) infectieuses quotidiennes auxquelles tous les pays font face ;
• le Covid-19 se révèle être un événement exceptionnel non significatif – à l’inverse de la tuberculose qui est permanente -, ayant entrainé une mortalité surtout chez les personnes âgées ou présentant des comorbidités importantes (syndémie) ;
• l’apparente augmentation du nombre d’épidémies s’explique surtout parce qu’on les DÉTECTE davantage ;
• En réalité, la mortalité due aux épidémies diminue.

12 – Wolfgang WODARG, ex-président de la commission Santé au Conseil de l’Europe, dénonce les dérives d’une institution devenue « pompe à fric » :
“Avant j’admirais l’OMS, là je pense qu’il faut en sortir”.
www.covidhub.ch/wolfgang-wodarg-il-faut-sortir-de-l-oms

13 – Dr David MARTIN : histoire de l’OMS, dont les membres jouissent d’une immunité totale… accordée par eux-mêmes.
https://odysee.com/@Q…uestions:6/The-Great-Setup—Part-1:a
https://odysee.com/@Q…uestions:6/The-Great-Setup—Part-2:e

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22 Responses

  1. Vous êtes formidables. MERCI infiniment pour le travail de joailliers que vous avez fourni avant et pendant la rédaction de cette lettre. Gratitude et respect infinis.

  2. La lecture que font les gens des résultats de l’assemblée générale de l’OMS est extrêmement contradictoire, elle va du  »on a gagné  » à  »ça y est,on a perdu le coup d’état à eu lieu »
    J’ai une vision intermédiaire, il y a eu des infléchissements réels sur le RSI adopté en catastrophe pour ne pas perde complètement la face alors que l’Accord Pandémie n’a pas pu être voté
    C’est loin d’être terminé, les acquis partiels devraient inciter à se battre pour diffuser plus largement au public ce qu’est l’Oms et pourquoi il faudrait en sortir,car ceux qui disent, »tout est foutu »n’incitent pas à se battre
    Pour moi quand même le fait de constater que l’Oms ne respecte pas ses propres règles en votant sur des textes encore en élaboration la veille de l’assemblée faisant fi du délai de 4 mois de rigueur est stupéfiant, dans ces conditions je ne vois pas pourquoi un pays respecterait un article qui ne lui plairait pas,au fond tout cela est du cirque pur et simple,et ces traités des chiffons de papiers
    Pour nous le combat se fait contre nos gouvernants avant tout,et l’UE qui veut nous contraindre aux pass numériques

    1. Merci pour ces informations et cette lecture. Je me permets de vous poser quelques questions : Sait-on ce que la France a voté et si la France a voté oui peut on engager des poursuites ?

    2. @Azibane
      Le combat, contre nos gouvernants et l’U€ bien sûr, c’est une première ligne de front puisque l’OMS ne respecte même pas ses propres règles… un autre angle d’attaque possible consisterait à lui tailler une croupière, à faire en sorte de lui retirer l’auréole que ces mêmes gouvernements lui prêtent…

      Sylvie Simon dénonçait un temps l’OMS comme étant « un océan de corruption » (son article a disparu du web ?), il y a aussi un vice de forme « originel » dans sa Constitution, l’OMS est sous le joug de l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) depuis l’Accord WHA 12-40 du 28 mai 1959, par lequel l’OMS doit déclarer toutes ses intentions d’études à l’AIEA et travailler avec ou céder la place à l’AIEA.
      L’accord précise qu’aucune des deux agences ne doit subir de nuisances de la part de l’autre :
      LE NUCLÉAIRE NE DOIT DONC PAS PÂTIR D’ ÉTUDES MÉDICALES QUI POURRAIENT L’ENTRAVER !
      http://independentwho.org/fr/le-manifeste/
      Et donc toutes les agences sanitaires, les ministères, le doigt sur la couture du pantalon ont minimisé les conséquences de la radioactivité.
      Qui aurait vu l’OMS se porter au secours des conséquences sanitaires après Tchernobyl, après Fukushima… ah oui le nuage de Tchernobyl n’a pas franchi le Rhin, il est « sans danger » qu’il nous avait dit Giscard d’Estaing, ce polytechnicien ! https://www.youtube.com/watch?v=6sxNN1OvjwI

      Où sont donc passés l’iode 137 et autres radionucléides toxiques ? sous le tapis !

      Le déplacement du nuage de Tchernobyl
      Composé de césium 137, il a survolé le continent pendant plusieurs jours et ne s’est pas arrêté aux frontières de la France. Une animation de l’Institut de radioprotection et de sureté nucléaire montre le mouvement du panache entre 0 et 10 mètres au dessus du sol du 26 avril au 9 mai 1986. La réalisation d’une telle modélisation s’appuie sur deux sources d’information : la connaissance des quantités de substances radioactives rejetées lors de l’accident et la connaissance des conditions météorologiques depuis le moment de l’accident (notamment les trajectoires des masses d’air).
      https://www.youtube.com/watch?v=k7BamEttHXo

      La période [ (half-life) temps nécessaire à la diminution de moitié de l’activité d’un corps radioactif ] de l’iode-131 est de huit jours ; qu’elle est déjà de deux ans pour le césium-134, de vingt-huit ans pour le strontium-90, de trente pour le césium-137, et 24 100 ans pour plutonium-239 ! Chiffres qu’il faut multiplier en moyenne par 10 ou 15 pour obtenir le laps de temps au terme duquel l’élément disparaîtra complètement du milieu !
      Le césium-137 et le strontium-90 sont, quant à eux, les principaux responsables de la contamination des sols et des plantes…

      mais pour l’OMS, il n’y a que l’iode 131… et 60 cas de cancers c’est tout… circulez y a rien à voir…

      PEUT-ON FAIRE CONFIANCE A L’OMS ? telle est la question… Serait-il raisonnable d’accorder un blanc-seing à cette institution non démocratique ?

    1. Les recommandations qui seraient prises au titre du RSI publié sont non contraignantes comme spécifié dans les définitions des premières pages

    1. Merci pour ce précieux commentaire qui non content de signaler un problème, propose une solution.
      Grâce aux titres des deux vidéos que vous proposez, j’ai pu retrouver chez Odysee les liens corrects de ces deux vidéos qui présentent, à mon avis, l’énorme avantage d’être doublées et sous-titrées en français. J’ai donc corrigé les liens de la note n° 13 en conséquence.
      Les liens fonctionnent correctement à présent, grâce à vous M. David.
      Durablement, j’espère !

  3. Cette lettre est vraiment complète, et remarquablement bien construite.
    Elle n’a pas oublié l’objectif final de ce plan pandémie : soutirer 41 milliard par an aux contribuables…
    Objectif largement atteint aux USA , le gouvernement finance la Darpa pour renouveller régulièrement son stock de vaccins et médicaments (!!) comme on peut le lire dans le bestseller de Robert Kennedy : Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma.

    La roue tourne, il semblerait puisque Fauci soit l’objet d’une commission d’enquête… https://x.com/verity_france/status/1797750542221050288 https://www.zerohedge.com/medical/big-pharma-paid-690-million-faucis-agency-during-pandemic

  4. Contrairement aux apparences, l’OMS est très loin d’être une institution indépendante, elle est une agence spécialisée de l’Organisation des Nations unies (ONU) pour la santé publique créée en 1948. Elle dépend directement du Conseil économique et social des Nations unies, qui est un des six organes principaux de l’ONU, créé d’après le chapitre X de la Charte des Nations unies. Son rôle est d’examiner des questions dans les domaines économique, social, culturel, éducatif, de santé publique, de développement durable, et tout autre domaine apparenté à ces derniers.

    donc concrètement l’OMS est sous influence politique, ce qui cadre assez mal avec l’idée d’une indépendance scientifique dans ses décisions.

    Nul doute, tout ce beau monde se tient par la barbichette ! et concoure, à l’insu de son plein gré pour certains, à l’idée d’une gouvernance mondiale, la santé n’étant qu’un élément transversal, une brique dans l’édifice en construction.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_des_Nations_unies

    Cela peut aider à comprendre la définition très  » knockienne*  » de la santé selon l’OMS qui figure dans le Préambule (Charte ?) de sa Constitution adoptée à l’origine par 61 États le 22 juillet 1946, selon laquelle « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »

    * « Tout bien portant est un malade qui s’ignore » Jules Romain, dans « Knock ou le Triomphe de la médecine » (1923)
    Il est pour le moins très étonnant qu’une définition aussi utopique (vœu pieux ?) que messianique se soit imposée au monde entier en une poignée de décennies.
    Deux phrases plus loin, « La santé de tous les peuples est une condition fondamentale de la paix du monde et de la sécurité ;… »
    Ne serait-ce pas mettre la charrue avant les bœufs ? la santé vectrice de paix, ou la paix vectrice de santé ?! un langage orwellien ?
    https://apps.who.int/gb/gov/assets/constitution-fr.pdf

    Revoir la définition de l’OMS ? Est-il encore opportun d’y maintenir la notion de bien-être social ?
    par Pascal GILBERT, ancien médecin généraliste
    jeudi 27 mars 2008

    Mais, de quoi est fait ce fameux bien-être social ?

    Le bien-être social c’est avoir un travail, y être respecté par ses supérieurs, apprécié par ses pairs. C’est avoir un logement décent et adapté à ses besoins. C’est vivre dans un groupe qui respecte l’individu, lui apporte une éducation suffisante, ne le brime ni du fait de son sexe, de sa couleur de peau ou de son appartenance religieuse. Et j’en oublie…

    Toutes choses hors du champ habituel de la santé, si bien que, avec l’OMS, on se trouve forcé d’aborder le problème par son autre face : celui du mal-être social et de son approche thérapeutique, ce qui n’est pas neutre.

    Tout d’abord, faire entrer la notion de bien-être social et donc la problématique sociale dans le domaine d’intervention de la médecine est d’autant plus dangereux qu’a priori cette dernière bénéficie d’une image positive dans l’esprit du public, image positive qui peut être utilisée dans un but de manipulation.

    Ensuite, en tant que médecin j’ai rencontré tout au long de ma carrière des états anxieux et/ou dépressifs causés par le chômage, la précarité, l’inégalité des sexes ou d’autres situations d’injustice sociale. J’ai alors prescrit des anxiolytiques, des somnifères, des antidépresseurs. Le fait que l’on soit venu me voir, moi médecin, pour traiter ce mal-être, n’est pas neutre. Celui d’avoir délivré une ordonnance ne l’est pas plus. À mon sens, l’approche médicamenteuse de ces problèmes ne peut se justifier que si la thérapeutique vise à gommer les parties les plus aiguës du conflit, ce qui inhibe l’action. Le but du médecin doit être de faciliter la résolution ou le dépassement du conflit par le patient, ce que ce dernier ne peut faire s’il est tétanisé par l’angoisse ou « n’en dort plus ». Mais on ne peut éluder que les médicaments ont la possibilité de si bien gommer le conflit qu’il sera accepté, tel quel, par le patient. De manière objective, cela profite au groupe social qui évite la confrontation et fait accepter sa norme à l’individu, avec la complicité du médecin.

    Plus loin, mais en suivant cette même logique, le groupe social peut chercher à imposer sa norme par la contrainte médicale en déclarant malade l’esprit dissident, comme le fit la psychiatrie russe d’État.
    L’existence de psychotropes efficaces et bien tolérés, la généralisation de leur emploi, leur prescription dans les bobos de l’âme, sont des phénomènes qui ne pouvaient s’envisager lors de l’écriture de la définition en 1946. Il est maintenant indispensable de réexaminer le problème.
    https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/revoir-la-definition-de-l-oms-est-37792

  5. J’ai transmis à mon député cet article en lui demandant pourquoi les politiques et les médias n’en parlent pas.
    J’ai masqué les noms volontairement.
    Voilà sa réponse:

    Mr X a bien pris connaissance de votre message et des informations auxquelles renvoie le lien que vous lui faites suivre. Afin de vous répondre sur la position de notre groupe parlementaire, nous avons interrogé les députés siégeant en commission des affaires sociales et tout particulièrement MR Y. Le retour qu’il nous en a fait ne vont pas dans le sens de l’article que vous portez à la connaissance de Monsieur X. Cet article semble excessivement alarmiste et peu objectif.

    Il ressort des premiers examens de cet accord plusieurs points positifs : Il favorise la coopération entre états, installe la mutualisation des stocks de médicaments, le transfert d’informations, interdit les obstacles à leur vente, appelle à la transparence sur les prix et à la levée des brevets en cas de pandémie. Ces éléments vont dans le sens des attentes que nous portons.

    En espérant que ces quelques éléments puissent nourrir votre opinion sur cette question.

    C’est édifiant, non? mais sans réel surprise

    1. Monsieur X a répondu du « pipeau », comme toujours ! Il a lu l’article par le petit bout de la lorgnette : » « Voir quelque chose par le petit bout de la lorgnette, ne s’intéresser qu’aux détails d’une chose, qu’à son aspect accessoire et en exagérer l’importance. » (Sens figuré) Regarder les choses d’un seul point de vue, que l’on grossit exagérément ; ne pas voir l’essentiel.

  6. Il y a visiblement une certaine opacité au niveau des votes, ou de « qui » votent, ou a voté du moins pour la France lors 77ème Assemblée Mondiale de la Santé, c’est pas très clair… un membre du gouvernement (?), une personne cooptée dont nous ne savons rien ? Jérôme Salomon ?

    Article 22. Droit de vote
    1. Chaque Partie à l’Accord de l’OMS sur les pandémies dispose d’une voix, sous réserve des dispositions du paragraphe 2 du présent article.

    D’autre part, on peut se demander à quel titre (suprême ?) la France, mais aussi les États membres de cette Organisation, pourraient déléguer leur souveraineté en matière de santé quel que soit le contexte sanitaire sans violer leur propre Constitution ? cela s’apparenterait à un coup d’État… ou lui ressemblerait !

    Ainsi un exemple concret, la Constitution en France n’octroie pas de prérogatives au Ministre de la santé de décider d’une vaccination obligatoire, ce genre de décision nécessite de passer par la voie parlementaire, Assemblée nationale > Sénat… bref un protocole.
    L’OMS tenterait elle un coup de force politique, là où depuis sa création elle n’a jamais eu d’autre vocation que d’émettre des recommandations ? ses statuts ne lui ont jamais autorisé à légiférer ?… ce qu’elle avait pourtant tenté de faire en demandant à certains États d’Afrique d’interdire l’Artémésia, et sa culture ! on se demande bien pourquoi…

    Interessé pour des raisons familiales par les éventuelles restrictions concernant les voyages aériens je lis en ANNEX 6, VACCINATION, PROPHYLAXIS AND RELATED CERTIFICATES » :
    « This certificate is valid only if the vaccine or prophylaxis used has been approved by the World Health Organization. »
    https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr8/WGIHR8_Proposed_Bureau_text-en.pdf

    Ainsi l’OMS ferait office de Congrégation de la foi en matière de virologie, d’immunologie, de vaccinologie, concernant la validation de tel ou tel vaccin ! ce qui pourrait donner avantage à telle ou telle firme pharmaceutique… Il faut se souvenir – ne pas oublier – que les vaccins chinois et russes, n’étaient pas reconnus en Europe par exemple pendant la covidémie…

    Le pouvoir de l’OMS pourrait donc se transformer en une machine de guerre commerciale, internationale, politique, un « censeur » de ce que la doxa de l’Ouest admettrait sous couvert de la littératie opportuniste de la FDA, de l’EMA, qu’elle refuserait à l’Est (pour simplifier)… et ailleurs, hors des sentiers battus, alternatifs comme on dit. Elle ne se cache d’ailleurs pas de vouloir mener la guerre à ce qu’elle appelle « l’infodémie » et de lancer ses affidés à leurs trousses dans le droit fil d’une sorte de maccarthysme sanitaire pour faire la chasse aux dissidents !
    Après l’inquisition religieuse qui sévit au Moyen-Age, l’inquisition sanitaire avec l’OMS ? Après le contrôle des âmes, celui des corps ?…
    La fiction ne nous a jamais été aussi proche…
    La récente loi sur les dérives sectaires, une anticipation d’une future police sanitaire (?)

  7. Pour preuve de la politisation de la santé publique, les propos hallucinants de Emmanuel Macron Président de la République lors de l’interview qu’il a donné sur TF1 et France 2, hier le 6 juin.
    (vers la fin de l’itw ) :

    « … parce que c’est quoi une Europe où l’extrême droite sera forte, s’il y a à nouveau une pandémie, c’est une Europe qui ne vous protègera pas ».

    « Si demain, l’extrême droite a une minorité de blocage en Europe, vous n’aurez pas une Europe des vaccins, ce sont des gens qui vous donneront de la chloroquine ou le vaccin Sputnik ».

    Propos populistes, manipulation politique de la santé publique, de la médecine, anticipation de déléguer à l’exécutif de l’Union Européenne la gestion de prochaines et très hypothétiques pandémies ?
    Une Europe des vaccins, kesako ? !!! dans l’agenda de l’UE ?

    1. @ Njama . Bien sûr, y a du pognon, beaucoup de pognon à prendre avec l’Europe des Vaxx …

  8. En principe selon ses Statuts, l’OMS n’émet que des recommandations en matière de santé publique… par définition non-contraignantes, comme pour tout traitement il appartient aux personnes d’y consentir ou non.
    Et pourtant… elle usa de son influence (manipulation ? corruption ?…) pour « inciter » des États à légiférer. Pour illustration :

    L’OMS, 8 juin 2016 Retrait des monothérapies à base d’artémisinine par voie orale (1)
    …L’OMS prie instamment les autorités réglementaires des pays d’endémie palustre de bien vouloir prendre des mesures visant à cesser la production et la commercialisation de ces monothérapies par voie orale, et de promouvoir l’accès à des combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine (CTA) satisfaisants aux normes d’assurance qualité.

    Mandat de l’Assemblée mondiale de la Santé
    En 2007, les États Membres de l’OMS ont adopté la Résolution WHA60.18 (*) qui appelle à un retrait progressif des monothérapies à base d’artémisinine par voir orale des marchés. Les monothérapies par voie orale doivent être retirées de toutes les pharmacies et établissements de santé dans le monde ; seules les formulations par voie rectale comme traitement pré-transfert et les formulations injectables pour la prise en charge des cas de paludisme sévères devraient rester disponibles en monothérapies. Les combinaisons thérapeutiques n’existent pas encore pour la prise en charge du paludisme sévère.

    (*) URGES Members States :
    (3) to cease progressively the provision in both the public and private sectors of oral artemisinin monotherapies, to promote the use of artemisinin-combination therapies, and « TO IMPLEMENT POLICIES THAT PROHIBIT » the production, marketing, distribution and use of counterfeit antimalarial medicines ;
    WHA60.18
    Malaria, including proposal for establishment of World Malaria Day
    60th World Health Assembly (May 2007)
    https://web.archive.org/web/20200310181903/https://www.who.int/tdr/about/governance/documents/WHA60.18.pdf

    (1) https://web.archive.org/web/20160719224123/https://www.who.int/malaria/areas/treatment/withdrawal_of_oral_artemisinin_based_monotherapies/fr/

    Tout cela, sous couvert d’une bienveillance philanthropique (coloniale ?), n’était pas sans arrière-pensées en embuscade !
    Évidemment promouvoir les antipaludéens naturels à trois francs sis sous ne ferait pas l’affaire de la « malaria business » qui planche sur un vaccin depuis quelques années déjà. Alors il ne faudrait pas qu’on lui coupe l’herbe sous le pied, l’OMS s’en est chargée…

    Paludisme : vers un vaccin efficace à 50 % pour les enfants
    Le Monde.fr avec AFP | 18.10.2011
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/10/18/paludisme-vers-un-vaccin-efficace-a-50-pour-les-enfants_1590030_3244.html
    à 50 % et qui resterait efficace seulement 18 mois !

    Paludisme : un nouveau vaccin prêt dès 2015 ?
    BFMTV 31/07/2014
    http://www.bfmtv.com/societe/un-nouveau-vaccin-contre-paludisme-pret-2015-822015.html

    Paludisme : un vaccin testé à grande échelle en Afrique chez les bébés
    26/06/2017
    Un vaccin contre le paludisme, à l’efficacité limitée, sera testé à grande échelle en Afrique à partir de 2018, a annoncé l’Organisation Mondiale de la Santé le 24 avril.
    360.000 enfants bénéficieront d’une vaccination contre le paludisme d’ici à 2020. Le Kenya, le Ghana et le Malawi participent à la phase pilote de la mise en place du vaccin Mosquirix – également appelé RTS,S – créé par le géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) en partenariat avec l’ONG Path Malaria vaccine
    http://sante.lefigaro.fr/article/paludisme-un-vaccin-teste-a-grande-echelle-en-afrique-chez-les-bebes/

  9. « En principe selon ses Statuts, l’OMS n’émet que des recommandations en matière de santé publique… par définition non-contraignantes, comme pour tout traitement il appartient aux personnes d’y consentir ou non.
    Et pourtant… elle usa de son influence …..) »

    Il y a eu au moins une exception à cette règle pour la campagne d’éradication de la variole où l’Inde avait été placée sous tutelle de l’OMS. En 1974 confrontée aux catastrophes générées par la vaccination systématique des contacts et de leur mise en quarantaine forcée dans l’habitation où un malade était découvert, ces 2 mesures conjointes générant un grand nombre de cas de variole, même chez d’anciens varioleux et d’anciens vaccinés, l’Inde va se rebiffer. Le directeur du programme d’éradication, Donald Henderson sera contraint d’aller rencontrer les autorités indiennes à New Delhi.

    Simultanément, ce sera l’explosion de la première bombe atomique indienne. Aucun rapport bien sûr ! Aucun sauf que toute la presse internationale va alors converger à New Delhi, ce qui permettra aux autorité indiennes de faire état devant elle de la situation catastrophique dans laquelle la stratégie de l’OMS avait placé l’Inde. Certains grands journaux en firent alors état.
    En 1970 il y eut 12500 cas notifiés de variole. 88000 en 1974 et 188003 en 1975 …Tous ces malades étant confinés, la maladie disparaitra en 1975 par interruption de la transmission.

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