Progressivement Marceau avance dans sa démonstration implacable. Il se lance ici dans une énumération extrêmement instructive de la composition du produit. S’il faut rappeler que l’identification de certains adjuvants des vaccins à ARNm ne sont toujours pas divulgués, vous apprendrez qu’il en est de même pour un constituant essentiel du Gardasil. Mais pire, quelle différence de probabilité hallucinante avez-vous de mourir, entre un cancer du col de l’utérus et une vaccination par Gardasil ? Bonne lecture.

 

Le Gardasil est un vaccin approuvé pour une utilisation chez les adolescents, hommes et femmes âgés de 11-14 ans, pour prétendument prévenir les infections sexuellement transmissibles par plusieurs types de papillomavirus humains (PVH en français ou HPV en anglais).

Certains types de PVH sont associés au cancer du col de l’utérus et le Gardasil a été fortement promu comme une protection nécessaire contre le cancer du col de l’utérus. Le vaccin a ensuite reçu l’approbation de la FDA, puis des autres autorités sanitaires pour la prétendue protection contre d’autres cancers et maladies chez les hommes et les femmes de la même tranche d’âge, tout cela sans aucun essai clinique pour corroborer ces allégations, comme nous le démontrerons plus loin.

Il existe plus de 200 types de PVH, chacun avec un numéro.

Le Gardasil a été conçu pour protéger contre certains types de PVH.

• Les PVH dits « à haut risque » sont associés à la croissance de cellules potentiellement précancéreuses sur le col de l’utérus.
• Les types dits « à faible risque » présentent peu ou pas de risque de cancer du col de l’utérus, mais ils peuvent être associés à des verrues cutanées et génitales.

Le Gardasil 9 a été conçu pour prévenir l’infection par sept types de PVH à haut risque (16, 18, 31, 33, 45, 52, 58) et deux types à faible risque (6 et 11). Ce vaccin a été approuvé par la FDA en 2014 aux USA et par l’Agence Européenne du médicament (EMA) le 10 juin 2015, soit il y a à peine 7 ans !

Plus de 90 % des nouvelles infections au PVH, y compris celles causées par des types de PVH à haut risque, disparaissent naturellement en 1 à 2 ans. L’élimination de l’infection se produit généralement dans les 6 mois. Même lorsque le PVH ne disparaît pas et provoque des changements anormaux dans les cellules cervicales, ces « lésions », comme on les appelle, évoluent rarement vers un cancer !

Est-ce que le Gardasil est efficace ?

Les preuves que le Gardasil prévienne effectivement le cancer sont remarquablement faibles.

L’âge cible pour l’inoculation se situe entre 11 et 12 ans, mais l’âge médian de décès par cancer du col de l’utérus est de 64 ans en France et le taux de mortalité par cancer du col de l’utérus était de 2,8 pour 100 000 en 2020 sur la population féminine.

Ramené à la population française totale on parle de 1 000 morts par an, soit 0,0015% !

Il faut 15 à 30 ans pour qu’une infection par le PVH aboutisse à un cancer.

Avec un taux de mortalité aussi bas et les décennies nécessaires pour que le cancer se développe, il faudrait une population incroyablement nombreuse de patientes pour atteindre un résultat statistiquement significatif dans une étude pour montrer si le Gardasil prévient le cancer. Donc à ce stade, nous pouvons déjà dire que les essais cliniques de Merck n’ont pas pu démontrer ce qu’ils affirment, comme nous verrons plus loin. [1]

Le Gardasil peut-il causer le cancer ?

La notice du Gardasil indique : « Gardasil 9 n’a pas été évalué pour son potentiel de cancérogénicité ou de génotoxicité ». [2]

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Des chercheurs ont suggéré que l’élimination ou la suppression de certains virus PVH à haut risque pourrait en fait ouvrir une niche écologique pour des souches PVH encore plus dangereuses jusque-là maintenues sous contrôle et donc non oncogènes.

En d’autres termes, cela pourrait ouvrir des voies vers des cancers qui n’existaient pas avant la vaccination.

Décès par cancer du col de l’utérus versus décès par essai clinique Gardasil

Nous avons montré plus haut que l’incidence pour le cancer du col de l’utérus en France en 2020 était de 2,8 pour 100 000. En 2018, il était de 6 pour 100 000.

La baisse constante depuis plus de 20 ans est liée au dépistage et aux traitements précoces, pas à la vaccination qui ne remplacera jamais le dépistage. [3] Le taux de mortalité dans l’essai clinique du Gardasil toutes causes était de 85 pour 100 000 !

Le Gardasil : ingrédients et adjuvants

En immunologie, un adjuvant est un agent ajouté à un vaccin pour améliorer la réponse immunitaire à l’antigène du vaccin. Un adjuvant est inclus dans le vaccin et injecté avec l’antigène pour produire des anticorps contre l’antigène. Le CDC américain affirme que les adjuvants « aident les vaccins à mieux fonctionner » en produisant une réponse immunitaire qui protège une personne contre la maladie contre laquelle elle est vaccinée.

Mais il a été démontré que les adjuvants, y compris l’aluminium et d’autres ingrédients du Gardasil, provoquent de graves effets secondaires.

Les ingrédients dans le Gardasil :

1) L’aluminium :

Le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe (AAHS) est ajouté au Gardasil pour produire une réponse immunitaire plus forte et plus longue que les autres dérivés de l’aluminium utilisés dans les vaccins classiques comme celui contre la diphtérie/tétanos/coqueluche (DTC) et l’hépatite B.

Le AAHS, comme les autres sels d’aluminium, est neurotoxique s’il s’accumule dans le cerveau et il n’y a pas de données de test de sécurité humaine sur l’AAHS.

Aussi fou que cela puisse paraître, AAHS n’a jamais été testé par le gouvernement ou Merck. Des études animales indépendantes ont cependant montré que des animaux tels que des souris et des moutons, lorsqu’ils sont exposés à des adjuvants à base d’aluminium à des concentrations comparables à celles utilisées dans les vaccins humains, « développent d’étranges schémas comportementaux et des maladies ressemblant à des maladies auto-immunes » note CHD (Children Health Defense). [4]

 

Les autorités sanitaires ont validé le vaccin sans imposer d’études pour prouver l’innocuité de cet adjuvant, mais comme nous le verrons dans la partie sur les essais cliniques, elles savaient qu’il est dangereux et ont fermé les yeux !

Selon une étude publiée dans Nature en 2020, « le cerveau est un tissu cible pour l’accumulation d’aluminium ». L’étude confirme des recherches antérieures selon lesquelles des niveaux plus élevés d’aluminium existent dans le tissu cérébral des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, d’autisme et de sclérose en plaques. [5]

L’aluminium augmente la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Cette barrière est la façon dont le corps empêche les toxines de pénétrer dans les tissus cérébraux. Un autre ingrédient du Gardasil, le polysorbate 80, possède également cette capacité.

Un rapport de 2021 sur la toxicité de l’aluminium dans Medscape indique que l’aluminium provoque un stress oxydatif dans le tissu cérébral et a une demi-vie dans le cerveau de 7 ans, ce qui « peut entraîner des dommages cumulatifs ».

La recherche a montré que l’aluminium a une capacité unique à provoquer de puissantes réponses immunitaires. De fortes doses d’aluminium peuvent provoquer une sur-stimulation du système immunitaire menant à des maladies auto-immunes = le système immunitaire attaque les propres organes du corps.

Merck affirme que l’AAHS utilisé dans le Gardasil est protégé par le secret industriel et, à ce jour, a refusé de fournir des échantillons à des chercheurs indépendants pour des tests. Nous ne connaissons donc pas la composition complète de l’AAHS utilisé par Merck. [6]

2) Polysorbate 80 :

Le polysorbate 80 est un tensioactif, une substance qui réduit la tension superficielle des liquides. Il est utilisé dans les vaccins comme émulsifiant pour maintenir les ingrédients uniformément mélangés dans le liquide. Le polysorbate 80 affaiblit la barrière hémato-encéphalique et se lie assez étroitement à l’aluminium. Il a été associé à un choc anaphylactique et à des réactions d’hypersensibilité. Cet adjuvant a également été associé à des effets sur la reproduction et le cœur chez les animaux.

L’American College of Pediatricians a averti que le Gardasil est lié à une affection connue sous le nom d’insuffisance ovarienne prématurée et que le polysorbate 80 ou l’aluminium contenu dans le Gardasil pourraient être à l’origine de cette affection.

3) Borate de sodium (borax) :

Le borate de sodium a été interdit dans les aliments aux États-Unis et présente un danger pour le système reproducteur masculin et le fœtus en développement. Il peut provoquer des réactions toxiques aiguës lorsqu’il est ingéré ou inhalé, ce qui soulève la question de savoir quelles réactions pourraient en résulter lorsqu’il est injecté. L’intensité d’une réaction toxique peut être influencée par la voie d’exposition.

4) L-histidine :

La L-histidine (également appelée histidine) est un composé chimique que le corps utilise pour fabriquer un autre produit chimique, l’histamine.

Lorsque vous ressentez une réaction allergique – démangeaisons, larmes, gonflement, urticaire – les histamines sont à l’œuvre dans le corps. Les histamines font partie du système immunitaire de l’organisme pour se débarrasser des substances allergènes (ex : le pollen, l’herbe, la nourriture) qui vous dérangent (c’est pourquoi vous prenez des antihistaminiques).

Les histamines sont impliquées dans un grand nombre de fonctions corporelles incluant le système nerveux central, le système cardiovasculaire et les voies respiratoires. Elles provoquent une inflammation et, comme l’aluminium et le polysorbate 80, elles augmentent également la perméabilité des vaisseaux sanguins.

Il a aussi été constaté que les histamines augmentaient la coagulation sanguine de 5 fois lorsqu’elles étaient combinées à des surfactants – et la mort par caillots sanguins est la forme de décès la plus courante après l’injection du Gardasil.

5) Levure génétiquement modifiée :

Le type de levure utilisé dans le Gardasil, Saccharomyces cerevisiae, peut provoquer une maladie auto-immune dans le corps.

Dans un article publié dans Clinical Reviews in Allergy & Immunology en 2013, les auteurs ont déclaré qu’« un nombre croissant d’études ont détecté un taux élevé d’ASCA [anticorps anti-S. cerevisiae] chez des patients atteints de maladies auto-immunes ». [7]  [8]

6) Fragments d’ADN du PVH non divulgués :

Des fragments d’ADN de PVH réels ont été trouvés dans des échantillons de Gardasil par le Dr Sin Hang Lee, un pathologiste spécialisé dans le séquençage d’ADN et l’analyse de séquences d’ADN.

Dr Lee a déclaré : « L’ADN de PVH contenus dans le Gardasil n’est pas de l’ADN naturel ».

Il s’agit d’ADN HPV recombinant (ADNr) – génétiquement modifié – à insérer dans des cellules de levure pour la production de protéines VLP (virus-like-particle).

L’ADNr est connu pour se comporter différemment de l’ADN naturel. Il peut pénétrer dans une cellule humaine, notamment dans une lésion inflammatoire causée par les effets de l’adjuvant aluminique, via des mécanismes mal compris… Une fois qu’un segment d’ADN recombinant est inséré dans une cellule humaine, les conséquences sont difficiles à prévoir. [9] [10] [11]

Ces fragments d’ADN de HPV ne sont pas divulgués dans la notice. [12] [13]

Nous avons essayé de vous expliquer ce qu’est le Gardasil, à quoi il est sensé servir et ce qu’on connaît de sa composition.

Il contient beaucoup de substances dangereuses et des particules d’ADN recombinantes qui s’assemblent toutes seules dans le corps pour former des particules synthétiques qui imitent les souches de virus naturels.

Le Gardasil ne contient en aucun cas des parties de virus réels qui auraient été isolées, dénaturées et formulées comme antigènes dans les vaccins. Ces vaccins anti-PVH ne contiennent pas de matériel génétique provenant de virus naturels sensés provoquer des cancers !

Pourquoi ne pas avoir utilisé de vraies particules virales comme antigènes ?

Marceau 
Février 2023

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Notes et références :
[1] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/cancers/cancer-du-col-de-l-uterus#:~:text=Un%20cancer%20attribuable%20au%20virus,et%201000%20femmes%20en%20meurent
[2] https://www.fda.gov/media/90064/download
[3] https://www.arcagy.org/infocancer/localisations/cancers-feminins/cancer-du-col-de-l-uterus/maladie/lepidemiologie-de-la-maladie.html/
[4] https://childrenshealthdefense.org/news/court-hears-gardasil-science-and-moves-forward/
[5] https://www.nature.com/articles/s41598-020-64734-6
[6] https://emedicine.medscape.com/article/165315-overview#a5
[7] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23292495/
[8] https://link.springer.com/article/10.1007/s12016-012-8344-9
[9] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC238150/
[10] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8069851/
[11] https://www.nature.com/articles/s41467-020-16639-1
[12] https://www.naturalnews.com/033585_Gardasil_contamination.html
[13] https://sanevax.org/sane-vax-discovers-potential-biohazard-gardasil/

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