Comme nous l’avait annoncé le Dr. Grégory Pamart, le 14 juillet dernier, l’Ordre des médecins lance une « vaste campagne nationale, des centaines de médecins (sont) convoqués pour avoir soigné, en conscience des patients de la covid ». Les faits le confirment et de très nombreux médecins sont sommés de s’expliquer sur le contenu des prescriptions qu’ils ont faites pour soigner leurs patients du covid-19. Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, donne ici des éléments de défense pour les médecins convoqués.
Qu’en est-il aujourd’hui du principe de liberté de prescrire des médecins ?
Le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique.
Heureusement, car si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la santé et/ou de l’industrie pharmaceutique.
Comme l’ont écrit de nombreux auteurs depuis des années, il semblerait qu’il existe aujourd’hui une volonté de faire disparaitre la médecine de ville. J’ai déjà expliqué dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau 1999) pourquoi les indépendants gênent la mondialisation et que l’objectif des grands de ce monde était d’en faire des salariés de la grande distribution (médecins, agriculteurs, commerçants et artisans, avocats, etc…)
Ce qu’il convient de rappeler avec force est que les médecins sont toujours libres de leurs prescription et que cela, en dépit de ce qu’avait voulu nous faire croire le ministre de la santé, O. Véran, est resté vrai pendant toute la soi-disant crise sanitaire, soit depuis 2020. Il s’agissait de ce que l’on a pu qualifier « d’interdiction de fait » mais en aucun cas d’une interdiction légale. En effet, la liberté de prescrire est un principe fondamental reconnu par la loi.
Revenons un instant sur les faits. Tout d’abord,
La liberté de prescrire a été reconnue, en 1998, par le Conseil d’État comme principe général du droit, c’est-à-dire comme un principe placé au sommet de l’ordonnancement juridique que seuls supplantent les traités internationaux et la Constitution. En d’autres termes, il a une importance particulière dans notre droit et seule la loi peut y porter atteinte et non un simple acte réglementaire d’un ministre (décret, arrêté).
Ensuite, la liberté de prescrire est clairement reconnue par le Code de la santé publique, dans sa partie législative comme dans sa partie réglementaire. Le principe est aussi repris dans le Code de la sécurité sociale. Bien sûr, la liberté de prescrire figure parmi les premiers articles du Code de déontologie médicale. Le texte du Code de déontologie médicale est extrêmement clair, puisqu’il prévoit que :
- « dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l’efficacité des soins. Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles ».
Ce qu’il faut également comprendre de ce texte est que la mission première du médecin, et c’est à cela que sert la liberté de prescrire, est de tout mettre en œuvre pour soigner et, idéalement, guérir son patient. Cet engagement se retrouve aussi bien dans le Serment d’Hippocrate que dans la Déclaration de Genève de l’Association médicale mondiale. Le Serment d’Hippocrate, qui constitue selon l’Ordre des médecins lui-même, « l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale », est tout à fait explicite. « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux », y est-il écrit dès les première lignes.
Enfin, aucune loi n’étant, à ce jour, revenu dessus, le principe de la liberté de prescrire est toujours en vigueur et l’a été pendant toute la durée de la « crise » sanitaire, comme l’a confirmé le Conseil d’État, dans une ordonnance du 22 avril 2020, soit au plus fort de la « crise » sanitaire.
Ainsi, selon le Conseil d’État, les recommandations du ministre de la santé (qui tentait d’interdire la prescription du Plaquénil) : « ne font en rien obstacle (à) une prescription beaucoup plus large, sur le fondement de l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, de l’hydroxychloroquine aux patients atteints de covid-19 ».
Le confrère qui avait obtenu cette importante décision, Maître Krikorian, s’en était d’ailleurs longuement expliqué dans vos colonnes comme dans un communiqué de presse et ce thème avait donné lieu à un très intéressant débat entre ce dernier, le Dr Sroussi et le Dr Délépine.
Le Conseil d’État a réitéré sa position dans un arrêt du 28 janvier 2021 qui rappelle, toujours à propos du Plaquénil, que :
- « Son administration, si elle peut être le fait de médecins de ville, suppose ainsi non seulement le respect de précautions particulières mais également un suivi spécifique des patients, notamment sur le plan cardiaque ». Bien entendu, cela ne vaut pas que pour le Plaquénil, cela vaut pour tous les médicaments.
Dès lors, on comprend mal pourquoi réprimer des médecins qui ont prescrit des traitements dont on ne peut plus sérieusement nier aujourd’hui qu’il guérissent les patients atteints du covid-19, c’est-à-dire des médecins qui ont répondu à la lettre à l’engagement qu’ils ont pris en prêtant serment !
On ajoutera que, pour un médecin, refuser de prescrire, outre un refus de soin, peut constituer le crime de « délaissement d’une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique »,
Une infraction prévue aux articles 223-3 et 223-4 du Code pénal. Puisque les thérapeutiques que le ministre de la santé a tenté d’interdire sont efficaces, celui-ci et les médecins complices se rendent potentiellement coupable de délaissement ou de complicité de délaissement. Le délaissement est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende ou, s’il a entraîné une mutilation ou une infirmité permanente, de quinze ans de réclusion criminelle et, s’il a provoqué la mort, de vingt ans de réclusion criminelle.
D’ailleurs, une plainte a été déposée par des médecins contre le Président de l’Ordre national des médecins pour avoir empêché les médecins de prescrire les traitements reconnus comme efficaces contre le covid-19. Un juge d’instruction est saisi. Pour mémoire, le scientisme dogmatique a montré ses limites par le passé, notamment après les scandales de la Thalidomide, du Distilbène, de l’amiante, du sang contaminé, du Vioxx, du Médiator, des statines, de la Dépakine, du Lévothyrox et d’autres. Or, à chaque fois que l’on n’a écouté qu’une minorité de « scientifiques » croulant sous les liens d’intérêt et se prétendant détenteurs de LA Science, alors même que des milliers de médecins de terrain étaient en désaccord avec eux, on a abouti à des catastrophes sanitaires.
Nous sommes aujourd’hui dans le même cas de figure où, alors que l’ANSM rapporte 175 000 déclarations d’effets indésirables du « vaccin » dont 42 000 classés comme « graves », les mêmes « scientifiques » répètent comme des perroquets que le lien de causalité n’est pas avéré (sans surtout rien vérifier eux-mêmes).
Espérons que l’un d’entre eux ne reçoive pas, un jour, de la part d’une victime ou de l’un de ses proches, excédé par autant de mauvaise foi, un coup de poing dans la figure, accompagné d’un « coup de gueule » : « vous avez mal ? Je n’y suis pour rien, car le lien de causalité n’est pas avéré… ».
Qu’en est-il de la prescription hors autorisation de mise sur le marché ? En effet, le traitement recommandé par les médecins de terrain contre le covid-19 supposait de les utiliser en dehors de cette indication ?
La première précision importante est que la prescription d’une spécialité pharmaceutique en dehors des indications de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) qui lui a été délivrée par les services de l’État n’est pas illégale. Elle est simplement encadrée par le Code de la santé publique. C’est ce que prévoit son article L. 5121-12-1. Cela a été confirmé le Conseil d’État par l’arrêt déjà cité du 28 janvier 2021 au sujet du Plaquénil. Selon le Conseil d’État, en l’absence de recommandation temporaire d’utilisation et d’alternative médicamenteuse appropriée ayant une AMM ou une ATU, le Plaquénil pouvait être prescrit pour une autre indication que celles de son AMM, à la condition qu’en l’état des données acquises de la science, le prescripteur juge indispensable le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Cela vaut, bien sûr, pour tout médicament.
Ainsi, si l’on veut résumer le régime de la prescription hors AMM, on retiendra plusieurs éléments fondamentaux.
- Premièrement, une prescription hors AMM n’est pas, en soi, illégale et elle ne peut pas caractériser, à elle seule, une faute disciplinaire du médecin prescripteur. Cela ressort d’un arrêt du 19 juillet 2011 du Conseil d’État. Le juge y précise que : « les prescriptions de médicaments hors du champ des indications figurant dans une autorisation de mise sur le marché n’étant pas par elles-mêmes interdites, la section des assurances sociales ne pouvait, sans commettre une erreur de droit, se borner à retenir cette circonstance pour la qualifier de faute, abus et fraude au sens de l’article L. 145-1 du code de la sécurité sociale ». Ceci est essentiel à comprendre pour les médecins que l’Ordre prétend aujourd’hui sanctionner pour avoir prescrit des traitements hors AMM qui ont, de surcroît, guéri leurs patients…
- Deuxièmement, et le Code de la santé publique est tout à fait explicite sur ce point : en l’absence d’autorisation ou de cadre de prescription compassionnelle dans l’indication considérée, la prescription hors AMM est licite à la double condition qu’il n’existe pas d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une AMM ou d’une autorisation d’accès précoce et que le prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Dans ce cas, l’ordonnance doit porter la mention « Prescription hors autorisation de mise sur le marché », ce qui implique d’informer le patient que le médicament est prescrit hors AMM et de lui exposer les risques encourus, les contraintes et les bénéfices attendus du médicament.
- Troisièmement et ce point est également crucial pour la défense des médecins aujourd’hui mis en cause, la charge de la preuve pèse sur la juridiction ordinale (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En d’autres termes, c’est à elle de démontrer que la thérapeutique employée fait effectivement courir un risque injustifié au patient. Là encore, c’est l’enseignement d’un important arrêt du 4 septembre 2000 du Conseil d’État. On observera, à ce propos, que l’initiative des convocations des médecins ayant prescrits provient de l’administration qui a saisi les ordres médicaux mais jamais, à ma connaissance, des patients…
Comment se fait-il que les ordres départementaux qui convoquent aujourd’hui les médecins ayant prescrit aient pu avoir accès à leurs prescriptions, ce qui leur permet de les poursuivre ou de menacer de les poursuivre ?
C’est une bonne question. La chose est en effet surprenante. L’explication pourrait néanmoins être assez simple, quoique hautement critiquable.
Il semblerait, au vu des courriers de convocation que j’ai pu consulter, que les ordres départementaux des médecins, qui exercent en principe un contrôle déontologique en premier ressort sur les médecins de leur département et sont dotés du pouvoir de saisir les chambres disciplinaires régionales, se soient appuyés sur les signalements que leur ont faits les directeurs des caisses d’assurance maladie, qui exercent aussi un contrôle mais d’ordre administratif sur les médecins.
En d’autres termes, contrôle déontologique et contrôle administratif ont été savamment mêlés pour créer une confusion et laisser croire que les ordres pouvaient, soudain, contrôler le contenu des prescriptions des médecins !
En effet, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, invoqué par nombre de courriers de convocation, est relatif au pouvoir de contrôle des médecins par les directeurs de caisses d’assurance maladie. Plus précisément, cet article autorise les directeurs de caisses à transmettre aux ordres médicaux les « faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie ». Cependant, et c’est là le point-clef, ce texte ne permet aux directeurs de caisses de signaler à l’Ordre des médecins que des faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie et aucun autre.
Cette analyse a d’ailleurs été confirmée, à propos de la transmission aux ordres médicaux par les directeurs de caisses de données à caractère personnel, par la Commission informatique et libertés (CNIL), dans une Déclaration du 16 août 2022 relative à la « Lutte contre les fautes, abus et fraudes par l’assurance maladie obligatoire ».
Il en ressort que le droit de transmettre des données personnelles aux ordres de médecins n’est octroyé aux directeurs de caisses que pour des motifs de fraude interne et les fautes, abus et fraudes, aucun autre motif de transmission n’étant recevable.
Selon la CNIL : « Les organismes gestionnaires des régimes obligatoires de base de l’assurance maladie sont autorisés à mettre en œuvre des traitements de données à caractère personnel dont la finalité est la lutte contre la fraude interne et les fautes, abus et fraudes (…). UTILISATION(S) EXCLUE(S) DU CHAMP DE LA NORME : Toute autre finalité ».
Au demeurant, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, qui n’a que rarement été mis en œuvre, ne l’a été, à ce jour, que pour des questions de dépassements d’honoraires ou de refus de soin (arrêté du 22 septembre 2011 portant approbation de la convention nationale des médecins généralistes et spécialistes). On en déduit que le pouvoir de signalement, donc de transmission d’informations, des directeurs de caisses est strictement limité aux manquements déontologiques et, s’agissant des données à caractère personnel, aux fraudes internes, fautes, abus et fraudes entrant dans la définition du manquement déontologique. Or, eu égard au principe de liberté de prescrire, le contenu de la prescription hors AMM par le médecin ne constitue pas une faute déontologique.
En somme, le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la santé et de l’industrie pharmaceutique.
Par conséquent, les convocations de médecins sur le fondement de l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale peuvent être, sous réserve de l’appréciation du juge, qualifiées d’illégales d’un point de vue procédural.
Dans le contexte actuel, il reste une question essentielle : les médecins ainsi convoqués peuvent-ils compter sur l’impartialité de leur ordre ?
La vraie question, à laquelle le droit apporte une réponse très claire, est celle de l’impartialité des formations disciplinaires des ordres, c’est-à-dire celles qui ont le pouvoir d’infliger des sanctions disciplinaires aux médecins (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En effet, les membres de ces formations sont soumis au principe d’impartialité, qui est explicité par la maxime : « Nul ne peut être juge et partie ». C’est un principe à valeur constitutionnelle (article 16, Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen). L’impartialité doit être, à la fois, personnelle (ne pas avoir de préjugés personnels) et fonctionnelle (ne pas être en situation de conflit d’intérêt).
L’obligation d’impartialité des membres des juridictions ordinales a été très clairement reconnue par la Cour européenne des droits de l’Homme. Ainsi, dans une décision du 20 mai 1998, affaire Gautrin c. France, la Cour décide, à propos d’un litige opposant SOS Médecins et d’autres associations intervenants dans le même domaine, que les juridictions ordinales compétentes ne pouvaient pas être qualifiées d’impartiales. Selon la Cour, « dans cette région, interviennent dans le même domaine des associations auxquelles participent certains syndicats médicaux et conseils départementaux de l’ordre (…). (Ce) litige dépassait le strict domaine du respect de la déontologie puisqu’il s’inscrivait dans le contexte d’une concurrence entre SOS Médecins et les autres associations d’urgentistes susmentionnées. Or, la Cour observe que les membres du conseil régional ainsi que trente-deux des trente-huit membres du conseil national – lequel élit en son sein la section disciplinaire – sont des praticiens désignés directement par les conseillers départementaux (…). Ces deux organes avaient de ce fait un lien troublant avec lesdites « concurrentes » de SOS Médecins et il est compréhensible que les requérants aient suspecté leurs juges de partialité ». Il s’ensuit que « ni le conseil régional de l’ordre des médecins d’Ile-de-France ni la section disciplinaire du conseil national du même ordre ne furent un tribunal « impartial » au sens de l’article 6 § 1. Bref, il y a eu violation de cette disposition ».
Le Conseil d’État ne dit pas autre chose. Il relève, par exemple, dans un arrêt du 22 décembre 2017, que le fait qu’un médecin ait, au titre de ses fonctions au sein de l’ARS, été antérieurement saisi par le conseil départemental de l’Ordre des médecins des faits reprochés à l’intéressé et avait alors préconisé une inspection sur place, en en informant le conseil départemental, « est susceptible de porter atteinte à l’équité du procès et au principe d’impartialité rappelés par les stipulations de l’article 6 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales ».
Le principe d’impartialité connaît de multiples applications, parmi lesquelles, comme il a été dit, l’interdiction des conflits d’intérêts, par exemple entre un médecin, un laboratoire pharmaceutique et le litige que ce médecin aurait à connaître au titre de membre d’une juridiction ordinale. Plusieurs outils permettent aux médecins convoqués pour avoir prescrits des traitements contre le covid-19 de s’assurer que les juges ordinaux qui ont à connaître de leur affaire sont dépourvus de conflits d’intérêts : la base de données « Transparence-santé » du ministère de la santé, la base des « Déclarations publiques d’intérêts » du ministère en charge de la santé ou encore la base « Euro for docs », qui est une base privée.
L’actualité est d’ailleurs riche en enseignement en matière de conflits d’intérêts des médecins. Ainsi, dans un domaine proche, celui de la déclaration de leurs liens d’intérêt par des médecins avant une prise de parole dans les médias, que le prévoit l’article L. 4113-13 du Code de la santé publique, le Pr. Bruno Lina et le Pr. Robert Cohen ont été récemment sanctionnés par la Chambre nationale du Conseil de l’Ordre des médecins pour n’avoir pas déclaré de tels liens.
Xavier AZALBERT
Jean-Luc DUHAMEL
Héloïse BOCCHIO,
en partenariat avec les associations Bonsens.org et AIMSIB
Août 2022
IMPORTANT : La note d’information juridique « Arguments à faire valoir en cas de convocation par l’ordre des médecins pour avoir prescrit » et une proposition de lettre type sont téléchargeables ci-dessous :
[button link= »https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/wp-content/uploads/2022/08/jpj-arguments-a-faire-valoir-en-cas-de-convocation-par-lordre-des-medecins-pour-avoir-prescrit-0-0.pdf »] Arguments à faire valoir[/button]
[button link= »https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2023/11/image-4042920-20201130-ob-6b8f5e-dr-helene-banoun.jpg.org/wp-content/uploads/2022/08/proposition-de-lettre-type.pdf »] Proposition de lettre type[/button]
37 Responses
Lors de la crise Covid, les patients ont été éloignés des cabinets médicaux. Les revenus des médecins de ville ont baissé. Les vannes se sont réouvertes à l’arrivée du vaccin avec des rémunérations mirobolantes, faisant la fortune des laboratoires producteurs.
Les médecins qui sont restés hors de ce système, ceux qui ont soigné autrement, ont eux été contre-productifs pour la vaccindustrie. Logique qu’ils soient persécutés maintenant. Ils ont toute ma sympathie.
Non-vaccinée à 76 ans, j’ai été contaminée par une personne vaccinée. Je passe sur les détails qui me permettent de l’affirmer. On m’a donné du Doliprane que je ne ai pas pris. Puis un médecin de l’AH-SI (« Soignez Heureux ») m’a délivré une ordonnance incluant une prescription d’Ivermectine entre autres.
J’apprends aujourd’hui qu’il est convoqué par l’ordre des médecins et je trouve cela navrant.
Une épouse et soeur de médecins.
Bonjour Madame,
Je viens de lire l’article ainsi que le commentaire que vous en faites.
j’espère que vous transmettrez au médecin qui vous a soignée, et est à présent parmi les convoqués, les documents mis à disposition par l’AIMSIB afin qu’il ait de quoi répondre des ses actes et de se défendre de cette démarche inacceptable.
Bien amicalement
Cet article est exemplaire pour expliquer le Droit, ce Droit de « liberté prescrire qui est la mission première du médecin, pour mettre tout en oeuvre en œuvre pour soigner et, idéalement, guérir son patient. » C’est pour cela que je vais voir un médecin, pas pour l’écouter m’ ânonner des obligations gouvernementales comme prendre prendre du Paracetamel en cas de Covid et attendre d’avoir un pied dans la tombe et l’autre sur le couvercle du cercueil avant d’appeler le SAMU qui me conduira au Urgences qui elle me refuseront parce que je ne suis pas vacciné.
merci à l’AIMSIB et au collectif qui a rédigé ce texte qui me réconcilie avec les Avocats.
Je vois un autre conflit d’intérêt au sein du conseil de l’Ordre.
Si des médecins sont reconnus légitimes dans leur prescription de traitements alternatifs précoces, cela veut dire que ceux qui n’y ont pas eu recours sont coupables de non assistance et de négligence grave, puisqu’ils ont renoncé volontairement à un traitement qui pouvait sauver leurs patients.
Et c’est le cas pour la majorité des membres du CNO, je suppose…
Donc on peut penser qu’ils condamnent pour éviter d’être condamnés eux-mêmes.
Ce qui constitue un conflit d’intérêts majeur, et une position de juge et partie.
qui maintenant a encore le courage d’aller voir un médecin ? qui peut avoir confiance en lui, confiance qui nous donne un traitement qui marche ou défiance qu’il nous file un truc merdique promu par les labos et la corruptosphère médicale ? Toute la sphère médicale est corrompue et cela est apparu au grand jour pendant ces 2 ans. Avant cela se voyait moins.
je n’ai plus confiance dans les médecins, hormis les quelques qui ont soignés. Je n’ai plus de médecin traitant depuis plus de 10 ans. je n’ai plus aucune confiance dans le monde médical. je ne me sens pas prendre un traitement qui me serait prescrit, traitement décidé sur des études frauduleuses et qui perdure par une absence de pharmacovigilance et un déni des effets secondaires.
Comme les publications sont corrompues, que la pharmacovigilance a pour objectif de laisser le plus longtemps possible les molécules toxiques sur le marché, que les société savantes mettent de l’eau à ces moulins, les ordre de même, il est impossible pour un médecin d’avoir une vision éclairée de ce qu’il fait. Seul la poignée de molécules « ancestrales » peut être utilisé sans risques. Ces même molécules que la corruptosphère s’emploie à interdire.
Nous avons fait le plein d’homéopathie et en avons assez pour le reste de notre vie et même la suivante (d’autant plus qu’on peut la dupliquer facilement). plus besoin de médecin 😉
C’est l’occasion de rappeler le décret du 26 mars 2020 qui autorisait les généralistes à utiliser l’hydroxychloroquine pour traiter les patients covid. 24 heures plus tard le décret est inversé : il interdit aux généralistes de prescrire dans cette indication !!!
Comment cela fut il possible ? Dans la foulée de cet événement on a pu voir une intervention du premier ministre qui signe les décrets : il parle derrière un pupitre translucide marqué « premier ministre ». Un peu plus loin, sur la même ligne il y a un second pupitre rigoureusement identique et aussi marqué « premier ministre ». Derrière ce pupitre se tient Karine Lacombe infectiologue à l’hôpital, St Antoine à Paris. Elle parlera, elle aussi ou plutôt elle va s’en prendre violemment à Didier Raoult qui fait du très mauvais travail à Marseille car il ne fait pas de randomisation …
La France avait donc à ce moment là 2 premiers ministres côte à côte. Lequel des deux avait réellement signé le décret qui inversait le premier ?
Second question : que valaient les critiques formulées par Karine Lacombe ? J’en ai déjà parlé ici, je vais reprendre cela dans un autre commentaire.
Erreur. Désolé pour vous.
C’est le 13/01/2020 qu’est publié , par Buzyn, l’ordre qui interdit -à partir du 15- l’hydrocychloroquine qui devient substance vénéneuse.
Que savait, à cette date Buzyn?????
Savait-elle par son mari Lévy? Lévy impliqué dans la construction du labo de Wuhan?
Que savait Buzyn à cette date pour interdire une molécule efficace contre le Covid19?
Vous avez la réponse plus tard….. elle a été embauchée par l’OMS!
Inexact pas d’interdit mais l’hydroxychloroquine était en vente libre et nécessiterait une ordonnance à partir de la.
La randomisation est elle l’incontournable panacée des études sur l’efficacité d’un traitement ? On peut dire 2 choses :
1- Si on a décidé de réaliser l’étude avec un groupe placébo alors OUI, il faut sélectionner au hasard ceux qui seront dans le groupe traité et ceux qui seront dans le groupe non traité. Pas de problème sur ce point.
MAIS, MAIS, en pareil cas et une fois la collecte des données achevée, il est INDISPENSABLE de rechercher l’existence de ce que la médecine appelle les facteurs de confusion comme par exemple le sexe si celui-ci intervenait dans l’efficacité du traitement.
En effet, si toutes les personnes incluses dans l’étude avaient une même probabilité de guérison spontanée et une même probabilité de guérison sous traitement, il ne serait d’aucune utilité de faire une randomisation, les participants étant interchangeables.
Il serait donc totalement ridicule de s’embêter avec une randomisation, ce qui implique qu’on admet qu’il pourrait y avoir au moins un f acteur de confusion, pour ensuite s’arrêter là sans se donner la peine de les rechercher.
Un exemple pour comprendre : un médicament a 40% d’efficacité sur les hommes et 80% sur les femmes. Une randomisation sur 400 malades a donné 100 homme et 100 femmes traitées contre autant de non traités. La comparaison entre les 2 groupes donnera 60% d’efficacité et on passera à côté du problème qui est que le traitement est beaucoup plus efficace sur les femmes.
Pour le faire apparaitre il faut comparer les 100 hommes traités aux 100 femmes traités. Puis faire d même avec les non traités. Constatant des écarts très significatifs au moins sur les traités, il faudra dissocier pour comparer les hommes traités et non traités puis les femmes traitées et non traitées. Cela fera en tout 4 tests or il y a 4 inconnues : les probabilités de guérison
pour les hommes traités et non traités et de même pour les femmes. Tout le monde sait qu’avec 4 inconnues il faut 4 équations qui en statistiques sont remplacées par 4 tests. C’est cohérent.
D’ailleurs il devrait paraitre évident que s’il ya un facteur de confusion comme le sexe, il y aura 2 résultats à trouver, ce qui sera impossible si on laisse les données groupées.
Les auteurs de telles études devraient donc impérativement donner la liste des facteurs de confusion possibles qu’ils ont recherché (sexe, âge, groupes sanguins, ethnies, HLA …). Cela est-il pratiqué ?
2- On peut aussi traiter tous les malades et comparer avec l’évolution connue de la maladie en l’absence de traitement (quand celle ci est connue). C’est ce que faisait Raoult. La méthode n’est pas à rejeter a priori.
En conclusion, l’important n’est pas la randomisation mais la recherche active des facteurs de confusion mais ça c’est la pêche à la ligne, on n’est jamais sûr de ferre un gros poisson même s’il y en a dans la rivière.
ce type d’étude avec randomisation, groupe témoin et très grand nombre, (parce que la randomisation ne prend sens que sur les grand nombres), cela veut dire que le produit que l’on étudie à peu d’efficacité.
je m’explique. Imaginons une expérience pour savoir si une balle à blanc tue plus ou moins qu’une balle non à blanc. Il n’est pas besoin de faire un essaie sur 100 000 000 de personnes (500 000 d’un coté et autant de l’autre), vous le faites sur 6 personnes et vous constatez sans aucun doute possible que les 3 à blancs sont vivant et les 3 autres sont morts. Il n’est même pas besoin de faire du multicentrique pour savoir si les nordiques sont plus sensibles aux balles réelles que les asiatiques.
Maintenant prenons un autre exemple à l’opposé. Imaginons que nous voulions montrer que l’eau de source est meilleure pour la santé que de l’eau minérale (ou l’inverse, je ne suis pas obtus). Il faudra le faire sur 10 000 000 millions de personnes, en double aveugle et randomisé, pour trouver un pourcentage de différence entre un critère secondaire, genre il y a 300 personnes avec moins de cholestérol d’un coté et 100 de l’autre, donc une efficacité de 66%. C’est la preuve factuelle que cela ne marche pas, mais c’est la preuve scientifique que cela marche. parce que globalement l’eau minérale ou de source n’a en population générale aucune incidence sur la santé. AUCUNE de ces études n’est reproduite par une autre équipe, avec d’autres gens, pour trouver les MẾME résultats. si le pourcentage d’efficacité diffère alors cela veut dire que les 2 sont faux et qu’il faut la refaire. le multi-centrique pour concaténer les résultats et faire une moyenne sont un artifice d’élève de primaire.
Par exemple imaginons que vous donniez la même copie à 2 profs. Si l’un attribue un 18/20 et l’autre un 6/20 est-ce que vous penseriez que la copie « vaux » un 12/20 ? Pourtant c’est ce qui est accepté dans ces études « multicentriques »
Je passe sous silence qu’il y a une différence majeure entre les conditions de l’expérience et la réalité. La preuve la plus éclatante étant qu’AUCUNE molécule moderne n’a répondu correctement à une problème de santé publique, malgré tout cette « science » statistique.
la mafia médicale s’est accoquiné avec des mathématiciens pour faire plus « science », mais les 2 se fourvoient : les scientifiques parce qu’ils pensent pouvoir utiliser des règles pour modéliser l’individu et les mathématiciens parce qu’ils ont oublié que leur « règles » ne fonctionnent qu’avec des populations strictement identiques alors que les humains sont tous différents.
est-ce que vous feriez un test d’équilibrage de pièces en mélangeant des pièces de toutes les monnaies et de toutes les valeurs et seulement une seule fois sur un grand nombre de pièces ? vous en tireriez quoi de pertinent ?
Avec vos pièces Herve-02 il faudrait rechercher si elles ont toutes une même probabilité de tomber sur pile. Sinon il faut dissocier, c’est ce qu’en épidémiologie ils appellent les facteurs de confusion. Ils en parlent souvent mais les ignorent aussi très souvent. Un exemple :
Les publications Mikaeloff-Tardieu sur le lien entre scléroses en plaques (SEP) et vaccination hépatite B font état de 154 atteintes démyélinisantes centrales dont 80 SEP (52%) et de 195 atteintes non vaccinées HB dont 63 SEP (32%). L’écart est très significatif : une chance sur 10 000 d’observer un écart au moins aussi important par le fait du hasard.
C’est comme si vous aviez 80 piles en lançant 154 pièces de 1€ et 63 avec 195 pièces de 2 €. Il y a obligation de dissocier les pièces de 1 et 2 euros.
Mais les auteurs ont traité ensemble les 349 atteintes démyélinisantes centrales dont 143 SEP pour comparer à des témoins pour conclure, les proportions de vaccinés HB étant statistiquement comparables, que tout va bien, il n’y a pas de signal en faveur d’un lien entre la vaccination HB et la SEP !!!
Je suis mathématicien et je ne peux évidemment cautionner de tels procédés : ici le facteur de confusion est évident entre atteintes démyélinisantes non SEP. et SEP mais les auteurs et commentateurs ne semblent pas avoir vu quoi que ce soit.
Force est aussi de constater que les leaders de la critique de la vaccination HB par rapport à la SEP n’ont rien vu non plus alors qu’ils étaient à l’affut de tout signal en faveur d’un tel lien. S’ils avaient vu, ils l’auraient dit.
@Bernard Guennebaud
Vous parlez de dissocier les pièces. celles de 1 euros, de celle de 2 puis de 50cts, puis les pièces islandaises et américaines… En clair il faut trier les pièces par « genre » (ah ah ah) pour se faire une idée.
Reporté à la médecine, il faut alors dissocier les hommes des femmes, ceux de 30 ans de ceux de 50, ceux ayant du cholestérol de ceux qui n’en ont pas, ceux ayant des prédispositions génétiques de ceux qui n’en ont pas, les riches des pauvres etc… pour en fait ne regarder pratiquement des cas individuels.
comme vous le dites, il faut éliminer les facteurs de confusion or il y a des centaines de facteurs de confusion (le groupe sanguin et le rhésus en sont probablement), les groupes HLA en sont également…
si on commence à parler de ces facteurs de confusion on met en cause l’idée même du double aveugle. Une méthode pour atténuer cette différence pourrait, peut être, de faire des tests statistiques par (des centaines de) tirages au sort de groupes de différentes tailles dans chacun des 2 populations et vérifier que les pourcentages sont stables pour des sous-groupes au hasard, renouvelés des centaines de fois. comme je le disais un copie qui vaut 18 pour l’un et 8 pour l’autre ne vaut pas 13.
De toute façon, pas la peine de disserter des heures, cette technique ne fonctionne pas, preuve en est la réalité sur le terrain des molécules ayant passées avec succès les « tests » sont très très différents de l’étude. L’exemple même du vaxXxin covid est un caricature car il s’ajoute la fraude et la manipulation. Mais même une étude « sérieuse » ne passe pas à l’échelle. Il n’y a aucune molécule découverte sur les 30 dernières années qui a changé la face de la médecine. Preuve en est que pour le covid c’est la choroquine et l’ivermectine qui bat tout le monde.
Le concept même de la randomisation double aveugle est inopérant. il peut peut être fonctionner avec des clones parfaits mais cela reste à démontrer) , mais nous ne sommes pas des clones.
Après la mort subite du nourrisson, très fortement soupçonnée d’être liée aux vaccins, voici la mort subite des jeunes en bonne santé.
Bien sur, toute corrélation avec le vaxxin ne saurait être que pure coïncidence.
https://www.lifesitenews.com/blogs/doctors-baffled-by-a-mysterious-new-sudden-death-syndrome-killing-healthy-young-people/
Il se dit que chaque booster fait perdre 20% d’immunité.
Lorsque les 4 millions de doses commandées par l’UE seront injectées (10 par habitant), j’ai bien peur qu’il ne reste pas grand-monde pour intenter les procès.
Enfin il a été révélé que le vaccin Novavax était en cours de déploiement car il pouvait être commercialisé comme un vaccin « plus traditionnel », car il n’était pas fabriqué à partir d’ARNm. Novavax devait être dirigé vers les non vaccinés. Mais voyons comment est concocté ce nouveau vaxxin hasardeux (l’imagination des fous est sans limite):
https://merylnass.substack.com/p/novavax-vaccine-contains-1-mg-of
Mais je crois que les masses se réveillent, et que les zélites n’iront pas beaucoup plus loin dans leurs délires.
Dans le milieu médical, on sait bien qu’il y a un lien entre vaccination et MSN, et ont fait tout pour ne pas le découvrir (c’est comme le couchage sur le ventre qui a tué à la louche. 15 000 bébés en 15 ans). il y a eu une grande enquête sur les msn en france, il n’a bien entendu pas été analysé la date de la dernière vaccination. Cela aurait été tellemetn simple de clouer le bec aux antivax. mieux valait demander qui a fait la découverte et quel numéro de téléphone a été composé. ça c’est de l’enquête
» Of 2605 infant deaths reported to VAERS from 1990 through 2019, 58 % clustered within 3 days post-vaccination and 78.3 % occurred within 7 days post-vaccination, confirming that infant deaths tend to occur in temporal proximity to vaccine administration. The excess of deaths during these early post-vaccination periods was statistically significant (p < 0.00001)."
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214750021001268
C'est statistiquement impossible sans avoir une causalité. je sais bien que l'on nous ressasse à satiété (jolie allitération non ?) que la causalité n'est pas une corrélation. Sauf que la "preuve" que les vaccins marchent c'est que depuis qu'ils existent, il n'y a plus les maladies. c'est que l'on appelle en médecine la bonne causalité (cours de 1ère année) vs la mauvaise causalité qui n'est qu'une simple corrélation c'est par exemple mauricette qui attrape la vache folle après un vaccin. Là, c'est juste une corrélation. Il faut avoir fait 10 ans de médecine pour être capable de faire la différence.
la science médicale est une arnaque, même si certains à l'intérieur sont de bonne foi. C'est comme un religieux, il pense vraiment ce qu'il dit, mais cela n'en fait pas une vérité.
On ne comprends rien à la succession des commentaires ! Qui répond à qui ? Revenez SVP à l’ancienne méthode. Merci.
Merci !
Bonjour à tous
Puisque l’article porte sur le Droit…, au sujet de cette nouvelle circulaire de l’Éducation Nationale « Sensibiliser les jeunes du CP au lycée à la vaccination »
https://eduscol.education.fr/2792/sensibiliser-les-jeunes-du-cp-au-lycee-la-vaccination
la réponse de l’Association Reaction19.fr à cette tentative de formatage des enfants otages d’une évidente propagande dès l’école élémentaire pour promouvoir « illégalement » la vaccination…
MISE EN DEMEURE au ministre de l’éducation PAP NDIAYE
26 aout 2022
extraits du PDF en ligne
« … Or le document précité porte atteinte aux principes essentiels qui régissent le respect de l’enfant mineur et de l’autorité parentale. Il porte atteinte au secret médical des enfants mineurs, alors que ces derniers devraient être protégé encore plus vigoureusement par les institutions de l’État.
… Votre Ministère et vos enseignants engagent ainsi leur responsabilité personnelle pour des agissements qui n’entrent pas dans leurs prérogatives.
Au vu de ce qui précède, je vous demande par la présente de procéder au retrait, sous huitaine, de ce document, qui en l’état est une atteinte aux principes précités et qui comporte, ainsi des violations pouvant engager votre responsabilité pénale et celle des enseignants, ainsi que celle de l’ensemble des fonctionnaires qui porteraient leur concours à la mise en œuvre de cette activité pédagogique qui apparaît, au surplus, totalement absurde.
(…)
A défaut de retrait de cette fiche dans le délai précité, nous vous informons que nous mettrons en œuvre les actions civiles et pénales, pour faire sanctionner vos agissements et protéger ainsi nos enfants de la turpitude de vos agissements contraires aux intérêts des enfants et de leur parents.
Vous souhaitant bonne réception… »
ASSOCIATION REACTION
Carlo Alberto BRUSA
Président
https://reaction19.fr/reaction19/actualites/mise-en-demeure/2022-mise-en-demeure/260822-med-au-ministre-de-leducation-pap-ndiaye/
Il ne faudrait pas se méprendre sur les rôles de la randomisation pour créer un groupe placébo. Le plus habituel est de dire que si le médecin orienteur voulait par exemple favoriser le traitement, face à un malade lui paraissant particulièrement faible, il le placerait plus ou moins consciemment dans le groupe placébo.
C’est une raison mais il y en a une autre : supposons que le fait d’être du groupe sanguin AB rende le traitement peu efficace par rapport aux autres groupes. Comme ce groupe sanguin est rare, il y aura peu de malades du groupe AB, disons 50. Une répartition aléatoire donnera par exemple 27 cas traités et 23 non traités, ce qui permettra une comparaison pouvant être valable. Par contre, en l’absence de randomisation, la répartition pourrait être 40 contre 10 et là, la comparaison ne pourra plus être fiable.
La randomisation a donc pour effet d’offrir plus de chances de pouvoir tester valablement de possibles facteurs de confusion. Mais comme il est admis que cette randomisation dispense de rechercher les facteurs de confusion puisqu’elle les répartis à peu près équitablement entre les traités et les non traités, cet aspect des choses n’a pas été vu.
C’est parfaitement inexact et ca montre que l’auteur n’a pas du souvent lire en detail une etude medicale. La quasi totalite des etudes randomisees comportent une section d’analyse de sous groupes pour justement mettre en evidence de potentiels facteurs de confusion.
Ca a ete fait pour les etudes randomisees Covid pour les facteurs les plus evidents (age et sexe).
@ Gille sur 31 août 2022
Votre opinion est bien sûr recevable mais merci d’illustrer votre commentaire en réponse à Bernard G avec des sources, ou pour le moins avec des exemples concrets, didactiques.
Cordialement
@Gille
sans avoir besoin d ‘avoir lu l’étude sur l’injection covid, il apparaît évident, même pour un enfant de 5 ans, que le vaxXxin censé marcher à 96% à 2 injections, même après analyse des sous groupe pour éliminer les facteurs de confusion, ne marche même pas avec 4 injections.
Ce qui semble prouver 2 choses : Soit il y a d’autres facteurs de confusion, soit le principe même de l’étude randomisée ne fonctionne pas. je penche pour cette 2ème hypothèse. D’ailleurs, en médecine, les progrès viennent d’études observationnelles à posteriori. ce qui ressemble quand même à un sacré pieu (à ce niveau ce n’est plus un clou) dans le cercueil.
Ce qui se passe, en général, c’est que l’étude montre un produit miracle sans effet secondaires grave. Puis avec le temps on s’aperçoit que cela ne change rien en terme de mortalité sur le cœur de cible et pour certains, on doit les retirer en douce parce que les morts s’accumulent de trop.
Cette histoire de recherche de facteurs de confusion (sexe et age – ce qui serait la réponse d’un élève de 6ème) montre que la médecine n’a pas compris comment fonctionne le corps humain et s’accroche donc à ce qui lui semblent évident. Il a biologiquement probablement plus de différence entre 2 hommes du même age mais de 2 régions fort différentes depuis longtemps qu’entre un homme de 50 et une femme de 20 frère et soeur.
Bien sûr que des auteurs cherchent cent des facteurs de confusion comme l’âge et le sexe parmi les plus courants a priori mais aussi les groupes sanguins et les ethnies. Bien sûr que cela se fait et heureusement !
Mais l’essentiel de mon propos ici était par rapport à cette insistance que seules les études randomisées seraient valables alors que l’essentiel est la recherche active des principaux facteurs de confusion et ce, que l’on fasse une étude avec groupe placébo ou que l’on traite tout le monde pour comparer avec ce que l’on sait de l’évolution de la maladie en l’absence du traitement étudié.
J’ai donné en d’autres occasion l’exemple de la streptomycine contre la tuberculose. Une étude anglaise fut conduite en 1949 avec 107 malades retenus, 52 non traités et 55 traités. l’avantage fut clairement en faveur des traités à la streptomycine.
Et de clamer que c’était grâce à la randomisation que l’on avait pu mettre en évidence l’efficacité du médicament.
A l’époque il y avait beaucoup de tuberculose en Angleterre comme en France. Des milliers de cas avaient été décrits dans la littérature médicale. Comment. penser que ces 52 cas étaient plus probants que ces milliers de cas décrits avec beaucoup d’autres observes tous les jours. Au contraire, en traitant les 107 cas il aurait été possible d’avoir une meilleure information sur les effets de la streptomycine qu’avec seulement 55.
L’inconnue à l’époque c’était l’action du médicament, pas l’évolution de la maladie en l’absence de traitement
Voir l’article Aimsib de juin 2020 qui est édifiant à ce sujet :
https://www.aimsib.org/2020/06/21/covid-19-et-cette-rigueur-scientifique-qui-nous-aura-tout-le-temps-manque/
« C’est la seule façon de neutraliser le plus grand empêcheur de tourner en rond : le hasard ! Il n’y a qu’une seule façon d’exclure le hasard d’une expérience médicale et c’est l’étude randomisée contre placebo. »
Cette affirmation est totalement fausse : si la randomisation est indispensable QUAND on veut construire un groupe placébo, cela n’est que la première étape qui est anéantie si on ne fait pas une recherche active et pertinente de facteurs de confusion possible. C’est par rapport à cela que je m’étais exprimé ainsi.
A la fin de l’article vous trouverez l’étude randomisée avec la streptomycine.
j’entends bien votre défense de la randomisation avec le cas du cas AB rare. Mais cela voudrait dire que le (ou les) médecins sans le savoir placeraient les cas AB dans le même groupe. j’adore votre commentaire pour défendre le soldat étude scientifique randomisée « Par contre, en l’absence de randomisation, la répartition pourrait être 40 contre 10 et là, la comparaison ne pourra plus être fiable. » qu’est-ce que vous faire dire qu’il pourrait y avoir 40 d’un coté et 10 de l’autre ? cela voudrait dire que le médecin regarderait le groupe sanguin avant de faire le partage. pourquoi ferait-il cela ?
Cette randomisation est le bouclier « scientifique » de l’étude de médecine, une sorte de pieu contre le vampire. Cela veut dire que les gens sont équipropablement identiques ou que la randomisation permet de répartir équitablement les gens. Il n’y a pas de preuve de cela. Cela peut se vérifier probablement sur les très grand nombres, mais le hic c’est que ces très grand nombres ne servent qu’à montrer un pouillième d’efficacité pour les choses qui ne fonctionnent pas dans la vraie vie.
comme je le radote AUCUNE étude randomisée double aveugle n’a mis sur le marché une molécule ayant eu un effet notable en santé publique. Mieux de nombreuses études en double aveugle permettent à des molécules nuisibles d’avoir un accès au marché illimité, avec son cortège de morts évitables et c’est l’observation rétrospective qui permet de libéré l’espèce humaine du poison, après un ou plusieurs décennies de batailles contre les médecins eux même.
comme je le radote… il n’est pas possible de transposer une rigueur mathématique conceptualisée pour fonctionner sur des identiques (les même pièces, le même ensemble de nombre, les même objets géométrique…) à des gens qui sont tous différents. Sinon on peut tout a fait supprimer le médecin et le remplacer par un système expert : une suite de question oui-non provenant d’un système expert et un traitement informatiquement mis au point.
la médecine n’est pas une science, c’est devenu une gesticulation pseudo-scientifique qui a probablement tué plus de gens qu’elle n’en a soigné. le délire du covid, et de ces injections tueuses, qui n’est qu’un Nième délire (mediator, vioxx, hormone de croissance, sang contamine, dépakine, distilbène, prozac, de nombreux vaxXxins… et j’en oublie de nombreux.) de l’abus mathématique.
La même molécule peut agir différemment sur 2 personnes différentes et c’était le rôle du médecin, de par son expérience (l’observation rétrospective – ce qui est conchié de nos jours) de réussir à affiner ses modes de traitements. MAIS on supprime cela pour une normalisation mathématique. au bout de quelques centaines de générations cela fonctionnera, parce que cela aura tué ceux qui ne réagissent pas comme attendus (darwinisme imposé).
Alors les chantres de ce scientisme peuvent toujours dire, oui mais c’est pas parce que cela marche sur 3 personnes que cela marche. N’empêche raoult à soigné des gens qui allaient mourir avec une observation sur 36 personnes et que pfizer à probablement tué des millions de gens qui ne craignaient rien avec une vraie étude double aveugle randomisée golden standard.
1-0 ?
C’est quand même amusant de me faire le chantre de la randomisation alors que ‘essentiel de mon propos serait plutôt de défendre l’autre méthode qui consiste à traiter tout le monde comme le faisait Raoult avec son histoire de parachute !!!
Cette méthode a été déclarée par certains comme non applicable en médecine. J’ai redonné l’exemple de la streptomycine pour montrer que l’on pouvait tout à fait traiter tout le monde et que cela aurait été plus pertinent qu’une randomisation.
On peut aussi, par cette méthode, comparer les malades entre eux : avec un médicament ayant 50% d’efficacité sur les hommes et 60% sur les femmes, on dispose de 200 hommes malades et 200 femmes malades. La première chose est de voir que le traitement est plus efficace chez les femmes que les hommes.
1- On fait une randomisation qui donne 100 hommes et 100 femmes traités et autant de non traités. On pourra très bien avoir 53 hommes guéris contre 57 femmes, c’est tout à fait compatible avec les variations aléatoires. Mais la comparaison entre hommes et femmes guéries ne sera pas significative. On passera à côté du problème.
2- On traite les 400 malades. On compare alors 200 hommes traités avec 200 femmes traitées. Même si on a par exemple 104 hommes guéris contre 116 femmes, le test sera significatif et on mettra le problème en évidence.
Je compare les mérites des 2 méthodes. Elle peuvent être toutes les 2 utiles selon ce qu’on cherche et selon les conditions. Je constate, nous constatons, qu’une propagande énorme vise à discréditer la méthode Raoult. IL s’est fait traiter de tous les noms pour cela. Ce n’est pas acceptable.
Mais je suis entièrement d’accord avec vous sur le scandale raoult. Sauf que le raoult défendait quand même la vaccination des soignants alors qu’il n’existait aucune étude scientifique ni observationnelle pouvant scientifiquement le justifier. juste le « concept » vaxXxin qui est à la médecine ce que la virginité de la vierge est aux catholiques.
D’ailleurs si on l’écoute bien lorsqu’il parle des vaccins des enfants, ils parlent pas vraiment d’éviter les morts, mais des jours de la maladies loin de l’école et autre passage à l’hôpital. Ainsi son bénéfice risque est d’un coté ne pas louper l’école pour les bénéfices et de l’autre le décès prématuré pour les risques. Quels parents débiles prendraient ce pari ?
en fait dans votre défense de la randomisation, j’ai l’impression que vous confondez 2 choses : l’étude et l’observation. Le bocal scientifique et le monde réel. je ne pense pas que les tests statistiques, les loi mathématiques, bayes et consort peuvent être d’une utilité en médecine. Peut être en santé publique puisque les individus sont des numéros dans un tableur, on peut se permettre d’en perdre un pourcentage si cela ne se voit pas trop, mais individuellement, si votre enfant tombe dans ce pourcentage, pour vous c’est 100%.
je ne crois pas du tout à la théorie scientifico-mathématique des études dites scientifiques avec plein de formules de math dedans pour juger de l’effet d’un médicament. Pour le dire autrement, sil faut 6 000 personnes pour montrer qu’il y a 10 malades de moins dans le groupe témoin, votre traitement ne marche tout simplement pas. Si le résultat est pratiquement aucun malade dans le groupe traité et 90% dans le groupe non traité, il n’y a pas besoin d’étude en double aveugle pour montrer que le traitement marche. Exemple : un ehpad avec ivermectine : 2 morts sur 50 et un sans : 25 morts sur 50. pas besoin de faire des tests statistiques. en revanche vous pouvez refaire le test dans une autre éhpad.
J’ai une question simple mais iconoclaste sous forme d’exercice de pensée. Imaginons que vous ayez 2 écoles à égale distance de votre domicile, ayant des frais de scolarité identique, en cadre identique.. que l’une à 90% de résultats aux bacs généraux et l’autre 57%. Est-ce qu’avant d’inscrire votre fils dans l’une ou l’autre de ces écoles, vous feriez une étude en double aveugle avec 500 élèves réparties équitablement au hasard dans les 2 écoles et attendrez les résultats ?
Autre exercice de pensée. Imaginons que vous avez 2 voisins, l’un qui se vaccine et meurt 3 jours après et l’autre qui tombe un peu malade mais, soigné, est guérit 3 jours après. Avant d’aller vous vacciner, est-ce que vous lisez 3000 études en testant la randomisation, les facteurs de confusions, la durée de l’étude ou vous vous dites que cela peut attendre un peu ? Et si dans votre village de 150 habitant, il y a 3 morts cette année de vaxXxination contre 1 en moyenne tous les ans ?
L’étude randomisée en double aveugle, c’est comme le crédit scoring mis en place dans l’accord d’une institution financière pour des crédits revolving. C’est une image à un temps T pour une population donnée. Cela veut dire que statistiquement en regardant ce qui s’est passé, on a plus de chance de ceci ou cela pour un « profil » particulier (ceux inclus dans l’étude). MAIS comme vous avez été obligé de simplifier à l’extrême les profils parce qu’il est impossible de travailler sur 150 paramètres en même temps (le scoring où j’ai fait mon stage c’était 5 paramètres chèque annulé vs rib, carte identité vs permis de conduire, propriétaire locataire, et 2 autres qui me sont sorties de la tête, mais du même ordre, peut être le montant de l’achat en question ) et qu’il y a des données qui ne vous sont pas accessibles. si vous prenez ensuite 1 personnes dans la population vous ne pouvez pas être certain qu’elle remplit les critères qui font que dans le groupe traité de l’étude (ou dans le groupe scoré) la mortalité était moindre. Et sauf si la personne à un pronostic vital engagé, il est criminelle de lui donner le produit en question. Est-ce que « statistiquement » vous avez plus de chance de tomber sur l’un ou l’autre des groupes ? en fait non parce que pour se faire, il faudrait que la population de l’étude soit équiprobable de la population générale et on sait tous les deux que ce n’est pas possible (c’est pour cela que si on accroît la population de l’étude on se rapproche de l’équiprobabilité, mais qui peut faire une étude à 13 millions de français ?). C’est juste une croyance comme le fait que manger du porc c’est pas bien pour les musulmans pratiquants.
Dans votre étude sur 104 hommes vs 116, en gros juste 12 de plus sur 200 6% c’est juste insignifiant ! ! ! il se peut que seulement sont guéris sont qui ont des partenaires multiples (différences de flores) ou ceux qui sont en moyenne plus grands dans leur fratrie ou ceux qui ont un gène particulier qui s’exprime, ou qui se chauffent au bois, ou font du sport, ou se masturbe plus, ou au contraire n’ont pas de relations sexuelles, ou font des retraites et des jeuns, ne travaillent pas devant des écrans, vivent dans un environnement avec moins d’ondes, ou plus d’ondes je suis pas sectaires….
le pire de tout c’est que vous pourriez refaire une autre étude et trouver 120 chez les hommes et 96 chez les femmes et dans ces cas là, il ne faut pas additionner les 2 études pour faire une moyenne (une copie qui a 2 notes très différentes par 2 profs ne veut pas la moyenne de ces 2 notes)
C’est pour cela que je ne crois pas à ce mythe de l’étude scientifique. D’ailleurs aucune molécule « miracle » n’a été trouvée par ces méthodes depuis 50 ans ? Elles vont, viennent disparaissent ce qui montre qu’elles n’ont pas un service médical évident.
Juste un dernier mot : ma défense du tirage au sort est conditionnelle, c’est Si on veut construire un groupe placébo alors il faut effectivement le construire par tirage au sort.
IL Y A UN SI ! Mais j’ai toujours défendu qu’il existait d’autres moyens d’études que de passer par la construction de ce groupe placébo et je crois avoir passé beaucoup de temps à cela, y compris dans les commentaires de cet article.
oui je suis d’accord avec vous, mais la question se trouve à un autre niveau, il ne peut y avoir d' »études » autre qu’observationnelles et a postériori.
Ainsi, je ne le considère pas comme une « étude », mais du soin qui s’adapte dans le temps et au cas par cas. Ce qui a construit notre médecine avant que les labos, la finance et les statisticiens ne la détruisent.
Pour le dire autrement, même un groupe témoin, fut-il randomisé, ne veut rien dire. et rien ne peut démontrer que la randomisation et le double aveugle ajoute de la « précision ». Ou alors sur un nombre tellement grand que ce n’est pas réalisable.
Cette étude sur un très grand nombre est ce qui se passe actuellement avec la vaccination covid SAUF que l’on ne suit rien du tout. ce n’est donc pas une étude dite de phase 3, ni même une expérience, puisque l’expérience implique une observation du résultat et actuellement ils font tout pour ne pas observer le résultat.
Je ne suis pas dans une profession de santé, mais si je l’étais face à un Conseil de l’Ordre je leur demanderais s’il ne faudrait pas s’inquiéter sans plus tarder des méfaits causés par ces « vaXXins » covid, car les EIG n’ont jamais été de toute l’histoire de la vaccination aussi importants comme le signalent les panneaux affichés à Toulouse par le CSI (Conseil Scientifique Indépendant), ou à l’initiative collective et conjointe de ce même CSI, de Reinfo Covid, de Reinfo Liberté
https://www.francesoir.fr/sites/default/files/inline-images/affiches%20×2.png
Bien sûr « 1 ACCIDENT CARDIO-VASCULAIRES SUR 100 INJECTIONS », l’annonce publiée, devenue très légalement publique est / pourrait être très déstabilisante, très anxiogène peut-être (?) pour les vaccinés surtout… ça peut faire flipper…
Pour ceux qui douteraient de la conclusion de ce Rapport (involontairement incendiaire car basé sur des chiffres officiels (Eudravigilance, VAERS), je les invite à écouter sur le site FS Vincent Pavan et Emmanuelle Darles, deux universitaires de haut vol, qui expliquent dans une vidéo sans détour leurs conclusions avec mise à disposition gratuite de toutes leurs sources que chacun pourrait vérifier (un b.a.ba scientifique)
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/panneaux-antivaccins-toulouse-emmanuelle-darles-vincent-pavan
Depuis cette publication récente du mois d’août, une autre étude de source allemande toute aussi sérieuse est tombée qui affiche à peu de choses près les mêmes résultats !!!
« 8 vaccinés sur 1 000 souffrent d’effets secondaires graves », soit 1 effet secondaire grave pour 125 personnes.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-contre-le-sars-cov-2-une-etude-allemande-fait-etat-deffets-secondaires
Après cette introduction pour placer mon questionnement, revenons-en au Droit tel qu’il est stipulé d’être scrupuleusement observé par le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MÉDECINS lui-même !
Article 39 ( = Article R4127-39 du code de la santé publique)
LES MÉDECINS NE PEUVENT PROPOSER AUX MALADES OU A LEUR ENTOURAGE COMME SALUTAIRE OU SANS DANGER UN REMÈDE OU UN PROCÉDÉ ILLUSOIRE OU INSUFFISAMMENT ÉPROUVÉ.
TOUTE PRATIQUE DE CHARLATANISME EST INTERDITE.
Quelles pourraient être les réponses de cet organisme CNOM qui fait figure d’institution nationale dans le paysage de la République…
En espérant que la question leur sera posée, qu’il y répondra… après avoir examiné sous toutes les coutures ces Rapports de très haute qualité universitaire, scientifique, qui ont motivé ces affichages…
En aparté du sujet, petit message en passant à Sylvie B….. de Tourcoing que Vincent R connaît bien je pense pour être son MT
Les manifs ne se sont jamais interrompues depuis juillet 2021 sur Lille, elles sont en « statique » depuis quelques mois pendant un temps à l’Entrée de Lille Europe et actuellement depuis 3 mois environ sur le Pont à l’entrée de l’Esplanade (du Champ de Mars).
Au plaisir de la revoir si elle serait dispo avec son compagnon musicien haut en couleurs…
Fidèle au poste, j’y suis presque chaque semaine depuis plus d’un an maintenant
Je n’ai pas d’infos d’un activisme similaire sur ce qu’il en est d’autres villes de France (?). Si quelques personnes en auraient je suis preneur…
Samedi dernier un monsieur assez âgé m’a interpellé pour me dire que la polio revenait aux États-unis,… et que nous n’étions qu’une bande de voyous (sic)…
On dérange la bienpensance, mais tant mieux, car c’est pour la bonne cause, nous, les voyous, en sommes tous convaincus.
Merci de transmettre à Sylvie B…. si mon comm n’est pas publié
Cher compagnon de manifestation,
merci pour cet aparté ,j’ai bien noté les nouveaux lieux de rassemblement , j’ai en effet laissé provisoirement tomber à partir du moment où tout était mélangé: l’Ukraine, l’extrême droite, le pouvoir d’achat ,… etc , etc….le chantage vaccinal et la réintégration des soignants me semblaient peu préoccuper les manifestants , je nous sentais un peu seuls ….
je voulais faire part ici de mon expérience très peu scientifique :
cet été, étant organisatrice et violoncelliste ( hé oui, la clarinette, c’est seulement pour jouer la marseillaise pendant les manifs) d’un festival en bourgogne , nous étions 20 musiciens ( 10 allemands, 5 bulgares, 5 français) dont 10 parfaitement vaccinés ….au 5ème jour, cluster covid…. 8 malades HS dont une hospitalisation, tous les malades étaient vaccinés …. nous n’avons pas annulé le festival mais une musicienne 3 doses nous a bien fait comprendre que nous étions de dangereux irresponsables !
malgré cette « covid party » j’ai encore échoué au PCR ( en tant que psy, ça m’aurait bien arrangé d’avoir 3 mois de sortie de clandestinité)
Sur les manifestations hebdomadaires le samedi après-midi « en statique », celles en face de Lille €urope et actuellement celles à l’entrée de l’Esplanade il n’y a jamais eu de mélange des genres (syndicats, politique, revendications GJ, …) . Affichages à l’appui, dans une ambiance conviviale on alerte surtout sur les décès et l’explosion des effets secondaires graves suite aux campagnes de vaccination covid.
Si vous revoyez cette musicienne 3 D, dites lui de se connecter sur ce lien :
https://c19early.com/ COVID-19 early treatment: real-time analysis of 2,068 studies elle se soignera peut-être;
j’ai voulu me connecter sur le blog de MdL vu ses commentaires toujours aussi méprisants envers Raoult pour le lui soumettre et lui demander combien de personnes il a soigné et guéri et comment. Impossible, je dois être barré.
La chasse aux sorcières continue…
Harcèlement, diffamation et menaces de mort : la réponse d’Emmanuelle Darles
Posted by Jean-Dominique Michel
31 août 2022
…
« Après la suspension pour une année de Vincent Pavan (avec diminution de moitié de son salaire) pour s’être opposé au port du masque dans ses cours, c’est au tour d’Emmanuelle Darles de subir les basses œuvres d’autorités universitaires indignes. »…
lire l’article :
https://anthropo-logiques.org/harcelement-diffamation-et-menaces-de-mort-la-reponse-demmanuelle-darles/
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/conseil-scientifique-delfraissy-autran
Très bel article qui n’augure rien de bon !
ayé en angleterre, on ne vaccinera plus les femmes enceintes ,enfin celles qui ont échappé à la première fournée de menguele
« Dans le contexte de l’approvisionnement en vertu du règlement 174, on considère qu’il n’est pas possible, à l’heure actuelle, de fournir des garanties suffisantes quant à la sécurité d’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : toutefois, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de la santé soient invités à exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne devraient pas non plus être vaccinées. »
https://arnauddebrienne.wordpress.com/2022/09/03/royaume-uni-le-vaccin-anti-covid-est-finalement-deconseille-aux-femmes-enceintes/
C’est completement faux. Vous pouvez le verifier sur le site de la NHS :
https://www.newswise.com/factcheck/the-uk-did-not-ban-the-use-of-pfizer-s-covid-19-vaccine-for-pregnant-women/?article_id=778071