Il se pourrait bien qu’un jour les Français aient collectivement autant honte d’eux-mêmes pour le sort inique qu’ils ont accordé à l’ensemble des soignants non vaccinés, qu’ils se repentent aujourd’hui du comportement abject de leur premier Conseil National de l’Ordre des Médecins (*). Dans le premier cas, des soignants, tous atteints par la Covid au moins une fois entre 2019 et 2022, se sont vus brutalement écartés de leurs métiers pour cause de refus d’un traitement parfaitement inutile et toxique. On le sait parfaitement aujourd’hui, on le savait déjà hier. Dans le second cas, dès septembre 1940, des discriminations criminelles ont été réalisées à partir de motifs non plus d’opinion mais de religion. Voici d’abord le témoignage de l’un de nos membres le plus émérite mais qui veut garder l’anonymat pour préserver la tranquillité relative de sa fille infirmière hospitalière triplement vaccinée. A suivre, un timide espoir qui émane peut-être du tribunal Fédéral du district nord de l’Illinois où 500 travailleurs avaient été licenciés pour avoir refusé les injections dites anti-covid et qui seraient en passe de toucher plus de 20.000 $ chacun en réparation de leurs préjudices. Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ? Bonne lecture.            

Lettre à l’AIMSIB

Chers amis, je porte à votre connaissance un cas qui touche ma famille.
Bien cordialement. A.

« Voici donc mon hommage aux infirmières utilisées par l’État :

« Ma fille, ……… , est une guerrière !
Elle vient d’attraper le Covid le jeudi 7 juillet dernier…
Alors que, je le rappelle, elle est triplement et obligatoirement vaccinée, car infirmière !
Elle est passée par toutes les étapes : énorme fièvre, épouvantables maux de tête, mal au dos, aux cervicales, mal de gorge et toux, puis perte de goût et d’odorat, nausées, fatigue…
Le 12 juillet, elle était toujours positive…
Et le lendemain 13 juillet ??? Elle a travaillé !!!
Avec masque FFP2, bien évidemment, et avec lavage des mains au gel hydroalcoolique obligatoire, mais de toute façon, c’est ce qu’elle fait chaque jour…
Mais elle travaille au lieu de se reposer tranquillement chez elle…
Elle doit manger toute seule dans une salle mais elle doit travailler !
Elle doit travailler, avec accord tacite de l’ARS !!!
Le 14 juillet, elle était d’astreinte, sans aucun souci de la part des cadres…
Et le 15 juillet, elle était toujours positive… et elle a travaillé !!!

Voilà où en sont les hôpitaux ! Ils refusent de réembaucher les personnels non vaccinés, mais non malades, et préfèrent les personnels épuisés, positifs et malades, mais vaccinés… en janvier dernier, donc plus du tout protégés de toute façon ! » »

Décision d’un tribunal Fédéral de l’Illinois

 

 

 

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