Bonjour
Voici la lettre d’infos de début mai
Je suis débordée de travail et n’ai pas le temps de la mettre en forme ni de rédiger un sommaire
Il y est question de

Infos indépendantes du CSI
Censure selon Youtube
Effet du confinement
Danger du masque
Passeport vert européen , avis Académie de Médecine

Chiffres de l’épidémie
Inde : la situation
Allemagne
Tests PCR
Tests antigéniques

Immunité contre la maladie Covid
Rôle de la spike dans la pathologie Covid
Avertissement FDA des dangers de la spike

Évolution du SRAS-CoV-2 : revue des mutations, rôle du système immunitaire de l’hôte

Vaccins
Pierre Sonigo sur immunité et vaccins
Essais sur les bébés
Les médecins et chirurgiens américains demandent la levée des obligations vaccinales pour les étudiants des universités

Sérum physiologique à la place du vaccinales
Non interchangeabilté des vaccins
Débat belge sur tout vaccinal

Flambées post-vaccinales
Israël mortalité post-vaccinale
Bhutan : flambée post vaccinale
Royaume Uni

Effets indésirables
femmes enceintes
thromboses

Efficacité
Variants
Clusters chez vaccinés
origine des variants

Traitement Covid

Censure
Chaîne de ReinfoCovid youtube censurée
La vidéo du Dr Hélène Banoun du 19/04 présentant les suivis épidémiologiques du réseau public national Sentinelles a été censurée ce jour 22/04 par Youtube. Nous interdisant de publier sur youtube pour 3 semaines sur la chaine reinfocovid TV. Vous pouvez suivre la vidéo de ce jour 22/04 sur crowdbunker ou sur reinfocovid 2021. Ainsi que sur de nombreuses autres chaines. Beaucoup d’entre vous se demandent comment nous aider. Nous allons publier très prochainement un tutoriel pour que vous nous aidiez à réagir face à cette censure inquisitoriale de youtube, qui montrera à ceux qui avaient encore un doute qu’il y a « quelque chose de pourri au royaume de Danemark » (Hamlet de Shakespeare).
CSI
22 avril 2021
https://crowdbunker.com/v/kF6c_0gQV34

Réunion publique n°3 du Conseil scientifique indépendant (CSI) du 22/04/2021

12 minutes 30 Dr Eric Ménat
  Traitement ambulatoire précoce TAP, pourquoi il n’est pas utilisé  ?

41 minutes 30
Pr Michel Maffesoli (Professeur émérite en Sorbonne, Membre de l’institut universitaire de France ) – Invité: le totalitarisme doux ? A Thèbes: Penthée le technocrate ou Dionysos l’effervescent ?

1h 00
Michèle Rivasi (Professeure agrégée de sciences naturelles et titulaire d’un DEA en didactique des sciences, députée européenne)
Invitée: Opacité des contrats vaccinaux européens

1h26min30
Vincent PAVAN (Enseignant – chercheur en Mathématiques à Aix-Marseille):
Statistiques de passage OSCOUR chez le 0-14 ans: mise en évidence des effets du masque, vidéo séparée : https://youtu.be/MT-kGGXKgUI

Le débat : censure en cours : https://youtu.be/ZSg3EM4IxVE

La censure selon Google et Youtube
https://support.google.com/youtube/answer/9891785?hl=fr
Contenus interdits sur Youtube
Contenus qui recommandent l’utilisation d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine pour le
traitement de la COVID-19
Contenus qui affirment que l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine sont des traitements
efficaces contre la COVID-19
Tout autre contenu qui dissuade les personnes de consulter un professionnel de santé ou de demander un avis médical : donc le gouvernement français devrait être censuré !!
Contenus qui affirment qu’un vaccin ou un médicament spécifique constitue une méthode de prévention garantie contre la COVID-19
Contenus qui affirment qu’un vaccin approuvé contre la COVID-19 modifiera le patrimoine génétique des personnes qui le reçoivent
Contenus qui affirment que les vaccins contre la COVID-19 ne réduisent pas le risque d’attraper cette maladie
Contenus qui affirment que le port du masque est dangereux ou entraîne des effets néfastes sur la santé physique
Contenus qui affirment que les masques ne permettent pas d’éviter de contracter ou de transmettre la COVID-19

Effet du confinement ?

Restrictions ou pas : plongée dans les chiffres américains

La Floride a levé la plupart des restrictions covidémentielles en septembre 2020. Le Texas et le Mississippi ont fait de même début mars 2021 (lire ici).
A l’inverse, la Californie et le Michigan sont totalement covidéments, et il faut noter que les cas/morts remontent de manière “inexpliquée” au Michigan depuis quelques semaines
Au passage, on voit que les Américains aiment bien couper les cheveux en quatre. Les Français neuneus totalisent les covimorts… Oncle Sam comptabilise -lui- les “morts confirmés” ainsi que les “morts probables “.
Vous allez sans doute, comme moi, hoqueter légèrement. C’est quoi ce souk ?
L’explication est aussi simple que covidémente.
Tenez-vous bien : une “probable death“… c’est le certificat de décès qui mentionne “Covid-19” mais… sans test réalisé.
En clair, on a déclaré un mort du Covid, mais sans aucune preuve… Façon doigt mouillé…
“Tonton pourquoi tu tousses ? ” Alors c’est Covid.
Rappel : en Belgique, c’est à peu près la même chose. Une simple “suspicion” suffit.
Au Royaume-Uni, un covimort c’est quelqu’un qui décède (de n’importe quoi)… à la condition qu’il ait eu un test PCR positif dans les 28 jours précédents son décès…
Quant à la France, je rappelle qu’un mec qui s’ouvre le crâne en tombant dans l’escalier, dans sa maison… peut être déclaré “mort du Covid”…
On le voit : chaque pays fait tout pour grossir les chiffres. C’est une constante, seules les méthodes diffèrent…


Que voit-on ?
Le virus a sa propre vie, sa propre dynamique.
Distanciation sociale, lockdown, couvre-feu, fermetures des lieux publics, télétravail, masques… tout ça c’est de la merde dans une éprouvette, c’est de la communication, de la politique, et surtout de la patascience.
Au pire : c’est carrément contreproductif (le confinement), au mieux ça ne fonctionne qu’à la marge.
La Floride, le Mississippi, le Texas… La Suède… prouvent cela. A l’inverse, la France et les autres prouvent cela aussi.
Il est quand même extraordinaire que malgré toutes les conneries qui accablent les Français depuis 1 an… le virus soit toujours là… Il fait sa propre vie… Et va sans doute aller faire la sieste avec le printemps et l’été.

Dangers du port du masque
Objet : 65 études allemandes : Les masques faciaux provoquent le syndrome d’épuisement induit par les masques (MIES)
Int. J. Environ. Res. Public Health2021, 18(8), 4344 ; https://doi.org/10.3390/ijerph18084344 , 20 avril 2021
Résumé
De nombreux pays ont introduit l’obligation de porter des masques dans les espaces publics pour contenir le SRAS-CoV-2, la rendant ainsi courante en 2020. Jusqu’à présent, il n’y a pas eu d’enquête approfondie sur les effets néfastes que les masques peuvent avoir sur la santé. L’objectif était de trouver, de tester, d’évaluer et de compiler les effets secondaires liés au port de masques qui ont été scientifiquement prouvés. Pour une évaluation quantitative, 44 études principalement expérimentales ont été référencées, et pour une évaluation substantielle, 65 publications ont été trouvées.
La littérature a révélé des effets indésirables pertinents des masques dans de nombreuses disciplines. Dans cet article, nous faisons référence à la détérioration psychologique et physique ainsi qu’aux multiples symptômes décrits en raison de leur présentation cohérente, récurrente et uniforme dans différentes disciplines comme un syndrome d’épuisement induit par le masque (MIES). Nous avons objectivé les changements dans la physiologie respiratoire des porteurs de masque avec une corrélation significative entre la baisse d’O2 et la fatigue (p < 0.05), une cooccurrence groupée de déficience respiratoire et de baisse d’O2 (67%), de masque N95 et d’augmentation de CO2 (82%), de masque N95 et de baisse d’O2 (72%), de masque N95 et de maux de tête (60%), de déficience respiratoire et d’augmentation de température (88%), mais aussi d’augmentation de température et d’humidité (100%) sous les masques. Le port prolongé de masques par la population générale pourrait entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux.

Passeport vert européen voté par le parlement européen
https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20210422IPR02606/le-certificat-covid-19-doit-faciliter-la-libre-circulation-sans-discrimination

Orwell n’aurait pas mieux dit :
« Jeudi, le Parlement a adopté sa position de négociation sur la proposition de certificat visant à renforcer le droit à la liberté de mouvement en Europe durant la pandémie. »
Le nouveau ‘‘certificat européen COVID-19’’ devait être mis en place pour une durée de douze mois, pas plus.
Les documents attesteront qu’une personne a été vaccinée contre le coronavirus ou qu’elle a reçu récemment un test négatif ou encore qu’elle s’est remise de l’infection. Toutefois, le certificat ne servira en aucun cas de document de voyage et ne sera pas un prérequis à l’exercice de la liberté de circulation, affirment les députés.
Pas de restrictions de voyage supplémentaires et des tests COVID-19 gratuits
Les « certifiés » non soumis à des restrictions de voyages supplémentaires, telles que la quarantaine, l’autoconfinement ou le dépistage.
Afin d’éviter toute discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées ou pour des raisons économiques, que les pays de l’UE devraient ‘‘garantir un dépistage universel, accessible, rapide et gratuit’’
Contacts:
Polona TEDESKO
Attachée de presse

(+32) 2 28 40731 (BXL)
(+32) 470 884 282
polona.tedesko@europarl.europa.eu
libe-press@europarl.europa.eu

L’Académie de médecine se positionne en faveur d’un « pass vaccinal », plus exigeant qu’un pass sanitaire
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/covid-19-lacademie-de-medecine-se-positionne-en-faveur-dun-pass-vaccinal-plus-exigeant-quun-pass?xtor=EPR-1-%5BNL_editionnumerique%5D-%5B20210430%5D&utm_content=20210430&utm_campaign=NL_editionnumerique&utm_medium=newsletter&utm_source=qdm
Alors que l’idée d’un pass sanitaire fait son chemin, en France comme en Europe, l’Académie nationale de médecine demande que le dispositif soit fondé sur « la preuve d’une vaccination complète ou en cours (dès le 15ejour après la première dose) ». Il s’agirait ainsi, à proprement parler, d’un « pass vaccinal », et pas seulement d’un pass sanitaire, système qui prévoit la possibilité de faire valoir, à défaut d’une attestation de vaccination, un test négatif ou un certificat de rétablissement (test positif de plus de 15 jours).
« Par leur caractère incertain ou éphémère, les données d’anamnèse et les tests, virologiques ou sérologiques, ne peuvent fournir les garanties souhaitables. En pratique, seul un certificat de vaccination peut être envisagé et authentifié à partir du téléservice “Vaccin Covid” de l’Assurance-maladie », explique l’Académie. Et d’insister : « malgré les incertitudes persistantes concernant la durée de la protection induite par la vaccination, l’efficacité vaccinale contre la transmission et la survenue possible de mutants d’échappement du SARS-CoV-2, un certificat de vaccination constitue actuellement la meilleure preuve de l’acquisition d’un état d’immunité contre le Covid-19. »
Un effet incitatif
L’Académie souligne la nécessité que le dispositif soit accessible sur un support simple d’utilisation (un QR code dans l’application TousAntiCovid, comme prévu par les autorités, ou un papier), garantissant sécurité et confidentialité des données personnelles. Son développement accompagnerait la reprise progressive des activités économiques, sportives ou culturelles.
L’Académie nationale de médecine espère enfin qu’un tel « pass vaccinal » ait un effet incitatif sur la population encore indécise à l’égard de la vaccination.
Pass sanitaire pour les lieux de brassage en juin, selon Macron
Dans le cadre du calendrier du déconfinement dévoilé ce 29 avril, le Président de la République Emmanuel Macron a précisé qu’un pass sanitaire, « papier ou numérique (par l’application TousAntiCovid) permettant de montrer qu’on est vacciné ou testé négatif dans les deux jours qui précèdent » serait obligatoire pour pénétrer dans des lieux « où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions », à partir du 9 juin. Il le sera encore au 30 juin pour accéder à des événements rassemblant plus de 1 000 personnes, normalement autorisés alors. En revanche, il ne sera pas nécessaire pour fréquenter « les lieux de la vie de tous les jours » (restaurants, théâtres, cinémas, etc.).
Les touristes européens devraient eux aussi présenter ce pass afin de pouvoir entrer en France à compter du 9 juin. Selon un cadre du quai d’Orsay, seuls les Européens seraient concernés à cette date, mais « le champ du pass doit être précisé, car le 9 juin le dispositif européen ne sera pas complètement en place », précise le quai d’Orsay à l’AFP.
Ce 29 avril, les eurodéputés se sont en effet prononcés pour un « certificat européen Covid-19 » (540 voix pour, 119 contre, 31 abstentions) pour fluidifier les voyages dans l’Union européenne. Mais plusieurs points de divergence restent à trancher devant le Conseil, qui représente les États membres, comme la possibilité ou non pour les pays d’imposer des mesures de restrictions supplémentaires (comme une quarantaine) à l’entrée sur leur sol, la gratuité des tests ou la définition des vaccins reconnus par le dispositif.

Chiffres de l’épidémie
Surveillance virologique en Suisse
Plateau bas pour les infections respiratoires aigües
Présence de rhinovirus et autres virus respiratoires,
Le SARS-Cov-2 n’est pas majoritaire
https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/ausbrueche-epidemien-pandemien/aktuelle-ausbrueche-epidemien/novel-cov/situation-schweiz-und-international.html#-1315239417

Manipulation des chiffres

Bas les masques le live : Tester, vacciner, et nos libertés ?
Hélène Banoun, Pharmacien Biologiste & Sophie Guillot, lanceuse d’alerte seront nos invitées         Vendredi 30 Avril à 21:30​
Au sommaire : ? Sommes-nous dans une épidémie de tests positifs ? ?
Les variants sont-ils plus dangereux ou plus présent chez les enfants ? ?
Plusieurs études montrent que les enfants sont peu contaminés et contaminants, alors pourquoi vouloir les vacciner et à quel prix ? ?
Peut-on à ce jour imaginer qu’une obligation vaccinale puisse être imposée aux enfants. Peut-on d’une manière légale s’y opposer ? ?
Imposition du port du masque & augmentation de certaines pathologies chez les enfants.

Inde : la situation est-elle si catastrophique ?

Covid-19 en Inde.

En Allemagne aussi!
https://www.focus.de/gesundheit/news/klaus-stoehr-und-detlev-krueger-offener-brief-an-entscheider-raten-dringend-von-7-tages-inzidenz-ab_id_13189343.html
Klaus Stöhr et Detlev Krüger
Lettre ouverte aux décideurs de Corona : « Déconseillez de toute urgence l’incidence comme critère de mesure de la pandémie ».
La loi sur les épidémies doit être modifiée en Allemagne afin d’autoriser des mesures drastiques qui doivent s’appliquer si la valeur d’incidence dépasse 100 nouvelles infections Covid-19 pour 100 000 habitants en sept jours pendant trois jours consécutifs.
https://www.deutschlandfunk.de/einheitliche-corona-notbremse-wie-das.2897.de.html?dram:article_id=494982
Problématique, comme le constatent l’épidémiologiste Klaus Stöhr et le prédécesseur de Drosten, Detlev Krüger.
Ils déconseillent de toute urgence de définir l' »incidence sur 7 jours » comme seule base d’évaluation des mesures de protection antipandémique dans le cadre de la normalisation légale prévue. »mais de se concentrer davantage sur la charge de morbidité (qui prend en compte, entre autres, les hospitalisations, les absences du travail dues à la maladie, l’invalidité et les années de vie perdues).
L’incidence de 7 jours prévue dans la loi proposée ne différencie pas dans quels groupes d’âge, habitats et populations les infections se produisent. »
« Une incidence de même niveau peut avoir des significations radicalement différentes selon que, par exemple, elle est mesurée chez des étudiants principalement en bonne santé, dans des populations difficiles à atteindre, chez des personnes particulièrement vulnérables, ou distribuée de manière diffuse dans toute la population. »

Tests PCR

La dictature des tests

Rôle de la PCR dans le suivi de la Covid-19

Rôle de la PCR dans le suivi de la Covid-19

Test antigéniques
Performance of Fujirebio Espline SARS-CoV-2 Rapid Antigen Test for Identifying Potentially Infectious Individuals
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3832500&dgcid=ejournal_htmlemail_coronavirus:infectiou

Les tests antigéniques naso-pharyngés ont une excellente spécificité (99 à 100%) et une bonne sensibilité pour détecter les personnes symptomatiques potentiellement infectieuses (avec Ct de PCR <29) : 80% de sensibilité
Pas de faux négatifs pour les Ct< 24,6

Immunité contre la maladie Covid-19

LES INDIVIDUS INFECTÉS PAR LE SRAS-CoV-2 ASYMPTOMATIQUE SONT LES PLUS FORTES RÉPONSES IMMUNITAIRES ADAPTATIVES AU VIRUS QUE LES INDIVIDUS SYMPTOMATIQUES.
https://rupress.org/jem/article-pdf/218/5/e20202617/1410712/jem_20202617.pdf

L’une des définitions du terme « asymptomatique » est la présence d’anticorps dirigés contre un agent infectieux sans signes cliniques d’infection.
Nina LeBert et ses collègues ont testé cette définition et ont montré que les personnes exposées au SRAS-CoV-2 séroconvertissent sans symptômes et présentent également une forte réponse immunitaire adaptative. Ils ont suivi une cohorte d’individus et surveillé l’apparition d’anticorps dirigés contre la protéine de la nucléocapside (NP) ainsi que la présence d’anticorps neutralisants. Pour certains individus, la réactivité des cellules T, mesurée par ELISpot, a été déterminée en utilisant comme antigènes des séquences peptidiques (15 mer) pour la protéine de membrane, la NP et la protéine de pointe. L’étendue de la réactivité des cellules T (nombre de cellules T réagissant aux antigènes) était similaire entre les individus asymptomatiques et une cohorte d’individus symptomatiques dans les 3 mois suivant l’infection. Cependant, la fonctionnalité de la réponse des cellules T était différente entre ces groupes. Réponse immunitaire cellulaire spécifique du virus hautement fonctionnelle dans l’infection asymptomatique par le SRAS-CoV-2
L’efficacité des cellules T spécifiques du virus dans l’élimination des agents pathogènes implique un équilibre délicat entre les caractéristiques antivirales et inflammatoires. Les cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 chez les personnes qui éliminent le SRAS-CoV-2 sans symptômes pourraient révéler des caractéristiques non pathologiques mais protectrices. Nous avons étudié de manière longitudinale les cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 dans une cohorte de patients asymptomatiques (n = 85) et symptomatiques (n = 75) du COVID-19 après séroconversion. Nous avons quantifié les cellules T réactives aux protéines structurelles (M, NP et Spike) en utilisant l’ELISpot et la sécrétion de cytokines dans le sang total. Les fréquences des cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 étaient similaires entre les individus asymptomatiques et symptomatiques, mais les premiers ont montré une production accrue d’IFN-γ et d’IL-2. Cette production était associée à une sécrétion proportionnelle d’IL-10 et de cytokines pro-inflammatoires (IL-6, TNF-α et IL-1β) uniquement dans le cas d’une infection asymptomatique, tandis qu’une sécrétion disproportionnée de cytokines inflammatoires était déclenchée par l’activation des cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 chez les individus symptomatiques. Ainsi, les individus asymptomatiques infectés par le SRAS-CoV-2 ne sont pas caractérisés par une faible immunité antivirale ; au contraire, ils mettent en place une réponse immunitaire cellulaire spécifique du virus hautement fonctionnelle.

Rôle de la protéine spike dans le processus pathogène du SARS-CoV-2
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(21)00134-1/fulltext
Preuve de l’expression de l’enveloppe pathogène HERV-W (rétrovirus) dans les lymphocytes T en association avec le résultat respiratoire des patients atteints de COVID-19 Publié le 15 avril 2021
Ces résultats fournissent des pistes cohérentes pour de nouvelles études approfondies et à grande échelle qui sont nécessaires pour déchiffrer le mécanisme cellulaire et moléculaire de la transactivation de HERV-W par le SRAS-CoV-2 et l’impact immunopathogène de HERV-W ENV sur l’évolution clinique du COVID-19. Les effets immunopathogènes de HERV-W ENV ont été démontrés à la fois par des expériences in vitro et dans quelques maladies humaines inflammatoires chroniques. La détection d’une forte expression de HERV-W ENV dans les cellules sanguines des patients COVID-19, en particulier dans les lymphocytes T, n’a été observée dans aucune autre affection étudiée à ce jour. De plus, cette expression élevée dans les cellules sanguines devrait être étudiée en relation avec ses effets neurotoxiques, compte tenu des symptômes neurologiques récemment identifiés dans le COVID-19.
Étant donné que le HERV-W ENV a été identifié assez tôt chez les patients COVID-19, il pourrait contribuer de manière significative à une apparition tardive des syndromes immunopathologiques et/ou neurologiques. Ainsi, l’étude des mécanismes sous-jacents à l’hyperstimulation immunitaire associée à un dysfonctionnement lymphocytaire et à une lymphopénie pourrait également permettre d’identifier des cibles pertinentes pour une intervention thérapeutique prévenant les évolutions cliniques sévères du COVID-19.

Avertissement à la FDA en décembre 2020 sur les dangers des vaccins à spike protéine
https://www.regulations.gov/document/FDA-2020-N-1898-0246
8 December 2020
U.S. Food and Drug Administration Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee RE: Notice of Meeting; Establishment of a Public Docket; Request for Comments related to consideration of vaccines against SARS-CoV-2 UCLA Los Angeles Avertissement à la FDA par un pédiatre en décembre 2020
Les dangers des vaccins à protéine spike Ce document est présent sur le site de la FDA ! Bien que certaines pièces de ce puzzle restent à élucider, il semble que la protéine virale spike, qui est la cible des principaux vaccins contre le SRAS-CoV-2, soit également l’un des principaux agents responsables des dommages causés à des organes distants, tels que le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur (peut-être en utilisant l’IRM cardiaque, comme l’ont fait Puntmann et al.) Les patients vaccinés pourraient également être testés pour des dommages tissulaires à distance dans des biopsies de peau de la zone deltoïde, comme l’ont fait Magro et al. Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire si des centaines de millions de personnes devaient subir des dommages durables ou même permanents à leur microvasculature cérébrale ou cardiaque parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine de pointe pleine longueur sur ces autres organes. En m’occupant d’enfants atteints du MIS-C, j’ai été impressionné par l’étendue de l’atteinte des organes, en particulier compte tenu de l’absence de virus à réplication active chez pratiquement tous les patients. Il faudra être particulièrement prudent en ce qui concerne la vaccination potentiellement généralisée des enfants avant de disposer de données réelles sur la sécurité ou l’efficacité de ces vaccins dans les essais pédiatriques qui ne font que commencer.

Evolution du virus SARS-CoV-2
Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system


Évolution du SRAS-CoV-2 : revue des mutations, rôle du système immunitaire de l’hôte
Banoun H, Nephron (2020) https://www.karger.com/Article/Abstract/515417 https://doi.org/10.1159/000515417
(Banoun H. Evolution du SRAS-CoV-2 : revue des mutations, rôle du système immunitaire de l’hôte. Nephron. 2021 Apr 28:1-12. doi : 10.1159/000515417. Epub avant impression. PMID : 33910211.)
Cet article fera partie de l’ensemble d’articles sur le thème COVID-19 des éditions Karger (http://www.karger.com/Tap/Home/278492), où tous les articles sont librement accessibles.
Résumé
Depuis la déclaration des premiers cas de coronavirus en Chine et la publication de la première séquence du SRAS-CoV-2 en décembre 2019, le virus a subi de nombreuses mutations. En Europe, l’épidémie de printemps (mars-avril) a été suivie d’une baisse du nombre de cas et de décès. La maladie a pu évoluer vers une forme plus bénigne. L’augmentation du nombre de cas positifs à la PCR à la fin de l’été 2020 n’a pas entraîné l’augmentation attendue des hospitalisations, des admissions en soins intensifs et des décès, compte tenu de la gravité de la maladie au printemps. Cette différence dans la gravité de la maladie pourrait être due à des facteurs non dépendants du virus ou à l’évolution du virus. Cette revue tente d’identifier les mutations qui sont apparues depuis le début de la pandémie et leur rôle dans l’évolution temporelle de la pandémie. Il existe une réactivité croisée de type cellulaire et humoral dans une grande partie de la population aux coronavirus du rhume (HCoVs) et au SRAS- CoV-2. Des mutations et des délétions importantes sur le plan évolutif sont apparues dans les gènes du SRAS-CoV-2 codant pour des protéines qui interagissent avec le système immunitaire de l’hôte. En outre, l’une des principales mutations (dans la polymérase virale) est logiquement associée à une fréquence plus élevée de mutations dans l’ensemble du génome. Cette fréquence fluctue dans le temps et présente un pic au moment où l’épidémie était la plus active. Le taux de mutations dans les protéines impliquées dans la relation avec le système immunitaire continue d’augmenter après le premier out- break. La réactivité croisée d’une part et les mutations virales observées d’autre part pourraient expliquer l’évolution de la pandémie jusqu’à l’été 2020, en partie due à l’évolution du virus en relation avec le système immunitaire de l’hôte. La campagne de vaccination a débuté en décembre 2020 : des inquiétudes émergent quant à un possible échappement des vaccins des variants circu- lants début 2021. Ces variants pourraient également échapper à l’immunité acquise par l’infection avec les souches 2020

VACCINS
Pierre Sonigo sur immunité et vaccin
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:6793447184525225984/?commentUrn=urn%3Ali%3Acomment%3A(activity%3A6793447184525225984%2C6793484979268546560)
L’usage de la PCR isolément est une ineptie, une dérive de « gouvernance par les nombres ». (voir un de mes anciens post sur le sujet) L’évaluation de l’immunité exige un marqueur d’infection et un marqueur de maladie indépendants. L’erreur est de croire – soit que l’immunité est stérilisante, c’est à dire bloque toute trace d’infection. Une telle immunité, quand elle existe, est de courte durée après infection guérie ou vaccination. De plus, s il n y a pas de virus du tout, comment savoir qu une exposition a eu lieu pour distinguer l’immunité de la simple absence de contamination ? Exiger que l’immunité protège même d’une PCR sans maladie va aboutir à exiger des vaccinations tous les 3 mois ou qq chose comme ca. soit que l’immunité est définie par la présence d’anticorps ou d’un effecteur mesurable in vitro. Ces mesures ne sont que des corrélats de protection. Une étude clinique détaillée est nécessaire pour affirmer que la présence de ces marqueurs mesurables est statistiquement associée à une protection. En effet, la protection résulte de la vitesse de déploiement de la réponse immune globale au cours de l’infection. Aucune mesure statique pré infection de ne peut refléter cela directement.

Ils testent les vaccins chez les bébés.
https://abcnews.go.com/US/children-young-months-now-covid-19-vaccine-trials/

En France il y a la Loi Huriet, mais aux USA et en Russie il y a des essais en cours pour tester la tolérance (et non l’efficacité) des vaccins anti covid : https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-begins-study-allergic-reactions-moderna-pfizer-biontech-covid-19-vaccines https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04761822

L’AAPS (association des médecins et chirurgiens américains) demande la levée des obligations vaccinales pour les étudiants des universités

https://aapsonline.org/open-letter-from-physicians-to-universities-reverse-covid-vaccine-mandates/
Il y a de multiples raisons d’inverser votre politique. Je vous demande de considérer les suivantes :
1) Les jeunes adultes constituent un groupe en bonne santé, immunologiquement compétent et dynamique qui présente  » un risque extraordinairement faible de morbidité et de mortalité liées au COVID-19 « [iv].
2) Les étudiants des collèges et des universités, cependant, subissent déjà une pression importante sur leur santé mentale en raison des craintes liées au COVID-19, des circonstances, des problèmes d’apprentissage à distance et de l’imposition de restrictions par les politiques de santé gouvernementales[v]. 3) Même si la FDA a accordé une autorisation d’utilisation d’urgence pour trois vaccins COVID-19, ils ne sont pas approuvés par la FDA pour traiter, guérir ou prévenir une quelconque maladie à l’heure actuelle. Les essais cliniques se poursuivront pendant au moins deux ans avant que la FDA ne puisse même envisager l’approbation de ces vaccins comme étant efficaces et sûrs.
4) Les vaccins COVID-19 commercialisés aux Etats-Unis ont provoqué des effets secondaires notables, des pathologies et même des décès (>2300 décès selon VAERS au 20 avril 2021). Ces effets indésirables entraînent des absences à l’école et au travail, des visites à l’hôpital et même des pertes de vie.
5) Les femmes en âge de fréquenter l’université pourraient être particulièrement exposées à des effets indésirables après l’administration des vaccins expérimentaux COVID actuellement disponibles. Selon le CDC, tous les cas de caillots sanguins menaçant le pronostic vital, consécutifs à l’administration du vaccin J&J, signalés jusqu’à présent aux États-Unis, sont survenus chez des femmes plus jeunes[vii] La grande majorité des cas d’anaphylaxie sont également survenus chez des femmes[viii]. En outre,  » les femmes déclarent avoir des cycles menstruels irréguliers après avoir reçu le vaccin contre le coronavirus « [ix] et 95 fausses couches ont été signalées au U.S. Vaccine Adverse Effects Reporting System (VAERS) à la suite de la vaccination par COVID au 24 avril 2021[x].
6) Des données de recherche récentes démontrent que la protéine spike, présente sur le virus SRAS-CoV-2 et le principal mécanisme d’action induit des vaccins COVID-19, sont la principale cause de maladie, d’infirmité, d’hospitalisation et de décès[xi].
7) Les étudiants qui ont eu des cas bénins de COVID-19 possèdent déjà des anticorps, des cellules B activées, des cellules T activées (détectables par des tests en laboratoire). Cette immunité durable et à long terme les empêcherait non seulement de contracter le COVID-19 de manière récurrente, mais représenterait également une immunité de groupe pour protéger les autres membres de la communauté collégiale ou universitaire[xii],[xiii].
8) Les étudiants convalescents du COVID-19 peuvent être lésés par la politique des collèges et universités exigeant des vaccins COVID-19[xiv]. Ils ont déjà une immunité étendue et seraient probablement lésés par une confrontation forcée avec la protéine de pointe induite par le vaccin COVID-19 provoquant des réactions auto-immunes menant à la maladie et éventuellement à la mort[xv].
9) Les étudiants et leurs familles peuvent à juste titre penser que ces politiques sont discriminatoires envers les individus qui ne sont pas candidats à ce vaccin, qui ont des conditions préexistantes, qui ont déjà été atteints de la maladie du COVID-19, qui invoquent des objections religieuses, ou qui exercent leur libre arbitre en choisissant de ne pas participer à cette expérience vaccinale facultative. Référez-vous au code de Nuremberg de la Seconde Guerre mondiale, qui exige que les individus  » puissent exercer le libre pouvoir de leur choix, sans l’intervention d’aucun élément de force…. « [xvi].
10) Les politiques institutionnelles qui permettent au corps enseignant de choisir ou de refuser la vaccination, mais n’offrent pas les mêmes options aux étudiants, soulèvent des problèmes constitutionnels de protection égale.
11) L’ADA, Americans with Disabilities Act, exige que des « aménagements raisonnables » soient fournis en fonction de la situation de santé unique d’une personne. Cela inclut le rejet d’une intervention vaccinale expérimentale susceptible d’exacerber des problèmes de santé connus et donc de causer un préjudice.
12) Les collèges et les universités devraient se demander s’ils ne pourraient pas être tenus responsables des dommages, des mauvais résultats de santé et des pertes de vie dus aux politiques de vaccination obligatoire contre le COVID-19[xvii].
13)  » Les cas positifs « , tels que définis par les seuls tests de laboratoire, peuvent être des erreurs de test faussement positives ou une infection asymptomatique dont la propagation de la maladie n’est pas cliniquement prouvée.
14) Le traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 / COVID-19 a été démontré efficace chez les adultes[xviii].
15) Le consentement éclairé est la norme pour toutes les interventions médicales. Dans la fiche d’information de la FDA destinée au prestataire de soins, on peut lire : « Le bénéficiaire ou son soignant a la possibilité d’accepter ou de refuser le vaccin (Pfizer-BioNTech). »

Injection de sérum physiologique à la place du vaccin
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccin-contre-le-covid-19-le-couacdes-injections-deserum-physiologiquea-epernay_4385813.html
Vaccin contre le Covid-19 : le couac des injections de sérum physiologique à Épernay
« Drôle de déconvenue pour des habitants d’Épernay (Marne) : alors qu’ils pensaient avoir été vaccinés, ils ont en fait reçu du sérum physiologique, donc en d’autres termes, une dose d’eau salée
L’incident aurait sans doute été causé par une erreur de manipulation, car avant d’être injecté, le #vaccin #Pfizer doit être dilué avec du sérum physiologique, 1,8 millilitre de sérum physiologique pour chaque flacon de vaccin précisément.  »
Cette explication est étrange car le sérum physiologique est ajouté à partir d’un flacon séparé de grand volume certainement (ce flacon n’est pas fourni avec le vaccin) : on prélève 1,8 ml avec une seringue et on l’injecte dans le flacon multidose de vaccin à diluer. Ensuite avec une autre seringue on injecte 0,3 ml au vacciné en IM. Il semble impossible de confondre !
https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/710-covid-19-mrna-vaccine-bnt162b2

Non interchangeabilité des vaccins
Avertissement réactivité croisée possible des excipients entre les vaccins pfizer / moderna et Astrazeneca / Janssen
Le gouvernement et l’HAS ont, à la surprise générale, décrété la recommandation aux vaccinés de la première dose par AstraZeneca, vaccin OGM [1], d’utiliser pour la seconde dose un vaccin d’une technologie complètement différente, les vaccins ARN messager Pfizer ou Moderna [2].

Avertissement : Réactivité croisée possible des excipients entre les vaccins Pfizer / Moderna et Astrazeneca / Janssen

Un vacciné sensibilisé au polysorbate par la première dose  d’AstraZeneca pourrait alors développer une hypersensibilité accrue par l’effet conjugué avec le PEG2000 de la seconde dose de Pfizer ou Moderna.
Le mécanisme de la réactivité croisée étant décrit dans la littérature comme étant due à un motif d’oxyde d’éthylène commun au PS80 et au PEG activant une réponse immunitaire médiée à la fois par les IgG et les IgE.

Débat sur la stratégie du tout vaccinal en Belgique
https://bam.news/web-tv/talk-show-bam-les-masques-e04/

Entre CAROLINE VANDERMEEREN, Docteur en biochimie et biotechnologies, bio ingénieure en microbiologie industrielle et YVES COPPIETERS , médecin épidémiologiste, Professeur en santé publique à l’ULB et expert indépendant à la commission covid du Parlement.
Les invités évoquent sans tabou les graves lacunes de la stratégie globale du gouvernement :
Le chiffre de 70% d’immunité recherché dans la population n’intègre pas l’immunité naturelle.
– La sûreté et l’efficacité des vaccins ne sont pas complètement démontrées.
– La pharmacovigilance (notification et analyse de tous les effets secondaires des vaccins) ne fonctionne pas de manière optimale (et c’est grave).
– Le covid peut être traité, mais les protocoles officiels ne le prennent pas en compte.
– La prévention hors vaccination ne fait pas partie de la stratégie du gouvernement.
– La stratégie de la peur ne peut pas durer éternellement.
– Il faut donc mettre en place une stratégie qui développe tous les outils à disposition (thérapeutiques, vaccins, dépistage…) puis avoir le courage politique de relâcher les activités pour permettre le retour à une vie la plus normale possible.

Israël : mortalité post-vaccinale
https://4a1b9d73-4c47-4f3b-bb08-e515be8958ca.filesusr.com/ugd/3db409_3c4b29f97a7b4e2fb1d8d178ab138b91.pdf
Le Comité du peuple israélien
Rapport des événements indésirables liés au vaccin Corona, avril 2021 : Jamais un vaccin n’a fait autant de blessés.
Bureau central des statistiques (CBS) : en janvier-février 2021, en pleine opération de vaccination, augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à la mortalité moyenne bimestrielle de l’année précédente.
La période de janvier-février 2021 est la plus meurtrière de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés, par rapport aux mois correspondants des 10 dernières années.
tranche d’âge des 20-29 ans : pendant la même période de vaccination, janvier-février 2021, on constate une augmentation de 32% de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne bimestrielle en 2020.
Le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à 1:5 000 (1:13 000 pour les 20-49 ans, 1:6 000 pour les 50-69 ans, 1:1600 pour les 70+).
Selon cette évaluation, il est possible d’estimer que le nombre de décès en Israël survenus à proximité de la vaccination, s’élève actuellement à environ 1 000-1 100 personnes.
Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour.
20-49 : une fourchette de 9 jours à partir de la date de la vaccination
50-69 : 5 jours à compter de la date de la vaccination
70 et plus : 3 jours à compter de la date de la vaccination jusqu’au décès.
Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé que le risque de décès après la première vaccination.

Bhutan : la quasi totalité de la population vaccinée en quelques jours, résultat, flambée épidémique !

Vaccinés hospitalisés pour Covid au Royaume Uni
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/982499/S1208_CO-CIN_report_on_impact_of_vaccination_Apr_21.pdf
Explication officielle
Early admissions post-vaccination
We observed an abundance of patients admitted to hospital within 7 days of vaccination (Figure 3). Discussed below are potential reasons for this trend in admissions:
Most vaccinated hospitalised patients were infected shortly before or around the time of vaccination, and the remainder after vaccination but before immunity had developed (immunisation).
Elderly and vulnerable people who had been shielding, may have inadvertently been exposed and infected either through the end-to-end process of vaccination, or shortly after vaccination through behavioural changes where they wrongly assume they are immune.
An additional hypothesis, that we cannot exclude in this analysis, is that some people had recent asymptomatic COVID-19 and vaccination precipitated admission. Previously asymptomatic or pauci-symptomatic PCR positive patients may experience symptoms likened to COVID-19 symptoms including fever due to vaccination. This happens within 48 hours of the vaccination and usually resolves within 48 hours [1].

Effets indésirables des  Vaccins

https://www-ladepeche-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.ladepeche.fr/amp/2021/05/01/etudiant-nantais-decede-apres-avoir-ete-vaccine-avec-astrazeneca-ce-que-revele-lautopsie-9520405.php
Étudiant nantais décédé après avoir été vacciné avec AstraZeneca : ce que révèle l’autopsie
Un jeune étudiant nantais est mort le 18 mars dernier après avoir été vacciné avec AstraZeneca. AFP
Publié le 01/05/2021
La famille du jeune étudiant en médecine nantais, qui est décédé le 18 mars dernier après avoir été vacciné avec AstraZeneca, est revenue sur les résultats de l’autopsie de la jeune victime.
Le rapport d’autopsie de l’étudiant en médecine de Nantes, âgé de 24 ans, et mort après avoir été vacciné contre le Covid-19 avec le vaccin AstraZeneca « renforce l’hypothèse d’un lien de causalité » entre l’injection et le décès, a affirmé samedi 1er mai l’avocat de la famille. « L’expertise indique que la cause du décès est une thrombose abdominale (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents », a expliqué Me Etienne Boittin, avocat à Saint-Nazaire. Le rapport ne mentionne « aucune infection, virus, cancer ou tumeur, qui peuvent générer des thromboses ».
Ainsi, selon l’avocat, « le rapport d’autopsie ne dit pas que l’injection de l’AstraZeneca est la cause du décès. Mais il élimine un certain nombre de causes possibles et renforce l’hypothèse d’un lien de causalité entre l’injection de l’AstraZeneca et la survenance du décès ». Le jeune homme avait été vacciné le 8 mars et est décédé le 18 mars.

Trois enquêtes de différentes familles
Le pôle santé publique du parquet de Paris s’est saisi de trois enquêtes ouvertes à la suite de plaintes déposées par les familles de personnes décédées après avoir été vaccinées contre le Covid-19 avec l’AstraZeneca. Ce pôle santé publique, compétent pour mener des investigations concernant les infractions d’une grande complexité liées à un produit de santé, dirige désormais les enquêtes préliminaires ouvertes pour « homicide involontaire », après le dépôt des plaintes à Toulouse, Paris et Nantes, et de premières investigations menées par les parquets locaux.
Selon Me Etienne Boittin,  »le rapport d’autopsie de l’assistante sociale morte à 38 ans à Toulouse devrait être connu « la semaine prochaine ».

https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-women-say-covid-vaccines-affect-their-periods-so-why-don-t-doctors-care-1.9754865
Women Say COVID Vaccine Side Effects Impact Their Periods, So Why Don’t Doctors Care?
Coronavirus vaccine side effects: In any vaccine there are factors that can disrupt menstruation, but the way the medical establishment has been responding to reports of this possible side effect reflects a broader problem
Haaretz, grand quotidien israelien
De nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers suite au vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces
de même
https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period
Le vaccin COVID peut-il affecter vos règles ? Certaines femmes affirment que cela les a changées – voici ce que nous savons à l’heure actuelle.
Les femmes partagent leurs histoires personnelles à ce sujet sur les médias sociaux. Nous avons donc demandé à des experts si les changements de règles pouvaient être un effet secondaire de la vaccination.
Par Korin Miller06 avril 2021
Le vaccin COVID-19 peut s’accompagner de nombreux effets secondaires (tout à fait normaux), comme une fièvre, des frissons et des douleurs musculaires. Il est donc naturel de se demander s’il peut influencer temporairement d’autres aspects de votre santé, comme votre cycle menstruel.
Mais pour ce qui est de l’impact du vaccin sur les menstruations en général, certaines femmes se sont exprimées sur les médias sociaux pour expliquer qu’elles ont soudainement des règles plus abondantes que la normale après avoir été vaccinées.
Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’Université de l’Illinois, avait ceci à dire : « Une collègue m’a dit qu’elle avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres personnes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres personnes ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très lourd pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles. « J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf ( !!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.
Les histoires personnelles ont continué. « Je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’un paquet [de contraceptifs] », a écrit une personne. « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »
Clancy a déclaré dans un tweet ultérieur que ses règles « étaient loin d’être aussi mauvaises qu’après la première piqûre », et qu’elle s’attend à ce que ses prochaines règles « reviennent à ce qui est typique pour moi. » Elle a également déclaré qu’elle et son collègue prévoyaient d’étudier ce phénomène de manière plus approfondie.
Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ? Voici ce que vous devez savoir.
Existe-t-il des recherches sur les vaccins COVID-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), qui est un programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin. Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela n’est qu’anecdotique à ce stade.
Les experts disent qu’il est vraiment difficile d’en être sûr. Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.
Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de COVID-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online. Il est possible que le vaccin COVID-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.
L’idée qu’un vaccin puisse affecter le cycle d’une femme est difficile à expliquer d’un point de vue biologique, explique Mark Turrentine, MD, professeur d’obstétrique et de gynécologie au Baylor College of Medicine au Texas, à Health. « Il n’existe aucun mécanisme biologique qui pourrait expliquer la perturbation du cycle menstruel après l’administration du vaccin COVID-19 », explique-t-il. Le Dr Turrentine souligne également que les saignements vaginaux inhabituels « n’étaient pas un effet secondaire signalé dans les essais cliniques des fabricants du vaccin », ajoutant qu' »aucun événement indésirable à grande échelle concernant des saignements menstruels irréguliers n’a été noté à ce jour. »
Malgré les histoires personnelles des femmes en ligne, l’experte en santé des femmes Jennifer Wider, MD, dit à Health qu’il n’y a tout simplement pas assez de données pour montrer que le vaccin pourrait avoir un impact sur les cycles menstruels. « Le vaccin pourrait-il interagir avec les hormones du corps ou y a-t-il d’autres facteurs en jeu, comme le stress ? Cela reste à voir », dit-elle.

Is The CDC Safety Study Following Covid-19 Vaccines Hiding Risks Of Miscarriages? (France)

Vacciner les femmes enceintes?
Par Emma Kahn

https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2778441
5 avril 2021
Réactogénicité après réception de vaccins COVID-19 à base d’ARNm
Cela était déjà évident lors des essais cliniques de phase des deux vaccins à ARN messager. Cependant, une nouvelle étude publiée dans le JAMA a validé ces conclusions après avoir suivi les effets indésirables signalés par plus de 3,3 millions de personnes ayant reçu les vaccins Pfizer-BioNTech ou Moderna, dont plus de 1,9 million de personnes ayant reçu deux doses. Les participants ont été suivis pendant une semaine après la première ou la deuxième dose. Un pourcentage plus élevé de participants ayant reçu le vaccin Moderna, par rapport au vaccin Pfizer-BioNTech, a signalé une réactogénicité. Des réactions systémiques sont survenues chez 64,2 % des personnes ayant reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer, contre 74,8 % pour Moderna. Les différences entre les deux vaccins étaient encore plus importantes si l’on considère les myalgies (36,8 vs 51,4 %), les frissons (22,7 vs 40,0 %) ou la fièvre (21,5 vs 37,6 %), pour Pfizer et Moderna, respectivement. Les réactions étaient moins fréquentes chez les personnes âgées

L’EMA reconnaît le lien entre thromboses et le vaccin J&J
https://www.ema.europa.eu/en/news/covid-19-vaccine-janssen-ema-finds-possible-link-very-rare-cases-unusual-blood-clots-low-blood
the blood clots occurred mostly at unusual sites such as in veins in the brain (cerebral venous sinus thrombosis, CVST) and the abdomen (splanchnic vein thrombosis) and in arteries, together with low levels of blood platelets and sometimes bleeding. All cases occurred in people below 60 years of age, and most were in women, within three weeks of the person being vaccinated.
One plausible explanation for the combination of blood clots and low blood platelets is an immune response, leading to a condition similar to one seen sometimes in patients treated with heparin called heparin induced thrombocytopenia, HIT.

AMM Vaccins

Dr. Carole Cassagne, MCU-PH AP-HM.
Vaccins covid-19 : Données des AMM conditionnelles
Les obligations des labos pour compléter ces AMM conditionnelles
Description des vaccins ARNm : composition ARNm, nanoparticules contiennent substances jamais encore utilisées en médecine contiennent du PEG (choc anaphylactique), impuretés : ARNm tronqués par arrêt synthèse prématuré, on ne connaît la proportion présente, on ne sait pas si ces ARNm codent pour protéine capables provoquer maladie auto-immune
Vaccins à ADN : modification génétique adénovirus le rend non-réplicatif et intègre le gène d’intérêt ; on les multiplie sur des cellules capable de les répliquer sans rendre le virus réplicatif (peut se produire )
Tissu plasminogène activateur dans vaccin à ADN
J&J : adenovirus humain modifié génétiquement, impuretés : adénovirus complet ? Residu cellules de culture ? Protéines résiduelles provoquant maladie auto-immune ?
Biodistribution : reins fois gonades rate (faible qté), durée qq jours de présence. Mais études animaux en intradermique souvent ; qq études en IM : taux faibles dans tous les tissus testés (pas le sNC ni moelle testés), ganglions lymphatiques jusq’à 180 j
Carcinotoxiciyté : pas faites
Efficacité
Pfizer : vaccine placebo après 6 mois donc pas étude EI long terme
Israel : 92% efficcité, UK sur plus de 70 ans, surrisque d’être positif sars-cov-2 du J1 au J9, efficacitté diminue après 14j après seconde dose
Efficacité diminue aussi dans autreétude
Moderna : pas double aveugle, 95% efficiccacité mais pas au dessus 75 ans (pas significatif)
Astra Zeneca : erreur de dose dans étude, pas interprétable, pas toutes les études en double aveugle ; intervalle de 3 à 23 semaines entre les doses. Efficacité 60% ; pas effet sur asymptomatiques.
Bras UK : pas efficacité, efficacité au Brésil
Variant sud-africain : ne protège pas
J&J : double aveugle, dans différents pays, placebo vaccinés avant fin étude ; pas efficacité transmission, formes asymptomatiques, efficacité sur formes graves
Thromboses : estimé à 5 cas par million vaccinés pour AZ, il y a tissu plsaminogène dans le vaccin : fabrication d’anticorps antiplasminogène responsable thromboses ? Ou anticorps anti plaquetteiare FP4 trouvés chez vaccinés. Etait inscrit dans dossier AMM : surisque de thromboses

Efficacité vaccins

Lancet : efficacité réelle en UK
https://www.thelancet.com/journals/lanmic/article/PIIS2666-5247(21)00069-0/fulltext

80% des nonnes positives après vaccination
‘Shocked’ : Two nuns dead, 28 sick with COVID-19 at Villa Hills monastery
By: Sarah Walsh  Posted at 1:42 PM, Feb 08, 2021,  and last updated 9:07 PM, Feb 08, 2021
80% of the nuns in this Kentucky Convent got COVID 2 days after the vaccine
Out of 35 nuns, 26 tested positive for COVID just two days after getting the vaccine.
Thu Feb 25, 2021 – 12:26 pm EST
LE MYSTÈRE DES NONNES DU KENTUCKY
Publié le 19 avril 2021 par pgibertie
SEUL UN ENQUÊTEUR AVISÉ PEUT RÉSOUDRE L’ÉNIGME
Un couvent totalement coupé du monde… Comment la covid a-t-elle pu frapper ?
35 nonnes ont reçu le #vaccin#Covid dans le Kentucky, USA. 2 sont mortes, 2 jours après. 28 sont positives, certaines encore hospitalisées. Elles étaient négatives avant. Sans sortir du couvent, comment sont-elles tombées malades aussi vite ? Posez-vous la question.
VILLA HILLS, Kentucky, 25 février 2021 (LifeSiteNews) – Trente-cinq religieuses d’un couvent du nord du Kentucky ont reçu un vaccin COVID-19 à ARNm. À peine deux jours plus tard, deux sont décédées le 3 février, une en soins intensifs et vingt-huit autres ont été testées positives pour le virus.
Sœur Aileen Bankemper, prieure des sœurs bénédictines de Saint-Walburg, a noté que le monastère était complètement verrouillé, sans mouvement de personnes dans ou hors des locaux pendant un certain temps avant de faire vacciner les sœurs : « Nous [la communauté bénédictine] avons été choquées d’avoir autant de cas de [COVID-19], car nous étions extrêmement prudentes, ne sortions pas, ni ne recevions de visiteurs depuis le début de la pandémie », a rapporté Fox19 NOW . Elle a même affirmé que les sœurs « ont redoublé d’efforts après la vague des fêtes [de Noël] ».
Sœur Aileen a confirmé dans un message Facebook, « Vingt-huit sœurs ont été testées positives au COVID-19 », après la vaccination. « La majorité ont reçu des anticorps monoclonaux à l’hôpital gériatrique Sainte-Elisabeth. Leurs symptômes sont plutôt bien gérés », a-t-elle ajouté.
Cependant, deux de leurs membres, Sœur Charles Wolking et Sœur Rita Biltz, se sont rapidement détériorées, mourant le 3 février, deux jours après avoir reçu leurs injections. Ni l’une ni l’autre n’avaient manifesté de symptômes ni n’avaient été testées positives pour le virus avant de recevoir le vaccin.
La sous-prieure, sœur Nancy Kordenbrok, a déclaré au WKRC que « toutes deux étaient âgées et avaient des problèmes de santé : elles n’étaient pas en mesure de combattre la maladie »
À l’époque, une troisième sœur, Margaret Mary Gough, a été admise en soins intensifs à Sainte-Elisabeth (Fort Thomas) avec des problèmes respiratoires, testée positive au COVID-19 après sa première dose du vaccin.
Sœur Nancy a d’abord exprimé l’espoir que Sœur Margaret Mary se rétablisse, disant qu’elle était « en soins intensifs, mais nous pensons qu’elle s’en sortira. Elle va beaucoup mieux. Elle avait de graves problèmes respiratoires.
Mais le 24 février, sur la page Facebook du monastère, il a également été confirmé qu’elle était décédée, le 10 février, « des complications du virus COVID ». Une autre sœur s’est rétablie aux soins intensifs et a pu retourner au monastère.
Tout en voulant dissiper les craintes concernant les dangers du vaccin, le Dr Steven Feagins, directeur de la santé publique du comté de Hamilton, a expliqué que les effets secondaires graves sont « en fait beaucoup plus fréquents que vous ne le pensez ».
Il a ajouté que, dans les cas où le patient souffre d’effets secondaires, il recommande simplement de retarder la deuxième dose : « Quand vous l’avez, vous l’avez, : donc nous considérons 21 jours [entre les injections] comme un minimum », a-t-il déclaré.
Les sœurs restantes devraient recevoir leur deuxième dose du vaccin en mai. […]
Version française revue par JPA.

Variants, résistance au vaccin
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00730-3/fulltext
Mouvements et contre-mouvements pandémiques : vaccins et variantes virales
L’infection et la réplication du virus en présence d’une immunité partielle pourraient entraîner une évolution vers l’échappement à l’immunité induite par le vaccin. Les réductions de l’efficacité des vaccins dues à la circulation de variantes préoccupantes pourraient donc faciliter l’émergence et la propagation de variantes progressivement résistantes, en particulier lorsque l’on retarde l’administration des deuxièmes doses de vaccin ou que l’on y renonce, ce qui pourrait avoir des conséquences sur la lutte contre la pandémie.
En résumé, les premiers résultats rapportés par Emary et ses collègues suggèrent un degré significatif d’efficacité contre le variant B.1.1.7, ce qui est encourageant. Cependant, des données supplémentaires sont clairement nécessaires pour apprécier pleinement l’impact potentiel de cette variante et d’autres variantes préoccupantes sur l’efficacité actuelle et future du vaccin, et pour fournir des preuves concluantes qui éclaireront les projections et les décisions politiques importantes. L’étude COV002 est en cours et nous attendons avec impatience de nouvelles données pendant cette période d’inquiétude.

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7017e2.htm?s_cid=mm7017e2_x
Cluster de variant dans une maison de retraite vaccinée
COVID-19 Outbreak Associated with a SARS-CoV-2 R.1 Lineage Variant in a Skilled Nursing Facility After Vaccination Program — Kentucky, March 2021
April 21, 2021 / 70
CDC
vaccination 10 janvier 2021 au 31janv et 21 février
83 résidents et 116 personnels ont reçu 2 doses
Flambée 1 mars : test de rroutine HCW, 8 jours après 2de dose de troisième passage
46 cas de Covid, dont 26 résidents (18 2 doses) et 20 HCW (4 vaccinés)
Excluent 2 résidents avaient reçu 2de dose moins de 14j avant
attack rate non vacc residt : 75%, 25% vacc 2 doses et 29,6% HCW non vacc 7,1% vacc HCW
Variant : R.1, possède E484K et autres dans spike, D614G, , W152L might reduce the effectiveness of neutralizing antibodies (7)
Outcomes
The risk for poor outcomes among unvaccinated SNF residents is highlighted by the hospitalization of four of the six unvaccinated, infected residents, and two subsequent deaths, including in one previously infected resident

Variant origine
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.04.16.440141v2
Chaînes de transmission potentielles de la variante B.1.1.7 et des co-mutations du SRAS-CoV-2 : les animaux domestiques en question

La caractérisation des mutations, de l’évolution et des effets sur l’infectivité et la pathogénicité du SRAS-CoV-2 est cruciale pour la conception de thérapies par anticorps et de stratégies de surveillance. Nous avons analysé 454 443 gènes/protéines de pointe du SRAS-CoV-2 et 14 427 séquences du génome entier. Nous avons démontré que la variante précoce B.1.1.7 pourrait ne pas avoir évolué spontanément au Royaume-Uni ou au sein des populations humaines. Nos analyses approfondies ont suggéré que les Canidae, Mustelidae ou Felidae, en particulier la famille des Canidae (par exemple, le chien) pourraient être un hôte possible du progéniteur direct du variant B.1.1.7. Une autre hypothèse est que cette variante n’a tout simplement pas encore été échantillonnée. Notamment, le génome entier du SRAS-CoV-2 représente un grand nombre de co-mutations potentielles avec des significations statistiques très fortes (valeur p<E-44). En outre, nous avons utilisé un système expérimental de réplicon rapporteur du SRAS-CoV-2 pour introduire les co-mutations dominantes NSP12_c14408t, 5’UTR_c241t et NSP3_c3037t dans le génome viral, et pour surveiller l’effet des mutations sur la réplication virale. Nos résultats expérimentaux ont démontré que les co-mutations atténuaient significativement la réplication virale. Cette étude fournit des indices précieux pour découvrir les chaînes de transmission de la variante B.1.1.7 et comprendre le processus d’évolution du SRAS-CoV-2.

Traitement

https://ijirms.in/index.php/ijirms/article/view/1100/822
International Journal of Innovative Research in Medical Science
Une polychimiothérapie ambulatoire précoce réduit l’hospitalisation et le décès chez les patients à haut risque atteints de SRAS-CoV-2 (covid-19)
Notre protocole utilise au moins deux agents ayant une activité antivirale contre le SRAS-CoV-2 (zinc, hydroxychloroquine, ivermectine) et un antibiotique (azithromycine, doxycycline, ceftriaxone) ainsi que le budésonide inhalé et/ou la dexaméthasone intramusculaire.
Un nébuliseur d’albutérol, du budésonide inhalé, une expansion du volume intraveineux avec un supplément parentéral de thiamine 500 mg, de sulfate de magnésium 4 grammes, d’acide folique 1 gramme, de vitamine B12 1 mg, sont administrés aux patients gravement malades qui se présentent ou reviennent à la clinique avec des symptômes graves. Au cours de la période 1 (avril-septembre 2020), 6/320 (1,9%) et 1/320 (0,3%) patients ont été hospitalisés et sont décédés, respectivement. Au cours de la période 2 (septembre-décembre 2020), 14/549 (2,6 %) et 1/549 (0,18 %) ont été hospitalisés et sont décédés, respectivement. À titre de comparaison, nous avons utilisé le calculateur d’hospitalisation COVID-19 de la Cleveland Clinic et, sur la base de l’âge moyen et des comorbidités, le taux d’hospitalisation attendu pour les deux périodes était de 18,5 %. La mortalité cumulée parmi les cas confirmés et suspects de COVID-19 dans les comtés de Collin, Dallas, Denton et Tarrant était de 0,76, 1,04, 0,90 et 0,97. Par conséquent, notre régime de traitement ambulatoire précoce a été associé à des réductions estimées à 87,6 % et 74,9 % des hospitalisations et des décès respectivement, p<0,0001. Conclusions : Nous concluons que la polychimiothérapie ambulatoire précoce est associée à des réductions substantielles des hospitalisations et des décès par rapport aux taux disponibles dans la communauté. Un traitement ambulatoire rapide devrait être proposé aux patients à haut risque atteints de COVID-19 au lieu d’une surveillance vigilante et d’une hospitalisation tardive pour des thérapies de sauvetage.

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