Sommaire de la lettre du 20 avril 2021
1) Informations indépendantes
Vidéos Conseil Scientifique Indépendant
Scandale du Mediator
2) Virus
Evolution, variants
3) Maladie Covid-19
Covid longs, auto-immunité,
4) Epidémiologie
Rapport officiel, danger des PCR
5) Efficacité mesures barrières ?
6) Vaccins
Campagnes de vaccination, vacciner les grands singes, obligation, contrats
Essais cliniques : critique, enfants
Effets indésirables
Efficacité
Fake news de l’ANSM
7) Traitement
Anticorps monoclonal non efficace

1) INFORMATIONS INDÉPENDANTES
Le Conseil Scientifique Indépendant
https://crowdbunker.com/6aSJEafL
La première vidéo non censurable du Conseil Scientifique Indépendant
Jeudi 8 avril 2021
Dr Louis Fouché : impact des confinements sur l’épidémie? aucun! il faut soigner!
Dr Philippe de Chazournes : traitement
Dr Eric Menat ;effet de la vaccination
Vincent Pavan ; fraude de l’étude ComCor qui a justifié la fermeture des restaurants (18 minutes) : cette étude prouve qu’il n’y a pas de risque à fréquenter bars et restaurants! cette étude frauduleuse a été réalisée par un membre du conseil scientifique Officiel!
Pr Personne : conclusion
Les recommandations par le Dr Philippe de Chazournes du CSI (Conseil Scientifique Indépendant)
https://youtu.be/HgoLpRMpBwo
Effets de la vaccination sur la mortalité par le Dr Eric Menat du CSI (Conseil Scientifique Indépendant)
https://youtu.be/8CAONexkJ90
Fermeture des cafés et des restaurants ! Par Vincent Pavan du CSI (Conseil Scientifique Indépendant)
https://youtu.be/PnFQXC0fgrY
Réanimation et Covid par le Dr Louis Fouché du CSI (Conseil Scientifique Indépendant)
https://youtu.be/s2Dy4zME-4w
Le Débat du CSI (Conseil Scientifique Indépendant)

CSI Session n°2 du 15/04/2021

Lien non censurable : https://crowdbunker.com/8WL6OBnNfvk
Mise à jour : la vidéo d’Hélène Banoun a été censurée par Youtube, puis toute la vidéo du CSI du 15 avril! nouveau lien :
https://youtu.be/ZKGGAXDRVzI

Equivalent d’une formation médicale et sanitaire continue donnée par des scientifiques, chercheurs et soignants indépendants, tous les jeudis soirs à 21h se tient désormais la réunion publique du Conseil Scientifique Indépendant (CSI).
Dr Helene BANOUN, pharmacienne biologiste du CSI : « Avril 2021 : Ou en est l’épidémie de Covid-19 ? » https://youtu.be/PI08Cwi4dk8
Mr Vincent PAVAN, mathématicien du CSI : « Mortalité : on ne meurt pas plus en 2020 qu’en 2015 » https://youtu.be/JR69qAk4ppk
Mr Jean-Dominique MICHEL, anthropologue du CSI : « La corruption systémique dans le domaine de la santé » https://youtu.be/5ESR_Z0ArbQ
LE DEBAT ET REPONSES entre le CSI et les Internautes https://youtu.be/GIjhedtRjOo

https://www.aimsib.org/2021/04/18/scandale-du-meditor-servier-si-mal-condamne/
Scandale du Médiator, Servier si mal condamné
On aurait pu espérer de la justice française qu’elle se saisisse de cette affaire pour envoyer un signal exemplaire en direction des firmes du médicament, régulièrement coupables de pratiques inavouables. Servier est condamné de manière nette et sans doute aucun, ce jugement peut-il satisfaire les esprits? Voici la réponse circonstanciée du Dr Eric Ménat, que l’éthique médicale intéresse au plus haut point. Alors, une décision de justice exemplaire ou encore un coup pour rien, bonne lecture.

2) VIRUS
Evolution du virus
Vers l’équilibre endémique du Sars-CoV2
Samuel Sender (PhD),1 Pierre Sonigo (MD, PhD)2
https://osf.io/gkced et https://osf.io/xk27a/
Nous montrons que l’essentiel du chemin qui caractérise le passage à l’endémie du Sars- CoV2 a été parcouru : schématiquement, la diffusion d’un nouveau virus provoque un nombre important de morts, mais permet aussi une montée de l’immunité profonde et une baisse de la pathogénicité du virus, qui a diminué de 60 % ; dans une seconde phase, le virus tend à muter vers des formes plus contagieuses mais qui touche plus les voies aériennes supérieures, et les données récentes suggèrent une très forte circulation virale, alors même que la mortalité hivernale est retombée vers ses moyennes historiques saisonnières, plus haute en hiver compte-tenu des virus rhumo-grippaux.
Les risques doivent être analysés avec attention, et les données ne justifient pas les craintes et analyses les plus répandues : l’estimation de l’Institut Pasteur d’une exposition de 10% à 20% de la population au Sars-CoV2, qui impliquerait que nous ne sommes qu’au début du stade endémique et l’essentiel des morts est devant nous, n’est pas robuste; le variant anglais n’apparait pas plus mortel que les souches historiques, et le rajeunissement des personnes hospitalisées s’explique par la vaccination des personnes les plus âgées et fragiles ; finalement, la poussée épidémique hivernale est classique des virus aériens.

https://youtu.be/cagVelDaIIg
Aux origines des variants – 8 avril 2021
Pr Raoult IHU
Le variant qui a le plus tué Marseille4 (épidémie oct-nov-déc 2020) semble issu des élevages de visons
Le variant anglais qui a pris la suite est moins sévère selon l’expérience des médecins de l’IHU
Immunité procurée par la maladie naturelle est quantifiée grâce aux réinfections plus de 3 mois après la première, les danois ont fait étude comparable : 0,63% des personnes déjà infectées peuvent se réinfecter.
L’immunité vaccinale ne sera pas plus immunisante que la maladie naturelle, de plus ils ne concernent que la protéine spike qui est modifiée chez les variants
On peut espérer que la proportion des infectées (Marseille environ 40%), la population sensible devrait diminuer la circulation du virus, si pas de nouveau mutant.
On voit sur le graphique montré par le Pr Raoult que le variant anglais est en cours de remplacement par un nouveau variant à Marseille mais il n’y est pas fait allusion

3) La maladie Covid-19
https://youtu.be/i5G5_B1mnhQ
Covid longs Video IHU DR Carole Eldin

Quels sont les symptômes persistants : dyspnée persistante, neurologie (stress, problèmes cognitif, rénaux, cardiaques, anosmie agueusie
En premier : douleurs, fatigues, dyspnée décrit par les chinois
Fibrose corrélée à la gravité du Covid, ainsi que mobilité, stress post trauma
Ensuite Covid modéré : non hospitalisé, symptômes résiduel à 3 ou 4 mois : fatigue, dyspnée
Iles Faroë : chez non hospitalisés, 55 j après : fatigue, insomnie, digestif,
Italie : fatigue, dyspnée, douleurs, vertiges, troubles digestifs
Hop Cochin : patients jeunes, formes modérées : neurologie : désordre cognitif, problème sensoriel (paresthésie), douleurs thoraciques, palpitations

Neurologie : troubles attention, trouble mémoire,
IHU, troubles neurologiques : 80% dyspnée, 66% douleur, 49% trouble mémoire, retrouve des hypométabolismes dans le bulbe olfactif, trois cérébral, thalamus, cervelet, lobe frontal,
Autre équipe (Italie) : aussi hypométabolisme cérébraux, hypermétab ostéeo et vasculaire
Est-ce du virus qui persiste? est-ce auto-immunité? neurogénératif? ce sont des hypothèses
À l’IHU 103 patients ont eu PET scanner: hypermétabolisme de l’aorte, hypermetab ostéo diffus,
Palpitations de plus en plus observées ; désadaptation à orthostatisme, symptômes vagal.
Beaucoup récepteurs ACE2 dans tronc cérébral
Rien sur les traitements!

https://doi.org/10.12988/asb.2021.91296
Réponse immunitaire anti-SARS-CoV-2 et mort subite : La titine comme lien
Darja Kanduc
Département des Biosciences, des Biotechnologies et de la Biopharmaceutique, Université de Bari, Italie
Résumé
Vingt-neuf pentapeptides sont communs à la glycoprotéine (gp) de la pointe du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) et à la protéine cardiaque humaine Titin, dont les altérations sont liées à l’insuffisance cardiaque et à la mort subite. La similitude des peptides ne reflète pas un simple partage peptidique, mais présente plutôt un potentiel immunologique pertinent, car presque toutes les séquences partagées sont présentes dans des épitopes dérivés de la gp du SRAS-CoV-2 validés expérimentalement, soutenant ainsi la possibilité que des réactions croisées auto-immunes anti-Titine puissent être déclenchées par le virus. De plus, la similitude contextuelle des peptides entre le SRAS-CoV-2, la Titine humaine et les organismes microbiens auxquels les individus ont été exposés précédemment, met en évidence la probabilité de réponses immunitaires anti-Titine anamnestiques et extrêmement puissantes qui pourraient découler d’une empreinte immunologique antérieure. Les présentes données peuvent aider à comprendre, expliquer et diagnostiquer la relation entre la mort subite et les infections.

4) ÉPIDÉMIOLOGIE

https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-8-avril-2021
Santé Publique France – 8 avril 2021
Taux de dépistage augmente, incidence aussi mais taux de positivité diminue dans toutes les classes d’âge, y compris les 0-18 ans depuis semaine 9 (1er mars avant le confinement général)
Taux incidence augmente alors que taux positivité est stable = car taux de dépistage augmente!

89% des patients admis en réanimation en septembre-décembre 2020 présentaient au moins une comorbidité contre 87% en janvier-mars 2021 (p<0,05). Les comorbidités les plus fréquemment rapportées étaient, pour les deux périodes, l’hypertension, diabète, obésité.
Personnes décédées de la Covid depuis 1er mars 2020 :
1% entre 15-44ans
7% 45-64 ans
15% 65-74 ans
78% 75 ans ou plus
total 0-14 ans : 5 décès dont 4 avec comorbidités

Danger des tests PCR
https://www.academie-medecine.fr/les-prelevements-nasopharynges-ne-sont-pas-sans-risque/
Les prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque Communiqué de l’Académie nationale de médecine 8 avril 2021
Le prélèvement nasopharyngé suivi de la détection du génome viral par RT-PCR est devenu la méthode de référence pour le diagnostic de l’infection par le SARS-CoV-2. L’écouvillonnage nasal est également nécessaire pour la réalisation d’un test antigénique. Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite [1-3].
Afin de ne pas négliger le risque lésionnel induit par la banalisation des prélèvements nasopharyngés effectués massivement dans le contexte de la Covid-19, l’Académie nationale de médecine rappelle les bonnes pratiques à respecter :
–  s’enquérir, avant tout prélèvement, d’éventuels antécédents accidentels ou chirurgicaux de la sphère ORL pouvant modifier l’anatomie des cavités nasales et sinusales, notamment les interventions concernant la cloison, le cornet nasal inférieur et les sinus de la face [4] ;
–  ne pas placer la tête du patient en hyperextension lors du prélèvement, mais la maintenir en position naturelle, le menton parallèle au sol ;
–  introduire l’écouvillon en suivant horizontalement le plancher de la cavité nasale et ne le dévier en aucun cas vers le haut, en direction de la base du crâne.
De plus, l’Académie nationale de médecine recommande :
–  de réserver la pratique des prélèvements nasopharyngés aux professionnels de santé formés
pour la réalisation de ce geste dans des conditions techniques rigoureuses ;
chez les enfants, de privilégier les prélèvements salivaires pour leur sécurité et leur acceptabilité ;
–  de mettre en garde les utilisateurs d’auto-tests, l’auto-prélèvement pouvant exposer à de faux négatifs lorsque l’écouvillonnage est trop timide et superficiel, mais pouvant aussi devenir dangereux lorsque l’écouvillonnage est trop profond et dirigé dans la mauvaise direction.

5) Mesures barrières ; efficacité ?

Après plus d’un mois de ré-ouverture totale (depuis le 3 mars 2021), l’État très peuplé du Texas continue d’enregistrer une baisse conséquente et ininterrompue du nombre de contaminations et du nombre de morts (« seulement » seize mort Covid déclarés jeudi).
Toutes les activités ont repris (y compris la restauration) et le masque n’est requis que dans certains espaces publiques et certains commerces.
20% de la population est vaccinée.
Sources : Worldometers.info, Our World in Data

Non le carnaval de Marseille n’a pas occasionné de cluster !
https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6316415/coronavirus-lanalyse-des-eaux-usees-montre-que-la-circulation-du-virus-sest-uniformisee-a-marseille.html
Carnaval de Marseille le 22 mars 2021
Un nouveau variant circule à Marseille, il est en cours d’investigation à l’IHU.
Il a commencé à prendre le dessus vers le 22 février et a culminé vers le début mars (rien à voir
avec le carnaval de Marseille!) : graphiques IHU

6) VACCINS
Campagne de vaccination
Direct du JIM
https://www.jim.fr/pharmacien/actualites/pro_societe/e-docs/direct_16_avril_espacer_les_deux_doses_de_6_mois_3e_dose_et_rappel_annuel_le_futur_schema_de_pfizer__187272/document_actu_pro.phtml
L’Académie de médecine recommande d’espacer les deux doses de vaccin à ARMm de 6 mois
L’Académie de médecine recommande d’espacer les deux doses de vaccin à ARNm de 6 mois chez les moins de 55 ans. Cela permettrait « d’accélérer la campagne de vaccination de masse » et « d’atteindre une immunité collective beaucoup plus rapidement avec le même nombre de doses tout en assurant une protection individuelle satisfaisante », juge l’Académie de médecine dans un communiqué publié jeudi 15 avril.
Pourtant la FDA recommande de ne pas espacer les doses et de respecter l’espacement défini par les essais cliniques : https://www.theverge.com/2021/1/5/22214865/covid-vaccine-schedule-doses-fda-uk
Pfizer : une troisième dose et une vaccination annuelle ?
Sur la chaîne américaine CNBC Albert Bourla, PDG de Pfizer a expliqué : « Une hypothèse vraisemblable est qu’une troisième dose sera probablement nécessaire, entre six mois et douze mois, et à partir de là, il y aura une vaccination à nouveau chaque année, mais tout cela doit être confirmé ».

Le Brésil fait coïncider sa campagne de vaccination contre la grippe avec celle du covid ?
À suivre !
Le pays distribuera 80 millions de doses du vaccin antigrippal trivalent, produit par l’Institut Butantan, pour immuniser le public cible. Le ministère conseille aux États que toutes les mesures visant à empêcher la transmission du Covid-19 soient adoptées pendant la campagne dans plus de 50 000 postes de vaccination à travers le Brésil. Les groupes prioritaires sont:
Dans cette campagne, les enfants de 6 mois à moins de 6 ans (5 ans, 11 mois et 29 jours), les femmes enceintes, les femmes puerpérales, les peuples autochtones, les agents de santé, les personnes âgées de 60 ans et plus, les enseignants des écoles publiques et privées, les personnes atteintes de maladies chroniques non transmissibles et d’autres conditions cliniques particulières, les personnes handicapées permanentes, les forces de sécurité et de secours, les forces armées, les chauffeurs routiers, les travailleurs des transports publics urbains et longue distance de passagers, les travailleurs portuaires, les travailleurs du système pénitentiaire, les adolescents et les jeunes de 12 à 21 ans dans le cadre de mesures socio-éducatives et de la population privée de liberté.
https://www.gov.br/saude/pt-br/assuntos/noticias/campanha-nacional-de-vacinacao-contra-a-influenza-comeca-em-12-de-abril

Le Pass vaccinal ne sera pas suffisant pour franchir les frontières internes de l’Europe
https://www.jim.fr/pharmacien/actualites/pro_societe/e-docs/direct_15_avril_des_clusters_en_ehpad_malgre_la_vaccination_pass_vaccinal_insuffisant_pour_voyager_en_europe_187254/document_actu_pro.phtml
Dans un document adopté vendredi par les 27, les Etats membres de l’Union insistent pour rappeler que le Pass vaccinal ne sera « pas un document de voyage » et ne pourra « pas être une précondition pour exercer les droits de libre circulation » contrairement à ce que souhaite la Commission. Les États se réservent ainsi la possibilité d’imposer des restrictions et des quarantaines à tous les voyageurs, même ceux pouvant prouver qu’ils ont été vaccinés contre la Covid-19. En revanche, la Commission, les Etats et le Parlement semblent d’accord pour ce Pass soit valable un an.

Vacciner les grands singes ?
https://www.jim.fr/pharmacien/actualites/medicale/e-docs/covid_19_et_sil_fallait_vacciner_les_grands_singes__187159/document_actu_med.phtml
Quelle bonne idée pour accélérer les mutations du virus !
Au zoo de San Diego (CA, USA), en janvier 2021, un gorille au dos argenté, âgé de 49 ans, faisait partie des 9 gorilles infectés par le SARS-CoV-2. Il ne doit sa survie qu’à un traitement expérimental par anticorps de synthèse qui lui fut alors administré. Les grands singes qui n’avaient pas été contaminés ont été vaccinés.
C’est précisément pour la vaccination des animaux sauvages que plaide un article paru récemment dans le Lancet. Les auteurs rappellent que, si l’origine du SARS-CoV-2 reste inconnue, des coronavirus génétiquement semblables ont été retrouvés dans des réservoirs animaux, même si aucun hôte intermédiaire n’a jusqu’à présent été identifié. La vaste diffusion du virus laisse envisager sa capacité à s’adapter et à devenir pathogène pour d’autres hôtes que l’homme. Les variants anglais, sud-africain et brésilien ont d’ailleurs montré leur aptitude à infecter des animaux.
Des infections de visons ont été observées dans des fermes d’élevage en Europe en novembre 2020 et, si les contacts à l’extérieur ne semblent pas être un mode majeur de transmission, d’autres voies peuvent exister chez les animaux (salives, objets contaminés, fèces, etc.).
Les vaccins « humains » sont probablement efficaces
Les auteurs de l’article du Lancet estiment que la vaccination rapide de toutes les personnes en contact avec les animaux sauvages est illusoire. De plus, si l’écotourisme et les visites de réserves d’animaux sont officiellement interdits ou sévèrement règlementés, ces mesures ne sont pas partout efficaces. Or, les grands singes sauvages par exemple vivent dans des communautés très denses où la contamination d’un animal aurait un effet dévastateur : chez le gorille de montagne, espèce en voie d’extinction, la perte de chaque individu peut mettre en péril la survie de l’espèce.
L’obtention d’un vaccin homologué pour les espèces animales risque de prendre du temps. Considérant les similarités biologiques entre les grands singes et les humains, les auteurs estiment que les données d’efficacité des vaccins humains actuels pourraient être extrapolées aux grands singes, et les vaccins adaptés en y incorporant un adjuvant spécifique. Ils ne rejettent pas toutefois la nécessité de prendre en compte le contexte écologique et l’impact potentiel de la vaccination sélective de certaines espèces, notamment sur la possibilité de nouvelles pressions évolutives.
REF : Edwards S. et coll. : Anthroponosis and risk management : a time for ethical vaccination of wildlife ? Lancet Microbe 2021 – Publication avancée en ligne le 1 avril. doi: 10.1016/S2666-5247(21)00081-1.

https://www.fiercepharma.com/pharma/astrazeneca-j-j-covid-19-vaccine-contracts-won-t-be-renewed-europe-next-year-report
La Commission Européenne ne renouvellera pas les contrats Astra Zeneca et Johnson&Johnson pour 2021.
Elle augmentera les commandes de Moderna et surtout de Pfizer pour l’année prochaine

Les essais cliniques par une experte biostatisticienne de l’industrie pharmaceutique
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4
Christine Cotton critique la méthodologie des essais cliniques des vaccins Covid-19
On notera une remarque intéressante : les protocoles qui ont été rédigés au débit de l’année 2020 prévoyaient un taux d’attaque de la maladie d’environ 0,8% (et c’est ce qui est retrouvé au cours des essais cliniques) : c’est peu pour une pandémie censée menacer l’humanité !
à 6minutes : description d’un essai clinique classique : dure plus de 10 ans
pdf disponible : https://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/media-icons/Revue-des-Essais-Cliniques-COVID-Christine-Cotton.pdf
remarques : Moderna, il y a très peu de personnes infectées dans les 2 groupes bien qu’on soit en période de pandémie !
Plus de 70 ans : 0 malades légers vaccinés et 7 placebo, c’est très peu !
Pfizer : incluent les personnes ayant covid avant vaccin. Il y a toujours très peu de personnes qui tombent malades en période de pleine pandémie, on a un risque de 0,8% d’attraper le covid dans la population totale. Cas sévère : pas efficacité car pas significative. Temps de suivi est totalement différent selon les patients, invalide !
Population plus de 75 ans est très faible : on ne peut pas conclure
AstraZeneca a poolé différentes études. Efficacité significative du vaccin sauf sur plus de 65 ans
J&J : 1,7% cas de Covid chez placebo, c’est peu, donc on n’est pas en pandémie ! Avec vaccin on évite 1% de malades. On a entre 26 et 99% d’efficacité : peu significatif. Sur plus de 70 ans efficacité pas prouvée.
Efficacité inférieure à 1% pour critère secondaire !
Temps suivi : de 1 jour à 4 mois, trop court ! Si on suit 50% de participants, la FDA valide !
On ne connaît donc pas la durée de la protection.
Conclusion : pourquoi on vaccine ?
Critère principal : Covid symptomatique PCR+, on n’a pas le Ct, et différence entre labo local et labo central ; 682 en local contre 464 en central sont positifs, donc PCR sont pas valides ici.
Plus de 3000 patients symptomatiques avec PCR négative ! Plus de taux de réaction post vaccin que de malades dans le groupe placebo : le taux de réaction post-vaccin va encombrer les hôpitaux. Le remède prie que le mal.
Tolérance : on n’évalue pas les EI à long terme (seulement 4 mois).
AZ : un des essais a été arrêté (clinicaltrial.gov) à cause événement grave en Russie, on n’en sait pas plus.
France : études faites à étranger seulement ; dans ces pays les comorbidités ne sont pas les mêmes, il y a beaucoup de comorbidités donc sont à risque malgré cela on n’a que 0,8% de personnes infectées dans le groupe placebo !
Taux incidence supposé dans le protocole : 0,75% sur 6 mois par exemple : ça ne correspond pas à un virus dangereux pour la population ! C’est beaucoup moins que pour la grippe.
La méthodologie statistique est trop favorable pour les études des vaccins : intervalle de confiance supérieur à 30 est acceptée.
Il faut 1 à 3 mois pour écrire protocole : Pfizer fabrique dès 14 janvier 20 et protocole dès avril 20, c’est très court !
Femmes enceintes et enfants : pas testé.
Il y a énormément d’EIG rapportés alors qu’on sait que très peu sont rapportés à la pharmacovigilance. Comment on compte les morts après vaccins ? Si mort après vaccin, ce sont les comorbidités, si mort du Covid, les comorbidités ne comptent pas !

Essai vaccin Astra Zeneca en pause chez les enfants
https://www.wsj.com/articles/oxford-pauses-dosing-in-trial-of-astrazeneca-covid-19-vaccine-in-children-teenagers-11617729303
L’Université d’Oxford a déclaré qu’elle avait interrompu l’administration de doses du vaccin Covid-19 qu’elle a développé avec AstraZeneca PLC dans le cadre d’une petite étude britannique visant à tester le vaccin chez les enfants et les adolescents, dans l’attente d’informations supplémentaires sur de rares problèmes de coagulation sanguine chez les adultes qui l’ont reçu.
L’essai pédiatrique mené par Oxford a débuté à la mi-février et vise à tester le vaccin chez plus de 200 jeunes âgés de 6 à 17 ans. Un porte-parole d’Oxford a déclaré mardi qu’aucun problème de sécurité n’avait été soulevé dans le cadre de l’essai lui-même, mais des préoccupations plus larges concernant des problèmes rares de coagulation chez les adultes ont déclenché des examens réglementaires supplémentaires au Royaume-Uni et en Europe afin d’étudier tout lien potentiel avec le vaccin.
Oxford attend de plus amples informations de la part de l’agence britannique de surveillance des médicaments, la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency, avant d’administrer d’autres vaccins aux enfants ou aux adolescents participant à l’essai pédiatrique, a déclaré le porte-parole.
Cette pause est le dernier revers en date pour le vaccin Oxford-AstraZeneca, qui a dû faire face à des questions concernant son efficacité et ses effets secondaires potentiels, alors même que des dizaines de millions de doses ont été administrées après l’obtention des autorisations de sécurité dans plus de 70 pays.

Effets indésirables
Système rénine-angiotensine, SRAS-CoV-2 et hypothèses sur les effets indésirables après vaccination
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3781903
Conclusion
Enfin, un sujet connexe concerne l’évaluation du lien de causalité de tout événement indésirable consécutif à une vaccination (AEFI), impliquant le système cardiovasculaire tel que l’existence de thrombi ou micro thrombi, l’arrêt cardiaque, l’accident vasculaire cérébral, l’hémorragie et le choc. Une augmentation soudaine de la pression pourrait également être fatale chez les personnes souffrant d’anévrismes cérébraux. Lors de l’évaluation de la causalité d’un EIAS grave, les directives de l’OMS demandent de prendre en compte toutes les autres causes possibles qui ont pu conduire à l’événement [36]. Les directives expliquent ensuite qu’un historique médical détaillé, des examens cliniques et des investigations, y compris des tests de laboratoire sur le patient, peuvent aider à identifier d’autres conditions telles que d’autres maladies et des anomalies congénitales qui pourraient avoir causé l’événement. Cette procédure ne semblerait logique et valable que si l' »autre condition » était indépendante d’une éventuelle interaction avec le vaccin. C’est pourquoi la plausibilité biologique d’une relation causale (ou concausale) est si importante [4, 5]. Le fait que les vaccins fabriqués avec des protéines d’épi puissent avoir une influence dysrégulatrice sur le SRA signifie que, dans le cas des personnes affectées par des maladies de nature cardiovasculaire, une interaction entre le vaccin et la condition sous-jacente est plus plausible que dans le cas d’autres vaccins. Bien que les avantages de la vaccination chez les personnes qui pourraient être gravement affectées par COVID- 19 soient indiscutables, le fait d’ignorer le problème des interactions possibles des vaccins avec le SRA pourrait conduire à une sous-estimation systématique du risque posé par ces nouveaux vaccins, en particulier chez les personnes sensibles et fragiles.

Risque d’intégration d’ADN vaccinal dans le génome
Pourquoi je ne prendrai pas le vaccin de Johnson & Johnson – le point de vue d’un scientifique
Ken Biegeleisen, M.D., Ph.D., explique pourquoi il pense que Johnson & Johnson ne peut pas garantir que son vaccin COVID ne modifiera pas votre code génétique.
https://childrenshealthdefense.org/defender/johnson-johnson-vaccine-scientists-perspective/
(extrait)
Pourquoi les fabricants de vaccins nous « assurent » que leurs produits testés de façon marginale sont génétiquement « sûrs » ?
Je propose trois explications possibles, toutes aussi répréhensibles les unes que les autres :
Il se peut que les scientifiques de ces entreprises ne connaissent tout simplement pas l’histoire de ce domaine. Que peut-on dire ? « Ceux qui n’apprennent pas de l’histoire sont condamnés à la répéter. »
Il se peut que tout ce qui, dans l’industrie, n’améliore pas le rapport trimestriel sur les bénéfices, risque fort d’être ignoré.
Il se peut que le fait de qualifier un nouveau vaccin de « sûr », dans le monde pharmaceutique, ne signifie guère plus que l’entreprise dispose des ressources juridiques nécessaires pour faire face à toute action en responsabilité qui pourrait survenir.
Laquelle de ces trois explications possibles est la bonne ? Ou est-ce les trois ?
En tout cas, vous savez maintenant pourquoi je ne prendrai pas le vaccin de Johnson & Johnson.

Pharmacovigilance
Encore une fois on constate que la vaccinovigilance française n’est pas adaptée à la campagne actuelle de vaccination : elle ne peut traiter l’afflux de signalements d’effets secondaires et demande de ne pas les déclarer tous ! Alors que la déclaration est obligatoire !
https://www.ouest-france.fr/centre-val-de-loire/tours-37000/covid-19-le-centre-de-pharmacovigilance-de-tours-assailli-par-des-signalements-sur-les-vaccins-7218408
Le CRPV de Tours a reçu, depuis le mois de janvier, 1 400 signalements et parfois plus 200 en une semaine. Un phénomène auquel il n’était pas préparé. « Patients et médecins ont tout déclaré : ce qui nous a beaucoup embolisés », a expliqué la responsable du CRPV de Tours.
Il a donc été demandé de ne plus signaler le moindre effet afin que le centre puisse se concentrer sur les signalements graves, comme les thromboses, effet secondaire « très rare » du vaccin AstraZeneca selon l’Agence européenne des médicaments. Si un lien entre un problème de santé et la vaccination est jugé probable, les dossiers sont transmis en urgence à l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).

https://www.ladepeche.fr/2021/04/09/vaccin-johnson-johnson-leurope-va-examiner-des-cas-de-caillots-sanguins-9478444.php
L’Agence européenne des médicaments a lancé une étude sur des liens possibles entre le vaccin anti-Covid de Johnson & Johnson et des caillots sanguins, après que quatre cas ont été rapportés, dont un mortel.
L’EMA a indiqué que sa commission pour la sûreté avait « lancé une étude » destinée « à évaluer des informations sur des incidents thrombo-emboliques » concernant des personnes ayant reçu le vaccin Johnson & Johnson. L’Union européenne a autorisé ce vaccin mais n’a pas commencé à l’utiliser.
« Il a été fait état, après vaccination avec le vaccin Covid-19 Janssen, de quatre cas graves de caillots inhabituels associés à des faibles taux de plaquettes », a indiqué l’EMA, citant le nom de la filiale européenne du géant américain. « Un cas est survenu lors d’un test clinique et trois sont survenus dans le cadre de la vaccination aux Etats-Unis. L’un d’entre eux a été mortel », a ajouté l’EMA.
Le régulateur européen a approuvé le vaccin Johnson & Johnson et sa mise en oeuvre dans les pays de l’Union européenne doit commencer en avril.

https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2777417
March 8, 2021, Acute Allergic Reactions to mRNA COVID-19 Vaccines
2% de réactions allergiques avec les vaccins à ARNm
Des réactions allergiques aiguës ont été signalées par 1 365 employés dans l’ensemble (2,10 % [IC 95 %, 1,99 %-2,22 %]), plus fréquemment avec le vaccin Moderna qu’avec le vaccin Pfizer-BioNTech (2,20 % [IC 95 %, 2,06 %-2,35 %] contre 1,95 % [IC 95 %, 1,79 %-2,13 %] ; P = 0,03, tableau 1). L’anaphylaxie a été confirmée chez 16 employés (0,025 % [IC 95 %, 0,014 %-0,040 %]) : 7 cas provenant du vaccin Pfizer-BioNTech (0,027 % [IC 95 %, 0,011 %-0,056 %]) et 9 cas provenant du vaccin Moderna (0,023 % [IC 95 %, 0,011 %-0,044 %]) (P = 0,76).
Cela donne en gros un choc anaphylactique pour 5000 vaccinations.

https://www.bmj.com/content/372/bmj.n810/rr-14
Réponse rapide :
Re : Les médecins doivent-ils se faire vacciner contre le covid-19 ?
08/04/2021.
Les niveaux de maladie après la vaccination sont sans précédent et le personnel tombe très malade, certains présentant des symptômes neurologiques, ce qui a un impact énorme sur le fonctionnement des services de santé. Même les jeunes et les personnes en bonne santé sont absents pendant des jours, voire des semaines, et certains ont besoin d’un traitement médical. Des équipes entières sont retirées alors qu’elles allaient se faire vacciner ensemble.
La vaccination obligatoire dans ce cas est stupide, non éthique et irresponsable lorsqu’il s’agit de protéger notre personnel et la santé publique. Nous sommes dans la phase volontaire de la vaccination, et nous encourageons le personnel à prendre un produit non homologué qui a un impact sur leur santé immédiate, et j’ai une expérience directe du personnel qui a contracté le Covid APRÈS la vaccination et l’a probablement transmis. En fait, il est clairement indiqué que ces produits vaccinaux n’offrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission.

https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-begins-study-allergic-reactions-moderna-pfizer-biontech-covid-19-vaccines
Le NIH lance une étude clinique pour déterminer quelles personnes ne doivent pas être vaccinées pour éviter les réactions allergiques aux vaccins Pfizer et Moderna.
Donc ceux qui se sont déjà fait vacciner ont bien participé à un essai clinique ?
Cette étude devra déterminer si les personnes très allergiques ou bien qui présentent un désordre des mastocytes doivent éviter ces vaccins : n’aurait-il pas fallu étudier ceci AVANT le lancement commercial ?
On ne connaîtra pas les effets indésirables à long terme car les participants ayant reçu le placebo seront rapidement vaccinés !

Le lien entre thromboses et le vaccin Astra Zeneca est reconnu par l’EMA
https://fr.euronews.com/2021/04/06/il-y-a-un-lien-entre-astrazeneca-et-les-thromboses-volte-face-de-l-agence-europeenne-du-me

Coronavirus: L’EMA examine le vaccin de J&J après des cas suspects
https://www.reuters.com/article/sante-coronavirus-europe-vaccins-idFRL8N2M247B
L’EMA examine les données du vaccin J&J concernant des thromboses chez les vaccinés
Elle examine aussi des cas de fuite capillaire avec hypotension après vaccin AstraZeneca

Le vaccin Johnson &Johnson aux USA : EI
Plus de 600 personnes ayant un rendez-vous ont été renvoyées d’un site de vaccination de masse à Commerce City, dans le Colorado, après que plusieurs personnes vaccinées aient souffert de réactions indésirables au vaccin COVID à injection unique de Johnson & Johnson (J&J).
Centura Health a déclaré que le nombre de personnes ayant subi des effets indésirables correspondait à 0,62 % des plus de 1 700 personnes qui ont été vaccinées sur le site mercredi.
Deux personnes ont été transférées à l’hôpital après que le personnel médical ait déterminé qu’elles nécessitaient une observation supplémentaire. Les responsables de Centura n’ont pas précisé quelles réactions ont été observées ni leur gravité.
https://thehill.com/policy/healthcare/547119-colorado-vaccination-site-closes-early-after-adverse-reactions-to-johnson
Le premier vaccin J&J COVID a été administré aux États-Unis le 2 mars. Les dernières données du CDC sur les effets indésirables des vaccins COVID montrent qu’au 26 mars, sur les 50 861 effets indésirables signalés au VAERS pour les vaccins COVID de Pfizer, Moderna et J&J, 2 797 effets indésirables, dont 29 décès, ont été attribués au vaccin de J&J.
Entre le 2 et le 26 mars, les données du VAERS ont fait apparaître 518 rapports de réactions anaphylactiques au vaccin COVID de J&J, qui est distribué par la filiale Janssen de la société. Sept cas de paralysie de Bell ont également été signalés au cours de la même période.
https://twitter.com/CenturaHealth/status/1379992148318121988

Comparaison du risque de thrombose après Covid et après vaccin
Si on prend seulement en compte les EI déclarés, le vaccin est moins risqué que la Covid! Mais sachant que seulement moins de 1% des EIG sont déclarés, le rapport des risques pourrait bien s’inverser!
https://osf.io/a9jdq/
Etude rétrospective par Oxford University comparant les risques de thromboses après Covid, après grippe, après vaccin à ARNm et après vaccin Astra Zeneca à adenovirus

Thrombose veineuse cérébrale
Risques
Après Covid : 39 par million de cas
après vaccin ARNm : 4,1 par million de vaccinés
Grippe : 0
après vaccin AZ : 5 cas par million de vaccinés

Thrombose de la veine portale :
436 par million après Covid
44,9 par million après vaccin ARN
98,4 cas par million après grippe
1,6 cas par million après vaccin AZ

Après inclusion de tous les EI signalés par différents codes mais qui sont vraisemblablement des CVT :
après Covid : 171 cas par million
après vaccin ARNm : 22,7 par million
après grippe : 52,1 cas par million
Et tous les autres évènements thrombotiques codés autrement ?
Analyse
Même si on ne prend en compte que ces évènements tels qu’ils sont codés, on a donc un risque de 22,7 cas par million de vaccinés d’avoir une thrombose après vaccin ARNm et de 171 par million après Covid ; il faut bien sûr prendre en compte le risque d’être infecté par le virus de la Covid. Si on se réfère aux essais cliniques, il est de 1% environ, donc le risque réel de faire une thrombose après Covid dans la population globale est de 171/100 cas par million = 1,71 par million à comparer avec le risque post vaccin de 22,7  par million !!

D’ailleurs :
https://www.fhi.no/en/news/2021/astrazeneca-vaccine-removed-from-coronavirus-immunisation-programme-in-norw/
L’Institut norvégien de santé publique a recommandé de mettre fin à l’utilisation du vaccin AstraZeneca (Vaxzevria) dans le cadre du programme de vaccination contre le coronavirus en Norvège. «Nous en savons désormais beaucoup plus sur l’association entre le vaccin AstraZeneca et les incidents rares mais graves avec une faible numération plaquettaire, des caillots sanguins et des hémorragies, que lorsque la Norvège a décidé de suspendre l’utilisation du vaccin AstraZeneca en mars» a déclaré Geir Bukholm, directeur de la Division de la lutte contre les infections et de la santé environnementale de l’Institut norvégien de santé publique. «Sur la base de ces connaissances, nous formulons une recommandation visant à retirer le vaccin AstraZeneca du programme de vaccination contre le coronavirus en Norvège». Comme les citoyens les plus âgés ont été vaccinés, l’utilisation de ce vaccin concernerait principalement les moins de 65 ans. Les experts ont fait des calculs pour comparer le risque de mourir du COVID-19 dans les différents groupes d’âge et le risque de mourir de la maladie grave des caillots sanguins observée après la vaccination avec AstraZeneca. Leur conclusion: ? «Comme il y a peu de personnes qui meurent du COVID-19 en Norvège, le risque de mourir après la vaccination avec le vaccin AstraZeneca serait plus élevé que le risque de mourir de la maladie, en particulier pour les jeunes»? Pour ceux qui ont eu la première dose, la possibilité de recevoir un autre vaccin contre le coronavirus pour leur deuxième dose est à l’étude. En ce qui concerne l’autre produit à adénovirus, Johnson et Johnson, L’Agence européenne des médicaments (EMA), la Food and Drug Administration (FDA) américaine et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) enquêtent à la suite de rapports faisant état de plusieurs cas de caillots sanguins graves après la vaccination aux USA. ———
Voilà pourquoi il est injustifié que l’on vaccine les groupes d’âge qui n’ont guère de risque de faire une forme grave de Covid ou d’en mourir.

Le virus de l’herpes réactivé par les vaccins à ARNm
https://www.swissmedic.ch/swissmedic/en/home/news/coronavirus-covid-19/nebenwirkungen-covid-19-impfungen-update-3.html
44 cas d’herpès zoster (zona) ont été signalés, dont 26 ont été considérés comme graves – dans la plupart des cas pour des raisons médicales.
L’herpès zoster est causé par une réactivation des virus de la varicelle et du zona (VZV). La primo-infection par le VZV entraîne la varicelle. Les facteurs de risque du zona sont les traitements immunosuppresseurs, le diabète sucré, le sexe féminin, le stress psychologique et les traumatismes mécaniques. L’incidence de l’herpès zoster augmente avec l’âge, passant de 3 sur 1 000 chez les 40-50 ans à 10 sur 1 000 chez les plus de 80 ans. L’âge moyen des personnes touchées dans les cas rapportés était de 72 ans, et le zona est apparu entre un et 43 jours après la vaccination. La possibilité d’un lien de causalité entre les vaccinations et l’apparition du zona est actuellement à l’étude.
D’autre part au cours de la Covid-19, le virus de la varicelle-zona peut être réactivé
Ferreira A, Romao T, Macedo Y, Pupe C. COVID-19 and herpes zoster co-infection presenting with trigeminal neuropathy. European Journal of Neurology; May 24, 2020. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/ene.14361.
Les enquêteurs ont noté que le VZV a tendance à rester latent, bien qu’il puisse être réactivé à la suite de conditions de stress telles qu’une infection virale. Dans le cas présent, les médecins ont émis l’hypothèse que l’infection au COVID-19 pouvait être le facteur de stress. La réactivation de l’herpès zoster affecte le ganglion sensoriel et son nerf cutané.
D’autres chercheurs ont déjà noté des preuves d’une tempête de cytokines résultant d’une infection sévère par COVID-19, et même dans un cas relativement asymptomatique, il est possible que le virus ait pu favoriser une réactivation rétrograde du VZV. Sur la base de leurs résultats, les auteurs ont conclu que le COVID-19 pouvait être à l’origine de la présentation rare de l’herpès zoster.

EFFICACITÉ ?
Critique d’une étude publiée par Pfizer qui voudrait montrer l’efficacité du vaccin contre les variants : https://www.qeios.com/read/HGI4LE
Etude critiquée : Neutralization of SARS-CoV-2 spike 69/70 deletion, E484K and N501Y variants by BNT162b2 vaccine-elicited sera
https://doi.org/10.1038/s41591-021-01270-4

Cette publication des employés de Pfizer essaye de montrer que les anticorps des personnes vaccinées par le vaccin Pfizer anti-Covid-19 sont efficaces contre les variants UK (B.1.1.7) et SA (B.1.351) du SARS-CoV-2
Les biais méthodologiques sont expliqués ici, de plus, d’autres publications montrent bien la réduction de la neutralisation de pseudovirus par les anticorps de vaccinés avec le vaccin Pfizer.
De plus, tout ceci est éloigné de ce qu’il se passe chez les vaccinés en ce moment dans la vraie vie : une étude réalisée en Israël sur les personnes vaccinées et non vaccinées avec le Pfizer montre que les personnes partiellement vaccinées étaient plus susceptibles que les personnes non vaccinées d’être infectées par la souche B.1.1.7 ( » variant britannique « ) que par la souche sauvage. Les personnes entièrement vaccinées étaient plus susceptibles que les personnes non vaccinées d’être infectées par la souche B.1.351 ( » variant sud-africaine « ) que par la souche sauvage.
Ces résultats, s’ils sont vérifiés, suggèrent que le variant B.1.1.7/U.K. est plus efficace pour passer au travers d’une vaccination partielle que la souche sauvage ; et que le variant B.1.351/S.A. est plus efficace pour passer au travers d’une vaccination complète que la souche sauvage.

Tunisie : flambée épidémique au début de la campagne de vaccination (échelle logarithmique)

https://www.telegraph.co.uk/news/2021/04/06/government-models-warning-third-wave-based-flawed-figures-telegraph/
Pourquoi les modèles avertissant d’une troisième vague de Covid au Royaume-Uni sont défectueux
La plupart des données suggérant une augmentation des admissions à l’hôpital et des décès cet été sont inutilement négatives et souvent obsolètes.
La majeure partie des victimes de la troisième vague seraient… des patients vaccinés !
Le Telegraph alerte sur un risque bien plus important de victimes de cette troisième vague parmi la population… vaccinée.
Dans le rapport établissant la modélisation, un paragraphe « enfoui » – dixit l’auteur – annonce en effet que « La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin, représentant respectivement environ 60% et 70% de la vague. Ceci peut être attribué au taux élevé de vaccinés dans les groupes les plus à risque» (c’est le passage surligné dans la capture d’écran).
Autrement dit : la majeure partie des décès Covid de la troisième vague concernent des patients ayant reçu leurs deux doses de vaccin.

Au Chili, l’épidémie résiste à la vaccination
Variant brésilien, efficacité décevante du vaccin chinois Sinovac, météo défavorable… Le pays n’arrive pas à enrayer une résurgence du Covid-19.
Le Figaro – jeudi 15 avril 2021
https://www.lefigaro.fr/sciences/vaccines-mais-confines-l-exemple-du-chili-doit-il-nous-inquieter-20210413
UN NOMBRE record de cas quotidiens malgré l’une des meilleures couvertures vaccinales au monde… En deux mois et demi, le Chili a administré au moins une dose de vaccin à près de la moitié de sa population adulte, et deux doses à près d’un tiers, ce qui représente un peu plus de 12 millions d’injections. Par comparaison, 16 % seulement de la population française a reçu au moins une dose de vaccin et 6 % deux doses.
L’arrivée des variants britannique et brésilien a aussi dû participer à la hausse des contaminations, comme ailleurs en Amérique latine.
Par ailleurs, le pays a surtout utilisé le vaccin CoronaVac, du laboratoire chinois Sinovac.

https://www.ecdc.europa.eu/sites/default/files/documents/Risk-of-transmission-and-reinfection-of-SARS-CoV-2-following-vaccination.pdf
ECDC Europe : transmission et réinfection après vaccination
Les périodes de suivi des personnes vaccinées ne sont pas encore suffisamment longues pour tirer des conclusions sur la durée de la protection contre l’infection à long terme.
Les titres d’anticorps chez les personnes vaccinées atteignent leur maximum 3 à 4 semaines après la vaccination.
La plupart des études sur l’efficacité des vaccins ont été réalisées avant l’émergence des variants VOC (variant of concern) du SRAS-CoV-2. Dans les études qui portent sur les variants, il existe des preuves préliminaires limitées d’une efficacité réduite du vaccin, en particulier pour B.1.351 et peut-être aussi pour P.1.

https://eu.detroitnews.com/story/news/local/michigan/2021/04/05/246-vaccinated-residents-diagnosed-covid-3-dead-michigan/7100759002/
246 résidents vaccinés diagnostiqués avec le COVID ; 3 morts, selon le Michigan
The Detroit News
Pas moins de 246 résidents du Michigan considérés comme entièrement vaccinés contre le COVID-19 ont été diagnostiqués ultérieurement avec le virus, et trois sont décédés, ont confirmé lundi les autorités de l’État.
Les cas ont été signalés entre le 1er janvier et le 31 mars, et les 246 personnes ont eu un test positif 14 jours ou plus après la dernière dose de la série de vaccins, a déclaré Lynn Sutfin, une porte-parole du département de la santé et des services sociaux du Michigan, dans un courriel.
« Certaines de ces personnes pourraient finalement être exclues de cette liste en raison de la persistance d’un test positif suite à une infection récente avant d’avoir été complètement vaccinées », a-t-elle ajouté.
« Ces cas font l’objet d’un examen plus approfondi afin de déterminer s’ils répondent à d’autres critères des CDC pour la détermination d’une percée potentielle, notamment l’absence d’un test antigène ou PCR positif moins de 45 jours avant le test positif post-vaccination. En général, ces personnes ont été plus susceptibles d’être asymptomatiques ou légèrement symptomatiques par rapport aux personnes vaccinées. »

Des clusters dans les EHPAD malgré la vaccination de masse
https://www.jim.fr/pharmacien/actualites/pro_societe/e-docs/direct_15_avril_des_clusters_en_ehpad_malgre_la_vaccination_pass_vaccinal_insuffisant_pour_voyager_en_europe_187254/document_actu_pro.phtml
Deux ARS signalent des clusters dans des EHPAD malgré le fort taux de vaccination atteint dans ces établissements (plus de 90 % vaccinés une dose, plus de 80 % de vaccinés deux doses).
Ainsi, des clusters ont été détectés dans des Ehpad du Bas-Rhin et des Landes. Au moins douze résidents d’un Ehpad situé à Marckolsheim, dans le Bas-Rhin, ont été testés positifs au Covid-19 alors que sept d’entre eux avaient été vaccinés. Dans les Landes, ce sont quinze résidents d’un Ehpad de Biscarosse, immunisés avec le vaccin Pfizer, qui ont été testés positifs ces dernières semaines. Face à l’extrême rareté des formes graves dans ces différents agrégats de cas, l’efficacité de la vaccination paraît confirmée.

La Chine émet des doutes sur ses propres vaccins
https://www.jim.fr/pharmacien/actualites/pro_societe/e-docs/la_chine_emet_des_doutes_sur_ses_propres_vaccins_187246/document_actu_pro.phtml#article-reactions
Pékin, le mercredi 14 avril – Le directeur du CDC chinois a affirmé que les vaccins élaborés par la Chine n’étaient pas aussi efficaces que les vaccins occidentaux.
Officiellement, tout ça n’est qu’un malentendu. Selon les autorités chinoises, les propos tenus ce samedi par le professeur Gao Fu, directeur du centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) chinois, ont été mal interprétés. D’ailleurs, la vidéo de sa déclaration est désormais introuvable sur les réseaux sociaux chinois. Mais ces explications alambiquées ne changent rien à l’affaire : l’éminent professeur Gao a bien affirmé que les vaccins élaborés en Chine n’avaient pas un « niveau de protection très élevée », plombant ainsi la communication menée par les autorités chinoises autour de ces vaccins depuis plusieurs mois.

https://reinfocovid.fr/science/lansm-se-trompe-dans-le-mecanisme-des-vaccins-incompetence-ou-manipulation/
Par : Equipe scientifique de Reinfocovid
Quand l’ANSM oublie de préciser que l’ADN modifié de l’adenovirus vaccinal, des vaccins Astra Zeneca et Janssen, rentre dans le noyau de vos cellules.
L’ANSM publie sur son site (https:/ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins-autorises ), un schéma explicatif du mode de fonctionnement d’un vaccin à vecteur viral adénovirus comme le sont les vaccins d’Astra Zeneca et Janssen.
Malheureusement le schéma de l’ANSM expliquant le mécanisme d’action de ces vaccins est incomplet et donc trompeur.
En effet on peut voir sur ce schéma que l’adénovirus vaccinal génétiquement modifié entre dans le cytoplasme de la cellule et y déverse son génome modifié
Le noyau de la cellule qui contient l’ADN de la personne vacciné est représenté à côté et semble bien séparé de cet ADN modifié de l’adénovirus. Est représenté ensuite (étape 3 du schéma), la production de la protéine spike à partir de cet ADN vaccinal toujours en dehors du noyau. Ceci est impossible !……..
CONCLUSION
Contrairement au schéma de l’ANSM, l’ADN des vaccins à adénovirus génétiquement modifiés comme les vaccins Astra Zeneca ou Janssen doit rentrer dans le noyau des cellules des personnes vaccinées pour exercer l’effet vaccinal attendu.
Il nous semble important que cette information soit clairement indiquée sur la fiche de l’ANSM autant pour les médecins que pour la personne à vacciner.

7) Traitement
https://trialsitenews.com/fda-revokes-lillys-bamlanivimab-eua-as-its-efficacy-wanes-against-sars-cov-2-variants/
La FDA révoque l’autorisation d’utilisation d’urgence du bamlanivimab de Lilly alors que son efficacité diminue contre les variantes du SRAS-CoV-2

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis vient de révoquer l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du bamlanivimab, le traitement monoclonal expérimental, lorsqu’il est administré seul pour le traitement du COVID-19 léger à modéré chez les adultes et certains patients pédiatriques. La FDA a déterminé que les bénéfices connus et potentiels de l’anticorps monoclonal expérimental lorsqu’il est administré seul ne sont plus supérieurs aux risques connus et possibles pour son utilisation autorisée. Pourquoi ? En raison d’une analyse en cours de la FDA qui, combinée à des données émergentes, indique que l’augmentation soutenue des variantes virales du SRAS-CoV-2 qui sont résistantes à l’anticorps monoclonal produit par Eli Lilly and Co. (Lilly) entraîne un risque accru d’échec du traitement. En conséquence, la FDA a révoqué l’EUA. En octobre dernier, le bamlanivimab a également échoué dans l’essai ACTIV- 3, parrainé par le NIH et centré sur des patients hospitalisés.
Que va faire l’ANSM qui a donné une ATU ?

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