Voici un nouveau texte émanant de notre agace-neurone préférée, Brigitte Fau, dont on ne présente plus le parcours intellectuel extraordinaire (*) et qui veut nous avancer ici une explication inattendue de la raison pour laquelle les maladies « d’hiver » pourraient trouver place dans nos organismes exténués. Surprise finale, les préconisations alimentaires développées en fin d’article « collent » dans l’ensemble assez parfaitement à ce que la micro-nutrition nous enseigne aujourd’hui. Alors? Et bien… Bonne lecture.
Notre science, sur les traces de Pasteur, a décidé de s’en prendre au « méchant » microbe. A l’opposé, un certain nombre de chercheurs pensent que les microbes sont des conséquences et non la cause des maladies :
- Claude Bernard disait : « c’est le terrain qui compte »
- Antoine Béchamp affirmait, après de longues recherches (1) : « la maladie est en nous et vient de nous ».
- Jules Tissot, sur les traces de Béchamp, trouvait l’origine d’un certain nombre de maladies dans l’alimentation (2).
– Louis Claude Vincent confirmait en mesurant le terrain et montrait que sur un terrain sain les maladies ne se développent pas (3).
Alors qui croire ? La « science » bien sûr, mais quelle science ? Eh bien, devenons tous un peu scientifiques : soyons curieux, observateurs. Prenons l’exemple des maladies d’hiver, maladies virales comme le rhume, la grippe. Pouvons-nous les éviter ? Faites-en l’expérience.
LC Vincent situe les maladies virales sur un terrain oxydé (rH2 élevé) et particulièrement chargé en minéraux (résistivité faible). Qu’est-ce qui peut provoquer d’une part l’oxydation du sang et d’autre part cette surcharge minérale, s’agglutinant en cristaux?
- L’été, nous mangeons beaucoup de fruits, de crudités parce qu’ils abondent et que la saison s’y prête. Ces aliments « vivants », non dénaturés par les cuissons, riches en eau, nous apportent des antioxydants et une eau vivante biocompatible, nous fournissant des minéraux assimilables. De plus, nous profitons du beau temps et sommes beaucoup plus en contact avec la nature, nous marchons pieds nus sur le sable, nous nous asseyons par terre, nous touchons les arbres … : cela nous reconnecte à la terre, c’est également un facteur antioxydant important (4).
- L’hiver, en cuisant trop nos aliments, nous les dénaturons, particulièrement avec le micro-onde, la cocotte minute. Nous mangeons moins de fruits, ils ne sont plus de saison. Nous buvons l’eau du robinet ou des eaux surchargées en minéraux non assimilables. Notre alimentation est ainsi plus oxydée et nous oxyde. A cela s’ajoutent le stress du travail, des soucis, la perte de contact avec la terre. Tous ces éléments sont des facteurs supplémentaires d’oxydation. Là-dessus arrive la période des fêtes, et là nous nous gavons.
Faites cette première constatation :
Quand tombez-vous malade ? Et que remarquez-vous, à ce moment-là, que ressentez-vous ? Vous avez soif, vous n’avez pas faim, vous avez besoin de vous reposer.
Écoutez-vous ! Reposez-vous. Buvez beaucoup, mais une eau légère (moins de 100 mg de résidus secs), ajoutez-y un peu de citron, afin de dissoudre les cristaux de minéraux accumulés. Ajoutez au besoin un peu de miel, du bon (antioxydant) particulièrement pour les enfants. Contentez-vous de boire, si vous n’avez pas faim.
Jeûnez une journée en vous reposant et constatez par vous- même.
Quand vous rompez ce petit jeûne, recommencez doucement par des aliments sains, vivants, antioxydants : des fruits frais, secs, oléagineux (noix, noisettes, amandes…) ou de la salade, des cornichons, de la choucroute crue etc. Continuez à boire beaucoup entre les repas.
La prévention
Mais mieux encore, et vous l’avez compris, faisons l’expérience de la santé en prévenant à l’avance ces réactions de l’organisme débordé.
Comment éviter l’oxydation due à l’alimentation :
Evitez les aliments industriels, mangez des aliments non dénaturés (crus, cuisson douce), pensez aux fruits secs et oléagineux vous apportant une bonne graisse indispensable. Vous pouvez, en les réhydratant la veille, réveiller leurs propriétés. Faites des salades riches en énergie, avec des racines, bulbes et légumes de saison (crus), ajoutez des épices, aromates, graines.
Tout ça, en priorité. Tâchez de ne pas trop manger, ne saturez pas votre organisme (4)
Comment éviter l’oxydation due au stress et à l’environnement : se reconnecter à la terre est indispensable quotidiennement (la nuit particulièrement) et même le plus souvent possible pour décharger le survoltage induit (5).
Comment évitez la surcharge minérale du sang (résistivité faible) : buvez dès le matin une eau légère (< 100 mg de résidus secs). Pourquoi ?
Seuls les végétaux peuvent assimiler les minéraux et ainsi nous les fournissent sous une forme assimilable par l’organisme. Ce n’est pas à l’eau de nous les fournir. Les minéraux de l’eau, des eaux, ne sont pas assimilables, tournent dans le sang, encrassent les reins et sont la cause de nombreux problèmes (6).
Et comment résorber l’accumulation des cristaux ? Faites une cure de citron ou d’aubier de tilleul. Les naturopathes sont de bon conseil.
En conclusion
Dites-vous que la maladie est avant tout l’expression du déséquilibre de l’organisme. Alors laissez-le s’exprimer à nouveau et entendez-le, il est bigrement sympa d’accepter tout ce que nous lui faisons subir. Si nous n’apprenons pas à l’entendre, il se dégénère petit à petit jusqu’à ne plus pouvoir et de là viennent les maladies graves. Lorsqu’elles arrivent : cela fait longtemps que le terrain se dégénère et pour le rétablir, si c’est encore possible, il faut beaucoup de temps et de patience. Calmer simplement des symptômes est illusoire, quant à prévenir en injectant des produits qui le déséquilibre encore plus ne fait que le dégénérer davantage.
Alors, préparez bien votre hiver dès l’automne et vous pourrez nous faire part de votre « expérimentation » suite à cet article. Merci d’avance.
« Le comité médical de l’AIMSIB ne partage pas obligatoirement toutes les opinions émises dans les articles mis en ligne sur le site de l’AIMSIB »
Références :
(*) https://www.aimsib.org/2018/03/01/fonctionnement-electromagnetique-vivant-introduction-aux-decouvertes-de-louis-claude-vincent/
(1) Les microzymas, A. Béchamp https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/
(2) Jules Tissot http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php?id=133&action=constitution-des-organismes-animaux-et-v- 233%3Bg-233%3Btaux-et-cause-des-maladies-qui-les-atteignent
(3. Il s’agit de la mesure du sang veineux voir l’article «du fonctionnement électromagnétique du vivant »
(4) Plus de conseils : https://www.bonnes-habitudes.fr/agir/
(5) https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/la-prise-de-terre/
(6). http://eauseanceilive.blogspot.fr/2013/12/conference-quelle-eau-boire-par-marc.html
Bonjour,
La BEV (BioElectronique de Vincent pour les non initiés) demeure certes, une précieuse et originale méthode d’analyse des terrains biologiques mais elle n’en demeure pas moins de nature uniciste et essentialiste dans ses constats biologiques et préconisations d’hygiène de vie notamment alimentaires. Or, nous sommes fondamentalement des êtres biologiquement uniques, ce qui signifie que toute généralisation est non seulement fausse mais pour le moins sujette à débat.
En effet, par exemple, si la plupart des pathologies microbiennes se situent sur des terrains oxydés (défaut d’électrons), certaines bactériennes pathogènes se placent dans la partie réduite (excès d’électrons) : http://www.energescence.com/bioelectronique-et-sante.php. De plus, les bioélectronigrammes en microbiologie demanderaient à être actualisés avec des mesures sur des germes pathogènes et utiles « modernes ».
Par ailleurs, concernant la qualité des eaux de boisson, la préconisation « d’une eau idéale » à boire n’a pas de sens car il faut parler des EAUX à BOIRE en raison de l’unicité de notre profil psychophysiologique; l’eau qui convient à une personne ne convient pas forcément à une autre. La vidéo « Choisir son EAU en fonction de son profil ayurvédique » en est une bonne illustration ( https://www.youtube.com/watch?v=1CM2Af1pWH4). Il n’est pas exact non plus, selon la BEV, de dire que les minéraux dans l’eau sont totalement inassimilables. Leur biodisponibilité est principalement fonction de l’absence de transporteurs (acides organiques; citrique, acétique, humiques… ou acides aminés) dans l’eau mais qui ceux-ci sont apportés par les aliments. Il est par exemple possible de rajouter des minéraux dans une eau purifiée par l’adjonction d’un grain de sel de mer brut et de quelques gouttes de jus de citron (= acide citrique). Lire à ce sujet l’annexe 13 de mon livre « La nature de l’eau » : https://www.editionsmarcopietteur.com/resurgence/161-les-annexes-de-la-nature-de-l-eau-yann-olivaux.html.
Bref, la diversité du vivant doit aussi s’appliquer aussi sur le plan nutritionnel. A chacun d’expérimenter sur la nature des aliments et des eaux de boisson pour trouver selon les saisons, ce qui s’adapte le mieux à sa physiologie et son état de santé
Bien à vous
Yann Olivaux
Merci Yann. En effet, nous sommes tous différents, à chacun d’observer.
« une eau vivante biocompatible, nous fournissant des minéraux assimilables » . C’est quoi une eau biocompatible ? Que je sache, les anciens romains par ex. avaient compris que l’eau amenée par les aqueducs n’était pas bonne (canalisations en plomb), ils la gardaient pour les termes, les arrosages etc…mais buvaient l’eau de pluie ou venant directement d’une source. Avant eux, les « paléos » ne se posaient pas ce genre de questions et buvaient eux aussi une eau qui n’était pas trouble, comme le font encore les animaux sauvages.
Bon, pour le reste de l’article, il me semble cohérent, utile pour rester en bonne santé.
Tout cela est bel et bon, comme disait quelqu’un…
Rien n’égale l’écoute et le respect de ses cellules, de la nature, comprendre c’est bien, mais développer ses antennes, pour être au plus prêt des demandes de son organisme, c’est un idéal à atteindre pour moi, car c’est une clé qui dépasse toutes les autres, sans verbiage intellectuel, juste « communiquer » rétablir le dialogue par la radiesthésie ou test kinésio. Car chacun est différent, les cellules sont uniques, le terrain, l’histoire, les réactions, l’héritage transmis, tout est différent.
Donc tout doit être personnalisé, surtout le repas du matin surtout le jus, qui est le grand message, le vecteur d’ d’informations adressé aux cellules. http://vivelavie.jimdo.com
Qu’est-ce qu’une eau biocompatible ? Il est aujourd’hui possible et nécessaire de proposer une nouvelle méthode d’évaluation globale de nos eaux de boisson : https://lanaturedeleau.blogspot.com/2016/01/qualite-de-leau-eaulistic-une-methode.html en donnant la priorité à des tests sur le vivant avec notamment le test microbiologique de compatibilité hydrique MicrotoxO : https://lanaturedeleau.blogspot.com/2016/01/qualite-de-leau-microtoxo-test.html
Bonne lecture
La BEV est une technique de mesures objectives qui permet de bien définir les liquides biologiques. Tout le monde connaît bien le pH. Par contre le rH2, auquel L.C. Vincent a fait judicieusement appel, est d’un abord un peu plus délicat. J’estime que je l’explique, que je le démontre, que je l’illustre, grâce aux travaux du Pr Joseph Orszagh, sur mon site internet : http://www.andrefougerousse-recherche.fr . Vous auriez pu le citer. J’y ai relaté votre article sur A. Béchamp.
Bevinker est cité par le biais de mon article précédent en référence (*) dans lequel j’y décris la BEV justement et dans lequel je vous cite. Je pensais que mon article sur Béchamp proposé à l’AIMSIB était tombé dans les oubliettes, je suis flattée qu’il trouve sa place sur votre site ; c’est vous par votre lettre au président qui m’avez inspirée et donné l’envie d’étudier les travaux ce grand scientifique dont on découvrira tôt ou tard le génie (le plus tôt possible, j’espère). Bien à vous.
« Le comité médical de l’AIMSIB ne partage pas obligatoirement toutes les opinions émises dans les articles mis en ligne sur le site de l’AIMSIB »
Il s’ agit d’ opinions en effet , dans la plus part de cas .
Cela est rassurant que l’ AIMSIB me partage pas du tout cela .
Mais alors : pourquoi alors les mettre en ligne sur ce site qui se veut scientifique , aussi ? Quels sont les criteres pour mettre en ligne ces article ? Quel interet pour les lecteurs ?
Ne serait – il pas plus utile de mettre seulement des choses vérifiees et non des opinions possiblement biaisées ?
Bonjour Madame,
Ce qui fait la différence entre le doute et la certitude, c’est le doute. ce qui fait que l’intelligence et la connaissance progressent, ce n’est jamais la certitude, mais toujours le doute. Tous les textes aimsib sont relus par un collège variable de relecteurs.
Il se trouve que Brigitte Fau s’attire toujours les mêmes remarques de ceux-ci, aucun accroc de méthode, de très nombreux scientifiques défendent régulièrement cette approche du vivant, Brigitte Fau construit un discours logique sur une base biochimique sur laquelle nous ne sommes pas formés.
Nous ne sommes pas contraints, nous sommes obligés d’accueillir ses textes avec gourmandise. S’ils vous dérangent, prouvez-en la vacuité intellectuelle mais attention, plus fort que vous risque de vous répondre… (*)
(*) http://www.andrefougerousse-recherche.fr/
Merci pour votre reponse .
Le doute est mon domaine aussi .
Mais, seulement , je n’ en vois pas le moindre, chez Madame Brigitte Fau et pas non plus chez toutes ces personnes qui pensent qu’ il suffit d’ objecter et de prendre le contre-pied de ce que la science academique raconte ou demontre , pour avoir tout juste .
Je ne crois pas que nous ayons un choix a faire entre Pasteur et Bechamp , c’ est excessivement bizarre de penser aisni. Ce que vous proposez est un enfermement dans un autre bocal largement aussi ferme a double tour .
Et cela n’ est pas une façon de faire convaincante du tout .
On pourrait aussi voir dans ce propos l’illustration de la différence entre l’expert et le chercheur. L’expert, généralement mandaté par une autorité comme une compagnie d’assurances par exemple, dit le vrai selon une norme qui, en sciences, sera la norme académique. Le chercheur, je veux dire le chercheur dans l’âme, ce qui n’est pas toujours le cas du chercheur statutaire, cherche et dit ce qu’il trouve même si cela doit briser la coupole académique, sorte de cloche à fromages sous laquelle on voudrait nous voir tous fermenter !
Le chercheur formule des hypothèses, lance des pistes de recherches, attend et espère qu’elles stimuleront d’autres chercheurs. C’est une attitude féconde et je ne vois pas pourquoi il ne faudrait pas l’adopter publiquement alors que le défilé d’affirmations dites reconnues est souvent stérilisant. D’ailleurs une affirmation reconnue n’est pas toujours vraie. Il y a beaucoup d’exemples de cela, tout particulièrement en médecine où le fait de ne pas pouvoir dire publiquement la vérité conduit à créer 2 vérités, celle qui a cours sur la place publique et celle des experts quand ils sont entre-eux.
Que c’est bien dit chers Vincent, Bernard, mais je me dois de m’expliquer. La science semble effectivement enfermée dans un système et je regrette que les débats eux-mêmes ne soient généralement admis qu’en référence « à la norme académique ». Merci à l’AIMSIB de permettre de sortir de ce bocal conditionnant à l’extrême.
Plus j’avance dans mon expérience personnelle, plus j’observe, plus j’approfondis les travaux de chercheurs méconnus car non académiques, plus je réalise que les scientifiques oublient de se poser des questions essentielles. On associe nos maladies à des bactéries, des virus … en partant du principe que ces « microbes » sont la cause des maladies. Mais l’on sait combien ces microbes rejetés dans l’atmosphère pullulent. Nous les respirons sans aucun doute, nous serions tout le temps malades.
Quel scientifique se pose la question du devenir de ces microbes dans l’atmosphère ? Antoine Béchamp vous dirait qu’ils retombent la plupart du temps en poussières (des poussières vivantes qu’il a appelé microzymas). (1)
Quel scientifique démontre que les microbes retrouvés dans nos maladies proviennent de l’extérieur ? Repartant des travaux de Béchamp, Jules Tissot aurait (je n’ai pas encore approfondi le sujet) démontré l’origine autogène des virus, des bactéries pour un certain nombre de maladies.(2)
Les microbes ne seraient-ils pas des conséquences et non la cause des maladies ? Le Pr André Fougerousse en est convaincu (3) et je le suis aussi. Cela suppose que nos organismes peuvent produire des microbes internes (autre que le microbiote intestinal): la démarche scientifique exemplaire de Béchamp ne laisse pas de doute.
Vous allez me dire : mais nous saurions tout çà ! Eh bien non, parce qu’en partant de principes non démontrés et admis (4), les chercheurs « académiques » ne peuvent arriver qu’à des conclusions erronées. C’est le principe même de la démarche scientifique. Et comment se fait-il nous ne connaissions pas mieux les travaux de ces chercheurs. Parce que la vraie recherche est humble et ne peut faire face aux ambitions économiques du système, puisque la puissance financière règne en maître désormais.
(1) https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/
(2) https://www.bonnes-habitudes.fr/2018/07/22/la-liberté-d-opinion-et-de-discussion-scientifiques-en-france/
(3) http://www.andrefougerousse-recherche.fr/
(4) https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/principes-de-pasteur/
Je n’ai pas forcément les réponses, il faudrait approfondir les recherches justement en suivant la trace du corps injecté. Ce que constate Béchamp c’est que en l’absence de tout germe externe, des bactéries peuvent se développer à partir des granulations moléculaires propres à chaque organe, glande, humeur … Il a pu isoler ces granulations qu’il a appelé microzymas, et les faire fermenter ; il constate qu’elles sont capables à elles seules d’éxécuter les fonctions du centre dont elles proviennent et dont elles ont acquis les fonctions au cours du développement de l’embryon puis de l’enfant. Elles exécutent correctement leur fonction si le milieu est respecté et se développent, se structurent en cellules pour maintenir l’équilibre du milieu. Mais si le milieu est déséquilibré elles peuvent alors développer des bactéries de différentes formes en fonction du déséquilibre (polymorphisme microbien). Mais il faut bien comprendre que dans ce cas ces bactéries sont propres à l’individu et même propre au centre concerné. L’injection brutal de bactéries ou de tout autre corps étranger dans un organisme provoque un déséquilibre certain, si cela entraine une maladie ; celle-ci est-elle due au développement de la bactérie étrangère ou à une réaction morbide des microzymas due au changement de milieu provoqué ? A. Béchamp se posait la question, justement. Il ne me semble pas qu’il y ait répondu. Peut-être que la génétique permettrait de répondre maintenant.
Mais l’injection n’est pas la norme dans la nature sauf parasite.
Jules Tissot a t’il répondu à cette question, je n’ai pas encore étudié ses travaux. Il s »est attaché à chercher la cause des maladies justement.
@Akira @ Brigitte
Akira c’est construit une image mentale du vivant que l’on peut qualifier d’académique, pour être gentil, ou de totalement ringarde, pour être actuel. L’homme vit, les micro-organismes l’attaquent en permanence pour le tuer… Pasteur n’a pas fait mieux et nous lui devons le désastre intellectuel en cours.
Si tu t’étais déplacé à Toulouse le 13 Octobre 2018 au congrès de ton association préférée tu aurais pu assister à la communication du Pr Jean-François Brugere de Clermont-Ferrand, il t’aurait expliqué à toi aussi que le nombre global de bactéries porté par un seul humain (10puiss14) égale voire serait 10 fois plus nombreux que les cellules proprement humaines.
L’homme n’est pas que méta-cellulaire. C’est aussi (et c’est certain, plus à y revenir, Pasteur est mort, laisse-le où il est) un méta-organisme.
Définitivement la science de demain ne se retrouve pas dans les savoirs académiques…
Akira, Vincent ne m’a pas appelé « agace-neurones » par hasard. J’ai mis plusieurs années à digérer tout ce que je découvre tellement cela remet tout en question. C’est brutal de découvrir tout çà d’un coup. Je vous pousse dans vos retranchements. Mais reconnaissez que la science « académique » est détournée à des fins de production. On le voit pour cette chasse au cholestérol tellement dramatique qui est à l’origine de la création de l’association mais dans tellement d’autres exemples. Ne trouvez-vous pas intéressants les travaux de Béchamp, ne serait-ce que par l’exemplarité de la démarche scientifique ? Il s’agit bien de science pourtant. Ne voyez-vous pas que la science passera à côté de l’essentiel si elle ne se remet pas en question. Vouloir produire des médicaments à tout prix, ne permet pas de comprendre ce qu’est réellement la santé. Je n’apporte que des questions à soulever et malheureusement les réponses sont effectivement insuffisantes tant que les chercheurs ne se poseront pas les vraies questions.
Merci Akira pour cet échange, c’est important d’apporter la contradiction et merci à l’aimsib de le permettre.
A peu de choses pres , les memes constats que Akira .
Un minimum de rigueur et surtout de doutes seraient bienvenu , pour rester credibles , et meme pour ne pas etre encore plus fermes que ces academiques pretenduement tous corrompus , et que vous fustigez , a longueur de temps , avec exces
Quel précipitation…
Pas sérieux, dites-vous, prenez un voltmètre et mesurer l’électricité induite dans le corps :
Coupés de la terre, nous subissons une électricité induite de plusieurs volts par exemple en se plaçant près d’une lampe branchée (même pas allumée), en l’absence d’interrupteur bipolaire et de prise de terre, un champ électrique se diffuse autour du câble qui induit un survoltage dans nos organismes, survoltage mesurable. Si vous comprenez qu’un voltage positif est oxydatif (perte d’électrons), l’incidence dans nos organismes est inévitable. Je rappelle, voir mon article précédent (*) que le potentiel d’oxydo-réduction du sang veineux se mesure en Volt et est de l’ordre de 220 mV chez une personne en bonne santé alors qu’il est survolté chez les personnes atteintes de nos maladies de sociétés : de l’ordre 400 mV chez une personne cancéreuse, 600 mV chez une personne épileptique. Bien sûr l’incidence sur le sang n’est pas immédiate mais à la longue. Refaites cette même mesure à côté de la lampe, pieds nus sur le carrelage (en supposant qu’il est en contact avec la terre) vous obtiendrez un alignement de l’électricité induite dans le corps sur le niveau électronique de la terre, mesure proche de 0 mV (sachant que la différence de potentiel est mesurée entre la terre et corps).
Ce serait intéressant de refaire des mesures bioélectroniques après reconnection à la terre. LC Vincent avait inventé un « négativeur » à utiliser régulièrement, avec parcimonie, qui améliorait la santé. Mais je pense que se connecter à la terre le plus souvent possible, ne peut être mauvais. Les animaux le sont en permanence.
https://www.bonnes-habitudes.fr/la-prise-de-terre/négativeur/
Akira, je ne suis pas sûre de bien comprendre la question dans le contexte précédent. Un arbre est vivant, il est connecté à la terre par ses racines, lorsque l’on touche un arbre, il nous reconnecte à la terre, de la même manière que si l’on se met pieds nus sur la terre. Les mesures d’électricité induite dans nos corps montrent que le survoltage s’élimine dès que l’on touche la terre, ne serait-ce qu’avec l’extrémité d’un doigt, mais aussi dès qu’on est en contact avec n’importe quel autre organisme vivant lui-même connecté à la terre. Par contre un morceau de bois n’a plus de racine, et à l’inverse il transporte les champs électro-magnétiques (je parle bien des champs et non de l’électricité, on sait que le bois n’est pas conducteur). C’est très étonnant, mais maison en bois et électricité font un très mauvais ménage. Les champs électriques environnant les câbles se propagent dans le bois au lieu de s’atténuer et induisent de l’électricité dans nos organismes. Les normes devraient imposer des câbles blindés (ou glissés dans une goulotte métallique connectée à la terre).
Il y aurait tellement à dire.
En tout cas plus que jamais avec la pollution électro-magnétique de plus en plus envahissante et très oxydative, nous devons trouver les moyens de reconnecter à la terre pour décharger le survoltage induit.
Il nous faudrait donc acheter ce negativeur .
Mais : il est vendu sur une boutique qui vend de la L-glutamine non dosee (ce serait trop academique , sans doute , de proposer un dosage des produits vendus la environ 2 fois plus chers que dans les pharmacies ?) et c’ est pareil aussi pour le calcium glycerophosphate en gellules, aucune indication du dosage et plusieurs autres produits pareils .
Et ca , c’ est pas le bussiness de Buzyn ni de Big Pharma !
Cette boutique la vend aussi du Lugol ! On croit vraiment rever ! J’ ose a peine imaginer ce que serait la reaction ici , si c’ etait des gens des systemes academiques qui proposaient de consommer du Iodure de potassium qui tue totalement toute vie .
C’ est meme utilise pour ça par les biologistes a la base . La dose , la , vous en tenez compte ?
Serieux, s’ abstenir de lire !
Non, F.Roche, il n’est pas nécessaire d’acheter un négativeur. Il suffit de marcher en chaussettes de coton sur son carrelage, s’il est en contact avec la terre par le biais d’une dalle en ciment, de toucher les arbres, de faire du jardinage. Il vaudrait mieux en effet, arriver à ce que les normes de bâtiments et de matériel électrique prennent en compte ses nuisances. Il existe des géobiologues qui peuvent vous conseiller pour les diminuer dans l’habitat.
Akira, je comprends votre souci. Je me pose plein de questions également, c’est pour çà que j’éveille l’attention là-dessus. Pourtant, comme j’expliquais, le comportement de l’arbre vivant est différent du bois mort (déconnecté de la terre). J’ai refait des mesures ce matin. Je mesure la ddp (différence de potentiel) à l’aide d’un voltmètre en mode AC : une électrode est reliée à la terre et je pose mon pouce sur l’autre électrode (plate) afin de mesurer l’électricité induite dans le corps. J’ai branché une lampe (sans prise de terre) avec une rallonge pour m’approcher d’un arbre. J’ai pris soin de mettre des sabots en plastique afin d’être coupée de la terre. Mesures approximatives :
– une mesure de la terre pied en chaussette sur la terre : 200 mV
puis coupée de la terre grâce à des sabots en plastique :
– près de la lampe sans la toucher : 3 V puis en touchant une branche de figuier 200 mV
– près de la lampe en la touchant : 45 V (c’est énorme ! elle est en métal) puis en touchant une branche de figuier : 1V
On décharge bien le survoltage par le biais de l’arbre.
Aux chercheurs d’approfondir le sujet justement. Changer le début de l’histoire, la suite sera inévitablement différente. Avez-vous jetez un oeil aux travaux de Béchamp (j’ai mis à disposition des condensés pour en faciliter l’approche) et compris en quoi les expériences même de Pasteur contredisaient ses propres principes. La démarche scientifique exige que l’on parte de faits démontrés.
Je voudrais rectifier dans mes commentaires précédents le terme chercheur « non académique » repris à Bernard. On ne peut pas attribuer ce qualificatif à Antoine Béchamp : ces travaux sont publiés aux académies de science et de médecine, et il était reconnu et respecté par ces pères.
… présidant les académies et « ses pairs » médecins qui l’estimaient et le respectaient à sa juste valeur.
La science consiste à passer d’un étonnement à un autre.
Aristote
Jolis mots mais pour quelle realite , derrierre , en 2018 ?
Nullement instruite, mais je pense que cette affirmation est toujours d’actualité. Beaucoup de certitudes acquises, mais il reste encore tellement à découvrir … nous ne serons jamais les maîtres absolus, restons humbles!
et puis, entre nous, si plus rien n’avait de secret, où seraient les stimuli ? la vie serait bien triste !
Oui, nous n’avons pas fini d’être étonnés ! …
Ah , mais bien sur qu’ il reste davantages de choses a decouvrir que ce qu ‘ on connait deja . Et que les certitudes sont momentanees . Meme les recherches academiques actuellement en temoignent , d’ ailleurs. Mais la science ne consiste pas en cela ; elle n’ est pas passive et votre formule est tres jolie, mais reste une formule .
Bonjour à vous, Je suis un nouvel arrivé sur votre discussion, et très honoré de dialoguer avec vous. Ok avec l’article sur la saisonnalité de nos besoins, la MTC en apporte aussi une belle approche. La BEV, me passionne particulièrement depuis plus de 15 ans, et à laquelle j’ai adhéré sur une approche de la globalité de l’équilibre de santé: Globalité à 8 paramètres d’entrées qui correspondait aussi à mes recherches. De cette approche décrite par R Castell, actuellement peu de personnes en tiennent compte. De plus la BEV établie depuis plus de 60 ans a vu son environnement exploser littéralement. Beaucoup donc et à reconsidérer, je prépare un article sur le sujet, le respect de l’Académie n’est pas mon genre, et je me prépare à me faire amicalement étriller . Cordialement
Ce sont même les 70 ans de la BEV et en effet, il faudrait aller plus loin. J’attends votre exposé avec impatience.
Pour ma part, je suis convaincu depuis longtemps qu’il est bon de décharger le corps de l’électricité statique. On peut le faire en marchant pieds nus dans la rosée d’une belle pelouse mais ce n’est pas toujours facile ! Un médecin niçois disait avoir amélioré des scléroses en plaques ainsi. Alors, devant l’ordinateur, en ce moment même, j’utilise un simple fil raccordé à une prise de terre. Je le maintiens au niveau de la ceinture, en contact avec la peau. Pour plus de confort on peut prendre un câble avec une prise Jack et connecter l’autre extrémité à la borne terre d’une prise avec terre. Par précaution, enlever les autres broches !
Par contre je ne suis pas convaincu qu’on se met à la terre, au sens électrique du terme, en touchant un arbre. Certains le préconisent mais pour une autre raison : profiter de l’énergie de la sève montante. Metternicht le faisait souvent, selon ce qu’on rapporte, en enserrant longuement un bel arbre vigoureux dans ses bras. Pour profiter de la sève montante, et non descendante, il faudrait se placer côté sud, côté soleil. Je ne sais pas si ça marche mais c’est ce que certains pratiquent et préconisent. Il ne faudrait pas se moquer et déclarer que ça ne peut pas fonctionner avant d’avoir au moins essayé, et plusieurs fois, sur des durées suffisantes. Ce serait un minimum.
La démarche scientifique consiste d’abord à observer et expérimenter et non à dogmatiser. On se doit d’être modeste et tout à la fois prudent et audacieux face à l’immensité de ce que nous ignorons de la vie. et de ses multiples interactions. Même si une personne dit quelque chose de manifestement faux d’un point de vue formel, il peut aussi y avoir une idée intéressante et vraie derrière malgré tout.
Je suis attentivement les discussions sans intervenir car je suis en pleine réflexion depuis ma lecture « pour en finir avec Pasteur » d’Eric Ancelet.
Tout ceci est pour moi très farfelu et j’opterais pour le moment pour la voie du milieu…
Il faudrait pouvoir sortir de cette dualité « académique » – « non académique » même si les termes ont leur raison d’être car ça enferme les échanges dans une sorte d’impasse idéologique au risque de passer à côté de l’essentiel…
Je vous remercie Bernard pour la justesse de vos interventions++
Je pense qu’en terme de démarche scientifique, de tolérance et d’humilité, vous êtes pour le moins exemplaire…
En ce moment, je lis Michel odent qui lui aussi cherche inlassablement les conditions de la bonne santé (et non l’origine des maladies).
Je suis admirative, je dois bien l’avouer, ce type est un avant-gardiste!
Justement, à ce propos, une personne de ma région qui pratique les « soins » par magnétisme, à plein temps, va se ressourcer, ou plutôt se recharger, auprès d’un chêne. je ne sais si elle l’enserre ou si elle y colle le dos ! ce qui est certain c’est qu’elle s’en porte parfaitement et peut continuer à accomplir « ses petits miracles » !
Bernard, si vous regardez une réponse plus haut que j’ai faite à Akira, justement à propos de la mise à la terre par le biais de l’arbre ; j’expliquais que j’ai refait des mesures ce matin même pour vérifier ; elles sont détaillées dans ma réponse. Et cela confirme bien que la mise à la terre peut se faire par le biais de tout organisme vivant, lui-même connecté à la terre : un arbre, une plante, un animal, une personne. Je donne l’expérience d’une chaine humaine sur mon site ; Toute la chaine est abaissée au voltage le plus bas : celui de la personne en bout de chaine debout sur le gazon, personne qui pourrait être en milieu de chaîne d’ailleurs. Il semble que nos organismes tentent de récupérer des électrons dès qu’ils en ont la possibilité.
Précisément, Akira, la démarche scientifique de Béchamp est exemplaire, ses conclusions sont tirées de nombre d’expériences, cherchant à remettre en cause systématiquement ce qui aurait pu semblé acquis, et de l’observer sous un autre angle, puis un autre etc…. En ce qui concerne la BEV, c’est autre chose. Je n’en suis pas à dire que la BEV est une science exacte, loin de là. LC Vincent a fait des constats en faisant des mesures avec le même appareil (important) et encadré de chercheurs et de médecins auprès d’un millier de personnes et établit un lien entre les valeurs des paramètres de la bioélectronique et les maladies, au point de pouvoir retrouver en aveugle la maladie concernée. Le Pr A. Fougerousse a lui-même eu l’occasion de faire des mesures sur des personnes atteintes de cancer du sein en comparaison avec d’autres non atteintes ou non décelé.
Mais pour autant la pratique de la bioélectronique est délicate et nécessite un approfondissement, sans doute des paramètres supplémentaires, une mise au point des appareils, en bref des études complémentaires pour en faire, non un outil de diagnostic, mais un outil de prévention, d’analyse du terrain.
Par ailleurs, il ne faut pas effectivement tirer de conclusions rigides quant aux moyens de rétablir son terrain. En effet, nous sommes tous différents et réagissons différemment. En cela le jeûne est intéressant, parce que le corps sait comment rétablir son équilibre (la nature est vraiment bien faite)
Ce que je cherche à montrer dans cet article, c’est que cette notion de terrain, nous pouvons chacun l’expérimenter et nous faire notre propre opinion.
Au fil des ans, on a l’impression d’être de plus en plus infantilisé, de ne plus avoir le droit de penser et de ressentir ce qui se passe en nous, ni de chercher à voir ou comprendre ce qui nous fait du mal ou au contraire du bien. Peu importe, au moindre problème on va chez le médecin. On est complètement déresponsabilisé.
Et quelle responsabilité ont ces pauvres médecins de devoir tout porter sans même avoir eux-mêmes le droit de penser tellement tout est devenu rigide et je le pense, sans qu’ils aient été formés à la santé.
Mais il s’ agit en realite de rejeter toutes les connaissances aussi fondamentales qu’elles soient , ou d’ en meconnaitre l’ existence ou la portee , si elles peuvent invalider l’ hypothese initiale ( comme les microzymas ou le mouvement brownien ) . C’ est bien cet exces et cet aveuglement qui est genant ( pour rester gentil ) .
Akira, vous parliez de démarche scientifique.
Si on part du principe que ces granulations moléculaires sont amorphes, ce qui est antérieur aux travaux de Béchamp, il faut bien expliquer le mouvement brownien, que l’on qualifie alors de mécanique.
Mais si en isolant ses granulations, on arrive à leur faire reproduire une fermentation ; peut-on encore les qualifier d’amorphes ? et dans ce cas le mouvement brownien est-il vraiment mécanique ?.
On a fait l’impasse sur les travaux de Béchamp (et de beaucoup d’autres) et entretenu dans la science des principes admis, non démontrés, que personne ne remet en cause.
Résultat : personne ne s’intéresse à ces granulations.
Quant à l’observation, la microscopie électronique ne permet pas de les observer, en tout cas pas de la façon dont elle est utilisée. Les fixateurs utilisés qui permettent de voir les mitochondries par exemple (qu’on appelle d’ailleurs fixateurs mitochondriaux), détruisent ou en tout cas déforment la réalité.
Une preuve toute simple ; pourquoi ces granulations (même qualifiées d’amorphes) sont observables avec un microscope à fond noir et ne le sont plus avec un microscope électronique, alors qu’au contraire on devrait mieux les voir. N’y a-t’il pas un problème ?
Jules Tissot, en observant avec un microscope électronique mais utilisant une fixation de l’échantillon plus douce (moins destructrice) observe bien plus et il constate que les mitochondries ne sont que des restes d’une structure cellulaire bien plus importante qu’il qualifie de bactérienne. Il a photographié toutes ses observations.
Pourquoi encore fait-on l’impasse sur les travaux de Jules Tissot ?
Et peut-être même que l’utilisation de la microscopie électronique n’est pas judicieuse du fait de la déformation de la réalité. Et qu’un nouveau mode d’observation remettrait en question les observations de Tissot. Alors que dire de toutes les observations faites.
Mais bien sûr tout n’est pas à jeter dans ce qui a été découvert, mais prendre du recul permettrait sans doute de rétablir certaines contre-vérités qui pour certaines sont essentielles.
J’ai passé de l’eau robinet à de l’eau de source qui gaillit de la terre dans une forêt en campagne et j’ai senti la différence. Mais, lorsque je suis passé à faire des jus avec mon extracteur (eg. jus de melon d’eau), c’est à ce moment que j’ai compris profondément dans mon corps se que la vraie hydratation était! Si bien que boire de l’eau est devenu un peu décevant et insatisfaisant… Ehh oui, l’eau de fruit miam
Merci pour ce témoignage. En effet, l’eau des fruits et des légumes, surtout s’ils ont poussé dans des conditions naturelles est excellente pour la santé.