Ce vaccin anti-papillomavirus (HPV) est vendu depuis 2006 en France avec une indication qui faisait rêver, prévenir l’apparition de 70% des cancers génitaux féminins (col, vagin, vulve) ainsi que de certains cancers du canal anal. Quelques pays ont investi énormément d’argent et toute leur crédibilité épidémiologique dans une vaccination forcenée, quel bilan vont-ils bientôt tirer de douze ans d’acharnement vaccinal anti-HPV ? Celui d’un scandale sans précédent. Explications en douze points.

1- Pathogénicité des papillomavirus ou HPV

Ces virus à ADN appartiennent à la famille des Papillomaviridae. Il en existerait environ 200 génotypes, pas tous génétiquement encore décodés, d’inégaux potentiels de nocivité mais le plus redouté actuellement en Europe est représenté par le type 16, possiblement à l’origine d’un cancer du col sur deux. Les autres types de virus oncogènes actuellement posant problème en Europe sont représentés par HPV18 (20 % des cas) et beaucoup moins souvent HPV31, HPV33 et HPV35, ce dernier ne faisant même pas partie des souches incluses dans le nouveau vaccin baptisé Gardasil© 9. (1)

On sait que la vaccination contre des agents pathogènes peut donner naissance à une efflorescence de nouveaux sérotypes non combattus par ce vaccin. Il s’agit d’un phénomène tristement banal appelé « de remplacement » ou « de substitution ».

Ces virus, avant d’entraîner un cancer authentique de type adénocarcinome invasif, peuvent générer des lésions précancéreuses de potentiels évolutifs variables (2). Il faut comprendre que quel que soit le stade évolutif des lésions cervicales les probabilités de guérisons spontanées restent longtemps élevées, comme en témoigne le tableau ci-dessous:

In: Données épidémiologiques sur le cancer du col de l’utérus, InVS

 

On retiendra que 1% des CIN1 seulement évolueront vers un cancer invasif.

2- Vaccination par le Gardasil©, quels objectifs ?

Pour faire essentiellement baisser la morbidité (nombre de cas) et la mortalité (nombre de cas mortels) par cancer du col de l’utérus. Un premier assemblage baptisé Gardasil©  contenant les antigènes des quatre sérotypes 6, 11, 16 et 18 fut mis sur le marché en 2006 puis un second vaccin a vu le jour en juin 2015 baptisé Gardasil© 9 (cf infra).

En fait 95% des cas mondiaux de cancer du col de l’utérus surviennent chez les femmes vivant dans des pays en voie de développement. (3) L’utilisation des préservatifs tant masculins que féminins permettent une diminution très franche  des infections par HPV, de même que le fait d’obtenir un recul de l’âge des premiers rapports sexuels, la diminution du nombre des partenaires, la correction des carences micro-nutritionnelles diverses et ainsi qu’une interruption du tabagisme. (4)

Pour les Françaises à l’inverse l’incidence du cancer du col  ne fait que décroître depuis plus de cent ans. De 3,6% pour les femmes nées en 1910 il est tombé à… 0,6% s’agissant de celles nées en 1950. (3) Sans doute est-ce dû essentiellement à la pratique du frottis cervico-vaginal, néanmoins encore insuffisamment réalisé.

 

3- Gardasil©, qui le fabrique, qui le vend?

La fabrication est assumée par l’industriel américain Merck, après rachat de la licence initialement détenue par l‘Institut National de la Santé Américain (NIH). Chaque vente de Gardasil© inclut donc une rétrocession à l’état Américain (5). Merck est à l’origine du scandale du Vioxx au début des années 2000. Cette firme a camouflé l’existence de milliers de morts par utilisation de son anti-inflammatoire pour  pérenniser les bénéfices mondiaux qui en découlaient. Merck préfèrera transiger financièrement avec les plaignants américains pour éviter des procès aux USA et ailleurs.

La commercialisation finale du Gardasil© en France est déléguée à un conglomérat associant Merck et Sanofi-Pasteur. 

4- Gardasil© 9, que contient-il?

Ce vaccin est adjuvé par 0,5mg de sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe par dose, soit une dose plus que doublée par rapport à son prédécesseur le Gardasil©. Comme nous le verrons, aucune étude de pharmacocinétique n’a été menée pour l’ensemble des constituants de ce vaccin, pas plus s’agissant de ce sel surdosé que pour tous les autres composants de cet assemblage.

Gardasil© 9, composition

  • La quantité totale d’antigènes se trouve plus que doublée par rapport à son prédécesseur, passant de 120mcg à 270mcg par dose.
  • Le polysorbate 80 (ou Tween 80 ou E433) est régulièrement dénoncé comme un produit nocif et cancérigène, reprotoxique et foetotoxique. (6)
  • Le borate de sodium (Borax), est classé toxique pour la reproduction (catégorie 1B) par la règlement européen n°1272/2008 et, comme tel est étiqueté avec la mention suivante qui doit être clairement marquée sur les emballages : « H360 : Peut nuire à la fertilité et au fœtus ». De plus; le règlement européen 1907/2006, dit REACH, interdit la vente au grand public des produits chimiques classés reprotoxiques de catégorie 1A et 1B ». (7)
  • Le Gardasil© 9 a été approuvé par la FDA sans aucune étude supplémentaire alors que les posologies des sels d’aluminium et d’antigènes avaient été doublées.
  • Le Gardasil© 9, naturellement plus cher que le précédent « 4 » n’apporte aucun intérêt prophylactique supplémentaire par rapport au Gardasil©  puisque l’ANSM a classé le produit de remplacement à son rang le plus bas, ASMR5 soit : Inexistant. (8)

5- Gardasil©, quelles études préalables avant mise sur le marché ?

Les vaccins sont dispensés de toute évaluation de leurs effets cancérogènes, génotoxiques et de mutagénèse. Les Gardasil© n’ont pas fait exception à cette règle, alors que ce vaccin à tropisme génital contient deux molécules hautement suspectes de pouvoir générer des pathologies de ce type.

Le niveau de recherche effectué par Merck autour des effets indésirables possibles des Gardasil© est donc consternant, en témoigne la monographie de Merck Canada (9). Les effets secondaires n’auraient été étudiés que sur les 14 jours suivants les injections :

Merck Canada, extrait

 

Les études préliminaires menées avant mise sur le marché semblaient rassurantes comme voulait en témoigner un groupe de travail français en 2011, « Le vaccin Gardasil® et la stratégie de prévention globale des cancers du col de l’utérus » (10) et qui annonçait entre autres ceci, plein de confiance naïve :

Avis CTV-CSHPF 2007, extrait

Il n’en est rien, fidèle à son habitude Merck a dévoyé son obligation éthique de tester son vaccin contre un placebo parfaitement inerte en y substituant dans au moins deux études… un produit contenant de l’hydroxyde d’aluminium alors que cette molécule est aussi contenue dans le Gardasil©. Si Merck devait considérer les sels d’aluminium comme un produit sans conséquence délétère pour la santé, alors pourquoi l’y avoir incorporé dans son placebo ? (11)

Un peu comme si on voulait tester l’innocuité d’un produit à base de curare en le testant contre un placebo qui en contient aussi, il sera honteusement facile ensuite d’annoncer que le produit n’est pas plus toxique que le placebo.

La farce a duré des années avant que ne s’émeuve la communauté scientifique internationale, ce qui n’a absolument pas empêché la carrière des Gardasil© de se poursuivre inexorablement.

Tout récemment un membre du British Medical Journal a obtenu par contrainte judiciaire auprès des autorités canadiennes le droit de pouvoir consulter les études cliniques confidentielles préalables à la mise sur le marché de ce vaccin, y soupçonnant de graves irrégularités. Attendons la suite.

6- Gardasil©, instauration d’un fast-track mondial

Merck a réussi à convaincre les plus hautes autorités qu’un péril de santé publique autour du HPV devait autoriser une procédure accélérée de mise sur le marché avant que toutes les études de sécurité soient menées à bien (Fast track). Ce qui adviendra aussi à la France en 2006 quand le Ministre de la Santé de l’époque court-circuitera tous les processus d’évaluation nationaux pour imposer la sortie à la hâte de ce vaccin. (12)

De fait, Merck tentera sûrement un jour de justifier le niveau bâclé de leurs travaux préliminaires en accusant les états de les avoir contraints à diffuser ce vaccin avant clôture complète des études de toxicité.

À noter qu’à ce jour Merck n’a toujours pas produit un seul document attestant de la validité de la pertinence de ce fast-track. On comprend que rien ne le justifiait et que Merck a purement et simplement berné toutes les agences gouvernementales en charge de la santé ainsi que l’OMS.

7- Gardasil, quelle surveillance au long cours?

Ce vaccin est inscrit dans la liste française des médicaments à surveillance renforcée depuis son lancement et pourtant nos agences persistent à ne rien remarquer de particulier. (13)

Les effets secondaires vaccinaux ne sont signalés par les médecins que dans 1 à 10% des cas. (4) Malgré ce sous-signalement consternant, l’Agence Européenne du Médicament (EMA) se voit reproché en 2017 par le Pr P. Götzsche (Cochrane collaboration) d’avoir omis d’enquêter sur des soupçons de dissimulation d’effets indésirables par le groupe Merck. L’histoire se répèterait-elle ? Penser au Vioxx... (14)

A ce jour et compte tenu de la fréquence des accidents que ce vaccin semble générer, quelques pays ont déjà révisé leurs recommandations vaccinales concernant ce produit, entre autres le Japon et l’Autriche qui ne le recommandent plus, bien que l’autorisant toujours à la vente.

8- Gardasil©, effets secondaires sur la reproduction

La thèse officielle prônée par Merck est claire, le vaccin n’influe en rien sur le déroulement des grossesses: (15)

mesvaccins.net, extrait

L’ANSM persistait elle aussi jusque récemment à ne rien vouloir détecter sur ce point (16), pourtant de toutes les parties du monde affluent depuis des années des témoignages d’un impact réel sur la reproduction, colligé dans un article très complet signé par Senta Depuyt (5).

Ménopauses précoces, triplement des cas de fausses-couches (17), dégénérescences testiculaires et ovariennes, foetopathies diverses, oligospermies, la liste n’est pas exhaustive, les signalements sont nombreux particulièrement aux USA, et pourtant rien ne semble bouger à l’intérieur des agences gouvernementales.

Comme on pouvait s’y attendre, développer un vaccin à tropisme génital en y associant deux produits génotoxiques tout en choisissant de ne jamais étudier de potentiel géno et reprotoxique ne pouvait que conduire à ces complications.

9- Gardasil©, effets secondaires généraux

Merck a certes reconnu l’existence de très nombreux effets adverses (18) : douleurs au site d’injection, céphalées, purpura thrombopénique idiopathique, adénopathies, réactions d’hypersensibilité, encéphalomyélites aigües disséminées, vertiges, Guillain-Barré, syncopes, nausées, vomissements, arthro-myalgies, ecchymoses, prurit, asthénie, frissons, malaises.

En revanche la plupart des effets indésirables graves sont rejetés tels que l’apparition de scléroses en plaques, d’encéphalopathies sévères, de syndromes dysimmunitaires divers et naturellement de tous les décès.

Quand l’Agence Française de Sécurité Sanitaire et des Produits de Santé (AFSSAPS) a dénombré 351 victimes françaises d’effets indésirables graves (EIG) en 2011, elle en a alors calculé un taux d’incidence égal à 8,1 cas pour 100 000 vaccinations.(19) Comparé au taux d’incidence du cancer du col de l’utérus selon l’Institut national du cancer (Inca), qui est de 6,4 pour 100 000 femmes (chiffres 2010) force est de constater que le Gardasil induit 30% d’EIG de plus que les cancers qu’il est censé prévenir.

10- Gardasil©, ses résultats thérapeutiques à moyen terme

Dans un article récent extrêmement documenté (20) le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue français, a repris les résultats épidémiologiques des pays ayant fortement utilisé ce vaccin depuis une dizaine d’année. On rappelle que l’évolution naturelle du cancer du col se déroule sur 20 à 30 ans et donc qu’aucune conséquence n’aurait dû encore se faire jour en 2018…

Mais dans tous les pays ayant vacciné leurs jeunes filles de manière importante (Australie, Grande-Bretagne, Suède, Norvège, USA),  les taux d’incidences des cancers du col des jeunes femmes vaccinées repartent à la hausse tandis que les femmes plus âgées non vaccinées ou peu vaccinées -par exemple les françaises- continuent de montrer une décroissance régulière de l’incidence de cette maladie.

Gardasil© semble donc être associé à un surcroît de cancer du col de l’utérus dans au moins certaines populations de jeunes filles vaccinées.

 

11- Gardasil© un vaccin obligatoire pour les deux sexes

Cette idée est  défendue en France par de nombreux infectiologues généralement très liés à l’industrie pharmaceutique, au premier rang duquel on doit citer le Pr Alain Fisher, immuno-pédiatre qui organisa la concertation citoyenne sur l’obligation vaccinale étendue à onze valences, adoptée en dépit de l’avis contraire du jury des professionnels de santé qui en avait préconisé l’exact opposé.

 Un groupe de huit députés issu de notre Assemblée Nationale a déposé un projet de loi le 27 Juin 2018 visant à rajouter un Gardasil© aux 11 vaccins obligatoires. (21) On ne peut qu’être consterné… Qui sont ces Députés, d’où leur viennent leurs compétences en cancérologie et en infectiologie?

Laure de LA RAUDIÈRE, ex France Telecom, Agnès FIRMIN LE BODO, ex pharmacienne, Pierre MOREL-À-L’HUISSIER, avocat, Vincent LEDOUX, historien, Antoine HERTH, agriculteur, Charles de COURSON, ex magistrat, Christophe NAEGELEN, commerçant et Meyer HABIB, ingénieur spécialisé en joaillerie!

Proposition de Loi, AN 27/06/2018

 

La réponse est sans doute négative, d’où ces interrogations : pourquoi ont-ils signé ce texte, qui l’a réellement écrit ?

12- Conclusions

Les vaccins Gardasil©  ont été extrêmement mal évalués dès le départ par la FDA. Le processus de fast-track initial permettra à Merck Sanofi-Pasteur d’en rejeter finalement la faute sur les agences gouvernementales au moment où les effets adverses de ces vaccins deviendront évidents. Ce vaccin a été prescrit de manière trop large sans se soucier d’une activité sexuelle déjà entamée voire d’une grossesse proche ou déjà débutée, ce qui explique en partie les conséquences enregistrées dans les pays qui en ont fait une priorité de santé publique. De vaccin inutile et très cher (500 euro par enfant pour trois doses en comptant les frais médicaux) il est devenu inutile, très cher et d’une nocivité largement supérieure au cancer qu’il était censé enrayer tout en générant des effets secondaires graves.

Nous appelons en conséquence l’ensemble de nos lecteurs à se saisir de toute les solutions possibles afin d’alerter les décideurs politiques, les journalistes, les sociétés savantes, la communauté médicale, toutes les agences sanitaires nationales et supra-nationales, afin qu’une suspension immédiate de l’utilisation des Gardasil© intervienne concomitamment au développement de toutes les enquêtes judiciaires et sanitaires nécessaires à la manifestation de la vérité, quoi qu’il en coûte.

 

 

Sources et renvois:
(1) J Natl Cancer Inst. 1995 Jun 7;87(11):796-802.
(2) lésions histologiques, col de l’utérus
– ADC : adénocarcinome invasif
– AIS : adénocarcinome in situ
– CE : carcinome épidermoïde invasif
– CIN1 (Mild Cervical Intraepithelial Neoplasia) : néoplasie cervicale
intra-épithéliale de grade 1, appelée également de bas grade
– CIN 2 (Moderate Cervical Intraepithelial Neoplasia) : néoplasie
cervicale intra-épithéliale de grade 2, appelée également de grade
intermédiaire (souvent regroupée avec les CIN 3)
– CIN 3 (Severe Cervical Intraepithelial Neoplasia) : néoplasie
cervicale intra-épithéliale de grade 3, appelée également de haut grade ;
cette lésion ne peut être dissociée d’un carcinome épidermoïde in situ
– CIN 2-3 : lésions cervicales intra-épithéliales de haut grade (regroupe
les CIN 2 et 3)
(3) Curado MP, Edwards B, Shin HR, Storm H, Ferlay J, Heanue M, et al. Cancer Incidence in Five Continents Vol. IX. IARC Scientific publications
No.160. Lyon, 2007.
(4) « Vaccinations, les vérités indésirables », Georget M. Dangles Ed. 2018
(5) « Gardasil, combien de vierges sacrifiées sur l’autel de la vaccination » Depuyt S., Nexus Sept-Oct 2018
(6) http://www.additifs-alimentaires.net/E433.php
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Bora
(8) http://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/extrait.php?specid=65017887
(9) http://www.merck.ca/static/pdf/GARDASIL_9-PM_F.pdf
(10) https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2018/09/hcspr20111021_gardasil.pdf
(11) http://docteurdu16.blogspot.com/search?q=gardasil&max-results=20&by-date=true
« Ce fut le cas lors des essais cliniques du vaccin Gardasil, vaccin contre le HPV. A la suite des essais cliniques FUTUR I et II le laboratoire MSD (Merck, aux Etats-Unis) proclama que le vaccin était « safe » (sûr) puisqu’il ne provoquait pas plus d’effets indésirables que le placebo. Mais il s’avéra que le laboratoire avait profité d’une faille dans la réglementation et du fait que la composition du placebo n’était pas clairement définie réglementairement. Il avait donc utilisé comme placebo dans le groupe témoin un produit contenant de l’hydroxyde d’aluminium, qui est l’adjuvant du vaccin. Utilisé pour ses propriétés pro-inflammatoires (générant de l’inflammation), l’hydroxyde d’aluminium est suspecté d’être à l’origine d’une partie des effets indésirables observés avec les vaccins qui en contiennent. La composition du placebo utilisé pour le groupe témoin n’était pas clairement annoncée dans les quelques 400 pages de rapport soumises à la Food and Drug Administration (FDA) pour obtenir l’approbation du vaccin. Cela n’avait pas alerté les membres de la commission chargés de statuer à ce sujet. Pendant des années le laboratoire put donc prétendre impunément que le Gardasil était sûr, puisqu’il ne présentait pas plus d’effets indésirables qu’un simple placebo. Ce ne furent pas les agences de régulation, mais des personnes ayant effectué des recherches indépendantes qui découvrirent le pot aux roses ».
(12) Le service de Mr Xavier Bertrand a été contacté par nos soins le 17/09/2018 en préparation de cet article mais aucune réponse nous a été faite au 30/09/2018.
(13) https://ansm.sante.fr/Activites/Surveillance-des-medicaments/Medicaments-faisant-l-objet-d-un-plan-de-gestion-des-risques/
(14) http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/12/09/papillomavirus-les-autorites-europeennes-dans-la-tourmente_5046054_3244.html
(15) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/7-gardasil
(16) https://ansm.sante.fr/Activites/Surveillance-des-medicaments/Medicaments-faisant-l-objet-d-un-plan-de-gestion-des-risques/
(17) https://sanevax.org/fda-approved-gardasil-9-malfeasance-or-stupidity/
(18) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/7-gardasil
(19) http://www.lepoint.fr/sante/cancer-du-col-de-l-uterus-polemique-autour-d-un-vaccin-24-10-2011-1388293_40.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20111025
(20) https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/effet-paradoxal-du-gardasil-206898
(21) http://www.assemblee-nationale.fr/15/propositions/pion1118.asp

Crédit photo: Pixabay

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