Si même la revue Prescrire le dit alors … Prescrire du 1er Avril 2016. Si, si.
Pas de fénofibrate pour faire sa prière le soir.
par La rédaction de l'AIMSIB | 18 Mai 2016 | 3 commentaires
Si même la revue Prescrire le dit alors … Prescrire du 1er Avril 2016. Si, si.
Pas de fénofibrate pour faire sa prière le soir.
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J’ai du mal avec Prescrire. Beaucoup de flou. Quand on fouille un peu dans les articles sur les statines on retrouve de vieilles affirmations comme quoi certaines statines sont plus efficaces que d’autres et qu’il est prouvé qu’elles baissent nettement la mortalité cardiovasculaire, mais sans donner le nom de ces études.Ce qui me gêne aussi c’est que le magazine continue d’entériner l’idée que le cholestérol doit être baissé. Quand des « reviewers » comme Michel de Lorgeril et Philippe Even épluchent les études proposées par les labos et les décrivent comme biaisées et mensongères, je ne vois pas bien comment le magazine n’arrive pas aux mêmes conclusions. Je connais des pharmaciens qui le lisent et qui se base dessus pour considérer que certaines statines sont bonnes. Prescrire est indépendant certes mais pas nécessairement clairvoyant. A lire avec prudence.
Je suis bien d’accord avec vous. Mais il est important de souligner ce moment de vérité, de lucidité. Surtout à l’heure où certains laboratoires relancent ce cocktail de médicaments à l’appui d’études (TEMPO) soi-disant nouvelles.
O tempora, o mores
Non médecin, abonné à Prescrire dans l’espoir de rendre service. Renoncé après avoir réalisé que la pharmacienne interfacée discutait chaque suggestion (sans rien y comprendre) au lieu de la transmettre au rédacteur spécifié.